(BnF
Gallica
Le Costume historique, cinq
cents planches, trois cents en
couleurs, or et argent, deux
cents en camaïeu ; types [...]
Source gallica.bnf.fr/ Bibliothèque nationale de France
(BnF
Gallica
Racinet, Albert (1825-1893). Le Costume historique , cinq cents
planches, trois cents en couleurs, or et argent, deux cents en
camaïeu ; types principaux du vêtement et de la parure,
rapprochés de ceux de l'intérieur de l'habitation dans tous les
temp.... 1888.
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LE COSTUME
HISTOlUOI K.
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Typographie Firmix-Didot et C'k. — Me«Dil (Eure),
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LE COSTUME
niSTOKIOl K.
PLANCHES,
TUOIS CENTS KN Clll LKI'HS, iM! KT AKCKNT. HEI X CENTS EN i:\.MAlEI’,
TVPKs l'iuN’ciPAUX uu vfn'KiiKXT i:t de la PAIÎUÜE
FIAIM^KOCHKïi DK CEUX DE l/iNTÉIllEl ît DK k'|I.U!|TATIi DA\S TOUS LKA TKMl'S KT t:DK>; TUl S LES PKI l-LKS.
AVEC DE X(}NIHKEKX DÉTAtr.S
Sl'lt LE MtiTMLIEPi^ LES AltMES, LES H7EJETS DSl’KLS ^ J,HS MOVEXS DE TJtAXSI'i pIH’^
RECUEIL PUBLIÉ SOUS LA DIRECTION DE
M. A. IIACÏXET,
A U ‘J^ E U )( Il fi lA O JE .N E >1 K S T l'O L V C Jl lE A M E »
AVKr DKS XOTiCErt EXPLICATIVES, lîXE iXTllOlHTCTfOX fJÊXKRALl’:',
r>KS TAULES ET CX f^LOSSAÏlîE,
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P A lus,
LIHHAIRIK DH KI li M 1 N - DI DOT HT (
1 >.
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Dmits Je trüdiEetÈüii et de TtFroiîuctioii
%
PREFACE
■r
LT 7mmen t de faire le ccnujylém eM de ce vaste recueil^
dejVf terminé 'potir la par liqrparûton sur-
cessive des vingt livraisons comprenant les 500 Planches
avec leurs i^otices ^ nous ne saurions prendre congé de nos
souscripteurs sans les remercier une fois de plus de hur
fidèle et persévérant concours.
Ils ont compris que^ s il a fialiii plus de temps que nous l avions didjord
supposé pour élever le Monument dont nous posons aujourdliut ht dernière
pierre, cesi au profit de la qualité et de Y utilité de Y œuvre que ce temps a
été employé.
Nous avons expliqué déjà dam TA vis aux vsoascripteuus ,au dernior
fiascicule, p}ar suite de quelle modification de méthode, dictée par Y expérience
et pratiquée dès la seconébi et la troisième livraison, les notices accompugmmt
chaque qdamdie, loin d'être rédmtes à une sècke nomenclature des documents
représentés avec indication de leurs sources, sont devenues de véritables mono¬
graphies, vivifiées par Y image qti elles suivent pas à pas, en racontant, pour
(dmque époque ou chaque race, les origmes, les caractères du costume et ses
transfiormations sous les influences diverses fhi climat, des mœurs, des usages
et du couraîit des idées contemjioraines.
Ce système, qui rendait inutile une histoire qénérale, à jyeu qrrès imp^ossi-
ble à coordonner et dont le déuelopj}ement eût été constamment entravé par les
inultiples renvois à cinq cents p)lanches r jetées loin du regard, avait pour
conséquence fYobliger le directeur du recueil à p^énétrer plus avant dans la
V
II —
philosophie de son sa jet, et à sej^rire écrirain, sans appel à une collaifora^
tion étrangère dont le moindre hiconvénient eût été d*enlever k louvrage la
rare unité de vues fpn le caraetérise.
De quelle manière M. Bucinet s est acfiuitté de cette j)artie de sa fâche, en
évitant Vécueil de la nionotonie et de Varidité, c cst ce sur quoi le siiffiutge du pu-
Idic nous dispensera d'insister. On s*estpln et ou se plaira encore à recon-
naUredans cette série d'étiuies spéciales (qui n occupe pas moins de 1800 ijages
dans la jjetite édituru) mm seulement une qmtiente érudition qyuisée aux
meilleures sources^ mais encore un intérêt de récit, une l'ariêté de tou, une
finesse d'^a^jenius et souvent une sorte diémoiion communieafwe (jid attachent
le lecteur, même sans le secours de l'image*
Ces développements assuraient h l'ouvrage un caraeûre complet, dès Idip^
pariiiou de la vingtième Uvraison ; mais ce que nous offrons aujourd hui au
puldic, sam aucune addition de prix, nen est pas moins d*ime importance
réelle pour la mise en valeur du recueii, en ojfrant au lecteur un guide sûr
j/our se dirige7* da7is Ikitude des innomhraldes documents quil renferme.
Ce complément, qui formera le Tome I des six volumes dfuit se conpose
rensemble, conprend :
1" Une Introduction générale, dans laquelle sont esquissés à grands traits les
côtés les plus saillanis du sujet;
2'' Des Tables analgliques des 500 Planches et Notices, classées dans un
ordre défnitif et suivant des divisions raisonnées, iahles ou se trouve résumé
le contenu de chacune d*elles;
3^" Une Table des personnalités hisforiques représentées et une Jdbliographie
de la matière (xussi mmqjlète iiue possible; hïbln^fp’aphte dont Vétendue seule
suffirait à proumr combien cette matière du costume, si furtemeni liée h llmtoire
dont elle jirésente un des aspects les plus rivants, a de tout temps q}réocvupé
les chercheurs;
4*^ Un GlcKSsaire des termes français et étrangers emplogés dans louvrage,
suivi luPmême d'un Index géographique et ethnograj^hique, avecrenvoi aux nu¬
méros des Planches et des Notices; instrument de maniement dont d est super¬
fia dé faire res^sortir Iutilité pratique:
il Un exposé, eît douze tableaux au trait, de la frrme et de la cotpe des
pnrœilUifesfht vêtement^ aji[nîjféeH tie jmlrnnH (ft ficminpfujuém d'exeinjdm
fie ptniih ijnr fies^fifpîns aufhimtîqnes. {Cet expoHi% oh nffut rhumih
le.H principes connus sur la inatière, se coinplête par la représentation diaprés
nature de fiimes dhtn caractère nafmial et pur an ufierqa comparatif fies effets
de la mode eu Eanqæ^ flcpfnis ftohiptifni j}ar les dtfmes du corset renforce^
fies chanssures à talon par tout le monde et de f kahit par les homniesi)
6* Enfin fAvis an Ihdimr réfjlant f ordre fhlfinitif fie toutes les parties fie
Vouiyruge et dfmuant le ifuniérotage des TiOO Planches et Etdices mis en refjnrd
fies siijnes coumationnels fini ont serri à les distingner au cours de la puhlica*
lion; avis siir V importance dutptel fums appel fais l^ittentifm tfnite spéciale de
nos souscripteurs et dont la scrupulease obserratiim est de nature à précenir
toute erreur.
^linsi se trouve comgdété au jfoint de vue pratique^ ci rendu de facile con¬
sul tation^ ce vaste recueif vérüaide Diction nu ire Encgelojmlngue fie la matière
fpti ne s adresse 2 ms seulement à tum tributaires fUrects {artistes de tout ordre^
metteurs en scène^ habilleurs de théâtre ou Cinfectionneurs de la mode)^ mais
(fussi aux gens du monde^ aux amateurs et aux studieux^
Venu à une heure flouldcment Javoralde, gai mettait à notre flisposition, en
//lf{s du pieux f nids ciassirpic formé jmr les J/ontJaucon^ les Gaignères^ les
Udllemin^ les Champollion et jdus tard par les Qfdchcrat et Ich Viollet le
Duc, le contingent si rkhe fim photographies et des trésfU's réunis dans nos
expfhsitions récentes, fOi même ientjm fpêelle nous offrait toutes les ressoiirces
fies jmfefdifninemeïits nu rie nies airpirriés aux mjnjens de rcjn^odfiCtmn, ce Icvre
a sa idace tuarfjuée dfuts toutes les grandes bildiothèques.
(fl il nous Sfdt permis, eu terminant, fie citer les jmrf^les éloquentes de tun
des maîtres de Ffîrt cfndcmporain, JL Eugène Guillaume fpxi, chargé de pré¬
sider Vexn dernier la distributif ai scdmmelle des prix an bjcée Henri J V,
disait :
Urne semble qu'um certaine courmisMOue de Vart est nécessfdreà Vètifée des Mtres. Il serait
di(ficik dacolr^ dans vn tncée, um gdlerÎB hlsloruim : U faudrait trop ddspfîce ; et daîlleurs, u/t
reeneit de pJwtügrapkies et d'esianipes sutfirait qfour dtaquê claMe.
H A/ms fai t&uioms ftnopiné fpie fa rhidoriqur jmun'mi être professée au müffu de chefsaV œuvre
ckùiüiHparndç& qm i'ari authim aoiiH a laissé ik pim jHirfait. J'p jotndnm um pelih biblwihé-
qit€. Vous expliquez Homère el les iraffiques^ Nérôdoie et T/nicpdide; mus vous e/forcez dc/i
pênéfrer le sms; mais ce sens est 1res ékndu. N'êfés-votts q}as frappés de la puimmcÊ qn ont les
poêles ei les hütoriem d'eveilkr riinaÿinulio/t? Ils possèdenl une qrande farce d'ét^ocaiion ; leur
îauffue a comme une vertu plastique; il se dèffaqe dti texte des tableaux (ks Jiqures qiton diraîl
taillées dans k marbre, Oes épi fbêtes (IJfomére ont un sens formel. Feuf-êhc est al jms in-
diférenl à ta des aukurs de se rendre compte de k fiqure des personnaqes
qu'ils mellenl en scène et de connaître tels que les Grecs se les reprèsentmenL Gest h service
que rendrait lu bibHoîhèqm comifosée (roiwraqes desUnés a expliquer Vantiquitè fufurèe,
<c Je ne niarreie point à parler des costumes. Les anciens tes dèsignenl toujours par des déno-
minalions précises^ et non par des mots vagues : or souvmt ces habiltenmits sont mradèristiques :
telle dmniîé a un ajustemmt qui îui est propre^ et elk ne peut en amir diantre; ceta ne s'apprend
bien que sur les monument s. u
(Jest sous la protediou de ces idém justes et élemes^ dont la j/ortde s^éteud
d'ailleurs au-delà de rautit/uüé elassùjue que nous oimous à placer une
œuvre dont la jrrêcieuse sincérité offre le téfnoiqnaqe le plus complet qui ait
été fourni /usqa à présent sur la manière dêtre de l'homme de à ms les tefn/îs,
Elle est le résidtat de lonqs et consciencieux e foris, auxquids le qmblic a dé/à
rendu pleine Justicej en reconnatssant le caracière des choses aq)peléeH à ffe-
meurer et Jtisqti à un certain peint dcfnitices.
KIKMIX-DIDÜT KT 0^
INTRODUCTION GÉNÉRALE.
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IN T R 0 D U ( : TI ( ) N GN É n A L E.
*i — Lçp iiiiages, leH Icj^ préjiigés d'im pay^
et iViuie épwine, côQsidéïitlts par rapiiort. au aoln que doit
avoir Phistorienj le pocte, ete.^ de les retracer fidélenjeütj ou
de lie rien dire qui n’y soit coufomic. — Sc dit, en peinture,
des iLsages nfiatifa aux édifices, aux meublea, aux armes, et
surtout i J’halîillenient, itans le^ différents temps et chez
les différents peuples. î>
(Extrait du I^irtionuaîte dt î'Ara thymie JrtiRt^ai se.)
\ défiiutioii que nous prenons pour épigraphe, enipnmtée
A nos pères conscrits, explique iietteineut le caractère de
l’œuvre A laquelle nous avons consacré nos soins, et le sys¬
tème, ])ar nous suivi, de fournir, |)as A ])as, les rouseigue-
ineuts inmiétUats concernant; les choses représentées, de
manière A donner A riniage autant de siginiicatiou que le
pouvait comporter chaque étude particulière. Quant A discourir sur reiisem^
ble, cela léest possible qu'avec mesure, et en se tenant dans les grandes li¬
gnes. Uii recueil d'images dont nous avons du groui>er les éléments en quatre
parties, relativement indépendantes les unes des autres, et représentant des
hommes ayant vécu en des teini»s tantôt fortement distancés, tantôt con¬
temporains entre eux, tnaîs suivant les conditions si profondémeMt inégales
de Texistence humaine selon les milieux, ne saurait donner lieu A des consi¬
dérations se développant par la succession des faits , <le manière A former
une vauîtable histoire du costume, en général. Si Ton songe que, A riieure
qu'il est, les raffinements de nos civilisations se rencontrent encore avec la
jiénurie des premiers hommes, de ceux qui chez nous sont des fossiles des
âges du boi.s et de la pierre, et dont les similaires occupant de vastes éten¬
dues de notre inonde, coutinuent A se réchauffer A notre soleil, on comprend
comhien toute tentative de communauté historique serait illusoire.
VI II
Toutefois, la iiiatière <îtant sous certains rapports « d’iiistoire n dans le sens
de Vh'storialift des Latins, conservé cliez nous {Imtorial, qui marque quelques
points d’histoire. -— Dift. (h rAcadt'iniefmnraiste), il est h propos d’indiquer
ce qui, dans les docuiueuts écrits, apparaît comme la plus loiutaine origine
du veteiTient proprement dit ; non point la priniitîve ceiiiture de feniliage
servant de tablier de pudeur dans le jardin délicieux, sous la clémence du ciel
de TEden, ni la pièce de fourrure ou d'étotTe qui se drape et ne devient un vê¬
tement que par l'usage qui eu est fait, mais le caractéristique vêtement con¬
fectionné en vue du bien-ctre, en raison de Tactivité nécessaire i\ riionime
pour sou travail ainsi que pour sa défense; en un mot, le costinne imposé par
la nécessité et cornbiué pour y satisfaire de toutes les façons.
Le premier tailleur d'habits ne saurait être plus illustre que celui désigné
par la Genèse, montrant le terrible Jéhovah cliassant riiomme du paradis, et
le jetant sur une terre « qui lui produira des épines et des ronces )> sans toutefois
Ty abandonner entièrement, c'est-à-dire avec un courroux fléchissant, ainsi
que findique ce passage du récit tiiosaïque : a Le Seigneur Dieu aussi à
Adam et à sa femme des habits de peaux ilont il les revêtit » De sorte que ces
premiers habillements apparaissent comme une pleine confirmation de ce que
révèlent aujourdduii les exhumations des anthropologues, au sujet des
liommes des temps glaciaires, qu'ils nous montrent sous des habits de peaux
conservatit leur poil, tels qu'on les trouve représentés en notre plaiiclie double,
48-49* Les vêtements eux-mêmes n'existent plus, mais peu iiuporte; leur
conservation n'en dirait pas plus que les raeloirs ou grattoirs servant à la
préparation des peaux, les ou les alênes trouant la peau pour le
passage des aiguilles en os, avec les petits j^lissoirs de grès pour acérer
ces aiguilles, et enfin les couteaux en silex pour diviser les tendons qui
servaient de fiL C'est voir Thabit lui-même que de considérer cet outillage
eoliectioimé dans nos musées*
Et c'est tout un monde, des foules et des foules pendant des séries de
siècles, qui se présentent ainsi sous la livrée de notre misère originelle* C’est
de ces temps encore si profondément obscurs, de cette longue nuit des temps
précédant de si loin nos figes bistoriques, que sont écloses les civilisations,
k‘S snciétcvs ayant prospéré diverseïnont, quand ritiimolnllté ou
la rotragradation n'est point fatalement (lenieiirée la loi, partout on Tindivi-
dualité du barbare est restée la maîtresse. Régie non absolue, (railleurs,
puisque, entre les civilisations complètes et la sauvagerie, nombre de peuples
sont devenus et restés des demi-civilisés*
Entre temps, Hiomme paraît avoir imaginé le tatouage nu la gravure de
la jjeau pour donner du renfort a son système cutané ; les j>eaux de toutes
les races ont été tatouées, les blanches non Tiioins (pie les noires, les jaunes
et les bistrées. Le fait est d'autant plus ;\ noter que, si ce renfort de la peau
avait pu devenir un préservatif suffisant sons tous les climats, on peut sii])-
poser que rhomme n’aurait peut-être pas été amené à rusagc des vêtemonts.
Au surplus, dans la rapidité des grandes étapes de k Genèse, on iie
trouve rieïi toucbant les évolutions de rindustrie après le premier pas fait par
elle. C’est sans transition que, selon le récit sacré, les fils immédiats de Caïn
construisent des villes, tandis que d’autres demeurent dans des tentes; celui-
ci est le père de ceux qui jouent de la liar|)e et de rorgue; celui-là, Tubaleaïu,
qui eut Fart de travailler avec le marteau, se montre lialiile en toutes sortes
d’ouvrages d'airain et de fer. Le progrès ne chôme pas; ici ce sont les pendants
d’oreilles et les bracelets de Rebecca, avec les riehcs vêtements dont son
père lui lait présent pour son trousseau de noces; là, c’est la robe ch i^hisieura
coidenrs que le vieil Israël fait faire pour son Josepli bien-ninié. Cela est
expéditif et mène droit en plein milieu jiliaraonique. Or, dès le moment
oii la grapliîe du sculpteur égyptien se substitue à celle du calarii, les
monuments remplacent avec un avantage incomparable toutes les descrije¬
tions, si souvent plus que soniînaires en tout ce qui tuuclie au costume et à la
toilette.
Et il en est de même avec Homère, entrant de }uiine-saut en pleine civi¬
lisation. Rour ne parler que des textiles, Hélène dans son palais travaille à un
merveilleux ouvrage de broderie, un grand voile brodé par-dessus et par-
dessous, tout brillant d’or, I^a reine Héciibe descend dans un cabinet parfume
de toutes sortes d’odeurs les plus exquises, ou elle avait quantité Je
meubles précieux, qui étaient tous ouvrages de femmes sidoniennes, et
jiarmi tous les tapis qu’elle y visite soigneusement, elle choisit le plus grand,
X
f
le pins beau, celui qui lui parut le luieiix travaille; il était éclatant cFor et
brillant coiiune le soleil.
C'est tlonc véritableinent sans transition d'aucune sorte que l'on passe de
la Tnisére primitive, indiquée dans la Genèse par un trait puissantj y demeurant
comme la tradition vivante d'un frisson iiiettaçable dans le souvenir des
liommes anciens, non seulement à des industries perfectionnées, mais au luxe,
et au grand luxe*
Des bégaiements de ces industries, de Fingéniosité des travaux auxquels
Fhommedut se livrer, de Fexpérience qu'il lui fallut acquérir pour se procurer
les tissus et les feutrages propres à remplacer les vêtements de peaux dont
il lui avait fallu d'abord user, de ces efforts collectifs, rien ne parle en ces
livres-là. Comment le misérable, troglodyte pour sa sécurité en face des
monstres paléontologiques encore existants, barbare entouré de barbares de son
espèce, et sachant de suite, ainsi que le dit Fépoiivante de Robinson Crusoé,
que de toutes les espèces féroces la sienne est la plus dangereuse, comment ce
chasseur, absorbé par la poursuite constante de sa nourriture, a-t-îl trouvé des
loisirs pour se livrer à des travaux manuels en leur faisant suivre une voie
progressive, qui le saura jamais ? S'imagine-t-on, par exemple, quel dut être
Fhenreux émoi de ceux à qui Fartisan du premier peigne vint montrer
un objet si nécessaire, et sans lequel la chevelure humaine, loin d'être une
parure, ne pouvait guère donner heu qu'à la souffrance? Quel drame dans
ce mystère insondable, d'ailleurs merveilleux par les résultats partout où
l'homme a su s'organiser et vivre en société !
IjCS Grecs, ne tenant aucun compte de leurs aînés, se donnaient comme
ayant tout inventé, et, avec leur mythologie asiatique, ils s'en sont délivré le
brevet. Cela était commode et coupait court aux questions de liante rétroac¬
tivité. Nous apprenons maintenant de quelle autre profondeur sont les
solidarités Immaines, et de quelle réalité sont les liens qui nous rattachent à
ceux qui ont été nos premiers prédécesseurs, comme se rattacdieront à nous
ceux qui nous succéderont. Il faut voir aujourd'hui ces choses de beaucoup
plus haut qu'on eu avait Fhabitiide jadis, et c'est un effort, autrement collectif
que celui d'un groupe, qui a tait de l'homme, de ses costumes, de ses toilettes,
de ses ornements et de son outillage, en général, ce qu'il se trouve être [ué-
— w
.sentenieTit. M. Caïuillo Flainniarion, dans un article publia dernièrenieiit,
{Ftf/arûf 30 avril 1887 ) et (kiis letpiel il analyse rorganisïtie hninain, une
eoîiésîou de molécules, dit à [uopasde riniinense collectivité de nos ancctres :
a Si tous les honiities qui ont vécu ressuscitaient, il y on aurait cinq par pied
carré sur toute la surface des continents, obligés pour se tenir de monter sur
les épaules les uns des au très ». Nous laissons au brillant astronunie, qui veut
l)ien s'occuper de notre pianote, la responsabilité crun calcul dont nous
n’avons pas la base; mais voilA h quelles vues d'ensemble on doit se tenir
désonnais pour considérer les clioses, et en particulier celles du costume,
(1*11110 nature si périssable, tout en représentant la plus formidable production
(pli soit le fait de riiidiistrîe humaine.
Ce que nous ne trouvons pas dans les livres originaux servant à Fliis-
toire classique de rantiquité, telle que rédictent les jirogranimes uinversi”
taîres eu un ordre que nous avons d*ailleurs respecté (et ce avec d’autant pbis
de raison que nos images reproduisant des documents bistoriques, comme
* _
le sont ceux par lesquels les Egyptiens, les Assyriens, les Grecs, etc,, se
sont peints eiix-memes, nous offrent les images les plus anciennes qui
soient à notre portée), ce que nous ne trouvons pas, disons-nous, dans
le sillon consacré, existe lieureuseinent en bonne partie autre part. Au-
jonrddiui, qu*il ne saurait plus être question d'opposer les unes aux au¬
tres des traditions différentes, mais de recbercher, au contraire, ce qui est
de nature à concilier les diverses traditions, en les faisant concourir, au¬
tant que possible, h former une espèce d’instoire de la marche de riuinia-
nité, c\ travers les phases par lesquelles riiomme a nécessairement passé
pour arriver aux civilisations ; aujourd’hui, que les chiffres donnés par
la géoTogie d*une part, et les travaux des anthropob.^gues d’autre part,
s'imposent à l'esprit en faisant reculer fortement les limites du passé clas¬
sique, y compris celles memes des temps sûrement liistoriques, il devient
d'un réel intérêt de signaler ce qui nous est révélé sur les ép0('iues inter¬
médiaires dont ne parlent ni les Moïse, ïu les Homère, mais que Tou trouve
échelonnées dans la tradition de la haute archéologie des lettrés chinois.
La succession des laits s’y présente avec une pertinence, que Ton peut faci¬
lement dégager de la pliysioiionue d’un ialndaire caduc, donnant aux
i
I
t-
Xll
linmines des premiers temps ime figure plus ou Jiioins mytliologique,
animale; et aucun document ne jette plus de jour sur îles i'?v<?uemeuts dont
on sent Ineii que la succession est la logique même de la vraisemblance.
Au point de vue philosophique, aucun tableau ne saurait mieux faire valoir
le prix de l*acquisitiou des connaissances ])ratiques, des conquêtes faites
par l’homme sur la matière par lui pliée h son usage; rien ne fait mieux
ressortir tout ce que représeuteiit nos industries, aux ressources allant
chaque jour s’élargissant, au point que, maintenant, nous ne saurions ](lus
concevoir rhomme sans toutes les améliorations qu’il s’est créées pour son
existence, voîre pour sou plaisir, et qui en hieii des cas ne datent pas
d’hier.
Ce serait comme un conte de fées, si l’enfantement des labeurs sans
nombre ne s’était trouvé mêlé de tant de peines, et d’autant plus le mer¬
veilleux d’un conte de fées que, avec la perspective si trompeuse des lon-
gue.s distances, il semble que les résultats les plus brillants ne se soient
pas fait attendre, l’industrie paraissant avoir marché à pas rapides et dé¬
cisifs; car, en somme, ce n’est pas à nos progrès mécaniques, si intéres¬
sants par l’ampleur de la production, que sont dûs les plus beaux tissus
servant aux vêtements. Kleii n’égrale, jusqu’à présent, les travaux directe¬
ment issus <le la main de l’homme, et pour nous en tenir aux modernes,
qu’ont été les cachemires français en regard des schalls cacliemiriens, lavés
et reprisés à Amritsir, dans le Penjab? Qui ne sait combien les hroileries
chinoises et les ti.ssu.s japonais font pêdlr tout ce qn’on en apjiroclie ? Et le
point d'AIenqon, le beau point à fond de bride avec le relief de ses j^ewr.'î
volantes, de combien distance-t-il la physionomie que lui peut procurer la
mécanique des sociétés dentelières? Ce que l’imagination du conteur mvente
au sujet des robes de Peau d’âne e.st, de par la main de l’ouvrière de J^rousse,
une réîilité dont pourront longtemps rêver les mécaniciens, sans arriver à
nous donner jamais ces belles étoffes tout artistiques, à la couleur de lune
ou de soleil formée de fils d’or, d’argent et de soie, nuancés, suivant le
besoin, par du coton, du chanvre et du lin, dans chaque fleurette, dans clia-
que branche de feuillage, avec un goût inné, éclairé par des traditions
n’ayant véritablement pa,s d’âge ; car ces pittoresques étolfes ont nu tel carac-
€
11
XIU —
t('^re de famille avec ce que les rcnvaiiis ^recs et roTnains racontent des
inerveîlles de rindiistrie asiatique, qu’on les peut considtu'er, dans le roiiou-
veaii constant de leur fraiclieui’, eoinnie de vieilles connaissances pour les
yeux Imniains* On sait la s(:'<]uctioM exeî'cée sur les Grecs par ces beaux
j)roduits, et conunent leur conquête s'étendit aux Romains de l'empire. Et
ron sait encore combien, après la terrible nuit de la ]ireinîèie période du
moyen âge, et alors que Ibm découvrait, en quelque sorte, la Syrie, les guer¬
riers des premières croisades furent frap[)cs par la splendeur de ces tissus
au luxe astral, ap[)ara!ssant aux yeux des Européens comme remblême
meme du pays du soleil, ayant ksou extréniité cet empire du levant dont
rîndustrîe, comme découverte à son tour eu Tiotre temps, devait causer cette
vision enclianteresse dont les yeux de nos raibiiés ne se rassasient pas.
Or, c’est de ce point d'arrivee du goût et de rindustrie de riiomme qu'il
convient de rernotiter à roriginc de ce qui s'est passé cliez les gens du
Céleste Empire qui, sous tant de rapports, ont le caractère d'initiateurs ayant
conservé la mémoire des évolutions progressives; ce qui devient d'un in¬
térêt commun û toutes les civilisations.
L'analyse que nous donnons de la haute archéologie chinoise étatit une
rcductioii de la traduction fournie par Pautliier, dont les savants travaux
sur la Chine jouissent d'une autorité incontestée, il y a h\ une certitude qu'il
suffit de rappeler. Toutefois, comme le merveilleux nous gêne plus qu'il ne
nous attire lorsqu'il est mélangé de surnaturel, nous ne prenons de cette
transcription que ce qui, de plus ou moins près, touclie a notre sujet, etî
deliors de la figuration et du pouvoir mytliologiqiie des personnages.
Pan-^ou ou Hœii-Tun (cliaos primordial) le premier liomme et le prenner
empereur, fut le premier ordonnateur du vionde (d'oii cet autre nom
Yu-chi) ; son action cotnînença dès que le ciel et la terre furent sépares,
c'est-à-dire, depuis 129-600 ans, divisés en dousîe parties aj>pelées conjonctions^
cliacuue de 10.800 armées. Ce ne serait qu'à la fin de la septième période
que les êtres humains auraient cessé d'hahiter les cavernes^ et que 1 ou vit le
règne d’un grand nombre dé rnis qui commencèrent la civilisation et 1 eijq>ire
de l'bomme siir la nature. PeTidant la liuitième jiérinde, les hommes se cou-
XIV
vraient de l'^êtements dherhe; les serpents et les Letes étaient en grand
nombre, les eaux débordées ir étant jioint encore rentre^^es; les lioinmes étaient
très inallieureux. Ils se couvrirent ensuite de peaux de botes pour se pré¬
server du froid et des vents, et ils furent nommés : « hommes hahlIUs de'pemm. »
Les animaux arniés d’ongles, de dents, de cornes et de venin, attaquaient
les liomines qui ne pouvaient leur résister, ce qui les porta à se retirer
dans des maisons de bois ])oiir se jiréserver des bêtes féroces, après s’être
perchés sur des arbres, ou enfoncés dans des cavernes. On attribue au pre¬
mier empereur de la neuvième période, nommé Ïsang-Kie, rinveiition des
premiers caractères chinois; les premières lois parurent sous son règne, et
le premier gouvernement régulier fut établi. Au septième empereur de cette
dynastie sont attribués : rinvention des cliars, les momniies de cuivre, Tiisage
de la balance pour juger du poids des clioses. Sous le règne du douzième,
on coupait les brandies d'arbres pour tuer les bêtes. Il y avait alors peu
d'hommes, on ne voyait que de vastes forêts, et les bois étaient pleins de
bêtes sauvages. Sous le quatorzième empereur, les vents furent grands et
les saisons tout à fait dérangées; c'est pourquoi le souverain donna ordre
à Sse-Kouki de faire une guitare A cinq cordes pour remédier au dérange¬
ment de r univers J et pom* cons&i'ver tout ce qui a Cependant au temps
du quinzième empereur, les eaux ne s’écoulant pas, et les fleuves ne sui¬
vant pas leur cours ordinaire, on vit naître une quantité de maladies; cet
empereur institua alors les danses nommées fa-vou; ce dernier exercice était
un précepte hygiénique, si réellement efficace que sous le seizième empe¬
reur le monde se trouva ou quelque sorte reiieuplé, et que, partout, d’un
lieu à l’autre, on entendait le chant des coqs et la voix dos chiens; les
lionmies vivaient jusqu'à une extrême vieillesse, sans avoir grand commerce
les uns avec les autres.
Puis ce fut Foii-hi, compris ilaiis cette même neuvième période. Le
premier il créa des ministres d’Etat institués sous le nom de Dragons,
emblème de la force nécessaire pour pouvoir gouverner les peuples, et qui
trouve sa plus haute expression dans l'Empereur, le [i)us puissant des dra¬
gons, faisant des autres les ministres de sa volonté. 11 y en avait six : l'im
chargé de composer les livres, l’autre de rédiger le calendrier; un troi-
XV
sit'^rrie eut rititendciuce des butiinents^ le quatrième fut chargé de prévenir
les misères du lïenple et de le soulager; le cinquiètue prenait soin des
terres, et le sixième avait i\ faire croître les bois et les plantes, eu s'oc¬
cupant de procurer la couimunicatîoîi des sources dVaux vives* Cet empe¬
reur aurait été le premier lionmie qui ait fait des filets, et qui ait nourri
les six sortes d'aiiiniaux domestiques : le cheval, le bœuf, la poule, le co¬
chon , le chien et le mouton*
Dans les i)ortraits do Fmi-hi, dont Confucius admet rexistence, et oîi on
donne à cet empereur un corps de serpent et une tète de bœuf, sou vete-
lueiit est d’ecorce ou de grandes feuilles d'arlires* Au commencement de son
règne on gouvernait les peuples par le moyen de certams 7 îœïids que Fon
faisait à des cordes (ce sytèrne nménioteeiinique, formant un langage, est
rantique wanipum des Américains, dont on retrouve encore la pratique cbeîî
certains Peaux-Rouges* “ Voir la notice de la pl. 81)* On mit ensuite à la
place récriture, permettant aux officiers publics de remplir tous leurs devoirs,
et aux peuples d'examiner la conduite de ces officiers*
Avant Füu-lii les sexes se mêlaient indiffère mm eut; il établît les ïuariages,
et ordonna les cérémonies avec lesquelles il devaient se contracter, afin de
rendre respectable le premier fondeiiient de la société humaine; et le peuple
vécut depuis avec honneur* Fou-hi voulut que les femmes fussent vêtues
d'une manière différente de CLdie des hommes. Avant cette époque, les hommes
n'étaient guère différents des bêtes, dit uii écrivain chinois, ils connais¬
saient leur mère, mais ils ignoraient quel était leur père ». C'est ce dé¬
sordre qui fut réprimé par les lois sur la société conjugale*
Fou-lii travailla beaucoup sur Tastronomie ; il établit un calendrier pour
fixer rannée, en même temps qu'il divisait le ciel en degrés et inventait la
|>ériode de soixante années, formant le cycle chinois, encore maintenant en
vigueur* Il inventa des armes de bois et se servit encore du bois pour la lyre
longue de sept pieds, le Kin^ dont les cordes étaient de soie; puis il fit
la guitare à trente-six cordes, nommée Sse^ et enfin, après avoir institué
l'art de pêcher, il composa une chanson pour les pêcheurs.
Puis, viennent progressivement sous les successeurs, notamment sous l’ein-
pereur Chin-Noimg, le Uihoureur divin^ ans environ avant d*-C*, Tin-
XVI
ventîon de lacharnie et les leçons pour apprendre aux lïoinnies A cnltiver les
elianips. Cet eni{>ereiir seinn les cinq sortes de Lié, et le peuple apprit î\ so
nourrir de grains et à tirer du sel de Teau de la iiiei\ Chin-Nouîig établit des
inarcliés publics, et en y faisant arriver tons les peuples du monde, il y ra¬
massa toutes les marchandises de T univers. C^est à lui qu'ou attribue encore
l'invention de la médecine, lui qui distingua toutes les jdantes, et eu détermina
les diverses propriétés. Habile à la guerre, il fit un livre sur Tart militaire.
Il composa des cbants sur la fertilité de la campagne, et ces chants, accom¬
pagnés parla lyre et la guitare, adoucissaient les mœurs du peuple en le
rappelant à la vertu. Il fut le ]yremier homme qui mesura la figure de la
terre; il sacrifiait au Seigneur suprême dans le temple de la lumière.
Après le règne de quelques descendants de Cbiii-Noung on arrive enfin
i\ Hoaiig-Ti, lemx)ereur jaune^ dont bavènement, 2,698 ans avant notre
ère, ouvre la période des temps véritablement historiques. Nous n'avons
point A parler des événements politiques, mais il est intéressant pour notre
sujet de faire une dernière incursion dans b histoire de ces temps là, pour
montrer comment Tempire chinois possédant un gouvernement régulier
dès ces hautes époques, une administration organisée par Clinn et Yu, types
des empereurs philosophes parvenus au trône par leur sagesse, on rencontre
dans leurs institutions celle dbiiie étiquette officielle, qir un fouctîotmaire
spécial, le ministre des cérémonies et des rites ou le ministre des cultes,
était chargé de faire observer rigoureusement. Or, une étiquette, réglée par
le costume, devenant une liturgie administrative, et qui n'a cessé d'être obser¬
vée depuis ces lointaines époques, vaut la peine qidon s y arrête* On trouve
la gradation des insignes du mandarinat dans la notice de la pl. 87 ; quant
à Clum, il fut installé héritier de Tempire, 2,255 ans avant J.-C, et le règne
de Yu, d'abord Tassocié de Chun et son successeur après sa mort, se ter¬
mina 2,198 ans avant Tère vulgaire. Ces empereurs étaient vêtus de clianvre
en été, et portaient des peaux en hiver. Leurs institutions sont celles de
législateurs à grandes vues, et leur but, en créant un costimie officiel, aune
autre portée que celle des ordonnances sans cesse répétées pendant notre
moyen âge, oît les édits somptuaires avaient pour objet de réfréner le luxe,
selon la classe des gens. Le luxe existait-il en Chine au temps de CJiun? c'est
XVII
assez proliable, quoiqu'oit m puisse douter en voyant la simplicité du
costume lialdtiiel de l'emporeur. Dans tous les cas, ce n'était poijit le luxe
des soieries, remploi de la soie tissée i^our les vctements ne remoîitaivt pas
en (Jliîne an delà de 1122 avant tJ.-O, î\ la dynastie des Tclieoin
Pour en tennîner avec ce qui concenie réticpiette officielle a son origine,
nous nous ferons ici iiu énqirnnt à nous-incnie, ayant eu roccasion, dans la
deuxième série de Y Ornement jmb/ehrome^ de jtarler du vêtement des man¬
darins, qui reçut justement à proiïos du rôle de Yu, la marque complémen¬
taire qui fait de la robe du fonctionnaire pulilic cIhîiüÎs un véritable poème,
parla largeur du sentiment auquel il dut son cachet défiriitîb Nous ne nous
faisons pas volontiers des emprunts, nous qui nous sommes gardé de répéter
nos images en nos ouvrages d'un caractère encyclopédique sur rOrnement et
sur le Costume, lesquels, dans notre pensée^ ne font véritablement qiduii seul
et même livre, les deux recueils se complétant rnn par Tautre; mais une lois
n'est pas coutume. Voici donc ce qiii concerne Y^u et son souvenir persistant
dans le vêtement officiel des Chinois de tous les ordres*
a Les Cluïiois qui, de|>uîs plus de quatre mille années, forment un empire
historique dont les ebaugements dynastiques n'ont pas autrement modifié la
juiissante unité, ont tr(mvé dans leur })ropre génie, et par leurs arts, le moyen
de lier étroîtemeiit entre elles toutes les iunombral)lcs générations qui se sont
.succédé sur le sol de la patrie commune, en y conservant intact l'esprit de
famille, et sans qidaucune de ces générations successives puisse perdre le
souvenir du pas*s6 le plus lointain, coïistamment retracé dans ses ])Iiases les
plus frappantes et les ]i1lis dramatiques,
« Rappeler par des images de toute sorte ce que les aïeux ont en de misères
à affronter, d'épreuves à subir, c'est invoquer la mémoire des longs efibrts
collectifs <]e la race pour arriver à créer la patrie. Eïi même temps, en
représentant aux yeux de rhomme les périls encourus jadis, les grands cata¬
clysmes qui senildèrent devoir triomplier de sou énergie eu détruisant les fruits
de son travail, c'est réveiller, entretenir, exciter sans cesse au cœur de cbacun,
et i\ travers tous les âges, la profonde reconnaissance méritée par les bienfaits
dus aux vaillants et aux forts, aux hoimnes de génie, de science et de labeur,
qui ont eu à lutter coutre les forces déréglées de la Tiatiire, ])our assurera leurs
XVIU —
descendants doa jüiiry irieilleiirs et une vie ]>las douce; c’est ce qidori voit dans
le male langage tenu ]iar Yn, apres que, par ses immenses travaux de nivelle¬
ment, d’endigueinent, il eut réparé les désastres d’un déluge, en mettant, pour
l’avenir, le {tays à l’abri d’aussi terrildes dévastations : ce II y a longtemps que
moi^ Yu, j’ai complètement oublié ma famille pour réparer les maux de l’inou-
datioii. rar ma prudence et mes travaux, j’ai ému les esprits; mon cœnr lie
connaissait pas les heures do repos; c’est en travaillant sans cesse que je me
reposais, ilon affliction a cessé; la confusion de la nature a disparu. Les
grands courants du midi se sont écoulés dans la mer. Les vêtements de toile
pourront être confectionnés, la nourriture préparée; les dix mille royaumes
sont désormais en paix, et pourront se livrer éternellement à la joie* )> Ce lan¬
gage émouvant cln grand homme qui,2,200 ans avant J*-C*, employait le t^ian-
fjlerectangle pour exécuter ses grands travaux de nivellement, qui, allant d’une
montagne i\ l’autre, coupaut les forets, faisait rentrer les lieu vos dnns leurs
lits, les maintenant dans leur chemin en les contluisant à la tner, parfois sur des
longueurs de plus de cinq cents lieues (coinine le parcours du fleuve Kiang,
dont les chaussées et les digues construites [>ar Yu subsistent encore, dit-oii),
ce langage, gravé par ses soins sur un rocher conservé dans la province du
01ien-8i, au musée de Singanfoii, où le père Amyot en a pris copie, on [)eut
dire qu’il n’a cessé de retentir au cœur de chacun des Cliinois qui ont vécu
depuis Yu, c’est-^i-dlre depuis quelques 3970 ans, et en y conservant l’impres¬
sion des profondes solidarités qui font les patries immortelles. i>
Nous renvoyons à notre Ornement^ oh le détail des clioses est représenté,
pour reconnaître par quel moyen les Cldnois ont inscrit, en le perpétuant, l’é-
(juîvalent de rhéroïque langage que l’on vient d’entendre sur le vêtement
de leurs fonctionnaires, y compris celui des empereurs. Ou y verra cominent
le bas de la robe d’honneur, formant un horizon circulaire, ofl>e le spectacle
de tout ce qui se produit de plus grave, lorsque A la violente irruption des
eaux s’ajoutent les révolutions volcaniques, et que les fragments des roches
basaltiques vomies par les cratères viennent, dans la marche tumultueuse
de pierres dont le roulis fera des galets, eftkcer les sillons du labour, se¬
mant en place leur stérilité. Mais ou y verra, eu même teïups, comment
ce désolant si>ectacle d’une destruction qui paraît universelle est dominé
par la lïurnahi(\ L’eiiiperoiir est la, reiîréseîitt^ par le (Intgoii
;\ ciia{ gritTes, et tout sera ré]iaré par sa hante interveiitiou. Ou n’v voit
pas le mirage de Tare d'alliance^ mais lui einblènie qui en joue le rule^
et qui, |uir sa nature, va [)eut-etre plus sureiueut au cœur cîe l’homme de la
terre, en offrant à ses yeux tlcsolés^ eiirubauiice comme un bouquet de fete,
la Heur horticole, la rose de Chine, annonçant ù ehaciui que, îualgre le déluge, on
reverra les beaîix jours des cultures florissantes» C’est une véritable trauscrip-
tîon du langage <le Yu, k les dix Tinlle royaumes poiuTOut se livrer éter¬
nellement à la joie, » comme c’est le souvenir mciiie de l’actîou de riiomine
de génie qui a rnis tant de cœur à se rendre utile A son pays; et nous ne
croyons ]>as tro]> nous aventurer, eu assurant que cliesî aucun ]ieuple aucune
broderie de vêteirjent u’a olTort un interet égal î\ cette braderie du costume
officiel de tous les gens de emir et <les luamlariiis.
Aîïisi que nous l’avons fait observer, nous ne cherchons dans les loin¬
taines annales de la Chine que ce qui }mit servir à constituer de véritahles
archives pour la famille Imniaiiie; or, [lar réclieloimeinent des temps
fabuleux, par rhistoiro des conquêtes de rijommc sur la matière aboutissant
h des faits liistoriques certains, il résulte des travaux des lettrés chinois
le taldeau le plus com|ilet, le plus lieuveuseinent gradué, que Tou possède
sur ces hautes et si obscures époques» Leur date originelle est déjà
bien élevée, quoique certes elle ne soit pas faite jtour étonner les géologues,
et cependant, nous devons le signaler, rhomnic et les premières civilisa¬
tions, selon certaines versions, remonteraient encore beaucoup plus au loiin
De Gobineau, dans ses études vsur l’inégalité des races humaines, pénétré
d’ailleurs d’une idée fixe au sujet des blancs de la race indo-germaine, qui
seuls, selon lui, auraient eu le génie nécessaire aux créateurs de civilisation,
s’occupe de Pan-Kou qui n’aurait nullement été le premier homme existant;
il T1 était pas seul, d’abord, puisqu’il était empereur, et la qualité de pre¬
mier honinie qui lui est donnée par la légende chinoise, c’est celle d’im créa¬
teur, parce qu’il commença ù régler les rapports de riiumanité. Les hahitants
de la Chine, du Iloiian où Pan-Kou vint opérer, étaient les Miao, peuples
étrangers aux plus simples notions de sociabilité; des sauvages vivant dans
des trous, dans des grottes, se donnant comme étant des fils de singes.
XX
attrapant les animaux à la course, en liuvaiit le sang et se nounissant de
leur chair crue; A son défaut, de l'herlie et des fruits sauvages. Ce serait
à une époque postérieure aux ])reinievs temps héroïques de l’Inde que la
Chine aurait été civilisée par une nation immigrante de la race indoue,
kscliattrya, ariaiie, blanche, et Pan-Kou, législateur, « était ou l’uu des
chefs, ou le chef, ou la jtersonnificatiou d’un peuple blanc, venant opérer
en Chine les mêmes merveilles qu’un rameau, également indou, avait
antérieurement préparées dans la vallée supérieure du Nil. »
Telle est cette version qu’il n’est pas de notre ressort d’apprécier, mais
que nous ne pouvions cependant passer sous silence, puisque, selon elle,
riiomnie et les civilisations auraient encore une ancienneté beaucoup plus
éloignée que celle qui est chiffrée par les Chinois, dont les dates historiques
suffi.sent, d’ailleurs, pleinement pour le rapprochement A en tirer.
On a vu finir le régne de Yii 21ü8 ans avant l’ére c!irétienne; il n’était
alors nullement question de l’existence des Grecs, et .sans remonter à une
origine fort embrouillée, il suffira ici de recoimaîlre quel était l’état des
choses chez eux à l’époque de la guerre de Troie, nue guerre fratricide
entre gens de même langue et de même .soiiclie, datant de 119?)-1184.
A cette époque les arts de la paix se réduisaient encore pour les Grecs
il leur procurer les choses nécessaires aux besoins de la vie. Les meubles
étaient grossiers; la cliarrue à peine ébauchée. Les héros faisaient eux-
mêmes leur cuisine; Achille prépare de ses mains le repas qu’il veut offrir
aux ambassadeurs d’Agamemrioii. Ulj'sse scul|ite son lit. Nausicaa, fille
du roi des Pliéaciens, demande à son iiére la permission d’aller au fienve
avec ses compagnes pour y laver les liardes de la famille. Lorsque Ulysse
rentrant dans ses domaines aborde Eumée, un assez gros personnage puis¬
qu’il était l’inteudant du roi d’Ithaque, le divin Kumée « travaillait à se
faire une cliaussure de cuir de bœuf avec tout son poil. »
En fait, on ne pratiquait pas l’étude; ou ne connaissait de l’arithméti¬
que que les calculs qui convenaient au cercle étroit des affaires; l’or et l’argent
servaient aux échanges, mais les métaux n’étaîeiit pas monnayés. Comme
outillage, Tlotnêre cite la hache, l’herminette, le vilebrequin, le ralmt, le
XXi
nivüHU, un üiJiettaiit ilu parlLfU de la scie^ de Pé(|iierre et du eouijia^, dont
ou se serait peu servi, Tari de tailler et de polir les marbres ue jjaraissant
[>oiut avoir encore été connu, (iuaiit à rastroiioinie des Grecs^ elle consistait à
observer les cousttdlalîons les [dus aî^pareutes pour se diriger dans leur
ciibotage, qui avait [presque toujours lieu eu vue de la terre* llonicre ue
]Uirle que de la grande et la petite Ourse^ des Pléiades, des llyades,
d'Orion et de Byrius*
Sans réclair projeté [>ar Y J Ua4e et on serait loin de connaître
ineine cet état de dioses; car la longue [ïériodc qui suivit la guerre Je
Troie et qui s’étend du douzîénie au cinquième siècle, où récdatante action
des Grecs ai)[)araît alors dans lu vrai jour de Tlnstoire, cette longue pé¬
riode de siècles léest connue dans ses [unncipaux éléments que d’une manière
générale, aucune partie des annales de la Grèce n’offrant aussi peu de
renseigiiemetils
l\ap[)roclier deux états sociaux d’une pareille inégalité, et alors que le
plus îTidimentaîre est d’une telle postériorité, c’est obtenir eu couclusion
le renversement do l’ordre traditionnel cliex nous [mur l’étude de rantiquîté
classique; et c’est tout ce que nous avons voulu faire ressortir, cstiniaut
ce résultat utile a la sincérité de la clironulogie des civilisations, et, [mr-
taiit, à la véritable tiliatiou des industries se rattachant aux choses du cos-
Assurémeut, cette observation peut ])reiidre l’aspect dhme digression inu¬
tile pour un certain nombre de nos souscripteurs auxquels elle n’ap|)reii-
dra rien qu’ils ne saclient; mais nous avons cru devoir considérer que si
nous avons quelque peu, et meme tout à fait, Fair d’enfoncer une j>ürtc
ouverte pour ceux qui l’ont franclue, il n’y avait pas d’inconvénient à ce <|UC
cette porte devînt Je plus on plus largetnent ouverte, La certitude d’être
de <iuelque utilité à ceux (pu ont besoin de guide sur ces questions de
priorité, de [)rimordialité, nous a décidé a passer outre, notre but étant
net et simple, et sans arrière-pensée de [lédantisme; car Ta science que
nous invoquons n’est [toint la nôtre: c’est une archéologie toute iaite dont
nous résumons les éléineuts pour ceux qui ne possèdent pas les documents
originaux , c’est-ù-dire ces livres [dus ou moins anciens que Montesquieu
XX li —
api^elle Urres d'aiUetir, (*ii lets distinguant spirituelleinent des nouveaux,
qui sont, dit-il, |>our les lecteurs.
Pour en terminer sur la question des âges, et sur ce que les peuples ont pii
se devoir les uns aux autres, à en juger jiar les dates de leur civilisation, ce n'est
jias d'aujuurdluii que Ton s'est préoccupé de ce (jue les Grecs ont pu emprun¬
ter aux gens du Céleste empire. J. Hoger, en 1805, publiait le ^ Panthéoti cAi-
«^)^s^avec de nouvelles jïreuves tpie la Chine a été connue des Grecs, et que les
Sères des auteurs classiques ont été des Chinois. » Un exemple modeste mais
significatif peut servir ici â caractériser raction des Grecs; les jilns anciens
objets chinois sont ornés de ces lignes droites et anguleuses, au parcours ]dus
ou moins compliqué, auxquelles est resté le nom de ^recqueSj et ITige inscrit sur
les vieux vases en bronze de la Chine où ron rencontre des ornemetits de cette
espece ne laisse aucun doute sur la jiriorité de ceux-ci. Jlais qu’ont fait les
Grecs des ornements de ce genre, qui se retrouvent, au surplus, et avec plus
ou moins d’ingénîosité chez tous les peu])lès priniitiis? Ils se le sont a[ïproprié,
ce genre, avec une telle sui>ériorité qu’il n’est itoint de grecques qui valent îes
leurs, et avec leur iniagiuation, en les baptisant méandres^ qu’à leurs
yeux le caprice des retours de ces lignes suivant néanmoins une marche con¬
tinue était une image de ce fleuve Méandre, qui joue son rôle dans VJlmde^ ils
ont donné à une conception qu’ils n’avaîeiit point inventée un cachet aussi
supérieur que i»ossihle, par rexécutioii matérielle, en meme tejiips qu’ifs
la dotaient dhiiie sorte de poésie se rattachant à leur traditioii héroïque.
C’est la caractéristique de leur part dans Thistoire des arts, en général, et
elle est assez belle pour n’avoir point besoin de fables, c’est-à-dire de men¬
songes. Enfln, pour dernier mot sur ce point, il semble que l’on doive con¬
sidérer de même, dans l’ordre historique, les Egyptiens, ces aînés immédiats
de l’art des Grecs, et quoique il soit vrai que sur ce sujet les papyrus soient
loiti d’avoir encore tout dît.
Le costume, déterminant l’apparence extérieure de tous ceux qui ont vécu,
est inséparable du souvenir laissé par les aïeux ; il a|)partient en propre à
riiistoire. Pour les postérités, et quoi qu’eu dise le proverbe, dont le vérita-
ble sens s’applique à riutimité de l’être, € rhalitjaii le il fait l’E”
XXllI
gyptieii, le Grec, le Kotiiain, le Cliiuois, rijidini, etc., et les anciens l’enten-
(laieiit ainsi, en usant des ressources de leurs langues pour ne faire qu’uti
de r lioinnie et de son costume, en le désignant par tjuelque pièce caractéris¬
tique de son accoutrenient. Sans remonter plus liant que les Latins, il était
d’usage cliez eux, lorsfpi’oii ne nomniHit pas siiuplement l'Egyptien, le Grec,
le Perse, le Scythe, le Germain, de parler de cliacuii d’eux en termes ilérivant
du costume seul ; tantôt d’une manière générale, et tantôt d’une façon assez
pr ivhe pour (lue les elassilÎLations uieines de la .société roiuahie et jusqu'au
caraetére des individus^ fussent indiqués avec clarté ])Oiir tous les gens .de
la langue.
w
Le lùnijer était TEgyptien, particulièreînent le pretre, vûtu de lin,
LepallmfHS,\e chlmm/dafus^ le Ci'epidatus^éUùt le Grec, portant le iialliiuii,
la clilaniydc et les CTépiiles; et, non moins expressément, aux temps de rem-
pire, ce fut le pltœcasiolmf qui porte le soulier, les phœcasîa.
Le pcilitus était riioinine du Nord, en même tem|is (prit était le Grec des
temps héroïques et le Romain des tenqm i>nmififs, vêtus de fourrures et de
[leaux. Ou donnait encore le nom de aux i>remiers lialntantH du
Latium, qui ]}ürtaient un lioriiiet de fourrure.
Jh^arafns ou hraccatiis^ celui qui porte des culottes ou des pantalons,
était une éqiithcte caractérisant surtout les |>euples de TAsieet du Nord, les
Sarmates, les 8cyllie,s, les Modes, et encore les Gaulois de la Narbonnaisc,
poiiaiit le liaiit-de-chausses, le eale^'oii ou la braie.
Le initraius était Thabitant de la IVrse, tle rAnabie, portant les mitres
d'Asie, y compris celle des Phrygiens et des Amazones.
]je eomaius ou le clievelu, était le Oennaîn portiant les cheveux longs et
é[>aîs; et particulièrement l’habitant de la Gaule transalpine, la Gallia
rojnata.
Le togafus^ le citoyen romain caractérisé par le port du manteau national,
trouvait son contraire, e'esLà-dire le iion-eitoyen, et quoique tous portassent
des tuniques, dans le twiicahiii, (pii n'avaît juas le droit de prendre la toge. Et
il eu était do même entre le jujlndains^ l’oflicier supérieur portant le grand
manteau militaire, \e/iahitlameutum, qï le sagatus^ ou le simple
soldat, endossant la courte casaque, la saie ou sayon, et chaussant les cahgœ.
XXIV
Le pileaifiS^ qm porte le jnleiis^, est le inariti, le pedieiir, rartîsan; et, plnsi
géiiéralenieiit, Tlioînme, par opposition aux femiues coiffées du bonnet,
Lid petasatus^ coiffé du jictase à grands bords, est riioninie des champs;
et le pG?vnatus^ avec les peronsii^ les guêtres, est le labotuenr, le ])atre, etc.
Ijc suhlù/atmf |iortant le su/dif/ar^ caleçon, ou le niaillut, sttblù/aculum^ est
le jongleur, le gymnaste-
Le sica^ couteau ou poignard, donne sou nom à riioiimie qui en est armé;
c’est le sîcanti^^ un bandit.
Le tormiSj, riioinme à la tête rasée, est le rustre, l’esclave; et, plus expres¬
sément encore, le sitipnatms ou stîffmosus est Tesedave marqué d’un sUpna
imprimé au fer chaud.
Le soleatus, qui porte des pantoufles, des solew^ est un efiémiiiié, im homme
à mépriser, comme Test encore VmdusiatnSf emprimtant aux Égyptiens, aux
Perses, aux Tliraces, Vtndusncm ou mdutus^ la blouse ou le peignoir à Tu-
sage des femmes chez le Romain.
En fait, et quoique la langue française irait point la ressource de la conci¬
sion [>ar ragglutinatioii, il en est de même pour nous; l’iniage de l’homme
est inséparable de la physionomie qui lui est donnée par son accoutrement.
Ij’être et son costume sont si étroitement liés bim à faiitre qiie^ aux yeux du
peintre et de Thistorien, ils ne fout réellement qu’un, et que c’est surtout
au costume qu’il convient d’attribuer le résultat de la diversité des physio¬
nomies, modifiées jmr mille et mille circonstances aux conséquences des¬
quelles, la plupart du temps, rindividu n’a pas la liberté de se soustraire.
]/liomme social est un être particulièrement subjectif, et il ne saurait
échapper aux influences du milieu où il vit- La façon qui lui demeure aux
yeux de la postérité s’est trouvée lui être imposée; elle est ce qu’elle est,
et rhomme ne reî^résenterait rieu si son accoutrement était en dehors des
clioses de son temps. La robe arménienne adoptée un instant par Jean*Jac-
ques ne saurait entrer dans l’histoire du costume de rEurope du dix-hui¬
tième siècle*
Cette subjection de l’individu social à des collectivités dominantes a
produit d’étranges contrastes dans la filiation du costume européen depuis le
XXV
moyen âjre; c'eyt Jiaturelleiiitîiit en obi^ervaiit le eostume des gens des deux
sexes faisant j^artie des élégants, c^est’à-clire les rois on les escdaves de la
mode, que Ton juge le mieux des évolutions successives, qui ne se sont md-
lerneut accomplies, dans la majeure partie des cas, en raison de certaines
lois constantes se basant sur la connnodité des choses, par exemple sur Ta-
mélioration de la coîijæ des vêtements, ou autres motifs do cette sorte. Dans
le domaine de la mode, le caprice est rapide, et le progrès y est d'autant
plus lent que, [ïarCoîs, le cai)nce est rétrograde. 11 n'est donc pcîint do règle
sure y pour conduire Fiuduetiuu, et il irexiste pas de boussole pour guider sur
les surfaces de cette nature, eîi remontant ou en descendant le cours du tenq^s.
Tantôt il semble (jiéuiie certaine sagesse mène les choses, puis et [ïcut-etre
plus souvent encore, le gouvernail est aux mains de la franche folie, portant,
la plupart du temps, le masque de ranonyme ; de façon que nul ne sait
vraiment qui crée le courant auquel chacun obéit, rhonime social n'ayant jias
le choix, et le «; il iaut faire coîmne les autres )> étant lu devise indiscuta¬
ble, par excellence, ilolière conseille aux gens de se laisser habiller par leur
tailleur; mais d’oii viennent au tailleur les nouV(dletés par lesquelles il trouble
sans cesse la possession de riiéritage desclioses f]ui si souvent ont pu jiaraître
définitives, et qui ne le demeurent jamais; et combitm de fois est-ce le hupiin
qui décide de Idiabit qui sera porté par rhonnete homme?
Quant à la singularité offerte par le s]iectacle des transformations succes¬
sives dans une meme Hliatîoii, il snflira ici de quelques rapprochements pour
la taire ressortir, en restant dans le domaine des élégances françaises*
Aux quatorzième et quinzième siècles les dames portent la cofte-Jmrdie^
une robe traînante, étroitement lacée par derrière, moulant les seins et fai¬
sant valoir les hanclies; les niaiiclies ajustées ont de longues pentes s étalant
sur le sol; cette robe, sans Hugo a|q>areiit, marche avec VescoJJion, le couvre-
chef en liounelet. Fendant })lus d'un siècle les plus furieux emportements
des prédicateurs ne prévalent pas contre cet accoutrement, qui ne fit en
quehpie sorte que s’aggraver, lorsque la robe fut lacée par devant, en lais-
saut transparaître ]iar une ouverture prolongée î\ peine voilée une partie des
seins et du Iniste, que Tœd considérait par ce que Ton appelait la fenêtre
d'enfer. A peu près cent ans après, on se trouve eu lace de dames atîublées
15
1
XXVI
de hi cage du vertugadiu en tainbourj Burmordé ]3ar raiinature tUi corset bus¬
qué ; les maiidies sont ballonnées par des gigots; on porte un caleçon emprunté
aux liomnies, et la fraise godronnée ou la collerette en éventail Au dix^sep-
tîème siècle, la vertugade perd son earactere, se trouve réduite au rôle
d'un polisson, devient la criarde^ et tout a coup, apparaissent les énormes
cerceaux des ]niniers à coudes et en gondoles, des i^seudo-bergerades du
dix-liuitième siècle, jHnir aboutir aux légèretés de la robe en clieniise du
temps de Marie-Antoinette, et à la transparence des tuniipies portées sans
cliernîse à l'époque de la grécomanie.
Les pliysiononiies sont encore jslus dîversitiées <]u'on ne rimagine par ces
tratisforniatîous, eL ainsi que le remarque Vîollet-le-l)uc, les exigences de la
mode ont occasionné de tels martyres que, pour y satisfaire, il sejnble que
la contigLiratîon du corps Inimain s'en soit trouvée modifiée par nioiuents, et ce
qui paraît surtout difficile, celle du visage meme. Ainsi, au temps des liennins,
il seyait que le front découvert fut plein et en avancée; or, toutes les femmes
eurent ce front saillant, ainsi qu'en témoignent les portraits sculptés et peints
IL l’époque. Lorsque vint la mode des ferronnières, tous ces fronts ne se retrou¬
vent plus sons la division en bandeaux [>lats des clieveux, et, en somme, ils
ifont jamais re|»aru ; car le front découvert des feitnnes, mis eti valeur par
les Léonard du dix-iiuitiërne siècle élevant de la clievelure le galant édifice,
et rejetant en arrière le grand tapet, n'était point ce front réellement saillant
que les élégantes du quatorzième siècle avaient su se procurer, le diable seul,
aurait dit un sermonneur, devait savoir par quel moyen; car le fait reste encore
autrement incompréhensible que ne le fut Vesjyoii'fdmment des dames, au temps
des éclisses meurtrissant leur pauvre ckarmiref comme raivpelle Brantôme.
Et à propos dn sexe fort c'est la meme mobilité, ce sont les mêmes cliangc-
ments de costumes et de physionomies. Qui donc imaginerait que le petit maître
portant l’habit à la française avec le long justaucorps, la culotte, la perruque
]Kmdrée et en tpieue, le chapeau-lanipion et les souliers A boucle de ré|>oqiîc
de Louis XV, fut le descendant de celui qui avait ])orté le gigot des mahoî-
très, le corset-sangle laissant A découvert tout le liaiit-de-cbaiisses, les longs
souliers A la poulaine, le chaperon et les cliapels des tenqm de Oliarles V A
Charles Vil; et, sans s'arrêter aux variétés des époques intermédiaires, les
XX vu -
capes du sei/îèjiiü siccie alanitissant au Irisque et tnuibsé luaiiteliu de Henri UI,
le pouriJuiiit avec lu patiseion ut les niaiiclierous, les elfcveux eu raquette, le
tuqiiet à respagiiole, la fraise à la cuulusion, les givgues avec le loas d*at-
tache; sans eunipter la Lutte inignoniie des cavaliers de sa km du tuiups de
liOnis XllI, ni le pourpoint de la jeunesse de Louis XIV, devenu une lirassière.
Kt la mille des gens, se tardant au blanc de céruse jionr faire ressortir la
pâleur du visage, considérée sous Henri III connue un agrément, le noir du
custume Kecondant retfet. Puis cette pâleur rem|)Iacée |>ar les dames tle la
seconde partie du règne du Louis XIV usant du verniilluii, un rouge d^Es-
|)agiie llamboyant, qui faisait paraître jaune tout CLMjui renviroimait, les far-
demeiits étant, en outre, crildès de inouulies.
Tantôt les courants littéraires ont un etl’et inmédiat, comme celui qui pro*
duisit les précieuseH et leur smærbe. Tantôt, et tout au contraire, le cos¬
tume idesl qukme répercussion éloignée de clioses littéraires dont le succès ne
s'était cependant point fait attendre, ainsi qu'un téinoigne Montesquieu en
parlant de eelui qu'il a[)pelle Pal^eille de la France ic un Iionnete honmie
(M. ilollin) a, par ses ouvrages d'iiistoiro, eiiclianté le public ». LIi bien! cet
eiiclianteinent n'a son effet stir le costume <]u'A répO(iiie de la révolution,
où éclate la grécoinanie, et il ne fallut rien moins qiibiu renouveau d'école
d'art et de graves événements publics pour qu'oii osât la mettre au jour. IjCB
roués ilu dix-huitième siècle n'avaieut jm que la rever*
Quel cliamp d'études iLccessitcrait la connaissaiice dus causes et des elfets
ilaiis eu doiiiaine des frivolités, dont riiistorieii est cepuiidaut obligé de
tenir un certain compte qui ne laisse })as d'etre sérieux! J.a pliysiouomie
des accuutreineiits n'est point, d’ailleurs, toute de caprice^ Les changements
successifs des costumes de guerre sont intiiiiemeiit liés aux choses de l'arme¬
ment, et c'est en raison d'une logitpie étroite que l'on voit d’abord s'ae-
cümj)lir les progrès de raniiement défensif |>endaiit toute une longue ]jé'
riode, au liout de laquelle ou reiicuutre la dernière exiiressîon de rannure
complète, dite i'ketaleresiitie^ formant â l'homme d'armes une carapace d'acier
dont le guerrier est entièrement envehqjpc* Puis, par une conversion non
iMuius logique, résultant du peiièctiomieuient prugressit des armes a leu, de
la balle du moiisquct et du pistolet perforant racier des cuirasses, on renibree
XXVlll
les jîièues pniiuipales en alpniHloiniunt Biiucesmveinent les antres, jiisqiiVi ee
(|ii'enfiii, géiiéralenieiit, tout le vieux système soit délaissé*
Dans nos sociétés cumpliquécs et avec leurs nombreuses vieissitiides, il y a
lien J4jés!ter parfois lorsqu'il s'agit d’aOirmer à quel courant il convient
d'attribuer rimpulsion de la mode. Est-ce toujours d'une élite qirelle
dépend? ii'est-ce jamais une écume qui Timpose? Plus notre politesse s'est
perlectioiiiiée, et plus la mode a dépendu chez nous d'une élite* En d'autres
cas, antérieiiis à la vraie politesse, on hésite t\ considérer comme telle nombre
de ceux qui, par Texemple de leurs caprices et tic leur luxe, ont décidé du
goût de leur époque. Les Isabeau de Bavière, les Catherine de llédicis et
les reine Margot composent-elles ime élite? ou faiit-îl les confondre avec
les duchesse d'Etampes, les Diane de Poitiers, les Gabrîelle d'Estrées, les
Montespan, les Pompadour, etc/? Nous i/avons rien à décider sur ce sujet,
notre tache n'étant nullement celle du moraliste, et ne voulons retenir des
points de vue de celuî-ci qi/une seule oliservatioii de fait, c'est que, en dé-
hnitive, ce n'est point sur l'extérieur des gens, et quelque osés que puissent
])araître certains accoutrements, qu'il convient d'apprécier la moralité de
telle ou telle société*
Les femmes nobles qui accompagnèrent les guerriers des premières croi¬
sades en revinrent éprises du goût oriental; elles rapportèrent chez nous l'u¬
sage des ouvrages sarrasinois, entr'aiitres celui des étoiles légères, élastiques,
en petits plis, de ces crêpes de soie que l'on voit dans la statuaire de nos vieilles
cathédrales, moulant les formes du torse qu'elles dessinent dans toute sa pureté,
jusqu'il l'arrêt de la ceinture lâche à bouts flottants suivant les contours
du bassin, la robe se prolongeant par les j>lis de la ÿipe ou gfpoîh La har¬
diesse de ces dames, exhibant en public des vêtements inspirés de certains
costumes portés dans l'intérieLir des harems, peut-elle faire supposer
que les dames et damoiselles de haut lignage revenaient chez nous avec
un caractère plus ou moius a[)prucliant de celui de la femme asiatique,
traitée comme une esclave? Ce serait commettre une erreur com[>Iète, et
loin de répondre à une époque d'avilissement de la femme européenne, ce
mouvement de ha coquetterie féminine répond à la naissance de la galan¬
terie chevaleresque, c'est-à-dire ?l une transformation saisissante du rôle de
«
XXIX
la ïennm uouü. C'est ])liis qu'ini prélude, e'est sou véritable ruuddisse-
meiit qui date de ce teTupf=-le\, Avant, et telle qu'on la voit par les plus
vieilles cbansons de gestes, la fejniîie est en luittc h de brutales colères ; les
anciens jïrenx rinjurient grossièrenient, la soufflètont, la saisissent par les
cheveux, la l>atoniient et la luenaceiit de IVqïée. Tout h coup, les rajïports
se trouvent telleiueut changés entre les deux sexes, que la femme de-
vîetit, en quelque sorte, lV)l)jet d'une adoration perpétuelle pleine du plus
profond respect* Le guerrier tremlde devant elle; il se soumet pour lui
plaire aux plus dures éq>reiives; il exi>ose sa vie en asi>irant pour prix de
son dévouement al>solu à robtentiou dhine parole aimable, d'un sourire,
d'un bout de rulian que la dame aura porté* Des couiposîtions littéraires
d'un goût tout nouveau })réconiseut ce genre de servitude, ou répandant les
leçons d'un sentimentalisme plein de subtilités. Et cette importance acquise
par les femmes dans le manoir seigiieurialj dît Quidierat, s'étendit u celles <les
autres edasses de la société. L'épouse, quittant le rôle de pujalle ou de domes¬
tique, fut réputée l'égale et l'associée du mari. L'aspect extérieur que donne
le costume ne saurait donc servir de base pour juger de la moralité des gens;
et nous n'avons point de révélatir)ns sur les mœurs des dames moulées par
la cotte-hardie qui équivalent a celles de lîiantûine sur les honnestes fiâmes
piidiquemeut liabiliées par la rol>e an collet eu carcan, que Fou })ortait dans
Fentourage de Catherine de itédicis.
L'anecdote racontée par Eaul Louis an sujet de la grande dame de Feiiton-
rage de Louis XIV qui vint au sermon en liabit de chasse, nu liabit clos, et que
le prédicateur eu chaire rappela au respect de la maison de Dieu en Feu-
voyant s^habtller (ce que la (lame fît en revenant décolletée et la poitrine en
vue, selon le ton de la toilette de cour), donne des exigences de ce qu'au
appelle le monde mie idée très jiréeiso; et malgré l'intention dn railleur
qui rapporte cette anecdote, on peut voir dans celte leçon un rappel légi¬
time à des convenances respectables, c'est-à-dire ayant été respectables en
leur temjis, tontes singulières que puissent nous paraître aujourd'hui de
pareilles toilettes h l’église. Pour le bal paré, ainsi que pour les assem¬
blées de grande cérémonie, iu>s dames s’habillent encore ainsi eu se
désbabillaut, comme on Fa dît souvent; mais (juicoiique a vu de près la
XXX —
vraie et noble leinnie An inonde obéissant cette obli;:çation a ))u ko con¬
vaincre que plus répaiile est 11110 , inoiiis, en quelque sorte, elle est exposée
ii un danger qui reste imaginaire; rinvisible niiir d’airain qui la protège n'est
jioint de ceux que Tou francliit. Les convenances exigent, et rien de plus
despotique que les exigences des convenances, que Pœil qui voit ne s'arrête
point sur ce (lu’on lui montre, et que meme il n'ait point Taîr de voir*
Il ne faut donc ])oint cbercber A faire dire an costume plus qivil ne si-
gnilîe, en réalité. La mode changeante n'est d'ailleurs point Tindice le plus
sûr sur lequel 011 puisse juger du caractère des .sociétés. Ses caprices et ses
libertés ont été véritablement beaucoup moins contagieux qu'on le suiipose,
î\ en juger par la ténacité de ce qu'on appelle les costumes nationaux, per¬
pétuant des traditions locales, dont les évolutions lentes indiquent tout autre
cliose que la mobilité du caractère des masses; et enfin, nous avons eu
souvent a en faire la remarque, eoiitrairement à tous nos préjugés sur ce
cbapitre, la coquetterie des femmes se montre généralement, c'est-à-dire
dans les classes ]>opulaireSj beaucoup moins éprise des nouveautés que ne l'est
la coquetterie des liommes, dont la hravene prend un caractère sigiiificatit
en se rattachant à rimportance de riiomme dans la famille agricole, particn-
lîèrement. (A oir à ce propos notre Essai sur la philosopliie du costume in¬
séré dans la notice delà pl. 413, traitant des mœurs norvégiennes, suédoises,)
ais abandonnons ce cliamp, en nous souvenant de la parole de La Bruyère :
« Il est bon d'etre philosophe, il n'est guère utile de passer pour tel y>
Nous nous arrêterons quelque peu sur les costumes populaires, dits natio¬
naux, le sujet étant de nature à redresser certaines données sur le fond du
caractère des populations, entre autres sur la soi-disant mobilité du Gaulois;
opinion si généralement acceptée, et depuis un si loîîg temps, qn'on nous l'a.
inculquée à nous-mêmes. Notre argumentation sur ce sujet est directement
tirée du costume.
La reconnaissance que nous avons dû faire de qiielques-iuies des choses
du passé des Ibériens et dos Gaulois, retrouvées en partie parmi les usages
modernes en Espagne et en France, expliquera en meme temps le nom¬
bre do ]danches, en un ordre exceptionnel, qui sont consacrées dans la
XXXI
qïiatrif'iiio partie de Molre rêcneü aux cnstinnés régionaux des deux pays,
Jjour enseinlde offre rime des plus heureuses diversités dans Ihinité qui
subsistent encore en Europe, Ce que nous avons k consigner à ce i>ropus
n’est qu'une glane légère, ces questions étant relativenient jeunes ; mais elles
se renforcent tons les jours par ratteiition des studieux qui s'y intéressent,
en recliorcliant sur ])lace k quelle origine il convient de faire remonter les cou¬
tumes locales. Lorsqu'il s'agit du costume la question s'élargit, et avec lui
les traditions liéréditaires deviennent souvent des choses nationales, <inq
par quelque raison accidentelle, se sont trouvées localisées. Il se forme
actiiellenient <]es lu'ibes du passé un petit trésor dont les pièces sont encore
éparses, mais qui deviendront tout h fait [irécieuses dans le concert des confron¬
tations, lorsque tons les éléments seront réniiîs, Pour le moment, et afin de
point paraître composer un de ces tableaux de fantaisie disposés |)onr seconder
nue argumentation ])récoii(;ue, nous emprunterons ce qui concerne le costume
des Gaulois et des Ihériens k Ch. Lonandre, l’érninent érudit qui a fourni
riiistoiïque des vlr/'s somptuah’es do Ferdinand Séré, en ahoutissant k des
eonchisiong sur cette première [laitie de son travail très différentes do celles
auxquelles, et sur son propre témoignage, on est amené aujourd'hui. Le grand
sens, ou si l'on veut, le véritable sens des choses est un produit du temps, et
la hiinière ne jaillit, eu quelque sorte, qnh\ un certain degré de la maturité des
questions. L’introdiiction générale des Arts sfmiptimires a été publiée en 1B57
et <lepuis ces trente années on a fait de singuliers progrès sur la saine appré¬
ciation de plus dhme chose liistorique, et en particulier sur ce qui se rattache
aux costumes d'un caractère national ; mais laissons parler le savant areliéo-
logiie.
Lonandre reconnaît d’abord que tout ce rpii se rattaclie aux temps
tifs de la Gaule est couvert d'une obscurîté d'autant [das profonde que tout le
passé s'est trouvé tout k fait dénaturé cliez les Gaulois \r<iv le fait de la con¬
quête romaine, et qu'il faut, au sujet de riiistoire du costume national k son
origine, et lorsqu'on veut être exact, laisser luen des questions sans réponse,
sons fieine de ne rencontrer que des liypotlièses oii des mensonges. Il i>ar-
vient, néaiimoiTis, h reconstituer assez de choses piour en faire un tableau
intéressant et instructif. Voici ce que, d'après son travail, les auteurs grecs et
XXXIl
latins clistiiiguaient coinine étant gaulois cheî5 ceux que le courant ilè la civi¬
lisation conquérante devait amener a user de la toge et du costume romain^
et dans les colonies grecques de la régioti du iiidi, du costume lielléuique.
Au moment oh la civilisation commence h naître dans les Gaules et oh
riiistoire commence a parler, on distingue deux grandes familles, hi, famille
ibérienne et famille (jauloise; la ])i’eniitre eoinpreuant les Aquitains et les
Ligurieïis; Tautre les Gallsou Celtes et lesKymris* Ces deux famillexS étaient
séparées par des inimitiés profondes; leur aspect et leurs costumes n'étaient
pas les mêmes.
Les Ibères ou Aquitains, de soiiclie espagnole, étaient couverts dhin vêtement
court fabriqué de laine grossière et k long poil, et portaient des bottes tissues
de cheveux. Sombres sous ce costume sévère, ils étaient remarquables par une
grande propreté, qui se retrouve encore aujourd'hui parmi les femmes sia¬
les bords du Gave et de rAdour. Ces femmes, dont le type était différent de
celui des femmes gauloises^ avaient les clieveux d'un noir luisant, les yeux
noii'xS, et déjà du temps de Btrabon elles portaient autour de la tête un voile
noir comme leurs cheveux et leurs yeux. .LJ Ampère y reconnaît rorigine
de la mantille, en ajoutant avec raison : a Les traditions de la coquetterie sont
plus durables quVui ne le croirait, )> (Histoire littéraire de la Frffuce arant
le douzième siècle.)
Les Celtes et les Kymris, les deux grandes nations gauloises, occupant le
territoire depuis Lyon jusqu’en Belgique, et laissant à l’écart la (Tallia
togaia^ îont usage du costume vraiment national ; la principale pièce est le
pantalon, large, flottant et à plis cbesî les races kymriques; étroit et collant
chez les peuples d'origine celtique. Ce pantalon nommé hracea ou hraga^ ce
sont les braies; elles descendaient primitivemeJit jusqu'à la clieville; elles
furent ensuite raccourcies en s'arrêtant aux jarrets; on y voit le ïuodèle de k
culotte. Une espèce de gilet serré s'adaptait .à la partie supérieure du corps
et descendait jusqu'à mi-cuisse. Le tout était recouvert d’une saie rayée, la¬
quelle, selon Varron, était faîte de quatre pièces carrées, ou bien encore était
double par derrière comme juir devant Le mgum virgahmi^ la smjula^ avec
ou sans manches, était attaché sous le menton par une agrafe. Ou reconnaît
dans la saie la blouse de nos paysans, et il est parlé de ce vêtement par la
— XXX ru —
plupart des rcrivaiîiR anciens qui se sont occn[res <la eosjnine gaulois. Chez
les Belges et leurs voisins la saie était dhin usage tout i\ fait populaire. Aux
braies^ au gilet serré et k la saie s’ajoutait le iiianteaii à capuchon, le hardo'
cucullHii, le ïnaiiteau-eoiffure dont Martial indique nettenieiit Torigine en lui
donnant dans ses vers le tiniii do hardomculle de fa Sainionf/e. Jéusage s’eu
conserve de nos jours dans le costume des babîtants du Béarn et des Ijandes.
On le retrouve au inoj'en âge dans le capuebnii des moines et le cliajreron des
bourgeois; on le revoit maintenant dans la cape de nos cabans, ainsi que
dans le costume carnavalesque des «.lorninns.
Parmi les pièces secondaires figurent les chlaiiiydes artésiennes, dont il est
parlé dans Suidas; les courtes vestes à manclies ïiommées cerampefmes,
vestes ouvertes par devant et teintes en rouge, fabriquées par les Atreliates;
le petit îuanteau court, et Tespèce desimarre descendant aux talons^ à laquelle
est resté le nom de caraealley de Caracalla qui Tavait adoptée ; c’était un Iiabit
civil et un liabit militaire. Nous passons sur la chaussure des Gaulois, moins
connue que leur costume.
Dans riiabillement des femmes^ plus simple que celui des hommes, on trouve,
avec l’emploi de la robe et de la tunique, Tusage du tablier attaché k la hauteur
de la taille, et, dans quelques tribus on portait des poches ou sacs de cuir nom¬
mées htdifte, qtii se voient encore dans quelques villages du Languedoc, où
leur nom même ira pas changé : ce sont les houls ou hoidgètes.
Cette longévité des choses usuelles est déjà fra[ï|)ante par elle-même; elle
témoiguerait seule, au besoin, que, tout au Tuoiiis sous le rapport du costume,
les Gaulois ii’ont pas montré rinconstaiice qu’oii leur reproche si volontiers,
et avec d’autant plus d’injustice que les aucieus constatent un fait des plus
significatifs k ce sujet. Hommes et femmes, les Gaulois étaient tellement
attachés à leur costume national, que les bandes de cette race qui se répan¬
dirent sur la Grèce, la Thrace, et se fixèrent en Asie, gardèrent dans ces con¬
trées lointaines l’aspect qu’ils tenaient de leurs costumes. <( Mêlés en Asie à
la race la plus douce du genre humain, dit Tite-Live, ils restèrent ce qu’ils
étaient dans la Gaule; ils conservèrent leur forme guerrière, leur mobilité, et
eveiix rouges, yt
Donc, à bien considérer les choses du costume, il se trouve, non seir
B.
XXXIV
leinent que les Romains ont emprunté aux Gaulois, les lïmios, le bardociiciille
•
et la caracalle^ xsaus coruj^ter les galoclies, dont le nom dit rorioine, maïs en
outre que, si leur sanglante conquête amena pour un temps dans les Gaules
Tusage inégalement répandu de la toge latine et du costume romain, en ré¬
sultat final, la toge a disparu, tandis que nombre de pièces du vieux costume
national sont tellement restées en usage cliez nous, que l’on reconnaît encore
aiijoiirddiui, en plusieurs de nos provinces, en Auvergne et particulièrement
dans la vieille Annorique, c’est-à-dire chez les Celtes et les Kyruris les plus
avérés, nombre de pièces du costume marquées au coin de leur origine cer¬
taine* Ce que les vêtements populaires de ces contrées ont pu subir d’al¬
tération dans les détails avec le temps est d’importance secondaire eu la
matière, et ce n’est d’ailleurs que par échappées que Ton rencontre sur
ce sujet, quelques lumières d’une portée très incertaine. L’illustre caillette
du dix-septième siècle, voyant M. de Cbaulues s’occupant des milices, écrit
de Rennes : « C’est une chose étrange que de voir mettre le chapeau à des
gens qui n’ont jamais eu que des bormets bleus sur la tête* » La chose était
si iioiivcdlc pour les bas Bretons que la dame s’égaye ù les regarder ne
sachant point faire usage de cette coift'iire. c( S’ils voyaient passer M. de
Chaulnes, ils enfonçaient leurs chapeaux et se gardaient bien de le saluer. »
Doit-on, sur ce témoignage de M”*® de Sévignc, tenir pour évident que les bas
Bretons ne connaissent Fusage du chapeau que dei>uis 1G89? On peut dire
que cela est possible, sans cependant être vraisemblable. Toutes les origines
sont obscures, écrit Quicberat dans son Ilistoh’e du Costume en France;
on peut ajouter qu’il y a des choses non moins obscures que les origines, ce
sont les dates des transformations*
Pour eu venir aux conclusions de Louandre, après avoir reconnu que pen¬
dant tout le temps od la Gaule fut indépendante, les costumes dont on a vu
l’etuimération, ceux des hommes comme ceux des femmes, paraissent avoir
subi peu de modifications, l’écrivain ajoute : c( Ce fait peut étonner chez un
peuple mobile et ami des nouveautés comme le peuple gaulois, );i et il conclut
que <L ce fait s’explique par rimperfection des arts technologiques, parce que
pour faire des étoHés nouvelles, il faut inventer de nouveaux métiers, de nou¬
veaux instruments , et qu’il est évident que lorsque les arts sont stationnaires.
XXXV
les niodos doivent l’être iiussi. » X’iiisistons pas sur la valeur de cette apprécia¬
tion, et sur l’assertion d'un érudit qui fut de nos amis, Qui ne sent aujourd’lmi
que l’espèce d’imimitabilité du Breton, du vieux Celte et du vieux Kyinri, est
indépendante des progrès de l’industrie? On nons envoie du beurre de Breta¬
gne dans de petits pots qui ne sont pas seulement de la même argile, noire ou
brune, que celle <les vieux va.ses celtiques, mais dont les fins profils sont
exactement les mêmes que ceux de la céramique trouvée dans les dolmens,
conime on en peut juger par la collection sous verre au musée de Cluiiv.
fei>
Il y a chez les Bretons autre chose quhine héiédîto cViiii certain fatalisme; ü
y a crahord un goût natif, parfois trun caractère si oriental, si asiatique, que
Ton a pu commettre à son sujet des erreurs qui, tout étonnantes qu’elles
fussent, ne laissent pas cependant de rester compréliensibles* Dans Tintéres-
sante collection ethiiogrciphique du musée du Trocadéro, on rencontre une suite
de ces cuillers dont on fait parade en Bretagne, lorsqu’on s’v met en habit
de fête, en les accrochant à quelque l>outonnière de la veste ; les artisans du
cru, et souvent le paysan liu-mêine, dépensent un travail précieux pour la
parure de ces cuillers de bois, devenant une joaillerie rustique d’iuie
telle iiarenté avec certaines marqueteries orientales qu’il en est résulté un
incident curieux. Lors du recrutement des oVjets bretons pour le Musée
du Trocadéro, on a trouvé une très belle suite de ces cuillers dans un de
nos musées de [novince, qu’il nous serait facile de désigner expressément;
elles y étaient catalognées comme autant d’objets de provenance orientale ;
et, encore une fois, tout étrange que soit l’erreur de l’étiquette, l’aspect de
rornementàtioii de ces cuillers rend compréhensible l’inexactitude de Tat-
tributioîi. Nous avons dans notre recueil, pL 58, rapproché de la bijouterie
gauloise des Inoderics bretonnes modernes au dessin du plus pur celtique.
Il y a donc tout à la fois chez les Armoricains, hérédité du goût et persis¬
tance d’affection pour les clioses nationales, tenant leur caractère de la liante
antiquité de la race, et de la plus lointaine, puisque Torigme asiatique se
fait encore sentir dans les choses usuelles*
Que deviennent donc les vieilles imputations au sujet de l’inconstance du
Gaulois en toutes choses? Que penser d’une opinion accréditée d’abord par
les Romains, des ennemis, et scientifiquement formulée comme un caractère
— XXXVÏ
spéciti(|ne de la race : a La niolnlité or;^amque du Gaulois est conforme ix
la uiohilit^^ de son caractère )>? Qui donc en Europe a, non seulenient parmi
les costumes nationaux de plus pittoresques et plus cliarmants vêtements que
ceux des pfiysans bretons et pyrénéens, maïs encore des luibits marqués au coin
dbineplus haute ancienneté? Et en présence de cette solidité d'affection panni
nos populations où le sang originel est resté le plus pur, que devient le vieux
et singulier procès liistorique intenté k la race? Il y a vrainient lieu de
revenir sur bien des jugements tenus pour acquis, et il est intéressant que la
nécessité de cette révision imisse ressortir de Tétude des costumes tiatio-
naux.
Ces questions sortent du cercle des curiosités >siir les modes changeantes,
mais il importe au moins autant de s'en occuper que des choses qui, ayant
été passagères, peuvent égarer, lorsqu'il s'agit d’aiqirécier sous son véri¬
table jour le caractère des peuples*
Parmi les groupes européens, et ses voisins Ten raillent volontiers, c'est le
Français on le Gaulois qui, plein de l'amour de sa belle terre, se montre l'un
des plus casaniers. Sortir de chez loi est toujours un si grand effort qu'il
manque même aux colonies lointaines que la politique de ses gouvernants
décide de fonder, vS'expatrier ! mais ce ne sont guère que ses voisins qui le
puissent faire sans beaucoup d'efforts. Quant à lui, on pourrait dire qu'il
faudrait des révocations d’édits de Nantes pour l'y obliger* Où donc est cette
inconstance en tontes clioses, cette mobilité dont on le taxe? Ce n’est cer¬
tainement point par les choses du costume, et malgré les mouvements de la
mode passagère, qu'on eu pourrait établir la réalité*
Dans reusemble du costume historique, les costumes héréditaires ont un
rôle important* Ils sont, par excellence, une expression des solidarités liiunaî-
nes, tout au moins un indice de la filiation des groupes qui forment le fond de
nos sociétés à la surface mobile. Aussi, dans notre recueil, avons-nous fait
aux costumes populaires, tenant encore leur cacliet de riiéredité, une place
aussi large que possible*
Le spectacle qu’ils ofirent est nécessaire pour Télude générale des temps
modernes*
Et qu’est-ce que les temps modernes? en écoutant la supposition de La
1
XXXvu —
Bruyère. <( Si le îuonde (lure seuleiîïeiit cent inillioin^ (raiiiif'es, il est encore
dans toute sa fraîcheur, et ne fait presque que coinineTicer, Nous-nieines nous
tondions aux preniiers lioinines et aux patriarches; et qui pourra ne nous
pas^coiifondre avec eux dans des siècles si recidcs? »
Que nous n’en soyinns qu’A une aurore, et que le soleil soit suflïsannneiit
alimenté pour nous éclairer pendant un iioTnhre d’aimees aussi mirifique,
on en peut vraiment douter; mais ce qui est certain, avec nii siècle comme le
notre, fi Et quel temps fut jamais plus fertile eu miracles! » c’est que le monde
marche, et rapidement, A des transformations <]ont il devient inqmsible de
sonder la profondeur. Parmi les pertes qu’entraînent avec eux les progrès in¬
discutables auxquels nous assistons celle descostumesde haute hérédité,appar¬
tenant aux classes populaires et empreints d’un caractère national est une de
celles dont il faut bien prendre le [larti de porter le deiiiL (Test runiformité
des confections à la grosse qui lemporte désormais, non point seulement en
Europe, où le pouvoir de récoiiornie des mécaniques étenil de plus en plus
son action irrésistit)Ie; cette actioii est eîicore bien autrement envaliissante et
s’étend bien autrement loin qu’oJi ne le pouvait [ïrcvoir il y a peu de temps
encore, ainsi qu’on est A même d’en juger par la << Mort du Japon^ que raconte
AI. Paul Bonnetain dans un charmant volume de touriste, JiJu mer, |>ani ré¬
cemment. Le chaintre de ce livre sur la mort du Japon débute ainsi a Un flhret
de rimpératnce du Japon irimt de proscrire a la cour la lodetiê et la co?^ff\tre
îiaiionales. Les dames ne seront reçues désormais qucîi costume eimpéeUf et
coiffées à rninéricame... » (septembre 1880). En avril 1887 nous trouvions
d’autre part dans le Fù/aro. € Le Japon se civilise de plus eu plus. Le i)rince
Komatyaq qui liabîte Vienne depuis quelques mois, vient de demander A la
cour de Vienne l’autorisation de faire copier les livrées des cochers, pi-
<pîeurs, laquais et écuyers de la Hofburg. Cette autorisation a été naturelle-
inent accordée, et Ton verra bientôt, A Yeddo, des perruques poudrées et des
bas de soie. ï> Nous connaissons depuis assez longtemps déjA le Japonais
portant Tliabit noir pour circuler chez nous eu gardant ranonvme, absolu¬
ment persuadé que a ^'a ne se voit pas mais pour se rendre bieri compte
de la révolution nouvelle, dit le touriste, il faut avoir rencontré des Japonaises
afiuhlées de chapeaux A jilumes, de corsets, de crinolines et de robes r\ fal-
XXXVJII
» Et M* Bf»nnetain parle d’une rencontre de cette sorte (ptil fît :V
Yokohania, iin spectacle inoubliable, tuais dont il se trouva si dniilonrouse-
luent saisi rpie, dit-il, le premier jour, «je tdous pas la force d’eu rire )>.
A Tokio, dit encore le voyageur en parlant des l)nreancrates ministériels,
une armée, les malheureux rouds-de-cuirs sont l'oreés, à partir d’un certain
chiffre d’appointements, de se costinner comme les nôtres. Les commis subal¬
ternes, pour qui le complétai le gihus seraient tro]) coûteux^ gardent la robe
nationale; ils se coüTent d’un cliapeau melon et portent des gants blancs en
tiloselle, à l’instar des tourloiirons endimanchés,
Ilenreusement nos photographes ont eu le temps, avant ce désastre
final, de prendre les effigies du Japonais encore dans toute sa. jnireté. Et
grand’merci an soleil des images dont la véracité est d’une autre qualité que
les portraits que les Ja[)Ouaîs nous auraient laissés d’eux^mémes, malgré
Tosprit qu’ils y ont dépensé.
On peut juger, en notre recueil, de ruii des effets de lheuvie civilisatrice,
en ce qui tonclie la réforme des moeurs par le costume, dans la [lartie con¬
cernant les Iiidous. Ce que nous en représentons remonte A la première partie
de notre siècle, et les Indous dont il s’agit sont des lioinmes aux {>îeds nus,
affublés du pantalon et de la robe courte ou de la jaquette eu indienne,
c’est-îVdire de ces cotonnades A fleurs et A ramages dont Jolm Bull a trouvé
dans ses possessions indiennes le large placement qui l’intéresse, A en juger
par les peintures, le résultat esthétique a été de procurer A des hommes bien
conformés un aspect fort approéliant de celui du singe babillé pour la foire. En
regard de ces singuliers travestis subsistent encore des costumes du plus pur
caractère national, au sujet desquels il est utile de consigner une observation
pour les peintres soucieux des anachronismes,
]/uge des documents qui nous ont fourni nos exemjffes n’imjilique nulle¬
ment l’age des costumes représentés; il y a d’abord lieu de penser, en
considérant l’aspect des femmes et des hommes, comme ou les voit particu¬
lièrement dans lapl. 120, et dont la physionomie, ainsi que l’a senti Jacque-
mont, évoque le souvenir de la statuaire grecque, que ces costumes de haute
antiquité nous montrent rime des premières familles du monde civilisé, et peul-
ctre la plus ancienne de toutes. Ils sont en tout semblables, en tons les cas.
XXXÏX —
à €e (jiie l(^^ anciens les ont ennnaSj et à ce qu’en mit ilij iVpolIoJore, Stralioii,
ritilostrate, Quinte-(*nrce, etc.
AU-right, laissons passer les civilisateurs niodenies! mais vraiment les
pertes qne leur action entraîne ne seront pas facilement réparées. II ne
reste plus j^ucre an vieux lirabine qui tient à nniurîr dans rimpéniteiice üriale,
(écst-à-dîre sons la livrée de ses jiérea, qu’à se faire porter en terre j)ar ses
consanguins, assis dans la corbeille en palanquin suspendu, comme ou le voit
dans notre pb 123. Adieu, vieux ]ïénitont à la face découverte pour montrer
le signe de ton alfilîation A la secte de Siva imprimé sur ton front, et selon la
tradition a babillé h bordinaire )>. L’ordînaire, pauvre vieillard, c’est ce vê¬
tement des ancêtres, d’une uiultitnde d’ancêtres, ton clier costiinie national,
dont le tambour frappé [^ar la maiti, !a trompette aux ondes sonores et les
cymbales, somient le glas fmicbre, ainsi que celui des costumes nationaux
sous tous les eieux. (’Vst fini pour eux, /or ercr, à jamais, éternellement.
Notre cliroiiologie des modes européennes s’aiTcte A Faurore du dix-nen-
vième siècle, A radruissîoii définitive du pantalon dans la tenue des bommes
élégants. Elle se résume en une composition de fantaisie, rapprochant des cos¬
tumes qui ajqïartieniieut encore aux derniers temps de la rnoriareliie, mêlés
aux nouveautés de la mode en 1805, et formant un taldeau gradué dans lequel
Delmcourt s’est proposé d’exprimer le mélange pittoresque de répoqnc, en
même temps que d’indiquer par rhabillenicnt la position sociale des gens, et
aussi la profession des artisans de la toilette du riche. Ces distinctioïis exté¬
rieures, objets d’une observation quelque jteu subtile, ont tendu déplus en ]dus
A dis|ïaraître ilaris le costume civil en avançant dans le siècle; en principe,
on n’a rien conservé de bîérarcliique dans Fhabilleinent ordinaire. Ce n’est
toutefois qii*ai>rès quelques tentatives infructueuses que ce résultat estdeincuré
définitif; après, entr’autres, l'essai des saiut-simoniens ayant imaginé un vê¬
tement aux couleurs voyantes, (pie le disciple ne pouvait [jasser sans le secours
d’tm antre disciple, ce qui donuait lieu A l’échange quotidioii d’un service mutuel,
rapnelant sans cesse A l’osprit de chaeim le besoin de la fraternité.
Dans le livre m vivant que AI AI. de Goncourt ont consacré A Gavarni, le
maître, après avoir eu pendant un certain temps de dandysme le gont du cia-
XL
quant |mr raccoiitreiiient : <( Ali ! vous ih* iiuivez {mw connu du teiii[>s où jo
portais des bagues sur mes gants, » en arrive A formuler la loi du goût qui régit
maintenant la question des habillements, question quhl traitait seuieusement,
disetit MIL de Goiicourt auxquels nous ])assoïis la jiarole ; a Un jour, a Londres,
die?! Ward, dans la salle A manger, — devenant le dimanche wmq i^arlolte^ où
shigitaiont, entre artistes et littérateurs anglais, toutes les questions iinagi-
nahles,—^ces messieurs, au moment de rExposition universelle (1851) voulurent
essayer une révolution dans le costume, trouvaïit que roecasion se présentait
de débarrasser A tout jamais TEurope moderne de son vilain habillement, Lhm
apportait un chapeau qiril avait inventé, et dont il défendait le inérîte et Télé-
gance, Taiitre un vêtement dont il préconisait la beauté et la commodité.
Gavarni, au beau milieu de l'enthousiasme rcvoliitioimaire, prit la parole et
dit que, dans une société égalisée, il fallait que la distinction du costume ne
fut ]>as dans le costume, mais dans la manière de le porter, ne fût pas dans la
ricliesse de TétolTe, mais dans le goût de VhdriUé^ daiis ce je ne sais quoi qui
fait que, dans un Tiionde de redingotes, riiomme distingué est discerné. Et,
sur le speech de Gavanii, Thlurope continua A porter Thabit noir et le chapeau
en tuyau de poêle, »
Llienreuse délinition du maître, si excellemment français, devait d^aiitant
plus rester souveraine, qu'elle résultait de robservation de mœurs réellement
en cours depuis le commencement du siècle* Elle expliquait lui fait patent,
en donnant une base de raison A rnniformisation des costumes, et l'on peut
penser que cette opinion consciente a beaiieoiq) contribué au développement
de riiulustrie des confections préventives qui, de riiabillement des classes po¬
pulaires sont entrées depuis ce temps dans le domaine des élégances, non
point assurément des plus relevées, niais enfin en prenant une place si
réellement importante que le nombre de ces habilleurs, tailleurs et bot¬
tiers, auxquels Michelet donne le nom \Vartistes^ en admirant le mérite, la
perfection, la grâce de leurs œuvres personnelles, a singulièrement diminué
depuis cette époque. Le caractère artistique de la plupart des fins artisans
d'autan s'est meme assez curieusement transfonné, et si Ton voulait chercher
un nouveau titre de noblesse A décerner aux habilleurs niodenies, il semble
qu'on pourrait le rencontrer dans le sentier où fleurissent les ingénieurs. C'est
XLl
m efi'et yur des tliéoièiiies (jue Ton etalilit luainteuaut les confections; c^est
TA + B Je la luatlicinatique » cunnne ra])pLdle Gavarni, qui conduit les
choses* Un r]iilip].)e Latour mluît le ]jied liiiinain a un certain nombre de
füTinules chîirrces, et les faljri(|ues fonctionnent là-dessus avec une impertur¬
babilité de certitude qui fait que dans les magasins de vente des produits de
cette sorte ou est toujours assuré de trouver chaussure à sou ])ied.
Et maintenant, et la mode actuelle? mais elle est cliarmantej comme toutes
les modes présentes. Nos jeunes gens tiennent des exercices gynmastiques,
des leçons (rescrimCj de robligatioïi <lii volontariat, une tounmre autrement
dégagée qiéils ne ravaientil y a quelques années 5 leur aspect est idus agréable
et réellenient pins male. La jaquette est nu i)Cii exigue, le paiitaloii est un peu
étroit, le soulier un ]>ea liien pointu, mais ce soulier }iüurrait être en l>ec de
canard comme au temps de Louis XII ; il n’y a |>as si longtemps que le bas
du pantalon faisait le pied dVdépfumt* Ldiorreurî c'était la mode hier. Quant
aux dames, c’est la meme chose, et rien ne saurait les rendre pltis séduisan¬
tes t[ue la mode en laveur* Il est certain que ce n’est pas le relief de la tour¬
nure qui leur nianque* Et il en sera ainsi tant que la défroque actuelle n’aiira
j>as été grossir ce trousseau des charades dont parlait dernièrement lui chroni¬
queur motidain, en expliquant que ce trousseau se compose de vêtements, au
fur et à mesure mis au relmt par la mode nouvelle. Il forme un trésor incom-
jfarable pour les charades que Ton joue en famille, et rien ne vaut mieux imnr
exciter la gaieté que la réapparition des gigots, des rohes à cœur, des crino-
liîies, des chapeaux en cahriolets, etc., des choses d’avant-hier ou seulement
de la veille, offrant aux veux des |dus jeunes un spectacle nouveau, en meme
temps qu’un souvenir aux jiersonnes rpiî se sont parées de ces modes, subi-
teînent suramiées. C’est irrésistible, et le fou rire pour tout le monde, Atteîi-
düiis rentrée de la jirochaiiie charade, pour sav'oir ce <jue les modes actuelles
auront vécu.
I^ii teriaiiuiiit, uV‘St-à-Jirc eu ayant la satisfaction de mettre laderuici^ main ii une entreprise
4ne nous avons conduite en toutes ses parties, et dont le caractère est celui d une « cûudensatiou »
ainsi que la détiiiissaifc ^1. Aîiibroise Firinin-Didot (laquelle condensation, en comprenant nos
deux ouvrages sur le Costume et l’Ornement eumporte plus de sept cents ^>lanehes d'tuie rare
deiiHÎtc), iiuus ferons remarquer quej particiilièreiiituit en ce qui concerne le costume, îa ré¬
duction de ses figures ii des proportions quelque peu inaccoutuiiiécs, nécessaire [H>iir obtenir
le grand nombre d’exemples que nous avions à réunirj n’a niilletnéut dans notre ouvrage
ri licou vc nient de Vk peu prés (|ui résultait jadis des réductîuiis trop fortes, et cela par une
cause facile à expliquer* Le trait sobre et précis rpii suffisait à Ingres pour la gravure de son
œiivi'e exécutée sous ses yeux par Kéveil, ce trait sans indécision, tout affirmatif, que nous
appellerions Yoloiiticre « le verbe du dessin )>, de ce dessin que le maître a défini connue étant
la probité de Tart, a servi de base à toutes nos opérations lithograiibiqiies (avec le veiTc gros¬
sissant le plus ordinaire on le discerne facilement dans nos estampes); or^ le dessin de toutes
nos figures en couleurs a été exécuté directement sur les modèles originaux de toute nature,
jxïintiircs, gravures et piiotographics, par le moyen du calque, et in^ec nue scrupuleuse fidélité,
si heureuse souvent que, par exemple, les effigies times des {ffiotograpliies conser^'ellt dans la
réduction mécanique la valeur de documents etïmographiques*
Cus moyens, qui ne datent que d’hier, nous ont [>erinis d’emprunter dans une mesure ex¬
ceptionnelle le secours des artistes-maîtres qui ont laissé des clioses de leur temps des images
dans lesquelles on voit le costume porté, vécu en <pælque sorte, et avec îc milieu qui lui con-^
vient quand il s’agit des intérieurs et du mobilier. On ét^iit loin d’avoir pu y réussir de même,
jusqu’à présent.
En exposant le caractère de cette œuvre offrant aux amateurs et aux studîenx l’ensemble le
plus complet qui ait été encore tnis sous leurs yeux, nous n’entendons jxiint attirer l’attention
Htir le mérite de l’auteur, ce qui serait déplacé et de toutes les façons inconvenant de notre pirt.
Les moyens dont nous avons usé ne sont point de notre invention, et en signalant la qualité
des travaux que nous leur devons et l’abundauce résultant de leur économie, nous entendons
seulement justifier, en quelque sorte, aux yeux du public, restime que l’on peut faire d’un
ouvrage dont la supériorité dépend directement des l'essources doîit ne disjiosaient point nos
dcvanciei's*
Nous crüy(uis ne pas nous tromiier en affirmant que c’est la première fois qu’eu un pareil
l’écueil il aura été fourni une Table analyti<]Ue de la matière des planches et des notices, divisée
eu un aussi grand noml>rc d’articles. D’habitude, dans les ouvrages à images d’un caractèic
encyclopédique, la nomenclature se fait par séries de motifs ayant entr’eux de l’analogie; les
armes, les ustensiles, les coiffures, les chaussures, les parures, etc., y sont l’objet d’üïi classement,
par époque, et dbmc désignation ^roÿso-modo sàq>pliquaut à uu plus ou moins grand numbic
de planches. Dans notre livre, üîi souvent les liages ont un caractère synoptique, il nous est
au contraire devenu loisil)ledc faire une table (pvi, à elle seule, est un indice certain de l’opu^
letice de nos documents ; nos cinq cents planches ont fourni cinq cents aitîcles à notre ta Idc
et il en est dont Tanalysc occupe plusieurs pages.
Avant le seing final, nous avons à adresser des remerciements à ceux de nus souscripteurs de
la France et de l’étrauger qui, sans c|ue nous ayions rhuuiieur d’étixi autrement connu d’eux tpie
XLIll
par nu 8 travaux, 11011:5 ont, pendant le coui^Ss de cette puljlicatiüiij soutuiiu de leur ap[}rüüutLunf
en nous adressant des lettres dont rexpression est même devenue si flatteuse, au moment oii
la collection de nos images était parue dans son entierj qif il y au mit immodestie de notre
part il en faire la moindre citation. Oh ! le bon secours pendant la marclie longue, et quclïe
récompense en arrivant au but^ assiiréuient la plus douce et la plus forte de toutes celles qu'oii
peut recevoir !
Mais il est encui'e un autre remerciement public que nous avons à cœur de faire, et que
nous formiileroiia ici de la Jiianièrc la ]j1iis succincte possîliie, ahii d’évîtei', s<œliant les dispo¬
sitions de nos éditeurs qui pi’cpareiit une ju'éface, afin d'éviter, disons-nous, les airs empruntes
aux sociétés de cungratulatiou mutuelle. Nous souhaitons à tout auteur dont l'œuvre serait de
iiatiire à entraîner d’aussi fortes dépenses que celles nécesRitées par le Uosfitme /mhriqne^ ih
reiieontrer des éditeurs coininc ceux qui, eu Sîicliant nous laisser la [)lus complète indépen¬
dance, ont etc séduits au point de ne reculer devant aucun accroissement de charges jx>ur
donner à un oin ragc, lancé sur des i>rospectus furinant un contrat avec le public, et partant
sans accroissement de dépense de sa paît, une aussi large extension que celle donnée ii nos
travaux, (Test donc à la \ ieille et respectaltle maison, dirigée, pendant notre exercice, par
M, Alfred Firmin-Didot et sou associé îif, Edmond IMaginiel, que nous adressons uii reiner-
eiemeiit qui lui est bien dû.
Kt enfin, nous ajouterons ici le nom de !M. André Yaillant, notre secrétaire et notre ami,
qui a été notre prînciiïal lecteur pendant tout le temps exigé par cet ouvrage. Et quelle lec¬
ture que le dépouillcmont des documents de toute iiroveimuce et de toute sorte, anciens et
modernes, dont nous avons fait la condensation!
Auguste lÎAOlXKT.
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l)IVISIOi\ DE L’OUVRAGE.
JR' Partie. — Vantiquifé ekimqm^ depuis k-s tempH iRmiitifs jnsquVi la clmLo tle rem-
pire romain trOccidcntj au cîiitjuième siècle de l'èrc chrétienne ; y compris les Barbares de
la glande in\ asioii *..* 11 . BliiJidies 1 a üÜ*
t Partie. — Le momk m (hhora de rEmvjm^ Ocoaiiic, Afriijue, AmèriiiUé et Asie^ re¬
présenté pur des m(xlerncs d'antique civîlistdion, et dus ^ronixïs restés a tons les éclielons de
la barburic; comprenant k généralité des populations inusiilmaiies..., . Pluticlies bO à WK
3' Partie. — Les petfphs c^fréiktis à ^mrtir défi lîqzanims^ présuntunt la succession
des modes du costume européen, depuis le haut inoycn-âge jusqu'au seuil du dix-iiciivicmc
Plancbcs ISI à 41o,
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V 4 P + I
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4® Partie. — EEuroja des temps nmkrfm /wr coinpreiiant le ré¬
trospectif pour les groupes ii’ayuut point eu d’influence marqutk; dans le passé sur le mouv e¬
ment gétiéml delà inodcj proprement dite, tels que k Laponie, la Suède, la Norvège, TE-
cosse, la Russie d'Europe et d’Asie, entrée dans le monde politique européen vei's k fin du
quinzième siècle, et la Pologne, dont le peuple s’est fait reuiurqner par la pei'sistuiice en ses
propres traditions. ,.. .... riuiiLlios 411 à bOiL
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SOMMAIRE DES OüATRE PARTIES.
PllEMlKHE PAlîTIK,
¥
lùjtjitika. iN. 1 à 1). — Asi^ijrkn et nébruiqm. 10 à 1^. — Peistî^ PutUie^ ekv.
P
IL — t/m-. ITi à 1^8. ’— Etrusque et (héiO-Rouialn. à ïlB. — llfunithi. RI à 40, —
Chaimurts. 47, — OeUe q\i (hmlok^ Stavé ou Sarmukj thnnaîn un Teidmi. uLe*, jiPit|Li\ui
Franc-SctUeH^ et dejnüs les fosiiikîi duH A^oîî du et de la ])ierrc, 48 à 59,
Deuxième partie,
DcÊAXiE. — Xoirs et bruiiï, : Aljourum^ Amtmiknë, Jauiiei) et bistrés : Mukth et
MiîtüijU’Pohjnèskm. Otf a OtI,
Aerioue, régi uns cquatüriaks et aiisLraks. — Les fauiilJes noires : (jutnèmne, sènéqumbknm y
sinuiumeum J iiiujHsittimm ^ ahantou ou eufre. La fa îu il le jaune. 1 lot len lois et iiûschjÿsmam.
0 4 a 4
AmkiïK^uk, ilu sud exLréiiiü au pays des grands EsqtiÎJïiaux. — XaUirek du lîrésil, du Pa¬
raguay, du tMiili, du Tiieuman, du nouveau Mexique, de la Suuora, des Etats du Colorado,
du Kansas, de Xébraskaetde rOrégon ; hante Californie,— Lus Minm^ noirs d’ongineafri*
eaine, du Brésil et de l’État de lïuenûs-Ayrcs, — Les Chiliens d'origine espagnole, et
les métis. — - Les Meximins de la race coiupiérank et les mnij-mélès. 7tî à
Amérique et Asie, — Les Esquimaux, 8R à 84*
Asie, — Chimis. ^^y à 9R, — Japonais. 94 à 10(3, * ÜhimiH-Japommj Indo-Chlmh. Iu7 it
loîi. — fmlous, I lü à 1:U, — SliuihalttU et Malais. lR2à 1R4, — 4 y pus généra ux^ cùiffurBSj
le turban, 135 à DîO, - Pet sans. 137 a 143, — Attirail de fiiineur. Turkestan, Perse,
Inde. 14 L — La prière inusiibnane ; le salut oriental. 115 à 14G. — Orient^ moines et
religieux chrétiens* 147* — Syrif^ montures de voyage, 148.
ApuKiUE, iKirtic septentrionale. — Alqèrie^ Tuniskf Égypte. Les Kabgks^ les Aralm. les
Maures^ etc., 143 ù ItîS,
T c I iQ U1E ij’ A s IE,. — üon sût n tino polit a lu s , *rli m énien s j Kunks , fJi 'ces t Turcoma ns, J h Ihy-
nknSf Sgnens, Druses. Bédouins, etc, ^lusulinunts, chrétiens et israélibcB. 1G9 a 180-
— 4
Tuolsième partie
Bijzantifij Abijüunj Fmmo-BijzaHlm. 181 à 18^î
cernent du dix-ncimeuie, 184 à 410.
EiiiorK, du uim|uîème siècle au commun-
Quatrième partie.
Sithé.^ Norvhijey laktnde et Laimik. 411 à 418. — HoUatHle, 410 à 4:^4. “ Ecosm^ 4^5 à
427, — An^lelene. 428 à 481. — Aikmaf/m^ y compris le Tf/rol et la Bohême, 482 à
483. — Suisse. 434 à 436. Tyj>cs gcnéraiix, attirail de fumeur^ 137. ^— Russie cŒurope d
d'Asie. 438 à 448. — 440 a 407, — Ilon^rkf Croatie^ Bulgarie^ Roumanie^ J/o/-
davkf Valachie^ Grèce. 458 à 164. — Italie. 4iî5 a 468, — Espagne. 4GD à 481. — Bortngaî.
482 à 483* ™ Fra?ice. 484 à 500.
Xoki baie. Nous rapiécions <jue, elia(|ue volume contepaiit cent pianelics, le luiniérotagc de cliacune
déciles désigne toujours le volume luî-méme. Le tome prctnier étant consacré aux tables et au texte
général) la série des idauclies cummence par le tome second, planches de 1 à HJO. Le tome troisième
soit la planche soit la notice tpu raccompagne, Je fa^on que la consultation Je rouvrage n’ofïie pins
aucune indécision.
O-
TABLE ANALYTIQUE
DES l^LAXGHES ET NOTICES.
PTÎEMn>TlE PARTIE. PLAKCIIEfl 1 A 5i> IXC LU-SI Y EM EX T.
t 4 -P K i
Hovptikx ...
Assyrien et irÉmiAÏQUE. ...
Phrygien, Perse, Parthr, ktp.......
^iREC ...
Étrusque et OHÊun-RoMAix..
Tyiies g^éiiêranx, cliiuissLiras.. . ,
Celte ou Gaui.ois, Slave ou Sarmate, Germain ou Tlutox,
etc., juisqu'im Frnnc-Siilien, et dcpuiH les fossiles des âges du bois
et de la pierre. .
Pi.iuchcs.
1 à 9
10 k IB
11
lu à 28
2 i) Il .83
34 à 4 G
1 i
^ r m à'
P ■' ■ lÉ A
I ri » i a >* a
18 k 59
PLAXGHKS RT NOTICES.
PI. 1. — P^tYPTIKN
Costiuiies de guerre de Painsi-s le Gmiid (Sésostris). ï^e elinr de coinbîit des Pharaons et
son attelage. L’étendard royal et ses gardes. L’Egyptien Vniilant de rencciis. Coiffures en die*
veux, en métab cuir et étoffe.
PI — ÉfJYPTiEX RT nrvEUfî,
Teniiea flo pfuorre, coinportiinfc en outre de ÏV^yptienue, h% fumilles huuiaînes veprèsontèes
(laîis les vieilles [xdiitiires : les Noirs, les Asiutîrjues (Tyrîeiis, Troyeiis, fîactriens) les ^eus du
Nord, à peau bUtiche. fliare de comlmt, linhillement des attelages. T/liommc d'armes et le
cnchci’ 011 servant d'armes.
Le vêtement militaire national égyptien. Le rh/i et lu mlmtm rayée. Le casque d'aîraiïi,
La cuirasse de Hn, Les honcliers, l/arc, les javelots* les liadies d'armes* le casse-tête et le jioi-
gnard, La canne gravée d’hiérogîyphes, insigne du commandément, Ji'tirœifs, insigne de la
sonveraiuèté. Tj'offrande aux dieux des cheveux coupés. Le soit des vaîneus.
TiC nègre aux grosses lèvres avec la chevidure teinte en rouge et les grands anneaux d’o¬
reilles.
Emploi simidtané dans les annes des 1k>îs durs et des bois souples, des os* du bronsie, dn fer
et du silex.
R
PI. :b — Eoyptiex.
l'ostiimcs civils. Egyjtiens siégeant; rjjgyptiennc accroupie. La joueuse de mandore.
Piamsès H i^reïamoun. Les cheveux frisés, les chevelures nattées et les perruques. Les pein¬
tures du visage; les collyres; ia teinture de la peau* le /tpmté; Tonction du corps.
IjC liaft ou coiffure nationale, et les bonnets ajustés. TjOs vêtements de coton, de lin et
de laine; les mousselines tiiinspai*entes. Tîmeelets, colliei's et bandeaux d'^irfèvrcrîe etdcMxrro-
terie, LV^^A, le large collier en figure de ptderine. ]i^nrœm.
PI. 1. — Egyptien kt Xi iîien.
Les parures divines et les parures rustiques. Dieux et déesses. Pliamons et reines de Pancieii
et du nouvel empire, c’est-a-dire des temps [)tolàmaïques, Ij'usage des plumes et des plumages
dans les vêtements et les coifTiiros. La ptu^sonne teinte entièrement en jainie, en rouge orangé,
en indigo ou en vert.
Le sche/ilL pagne bridé; la jupe* avec <>n sans bretelles, k Fnsage des femmes. Le corselet
des hommes. Klafts divere, le ca[»uclion embrassé jiar tm phnnage d'oîseau. La grande robe
servant de manteau. Le tablier royal. Les colliei^s a plusîein-s nings, et le leur servant de
contrepoids, IjCS parures d’orfèvrerie et antres.
Le pficlipnl comjdet, composé du casque de guerre et de la haute mitre flanqnée d(*
]>lumes d'autruche. T^es insignes dn souverain :1e fouet a deux lanières; le pptlum,
crosse on boulette; le Vumm; le long cordon ; la croix ausée. fai canne servant de
scepti'e aux déesses*
Trônes. LVteiTdard de Ramsès ITl.
IM. ih — Eoyptikk.
Mol>ilÎPi% lik.ei, tlîvanfî et tronos. liits potir la nnit et litft do repos |¥>nr le jotir: rf^scalmii
\Mn\v y loontei'; le chevet mobile, Voti&K servant d oreiller* Le miroir snr ]iied* La matière des
eliîiises, fanteiiils, marcMiepieds et divans î les étoffes dont oii les recouvrait*
PI n* — ÉovPTiEX.
Ustensiles et objets domesti(|iies. Les jïraiides harpes. Les prêtres musiciens. T/a danseuse
noire. L’esclave éfry]>tienne.
lîoîtes !i parfums, Oliertoirs ou cuillers à parfums. Unirueiïtaires* Boîtes de hwlette, ^lîrnir
fie mnîîi. Ventouse en corne. Vases k collyre, peigne, etc. le chevet moliilc.
PL 7, — E^gyïtîei^,
Ustensiles domestiques et objets servant an culte. Amphores, aiguières et ernehous. ^^ases
halsamaîres et antres, de tontes les dimonsîmis, y compris les flacons* Cürl*eîlîçs, lonpes, sacs,
offertoirs. Types d’esclaves.
PI. R, — ÉoTPTFKîr,
PalanqninR et Uatcaux. Pîdmiqiiîns royaux : 1*^ le ^rand 2'" le pKîtit sons rim-
hfNa on le parasol, avec le tréteau, jninr h^ arrêts la chaise avec le marchepied des trônes
pnrtét^ enr nu planclieiv. Les porteurs, les lon^n? éventails et les émnuchets. Le palanquin de
voyagfe et son parasoL
Le lelmtetiu dn Xil; avec l’asirau seul, et avec la voile et les avirons,
PL n. “ ÉOYPTFEX.
Cour iriUVienrc d’une habitation privée, quatorzième siècle environ avant rèiY:
tienne.
Restauration, avec plan d’ensemble, de la maisoti riche et de ses déj>endances. T^es
riaux des constructions île iïenre.
PL 10, — ASSYRIKK, films TfÊTÎRAÏQrE.
CostimicR de cour et de îïuerre. Meulées, armes et objets divers.
liC souverain sur le lit de it>pas ; îa reine Btir une chaise ayant le marchepied des tnmes.
Tous deux élevant îa coupe des libatifïus* Leurs serviteurs agitant les émoni'hets.
Les visages i>einfcs et fardés^ les frisuresj la dieveliire et la )mrî>e poudrée, parfois d’or;
la [Xirrnque et les postiches* Les sti^^uiates du front et des ixiignets ; les aromates et les on¬
guents.
Les V)andelettes, les robes et les couvertures frangées. Les joailleries.
Tables d'ofiniude et de libatioti j table basse * trône en forme d'escabeau. Le l>rrde-parfiims ;
les nattes ; les émoueliets, Jj'incrustation des meubles ; la matière des coupes, l^pée, poignard
et carquois, Soldats d'infanterie armés du grand l)oucUer et de la pique*
PI n et 12, —Asf^YiiiE*y, alms Hébraïque.
(Notice commune.)
RoiSj reines, seigneurs, soldats, eunuques, etc. Costumes d’apparat et tenues de chasse.
Les chariots massifs pour la chasse des grands fauves. Le char attelé eu tm/a, les .che¬
vaux empanachés î leur harnais.
Les tiares et le diadèîtie, les l>oiiiiets et le turban. lia candys^ bi robe médo-persiqiie ; la
siole; les tuniques; le surtout à frange; la double ceinture. Le pectoral du roi. 1/a sandale
à quartier, dite chaiissiirc persique. Les bottes, l^es bottines lacées. Le justaucôiqjs piqué
formant cuirasse ; le long poignard, la courte épee et son baudi'ier. Le gantelet pour le tir de
Tare, fi'arc coudé. Les bracelets d'avant et (Parricre-bras. Le sceptre, bâton court; le im-
rasol, emblème du pouvoir, la pomme de pin, symbole du réveil de la nature. Jitn psaïiérwm
aux mains des musiciens,
La chasse à courre dans le ijaradisi. Le souverain monté et suivi de ses pages maniant
Tare.
Pompes royales ; le salut prosterné, etc,
PI i:L — Hébraïque.
Vêtements sacerdotaux. Les caleçons, tunique, ceinture et haut bonnet du simple prêtre
ou lévite. Le wîéï/, Téphod^ le pectoral ou rafionaï, le ïninezôphet (mitre, tiare ou turban)
♦
tlu grand prêtre ou le prêtre omf.
Exemples partiels empruntés aux monumeuts égyptiens pour établir le parallélisme des
pièces du costume sacerdotal des TTébreux avec le costume de raiicienue Egypte*
PI. U, — Perse, Pauthe, ARXKîriEsr, Paemyrénîex, Phrygiex. Les Amazoxes.
Costumes, armes, meubles et ustensiles. Figures dos temps héroïques et de Tépoque du
bas-empire romain. La tunique simple, avec ou sans ceinture; avec deux ceintures; avec ou
sans manches. La tunique superposée, avec manehes courbes on sans manches. T^a robe
hn^m ii liirges manches; la demi-longue. Le manteau léger, le manteau court et le demi-
long, Le manteau i-nyal, long, fmngé. Le haut de chausses ou pantalon. Les ana^'t/rides et
ftarabdTBS* Les Ixinuets, capuchons, mitres et tiares. Les diadèmes, les couronnes et les ban¬
deaux. TjCs gants des Perses et leur chausson* Les Ixinnets phrygiens*
Ij'arc du Troyen, La liache et le marteau dVirmes; le bouclier ou la des Amazones et
leur accoutrement de combat.
Sièges et trônes ; ëïnouciiet*
r. lo. — Grec*
Costume de guerre.
Nota — Pour étudier avec fruit le soldat grec, il faut le voir en action, comme ou le ren¬
contre dans les peintures des vases; nos pl. 15 et IG représentent particulièrement des atti¬
tudes de combat provenant de ces peintures. Seulement le guerrier iPy étant généralement
représenté qidavec le principal de Parmement des temps béroïques, il est nécessaire de com¬
pléter cette première étude par Paccoutrcmerit comportiiut toutes les pièces accessoires du
costume guerrier, lequel ^ arie selon le temps et suiv ant le genre particulier de Parme ; troupes
de ligne ou d'înfÈiîiterie légère, et cavaliers plus ou moins lourdement armés, selon leur rôle
dans h tactique* Ces armements divereifiés ont fait Tobjet de savantes restitutions que Ton
tiouTC en notre planelic double, n"* 25 et 2G, et pour ne pas avoir à répéter dés indications
de détails, décrites avec soin dans la notice de cette planclie double, nous u’insisterons pas sur
les sujets représentés par les peintures des vases. A propos de cette série, nous indiquons sur¬
tout Pbbjet principal de.s notices, formant rensemble préliminaire de Pétude rpiî se résume avec
la planche double* LapI, 15 représente : uu cavalier arméà la légiueet combattant delà lance ;
le ou le voltigeur tirant Parc apollonmi; mi guerrier encore incomplètement armé,
dont ou voit la cuirasse, Pépek;, la lance, le casque, le l>oiielier et la chlumyde ; un soldat or¬
nant son casque de peintures ; des glaives et des casques divers, des boucliers portant des em¬
blèmes.
îja notice traite du Grec primitif, des mœurs du soldat, des ruses du guerrier, de la mêlée
des batailles, du sort du vaincu; de la composition dhiue armée grecque; de sa marche en
bataille; des modes du c uni mande ment; des enseigne.?, des signes employés parles soldats
pour se reconnaître entre eux, etc.; enfin des armes défensives et ofTeiisives, en général;
du caracUu'c de chacune d’elles, et îa matièi’C dont elles furent successivement faîtes, depuis
le bois des massues jusqu'il Page du fironze et Pemploi du fer*
Pl* HL — G REP.
l ’ostumes militaires. Chariots ^le gnciTc, de course et de triomphe* Harnais de tète du cheval.
Casques de chefs, fja pelia.
— 10 —
Chef en^ii^cant Tactioii, portant le bouclier armorié avec pa villon jKîndant, aervaiit nu si¬
gnal tîu combat ; soldat de ligne, aa^roupi dans l’attitude du |ibalangîte de premier Tt\ng. armé
du casque et du bouclier héohem. Soldat en costume de voyage,
Chai^ de guerre de répoque liéroïque; leur attelage et leur usage dans la bataille, i,es
cbevaux bnrdt^s* Le coi ber du gueiTier. Tjc cbar pouq>eux, à roues basses. Le chariot rapide,
monté par im seul écuyer menant le quadrige dans les jeux du cirque,
[^1, 17, — LuKr,
Vêtements masculins et féminins. Casques de types divers,
Tja clihmijde ou Moènfi, le manteau léger; le grand manteau, ^xdlma (led’TTomère) ;
le prtUhm léger, La /wdère^ robe longue tombant Jiwpi’aux pieds. Le ratmtkfos ou mimff, la
robe bigarrée* T^es deux ceintures exbf^rieures, îe sir&pkim et la zona. liHmpifia^ la chaussnm
fie feutre montant à mi-jambe. Les jambières des marcheurs. Le chapeau thessalîen suspendu
dans le dos, à la façon des voyageurs, Tjc IViton des hérauts; le radifcéff insigne du nies*
sager,
ïj
Casques avec le timbre arrondi ou ayant la forme phrygienne, et eoiivenant aux chefs,
(^asquesii visière immo]»ile, de tournure exoti(|ue, et que Ton n*trouvc à i’usage des gladia¬
teurs (voir à la pkiirhe double, n"*
PI. IK — Orkc,
Iju parure des femmes depuis la toilette du corps. Pièces du vêtement et objets à leur usage,
T#a toilette secrète; le Imîn suivi de ronction, Leii êleetnaîres, leurs récipients ; les eaux de sen¬
teur, La chev'elure et ses usages ; les préjugés :Vson égard ; ses teintures ; le mpo ou savon pour
lui donner du lustre ; sa frisure. Les perruqueSj les poudres et les parfums.
Les tissus légers et les tissus traiisjxirents, voiles, écharpes, tuniques. Le voile flottant, le
kmkmnon. Les Imndelcttcs. fie sfrophwnj ceinture mise sur le vêtement au-dessous des ma¬
melles; la zona^ ceinture du ventre ; Vanamasldialistm*^ se mettant sons les aisselles et passant
par-dessus répaule (voir, pour le bandeau maraillaire posé sur la peau, îa plauclie suivante).
Bassîn.s, chaises, miroirs à main, cassette à bijoux, in pi/Ti% éenn* Types du flabdfim^ Té-
vcntail fixe, et de Vmubedaf le parasol ou rhiroformi. Tai dame et sa servante,
PL lf>. — Grec,
Pièces dïvei*ses, depuis les pins intimes, du vêtement féminin. Le bindcaii mamîllaire ou le
lieu du sein, posé sur la peau. La chemise, Vésophortnm. Tuniques et ckifon^. La jmie
n
prenant aii-deMOUR cin Rein, lia tiiniqne h7imiï}pf robe langue, sï manches^ portc^e sans cein¬
ture. ]iii tunique courte et, comme rioiiîenue, tlu genre des lilouses, inaîs sans manches* l.a
tnniqne (ionhmfij desrendiuit jiiRqn'aiix genoux et dont la ceinture était h la hauteur des
hanches. T,es légèœs tuniques couvi'anfc à peine la ceinture* La paJla^ la grande tuinr|ue de
cérémonie; Vanûhlf diploMion et Vhftïruliploïdîônf selon qidil est simple on qu'il se danlile.
Ph 20. ( Jre(\
*
Vêtements k Fnsage des femmes. La pada on le pépkm, de la grande pafla k la Hifr
rînriaj et anx panfd{p diverses. T^e chlamydïonj la c/ila/fif/de réduite, La rïihènê. La tumm
iahrû ; la tunique Iæb jmrff/dtéSf broderies de la tunique transparente. Le léger man-
tean hrodé, famille dn p/mrofî. Le mantelefc* l'uiiique longue dn caractère dmicn, et ffiihmqvf'
delà meme fauulle. Coî H lires, colliers Gt peiiscélideSf anneaux de jamhes.
Ph 21. — flHEr*
("oifTures en clieveux des femmes et des jeunes hommes. Voiles, liandelettcs, bonnets, dia¬
dème, couronne et cliapean. pcrrucpies et les parties pi^sticbes. La teintinx? et la frisure
des cheveux ; leur ablation dans le deniL
liC le .^plm^dmé le rærypkak ou rideau appelé aussi opkffw-ydimdo?ié ; la
vessie; îa mifefkff ]xtite mitre. liGpêîaspf chaiwam TiC f^fropdmnj dia^léme.
EnfrfcJion, peniké Gt pronmttoUf p-iities de la coifTure en faux clieveux* Les frif/Iènefi et frhk
i^endants d’oreille. Les rtpffkii et les sequiiis on divc/ntfes suspendus à des anneaux mo¬
biles.
10 * 22 * — (Uœc.
Tiistruments de musi<|ue et types des musicienR. Ltfr^s et Mhfii hai'i>e, le frif/ 07 t^; ritkffrff
do U hÎP^dTf U'f .y;/r mr.
Le musicien ambulant, chanteur et dsm.seur. hii p.^alfertd^ ninsiciennc de profession, cbnii-
taut et dansant dans les festins. La robe brodée en c'oulenr, transparente comme les kmn-
PL 23. — Giîeo,
Mobilier et ustensiles des repas et des banquets. TjU façon dont on eu lisait.
Le hirlitmimr les lits drapés; la tal>lé k tiroii’s. Li^s pndiminaîres dn rcqias; la place (Phon-
nenr; celle des fcmuics, lorsqu’elles étaient admises. Les trois services et Vcfrroanutf ouïe
divertisse! lient.
[jCS vases, le erafkrê^ le mpkf Vhtjih t/i. Les MniharùSj ^olxilebs k deux anses i les coupes et
les rkî/ioih^. Ijii corl>eîlle à pain ; les valses de ven^e, les sacs, etc. Les convives* Thtr servante et
la musicienne*
PI. 24. “ GnEt\
Co.stumes de ville et trintérienr ayant la tournure de Fusa^e, et portés par les Taiiagrécniies*
Le chifon ou tunique talaire, n)be intime, chemise longue, he pfphs ou himalmt. La cali/ptra
manteau léger, voile et châle* Tjüs soiilien? jaunes à semelles rouges* Les chevelures teintes et
ixiudrées. liCS V'isages peints. La camiu thessalienne, chapeau de j^aille* L’éventail en feuille
de lotus* La ponjx^.
PI* 2rï et 26* — Grec (planche double).
«
Costumes militaires. Parures civiles* La guerrière et la chasseresse mythiques. T^es pourpres,
teiiitures. Les soldats, seloji Parme et le rang i le chef, V/wpHk^ le fMliasip, le cavalier, le phi-
l’archer; le guerrier victorieux.
Caractère des armes diverses ; leur manienieut ; leur l'approchenient avec celles des temps
liéroÏÏjues; leur réforme aux époques historiques* Le^w militaire ; la tiictique de la phalange*
Armes tUfmsives.
P' Les cuirassesî la brigaudiue recouverte de plaquettes de bronze; la cuirasse en métal
jdeïn, à charnières ; la cotte d'armes, faite de tissas croisés, doublés et feutrés ; le justaucorps,
en cuir îenforcé paj' un poitrînal eu bronze formé par une série de disques ; la cuirasse du genre
ïlit imbryjué^ composée d’écailles en bronze posées à recouvrement sur lé cuir ; le plastron en
bi'onze sur un ljuffietiii ; la brigandiue en cuir seub
^2'^ Le prolongement de la cuirasse, cuir en lanières ou eu tablier.
3* La ceinture, courroie forte, ou bronze martèle.
4" Les casques ; à timbre arrondi, crête basse, visière et jugulaires mobiles, crinière en éven-
tciil; en haute calotte, crête de métal ajouré, cimier en crins, queue flottante; le casque béo¬
tien^ â laiges joues fixes et nasal immobile, haut cimier droit formant la crosse, crinière à queue
flottante ; Véirmquef de forme couique, à grandes antennes, crinière flottante en retoml^ée ; lé
grand lieaume, ou le casque, dit de Minerve, à visière mobile ou simulée présentant les traits
supérieurs du visage humain ; le casque à bombe et celui de forme phrygienne; le casque avec
les porte-aigrettes pour ficher les plumes; la calotte métallique nue, et le casque recouvert par
une tète (Panimal en nature ; le casque triomphal, et eîifin la coiffure en cuir tenant lieu du
ca*S(|ne, et sV4ditionnant d’un long couvre-nuque*
îV* liCR biYfUîllcs <le lîi cuirasse et épaulièrey parfois prulonfrces par im brassard d'arrière-
bras.
Les ctmmrih on bronze.
7“ Les mémûIeA m bronze, en étain lactés mv nue jami>ière. Li\ deinî-cnéinide et la talon-
nière. TiCS jambières de cuir.
H * fjcs crê/n(ks, sandales à lanières ; la semeUe ronge pour les chefs j en bois et clouU^ pour
les îiiarcheurs, avec réperon pour le cavalier.
T Les boucliers, depuis Ympès^ le grand bouclier (m/mi, rond et lionibe ; le bouclier en bois,
recouvert de plaques de bronze; celui d'airain, et celui en bois renforcé de croïsillons, jusqu a
ceux du genre de la pdia^ un treillage d'osier recouvert de cuir. La guige pour la suspension
de l'arme ; la grande énarme pour le passage du bras ; sa poignée principale, et les cordons of-
fnint d'autres poignées à l'ôccasioîu
W" La chîwni/(k^ le manteau enroulé au bras, remplaçant, au besoin, le Iwuclier,
A rmes
La t'ourfe épée et IV^éc allmgée. TjCS fouri’eaux de ces armes et les baudriers pour leur
susi»ension.
2'* La hache, au for coupant, au talon eu juante.
3 " Tj.a masse d'armes, eu bronze.
i* Les pifjlies, lances, javelots et javelines ; VammtMm ou le cordon de cuir pour le jet de ces
armes.
iV La pique haute et les longues lances; le conii/^ et la .wma macédouîcnno.
l/tmlfo du Ijouclier,
T'^ li'arc, les fièclies; leur carquois et les trois manières de le suspendre,
H*' La main et le pied armés,
li^é^ûh de la guerrière mythique appartient au système défensif, et la gvmnasîtiqne repré¬
sentée par la chasseresse était la première préparation du guerrier*
Les ruses du combat; letropliée du soldat victorieux, f^a couleur des vêtements, en général ;
la teinture de Tétoffe et des cuirs des harnais de guerre, J ai i>ourpre marine et la pourpre vé*
gétale.
Parims cwiles.
Grecs du temps des l^tolémées, embaumés à régyptienne. Costtuues des deux sexes.
Les tuniques; la robe à manches; la ceinture on tablier; les bandes d^orfèvrerie cousues sur
les tissus. Les pieds ?rw 3 ; la cliaiissure de fi lires végétales. Diadèmes et colliers, dont le iorgiasi
la profusion des bagues ; les cordons d'orfèi rcrie et les iiendants d'oreille.
14 —
PI. 27 ('t 2R, — (rREO (pluiiclie climble).
Pièce prîncipnie (Pmie riche maison attuinieiine, an cinquième Rîècîc avant Tère ehré-
rîcnne,
Uesfcauration, avec le plan rPcuscinble des fîistri butin ns de la constnictînii;, qui est celle
(rnnc maison de ville. Salle à mander, meubliKi en iri'cîmîvni^ comportant Fantichambre, la
chambre servant à la réception dos hôtes, et la chambre de repos on de sieste. An centre, la
pièce de la famille, et le portier à son i>oste, à la porte d’enti\k\ (Voir Valnmïi de tonmiire
f^recque, \)L 8ïb)
P
PL 20. — KTRL'SQrK.
(Estâmes de ^iicrre et autres. Clmriots divers.
Les tuniques plissces et festonnées. La chanssnre lacée, la thf/nênmtnp. Les jambières en
bandes. Tjc Le casque ailé de Hadès {Pliiton). T^e eas<[ne à pf>iute des Tliraces. Le port
delà lïarbe. Le iMiton fonrelui du lalwureur, le bidena. T^e mdticêi^ de la messagère, Phai' de
gneiTé attelé en inf/a. Chariot de voyage mené i>ar un quadrige.
PL “ORÉro-Ro.^[AiN, alida PiiRVfaKX,
lies robes plîssée.s des femmes. La chevelure masculine eu chignon noué. Le pas solennel
dn défile en cérémonie. IjC char léger attelé cFun quadrige.
PI. vîl. — ORKCn-ROMATN.
Objets de parure. Orfèvrerie. Joaillerie.
Conroniics, colliers, pendants d'oreille, bagnes, bmcelets, fibnles, agrafes, boneles, épingles à
clievenx, Ixuîtons et amulettes. î^es ferrets d'orfê‘vrerîe, les cachets et les joujoux dViifant*
rjor estampt*, Farnbre ou mcmif le cristal de roche, les pierres et Fargile. —Des croyances et
des préjng»^ nu sujet des bijoux et de la matière qui les composait. — La couronne de feuiL
lages en or, marque du rang élevé de la femme, et récompense militaire.
PL S-2, — (ÎRKr0‘R0MAIX.
Sièges d'apparat, les trônes; et sièges ordinaires avec un personnel grec eu faisant usage.
Tj^iffcctation des trônes; leur physioiioniîe, en générel. Taï aûhMin tics pi'cmîers Romains; le
inarcliepied ou le tabouret en ton an t lieu, thi'étijfa et auppedmifUnt. Parmi les chaises et pliants,
les escabeaux et les banquettes : le le Mîsmos ou chamûa^ le dtp/iroa^ et, en outre, le
dehiofi on delnOx^^ le bassin dans lequel on lavait les pieds dn voyageur ou de F hôte.
La sevt‘rit-é <ïii costninc de la vierge grccquer la chevelure eoiipi'c et h relie ionienne de l'es¬
clave grec* — Le iKiîiiietde raffniiichi rnmaiiu
V\. 33. — fïiiKrn-ÎÎOMAix.
fJatrhim de la maison pompéientie du type grec. Restaumtion avec plan dVnseinble et
lirofil d'éltH ation de la maison d^haliîtation et de rapport dn citoyen riche.
lia thmn,% h demeure du Romain; sa division traditionnelle* ]/imuh^ la maison eu îlot.
JVimpèï, ville de province et de négociants; ses opulents propriétaires ; Icui's locataires et lein^
hnuti(|uiers. Le^s voies de la ville, leurs trofctoii's on marf/mes; les iKiuti^jUes ouvertes*
fhermopoles^ œnopoleSf popinœ; les cris des vencIeuTs, etc*
T/aspect extérieur de la maison. La vie toute à rintérienr* TiC s&hrîtfm ou terrasse* Les
Lvlcons, les mœntana, La porte d’entrée; ses divinités protectrices; son marteau et sa sonnette,
liü langage du seuil; le care mnern^ ou le salut cordial. Le vestibule, osfiimi ou prûfkf/ntm,
comprenant la cella la loge du portier*
L^afrimn iusatninmp le felrmfj/iifm , le displuvhium, le tcsîmlmafnîu et le eorinfkim. Le
iablinifm ou iahuUnum. T/CS les ailes. la bibliothèque* et /Vr-
f/mhthm^ h'airmîsk^ esclave chargé du soin de ratrium; le (ltfipe?isafo7\, autre esclave occupant
in Ijouiîtjuc y conTspoudant. TjGS ùnapines maj&mmf etc*
Le pensiÿlii(m, la cour intérieure; son mphmimi. T/étage supériein' à Tusage des femnies.
litiS ehamlires à coucher; la salle a manger, le hîclmhoni Vœms ou salle cpzkhif*^ pièce d'éti'^
servant surtout aux festins* Le fararium on sacrmium^ cliapelle des dieux domestiques* liU
pmaroikeca, galerie de Ubleaux. Le vênmwfiy le musée secret des lihidhm.
La cuisine et scs dépendances : Vhoîreinn., Vokarium, les reliai liMrm et le mniiarium. lia
déesse Fmiax et son autel dans la cuisine*
Tjcs matériaux de construction* lui dt5coration des parois; les j>eintums sur endtiît, sur pan¬
neaux ou sur verre. Le verre dans les meubles, aux 10111*3 et sur les plafonds. L'usage des Rnfa.s,
des para^^ents et des portières, r^es effigies triomphales ]>lacéés à Textérienr sur les munüHes
de la maison* et lui donnant le caractère sacré*
ri* :îL — RouaiX*
Costumes militaires. Le légionnaire du temps de l'empire. Üihciei's, soldats et porte ■enseignes.
Troniie en marche; fantavssina combattant* et dans le repos (lu camp.
Composition de la légion romaine. Le citoyen seul admis. Armes défensives, T^e caRC|Tie,
enssts; la cuirasse du soldat, htdeü; la cotte d'aruies, avec on sans le prolongement des lanières.
Les Ixmclîers, le sadfon ith
Armes ofTeusîves, L’épée, le poignard* rhtnanthrn; la lance ou danb hmkf.
—
Effets dV‘q lu peinent* Tninques, le la hinkîilûi les eu lottes, braco} ; J&nimüha ou
fê77îoralm;\tk cravate, k clmussure, caliÿa. Manteaux, le paltidameîihm, le et le
saguhwK Les ustensiles de campagne et le filet contenant les vivres portés parle soldat, etc.
(Voir an sujet de ce fiagage personnel, de ces armes et de toutes les pièces du costume, la
planche double et sa notice, n®"" îl6-îi7.)
l^L î^5, — Komaix*
Enseignes militaires des temps de lu république et de l'empire* Le nmnipuhi^f rrnpk, la
caiKordia^ le drac^)^ le vextlhim^ h/mmmm et le lahamm.
Le sig?iifer^ l'aquili/erf rmapmariuSf porte*enseigncs* Les premières enseignes militaires des
Romains, Leur caractère selon la division de la légion en œkàrtes^ et les subdivisions de celles-
ci en niatiipiiks^ L^dgle, enseigne principale de la légion* T^es images des empereurs qui y
lurent attacliées, le culte qu’on leur rendait* Les symboles particulîei’s qui y étaient joints pour
distinguer les corps les uns des autres, î/étcudard ou drapeau, le vexiliumi enseigne de la ca*
valerie, ainsi que la JlamtnukL Le ktktrttnt^ étendard impérial. Tje draco ou dragon, enseigne
des Ixirbires, devenu enseigne de cohorte chez les Romains.
La main droite étendue, et ses diverses significations. La suppression des ornements des
enseignes en signe de deuil.
ri. 36 et 37, Rojiaix {[ïkiiche double).
Costumes de guerre et tenues d’cscrirae. Militaires et gladiateurs. Temps de la républifiue
et de rompire* IVaneicn légionnaire, le hkiirej celui de Tépoque impériale en tenue de cam¬
pagne, Vimpediltts. li^eques^ te cavalier. Le cmiurmh Le tribun militaire, en même temps
phuîemhts, Tjc général en chef, Vmpemior.
L'enseigne de la légion pointée par Vaquilïfêr^ celle de chaque cohorte par le ^ipiifer. Le
vexillarùis f porte-étendard de la cavalerie.
Variété des costumes de guerre selon les régions, occidentales et orientales* Tje fantassin
an port d'armes. Le cavalier chaigeant de la lance (pour le Cîivalier combattant de Lépée,
voir la pl. 4<b n" 6), Types d'aigles de légion, et d'nne victoire portant le vexilhm de la ca¬
valerie.
Les combattants du cinjue : le nnymUlmif le ihrn^Xf Vliophmachiis, le retiarm% h pmnimpifs^
les essêdarh\ les midabafmj les dimmhœrîf les vcdmvarii^ les fiscaks ou Gæsariafü, les aucîm^aitf
les r udktrtk
Soldats d'infanterie de ligne de la légion romaine, les iriatitj hasfali et principes.
Le castjue de bronze des plus anciens i leur coite d'armes ; le subamakdii laine et les épau-
lières. Ijù ^mioral en bronze. T/éîxkî de lironze, sa poignée, son fouiTcau, son baudrier.
La ceiiifcuie avec boucles de liroiijie, f^cs cnémühs eu fer. Le pihmi^ la lance. îja
]>ouciier roud. Les crêpkhs.
Ce meme fantassin, lourdement armé, au temps de Tempire» ou marche et eu tenue de
ciimpagne, Vimpêâitm. Cas^pie de fer, le cassm^ rauneaii jxiur le suspendre au côté de la poi¬
trine. Cuirasse, la hrica^ formée de bandes cracier. Le Ixmclîer, scutum. Ses peintures et ses
ornements de bronze. I/épée, le gladtus^ à lame de fer de la forme dite ibérique. Son four¬
reau, vagina^ le baudrier, batteus, jxuir snspenxlix^ cette arme. T.a privation du fourreau, pu¬
nition du soldat,
Le pihm, la lance à longue pointe.
La suharmaU en laine. fûniûraliûf les culottes; la cravate, focak; les caîigm, cliaiis-
sure cloutée.
FjC bagage porté par son manteau court, le saguhmi^ cnroulü et porté au bout
d’un bltoii, avec l outre contenant la provision d’eau, un sao en cuir, une puisette et une
marniite eu fer, et le filet pour le iiain et la viande. MeximdlîuSj et son bagage porté sur des
chars.
\ieqîiBS^ le cavalier,
l/u cotte d'annes en forme de daluiatîqiie. Cuir et mailles. L’épix et son baudrier, La
parmUf le bouclier. Iju hmeea longue. Ijcs catif/œ et l'eperon.
Le cmiurion.
Le casque à cimier argenU*, et la emtu de plumes; ses burcuiWf jugulaires. TiC snharïmth
et les braies. La cotte d’armes et les lambrequins. La cuirasse et scs épaulières articulées. La
ceinture a lanières pendantes* Le baudrier brodé d’argent, f.e cumpagus^ demi-brodequin. La
Ixiguette du commandement, le vUis^
Le tribun militaire et le pJiukraiKS.
TiC casque doré. La cotte d’armes à double rang de lambrequins* f.c cinchrium ou ceintu¬
ron. L’épéc celtîbérienne* Le parmionmij glaive court. Les caligœ du chef, brodequin fermé.
Les récompenses militaires, les/fMMm et les iorquis.
Le général en chef, imperalor et César impmttôr. Casque doré; cri sia de plumes jx^urpres.
fVitte d’armes prolongée par un triple rang de lambrequins. Oeintiux et ceinturon* Epée à
lame dorée. Parazomum. Bâton de coinmandt‘ment. Fatuditm$ntum.i grand manteau militaire.
La chaussure, haut brodequin fermé, teinte en pourpre, ainsique le vêtement. Les signes
distinctifs du grade supiicme.
liC signifeVj porte-ciiseignc de T infanterie.
Le cassis de bronze recouvert i>ar une tête de fauve* JjC subarmale, les bmies et le sagum,
de couleur rouge. Cuirasse, la hrka squmnaia. \i^ gîadius., le hallem et les cafigœ. lioigte
de la légion* Le sigmm des cohortes et des manipules.
Le veriliarmSf porte-éventail de la cavalerie.
Son armement et le caractère du vexülum.
Les "kcliiiteure.
Le mirmilhii; le casque à "rille; le hmssard do lames de fer î^rtitniées j Tépée droite. Les
sangles, ceinture et ceiutiiron. Le mmpeAfrfi plissé sur les hanches| les jamhos diffV'remuient
années; la mémnh de bixiîn^c; rtmiploî simultané du rakfius et de la cffhga. Le mffmn,
TjG ihrapx. Le casque fermé. La liante jambière de bronze, IVcr^iî. Les brodequins laera. Tja
s;Vüs^ répëeditede Thrace. Le gantelet de fer de la main tenaiit cette arme; hiparma fkrr*
rnlka^ le bouclier.
Le réfmire. Son filet et Sii fusema ou hidms,
[jV'paulière en hronxe et la manche de mailles à gantelet, etc.
T/origiiie des comlnits de gladiateurs. T^eur caractère religieux. lies dilTéreuts combattants
du cinjue. T^es e><sè(Iark\ midubfikrr^ fhmtchœri eaîervarii. Les ou et
le rtidiarms.
Les aigles des légions. Leur aspect difTéieut. Leur prestige.
TiU pinm on la pomme de pin , au sommet du signum.
Les pereonnificatioii.s de Home, coiffées delà tète d’un animal cornu, ou de casques dont la
forme nipptdle roi'igine phrygienne.
iT
Le chef rnilitaïre romain portant k klri/f des Egyptiens.
PL — Homatt^.
Cérémonies religieuses. Les sa^u'idccs et les offrandes.
La purification dhin camp, stioirkmriifa. TiÇ niarfmîis ; Vaagumk, Tjc famillus et\iyspmtflaff-
h s, joueur de la double flûte.
r^cs ifirtimarn et les îmnwhlîts. La vil fa sacrée, la bandelette à fraïiges du taureau ; la serkf^
l’eiiguirlandement dn porc.
]é(^ Jfnmm ; hpo^m^ sa hache la scem ou meena; la dokibnh Le mlfrarias. Ces dmix der-niers
portant le limus^ le jnjxm; sucùimhts, lorsqu’il est court. Le Nl/Hm, gateau.
f jV/m ou rautel. Res formes, et les matières qui y furent employées, li'ara l/umcrfimK
] '‘ù/rnspirimn^ la divination de Ta venir par l’oliservatiou des matières en tl aminées.
IM. :U). — Romatx,
( )hj ets du culte et insLj'nments des sacrifices.
Trepiü<ls; arfrm, boîte i>oiir IVnceiis ; i/mrihfhim, encensoir; pnefirkiflio}}^ vase |xuir îc
vin sacré, lîénitier. Patères, Cage ;;î///-roVc. Tiatou aiigiind, Aspemur. Afalkas^ nmiileL Hache?,
aneres et secares. CouU'aux pour égorger. Couteanv pour <hk?onp(‘r : la serm is et la doîahra;
serespifa, fusil de boucher, t^impuimi^ ciiiller. Fourchettes et spatules. Cuillers pour rcncens.
Le Ntmts, la trompette, et le ft/mjmnam.
^ 19 _
P\. 4iK — lîaMArx*
f %i.stlimes dvils de IVpofjne inipernile
i \\ va 1 i er com 1 mt ta 11 1 de 1 ’ épee,
Les to^es, ïiQ toffa resfrfcfa, la rofo?ida nu (ù^a fitm. Tja pmJexte, du iinm de la liaudo do
jioiirpre rjui la bmdait. La ioga pura ou inrilh. Jja ioÿapkkt et la pafmafa, la toije du trioin-
pliateur, La toga ram^ les fof/m viJreæ^ c’est-à-dîre transparentes, et la iof/a irila,
JjL* hgatua et le logalK/m. Tjo r/fHdkhifffi. IjO rdnlus^ voilé de la to^e. TiC eûicftts gahkim,
la to<ïe ceinte à la Gabkmte.
La to^^e, privilèiïe du citoyen romain* LYkliicatmii qu'exigeait le soin de la draper* l^a
disposition de ses plis : le double-v/mf-'t, le èfïtofs et i'umbo. De la façon dont on en usait
jiour la marche; des manières dont I Vira leur la disimsait, et aussi le suppliant, ou encore les
gens en deuîl. F^es couleurs, selon les castes* 8es fonnes divci'ses. La toge, parure du lit nujdiah
La pliysîonoinie sévère de la toge voilée, I/orateur à la tribune du sénat, dmis Tinviola-
bilité de son droit, lAdjsenrité de la couleur de la toge de deuih
La togafaf à l’usage des femmes, particulièrement des courtîsaiios, La tiiniquc portée
iiYQc la toge. TjC ckivm angustus et raffgu^tlkhve. l^e rohbmmf tunif|ue courte. Les cale¬
çons nu culottes conrtQiê^ femmalia ou femoralta; lesbandes enroulant la jamlie, le
ftmlarinm^ cravate ou mnnehoir. Le eukenfi, chaussure fernuk^, Les clmiissettes et les bas. TiU
(lomeMim msHSf la tenue d'intérieur; h spufltemia.
fiC paiîîum ou la jmifa. Son caractère difterent du grec. Des façons dont en usaient les
dames romaines* La skhf, la robe de femme; ses variétés; passée par-dessus la tunique in¬
time* ÎjCs deux ceintures* J/htnHia; la queue des roljes,
Ohaiissures diverses, depuis le soulier ]>loiîi et sans épaisse semelle, Jusqu'à U crépidc à haute
semelle également cri usage*
T^a grande pudicité du costume féminin* Le pffUium porté par la matrone romaine* Le
elvevelures natm^lles teintes; les perruques* etc*
Pi. Il* — IhXMAlX*
Poiffures en cheveux; perruqiie*s et hnnnets; bandelette et diadème*
IjU Ixinnet des marins, La perruque, rafmidrîfUL
PI. 12, — ÏÏOMAIX,
Les amulettes et les talismans, les ahmxm.
Les probi'ftj aïïl'yimmîbi et les pmdsctfn\ L abntrft îahm. La
crédulité a leur
fînjct et rintroduction i\m pîciTos ou des métaux dont ecs pré.'^ervatifs étaient faits dans
les parures, comme les colliers, les coifFnres et les bagues.
PI. 43* — Romain,
rnstrumciits de musique : à vent, à cordes, de percussînu,
1" Les fîbm : amna, Jishda, k flûte; la Hbia ffmf/rwa, le fifre; la tüîa hnqa^ les iihfœ
pares^ la paire de flûtes; les tihùn m^uncf^, la double flûte; les libm imp{fref^\ d’nu dia*
mètre inégal, La iibùi obltqm, la flûte fourcliée ; la Hbia idrmtîam, k musette, T,cs trom¬
pettes, faites de corii&s, de corpîilles ou dkinim Le corrntf grand cor circiibîre,
2'* Mo7Wc&rdes ; dicmde; iriÿonum; lyre, harpe et cHJmra,
3* f 't/mbahan; Hntinyiabiiliim ; timbres ou cloches. Tym}}fmm ; tamljour et croiaUim,
Pi. 44, — Romain.
ifeubles et objets mobiliers. Chaise curiile, Bois de Ut, Taltle basse. Armoire ou bulTet. Coffre-
fort en terre. Clef et cadenas ou eenaire mobile. '\'asc de repas.
PI, 45, — Romain.
Les bains particuliers.
Ustensiles des alipiif\ les épilcui'S, et des alipifs^ maniant ies sfrâ/ifes. Les huiles, essences
onguents et parfums.
]ja gausape^ blouse de bain*
Type du bain de %’apeur etde ses phases successives, fourni par rantiiiuité*
/rigîdarùimf la salle pour le baiu froid; le ieptikiritinif pour le bain tiède ; h caldarHm^
l'étuve, et la salle du Ijassin ou lahrum, dans lequel rinimersioii se fait, eu même temps
(jiPagissent les alîptes, et tour à tour, les épileiii's, les IradaioreSt les inasseiins et les micf&res.
pour le chauffage de Peau et sa distri bu ti ou.
Le laconicttnij élevant la température de l’étuve ; le cUpem la réglant.
Les sfrigiles, Tétrille, le lucloir, le ffufius.
Les pincettes de Pépilcur,
Lés flacons et ampoules* Les bassins pour l’immersion pirttellc.
PI, 40, — Romain.
Type de la riche construction étrusco-grecque. Intérieur de palais. Restauration, avec le
plan d’ensemble de rafrmm, et la vue de Tune de ses aikSf les chambres latérales.
Ijuh trollhccs lîiîlitiûres €t iiiiirit/iinusi., Hus? autels^ ticpîüds, et les tabler d'ylîrandu aux
Lares.
IM. 47* — AxTiyrK.
Chccimureffj depuis les primitives jiis^ju'aux santlales liturgiques des Papes, et les souliers
de cérémonial de Charlemagne.
r
Tyiïes Egyptiens^ Pci-scs, Caukiîs, Hiius, Lombards; prineîpalemeut les Grecs et les Ho-
maîiLS, avec leurs modes et usages*
La carkiime; la sandale simple, la crepidu, la lami, h solea^ la atligaj k paUicaf le cam-
p(i{/uSf le safuîa/mm, le weulvs^ le rothurnCf chaussures plus ou moins ouvertes.
Les chans-surcs closes ; Vûcreu^ le le calœm^ le mHÎkus; hpkmisium; VudOj odonùf^
odonarîa; les tidomSf chaussons et chaussettes.
L(i*^ÿCtonm^lt% lacû^nques m fmï/chïdts^ hn périharkles, les perslques^ le jmilop/tdhsf etc*
Lan scitlponm^ la ^ahehe^ hi soiea des esclaves; ce qu'il convient d'entendre pur les pieds
tins des gypsali et creiafL
La chaussure du pied de riiomme libre.
La Upuki^ Tagrafc de la crépide, portée \}hv le citoyen*
Les lois spéciales doterinînaut le caractère de la chaussure, selon les classe>i, chea lus Ro¬
mains.
La matière et les couleurs des cliaus-sures* La cordommnerk^ Valtila, ÎjCs semelles eluutécs.
Le luxe effréné des chaussures. L’usage, par les dames romaines, des semelles épaisses pour
se grandir outre mesure.
liC baiser de la jamlK! et du pied du cher, cheîî les Francs. Le baiser de la mule des pa-
pSj etc.
i’I. 48 et 49* — I/Eüuope HAHiiAUE (pl. donide).
Les habitants primitîi'sde F Europie, typées fossiles, depuis les froplmhjfes des p>reiiiiers âges
jusqu'aux habitants des stations lacustres, uü se rencontrent les rudiments d'une civilisation
bien anterieure à toutes les civilisations des figes iiistoriques.
La rencontre des hommes les plus anciens avec les monstres paléoiitolugîqiies. Lus races
Inmmincs, différentes de caractère extérieur et de valeur intcllcctnclle, supïerposécs dans les
couches géologhjues.
La chyofiomélrie préhhtornjtie^ nu la chronologie de remploi des armes et outils en IxJÎsdurs
et en os, en silex taillé et en pierre piolic.
Los vétenicuts de peaux d’anîmanx cunservant leur pmil; le cuir travailléj ainsi que la
laine, le chanvre et le lin. Les parures fuites de caillbtix, de coqüillageSj de dents d'ani¬
maux, etc.
Los guerriers de raco Itiaiïdiu dont les famîlks oui détruit reiriiiire roiiiaiii, et que les
gréco*Iatins ajuxjiaieut communémeut les Ifarharefs. Ages du laroiiae et du fer.
ijcs Ibères ou Slaves^ les I^aslmes ou 7*^trusqifes. Jjes nfï/rims et les 77iraces. Les Galls.
Celtes et Kf/mrk. Les Gennams ou "feulom. Les .Sajlbes; ka tSarmaks ; les Smmüimves et
les FiWfcSf les 3Iéroît*ùiffs (voir au sujet de ces derniers et du Gantois^ k pi double ô6‘57j.
Période des armes eu bronze, et période des armes eu fer. Détails de rornement, du cos¬
tume et de la parure iiiilîtaîre, analyses à chaque ügiire.
Exemples isolés des armes en bronze, gauloises et ceitiijucs. Ouinisses, haches dont le
ccili jioignard, et poignée d'épée k lame en bronze.
Les armes en fer du canvetère mérovingien : hï fi amée, lance, Vanf/on, variété de la pique,
l'éjwcr, glaive droit, ainsi que k scfrmasaxe^ é^xk (tourte ou dague; la fimicisquey liache, et le
bouclier, de forme ciitnilaire.
VI OO, — SCAXDINAVli:.
Armes, outils, ustensiles, costumes et usages des âges de la pierre, du lironze et du fer.
De fâf/e de ta pierre. — Silex tîulîca et pierres polies, llaches, pointes de laiiees et têtes de
iicclies, ixjignaal, couteau, hache, marteau, grattoii-s, polissoirs, gouge, scie; vases en argile, ha¬
meçon en os, jierk en ambre, l’etiqxs des dolmefts.
De Vâijè du bronze.
Ptéguard; cellk douille, épée, pointe de lance; vase de susipeiision,
Lostuinc de femme, patiiissaiit celui des femmes guerrières les 8kz>ldmi}i\ les vierges au î>ou-
cher*
Les ttimifH^ les mtr ns.
De tâge du fer.
(îuenier saindinavc de la première période de cet ago. Le grand Intteau à elin, non jionté,
marebaut à la lumc. Figures en relief du dernier âge du fer.
PL oL “ Ce LT ig L E.
Ikriircs des Celtico-scamliuavcs de Page du lironzc. Diadèmes, collîeis, bracelets, bagues,
libules, épingles, boutons, i)Cîgîie et olqcts divers en bronze, du premier âge et de Ut seconde
lêriodc.
Des commencements de lUige du bronze eu Scandinavie.
l’L 52. — CkLTICÛ-HCANDIKAVE KT AïfGLO-SAXON.
Objets usuels: ngi'afus et Ijoiicles. Epoques du bnmze et du fer.
Fibules, broches, agmfes, boucles et fragment de eliasse.
PL '>o. “ Celticu-Scaxdlxav'e.
Piiriu'cSj agi iifeSîj buuclüî), etu. Usages fmiéraîrcs. Premières pèriudcs de Pàge du fer.
Dîiidènies, uulliei^, hraeélets,i>endelaf|UeSjaunulaires, fibules, büueics eu ur, eu argent plaqué
d’ur, eu brume, eu fer.
lîiide en bronze dbiii iîiüiij de ehosal. Aiguillettes de lanières eu bronze.
Le cbeval de Uî^fcaille, scs hai iiais, et jusqu'au chariot de eumbat, inhumés avec le chef.
De même, le guerrier dans sou Ilavil^^
1/liabitaut du le hogimi, assis sur sa chaise dans la chambre sèpulcralei
■
PI. ô J. — Ukltico-Scandinavk.
Armes, objets de parure, ustensiles de l'âge du fer. l^reinière période, moyen âge, et dernier
âge du fer. Pointes de lances et tètes de fièclie ; é]>écs et poiumcaux d'éi)ées; fourreaux et
Ijüuterulles ; éperons î étrier, umbo de bouelîeri plaques, garnitures d''embouchure des fourreanx j
JiôideSy dans Ies(]iiels on rencontro Peniplui de For, de Furgent, du bronze et du fer, de For
massif, de Fargent niellé, du bronze doré, des grenats enchâssés, de Fi voire, des os et des in-
crustations.
Ciiillei's en corne d’élan.
PI. bô, — PKIiTleu-SCAXIll.NAVE.
Pannes et objets divers. Moyeu âge et dernier âge dii fer.
Cüllieiï^, bradeakÿ^ bracelets, aniinlaiix'S, [xîiideloques. Fibules, éjiîngles, buiieles. Parure
en pendeiitifs. Perles, bijoux fiiignunés etc. Lemarteau de Thoi j et rétaiii.
Clef, et trousseau de clefs porté par la inèro de famille Scandinave. Onicmeiit en diadème.
Pince et curo-oreilles en bronze, La pince tenant lieu du rasoir. Peigne en corne d’clan.
Les sjokonuttgai^ les rois de la mer, du nom que se donnaient les vikinf/s.
— (JATLOiS ET FuAXrK-SALlEXS.
bas babihints de la Caule avant la conquête romaine, et du teinp de Jules César,
Chef mérovingien et soldat franc. Chefs, guerriers, paysîins, laboureurs et soldats. Les
femmes.
L'arnie-outil en pierre j lus armes défensivas et offensives en bronze^ les armes en fer.
Vêtements masculins. La mie ou blouse ceinte, de couleur unie ou rayée, comme la veiyulay
la saie aux couîenm de k guerre de F indépendance, iai bmtef la culotte longue et fermée. La
— :i4
taracafld uu ixilla-^afika ^ iimi<iUQ à manches couvrant le bras en entier* Le àardocttculle^
manteau à capuchon, uu réduction de ce vêtement (voir k hmdociicidk, grand manteau, chez
les anciens Bretons, pl. 425, Ecosse)* La [jèlerîne mise en châle ; le mÿumf le court inante^ui du
soldat romain* Vêtements généi’alement de laine, parfois décorés des rayures de la limousine.
Souliers fermes et bottines lacées. Films de forme phrygienne on l>ounct de peau consenant
son poih Dans la tenue ordîmiii^e, les cheveux flottants, ou leur masse tombante î^tenuc par
une bandelette, à un ou pliisiems tours, nouée sur le côté.
Pour les femmes. Deux tuniques superposées, la supérieure à manches, et descendant plus
ou inoms Las. La robe plus ou moins longue et le tablier* Le corsage | le manteau, le pallium.
Tjc soulier fermé. La hulffa^ la sacoche faisant roflice du rkikuk.
Cheveux flottîints, ou noués en œrijmbe, ou enveloppés d'un mouchoir de tête enroulé. Pour
leur parure, la résille, les bandelettes et la tiare* Les chevelures poudrées, les joues vermillon-
nées, les sourcils teints, le fard.
Type de la coiffure en cheveux du guerrier* Lktrmnlodonj le chef de cent-têtes j de même
pour le simple soldat* Soldats et paysans armés, sans aucun armement défensif*
Guerriers plus ou moins armés de toutes pièces du temps dti bronze : casques, cuirasses,
jambières, boucliers, épée, poignard, lances et hache.
Cavaliers chargeant ; le liarnais de leurs chevaux.
Jj*enseigne nationale, le sanglier d'or, servant de masse d^aïuiies. Tyjxï du coq dans Tattî-
tude du combat.
OueiTiers gaulois de Tépoque du fer, du temps de Vercingétorix.
Soldat sous les armes pour le combat*
Le casque â cornes, à cimier en rouelk\ Le bouclier avec Vtanbo; le glaive à lame de fer.
Le soldat portant le carmjj^, la trompe de guerre, porte-voix de bronze faisiuit aussi Tof-
tice d’une longue massue. J^a calotte de fer sous îe bonnet de fourrure.
Le chef gaulois porUmt Penscigiie de guem.
Le casque ailéf bronze doré à crinière flottante, accoté d’une paire d’ailcs d’oiseau de proie.
Cotte d’armes ou brigandino renforcée de bronze \ haut-dc-cliausscs.
Le chariot, ou la paire de roues, avec la faulx taillée en scie, et Péperoii, engin de ba¬
taille. Le casque ceUibérien^
Tvc guenner vaincu, les mains liées derrière lu dos, dépouillé de ses armes et de tous ses
vêtements ; la sak figurant dans les trophées du v ainqueur.
Ij’indépeDdauce individuelle du Gaulois. JjCS Belges, lus Aquitains et les Celles.
Les Gaeh primitifs, tatoués ou le corps teint. Le chlan et la tribu. Le déploiement de la
race des Gallo-A'ymris. Pasteiii's, chassciii's, agriculteurs, industriels et commerçants. Leur
tactique militaire.
La magniliccncc des costumes et des armes des chefs ; leur prixlîgalitc. Le luxe de leui's
pas. J M foule de leurs dévoués clients* La passion du vim
Le preinier regard de rcrifarit^ le glaive de bronze.
I^a table ronde, la table de 1^5sral^tL^
• «..J
TiCS autels du druidisme,
A quel prix lu Cîaule conquise fut romamsé^,
(Voir, pour les récompeîiæs et les parures militaires, ainsi ipic
lois, les deux planclies suivantes n*"* ,"i8 et 59.)
pmir la bijouterie des Oau-
Francs-Salieris.
Chef mérovingien, cavalier; et soldat franc, laiitassiM.
Pour le cavalier, la tunîqiie courte, la jupe et le nianteaii.
Pour le fantassin, la tunique courte et les culottes serrées ou le baut-de-cliaiisses. Pour les
deux la chauRsiiî'e à semelle épaisse, assurée par les liens cntrecToisés et inontaut sur la jauil>e.
T/éperon au pied du cavalier.
Casque du chef, calotte de cuir et de bronze*
Le soldat, tête nue, n*y ayant pour défense que de grosses ti'esses de scs cheveux*
Anneracnt défensif. Une peau conservant son poil, tenant lieu de cuirasse; une rondelle à
main à ombilic pointu.
Armes oITensives, lYqxie sus|>cndiic ii un Laudrier, le seamasaxüj hi frùmêe^ Vtvif/ûn j et a
fraïickqfiey arme et cognée*
Détails du culüer du chef, de la poigncD de son épée décorée d’émaux cloisonnés, et de
rorfèvrerie du 1 baudrier du soltlat.
(Voir, au sujet des annes, la planche double ci-dessus, 48-19 et pour les pièecs d’orfè-
vreiic-joaillcrie, la pl, 58.)
PI. 58. — PiATLOiS ET MkROVIXGÎEN,
Parures forgées et orfévries. Bijouterie* Broderies ïnoderiies conservant le caractère ccltirpie*
Torques f colliers milita ires* RomJks ^ omements de cou* Bracelets, agrafes, fiîmlcs, épin¬
gles et aiguillettes* Boucles et jilaques de ceinturon* Oniements divers; les clefs, passe-par¬
tout L’aigle, décoration militaire , de la famille phaUrm pecUmles.
Or; argent; bronze ciselé et gravé; brojize doré et émaillé; ven*oterîçs simulant les pier¬
reries* Pierres montées en cuboclions ou incrustées. Émaux cloisonnés,
Brixîeries bretonnes*
19. 5lb — OK.VNDK-BUETAfîNE,
J.es lhikmnii\v[ temps de roceupation romaine.
Les nations galliqiies, éW/rs ou Gmmrs {\2 Khnhr m\ Cfinri^ Ginnirif Ktjnm^ Cuuhre).
A
'f
ï
— —
Irkindma et le Calédonie}i {Scoîi et Pkti) ou VAtbankn.
Le gucnîer nu, tatoué et peint au pastel*
Le costume d’iiiver des habitants de rüc d^Iriie, i'Irlande*
Costume de guerre des Bretons, eliofs et soldats^ ]ûétons et cavaliei's, I/offtcier en eos^
tume fûmarmé.
Insulaire des Cassiterides (les Horlingues),
Druides juges, femmes et prêtimses.
Les Gallif prêtres de Cybèle ii Rome.
Les hrehonnes^ les vieilles lois de bfrlaiide, et les chefs militaires, les rois dalrkidiqms.
Les chiens de combat des armées bretonnes ; la tactique militaire*
Les armes de métal, bronze et fer, et aussi de pierre* La niasse d’annes en argile cuite
Le cùfar^ le métal pour la fabrication des épées. Les Bis de métal en spirale. Les ouvrages
d^or et dhvoirc, iieigncs, aiguilles de tête, cuillers, etc.
Le verre et les verreries colorées. Le drap de laine et les élolîes bariolées dans le goût
des tartans écossais, aux couleurs du dan.
(Voiries costumes écossais, pi* 4ii5, 42G et 427, formant Ja suite historique Jusqu'aux
temps modernes*)
V
TABLE ANALYTIQUE
DES PEAXGllES ET XOTIGES
(.SUITE.)
Deuxième I'autje. Plancjie.s üm a liiu iNCLUsiiVEME^îï,
Océanie. — Noirs et bruns : Afjburous^ Pu/miSf Amiraliens; jiiiuies et bis¬
trés : Mak(k et MaJai/o-Pülf/néskns .... *..
Aeuiqupl Régions éiiuatorialcs et australes. — Les familles noires : ^ftvueMfte^
mtêi/ambkmtef Soudanthine^ (thi/sshiknne, akvihu ou eufre; la famille
jaune : Iloiienfois et Bosckjesoifms.. .. ...
Amérique, du sud extrénie au pays des grands Essjiumau.x. — Naturels du
lîrésil, du Paraguaj^ du Chili, du Tiicuinan, du Nouveau-Mexirpie, de la
Sononi; des ICtats du Colorado, de Kansas, de Nél>raska et de T Orégon,
haute Californie. — Les JHum^ noii’s d'origiue alrîcaiue du Brésil et de
l'État de ljueuo.s-Ayre.s. Les d'origine espagnole, et les méfis. Les
Mexicains de la race couiiuéraiite et les sanf/s-mêlés. .. *...
Amérique et Asie. — Les Esqtim(ut.i\ ..... -
Asie. — CÂmois.. ..........
“““ UJfOtKtfS .i.É.r.i 141 . ■ .l..-.ll + fl 1
” i-rifinois üi i/a^jona ir^, ........i i*... • i.,.,......
— In(h-( 7 tinok,, ...... *, . » *......... . *.....
indOHS. * 4 . . 4 4 .... 4 1,14 4 ..
tSin^JiüIais ci Af ulu ,....44111..-■■■■ + .. i,4..4>ii.. ■■■...114
— 'i'ypes géiiéraiLx ; coi figures ; le turban,...
- PerSUfiS. . 1 4 , 4 1 4 1 * . 1 * 4 4 4 . . 4 . . 4 1 . . 4 4 . 4 . 4 . . 4 . 1 . 4 1 ..
— Attirail du fumeur ; Turkestan, Pei^e, Inde, etCi. 4. .. . ..., * * 4. ,..
■— La iJi'ièrc inusuhuaiie j le salut orieutal......,..,. ..
(10 à BO
éf f-r * 14 i4
(i ^ Il 1 0
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110 à 131
133 il 134
135 à 13iî
137 il 143
114
115 il 14ti
Asie* — ClniéfcieiïS ; moines et religieux.. .. ..
— S^ne. — liïontiiros rie voyage,..*..
Afiiiquk (partie septcntrioiiaîe). — Jlontiircfl et moyens de transport.......
— Aiÿérlûf Tunisie^ — Ijù?^ Kabpks^ \^ Ambe.% \Gs JImires^Gtc.
Tl RQUïK d'Asie* — Arméniens^ Kîtrdr?^^ Grecs\ 7\ir€o-
manSy BMi/nmis, Spn'efh% /h^ises, Jledouins^ etc* — !^^Qslîlmalls, chrétiens
et Israélites.
147
14H ■
14îl
15(^ à lOK
u:9 à ISO
IM.ANCIIES HT NOTKVES,
PI. double (io-lîj. — OCFANÎE,
Les .\oiks; Af/onrouSf ef Amtrahms. Kumt^aes. Koufm-I/hnem
Ijc costume et la toilette, rarinenient et les parures de guerre.
Tjcs âges du bois et de la pierre, encore durant*
TjC 1 — Cheveux eré[>és et teints ; peigne i)our les orner ^ ureille travci'sêc par une tige*
Colliem de cocpullcs, de dents dYuiimau.x, de mâchoires des petites espccs, Ceinture en iaj/a;
cas.se- tête, massue, lance harbclée.
L’indigène des Kouvellcs-Hêhvides, — Casipie en hois; poitrinal en joues tressés; glaive en
scie’, lance barbelée garnie de piquants.
WArossim (arebii>el des Salomon). — Aiguillettes et atmeau du nez percé ; dents noires et
lèvres écarlates, résultant de Tusage du Ixîtel ; clievclures cbouriftecs, divisées, teintes; iieigue
orné de glands et de plumes; parure frontale; collier de dents humaines ; hausse-col; ceinture et
bracelets de coquillages* Les coquilles travaillées, percées et polies, jouant les perles dans les pa¬
rures, et formant la raoimaic du pays; tissu végétal, le tablier riche et les jarretières; arc, sagaie
et casse-tête, dards eu bois ou en os, barbelés, emp<iisoiiiiés, la pointe restant dans la i)laie.
Le village fortifié ; les pièges de scs approches. Les cmbnscatfes et les surprises.
Le jupon des danseurs ; le casse-tête de cêrémoîiie, la cîiorégi'aphie entre les lioininea seule¬
ment. La condition des femmes* La nudité de la fhlc non mariée. L’Arossienno et la chauve-
souris vivante, la rousseltef (jidcllc loge dans sa chevelure.
T
Xaturol des îles rk l'Amirauté'. — Theveux rougis artificiellement, ou teints en blanc ou
en jaune; peigne à plume de coq; visage barlxnuilé, présentant im masque blanc ou rouge ;
tatouages; ornements du front, du ncîi et des oreilles. Collier de coquilles; lamiêntB pendu au
cou; bracelets; tablier en tapa fui; arc; fronde, casæ-tête. Coutean de ceinture à lame dkbsi-
dîennc. Le signe d’aniitic.
Papous de la XDuvelle*Ciniiiêe et des îles voisines» — Le Pupou-mafor, le Papoti tdëganfc et
le Papou habillé de laine.
Papou-mafor: chevelure non teinte, peigne et bouquet de plumes; amulette an cou, en forme
de figure humaine. Bracelets , la diversité de leur matière et leur accumulatioia Ceinture sup¬
portant la boîte à liétel Le peda, sabre couperet, arme-outil ; arc flexible, flèches barbelées-
Bouclier orné de chevelures humaines.
L'élégant : chevelure dressée, teinte en roux, poudrée on blanc; peigne de guerre. Diadème de
plumes et bandeau eu oblifjnc; visage peint en rouge. Bâtonnets au nez et aux oreilles. Ceinture
frangée. Collier de dents de cachalot et g'rand collier de coquilles; bracelet mobile, onié dhine
mâchoire humaine. ^lassuc en bois et son casse-tétc en serpentine; marteau d^irmes on pierre»
Lance au dard en os barbelé. J/d flèche légère servant de petit marteau.
Le Pa^xm habillé de laine, dhuie antique civilisation r vêtement eu sac, ouvert pour le pas¬
sage des bras et de la tête, chapeau hémisphérique, riche Imudrîcr portant un sabre droit»
Lance forte. Bouclier en bois orné d’incrustatKins. Bratïelets et longs ixndants d'oreilles.
Kanaqim de laXouvelle-Ciilédoiiic*— Esquisse de leur société. Les deux im*eë : noir bleuâtre
et couleur chocolat. Le morceau de tapa, soutenu par la ceinture, seul vêtement habituel ; tna-
nière de fabriquer le iapa^ étoffe végétale» Ce que pense le Kanaque de la chemise et du pan¬
talon, qa’il tient à posséder sans en user. T/usage qidil fait de la couverture de laine, sou prix
pour lui.
Les huttes, l^s pailiofes en figures de ruches, les trophées qui les surmontent» Leur ingénieuse
fixité dans les plus fortes tourmentes» La femme appartenant â lu tribu ; les femmes v ivant
entre elle.?. Le collier des fiançailles, seule sanction du mariage. Les femmes aux clieveux rasés,
ayant pour tout vêtement une ceinture on corde, et fumant la pipe en travaillant la ten'c.
JjCs chefs, Aou ou Alikirs et Icum sujeU les TamlmeL Le takafa^ prêtre, sorcier et médecin.
Le pilou-pilou ; le caractère do cette fête [lar exeelleuce de la tribu, doiiniiiit le spectacle de
la guerre. La toilette des combattants selon le goût personnel ; le iiwùt/ieau complétant leur
tenue» TiC masque de guen o, le donnant à rhonnue (lui le porte sur sa tête, une appa¬
rence gigantesque» TiU danse et les chants dont cette hideuse apparition est le signal deveniint
une frénésie de cannibales. Le début des hostilités ouvertes, le défi à rennemi. Les vestiges
d'ancienne civilisation. T^a fronde, les sagaies; le court casse-tête en bois, celui des chefs
comportant une hache en Jadéïte polie, ilarteaii «rarmes, dit c^igou^ en forme de pic.
Parmi les in.signes du chef, ranniilaii*ü du jxtit doigt de la main gauche, le tilhi.
Tje ^'ainpîve ou roimêife (Irrnt les poils, teints eu ron^e, servent k faire des tresses et des
gluiids. Ln ^■aleur de ces tresses servant de monnaie, La femme vendue pour un clou ; la gran*
deur du clou selon la Ijeauté.
Le fomahmvk on la hache, inséparable compagnon de lliidigcne; en expédition, la gourde et
nn sac à provisions. La mimique traditionnelle de rëtonnement imnm ces populations.
Australmifi, — La terre ingrate et non cultivée par les nomades, La marche de la famille
absorbée par la poursuite de la nourriture. Lu femme, bétc de somme. La dumj la cabane de
bi'anchages élevée en quelques minutes. Le sacrifice des puînés. La dureté du cliâtiment des
femmes ; leur mutilation quand ix^rit Tenfant que le père voulait conserver.
L’Australien ne sachant plus lire les écrits laissés par ses ancêtres. La dégradation physique
ci morale en niison de réloignemenb des côtes maritimes. Les épreuves par lesquelles on passe
avant d’être un homme fait, nn u'ilf/alki/if/is. Le mmiM ou le tatouage nécessaire pour être un
homme fait, un guerrier de la tribu. L’os ou le roseau ptissé dans la cloison du nez, ou
planté dans les narines. T^c corj>s barbouillé de rouge et de blanc. La peau frottée d’huîle qui
s’y accumule J l'incisive armcliée aux jeunes gens. Le court manteau de kangourou. Lance
longue en bois dur, unie et Urrhelée. Javelots ou sagaies, prï>jeté 5 h Taide du vtmmera. IJort*
7)ieratiffi cnssG'tùie. Louciier en Ijois ou en écorce d’arbre; haches tailkkis, en pierre. Petit sac
en filet contenant les ingrédients pour la peinture du corps et le boîs sec imiir faire du feu par
le frottement. TJinstinct sauvage de l’Australien m révélant à Tâge de la puberté. Le danger
d’habiller ces gens à renropéenne, et les conséquences meurtrières qu’ont pour eux les bas et
les souliers, la chemise et le paletot.
*
Naturels des îles ilarqiiises ; chefs A^outa’kmens on tenue de guerre.
Tatouages de la tête aux pieds (voir à leur sujet et à propos de remploi du moko^ la notice
de la pl. double 63-d4). Grande coiffure de plumes de coq ; diadèmes, aigrettes, appendices aux
joues, hausse-col, anneaux de jambes et bracelets, souvent formes de chevelures conquises.
Pagne en tapa, parfois un petit tablier de peau. Grand manteau de tapa. Coquille nacrée en
pendeloque. Collier de veilèbrcs de requin; moitié d’un crâne d’ennemi, pour vase à boire, et,
comme insigne du clicf, réventaiî en jonc tressé, muni d’uu niaiiclie, Casse-téte, longues lances
et javelots. Trompe de guerre.
PI. G5. — OCKAX
Coiffures de la Papouasie ou NonveUe-Guînée et des îles Yiti ou Fidji.
La chevelure devenant le principal objet de la parure parmi les peuplades allant nues, à
peu de chose près. Le besoin de parure, instinct de la sociabilité. L’arrangement des cheveux
variant d’autant plus, dans la ^rélanésie et la Polynésie, que leur nature diffère.
(Parmi les exemples que renferme cette planche, on voit souvent apparaître comme une
ppiiîg-Ie le manrlie du ]io]<,nio en hamlioii dont on orno les dicvehircs^ on trouve ce
peigne caractcristifjuc iw\é dans la [»!. r»(iO
1*1 douldCj et pL simples, nr^ et C6, — Ockanîe,
( X(it i ce CO mm une. )
^MAEAiFirE, Microxésie, ^MÉLANKftiE, PoLYxÉï^iE, — rosfciimcs ct iwurcR, armes et ustcn^
Biles ; usages. Les tatouages et ropératioii du mô?w, le tatouage incisé et enduit, le iatmtf des
Xo U vea ux - Zélanda is.
PersoMnages. — Jfahts de Jîivèi et de Bornéo, rhnjm ou îktHükHi le Bimm de Singapour,
divers ] ïajas en tenue de chasse et de guerre î leui's femmes. Kartm ou Chinois de Bornéo et
Pai’si de cette île. Thmrknn^ de l’îie Rotti, dans les Moluqnes. Indlm des Philippines, fîner-
rier Uavaim et daiLseuse (fiagnient) des Sandwich. Papoun^ Alfoiirom ou Tomadjm des îles
Célèbes, parmi lesquels TA 1 four catlioliipie et les dames du même sang partageant la meme
croyance, en grande parure. TjC milicien bourgeois de Tondano en 1828, et des miitelots de la
baie de Gonnong-Tello, nîd do pirates.
Pièces détaebées. — Coiffures, cbapeauxdiiomme et de femme, (^licroucsie, Jrélanésic). Le
chapeau de forme conique des Carolins. Ijcs mmou^^ des (îuébéens, servant de parasols. Les
casques des liavaïens. TjO chapeau de guerre d\in Sonltlian des Molnqucs. TjC bonnet du guerrier
des îles 8alomon, et celui des îles ^rarquises; enfin celui fait d’une écorce de friiît, en usage cbeiî
les Papous*
Chaussures. Sandale en feuilles de palmier (Micronésie, ^lélanésie). Sandale en paille et mule
de créole des Philippines.
Ceintures, en filaments végétaux, co(|uilIes et graines (îles Célèbes) j décorée en rondelles de
coquilles (îles Carolînes).
Cuirasse ou cotte d’annes en fibres de coco (îles Célèbes).
Colliers des îles Carolines.
Oineraonts de cou des îles Salomon*
Ornement de tète des îles ^Tarquises, et le peigne de Tongatal>oii.
Pendants d’oreille des îles Salomon*
Tj’émouchoir des Sandwich. T^a pîiKï en bois sculpté des îles ^rarqiiîscs. Le peigne à tatoueiv
ou le peigne du moko de Taïti; une cuiller en bois de coco, des ^loliiqiies' une bouteille en
terre entourée de vannerie et la grande cale bisse servant de vase aux 'raïtieus, et VohOj la
grande spatule de six pieds de long, leur instrument amtoire.
Armes.
^lartean (Varmes en pieiTe des îles ^rarîannes, Fronde, liant de lance en bois, carquois et
4
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V
— Z2 —
m.
tanibùur de la Papouasie; variétés du his, le poignard des llalais, rarme et son fourreau. T^e
/rampila?i ou coupc-tétc de Bornéo, Le kleiwifjf ou klenmi^ de Sumatra, et son fourmm avec
l’agrafe pour ia suspension de rarnie.
Dai/aa. — Ji'oran(Sf-oiitanfff rhomme du sol, le Binua de Singapour, existant au fond des
forêts et n’ayant que des armes exclusivement en bois. 1.0 mpet^ somupit ou sumpikm, la sar¬
bacane et scs petites flèches empoisonnées ; la pique, le glaive et le bouclier, le favahitp. Pour
vêtement, le tablier, un casque en calotte paré d’une peau de léopard et de plumes, une large
genouillère de cordons à une jambe pour les longs affûts du chasseur accroupi, La garniture
de plumes du sîpet court, utile pour guider le tir de rarme, La douceur des mœui's du
Biiiua.
Tlaya à peau claire, tatouée du ^loko* — Clieveuxrelevds en clugnon, jnainteniis par un ban¬
deau. Daya, coiffé de môme, portant la cuirasse travaillée eu claies,
Daya, cou])eiir de tête, en tenue de guene, — Dalmatique étroite servant de euîmsse ; long
sipet garni d’iiti fer de lance et ayant un point de mire en acier. Aux pieds de ce guerrier, Po/to/,
le seau on panier servant an transport de la tête fraîcliement coupée. La rentrée triomphale de
roitafc avec sa garniture dans la tribu. Le traitement et le sort de la tête du vaincu. Les longs
aftiits du chasseur d'hommes ; son habileté pour trancher les têtes, La superstition religieuse
mêlée à la passion sanguînuîre, Lts chasseui’s on coupeurs de tête de Sacaran vivant dans un
cUt de luxe supérieur â celui de leurs voisins, et en possession dhiidnstries rernarquablès.
Femmes day^is de la famille des Biadjoux, Putie des pins civilisées de Bornéo, —Yêtements
de coton, et coiffure de paille tressée, petite hotte en bois peint pour récolter des provisions.
Les Dayas de.s plaines et les pêcheurs, différents au moins par le teint de la peau. Leur aver¬
sion réciproque et l’état d’hostilité dans lequel ils vivent. Le village fortifié, retranché ; les mai¬
sons construites sur des pieux élevéKS; les trois échelles mobiles pour accéder aux habitations.
Préjugés de la jeune fille Daya, à laquelle son prétendant doit montmr, au moins, la tête d’im
ennemi vaincu.
Naturel de Bornéo, en tenue de guerre, — Cuirasse an forme de dalm ttique étroite, faite de
]jlusieurs pièces. Panier en étui formé pour les flèches du sîpet. Collier et bracelets formes de
gi‘ifies de tigre ou de léoimrd. Casque en jonc.
Malais de Bornéo. — Chapeau en forme de cuvette renversée; roljc coupée et large ceintui’c
aux bouts tombant, Kris à lame flamboyante, et dard de lance du même mode.
Javanais. TTomme et femme, vêtiLs du long et ample caleçon de caractère indo-persique,
Les]nèces principales du costume en Malaisie : hsaroejipj sarnnp^ saronp, saÂnmfp et sahron^t
le Jcolambî; le sab&ukfh -fcmi^ le sikajmni h cahaîe^ le ehektna^ le semboiff/ et le kmthuk.
1
— 33 —
Tjji beauté ])hy,sîquo selon les préjugés traditionnels, Î4’aplatîssemeîit du nez en vigueur
dans toute la Malaisie. Les dents noircies par un vernis; limées jiisfjii'à la racine, à HuinatîUî
cachées en les enchâssant dans une platjue dV, chez les Lanipoiings. L*habîtiule de mâcher le
sm\ coinmnneaux deux sexes, entretenant chez tous la couleur noire. Choisies Caroliiis, les
oreilles allongées par le percement du lobe inférietir au point de toiicluii- prestjiie IV’panle,
La couleur jaune passant pour une bt^auté; nolâes et dames se la procurant à Taîde du
henné et du ciircuina,
fja rTavanaîse mangeant de la terre, VawpOf pour se garder de rembonpoint. Le bétel chique
par les hommes, les femmes et les enfants. Le mouchoir rouge à Tépaulc de certaines créoles,
devenant tinc pièce du costume, T^a cliique de hétd passant de la Ijouche du seigneur tîaus
celle de son suljordonuo, eu signe de bieiiveilkincc, IjCs amants ikdiangeuiit leur chujue,
ou Chinois de Bornéo, et la femme indigène qu’il épouse temporairement. L’homme
dans le costume des jours ordinaires ; la Daja eu toilette.
%
Pfu.si ÛG Bornéo, — Costume indou,
Pmormme de la race des Lesgliiens, arcliii>t‘l des Mohujues, — Costume nioiilant les formes,
dans lecjuel entrent la cotonnade aux vives couleurs, et la soie mêlée de ML d’or. Le pagne,
seul vêtement conservé, d'ordinaire, dans Fintérieiir de la maison ; les seins voilés à l’arrivée
d’un étranger, La beauté des Lesghiennes, leur donnant des privilèges de souveraines. Le
mari, de condition inférîcnre k celle de sa feîume, étant k la merci de celle-ci, et pouvant être
vendu comme esclave par la famille de son lM?au-père.
IfidimilGS Philippines, Caravos, Loutas ou Boubanis, en costume de giierrê. — Armure, dite
de mailles, en réalité fuite de filaments végétaux. De rutilité de lu dossière, et de l’usage qui
en est fait dans le combat parle pûjuier, hommed'unnes nccompagné de servantB.
Papous des deux sexes, jnrrtant des ])iêces de vêtement de fabrication indomalaise, plutôt
comme une prrnre, (pie comme une protection de leur qnasi-niidîté balïitnelle.
(înerrier de lu garde du roi, aux îles Ilavaï ou ï^indwicli (Polynésie)^ — ^^anteau, dit de
plume, dont la trame est im filet; casque en /é, sorte d’osier; herminette, insigne de comman¬
dement. Tatouage spécial, damier en carrés, triangles et losanges.
Buste d’une danseuse de Tilc !^[osvi, une des Saïuhvidi. ™ Tatouages au cou, aux bms, â la
[Kiitrine, de petites chèvres contournant ses seins. Le caractère de la chorégraphie havaïenne,
Le grand ton pour les feninies des premièïx^s classes de recevoir les visites en étant couchées à
idat ventre sur les nattes.
‘1
— 34 —
Le tatomige, ou lu gravure delà i>caLi, son origine probable; les avantage.^ procure au
système cutané.
Le tatouage océanien, marque de dUtiîictîon, privilège de castes; coquetterie des guerriers
et des femmes ; moyen de reconnaissance entre les frères de la tribu ; chaque famille ayant son
dessin propre.
Le tatouage incise pour être imprégné do mokOf et la série de dents en fer constituant le
peigne à tatemer (voir le modèle de cotte hcrmiiiette, pL GG). Le stoïcisme nécessaire pour sup¬
porter Fopératioïi du inoko. Jja façon dont agit Topérateur, introduisant la teinture indélébile
dans la plaie saignante au moyen d'iin pinceau. Le long temps qubl faut pour la guérison des
plaies; et les reprises, pendant de^s années, pour arriver a tatoner un Zélaudais, du front à la
plante des pieds. Le moko du Polynésien, équivalent des armoiries de la noblesse euroi>éenne.
Le chef signant du dessin de son moko. Les honneui's rendus par Femiemi X la tête du guer¬
rier tué dans le combaL lorsque cette tête est couvenablement tatouée. Celui qui refuse de se
faire tatouer, demeunmt sans influence dans la tribu.
Ti^époux glorieux des décorations imprimées sur la peau de sa femme. CcIlc-ci ne pouYant
faire tatouer son visage que dans une mesure déterminée, mais ayant toute liberté sur le reste
de son corps.
La variété des dessins mêlés aux linéaments des tatouages, animaux et végétaux, récoltes et
fruits, combats, sacriflees humains.
La couleur noire du moko, remplacée par Pindigo chez les Timoriennes. Les tatouages^ poly¬
chromes, distinctions militaires chez les Orang-ïfatawis.
Le tatouage du bas-âge pratiqué par la mère sur son enfant.
Enfin, parmi les populations faisant le plus grand usage des tatouages, le moko interdit aux
esclaves.
Affoitroits ou 'roura(?Jai9 des Célèljcs.
liC gneiTier en tenue de cérémonie. Le kipa ou le papier mûrier, remplace^ par les soieries
et les cotonnades à Goroiitalo ; saroeng malais, veste en camisole, mouchoir enroulé en turban ;
fCampilanj et le bouclier, Sûlamako,
Catholiques aîfourous des deux sexes, en grande parure.
T^es deux écharpes en croix sur la poitrine des hommes.
I/énorme peigne en forme de croix sur la tête des femmes.
Ces dames, plus ou moins habillées à l’européenne, mais ayant toujours les pieds nus.
Le prêtre des Alfours idolâtres prophétisant sur Faspect des entrailles frémissantes. Le prin¬
cipal chef de la tribu, le kapuiabahk, ajoutant a ses fonctions celle de prêtre ou devin.
JjC salut par rattouebemeut du nez, le fehoumik des îles Mariannes, le baiser réciproque,
d’usage général pirini les indigènes, partout sauvegarde pour rétranger qui le reçoit.
L’anéantissement complet de la plupart des indigènes de l’Océanie dans un avenir prochain.
I/apjwrt des Européens chez ces iiisuhiires.
PI double — ÂFJUgrK.
Tjcs familles noires : ffumèmne^ mnègmnhhnne^ soudanknne^ ahjasimmm^ et celle des
AhanhuH ou ('afres^ représentées par V rindigèiie de la cote de Guinée ; 2* le Tohff et le Pmi
du Séné^?al ; 8” le PaJwmn^ les femmes JP Poi^fm et le fétidieur Bakakis du Gabon ; 4“ le
Jkrias du sud du Kordofan ; f/' le Cndla des tribus du sud de rAbyssinic j i'P ; 7" le
Passonfo et îo Zmdou de la Cafrerie,
Le Giiméen de la oôte appartenant à des tribus gnerriéres, faisnant usage du fusil à silex,
arme en fer rappelant la hache coudée des anciens Égyptiens,
Chef Yohff et chef PeuL
Yoloffs, Mandingues et Foulahs, ces dernici's subdivisés en Torodos, en Peuls et en Toiicou-
leurs,
YoloffV; vivant en corps de nation, divisés en castes, polygames,
La guinèe^ la toile de coton bleu dont leurs vêtements sont faits.
Le KoimaJ}^ la longue chemise sans manches, ÎjCs talismans, le toh^ préservatif infaillihie.
Le lamakay suppléant an tabac.
Le chapeau de paille, du genre dit bmnharmi Tarn pie dalinatique, la houhoit ^ la culotte
appedée y ata.
Habitude de relever les vêtements en les fixant pour la marche, la chasse et le combat. Le
stratagème du combattant s'en^ eloppant dhin mmge de poussière en remuant le sable avec
ses mains.
Les Peuls, Poules, Foulbès, Fellanes, etc,, nomades, généralement bergers, camimit sous
des buttes de paille, Clievelurc en petites tresses sous lesquelles on loge le reste en tampons^
reiisemble largement imprégné de beurre, La blouse ceinte par une étoffe en replis. IjC coh
Hcr dês Feuhj grand collier Idanc et bleu* T^arge emploi du cuir, travaillé avec habileté, et
de la paille, tressée avec un goût remarquable. Habre suspendu à Tépaule ■ arc long et fer
des flèches souvent empoisonné. T/archer creusant un trou ]iûur sc terrer, et tirer son lU'me
sans s’exjxïser hii-mémc. (Voir la siiîte des costumes du Sénégal, pl, 72,)
Gahonais^ divisés en JP Pongicèfi^ Shckkmis^ dits Boahus^ Bakatah^ et Fans ou Pa*
honîns : ces derniers supérieurs aux autres par leur énergie et leur industrie ; jxilygaïucs et
fétichistes, anthropophages et trafiquant de leurs morts, habiles ii travailler le fer. L’ar¬
balète, la plus dangereuse de leun? armc.s, et le terrible poison de ses petites flèches.
Tatouages de race; incisives limées en pointe. Population toujours sur ses gardes; village
disposé en forteresse, les enfants ayant des armes à leur taille.
Femmes Pongwés, — Fichu ne cachant pas les seins ; pièce d’étoffe tenant lieu de jupe
ou de tunique I pantalon; ceinture-collier portant les 7yimndah^ les fétiches, et aussi les clefs
SC —
des coiïres. Boucles d’oreîlle, bracelets, jambières formceH tranneaux accumulés ; bagues
aux mains et aux gros orteils.
Coiffure eu cheveux iiidiquaub la condition de la femme, mariée ou Le dégoût que
riiomme blanc inspire à ces négresses, et leur niainfestatîou lorstjn'elles en reiicontrenL
JJakalais fournissant les recrues de Técole de médecine où Ton forme les fétîcheni’s, école
produisant des ventrilotiucs qui se donnent jxmr des medimm. Le double canictère du devin
et du médecin, iiidispcnsabîe pour attirer la confiance des noirs j accoutrement de ces esiiècos
de lévites. Pagne bakalaîs retenu pur une ceinture de i^rles; emploi de lu clienillc rouge, de
grappes de perles et de sonnettes ; collier au cou et colliers passés en sautoir.
Les ijèrias^ pcujilade du haut Nil. Nègres indépendants, ne se couvrant que par derrière
d'une peau d'animal tombant de la ceinture î n'employant poUï' la chasse et la guerre que le
javelot, répée, une coiiile-massuo ou casse-tête, et un grand bouclier. Collier de fer,
non fermé, de ceux que Ton ne peut arracher à riiomme qui le porte qu'en le décapitant.
Xùjritims-GaUaSy tribus errantes et chasseresses, divisées en hordes, dhm canictère pri¬
mitif, un seul chef gouTcrnant la tribu. — Teixibles voisins, scalpant leurs ennemis à la façon
des Peaux-Rouges de l'Amérique; forgeant le fer a^ee liabileté, et possédant des artne.s re¬
marquables. Un peu moins nus que les Bertas.
Chevelure il l’état naturel, ou disposée en longues tresses, toujours enduite d'une épaisse
couche de beuïre. Front tatoué, ceinture en peau. Parfois ranneau d'argent à PoreîHe.
Bandeau de ]3eau de pantlière ceignant la tête, insigne du cheL Lances, gnind arc, épée
courte et droite, long casse-tête, couteau à dépecer. Boucher; collier de coquillages. Brace¬
lets en fer. Le nombre des aimeaux du bras disant celui des eimcmis vaincus par le gnenucr.
Abyssins, — L'anarchie constante de lem^ trois États princit>(Uîx, le Choa, TAinhara et
le Tigré.
T/Abyssin ne pouvant raster lalwureur, et prenant, coinine soldat, le caractère d'un baii-
doulier du moyen âge ; sa femme raccompagnant dans les expéditions. La bastonnade donnée
aux femmes de l'entourage des negus, T/Abyssin habitué à porter le manteau; les incoiiTé-
nlents fini peuvent résulter pour lui de l'abaiidon de ce vêtement ; usage du caleçon et d'une
pièce d'étoffe de grande longueur autour du corps. Le mètahf le cordon de cou distinguant
le chrétien. TjC saclict de cuir pour les gris-gris.
CafreSj Bassoiifos et Zoulou s.
Les Bassoutos, pisteura et agriculteurs, d'un vieux sang guerrier persistant dans les cou-
tmnes du berger; Pincision â la cuisse, rendue ineffaçable, et servant de clic\Tons indiquant
le nombre des ennemis tués â lâ guerre,
Kobo^ manteau de peau ; pukùije^ tablier de peau ; jambières lacées ; sandales, les Nehmhi,
PhiirUf calotte tlü ciiiiv lïomjiict de poils d'antilopes, formant niio parure martiale de la tete.
Collier. Grand liausse-col en bronze, dont la composition ressemble au bronze des anciens,
lîonclier devenant un étendard, un bâton pastoral et un engin de chasse. Zagaies ; ilpa^ ou
couteau ; ihako^ poinçon ou alêne; sitHet et amulettés, portés au coii; massue et casse-téte, arc
dont les llècîies sont souvent empoisonnées. Le Bassouto sortant toujoni’s armé.
La misère du Cafre privé de Ix^tail, La restitution fjuc le vainqueur fait souvent an vaincu
d'une partie du luitîn, parce que « on ne doit pas laisser périr de faim son ennemi. »
LVmction générale du corps avec des matières grasses. Le sibih^ poudre ; le mtiloMa, par¬
fum ; le passé dans Tomlle. Tju tc‘fce rasée par plaques, formant des sillons dans la
clievelnrc. Les bracelets en liojau on en ('‘corce; Tivoire, le enivre et les verroteries.
Ama-Zotihm ou Zoulmis.—^ Pasteurs et agriculteurs; stirtout nation guerrière, tons soldats,
as.siijettis à une sévère discipline. Leur état, sorte de réunion par sélection des 1110111001*8 élé¬
ments de la race cafre.
KohOj pukoije^ tablier, bonnet de peau. Bracelet militaire, anneau de jamlies. Double pare¬
ment en peau de léopard du manteau, insigne du chef ; plastron ayant le caractère d\m trophée,
Casse-téte.s, zagaies, bouclier pourvu d'un bâton poir^'ant servir d’appui pour la main. Are et
tlèche â fer empois^jiiné, etc.
Sauf pour les chefs, enterrés avec quelque cérémonie, point d’inlnimafcion cliez les Zonlous,
coiuiiiéîiçant d’alxjrd par éloigner le malade.
PL Glt. — AFHiQrE.
Nubiens. — Costumes, armes, ustensiles, et campement.
Ressemblance des Kennoits on Bamhrm avec les anciens Egyptiens. Leur cbeveliire les
] 3 réservimt de rinsolation, les grands soins qni lui sont donnés, et Textreme propreté de ces
gens. Caleçon de toile; ample pièce d’étoffe de laine driqx^e. Boulier de cuir. Poignard; mar¬
teau de fer. Bracelet portant un couteau; plus souvent ramulette du musulman. Lance ferrée
au talon. Épée longue, large et droite, arme nationale par eïoellenoe; fourreau siiéciuL
Bouclier.
Tente basse ou cabane couverte de nattes, close par des portières. Tète ossifiée d’hip]) 0 [ïotamc
et œufs d’autruclie, servant de parure a Feutrée de la cabane, etc. Le parasol â F usage du
chef, planté auprès de la tente.
Pi. 70 . — Afiiïquk.
1 11 d i gèi 1 es fl e Toml xuic to u, ( 1 * /// ovs, IJazi/ ou
fktrf/ (l’égions du haut Xil.)
femme non voileo et jouissant de la plus grande lilxïrtù à Toml>ouctou, portant la
fjandoura k larges manches et le iiioucïioîr de tete, L'Iiomme coîtï'd de la chechta, habillé dhiii
gilet et d'une veste.
C/iilhtiks, piisteuiT? et agriculteurs ; peu vétiis, protégeant leur corps au moreo d'une couche
de cendre de bois, ou dhm composé de bouse et dhirine de ’^'aelic. Chevelure disj-josée en crête,
en casqucj en éventail^ le^ cheveux étant raidis avec de Targile, de la gomme, etc* Oolliei's de
coquilles ou de morceaux d’ivoire; peau de panthère pour vêtement* Tjaucc, sabre recourbé,
Ckty.% du fleuve Iflanc* — Calotte de coton sur les cheveux tressés en cordons; pagne,
collier et biucelets* Javelot pour la chassé aux éléphants.
Xmms-îtküm^ Soudan oriental — Tatoués^ incisives limées en pointe, cheveux en nattes ou
en boucles* Bonnet en calotte et haut bonnet surmonté de plumes* Parures en dents d’ani¬
maux* Peau tombant do la ceinture, unique vêtement* L’appendice de l’homme à queue s’é¬
panouissant en arrière en un large éventail Javelots ; lance barbelée ; le sabre k lames courbes
et à ]>lusîeurs pointes, le iroumhacke.
Bazij ou Bary^ du Xil blanc* — Hommes entièrement nus, arrangeant leur chevelure dans
le genre des Chillouks et des Xiams-niams. Femmes vêtues d’un pagne élégant, orné de
coquilles et de verroteries* Ijong bouclier ; lance et flèches barl>elées*
PI 71 . “ Afrique. (Régions australes,)
Caire s et Ca fri nés, pays de MahoMo et pays Btulmmnm. —
Bmsoiilo^^ MaUahhûU^^ Amalxù&m et Amazotiki^iS ou Zonhifs.
Le tatouage, base de la parure pour les deux sexes. L’onction du corps entier, prélude de
la toilette* Climat n’exigeant pas de vêtements, et la pudeur se contenUnt de peu, sous ce
rapjwrt. T^e tatouage en saillie sur la peau, cicatrice en relief procurée par la brûlure de liu-
cision faite au bistouri. TiU jeune fille bravant la soiifFi'ance pour recevoir cette parure ; les
femmes tatouées k profusion*
lies enduits graisseux, oignant la tête et le corps tout entier, mesure hygiénique devenue
un élément de coquetterie. Ijc comble de lélégance pour l’Afiicaine ; se montrer luisante sous
la couche de mpafou, huile parfumée.
Le beuTTe végétal, le ré, les pommades fortement aromatisées, et leurs émanations.
T/enlèvement d’une incisive en haut et une en bas, ou ces dents taillées de façon à former
lin vide triangulaire, marque de race pour les demv sexes.
Arrangement des cheveux très ^ arïé. La chevelm c des femmes servant de pelote où sont
fourrés les menus objets» Les arrangements de cheveux demandant plusieurs joui's de travail,
et ayant une durée de six mois et plus. Lu tête rasce des élégants portant la perruque en cor¬
delettes. Le nküîa^ rendant les cheveux coinplèteniciib rouges,
r/épi la ti O II générale, sauf aux aisselles. Sourcils des hommes et des femmes également l’asês.
Les repeints ajoutés aux tatouages, et au fard du visage; le pour ragnindîssemeut des
yeux. Manteau de peau : sa forme variant suivant le sexe; celui des hommes fort exigu*
ChaJcal^ recouvrant les parties sexuelles» Jupe, ou tabliers, rua par dev'ant, Tautre par der¬
rière» Ceinture en cordelette servant a les soutenir. Blouse, esjièce de scapulaire» Bandelette
voilant les seins des daines, ayant surtout le caractère dhîne parure,
T.e singulier tablier de Tarrière eu usage chea les femmes des Nasstekais qui ne portent pas
de jupe.
T^es bandelettes de cuir enroulées aux jambes, et les anneaux qu'on y accumule. Tjà sandale
de cuir.
Colliers, bracelets d'avant et d’arrière-bras accumulés sur un seul membre. Les clochettes
suspendues aux jambes des dandys» Bagues aux mains et aux orteils des femmes. Cartilage
du nez souvent percé, lobe de roreille largement fendu et les bijoux spéciaux pour ces ouver¬
tures, Tout le monde fumant la pipe de bois.
Zagaies, massue, bouclier en peau, etc»; (voir le Bassouto et le Zoulou, pl, double 67-6^)^
Les vêtements, pamres et armes sont désignés dans la notice avec le nom qui leur est
propre*
Pl. 72» — Afuiquk»
Costumes du Sénégal»
IjO-s noirs et les iraures. “ Le 'riedos^ rhomme d'armes. — Ferduk^ manteau drapé ; hhé,
surtout en forme de chemise.
Tja gtiinèe et la toile d'Amérique»
Les signores ; les hauts bonnets ; le mouchoir de tête ; le turlmn disposé en pointe» T^es v ariéto
de la lance, l'arme nationale. (Voir le Yoloff et le Peul, pl. double ()7-G8,)
Pl» 78 . — Afrique.
ifoiimiùh^ (*afres et BMfomnm; particulièrement le Hottentot pur et les Boschjesmaiis.
Physionomie du Ilottentotj de nuance jaune enfumée, produit d'un croisement de races.
Le krosse ou Icaross^ manteau en peau d'auîmal, matelas pour dormir, linceul pour la sé¬
pulture, Le tablier de pudeur ; le second tablier ajouté au kut-krosse et tombant
sur îe.s reins, pièce importante de la toilette des dames. Calotte de peau pour l'hiver et en
temiüs de pluie, La chevelure enduite de suif et de graisse faisant un bonnet de mortier noir
dans les grandes clialeui's.
T/habileté dea Hottentots pour la préparation des peaux.
Les avantages sanitaires de Toïiction du corps entier par une matière grasse. î/infetrtion de
la graisse de mouton et du Ijeiirre animal et végétal combattue par le huku ou huckit^ parfum
à odeur forte.
Les peintures dont les Hobtentotes sc Imrbonîllent le visage. Les %"errotcrîes et les ^jerles
fausses entrant dans la composition des colliers, bracelets, ceintures et tabliers. Le soin parti¬
culier donné au tablier exigu tombant des reins, de manière à attirer le regard sur le tîévelop-
jjcmcnt postérieur dont la Avenus hottentote se montre fière.
Types de la femme riche portant le hrosse en double ; do lliomtiie en toilette de guerre, et de
la grande parure nationale de la femme de la famille des lîoschjesmans, Bmûi Bartrnanii, telle
C]u'on la voyait en public et dans les salons, à Paris, en 1815.
Cafres et IJefehomtnas. — IjG Æ^rr^'oii indahi^ bâton ou courte-massiie en paire, La che%*elure
des femmes disposée en plate-fonne pour j porter des fardeaux, un grand panier, niï Viise de
terre cuite, etc. Le collier de griffes d'oui'S d’un chef de tribu. Le Imndeau de front, dit le
€ cordon des 7narîés » porto ixir les Betchouanas des deux sexes.
PI, 71. — Afrique. — Attirail du fumeur.
Pipes, calumets, porte-cigares et accessoires. — Exemples provenant de la Kaliylie, du Gabon,
du Sénégal, de la Hottentotîe, de PAfrnjue centrale, de TAIgéric, de Madagascar, de la cote
iPAjan, des rive.s de la mer Rouge et du Haut-Xi l, de P Abyssinie, de Kartlioum et de rem-
Im UC h lire du Congo.
PI. 75 . — Afhiquk. (Partie centrale.)
Suite des types ci-dessus.
L’usage du malokonanèf le chanvre; la manière dont on le fume, les femmes comme les
hommes, et æs effets sur la force pliysiijue et sur le moral des gens.
PI. 76 , — AJiKlUQUE.
Indigènes du Brésil et du Paraguay : Gifarams, Qmübes ou Cnrîbesj IhlocudoSf
Ca?mcaus-J/nf/oî/o$j Pims ,
Xomades en marche; port des enfants. Bagagede la famille. Bonnet de plumes, îc cJmro ou
stiaro. La barbote^ boîoqtie, piimaio. Parure de Pareille, le bouma. Le ^mcwin, tacanhobaf ia-
cmiîoba; kyranayka. Tablier féminin.
liO hamac du Pu ris; la hutte de verdure, cuarL Trophée : tète desséchée dhiii ennemi.
Coutciiu, ciseau, Vom-o. Instrument de danse, k kedtieelK
L’arc, Itf/onia. Plèches de guerre et de chas.«te.
I
41 —
I '
Colliers; cUnpelet ; plumes.— Clievenx eiicouronncj fiottants. — Ttviutnrc du corps ; Vttrifci/f
le gmiimha.
Filet î ustensiles î outils ; briquet, le jiom^nan ; mannîte de terre, courtes, lirkfock; golje
Icts; le porte-Yûix, ftfïm/r/i/Èîïm ; hache de fer^ celle de pierre, camfoK.
Poiè^ le feu ne s'éteignant jamais.
PI. 77* — AmértquEv
I
Brésil. — Chili îndieiu — Etat de Buenos*Ayres,
Les noirs musulmans du Brésil^ les qidfhndeirm de lu nation Mina, portant le
» '
turhaii,
li^e^lado imhmih^ TÉtat indompté du Chili. Les Araucaniciis qui roccupent; les Peguen*
ches. Les Cîauchos des pampas du Rio de la Plata.
LVijeron chilien; une voiture primitive. — T/industrie des Araucaniemies. — Le long
manteau, le toupou, la broche qui le fixe, ponclw, manteau et couverture. Le chi-
riim, remplaçant le pantalon. Le Uradar^ ceinture-valise, etc. Jæ couteau porté sur le dos ; le
lazo^ des holas et le rehenqiw^ le fouet.
PL 78.
Amkrique,
C/iihhi^f Ârfmcms^ Créoles espagnols, et GiUissûs^ métis issus des deux races.
JiC ponc/iôj dalmatiquc sans manches, vêtement national d'antique origine ; son décor en
bandes rappelant Bornementation des vêtements do peau. Le chapeau en pain de sucre tronfiuê,
dn même caractèi’c indigène. Les cahomt’as de toile lilanche ; les guêtres ou jambières de serge ;
h^iffjoîes^ sandales de peau, et réperon i[ai s’y ajoute ou s'adapte au pied nu, du côté droiU
Les itéom, agriculteurs et pasteurs du Chili, de Tucumau et du Paraguay. La descente des
montagnes, à Ja îwnasse. Les OliilLeiis, excellents cavaliers, domptant le cheval sauvage.
Indiens arrachant leur barbe en se servant do pinces faites avec des co(|nitles,.
PL 7Î1. — IMExrrATN.
Race indigène, race conquérante et les mêtisj sangs-7nêîé$.
I
Les Indiüs hraro^'i, nomades, insoumis, représentés par un chef Lipan en costume de guerre.
Accoutrement typique : diadème de plumes, tunifjue de peau de bison; silllet cylirulrique,
insigne du chef; bouclier empanaché, arc et dard de niseau it pointes barbelées.
V
a
)
J
i
}
^rexieains de In race espagnole, eostimie^? de cheval, de ville et de fête. Otl*aIkrôs- et
Sünorm.
Le sarapé, manteau h Tiisage des deux sexes; les cahomros^ l^c pantalon de peau ouvert
sur le côté» Les cJtaparreîm^ couvrant la jambe en s’élargissant sur les pieds* La toquifk, ruban
du chapeau des femmes. Le reb&zû^ mantille. Le jupon sans corsage. Tæs petits souliers
de satin portés sans bas,
S{i?iÿs-mê!és^ femme métisse aux pieds nus; cordonnier ; cryrac/or ou porteur d’eau, et les
leperos^ représenta par un marchand de perroquets,
PL BO. — Amérique. — Les Peaux-rouges,
Tiqics piifes^ si&ux ou tkipp^frmjs,2^nka&, etc. (Lassins du IMississîpi et du Colorado*)
Le costume répondant aux iKîSoins du cavalier, chasseur etgnemer* Les parures conservant
im caractère traditionnel, —- Coiffures de peau, de fou mires; mouchoirs de tète; plumets et
couronne de plumes; cravate; blouse ; jaquette ; manteau, le blankei; tunique; couverture;
pantalon; guêtres ; jarretièitvs ; mocassins. T*e tablier, souvenir des temps anciens. hefûmaJiaiük
et la pipe-hache. î^e sac k feu, etc. Têks-phtles ou Pends-doreifks ; rapîatîssement de la
pai'tie antérieure du crâne, prati(jué sur les enfants pour les embellir. Le pied particulier
produit par rusage des mocassins*
JiCS tristes restes du plus grand peuple chasseur qui ait existé dans les âges historiques.
PL 8L — AMÉaiQrE,
Les Peaux-rouges dos États de Kansas et de Xebraska; Lars, Joitas^ Païmies^ etc.
L’éventail, insigne du chef. Le soleil de plumes couronnant la coiffure, La tunique en cuir
ornée de peintures, ou de broderies, ainsi que les guêtres. Les visages peints de vermillon et
de blanc* Les pantalons du cavalier, TjO grand manteau. La blouse de coton, etc. Les colliers
de griffes on de dents d’ours. Les ornenietits eu dollars, piastres, médailles, disques de métal;
le miroir et les verroteries. Les jaquettes de peau, frangées de cheveux» I/C bracelet, récom¬
pense de la bravoure. Le hiê^n^ gra’^ é sur la poitrine des chefs.
Le umnpum^ procédé primitif mnémotccbnique sc retrouvant dans les colliers et Ie.s cor¬
delettes â nœuds de l’altîraîl du Peau-rouge,
PI. 82 * — Amérique,
Indiens de rOrégon. — Les KtUmoiL^ de la haute Californie.
Les sgifaws et \c pappoo^sa^ renfant; son berceau portatif Dépression artificielle du crâne*
Cheveux rasés, tressés ; barbe épilée ; peinture du corps pour les solennités. Yéteinents de
jieaux. Cotnnnmlcs. CoilTiivcs en vannerie* Broderies de coqiiîllaEres. Colliei's de pierres, de
graines,, de coquilles et do verrotenes. Bandeaux de tete. Ustensiles déjoues et d'osier; po¬
terie tressœ. Filets à provision. Cou tenu porte par les hommes dans leur chevelure. Lances,
boucliere, arc, carquois; sabre, arme de jet* Balsa, radeau fait de roseaux*
Ages du bois et de la pierre, sous beaucoup de rapports* Les Ciùolôs, usant de prati<jiies
anciennes rappelant celles des Indous*
PL double f^3-S4» — Rsquimafx*
Jlyperlxïi'éens. Les 2 >ccheni’s maritimes*
Costumes, Armes do ix‘che et de chasse. îiC canot, Icaf/aJc, Le trainoau et son attelage. Le
patin ou raqnefk. T/întmeur de rhabitation (Phiver; les ustensiles de ménage.
Le large emploi des os de moi’se dans les armes et IVnitillagc*
Les habits on peau de phoque, à rusage des deux sexes. Bonnet; mouchoirs de tête; casa-
rpies; capuchon ; manteau à manches; veston ; poches de chasse; caleçons; jambières; mitai¬
nes. Bas ; chaussettes ; bottes, les komnif/nas.
Broderies : galons de laine.
Bagues ; haiideanx et bandelettes ; anneaux.
Lances; crocs; liaiiieçons; crochets ; harpons : aviron*
Le collier, la muselière et les souliers des chiens d'attelage* Tia manière dont le Xamtcha-
dale les conduit* Couteaux; cuillers; sacs; puisette; tabatière* La lampe kamtçhadale* Le
tabouret. Le lit de camp* La tente, le (otijne, pour Tété. La hutte où Ton se terre jieiuîant
riiîver. Les vêtements accumulés en ia rude saison. J/adapiaiion de certaines facultés dévelop-
pi'Hîs par rexercice et riiorédité, et selon les milieux où l'homme est appelé k vivre*
L'Esquimau jamais oîsîf* La [ïlace importante que rEsquimaude tient dans la famille.
Pb 8ô* “ CiiiXE*
Costumes de cérémonie, d'intérieur. —T/empereur, Tkiên-Tseâ^ rimpératriee, IIoânÿ-/f(*ou;
princesse; les suivantes, niulzf^; mandarins, Ifwans, Insignes inqxhîaux; ceux des liants
disriiitaires, l^robilier*
Sceptre de jade; le grand collier, sou-chmu; le dragon à cinq, quatre ou trois griffes; hro-
derie pectorale, h pou-fou ; la plume do paon, xwa^Im; le glol)ede cristal, fm*tsô, (Voir pl. H7.)
niaJèmes, velours, pierres précieuses, fleurs artiflciellcs, couronnes, pendentifs, pendants
d'oreilles, épingles, iiracelets*
1/éveil ta il, tahpat.
Bonnets; cra\ iites de soie ; la robe de dessus, om^couaJ, celle de dessous, haûl; veste, ptderine ;
qrhkku; bottes*
Trônes, sièges, tables, brule-parfuni, pipe opium*
I
— 44 —
Il »
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I
PI, 80, — Chïxe,
Jj’impêratrice ; rcpoiisedu second rang, sa siiivante, llobilicr, broderie, fragmcnfcde rol>e.
Sceptre, le fofiff; coiffure dite de phénix. Vêtements irnjxjriaux, leur confection.
Prérogatives de la souveraine. IjCS « juatre catégories d’epoiises, les fou-gin^ lesjo/>i, les cki-fou.
les yu^ki. Les suivantes.
Le banc à dossier, kan; la table dite Mn-fhoo.
PL 87. — Chine.
ifaiidarins, grands et [Mitits hmns^ insigne?; tenue officielle. Dame turtare; chitioîse. Mon-
tares ; le mulet ; selle lï la tartare. JI oyons de transport ; la chaise à porteurs. (Voir pl. 88.)
Classes de mandarins. Man pics distinctives : boutons rouge, bleu, blanc, or ; le grand collier;
le pectoral, pou-fou ; k xtmdm ; le landm ; cpieucs de renard ; le parasol rouge ; les ivun-juiu-mm ;
bonnet de velours, de satin on de fourrure; bottes. Costume dkbc; chapeau conique; souliers.
Parure féminine. Pendentifs deiierles, le fou-kivan. Bottines à bouts relevés.
Éventails ; pipe ; blague a tabac.
Couleui^s réservées à rempercur, aux jj rinces du sang, aux vieîllaixls, aux mandarins.
Kègles dktiquette.
Pl. 88. — AsiE-CiriNE.
Classes élevées, moyennes, celle des travailJein*s. —
Physionomie de la race janne, des Chinois; condition des femmes chinoises; Tépousée, les
pelifes femmes.
Mutilation des pieds.
Calotte, chapeaux triiiver, dkté; chemise, ruhe, collet, sixaicer, ceinture, agrafe ou crochet,
yit; caleçons, bas, pantoufles, souliers, hottes,
La queue de cheveux.
Coiffures féminines : cheveux en touffes, tressés, relevés à la fhiuokeî épingles de tête; oj>é-
ration du ; coussinet; fleurs artificielles; pierres précieuses ; plumes d'oiseaux.
Le fard, les mouches.
Les ongles longs.
PL 89 et 90. — Chink. {Notice connnune.)
Chaussures ; éventails, le iahpat; pendant d’oreille, irandarin, niandariiie. Chinoise du
Tonkîn, Types pojïulàires ; ménagère, bourgeoise, marchande de IxaiLons.
Dames cliiiioîses, tartarcs ; vêtements, parure, accessoires.
4
r
— 45 —
(liaixiaux; cuiHarea k C:iler;o!i, pantalon, diommotte, hafi-c/mlj cravate, tablier-
jupon. Le kaefj le ma-cmmij veste, collet; Têtaflb cFétct, kopoiii celle de printein|>s et iVm-
tourne, Hiao-kmi; celle d'hiver, fourrures, le iael-pi; cdntitre, hvs ; les trois genres
de chausJsures, le Ifrodequin d£ fhédfre.
Appareil du fumeur : pipe, blagne.
fi
LJvcntail; sachets d’ode ni.
Épingles de tête; coilfure tkqjhêmx. Le forif/dwaUf diadèmes, coussinet.
Etuis à ongles.
PL îil, — t'nrxE,
Coiiïures; lüirnre ; insignes 1 1 iéraidliqnés. Talîsiuaiis, Objets personnels,
lionnet d’impératrice ; pendentifs ; coitLire mongole ; calottes ; quenc postiche ; chapeaux de
paille, de feutre.
EpinglcvS; j>eiKliUits d’oreilles ; broches; bracelets; colliers ; boucle de ceinture; brelofpie ;
motifs de bijouterie.
Le fin-îso.
îiC Jeaô ou kao-f.^ô.
Sac de dame ; peigne, pince-nez.
♦
Collet de veloni’s.
PL double î)5-mî. — Cjiine.
Obsèques d\in riche Chinois» Le cortège. Cérèmouies préliminaires.
EHets de grand deuil : kjjao-i^ le voile de la veuve; le bonnet du fils, kaHÿ-jcicafi; scs vête¬
ments, saciinne de deuil, san-ikkwff; le ciliee de la faiiiille.
Composition du coi'tègc : valets d'eiitcrremeut; attributs; musiciens; les lîannières ;les cas¬
solettes ; le tableau du défunt ; le cercueil ; le catafalque ; palanquins ; bonzes ; porteurs de pro¬
visions.
Banquet des funérailles.
C i met i ères, tombeau x.
PI. double II4-Ü5. — Jaj*ox.
L'ancien archer de pied. — llarnaîs de guerre.
Phases de la toilette dn corps, de l’habillement, de rarmemeut.
Elïets d'équipement. — Ceintures, rol>e, pantalons, bonnet, riibni, veste, souliers.
Armes défensives, — Couvre-nuqne, gantelets, jambières, braconnières, brassards, ailettes,
plates articulées, pansière, dossière, flancard, spalières d'arrièro-liras, rondelles de renfort,
anneau de ciUTrc.
Armes olîcnsivcs. -— Poignard, sabre, arc, carquois, (lèches, éventail. {Yuîr [d. OG-1)7,1
«
M —
PI. doubla ï)(î-lJ7. — Japon. (.Vuticu coiiipiemmt Jst pl. yiÿ.j
Lss prirüitlfsj Lt‘s coii(|uéraiits ^ prince japonais, (hïmw; gcuéral d\trmccî sa mon¬
ture. Yukomime, ofîicier, porte-ctendai-il ■ porte-guidon ; archer ; pompier de Yédu,
Les coolies, hêtos.
Harnais de gueiTe, d^'escrime; anueiiient.
Pas(iiies à oreilles de crin, à cornes, ccrvcHère, gorgerîn, cliapcau, coiivre-nmjne, masque à
moustiiclies, cuirasses, jaquette de mailles, tassettes, cpanlièrcs, passe^gardes, ailettes, arriéré
et a^'ant-brassards, gantelets, genouillères, jambières, solerets.
Perde ^'ouge, halleUirde, s^ibres, fourreau, arc, carquois, flèches * l Y venta il de fer.
«
Etendard, guidon armoiîéî la hannièredes pourpiers.
^Manteau de chef : le dJmn^haorL
Harnais de cheval : mors, guide, chanfrein, cuirasse, cuirs dorés, garnitures de soie, étrienâ.
Costume d^escrime : masipie grillagé, capuce, plastron, tassetfccs, gants, bottines î tige de
bambou ; jeu de IxUous.
Vêtements : jaquette, le fiindos/iê^ ceinture, pantalon, sandales, souliers.
Tatouages ou peintures du corps.
Crâne rasé ; clieveiix.
Ere historique du Japon; civilisation; système féodal; castes; pliysionomie des Aïnos;
caractère mongoîique des Japonais; confecÜüu des armures; des armes; h st/ak/do^ \c métal
de miva.
État militaire; samoitraï^ samlatf port des deux sabres; rouvgrture du ventre.
Ph 98. — Japon.
Les artisans : portefaix, ébéniste.
Sabi’es à deux mai us ; étrier.
Objets mobiliers ; les kohm^ le damier.
Ph 9î). — Japon.
Castes armées, désarmées; ÿakomujm; loaùm; bourgeois, dames; pèlerin.
Costumes d^hiver, d'été, insignes cuqioratifa.
Boimct de feutre; chapeaux do paille, de cuir bouilli, de bambou; le kirimon ou kimonoi
surtout à ailerons; casaque, itisbaucoiqis, tiiiiiqncs, iiantalon. Uis, sandales, pitins; les
g ne fia.
Les hor-s castes: les Kotsedjikisj les /lelkiSj les C/trnflans*
« • 1
— 47
ri. luü* — Japüx (1).
Costumes civils ; moyens de traiisi>ürt ; le paianquin.
l’I, lui* — Japon { 2 ).
Costume fémîïiiii ; robus siipuritosêes ; armes de la fatuille; la ceinture, obi ; sandales, patins.
H venta; 1, pa[ûer blanc, sachet à parfums, moi-ùakooroî^.
CoifTLires, rtciirs, rubans, é|HiigIcs*
Les parasols*
PI, 102, — Jai^ün,
Bonzes. Dames cil costume de ville, d'intérieur, — Le
Moyens de transport, le jinnküka.
Pb lo:b — Jap(jx.
La vie sur les nattes ; la toilette féminine.
Femmes du peuple, dames de la. noblesse ^ musiciennes j leur.s iiistminents, h bvkwu ou
biwâ^ ïc polis^ le sam-sim. Fonctionnaîre, ses deux sabres, cchii ilit d'office.
Intérieur de la maison, mesmus de la natte, les paravents, le matelas, le traversin, l’o¬
reiller, la veilleuse* Le miroir à chevalet î nécessaire de toilette, bouilloire, [Jatcau à tlié.
Fards, cosméti<|aes.
PI. 104, — Jai^ün.
Vie intérieure, la veillée, le tliéâtrc en famille.
La femme légitime, les ^nalfaM^ les mimes, les musicienne.^, qhekos; hstmi^swi, la
le tambourin,
Olijcts mobiliers, paravents, stores, lanternes, brasero, bouilloire, accotoir.
i’b 105. — Japon.
Costumes d’apparat, dJntérîeiir, do ville; servante, dames de «puiHté, marcliand ambulant,
CüifTnre féminine. Lu toilette du corp.s, Jcniics filles au repos,
Chajxîaii de bambou, moiiclioir de tétc; le kirmonj veste, justaucorps, cidcçoii, man
tcaux ouatds, capuehun, tablier, cliaussures a {Jancliettcs.
Arrangement des cheveux, épingles.
La lanterne à main.
5,1) Culte pbiiL-liu UMiiJÛJt îc tyiuü II*
(2) Pftmitït plfujÆhc au tome lll.
—- 4?s —
IM. loin — Japon.
Modes et moyens de irsiiisport* — Le itortmon, le tmiÿo. — S^n^nein', gens de m stiitcî
le siilut japonuis; ciintiiics de voyiign; h cMhhth fiin ialc ; corporations de porteui-s,
les coolm.
Type de paysan. Cliapeuu, manteau..
PI. 107. — Amk
%
Chine, Indo-ChinCj Japon.
Pipes à tabac, à opium * nécessaire de fumeur, blagues, étuis, britjiicts, coupe, lampe.
Le htMcco-hoîî,
PL lOS. — Asie.’
Laotiens, Siamois, Coréens.
Vêtements civils, miîitaîresî intei|>ii‘tc, aîiiaaoîiCj mandarins. Le costume de pluie, Ac*-
ciiutrcnienU do théâtre.
Madi'îis, seiTü-tête, bonnet, béret ; chapeaux de pallie ^ de feutre, de pîi[)ier liiulé; chemise,
le lani/oiiti, xQ^ie, gilet, justaucorps, tunhjne, ceinture, écharpe, châle, puntalou, juj>es, le
fheife-leag^ giliéeière, chaussures, sandales.
Cercles d’or, pendants d'oreilles, étuîs à ongles.
Le tatouage laotien. Polygamie, Usages siamois, la ionk du divertissements; civili¬
sation chinoise de la Coixk;.
Ph 109. — Aî5!E.
#
Inde, Pense, Java,
Nécessaire dn fumeur, ]ilatean, coupe, couteaux, lampe. Pipes ordinaires, k eau : le ffofn-
ffOt(rt/-houkJca J h honld-a^ Etnis. (Voir pl. 144.)
PI. 110. ^
Caste militaire. Les Radjepoutes (enfants des rois). Portraits historîipies.
Soleil, ruban d'or, collicm, bracelets, perles, émeraudes, rubis, diamants, ceinture d'orfé-
vrerîe.
T Lir ha n, veste, éch a rpes, pan ta l on, p u îjF/afîm fs , robe, pa n tou fies.
Le sabre,le poignard, k/toufiar (v, pl 120 et 121 ), bouclier, i>caii de rhinocéros,
iruiire.
I
— 41) —
PL 111. — Inde.
Einpcreiii^s mogols. Prince nidjpuute, duiHJîCur au vuL Le mouclujir, suthiritim.
PI. 112, Inde*
Le prince mipénal^ shafizadeh. Souverain de Dellii, Omrâ.
Le vêtement d’hoimcnr, kkefâi, manteau d'investiture, h kmia.
PI. 113.
Inde.
Portraits de souverains. Daines. La cour des empereurs iiiogti]s* Vêtements, parure.
Voile féminin, anneau nasal* “ Teinture du corps, le safran*
Le trône de grande réception* Parasol.
PI. 114, —
Vêtements, sièges impériaux; audience ordinaire, de çêrémoiue. Dame en grande parure.
Costume de fiancée.
Itobe d’apparat, le rm. Usage du sein découvert; clievcnx tressés, ornes de fleurs. Teinture
du corps L le safran, le henné; IjîjoLix : le fah'j pendants d'oreilles, carcan de joaillerie, colliers,
bracelets, bagues, couronne; tablier de répoiisce.
PI, 115. —- InîïE,
Trônes portatifs des empereurs niogols. T^es iradavan. Le mûM(mhï\ le /laiizei celui dît
dit paon.
Cortège des emiiereurs.
Audiences en plein air; hkouhital^ le cadi^ Viiîmad-omî deiikL
PI. 110.
Cour intérieure du sérail ou mâfd (voir pl, 117*118)*
-!>
PL doubie 117-118* — Inde.
Le jialais des délices ; les terras*ses du mâhl.
diodes de construction : coiii's, jardins, aj partcincnts, chambres.
Les tentes impériales, Vaitika^ les karpimi.
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— 50 —
Lu suuvuniin, sa favorite; iiiiisiciuimu, diseuse de hoimc aveiitiuc; uliuf dus emmqaui
de fiikiis le Yo^im ou Samemef le gymiiosop]liste, le gyinmisiarque*
L’essence de rose, allœr f/ouL
PL lllL — Ln'de.
Costumes de guerre du seizième siècle. — Le padisàah.
T/étendard roj al ; cavaliei^, fantassins; liariiaehemcnts.
Attributs royaux : Taigrette, Icpamsol.
Amies défensives : casque, camail, %este, avant-brassards, ciiiss.irts, genouillères,
cl i ers.
iVrmes olïeiisives : lance, sabre, flèches, cai\]iiois, massue.
Harnais du cheval ; caparaçon, col, frontal, mors.
PL 120. — AiiîE,
Armes de l'Inde, du Xépaul, do la Perse, delà Turquie,
Poignards, le khoulktr^ ét>ées, sabres, lolmirnh, le Jmticn-kora i fusil à mèche; armes d’hast
marteau d’armes,
PL 121, — IXDE.
Amies; casque, poignards, couteau.
Croc de cornac, bijoux, boutons, broches, boucles d’oreilles, pendeloques.
Livre, éventail, cuillers.
PL 122. — IXJJK,
Funérailles d’un brahme(voir pL 123); le porteur du feu sacré. Princes radjpoutes, pathan.s,
mahrattes, lîralnne marchaiKL
Turbans, le voile, m/7, la mèelic sacrée, skùuhu, imirques de castes, le cordon sacré; cale¬
çon , le dhoti*
PI, 123, — L\jjk.
t
Sectateurs du Viclinou, de Si va,
mu.sîeiens des funérailles, dames mahrattes. Le lavage des
cachemires.
Coi'set, jaquetto, le choli^ la jupe, écliarpe, mules.
Cheveux en catogan,
Annuau nasal, le mommftf, collicns, taïloum^ peadints d’oreilles, bracelets, annulaires
liagues,
InstrniLiunU de înnsi<|iie : le pkou/ipa ou ktrê, le mtiiahtnt le/^^/, hf/opiJiaif(ü\ le ktmbountJf ^
le piwklHtwaïf^ les cymbales.
51 —
IM. i:i4, — IxDK
Moyens de Lniiisport ; ees porteurs, bakù; goiivenumte, ïat/ali, femme d'un mutr;
caste des 8oudnis,deB Vaysias. Filles de danse, futt(kh-^irli>.
Calottes; la rolie d'étoffe précieuse, kangm. Le rouge, emblème de la joie; la ceinture, corn-
mcrbiüid
Fl 120, — Ixnr:,
JjC eliar nuptial, c/taKjmi. Les cliasse-mouclies, les cooiies. Étendards, porteurs de bétel,
bayadères, musiciens; trompettes, crotales, la musette, tour H ou iourrf/^ le maiahüL
Classes de danseuses : les tkmdâiseSf les nuriachis^ z^esdutstf i, mran^ana, ; les baya-
dcrcs, mncmtis^ uaukh-f/irk.
Onction de la chevelure, cheveux nattés ; brassière, ju})e transparente, pantaîun, écharpe;
bijoux.
Fl. 1211— IxiJE.
Les 1 ridons, les l^Iusulniansî leurs funérailles.
Types de brahmes.
Stmiteb^f vkJt?iouvites , saktiles.
Turbans selon la caste, le cordon sacrée le chapelet, coiffcî, fcrruniiicre, collicis, le nudla^
bracelets, les sounJe, pendants d^jreilles.
Éventail, le jmnuÿa.
Ablutions, parfums, eniblênies, manpies de sectes, teinture du corps, la eiievelurc parée.
Usage du bétel.
Fl 127.^— IxoE.
Castes înféneures, marehauds. — Cidres moiuisthjues, moines meudiauts.
niiuîns, la femme porte-farde aux* — Cérémonie funèbre; iejâUedar.
Sandales, patins, anneau de jambe, grelots.
Le fléau de balance; poids, filets.
Fl. 12iî. — ixiJE.
Types fé-
iSoUlats radjpoutes; piînces indigènes, grande parure, — ^Montagnardes koulou, les Mina,
naiiichnis cacbemiriennes, leurs danses, #
Bonnets brodés, à torsades ; coi'selet, tnni«|iie, voile, culottes, pantalon , manteau, écbaritu,
httiffouii; guêtres, chaussures recourljées,
J/07icuutÿ.^, lirochés, colliers, pendants*
■*- Oli -—
PI. 12'J. “ Lvue.
Muiitagimrdes autochtones : Assamaiæs, GarrOj Kuli. — Bayadùres; leur joaîliene , îc
frontaL
Femmes en jxderiiiage. Dame ^Uinpouri.
PI* ISO. — Inok.
Le travail accroupi. — ^reniiisier, ciseleur cacymirif barbiei'j marchand de pâtisseries
{nùkti)^ colporteurs baiiyans, muUanû, La meule de faniilk. ^lontagtiards. j^Luiii>oiiris.
(lonrkas. Assumaises.
Bonnets, tunique, chemises, la coudahj Vmigarkak^ p.intiilon, caleçon, le jamjhlr.
Coiffures, tresses de laine, plaques de poitrine.
PL im. — ÏNiJK.
Types de riuibitation j maison dhudîgèiies, de ilarwaris.
^Moyens de transport : routre gonflée, sar?iai voitures, le hticken f/^ les nttkÿ. Bateaux de
plaisance, h mour-Jmfpi/, le ff/H-chiarra*
Bateaux de pêche marchands : le banf/kj le poimMr^ le les lunasi^es, le {/raab on
pmi
Pi. 132. — Ahie.
Cinghalais. Xovicc. Prêtre, les kapurals, Israélites, Enfants parsis.
Turbans; robes, le mnÿluUi, VmiMmsanffkt^ VaniarawaMiIm; surplis, le canezou,
veste, jaquette, le combopef pantalon, souliers, pantoufles.
A'atagan, baudrier.
l’endants d^oreillcs, colliers, bracelets. Peignes. Parasol, évent.
Population indigène : Weâiluh^ ou Bédthhs. Sùiÿbaùik ou C/wipuktk. MuktbctTCs, Jloies,
Castes : Kkasùia ou RadiahdVamé; BrahmkmdVansé; Sàondra^lVausé.
Oïd-Oasks : les Fartâhs.
PL 133. — Asïe.
llaldivais. — SingUalais, — Kandien. — Indons; nobles, classes populaires, marim
Calotte, béret, béguin, mouchoir de tête, veste, ceinture, le sari, sandales.
Cheveux, chignon, peigne.
— 53 —
PI 13J* — AîirmFBL ABlATI^nî. (^fALA^KïT:.)
Armes oüensiyçs, EtcndarcL
Le le wcdintf/f JuvolotSj lanceg» jiertuisancs*
PI. 135 et 13G. — Aquatique,
(A^otice commune.)
CoifiTiircs, — Types persans. Yezdi. Paktiani. Afgliaiis on Pousfhhuîiclf. Tndiens.
Tlings. Tiircomans* Lcsghiens. YÜates. Arabes. Kurdes.
Kveqne catliolique ; derviches.
Turbans, le dulimidf k Jcînkab; bonnets, le fis ^ le le corda, calottes.
Calotte damasquinée, nasal, camail de fer.
Parure de fiancée, boucles d'oreilles, perles.
Cheveux, les à ondê^ barlx;.
P
arsjp.
Pb 137. — Pkhse.
Costumes fcmiiiins, — Dames de Trébîaonde, de Téhéran. FiC kT/aderj le roîdiend (v, pl. 133
à 147). Femmes yliates.
liepas; les kouftehs^ le mach-pllove^ V^tu/urL
PI. 18!^. — Peiîke,
>Hêrvicc intérieur de la maison.
Servantes; Vendéroiün; derviche
Préparation du café, du tlic, le mmoraf\ Le hdèari,
I fiancée turcomane. Teinture des mains, des pieds, le
henné.
Pl, 133. — Perse.
Dansensos, musiciens; la danse deraheille. Tatouages,
Instruments de musique : le hffndi/n on bendt/n, le doh/^ le blr, le kerndm/eh ou kemdnchech,
la zournaou zournai/.
Pl. 140. — Asie.
lUjouterle orientale.
i
Agrafes, colliers, ffumlanlilc; bijoux do suspension
(roreillcs ; bracelets, halhal.
Harnais de cheval î ornement de suspension.
ép i iiglc3, b oiic les, pendu nts
PI Ul, — Pkrse.
Service du shah* Le porte-pipe, inscli-khxhmfh i innsicîens.
îndustrics populaii’cs: porteur d^ea u, lV/^f7/fr/; préparateurs de htlèans^ de narfjJuMis. Der¬
viche indien ; le k&ifsJmih
Bonnet J le kuMh ou co^da; le vêtement de dessus, eihalmg; ler«/Wj le hagailj le likmék ^ le
hirioùf le kaiehL
IjG poignard, kangutr.
Port de la harbe*
PL 112. — Pkese.
Costumes. — Types de fuinciu’S.
Le mollah; le mirah^ soldat montagnard; le klipnmilai\ muletier. Aniiênieus.
PI. M3* “ Petïse.
I/intérieur de la maison, Vemleroun; la pièce principale, le talar; inohiîicr*
L’architecture dite oÜommte; Tordre cristallisé, les stahictites, îes vitraux*
PI. 144, — Asie,
Pipes à eau, ordinaircs; porte-cigares, porte-cigarettes. (Turquie. Arabie. Turkestau. Perae,
Inde*)
Le imrguUeh^ le hmtkkaf \%kalmim. kaUmi^ ghaliân , les ehihouks^ le hmiqnhh
Le mrieî-Jwvltkah^ \^^khèkm.
PI. Uo et 140. — ^MrsroTAXR.
(Notice commune.)
Prières musulmanes. Le Kamaz. Type de muezzin* — Sahahj Oihthf AkbuJgf AchaM et
YuUu Namazg J les ablutions^ nmuhu^ ghort*
Les prosternations, rk¥(ih^ ^chêfg, — T^e 'hligfütf le iekhir^ le leshihky \q^ fatihah.
Le salut oriental, salamlvlc.
PI. 147. — Oriext*
iloines et religieux chrétiens.
'J’emi^lierA, carmes, lus Barrés; capucines î acçniètes ou stiuUtes; ordres du ?^!iirit-Sépulcic^
de Saint-Antoine î relig^ieux arméniens^ tiuiiü;rçlieiis, géorgiens, maroiiiLes,
lîonnet, calotte, turban, voile, guimpe, capucc, luaiiteaux, le kappa^ la chape, le pluvial,
tunirpies, robes, mozette; le coimip^ le cmkhp^ le rotfhend, veste, caleçons, pantalons,
sandales.
Cheveux, barbe,
PI. Î4S. — SVRIK.
Montures; animaux de transports : dromadaires et çhameanx, (Voir ]iL 14Û.)
PI. 149. — Afrtquk.
vaisseau (îu elêserlj les mékaras; le cheval, rârie. Ty[X] de palanquin. TiC Touareg on
Targui masrjué- Femme êgyptienne*
1/08 gelliibgs.
Blouses; le Mmi,
TTarnaîs, selles, cfcrîci’s ; montures parées; le henni.
f
PL ITjO* “ AFnTQÜE.
Race berbère : les Kabrlcs {voir pl. 151 k 1511 inclusivement), Algérie, Tunisie.
Tenue de travail, de combat; moissonneurs; transport de Feau, du lait; criblage des
grains; hamac de Pcnfaiifc; chef; gnciTicrs* fai femme parée, (Voir pL 155 et If!5*)
La société kabyle ; condition des femmes.
J/a7iaga , la sgara.
Le fusil ; Imjlwsl; le yafagan; baudrier, poudrière, gibecière.
Calotte, chapeaux; h haït; le humons^ capuchon; le derhaly ceintures; tunique, la
jambîères, babouches,
Broches, colliei-s, anneaux de jambes*
Chevelure frisée, rasée.
Vases ; Ixissins.
Aîna^tghs ou ScheUonh. Tihbons, Tonaregs.
PL 151. — Afrique.
Femmes kabyles^ nuubîtes, mauresques ; artisan des métaux (voir pL 152-15^^). Berl)ères
tunisiens; les Kroumirs, les Ouebetettas. Travaux agricoles, cueillette des olives, récolte des
lignes.
likhonaoun ^ toque, mouchoir de tète, calotte; tunique, la ga^ahnt'a.
Piirure, le iMlmmin ou fkalmim/hf ses pendants, les llrnherourim les pendi^nts d oreilles^
Zfyoïmari les ibcsimûn (voir pl. 154 et 155),
PI. double 152-153* — Afrique*
Intérieur du 5 Orfèvres ambulants, Les lîeni-yeiii. Travail des femmes, confection du
causeoiis.wu ; fabrication céramique. Les Beni-Aïssi* Tatouages.
L’ètable ; la soupente, mobilier j ustensiles, balance, moulin à main, claies, cuillers, cciieb
les, burettes, vases de bois, h^aça (voir pl. 151) ; vases de terre, amphores, jarres*
Constitution du village kabyle :1c dehem^ les familles, kharoubaSf le dhaman^ Voîdcil,
mm^ le ialeb.
Pl. 15 L — Afrique*
P>ijoux kab}4es*
Le diadème, fhafehl; boucles d’oreilles, les les zeromar; colliers, (Mmihi broches,
épingles, crochets, ibesimm ; ceinture, chapedet, bague, anneau de jambe, khalkhaJ; bijoux en
argent repoussé, travaille, corail brut, travaillé, émaux, verroteries, coquillages, les émois
(monnaie du pays) ; graines*
Caractères de la bijouterie kabyle, ses origines* Tribus d’orfèvres, les Beni-Tilutb^ les Déni-
Ouassif^ les Bmt-YéHh
Los les Beni-Ahhh^ les Flissabs,
Pl* 155* — Afrique.
Latente arabe; nomades ; sédentaires* Femme kabyle, grande parure; femme de Bîskra,
îrauresque.
Installation de la tente : les/^/f^iï; sacs de provision, les i^IIés, les nieÿoud; ustensiles, les
outres, reutoniioir, le hskès^ le la le sindoukk^ le ffimsa^, moulin à bras,
marmite ; mobilier, tapis ; la natte d’alfa, asseïra; roreîller, ouÿada.
Le dmmr.
Costumes féminins : coiffures, Varfmtami-t/iabenÆ^^ mouchoirs, robes*
Bijoux émaillés, cercle orfévrî, chaînettes, serpiins, colüei’s, kigues.
Fards, cosmétiques, tciuture des cheveux , des sourcils : V/mdùïa^ le IcohL
Vases en tbalaîrht.
PL 15G. — IMauhksque
Costumes de chefs ; le divan, al-dffonmî^ — Types d’épées, quinzième et seizième siècles*
r
Le tiirbîin, xasutf Techarpc, nmrlofa^ ValJmiwz on bvrmu‘ le capuchon î Vahnofm’f rohc do
d cssoii s, feredjé ; bott i tie& ^ hmrfffuks.
L’épée J aJ/anf/pf baudrier,
IjCS coussins^ almolmdas.
PI, 1.^7, — Afrique.
Arabes du Tell, de la tribu des Smolas du désert; costume de chef. — Beîbèrcs, les ükwum.
Juives. Algérie (voir pL IfiB, IGJj Ifî5 et 1G8).
T^a cJmehm^ le turban, corde de pniis dediévre, de chameau ; chapeau de plumes ; le yi*mêm\
coiffure en cotonnade, A'oilc; le kaïk; vêtements à rotfcomane, veste, ceinture timîsieune, cu¬
lottes, corsage, jupe, caleçons, babouches, sandales, la (orbaya.
Cheveux tressés.
Tribus religieu-ses, nobles, militaires: les DJoirnd^ les JMml^ les Doufwtula. Tribus serves.
PL 158. — Afrique.
Population algérienne, Kègre, ïîorlxTe vandale; Maures, Mauresques; femme Konloii-
ghlis.
jrouchoirs de tête, calotte, robe, coi’sagc, ceinture, habit fermé (pœnnh)j culotte, le
sprouaf.
Anneaux, boucles d’oreilles, colliers, bracelets.
Tatouages du visage, du bras, de la main, du pied.
Pb 1 ôih — Afrique-
(’ostumes populaires, Le.s enfants; marchands; monture
pl. IGOà PIS).
Souhaits ai’abes. Inégalité des sexes; la fille, ielfa.
orientale, Algérie. T’unisie (voir
Vêtements algériens, maures :1a ckeckia^ bonnets, ahiratki^ sarmah; le tmUm; djetnala; le
f-
hiftau; le haih; les burnous, gefara^ harnm; les gilûts,/f^rî?iWf^; midria; le seroml; le caleçon,
seroual-âükelam ; le lacet, iuka; les bas, Jcelmset; les souliers, si^hhal; habm; les pan tou fies,
r/7/îén, seMmrla; les savates, hemnak; les socques, IcahJcaJ}; chaussures arabes, les hdgha
fdali.
Pl. 11)0. — Afrique.
(Xotice comprenant la pl. ICI.)
Costumes populaires (Algérie, Tunisie) ; femmes kabyles, arabes, juives.
3 .
Calottes, Viclmûun^ turlmns, voiles de tétc, îe heskh\ le fakréia^ iKainct, le h{fjla; la chc*
chebul/ia, la gandoura; tmiiquc, corsaire, robe, ceinture, tablier, kaïk léirer, sassan\ man¬
teau (paJIa) ; balïoiicliea.
Anneaux fVoreilles, colliers, seriuîns, bracelets, 1 jaques, broches, les
La mandoline, diodmkka.
PL IHL — AFRrgrE.
Populations arabes, mauresques, nègres; mendiants; le Eomm. Type égyptien, h fellaMne.
Mouchoirs, fichus de tetc, le saffaka, rachehi la calotte, Ubdeh; le voile, iarkth; le l^r-
qao; chemise de djaboù; ve^tQ, farmla ; rol>es^ iebêh; rhïîftja}i ; pelisson, ceinture,
tal)lier,
TiU f/uh^fa,
PL \iV2. — AFRrQrE*
^lauresqucs algériennes, tunisicnnesj tenue d’intérieur ; chef anibe ; enflints mendiants ; le fel*
lah portefaix. Spahis, paysanne.
Usages indigènes ; les amulettes, vertus de la topaze, 7/agoid^mfay^ de la gemme rouge,
/(ad/ar-ed-dnm^ des turquoises, des ruhis, des émeraudes, du diamant, eîmU, de Phématite,
7}iag?in(7ftgs^ du jade, i/pchn, de l’œil de chat,
PL — AFRrQi n.
Costumes des classes inferieures; mendiante, glaneuse, femme kabyle, soldat tunisien. Les
Bmatiis^ fruitier ^Izabis, marchand d’huile^ ra/ouati
Les ma/rarba^ rîJienSf rhehuk; le Piskri,le Kabyle, le nègre*
Arabes pastciim ; le hall-ri-badm^ le rfihltala^ le haddm\
PL lf>t, — Af
E,
Populations du littoral algérien.
Danseuses, les d'onâkm ou ghaomzy; ]\raurcsqne, costume de ville; !^^allres campagnards.
Juive, servante, mendiants. Le kinbour Imidghâry.
Le darâhoukkèh ^ le raMb,
PL 165. — Afrique, — Algérie.
Sahariennes nomades, sédentaires. L(dkt$ (dames) de Ttiggurt, de Fïiskra,
Beni-Saad, des Ouled-Naïl ; servante, costume de ville, d’intérieur. Le vhehlm
kabyle, gi^ande parure.
des tribus des
Montagnarde
Tnrîmiî, inoiichoîi’s^ écliarpr, voile*
tcaii, (fhamnm ; liiiboudjcs.
dommei, jtipc, roliCj maUiafa; mnn-
Frontal, cliaîiioUes, boucles iroï'cilles, brocheSj col Hors, ceintures, bracelets* chaînes
tic cou, talismans, anneaux de jamltcs.
Fausses nattes.
PI H ](\. — Afrique.
Intérieur do rhabitatioii riclio an Caire.
Le salon de fraîcheur on iVéU\
Pian du rez-dC'Chaussée de la maison.
Distribution des appartements, le 7}ïa}ulara//.
Klcvatîon en coupe dn salon (Pété*
PL ifîT. — Mauresque,
Intérieur de Thabitation sei^ncnrialc, treizième et quatorzième siècles, — Salle de la Ijéné^
diction, la sa iark la Barkah^ palais de rAlhambra.
Pi, 11)8, *“* Afrique,
llabîtation mauresque, la cour, fialcries du rcz-de-chanssée, du premier étap;e.
PL IGO. “Turquie. XVIIP j^iècle. (Voir pi. 17 m à 17:î.)
Hauts dignitaires. Les îdémas. Los ofïiciei’s de cour. Coiffures hiérarchiques.
Schcrif de la l^fecqne. Le rets-effendif ou reîs-el-Mtiab ,h sadrûc-'zkem , Vaÿ/ia des jantssaircs,
le Iikîar-a^ha, le silidhar-agJaL
Cadrys. Le scheik, un derviche.
Officiers de l’intérieur du sérail : dseh’agJfassÿSf le fulaad}^, reunuque, le roz-heMji-imi^chi)
h dtisk^ le hdiatousch , le cüjmfdjiy le capoudjt-hascM.
Officiei'sdc rextérionr, tschocadars : ViskemU-ap/ta, le khanlaàji., le khass-akhorliK
Turbans : Vœurf^ h fadjk (voir pl. 17(1), le mi<djeweze; bonnets, le frs, Itmrcola, le laké, le
takîe, le Jjedrem, \c jmscha!i/~€aumd:, Vmkîff; calottes, aigrettes, pelisses; riiabitdc cour,
hurhj, le caftan, khakd; châle do ITmle; ceinture, le pantalon, chalwar; vestes, Vrnia-
mmhaJt; le kheplmi; chaussures, babouches, Iwttes.
Le poignard, khannheher^ le couteau, hdsehak.
PL 170. — Turquie.
Costumes dlntérienr, de ville, de pèlerinage. — Femme égyptienne, daines turques, es¬
clave. — Les fou mires î habits de printemps, d'été.
— GO
I):iiiseurs publics, les
Voile, hÿmchmak; turban, houppe, Ixiuuet; inanteaux,/^?ra(/tf, le collet, yalca;
robes j chemise; le hmnmdpiJc; caleçon, hauts-de-cliausses ; châlea, gilets, le djamŒdmi^ le fjekb;
coiffures ; vestes, le fckepken,^ le saUa; le chahmrj pantalon ; les bobtines, ferliksi balioudies,
souliers.
Frontal; bouquet filigrane, le serphouisch; boucles, pendants (roreîlles, colliei’s, guf^r-
(lanliJCfdmmùf contcnaîice, ceinture, le fermoir, kliapirm, montres, hà^ms^, khalims.
Arningement des cheveux.
PL 17]- — Turquie,
Salon dhme dame mnsnlnianc : le fûtidôur. (Voir pL 172*173.)
-^Mobilier, $op/ta, ses angles, Icwehés; tables volantes.
Le founfoimji, les i'inèoifks.
T J CS (Imauhurmas.
PI* double 172-173. — Ti-rquje.
lubCTÎcnr du harem împêriaL Le palais de lïoîs, — La gmnde salle, appartements, salle de
travail, chambre de la prière, chambre ii coucher; service intérieur*
Le sérail. La sublime Forte, celle des «r salutations », Îhthm-Sehm, celle de ff la fé¬
licité ».
Population :1e chef des filles, kizkir ctffhassij ^ le valùMi-aÿhûssi/; le skamdeJer aÿhnssj/; le
hhazimdar afjhaa^yi le hidnlc ûddi aylmmy i le ImhcknkQda i la mdtan ^ la validek md-
iamt la Icka^mjxil mlUim t les odaUq^f VOu^la-mâmiw^ ymdeMh,
PI. 174, — TrnQriE,
Architecture intérieure des palais. Salle dhmharem, dix-neuvîème siècle.
PI. 17o* “ Turquie. — XIX'riïX’LE (voir pl, 17G a IfiO),
Costumes de Constanbiiio|)le.
Bourgeois, dames, hanums; mmé^ arménienne, juive; derviche Bekkfchi; le porte-faix,
/tammal; le porteur dVau, sakka; les les Caïkdp.
Coiffures île kithk^ le saryk, lefesr voiles, le yachmalc, le ielpekké; coiirounede mariée.
La chemise de soie bouillie, beureiindjuk. '
llanteaux, le kyrka, It djubbêf hferedjé,^ rolxîs, Ventari.
Vestes, le salktj Varkahlck.
01
Tîilet, le yelet.
Ceintures, tablieVj hfouiah.
Dentelles, oya^ hlbiL
Pantiilons, le potour^ le chalwar.
lias, ehaiissures, \^% ymimij les îerItJtSyha palmidjs (voir ces différentes pièces du costume
dans lesu"^* suivants de 17G à 180).
Le Teüim îachei bagues, Ijôiieies d'orcilles.
Usa^e du kholj du hmné^ du hermhs.
nibcriie, djilbcmîi cornet à bouquin; le crochet du porte-faix, nmm\ Toutre du porteur
dV^au, hjrhü,
PI. 17G. “ Turquie, “ Asie ^Iixeure.
Costumes des vilavets d'Aïdin, de Konieh, d'Angora.
Pourgeois, paysans^ artisans; le tî.sscrand de châli; iiiusulnians, chrétiens. Les Kurdes.
Le holoz (voir pl. 178); vestes, le mmian, le icJwpkmi pardessus, le képèmh; gilet à la
franlca; le mouchoir, khévréi ceinture tunisienne; les bas, mesti chaussures, les kkarylc (voir
pl. 179) ; les lapkkm^ goundoura. Bottes.
Piunrc de la tête, le îépèlikj Yarmmidié, le sidnmamé.
Boucles d’oreilles, colliers, yumlanlilc, plaques de ceinture, cliaîuettcs, bagnes.
Pl, 177, “ Tï'llQUIE.
Populations asiatiques.
Femmes grecques, juives^ kurdes, d'artisans musulmans. Baclii-Bozouk, Tiircomaii ; cava¬
lier. Les Zeibek i le sergent, kJmvouclij le caporal, onhachif leur équipement (vikyets do Ko-
iiieh, d’Angora, dTIoiidavcndîgliiar etd’Aïdin).
Coiffures, la mitre cylindrique, mouchoirs gemenli le kavezè.
Jlanteaux, \%kapoui; gilets, le
Couronnes de sequjus^ le ImchUk^ pendeloques, grelots, Ixmcles d’oreilles, colliers^ brace¬
lets*
Fusil; le yaîagkan; ceinture d’armes, silaJiHJc; pistolets, baguettes de pistolets, harhty gi-
padmkü, sac de pierres à fusil*
Chibonk^ pincettes, michay sac à tabac, bidon, gourde, kahak. LVram kècemi.
PL 178. — Turquie.
Asiatiques turcomans. — lliisulmaiis, chrétiens, îsraélites (vilayets d llomhiveudighiar,
d’Aïdin,de Konieli).
Artisani?, paysans; le palefrenier, ou répicier, hakhd; docteur, le ktMnK
Le lîàlfal:i le ftz azizié^ le )îiamhlf le ho 7 müto; h couronne iVot/a, le voile*
Muni eau J le hinick.
Las, jaiTcticres, bottines à ïafran^m^ souliers, cciiitnre orfévrie, canne longue.
PI izn, — TrRQriE i>LVsrt\ — Syrie.
Populations iniisiilmancs de Damas, dcrSulka,dii Liban. Fellahs, Driises, Les Bédouins,
I^edewh Armement.
Le Imilotir; le voile, hpouchi, le frep, VaJcal.
li'finfaridiikûHhiôU; le mûühlak; le bac h eitrfimu; le frlt/(rcb(tf ; hjisfftn.
Ceinture, Iremer; tablier,
Patin, le fialemi.
Le ias (epdikfhs fckaprasSf anneaux, pendants d’oreilles, rosaces
de piastre.^, d’écus, de thalers; chaînes de cou, triangle ciselé, bracelets.
Le cimetcn’e, lahache^ baUa; le couteau, kama.
Fusil, cartouchière, giberne.
Pipes, le lekiboiûc^ le sehil^ le hdè^ sacs à tabac.
agmfes î panne
Ph 180 , — Turquie, “ Asie ^Iixeure.
Costumes de ville, d’intérieur, ^—Brimesmiisiihiianes, chrétiennes, Israélites, kurdes,arménien¬
nes, Bedewi^ Tnrcomaiies (vilayets de Trébisionde, de 81 vas, de Diarhekir, de ITedja?., d’Erze-
ronni, d’Alep, dTloudavendighiar, de Yémen.)
La barrette; voiles; h peklié; les 7naJiram<is; hehernd; Vamha; mouchoirs de tête, le
yazîiia.
Faux cheveux.
Le plastron, gltmizlui:; la veste,/Énjïérîé,- la chape, cltapô^ le tablier,A/chaussures,
les 7 iad(isSf les khêdik.
Ïjg imfhun Sidéiman (sceau de Salomon); épingles de tête, Injon nasal.
TABLE ANALYTIQUE
1>ES Pr.ANGllES ET XOTIGES.
( Suite, )
TuoISIÉME I’AUTIK. — PlAXCIIES 181 A 411) I.N'CIiUHlVEMEXT.
I 4 - I fi -1
f! ■ l'
lÎY/.ANTÏK, AnVriSrx, Fiîakco-Byzantix.. * ... _ ... . .
Eï'HOPE. — Du V*' siècle a h fin du xv*-' et partie du xvi^ siècle....
— xvi^ siècle et partie du xvn*’........
“■ xvn*^ siècle et partie du xviii^.
— xviii'' siècle et partie du xin"".
Nix*^ siècle..
^ 1194.4 1.4 pq.
liP-tVIii + jlA'l + il!
•fc f- 4 « I + d
P]ai\Cll03.
181 à 188
184 a 254
255 il 811
8J2 à 8^15
mû k 407
408 à 410
BLAXCUES ET NOTICES.
PI, 181, — Byzantin,
Costumes civils, religieux, — ^lobilier, du ciurpiième au onzième siècle.
Clergé grec J latin; patriavcîies, évèr|ues, aldx^s, ascètes* Bénédiction grecque, latine, Em-
Ijcreur d’Orient, ses officiersî consul du Bas-Empire; patricien, La sdla etfrulis; trùjm^ l&
hîselliutn; siège à dossier, porte-cierge, la p/fari.
Itubau-diadème, tiare,
Ee hrepfrum céurneum, la mappaf Vacalîa, la ci'cix dite mnmsa.
L’ainîct, Taube, stkhariifmf la tunique, chasuble, \q pJtmôIiuîUf pallium, V/tomophore, étole.
Vfpiiîrtchfhmnf le stfpêrimméral^ le tnaiiipnk, V/iîjpogoimtmi {détails tk costumes reproduits
dans le suivant; voir aussi ks pL 103 et 194).
La iopa trabeaj palmaia^ cklampda^ la stiharmalis profumltm ou hrnm ^ les caknmmtfi
PI* 182. — BïZAKTrx ET AiîVSfîix*
Souverains, princes; insignes, Tétements impériaux ftreixième au quinzième siècle). Le
costume sacerdotal ; maronites, orthodoxes, patriarche, évêques, pivtres, diacres (dix-iieu-
vieme siècle). La croix abyssinienne»
J/mnapuiSi couronnes; mitres épiscopales (voir pl, 193), le hihJfj le kaljmlr.
Le scepti'C; croix à main, pectorale; raniiulaire ; la crosse grecque, latine (voir pl. 19r»}»
La chape, le djiilhéi Venkiri\
Les les Icoioidoura.
Pl 18 ;l — Fîianco-Bvzaxtik.
Empereurs, impératrices d’Orient
Les despotes.
costumes d’apparat, crintérieui'. Efïrgies de souverains.
Diadèmes, couronnes.
Sceptres : le fmrtex ou fendu; les nurtkophores,
Ij’habit consulaire (v* pl 181), la pulla^ la gemmée ; tuniques, chlamydcs de pourpre;
le clavus; chaussure?, le cuir de Perse.
Pl. 184. — ^lOYEX Am.
Couronnes royales, sceptres, mains de justice, annulaire» (France, 420-987.)
Pl. 187). — EmoPE. — Moyen Aoe.
Europe occidentale, neuvième, dixième et onzième siècles.
Intérieur de rhahitatiou seigneuriale. Restauration,
T/architecture rom an o-byzantine; la vie féodale; les pièces du donjon: décoration; mo¬
bilier : le lit, les coussins, la couitine, la lampe.
Les chtets. Ser’vicc intérieur, le eoureii.
Pavage de briques,
h^hijpocausfnm*
Pl. 180. — ErROFE. — Moyen Aoe»
Mobilier ; du septième au quatorzième siècle»
Lits; trônes, celui de Dagobert; sièges épiscopaux, faudesteuils, pliants, chaises ii dossier,
vases.
Fl. 187.
KmiopE. — JfovEïi AfrE.
Costumes civils, militaîres, religieux (v. pl. 193 et 194) ^ le célébrunt, neuvième s-
Casque, cotte d’armes, armure de mailles,
K])ée, haclie, lance, arc, flèches, carquois, massue.
Chapeaux; honuets; Vesclarme pl. 200),
Fl. 188. — ;Müven Age.
Costumes civils; onzième siècle.
Les l>onnets, la tunique, la rohe, le Mumt, l’aumusse, le capuchon, les braies à pied, le liaut*
déchaussés; manteaux, iQpa/Uumf la chlami/def h p^muJa. Le voile fcininiu; les chausBures,
(y. pl 1890
Sièges ; harnais du cheval ; voiture.
Fl. 180. — Eraopu. — Moyex Age.
P
Classes supcrieurcs, costnnjcs civils. Evètpie mitre, diacres. (France, douzième et treizième
sièclesO
Couronnes d’orfévi'erîe; robes non traînantes; chemise, corsage, ceinture, jupe; le port du
manteau; plaque de poitrine*
Cheveux tombants, tressés ; la barbe.
Pl double, 190-191. — EruoPE. “ ]!^rovEK Age.
Intca’ienr français du douzième siècle. — La salle du château, plan,
prohiber; la chaire seigneuriale, chaises, baur|uettés, Fécmn, la forme, dossier mobile, escU'
l)caux, tables de repas, crcdciicc, bahuts, image sainte, le Ht, le berceau.
La cheminee, les fenêtres ; châssis de verre, de toile cirée ; le carrelage ; les tentures ; déco¬
ration des murs, du plafond ; les poutres.
VI 192 . — Euuopr. — Movkn" Age,
Instruments de musique, à cordes pincées, â archet, à vent, à claviers (du clouzième au
seizième siècle),
La haïq^c, le psalténon, la rote, le luth, îa maîilore, la guitare, le cîstre, la cîtoîe,
La rnbète, la gigue, la vielle ou viole.
Le chalumeau, la flûte, le cor, rolîphant (v, pl. 201) ou cor sarraziiiois, les cornets, la sa-
quebute, ou tambour,
Le clavîcorde, les orgues portatives.
PI. 10?i “ Europe. — !Moyex Aoe.
Costumes sacerdotaux. FiiüigQes épiscopaux. Im précieuses^ les ferions ; quatorKièmo
siècle (v, jïL 284).
I^a simphx, ]\i}irii}hrijÿialaj la prefhsa; la crosse (samhm) i le sudarhtmf le snperhiiméral ;
l'anneau ; les gants, les chaussures.
PI 104. — Europe. — Moyen Aoe.
4
Costumes sacerdotaux. — PIvèque, prêtres, diacres; du quatorzième au seizième siècle (v. pl.
284 ).
Bonnets, la tonsure. Vêtement de dessous, la soutane. T/aubc, scs parements^ le rochet,
ramict, la dalmatique, la chasuble, les or/rois^ lu chape (pluvial), lYtole, le manipule (orarimUf
siu?ariu*)i f fanon), les souliers liturgiques.
Fl. 195. — Europe. — Moyen Aoe.
Objets religieux.
Crosses d'archeTcqucs, d'cvêqiies, croix processionnelle, chandelier ; du duuzième au qui tu
zième siècle.
Pi. 190. — Europe. — AIoyen Age.
IMobilicr religieux (y. pL 197).
Le chandelier i^scal, en bronze, en argent, avec ieefrin ; chandelier d'autel, enceiYsoîm,
porte-paix ; du treizième au quinzième siècle.
Pl. 197. — Europe. “ XY®-XYP siècle.
Lustres, couronne de lumière, chandelier cPacolyte, billes de chape, quignon des damoi¬
seaux.
Pl. 198.^ Europe. X^-XYTTP
Costumes monastiques. (Pologne. Allemagne. Flandre.)
Ordres, tiers-ordres, du Saînt-Sêpulcre, des Servîtes, de T/atran, des Esclavons, de la 5Ia-
deleine, de Saint-François (lea bofts Fkm), des pauvres volontaires (frères A^okrds), du
Saint-Esprit, des Frères Blancs.
Chanoines, moines, religieux, religieuses, penitents.
Chapeaux, bonnets, voiles, guimpes ; la soutane, le rochet, la tnuîque, la Icscapnlaire ;
%
manteau, cliape ; ceinture de cuir, de corde ; bas, souliers ;
Tête rasée, barbe, tonsure.
bâton avec crncili.'c.
(î
PI.
TTATJE. — IX'^-XVP .SIÈCLE,
Les (loges de Venise î teiiiKï de guerre, de cérémonie. — Oflicîers civils,
glaive, porte-parasol, ]iortc-coussîii, trompettes. — Type de juif mardmiid.
IJoiinet ducal ; le cor/w^ le bmûIlinOf calottes, serre-têtes.
militaires, porto-
Armure de mailles, pièces d'acier, l>rassards, ciiissarbs, jambières, solercts.
Manteaux, collets de fournirez manclics à ht fhwak; la doffalim; h f/mrndiim.
Brodequins, souliers.
PL ^ôo.
EsSPAGNE. — XII P' SIÈCLE (1)
IjG roi de Castille ; prélat, nobles, guerriers cromSf bourgeois. — Toilette féminine, cos¬
tumes de chevauchée. — Amnéinères; objets moluHem.
Couronne royale, Vionnets àorcillères, cliapeaiix; la tiare do rmduf^ le harluqHfijo, Vakmr-
dora, les xomordos.
Armures de mailles, de plates ; brassards, jambières; épieu.
Les manteaux, le paile (pallium) ; les ganses, eiferdas; Vc^wMriao, h f/oneïkj le ]Xiltçon, gue-
zofci le hha^ la paire de rôles, la ci/cktde, Faumusse laïque, IVeharpe. fajii; les chausses, les
zaragaelkfs; gants de chasse, chaussures.
Chevelure tomhante, en eaheUos,
ITaniais du cheval, h jaëz.
Brocs, lampes, chan(leHer.s, éteignoirs*
PL itH. — Movex Agk (2).
(L).sturnes militaires. — France, du onzième au treizième siècle. — rTuerriem des époques ; de
Charlemagne, de Hugues-Capet, de Philippe P*^et de saint Louis. — Armures de enîr, d’an-
ne!ets, de mailles. Enseignes; le guidon.
Casque bombé, ovoïde ; heaume cylindrique, lace ; Taigrette, nasal normand, mentontiières,
le couvrc-nuqiie, la calotte, le cainail, la cotte trarmes, coile à armer, le hauberi, ia hroif/aef
le pambhoH; corsage, tunique, chausses, gants, hoiicHers; la puif/e ou gairbe.
Epées de taille, d’estoc ; poignées de lironzc, foiiiTeau, baudrier de chevalerie, ceinture ; dague,
le praud coaleatt oii 7tusén'corde (v. pl. 21;1), marteau d’armes, lance (voir ces principales pièces
de rarmemout offensif et défensif dans les n"^ suivants, de 202 à 210 inclnsivemeiit).
Manteau, braies, chaussures,
t
Eperons à pointes.
Pl. 2(«2. ~ ErROCFL — IMovex Age.
Costumes de guerre ; France du treizième an quatorzième siècle. — Armures de plaies. Le fer
et le cuir (v. pl. 217). — Armes du douzième au quinzième siècle.
O) Cett€^ pLinchc têtniiiiC' le tûtae III.
(2) Frciîili're jilniiche lu toïn<î ÏY,
08 —
ClievuherR croiars. Le bannoret, l’homme do pîeJ., chef de milice, Lnsei^nca; la croix
rouge, blanche i harnaia.
Les ouks^ les milères, le timbre du heaume, le torbil, le volet, le iilumail, le capel de fer ou
de ]\rontauban, la bavière, la salade, la cervelière, le bacinet (v, ph 206), le gorgeriii ou
gery, le grand heaume, le grand hof|uetoii, h hauheryeoti^ k briyandmp, la bramumrB; les
cuinos^ les rondelles ou roitelks; arrière-bras, a vaut-brassards, enbitières, cuissots ou cuissarts,
yemnillères, jambières, grèves, solerets. (Celles de ces pièces défensives composant Tarmure
de pïute$ SC représentent dans les [îI. 20-^ à 20G, et 217 k 220.)
Boucliers annoriés ; ocus à flors, à Nons^ rernhsési (v, les pl. 203 à 20î^).
Lcs^m.s^ palevas ou fakvas; pavcschtmrs (v. pl. 217 et 220).
Bouclier de poing, la rottelk ou hoce, T^a rondache, panm.
L’épée courte, Tare, le dard, la fronde, la hache de guerre, celle dite damisê^ la haute
lance, le glaive, îa gtiisarme ou hallebarde, Iæ fmcs$ariî, favckml oxi faucU, la pique flamande
ou godendüri, godendag.
Eperons k molette (v, pl 206 et 200)*
Bâton de pèlerin; le hôurdofi^ le sac.
Bannières, gonfallons, pennons (le bachelier). Etendards,
Le chaperon mi-parti. Costume dit de parmne?iL
Selle ; bâtes de troussequîn, d’arçon î l’étrier (v, pl. 204, 2ori et 20G).
PL 203. — Eüroi*e. — 3fOYKy Acæ,
Armures des chevaliei^. — Dames nobles* (France du douzième au quatorzième siècle,)
Le grand hauberi ou le blanc haubert, la double maille dite de ChambJg, réclmrj>e.
La grande épée ; cous tel à plates, alenas, haussarf^ faussarf.
Le Burcot ou jncmfel fourré.
JfobîUer, le lit (v* pl. 213, 223, 227, 231, 282, 241, 242).
Pl 20L — El ROUE, — Moyex Age, XIIP' siècle*
Costumes militaires. — Le Cinalicr cliargeant, — ^Maniement de la lance de combat, de
1 épée* Le clicval housse (voir pL 205)*
Le heaume conique, l'aigrette en éventail : lala dossme.
Lance de combat, Varc.^heh
Le faufre o^fmtere.
La robe à chemucher.
Pi* 205. — ErnoFE. — ^Toyen Age.
(kstiimes civils, militaires; du douzième au
quinzième siècle (voir pl 206)*
PI. 20Ü
— EuuorE. — I^roTKx Age. XIV“ siècle.
Gcua de robe ccmrte. Le costume étriqué* — îm plates d’acier ou /taniais ùlmtc. — Li¬
tière*
Cha[)ero]i eu cupucliou, i>osticlic; le rondeau ou doche (voir pi. 11) j chu peau conique,
plimie.
hQjaquef ùiihjaquefkj broderies, îuitiales, les dcmi-maiiehes, boutous, boutonnières ; le
potirpomi ou f/ipotif les (voir pL 211) ; la ceîutnre ; la dodiC (manteau) ■ les chausses
mi-parti semeléen^ draps en usage : Vémrlafef Vpraif/m; jarretières, chaussures, solerets à !a
poidaùw (voirpl, 207 à2ÎO).
Vêtements féminins : la coiie kmlk (voir pL 211, 21;1, ■214:),pourJllêe] le suicut. Parure,
col li ers.
Cheveux flottants, courts ; la barbe de bouc,
Ciïiiier, lambrequin (voirpl, 210); brassards d’acicrj les
Poignartls, badekme^ htzehare.
iM, 2o7 et 208. — HüYfx Age.
(A^ütice commune.)
Noblesse française, figures histontj[Ues ; costumes civils et militaires, du douzième au quin¬
zième
Attributs royaux, îe j}aUüüih
Les /tennins^ voiles en guimi>e (\oir pL 211), le frontal, ïescoffmi (voir pi 213, 214).
Le maiitel d’honneur; cotte blusonnée, mi-parti, — L’escarcelle,
PI. 209 * — ^ÏOTEX Age. XllI^'-XlV siècle.
Nobles ï tenue civile ; costumes de clievalerie* Figures historiques, liourgeuis* — Pay.siins
(voir pL 222 et 331), le joueur de flnteb ou ^ahubef. Laboureur, dos ter ou ’Sêiidangem', jar¬
dinier, vaelier.
Rubans de tête; hcbapekl^ le le ehapel, voileféminiiL
La cldainyde, le surcot des hommes, le pelissoii, le corect-sangle, les funkoUres^ la robe de
dessous, gonne. Le savon coiwt^ gomid; le camail, carajpaue; h ju^wïf le haut-de-chauEBcs, les
fourreaux de j'ambes, gamadmf les houscaux {voir les mêines pièces de costume dans les
pl. suivantes, jusqu’à 31(1 iiiehisîveinent).
La robe des paysuTincs.
Panetière; baguette, la reloria; la corne du vaclior, lu massue-
Chevelure, barbe*
70
"l'niviuix a^ricoîCB* — Les ^ciis de serviec ; le imûlm'f le roga^j Végof^i^krf le kimiinër^ le
imtoio'f h jmbr-fnajürj le bounagre^ le èoikr, le f/abotkr^ h fmtrma^^ Icpmger^lcs baijkîs.
PL 21u, — Movkx Agî-;, — FuancEj du XI IP au XY^ siècle.
Costume royal, diieuL Tenue de cour, de vide, de guerre. Le sergent d'armes.
Eeelésia^stiques ; classes populaires. Musicieiis, la metîeslrandte. Joueur de luth, de dicorde.
Couronne (voir pi. 211, 212, 2U, 21G), frontal, chaperon en bonnet, cornette à lu c^guank
ou en (voir pL 212, 210), chapel à bec {voir pL 211, 2in), les qÇ/iques.
Pèlerine écarlate; la robe verineilkf de drap d’or ; niantcaii, fourj'ure, daimatique, ceinture,
surtout, manches la bombarde; raumnsse ecch^îastùine.
Colliers d’orfèvrerie, h penkml {voir pl. 212).
Masse d^argent.
Épée, dugiic (voir pL 211 et 212),
PL 21 J.— Europe. Moyex Atn:,
Noblesse française. Les costumes arm&gés. Les pelleteries. Docteur, 13G4-1401 (voir
pl. 212),
Chapcîs cylindriques, bonnet (voir pl. 21:5, 215 et 21 G), chaperon à cornette, voile, l^rnolk-
guiiî; Icsurcot ajusté (hommes), sa jupe, ses manches, la Iwusse^ k coklk; la botte étroite,
hense; lesiircot^Mré (femmes), les feuèires d'efifei\ les condicrcs de la cotte hardie (v, pl. 213),
le pliistron, garde-corps f jupe blasounée.
Coiffures en cheveux; nattes, torsades, les crépines.
Ceintures, colliers, anéts d^orfèvrerie.
1 i’éper vier chaiTcromié.
Pl. 212. — Europe. — Moykx Ace,
Coiffures; le bourrelet, chapels coniques, plumes.
Manteau royal; raumusse laïque, la houppolüTidc (voir pl. 215), manclics ouvertes;
(surcot).
Parure des hommes : colliers, chaînes, ehaïuettes, torsades, pendelocjnes.
PL 213 . — Europe. — ^Ioyek Age.
France ; qiiatorîfième et cjuinzième siècle (voir pL 214).
Ecclésiastique, notaire royal, ménestrel, baladin, guichetiet', mcssîiger.
mi ni II. ^lobilîer.
Le chaperon féminin (voir pl. 215),
— Costume fc-
■f
r
Cotte a chcvaiielici%ccîiitûre, boumletarticiïlé, le coræt courte diaiis^cs k pioii; eapuchoii
h pdùmi. Bottines ii ijoiilaiiic,
La laiiLC courte du pictoiu
A U ino n ière, cscarcel le *
PI. lill. — ;Moviqx Age.
Assemblée souvciviine. — Docteur. — Costumer féminins.
Chapcls pointus, lu bareik^ ie grand escofrioUj celui à tnrbaii.
Coiffure masculine ; cheveux longs, ci'épés.
]\Iobilîer, la /mue ou Jotirme (voir [>1 2lG)j le dais, le lutrin,
lustra nients de mu si rj ne.
1*1. lilû, — Ecuope. ^ Mo Y EX Auk.
Fraiicc, seconde moitié du quiiiziéine siècle.
Costumes civils. Scènes jndiciaia‘s. (k rohe
Le chaperon déroulé, la guimpe, la ceinhire dorée.
I Sou rse, m i ro ir de suspe ns ion.
PL 21G. “ ^ilüYEX AfîK. XrV'-XV'^'SiÉCLE.
Iiitoricur dhni cliateau seigneurial; la salle de paremmi. Noblesse française. Hciviteurs.
^loljîHcr. La carrosserie (v. pi. opi).
Vêtement de chevaucliéc, hJoKniadô (v. pL 017).
La fable à )nanp€i\ banc à dossier, marchepied, biiiic ibHnqi{el)i les nappes, le Idif/e de
/tatde licef les serviettes, (ouatlkSf tapis dit^ sarmsitioîs.
Sol i rage, pivage.
Chars d’iiomicur; le karrâschêf l^ittelag^c eu lièche, le poëk on maitiel^ le cieL
Le piltmiitm, la rheda, le traîneau ou cîak^ le rouleau, le peforUum, la bmm, le carpeaimi,
le chariot branlant.
Pi. i!l7. — ^lOYEX Aue.
France ; costumes militaires, L15n-14Go.
Homnics d’armes, do pied, le^irfî'CÆr/fcwr (v. jd. 21U et 22o),
Harnais do guerre; les etàrks; rarmurc k plaies^ partielle, complète.
llaciuets à museau, à bec d’oiseau ; les chapels do fer, le /t4tuepie}\ Vavfïutady le garde uiMpie ;
coruette, lu croix blanche {v. les pL 21^ à
f
Le mésatfj le nasal, la baum êj Fai met, le grand lieamne, le ciinieiv panache, houppe, le col¬
let îu, le camaiL
Tj’épaulière, le fanere ou arrêU/enm^ les ailettes, spalières^ passe-garde ou garde collet, les
brassards, canons , cubitières, gantelets.
Haubergeon démailles, corselet ou justaucorps, ]e jacquet^ cuirasse, braconnière,
pans [ère, tasse ttes, jupon à plis.
Cuissots, Guissails, genouillères, grèves, solercts, Venjot du diabh^ éperons.
L’écii, sa gnige*
Le surcot d’armes, le lahm% la mantûUn€f la hiiqm^ \^pt{klof.
L’épée perce-mailks ; fpiîllons cJmmtchès; épée d’armes; dague ou mhèrkùnh; chaî¬
nette de suspension, baudrier, ceinturon ; ceîriture orfévrîe.
IMasse d’armes.
La haute lance, sa rondelle, la (jraqjpc de hiUeiks^ le glalvehf^ Xw, pmtimané^ les voUijc><j les
danUs.
(Pour la plupart de ces pièces de Farmement, voir aussi les n'^ suivants, jusqu’à 2'20 in¬
clusivement.)
PL 218. — Europe.. “ Moyen Age.
France. Costumes militaires. {14?1Î)-Î450.)
L’armure complète de fer.
Compagnies d’ordonnance, leur organisation : les lances fûunrksj page, rev/anl d'Â9}ineu}\
le valet. Les francs-archers. Héraut d’armes, trompette, arbalétrier; armes, étendards.
Le sous-gorgerin, la hrigandiiie, le haubergeon, arrière-bras, ciibitîère, avant-bras, armure
des jambes ; le harms.
Épée de connétable.
FXkchQS ; sagefleSf le quarrd^ qttarnaifj hoiyofif üyc, carquois, trousse.
Arbalète à tour, ou à pl, 2111), à a ie.
Fléau, maillet ou plommée, guîsarmc ou /({nchou^ hallebardes (v. jïl. 220).
Mousquet.
Le lioqueton, lu surcotte.
PI. 21 ü. — Europe. “ Moyen Age.
France ; quinsième siècle. -— Costumes de guerre, de joute, de tournoi. Adoubement du tour-
nc^yeur, du jouteur. Les hauts cimiei’s.
Homme de pied, arbalétrier, chc\'aHer. La colle de fer.
La Jolis le ou Jouxte, par batailles, par bannières, les hurnoiemmts on iitjrmels, les Irespt-
gnéeSf les combat s à la fouler la reconwiandalmh
—
Le lieiiuiïie kiêfe ikmfjMtiid; armoiries, tortil, laiïibmiuin, cimier; Xtchajml de imume; ba*
ciiict ou capéHne^ vue Irèilltsüe; cuirasse, laïues articulées, fuldcH ou fimïdes, le ffrand faucrei
eoi'saf^e, bmcoiinièrc, cuÎsshkIs en brij^aiuliiics ; la manche IwnoraMe, demi-iiuiiichcs ; jupe, pè¬
lerine de mailles; le clavatiiy la targe, le grand pavois, (v. pl.
Armes conrlokcSf l'épée rabatfve.
Masse, marteau d’armes, la grande dague, (pulloiis à pofences, lance, fer à trois dents, balle-
banles, la (vrAcqurj la rmuwie.
LQSMÙPÎa-éirk/ s; la selle, le hnurth
PL — Movkx Aoe.
France; quinzième siècle. — L’artillerie. —* Amies diverses,
liii grande et la petite garde du corps du roi (v, pl, les lanciers, arclmrs, créneqniniei^,
arbaléfci îei*s ; le consliHier^ (fuîmrmier ou safellik.
Lfi f/rand cafw?if la bombarde, le veifÿfmre,\G enfpeatfdmu, les couleuvres, eoukutrine^f, cou¬
le vrines, la serpentine; boulets, les pierres à eanons^ balles, on phmbeh; alTiits;
la charpenterie, \cÿ> flasqim, le hunlhUy le maniemi, les grands pavois; la coulcvrîiie à ma in.
Les espéês haslardes.
Le erénequin ou nmiequiti. Par halète à que, à moulinel, le tr//, le hmtdré ou baudrêes; Irai fs,
quarreauT, virelom, raillons, le carquois, curcas,' le pied de biche; la trousse empanêe.
La vottqe (le voupier).
Le coiiski a plaies^ la coushdière,
Jju hache de Créquî, celle d'arçon, à double tranchant, le couleau de brèche.
Cornettes, panonceanx, le soleil d'or.
Les francsdaapùis.
Pl. 22). — 31ûYEX AcE; XY'“ glKCEE.
Tournois, prestation du serment, entrée dans la lîec.Costa mes civils, (lenLÏIshom
le fauconnier (n*gne de Charles VLli),
\t0 dé/endaut, Vappe/anI, les lierauts.
Calotte, le bieoquel (v. les pL 2ltj à 251) ; robe traînante, chaînes d*or.
Harnachement : le chevalychanfrein, têtière, hossettes.
1*1 222. — MoVEX AoK^XV*" SlÈrLE.
Costumes du chevalerie. — J^os paysans, pihtuUs.
r.e banneret, le seigneur-chef, le hénrut d'armes, le
Le laboureur, le semeur, le faucheur, les fossoyeurs.
4
— 74 —
Anuiires dorées; le hallecret» Iqs ff(mtrfrd&, des genouiilèrcs.
Cheval de tounioî, le ^mnd cheval.
Cliapcls, calottes; la Ikrée, le taktrd écartelé.
Cotte, manteau (saffffhtm)^ le ÿonue/f tablier, bas et haiitB-de-chausses, les aigaillettes
keuses à la poiilaine, ^ttêlres on gamtclieSf souliers.
j*l 2:^;! — Ecïiüi^e; ilovBN Age, XV*' jiIécle.
Clicvalîcr de la Toison d’or. Costumes civils. Iiitéi'ieur. ilobilîer.
FL 224. — EriiOFKî X[V'’-XY'^ j^ikciæ.
l
Joaillerie; orfèvrerie dite {TaccoifiremeHL
C^ciuture (orfèvrerie e7i fùmsînfge), a^G-afes, iKiucles, mors de ohape, broches,
pendeloques, affiques, efiseigtwft, relifiuairc, chaînes de colliers, bague, monture d’escarcelle.
IM. 22Ô. — Egrope; VF\ vu*, XV" et XVF^ siÈciiEw.
Objets usuels. “ Iiistruinentâ de toilette; les peignes, en os, buis, ivoire, à garnitures d’ar¬
gent, de pierreries.
Fl. 226. — Ernoi'E; XV*-XVF bièimæ.
Escarcelles, Ixiurses, — Coiffures italiennes.
liuuï'settc à ciikde-vllaùi, le mt/.dhe^ le tlemi-ceiaff Vépiftf/lier, le couteau, rétiu à ciseaiLV
ks ponumdrer^J cliapelets odorants.
t-
i I
PI. 227. — ErUORE; MüVEN A(iK.
Mobilier; quatorzième et quinzième siècles.
Lit royal, le jjoëk d goudmes^ le coKveriotr; lits liourgeois (v. pl. 231 et 232).
Sièges à bras et à dossier, la chakOf chaire, ckciièrej forme, fourme. Sièges d'honneur; chaire
épiscopale; ha ne fainilial, à dais, de confrérie; le banquier ^ les couetfes ou quarreaux.
Ihiffets, tables, couronne de lumière.
)tr
a
Fl. 223 . — Eluiope; Moyen Age.
Objets nioidlicisf quatorzièniCi quinzième, seizième siècle*
Jmiges à voîefÿ^ les gtnw/iers; tal)crnade, diptyque, lutrin ou lectriii.
Fi. 220. — El’UOFEî XV* HIKCJ.K,
^Mobilier d’apparsU- — ArmoireSj coffres-forts, le nacrariuttti civdences (v. pL 230).
I
1 * 1 .
l'jlJKfiPK; XV"‘
Crédences à dossier, sans dossier - cod’ret.
PI. 1^31. — Muvkx xVoE.
France (Bassin du Rliîn) et Flandre, dit ijUiiizièinc au scÎKièine siècle.
Intérieur; nieiibles^ olgets mobiliers, nslcnsiles; chambre à coucher (v. pL le lit, les
l»entes, travei'sin, oreiller, descente.
IjC dressoir, la prie-l>ieiu
Carrelage.
Horloge à poids, son tindn'o, la nokfk.
I/autel adossé; ïa napjx:, doublm\ les cluuKlcliers, meslidis; le reliquaire,
\i arche; Jktcons^ les hmrvs^ i)khiers^ les phtielek^ les escuclhs.
Chaise sans dossier, eu chaire, daîs seigneurial ; pliants de buis, de métal ; sièges (rhonneur,
\\* fmdemi^ fadeHlmll^ faïuksteuü^ faudi sfaef^ famksiuel; le lîerceau, bers,
liéchaud, niédaillonj eoH'ret, clefj miroir de suspension, bagiiier.
1*L 232 . “ Eiiiom':; ^Ioïkn: Age.
tutérieur liamand; qninzièmû siècle.
Cliambre à coucher ; lit sur estrade, couchette, pavillons, (luciic, ivaeerhirsj ciel de lit, tra-
vei'sin, IjQsà/nd. lîanc de foyer, coussins, chaise, eiédonce. Di/iatukrks ; l aiguière, le lustre,
Cheniinée, hotte, potence eu fer, le paravent; fenêtres, meneaux, vitres, volets intérieurs, le
rifraiL
PL — Et’iiorE; XX*^, XXl^ siècle.
Mobilier. — Porte intérieure, verrou, heurtoir.
Banc de chœur ; coffre de mariage, colVret.
Pb 234. “ Axgletliîre.
Architecture intérieure : quatorzième, quinzième^ seizièinc siècles.
l/mnd hûiL liUS charpentes apparentes.
Pb 23Ô.
Euuoue; IMüvex Age.
Intérieur de riiabitatiou française ; quinzième siècle.
lia cheminée (v, pl. 23i!) ; meiieaiix, la croisêfif les vantaux ; usage des vitraux; In^iseries^
peintures, plafond, poutres, solives, leur décoratiom
I*L 23li. “ EuUOI'K: Xllï'*, XV^ XYI*' ïSIÈCLE^.
La décoration des? cheniinée.s.
PI
Erasjj't: : XVL' siÉii.t:*
Allemagne. — Costumes populaires*
Bagage de l’armée ; \ alcts, domestiques,
PI, — Italie ;
vivandiers, rilmuds, ri bandes*
XIV^ XV% XVL' SIÈCLES,
Costumes civils^ militaires^ gentilsliommes véuîtiens; le hvf/ardÿ un condoükre; oHicierade
livrée, pages*
CIiajXTon, chapeau, mcutoiiiiièrc, coiffe, bonnet, borrelli/iüf toque, réaille, eapnehon ; diemise
de soie, la ffavardma; surcot, le pourpomf-frùff/tmi^ les crei^éè!; hü<juetOïi, ceinture, ceiiituroiL
sacoche ; manteaux, la zimarrUj le mankUùto; chausses, biugiiette, culottes; souliers, liottes*
I^nicelets*
Cheveux liréa^ ondulés*
r
J'ipéc, dragonne, pendant, dagme (v. pl. 2;3ü),
PI :^3îL — Italie*
Goiiduliers vénitiens (v* pL :^hu). — Les Cmtelltmiy les Nkohftî; tenue ordiiiaiie, habits
de parade, de livTO (quinziéme et seizième siècles)* Pages, costumes de cheval, nains, fous
de cour, du quaUnzième au dix-huitième siècle*
Buimets, jugulaires eu puiiites, pourpoints tailladés, cuirasse de euiî**
Pl. *ilO* — iTAJUE; XlVb XV^ASIÈCLES*
>
toscane* Ejioijiie de la lueniièrc renaissance* — Types de la maison urbaine.
Ijcs portiques, la le bakone^ le parapeifo^ le corps de logis*
PL double :^41-242* — Italie; XV^ siècle*
Costumes civils, religieux* — Noces seigneuriales; gentilshommes, dames, musiciens; reli¬
gieux dominicain*
La cellule de iSavonarole*
Le grand lit de pied, “
PI. 243. — Italie; XIV'‘, XY\ XVPsikci.k,
(\>stiimes féniiîiinK. ^ DiUnes tioIiIck, <leiiniiselles!, suivantes: t\ pes l^ollaiulais* Teinture de
la clicvelnrcj le Jih d'ortK
tUiiiïipe, voile, eelui des épousées. cscanioii, le Imho, (v. pl. 241:, 252), cupiiclicuK
(’liemiscttc, cotte ou robe, les mantcanx, fonrmrGs, hroderics.
Diadème, plaipies, riihans de tète, Va ferrûîinière^ les fremolî, I.Tmclics, colliers, ceinture d'oi -
fèvrerie.
Clic veux nattés, fiottants ■ le filet.
PI. 244. — Italie: f h^mmexcement m* XVP siêci.e.
t4ostumes féminins. — Vénitiennes, Xapolitaiiies, Classes nobles, riistupies,
CIiaj)eaux de jiaille, le harrefo, le caplUffm., capifiafifs^ la fiam-reefn (le mifra rekflîfji); la
chemise, te casaquîn, les brassards, ceinture (la mitrak), taldier, jnpe, manteaiix, la
htreiiîdf hxparm retm, uumônière, patiiis,
fîaîne de cheveux ; colliers ; Imicelets.
PI. 24.x— KntOPK; X\*\ XVP SIKCI.E,
In teneur du manoir; k mUe. ^îaîtres, ffem de
t‘orps, la rcdie sans ceinture.
>robilîors, usteiisile.s. T<alotte du
PL 244, “ KruoPE; XV*, XVP siècî^e.
France, — Fostuines civils, 1 4 hô-151o (v, pi. 247 à 251).
FoifTaios dliomines, de femmes. Peine, princesses. Le poite-torche.
liU toque, biroqtwf^ le moYl\Qr,Ve}iseùpte ou ha/jiw, la coifl'c, la kn}phtf(\]c chaperon (dames),
Veseoffton à rornes; couronne royale.
Tai cliemise, la gorgerette de doulÆ ftlef^ la cotte, la surcotte, robe de demts^ de beatf vmmlmi i
r/^ausses (ou has) des dames, It Jarretdr ; ceinture d'orfèvrerie, eu eoi’dolière, les pnfentdre^^, le
drmi-mnf, Véjdtiÿlifr^ le couteau, la bourse; pantoufles,
Jacfjaetie, ix>urpoint, manteau, collet dêralfanf pelisse, fourrures, le tal>ar ; hauts et bas de
cl 1 a lisses, souî i 01*8 itén,
Colliei's, la baÿae ou diffmaat.
Fbcvelure masculine.
PI. 247 et 248 , — Europe; Moyen Aoe, fin nu XV^' bik(‘Le. (Xotice commune.)
Fostumes civils.
Le cliapm et le l>onnefc; celui ii ffmtre hrat/etfe.% ses rubans dkttaebc: puiiaehe.s, joyaux :
le grand escoffîoii^ la résille ; cnurouîies nolnliaires,
chaussures^ les Ims de raties.
Joueuse do tympanon. T/oliphaut.
Tiii rohc de cérémonie, manteau uujrtiah
PI 240 et 2ri0. — EriiOî’Eî XV'‘, A'VI'' (Xotice commune.)
Keigneui’s, dames; cnifFiircs flamandes. Rol>es, manteaux crapparat, les manches à la gramF
garre.
PI, 251. “ Ei ropr; X\‘\ XYP pièclk.
Pièces du costume féminin ; gniud habit de deuil ; la harhefte, le roarrû-c/fûf.
I^a hmirelk des hmiinios.
Ceintures^ colliers houppés.
PI 2o2. — Ei hOPK; xvr^ KtKCUK, iTALrK.
*
CostumoB féminins, hh fille à7)iartei\ Coiflurcs.
Les filets d'or, la résille, la ferroiinière, joyaux; le bouiTclet (v. le ktho, pl. 24J et 244),
calotte, serre-te tes, coquilles ou raies.
( Juiinpe, corsage, manchoR Ixiuffantes, à crerés. robe longue, hroderies eu damasquelle ; timi-
rpm à la romaine.
PL 2ô3, “ Europe î XV% X^VP siècle, Prance.
T Tah il le monts de guerre, d'apparat militaire. — Casques do guerre, de joute; les armures
cannelées. “ Chevaliers, coulcvrinier ; haut seigucio\ archer à cheval. (Rc'gncs de Char¬
les VII, Louis XI, Louis XII, François PL)
Cabassét, oreillorcs, arniet, colletin, mézaîl, [vièces de renfort; la haule-plère; piuaehes:
salades, celles de tournoi, visière à smiffléts, gorgerin, soüs*gorgciin, jugulaire, chapeau, ban¬
deau d'orfèvrerie.
Cuirasse, f/arnhisou^ armoiries, jaquette de mailles, hneque de brigandinc ; plates^ rondL4les,
c]>aulières, lamettcs, passe-ganles, oubitières, brassards, gants ; soloretHS, eu her (h caue^ en pmh
d'oursI chaussures, en mailles de fei% en cuir; éperons à molette.
Cotte d’armes, pèleriiie, jupon.
Epée, pommeau, garde, lame à cannelure, fourreau, dague, le rouM à pialesjCerntiirG^ nmsse,
marteau d’armes, la pointe, le bec de corhiu, le mail.
Ave, carquois, flèches empennées.
I/O frail à pondre ou conleurriue.
Hîic, amorçoir (v. pl. 2ô4 à 263b
7U —
n 2U. — Evrove. — Viu^vE; XVI" sikcle,
rnstiimeR militîiîres. Tenue trappamt. — Gentilshommes, hnntinc fTannes, ofTicier canonnier,
\e porie-mècJwî coinbattiuits, fanta.ssins, le soldat snîggc, T/armure Détails dV-
(juîpemenfc, drapeau,
Armet, bourpjiii^nottej mur ion, calotte, chapeau j [il urnes.
Cuirasse, tassettas, braconnière, Cfitte démaillés, corselet, pourpoint (le cuir: le jilastiTm en
panse, dît à h imuhtnef la fraise godronnée,
îloqueton de clicvaut liée, pourpoint, manches tailladées, inanclierons.
irants*de-chaiisses, la
Gantelets, souliers, bottes.
L’épée il deux mains {v, pL 2ô0), la inaf}} f/ma hf, poiffnàTd-elmrf/Hff^.
La haute lance, êou fcardeoiiain.
îai rondache^ la ^tii^e,
Porte-méche, scs branches,
T J ’îimorço i i\ fla
I
PL 205* — PUANCR: XVP' ftlfefLm
Costumes militaires. Tiennes de Tiouis XTT, de Franç(iis PL 1507-1 fi^O (v. pl. 250).
La grande, la petite garde du corps du i‘oî, Créneipuniers, gentilshoimnos à bec de corbin,
arcliera écossais, leur acmfsfremenf. l^es estradiots, Partiilerio (v. [>L 257), Les canonniers,
hasfanîeîtrs^ hs at/des ænoumers, les lmife-/mx, Suisses gaidîcns de pièces.
Torpie, plnmaîls, cliapeaii à ralbamimy sayun, lioqneton, casaque, robe, chausses, buttiiies,
ilallebanles, lances, arbalètes*
Calibres, i-imoïis rffi/oreêSf doubks; arqt/fhims à croekefs (TAinis Xlî), basdirs^ b/tsbudef^,
strpefdiïiesy spimks fFi'aneois P'D-
Pl. 250, — Flî.\NrK* X \ P SIECLE,
(hirde du roi. Les Cent-Suisses, les Keo^s^tis^ leur livrée, — Infanterie franrpiise, étrangère,
les bandes ,— T,es Suisses, les lansquenets, les légionnaires^ pujiiiers, aripiebnsiera, ceux dits
viorionnés: hallehurdiLU^s, (r pL 257), kibouna, 1520-1555.
l’I. 257. — FïiAXrE: XVI" sieclk.
lîègnes de Henri II, de Charles ÏX* 1559'1572.
PiÊprier, arqnelmsiers, lAim[mnQts, Jûimtr tfespêe, nnaisriuetaire, tamb(3Ur, iifre, laquais, ar-
tillenr suisse.
Ij'liabiifemcnf de têfe^ morion, annet, casaque crordoiinance : écliarpes, la croî?: Tjlancfie ; la
7'OfHJeUe à pmwe.
Arquebuse, mousquet,bandoulière, fourcbe crappui, hi/ôtùqitùfe.
Calibres d'artillerie : le caîion rétifordj la f/rande côuhi'nnef la h/tfarde, h mopemte, le fanmi,
le faitcoïtnemiy la hacquehufê à croc.
PL 2ô8. — EritapF: : XYP sikcî.e, Espaunk,
Armures équestres : armes.
I
Ki)(‘es : la (*olmla^ poi^juk; d'espadon.
Kperoih
Pb ^ôîl. — Er^uni^R; XVI'' sikclk, Espaiixe.
Demi^ariiiures ou corselets; Ixuirgui^rnottes.
PL 2r>d. — EruopK ; XV['’ RrKCLK
Armes offensives, défensives. — Cavaliers.
Le cheval bardé,
Armet, la vue, le nasal ; cuimsse, paiisière, dossièrc, iiraconuière, le fautre ou mTef-ferme,
épaulîères, passe-gardes ou garde-colkt^ lirassards, les canom, la cubitîère, ^aiiteleU, les cuissots,
la fenouil lère; les grèves, 'pèdieux ou sohrels^ éperons; Té trier, Pappiu-lance.
Épée, quillûiis, hallebarde-pistolet, garnitures d'épée, de dague, de poignard.
Harnais du cheval i têtière, barde de cou, de poitrail, les les oreillons, la hrminak.
PI, 26L — ErROpKi XVP stkçle.
T^es armures ciselées (v. pL 202 et Parure du cheval de gueiTc,
Coi-selet en pointe, le hnnefef, le gaixle-aisselle, le bas de saie.
Etriers, Pflrrffrfa à fenêfres.
Pistolet à roue,
Tétièi’e ou cliaiifrein, fronteau, garniture de queue.
PI. 2G2. — Eï’Rope; XVP siècle.
Annnres : armes oiTeusives, blancdies, à feu.
Armet, visière grillagée, mitre, bourgiiignotte, calotte,oreillettes, gfirgcriu mgergeiip cor¬
selet, cpaulières.
Masse d'armes.
Püî^ïiæs d'épôü, iPesUie, ily gniiid estnc ou frarçoiu
Dft^iic, la hmÿite th hmf/^ lo haskmhmK
Epnî k douille jiïiivde^ le
Pi.stoîcts ît muet.
PI. — KruouK î XY\" ^iiÈrLK,
Armes div'erses. — ^lovioii* l^oiuiiéos de rapière, de fhunljerge, de dagne. Viïrdm/iff, Tran
(‘hoir; poudrière ou piilvwin ; poire à poudre ou /asqm; étui de elmsse.
Pi. i'UL — Kï rope î
XV 1" Kïl'X'LE.
PiîAXCiv, Italie,
Dames de la noblesse française: figures liistoHipies, 1520*1 o5(L
Daines itaîîéniies, fin du siècle : demoiselle^ épousée» femme de luarduiiul, veuve (v. pL 20.5).
Collerettes, fraises, manchettes: voile de la \'cuvc: la vasquùie ou hafiquine, Vafkrmi ou
îmnekeroff; la veriHffdk, v^^rliq/adîn; lu cotte, la robe de dessus, siii'cotte.
Courotiue^ peigne, colliers, chaînes, ceinture, les eontenauces, la paiMifrfi, le miroir, la
/msiê.
n
Eventoir à plumes.
Chevelure, sa teinture, la eonlenr d'or (v. ces différents détails du oostnme aux pl. 2(15,
2nn).
PL 2 (Î 5 . — EtntOPK: XVr- h 4 ÏKrLE.
(Xstnmes fëuiiuius ; figures lustoHques. (France. Angleterre. Italie.)
liC ehaixîron ; manches à épaulettes,
Pl 200. — EuROPK; X\d‘^ ^^lÈCLFl, FllAXrK,
< ’ostiunes féminins, — Toilettes d’apparat, de ville.
Figures historiques : artisans, piquiers, mousquetaire, capitaine d’infanterie,
(’haperon à la françaiM, les fempMfe$; cha|ieau« collier dît ramut ; fraises gau*
IVées, godiomiées : manches do la chemise, de la surcotte, manches courtes. bnufTautes. d
nms; les pasm>tf>ïif,<i; la robe en redingote (v, pl. 27!L 2^Ï0).
PL 207. — Euuope; XVP-A VIP' siècle.
Dames de la noblesse fitinçaise: figures historiques. — Costumes pîipnlaires. Milice liour-
geoise, fifres, tamlxmrs. Écoliers.
Jja taille en cornet.
Lois somptuaires de Henri IJ, Charles IX et Henri TTT.
82 --
PL 2rï8* — Fiïakoe ; XTV siècle.
Haute noblesfjc, magistrature ; chancelici\ conseiller {\\ pl. 2fi0); figurcs bistorifpies.
Disparition tic Fescarcelle, les poches*
(’oifï'pre de cour, la toque, le cliapeau, le mortier ; fraise, manchettes, col rahattn, ponrixtint*
manches, chîqiietade ; la roljc du magistrat, l'épi toge, ceinture, écharpe, la cape (v*pl 2<19-
270); le haut-de-chausses, has, aigihllettes, jnrretiércs ; escarijins à crCYes, souliers n
pont*
Ije port de la barl>c.
Pi* — FiïAKCK; XVf'’ STECLE*
diodes courantes* (Règnes de Charles IX, de Henri IIL)
Costumes ofïicielB* Président de parîeiuent, recteur de T université, prévôt des marcliands,
docteur. Dames, bourgeois*
Coiffure fémîoîjie ; les cheveux en raqtietie (v. pl. 274, 27C, 277, 278)*
Le bonnet à quatre braqueihs{\\ iil, 274), le cJtapêron fmhrouetiê^ V/mhii fîf düuil (v* pl 280) ;
manteau des présidents, partm^ le fa?mé .
Pl. 270. — Eukopeî XVP eikcle, 2"= partie*
(Xotice commune à la pî. 271.)
Costumes civils. Allemagne* Bassin du Rhin (v. pl. 271}*
Les f( Jeune Atlemagne ». Seigneur, page, dames, marchand, binqnier, tailleur.
Toqiict emplumé, le mantelefc féminin, le ImrzJcuppe^ le la srhauhe.
*
Pl. 271. — Europe ; XVD siècle, 2® partie.
Costumes de guerre, de chasse^ de représentation. (Allemagne. Bassin du Rhin.)
Prince, veneur, enfant noble, caii’alier suisse, le reitre ou pistolkr^ tambour d'infanterie.
La toque, le chapeau, morion, panache, jupe, corsage, manches tailladées, pour¬
point de bufiie, manteau à Ja reitre.
Ll^pée, la dague, haute lance, javelot, pistolet à roue, la ptsfoU,
Manœuvre de cavalerie, le caracol ou limaçon. Ilaroais de cheval.
Pl 272 . — Europe; XVP smÈruE,
Figures équestres. (Allemagne. Pavs-Bas.)
(’onite, prince, d:iine, seîgneiir.s, timbalier,
iranuiistlu clieval, selle à troussequm, lumppettcs, lanières, manchotu
PI — Fra^:€Eï XW mkvLE,
Rè^^nc »îe TTeiiri IJI {\\ pl, ^7t). — Cêstumés dè lahaiiÉe noblesse, de la bourgeoisie. Le roi.
Dames, demoiselles, boiiri^coiscs. Avocat, Vêlements de deiril.
ijC ffrand atlîfage,
T^e chaperon, le voile de deuil, Veniolkifje ûtïvple; la hnrhe^ la collerette en éventaiU rabat¬
tue. Corsage ; le buse apparent î la vertugade enîamhmtr; manclies balkmiiées; Les rehrast les
ajourées ; lesgigots ; k surcotte fermée, le soutien de la jnpe, rexliibitîon du cotillon (v, pl, 27^1-
277,28n, 311) ; le pourpoint ; le caleçon des dames ; les mide^^ (h Yenrn^ les irktmlle^; les gants
rhiqmfès.
Colliers, le iUmi-ceùtlj la bon 1 * 80 , le miroir.
rb 274, — France ^ XVT siècle.
Xobles, gens de rol>e, de livrée. Types populaires; damoii<dle^ docteur, page, valets, ser¬
vantes, chambrière, crieurs parisiens (v. pL 283), paysans.
Chapeau, chaperon, bonnet à kmpkiks^ le masque (v, le Umrtt de ms, pL 28!’)) ; Le col
féminin, fils d'archal; la pèlerine, la chape ; le manteau fourré, la mandilhj lejwpe/, le
fandrau ou kalandrm, la miiquBmUe; les grègim, la fronsse, les chausses, les bas iV al tache,
les jarretières, \m gametâm.
Pl, 275, — Puante et Flaxere; XXl ^ ?^iècle*
Costumes militaires, (Règne de Henri III.)— Infanterie, Officiet^s. Porto-dra^ïcaiix ; mous-
(pietaire, tamboui’.
Abandon do Parmure, bigarrure du costume, L'îilliire des matamores,
Les coiffures empanachées, le boquet, le col godronné, fraise à fa confimm; le
pourpoint, le jiameron à la poataine, les mancherons; manteau militaire, Pécliarpe; les fiauts-
{le-chausse s.
m
-a-
Pl. 271) et 277, — ErnopE ; XVI'^^-XVID siècle. (Xotico commune.)
H(nies féminines. Figures historiques. Dames nobles, bourgeoises.
fie costume ajusté, les corps espagnoles, Vesijoitrinemmt des dames. Tport de la dentelle.
La lingerie (v, pb 278).
hk'aises, collerettes, leur [>liis grand développement ; collet de manteau, manchettes Des lacts,
les passpnienis, les points roîfpês, la guipure.
— 84 —
I^e carran, le corset, coi^ps piqué; les trois cottes ; teintures des étoiles, ieurs déiioîiHîiti'
tions.
IjC mmlier à pû?iff le nœud (Tmnour.
Colliers, chaînes, joaiilerîe des vêtements.
Clieveu.x poudrés, perruques, les areekis^ Vaiiifei (v*pU 278),
PL 278, — EtROPE; XYP' I^IÈCEE.
Portraits. Ocntilsliommes, Dames nobles, Costumes militaires, Ofiicier supérieur. Sertreut'
major.
PL 27n* — Ephope; XVP-XYTÎ* SIÈCLE, Allemagne*
Costumes féminins; matrones, dames nobles, jeu lies filles* Toilettes nuptiales, de ^riamlo
panne, d’épousées, de paysanne.
Couronnes, diadèmes, toquets, coiffes, bonnets, vûilc\s de tête, robes en smtïotte, on redin-
^^ote (v* pl. 280); manches ajustées, à j^i^ot, les ailerons, la tmîne, collets, tablier, manchon
de fourrure*
Chaînes J colliers,
%
Chevelure nattée, flottante.
n. 280 ,— ErnoPE: XVl'^-XVIP SIÈCLE.
Costumes Ijel^tes, français, florentins, anglais, milanais, portugais.
Chapeaux (hommes),cordons, toi-sades, plumes; chapeaux m cuvette miverm (femmes;;
la roiffede réseau^ le voile drapé, le reimsilloir, pL 280 et28i ).
T je rabat, le col vidé ; les rebras.
Pourpoint busqué, à épaulettes: hasqties, corsages, la /aime panse; manteaux, la
s marre,
1 Ta U ts*de*c hausses, grègues, eu lot tes, celles dites é la sém'liane; les bas, kmeflex.
bouliers à pon/ les oreilles.
Anneaux d'oreilles (hommes).
Le masque des dames (v, pî, 28:i), Vespanfail^ clefs, étuis,
Clievelure, mucilages de poudres, celle de ebêne pourri
Pi* 281* — Europe ; XVP-XVIP siècle*
Olqets usuels*
^îontres ; les œufs de Nuremberg,
r
PL ^82.— Etropk; XVP'-XVH"' siKrLE.
Orfèvrerie, joiiillerie.
(Iiiiîiies de i^race, d’fioiini'iir, ceintures, couteaux, clefs, naconsà ddeurs, les ImnikU, les
ponmmlrfs, agrEifes , broelies, pîulelofiiiiîs, atjrémenh, ornements (îe colliers.
PI, 283. Franck î XVI^ sîkci-e.
liCs rnofles pai isicnnes an temps rie la — Costumes religieux,
liourgeoÎK, gens dti j^eiiple, Id9(K
Capitaine, page, mtrem\ curé, cliartreiix* cnjuicin, crienr de vin,
lefaix*
làG chapeau albanais.
I/éebarjKi noire. Les armures brunies.
inilîtîiii‘es r miliciens.
pmtense d’ean, por-
PL 28 L
ErnopR : X VI'^' rikcli-l
i 'ostn m es cédés î a st i ue s.
Le pape; <*ardinal, patnarche, evécpie, alibé bénédictin, cbanoînes, religieux, acolyte.
Vêtements liturgiques, leur,s couleurs ; VhaMiu^ relfÿio 7 iis.
La tiare chapeau de cardinal, mifcixïs, fanons^ croix papale, cixisses, le
sndnrmuf.
PI. 285. — Allemagne; XVÎ^ srÊCLE.
IVemiiereur, le roi des llomains; costumes, insignes. Xobles, bourgeois. Modes comi}osîte.s,
jiarure de la braÿmfle.
Tnnirpie, dalmatiqiie, pluvial, sandales, couT<mnes, globe, sceptres, collier île la Toison
dV)i\
PI. 28 (b — ErROi-K; XVP .siècle.
Funérailles iriin prince-cbevalier catholique (v. pb 324-32b, le convoi).
fiC dmperon embronché, manteaux de deuil, traînant.s; hérauts dbarmes. le tabar blasonné.
Etendards; la couronne impériale, le globe; corps de musique; le heanme, récu, Tépée di*
combat, la cotte d’armes; inassiers.
PL 287, — Itatje ; XVP siècle.
Modes féminines. — Dames nobles. Italiennes. Hoilandaises.
Poiffnres; couronne à la diadème; le hahOj Injurrelét ; nlet, collerette, guimpe; le
rm^age carré, manclics tailladées, mandierons; la sîmarre, zvmfii'a.
Collier, chaîne, broches, pendants d'oreilles, ceinture, cordelière, fleuron d'orfèvieiie.
Contenances; éventail; manchon*
PL 288* — Italie.
Costumes vénitiens {seconde moitié du seizième siècle)* f/mHhlôntte.
Bonnet en ]X)inte* La chevelure blonde. Parure de ia tète, du cou, de la poitrine; r
brocart, de soie; lingerie brodée*
Costume des hommes : la conleur noire ; pelleteries de dossOj les ducaksi la toge, Tétolc
s de
PL 289. — Italie; XVP‘ srÈCLE.
Moyens et îuodes de transport. — Costumes d'apparat*
Gondoles, litières, chevaux, mules. HabiUmts de Turin, médecin padouan, pénitent, dame
romaine, courtisane vénitienne, — I^a grande stature, rallongement du buste des femme&j vê¬
tements de dessous à la masadim.
Coîtfure en frisons, le croissant, les cornes ; le f&in ef (h bonnet plisse (docteun?)*
^lanteau de chevauchée, corsage, le panmmij cliausses, culottes pf üVffiçaks\
i/aégresques, bragtmques; Ijas à coins. Les hauts patins; éi;>eron à molette*
H
Eventail plissé.
PI* 290 et 291. — Europe; XVP siècle. (Notice commune.)
Galerie Henri If, salle des fêtes (palais de Fontainebleau)* Coté de la cheminée; côté de
la tribune des musiciens* Les bancs des fenêtres (v* pL 299)*
PL 292* — Peaxce; XVP siècle.
La belle chmiinée (palais de Fontainebleau). Chenets, chîemielZj^ cbemmèeSf qwminelf souf¬
flets.
PL 293* — France; XVP f^iÈCLE*
Décoration intérieure. — Le lit de parade (v. pi* 294). La chnmbre dM Itt ou de$ paremetifs;
les grands ajfpartements.
PI* 294. — Europe; XVP siècle.
Mobilier français. —■ Lit dit à rtiellef buflet, coffre, bahut, table à manger, siège curial,
chaire seigneuriale, pliant à dossier.
PI. 295* — EriîOPE: XW' SIKCLM*
Objets mobiliers. — Les biihuts. Le cofï're de mariage*
La kucke, fiur/iers ou Ifmkkr/!. Les hahufiers,
PI 2S)6* — Euiîoi>e: XVP ^îkcle» Au^emagne,
^fobîHer; lepoëte de terre cuite* Armoire de plusieurs lïois*
PI. 297. — J'b'ROrE; XVP KIÉCîj;,
Armoire. Orgue de dmmlïre.
PL 298, — KrUOUE- XVI^ HIKCLE.
Cbaires, escabeau, prie-Di eu, cabinets, hiinshckimilr pi.
[jCS coussins, ba/if^mers,
«
PL 299* — Axoleteiïre; XVP siècle.
Habitation seigiieiuiaie* La « pièce do réception », (v. pl* dtiO).
l/Èlmibei/tean,
PL 3U0. — AxgleteHîie; co^tmexcemext ur XVIF s^tÈCLE (1).
Habitation seigneuriale* — La grande salle. Le /iaJL
Fenéti’es, lamlvris, portes basses, tribune.
PL 301. — Fh.vxce; XYF, XVTF siècle (2).
Costumes militaires; armes, détails équipement, (Epoques de Charles IX, Henri IIl,
Henri IV, Louis XIIL)
Crentilhomme, coloîiel général do riiifanterie, officier général de cavalerie, officier ingénieur,
arquebus ier, moiisqiie tai re,
Chapeau de fer, nasal, cabasset, le poi-efi~têk^ le morion, hausse-coL cuirasse, biifflefcin, man¬
ches de maille, tassettes, bouclier, bottes.
La couleur blanche, récharpe, la crois.
LY^pée en verrouil (v. pl. 31 ), pendant d^épée, arquelnise, la foim/uim, mousquet, arme de
chasse, pistolets, amorçoir ou pulvériu, cartouchière.
(O Cette pliinche temiine le tome IV.
(2) Première plïiuehe du tome Y.
/
é
I
88
PI. cîouble 302-303* — Anolkterke,
Architecture Intérieure (époque fVÉ!imil>ct[i).
Habitation seijrucurîale, La pâlie :i manjxcr.
PI 304* — KritnpE ; XVI\ XYTP f^TÈrr.R
Meubles cPapparat î buffet, calniicb*
L'annoîre (amnaWf mmirêy mmioir€&% les Imffîks,
^Iculïles en l>ois sculpté, leur décoration.
PL 305. — LrROPE: XVP, XYTP snkEE.
Ameublement civil* — Tables, chaises, fauteuils, iietit cabinet*
PL 300 * — Europe î XYJ% XYTF rikct^k.
Chaire épiscopale disposée en stalle; la pafimee otî nmérkùrâf, — OItjets mobiliers, cadivs
de peintures, de miroirs, dits Jmforiès^
PI. 307* — Europe : XYT^ XYIF st^ule.
Objets mobiliers (v. pL 30^^ et 30f>)*
Crédence, fontaine, bra^iero^ chaise, clefs, clef de maîtrise.
PL 308* — Europe: XYT% XYIP rièolk.
îfanaps, cruche, chandeliers, verl'es (v* pL 309)*
PL 300. — Europe; XYP, XYTI' fiiÈCLP.
Yerreries p:ravécs, et cristal de roche monté ; aiguière, drageoir, broc*
PI. 310. — Europe; XYF, XYTF Rim.K*
!^[oyens deti*aufiport : le char hranlant, le caiTosse (v* pL 349).
PL 31L " France; XYF, XYTF siècle.
.1
Costumes de la noblesse (lègiie de Henri lY).
IjBS vêtements de couleui’s sombres ; toilettes de grande cérémonie.
Coi'sage busqué, la cotte de conleni', le manteau rrétiquette.
— 89 —
Collerettes, manches, i^irpre de perles, pendants d'oreilles, earcan, boutons d'orfèvrerie.
Le chappffu frmiçcm ; la fraise, le ruhai, le pourpoint sans bnsc, épaulettes à la Henri /T,
les tissus d^or, eeinture, jieîidant d'épée, Tépée en veyromï, la cape ou manimu; les baiiU-de-
chausFcs, ceux <) hùun^e, (v* pb la petite chîqvetmh\ les coques ; jarretières Un-
fjite.% d'vne aune,, souliers à pont, Lottes éperon nées, le mtr àf ron^sy^ le snrpied rhiqueiè.
Fl* 312. — irOLLANlïKj XVJF STKCTîK
T II ter i en r. — HaUn de ronrersafîotr
F). 31 »3, — Kl'Rni>E; XVI% XYIT" sikole* (Notice comrnnne à la pl. 314,)
/
Lit flamand, eompronaut rarmoire et la "arde-robe ; fauteuiL chaises siiuîiles et à bras,
FL 314. — Ef'ROPE; X V1‘‘, XVI l*^ .siÊruE,
La chambre (rhonneur, — Lits à colonnes, en alcôve,de parade; les comptines, les
gouttières | les panaches ; le hrs ou borceaiu
PL 313. — EriîOPE; XVI sTnCLE.
I i ri mm hlem en t fran ca
l'auteuils, tdiaises, les montants, le tour tors; usage dti cuir gaufrd
Fî. 310. — ErROPK; XVIF siecle.
ireubles, objets usuels.
Caluncts (armoires a/iisià/im) ; poires à poudre.
Feu blés d'él>ène, les ébènes ?}oire.% vertes^ celles dites da
tiers de ia petik copm.
Porhff/at; les éHnUfes, les r/ffrrpen-
]*L 31
Ei ROPE; XV!!** MTÈ(‘LE.
Objets de luxe ; orfèvrerie allemande.
Les 7îapfiI/% œufs d'autruche, coiqies, drageoirs, hanaps, porte-alhiniettes. Pendule astrono-
niîqnc.
PL double 31>^-31ÎL
TIolLAXOE: l^REMIÈRE PARTIE DT
XVIF SIÈCLE*
hitédeurs; chanibm uuptiale; la toilette de Tenfaut ; costumes, jeux, coutnines.
Le Ht encastré, le berceau, les vitres niaillëes de plomb; bahut, chaises, escalwaux, le miroir
exténeur, ïespwn, chaullérette, l^rosse, rouet.
— *)0 ~
La danse, la main clmiide.
Type de pompe^ |ardinets,
PL 320. — Hhïj.andk; XVTP" fiiKCLi:.
^^foyens de transport; le labyrinthe de verdure; gentilhomme; barbier-barijanfc.
Le carrosse J le ckf, les qimwuiUes, les inan Mets; intérieur liourgeois; riiorloge à poids*
PL 321. — lIOU-ANDEî XVIl® SIÈCLE.
Noblesse et bourgeoisie^ 1G30-1660.
Toilettes féminines, modes françaises. Tenue de ville, d'intérieur, — rostumes civils,
militaires* Oentilshoiumes, cavaliers; le raffimj l^piècmix (v. ]>l, 320 à 32îi).
PL 322. — ErROPE: XVIP siècle.
Chambre à coucher (épo(|ue de Louis XIIT).
T^a garde-robe et les habits emmaUs, Chandelier à monehettes.
Tapisseries, les tentures à figures (h hêtes, les portières, huk verts, les amuids^ \i\cmieheUef
baîdarjuin, les fahmet ou secrétaire^ les layettes ; sièges, le tabouret ou ptaeef, Ijîi hiérar¬
chie des sièges, depuis le banc ou hanqaet.
PI. 323. — TIollande.
Costumes civils, militaires (première moitié du dix-septième siècle)*
Le messager de confrérie, tnwpé. Distinctions corporatives. La montre tVorfeinrrie, Ghilttes
d'aiT|uchusiers. Repas de corps.
Officier de cavalerie, capitaine, lieutenant, porte-drapeau, sergent, tambour.
ChafHïaux de feutre, corselets, bufUetins, i>oui’points, celui à la Candahf ceinturon, liaut-de-
cbausses, canons, has à hoîier (v* pL 323) ; bottes h entonnoir^ à chamlron,
Colliei's de corpomtion, dis<iues, coupes, lianaps, ârinJihoùrn,
Le drapeau de confrérie.
PL double 324-32Ô.
*LAKÎ)E*
Funémillesd'mi prince-chevalier protestant, dix-septième siècle.
Le manteau, le chapeau de deuil, le char funèbre.
(lardes, domestiques, tambours, trompettes, hérauts dWnies, armes, blason du prince
guidons, cornettes, bannières, banderoles, peinions, étendard, heaume, gorgeiin de tournoi
la devise, le casque, Técu, la cotte d'armes. Le cheval de bataille, celui de cérémonie. Fnsî
gnes de chevalerie, fj'épée, la couronne*
I
1
Priiice^^, nobles, reprosentants de la dicvalerie; anil>assadcnrs* députés, conseillers, nia-
iristrats, pasteiii’s, ^avde civî<|iie.
ri —EuarovK; X VIP kikoli-:.
Pi'aiice et Flandre. — Tntéricnr. Oostiinies eiviR Iiistriiments de musique ; l'épinette.
(•ostiimes de chasse, la couleur rouage, ehapeaux, i>erriu|ues, la momfackp, la auktwftê (voir
P b A'jll et ^1^8); les bas ck ho/ks (bas à bofkr)^ bas superposés, les l>as iVestam/^^ jurrotières,
l)ottos, éperons.
Dentelle, point coupé, le col ikdê,
FI. S27, — FUAXf K; XVTF SIKCLE.
Fiasses nobiliaires ; les difï'érents ports dujnanteau. T^es raffhiés^ une veuve (in20-D?3h);
ttnc amazone historique (lC4ô),
Castor à ta cordeiwrf^ panache eu queue de renard^ bords en mmwais qarçou, clicvelure à bf
comte, les coins de perruques; les Yetements de pluie, manteau à la hfluÿnîe, le caban, f/aban,
k/risque nmmkUn; pourpoints, ceux à épaulettes, rabat, baudiicr; chausses rJiiqmiade, ai-
<xuiHottes, culottes d/luîf/ffe , ^ants, souliers; hn laitues pommées^ les boites înif/nonnes^
éperons cambrés, mules, patins (v. ph 328et 320).
(^d en rôionde, réseau de Lé te, fils d'archal, la modeste.
PL 328, — France; X'VIF^ taivtjæ.
Réforme du costume; noldesse, bourgeoisie, (Époque de Louis XIIL)
Toilettes de dames, pour la promenade, pour la ville, pour rassemblée ; le dècôlkté. Variétés
lies modes; accoutrements mythologiques : les Ida nés ^ Janons ; gentilshommes de cour, de
grand chemin, eamliers, les êîépemfs hors de pair, le joueur de boules, le capitaine d’aven¬
tures, le wfïrrÀfr des chevaliers du Saint-Esprit. Le roi, son porte-manteau (1035-1640}.
Tæ chapeau emi}anaché des dames, Venseùpie^ cheveux abattus, les ffarceftes, les bou/om^,
nattes, torsades, hieadenette, h palant^ la mlbufe; coiffures de CMiampagne ; le rond (voir
pL 33!ï), IdR serpenteaux, les mousimhes, pendaut dXïveille, la perle. Cadet ta perte, îes mou¬
ches, étoiles, eroîssants* emplâtres.
manchettes de perles, pierreries, ixuideîoques.
demkceml, la chaîne, les clés, les ciseaux, le couteau, la bourse, ]m poires de imr-
finns.
Le col en rofotide, le fichu-pélcriue, rabat dentelé, à ht puimlmrde.
Corsage, le corps de Jupe; Ixjui lions, les depanfs; la petite oie t robe à ta eominodité, la mo¬
deste, manches halïonnées; la robe de dessous, ////?/?, la friponne, la secrète, le de Jupe,
le bas de Jupe; casaque, la bonpreline.
Gants de chasse, ceux dits à la fram/ipam^ îc niauclioii.
Toque ta à respafftiok; cols de point coupé: pourpoint : le kthif, le bif/ffe; le manteau,
le pefii mmïtmu à h clüfènqm,
La moustache, bouquet à !arOf/ak.
Les petits fers, le réchaud, le miroir à chevalet, le [Kîîj^iiej la ver^ette, la mallette, les farda,
le blanc d-Bnjraffne, Vespapnoï vermillon, les flacons, Vmn trAnf/e ou de C/rpprfi, parfums,
cenx 7 ?<??fr embawmr la chambre,
La mandoline*
JiG^pensdu bel air, dv beau procédé, de la belle mamérê^ \a pmontie arromplie,
T je coeffeur.
Les danses*
PI, 3^0. — Francr î XVfP sikclk,
Modes, époque de Louis XIII. ^
La bourgeoisie; scène d’intérieur, le contrat de mariage* le notaire rojal*
La Gallerie du Palais, les babioles; la lingère, cols, nœuds, vertngades ; le mercier; gants
à r occasion J à lanécessi/é, à la Phf/IHs, à la Cadenef, éventail. Le libraire da roi. Los galants,
leurs dames.
PL 3:h>. — Europe; XVIP .srÈruE*
Parures. Orfèvrerie; joaillerie* — Epoques de Louis XffI, Louis XfV (v, pi. 341).
Pendants d’oreilles, coliicrs, pendeloques, broches, agrafes, boucles, bagues, camées, bra¬
celets, breloques, cachet, aumônière*
Filigrane, email, jais, ïq Jaj/eff pierreries, jaspe, perles.
Le lapidaîre-faussetier ; la haufe verrerw, la verrerie simple.
PL 331*
Fr.\M'Eî XVIP f^ivrhi:.
Les paysans : vendangeurs, fermiers, filles de ferme, berger, moissonneur, Iwttelcnsc ; tal>eh
lion, cortège nuptial, musiciens ; la danse en branle.
Coiffure en cheveux, chapeaux, paille, feutre ; corsages, robes, le drap, la serge, la filial ne;
tM\cr, sape ou sa po?i f cape, sorquenie, souquenilleî cordons, fouiToanx do jambe, ffamarhes,
ffarravaeJm, calzar^ arsouUUs; souliers*
Houlettes en spatule, en pelle, la houe, le tonnelet* la panuetière.
Le caractère du rural an dix-septième siècle.
PL 332 * — Italie; XVIP' siècle*
Costumes religieux. “Ordres de Saint-Étienne,de Haînt-Georges, des Humiliés, des Béué-
dietines, des Aiigustines, des Pénitents, tiers ordre de Saint-Dominique ; le porteur de morts.
I
— —
Abbesüti, religieux^ relsgiüuæs nobles, eliupelain, diaiiüiiie ; hiibiU ordinaires^ tic chaitr, tic
ceremonie.
VI
Italie: XVI i‘‘ sjkcvle.
Ordreiî religieux. (ïlmnu.)
Ursuline, religieuse de Saintc-Oatheriiie, dite des Cordiei's, orpliulines, vkrt/e miaéraMIe,
f f
Zaccoletta, Elèves des collèges 8ah uiti, ACattei, de celui des Ürccs, des XaKuréens,, des Ecos¬
sais, des .Vllemiuids, des Itongrois. Habits ordinaires, de chœur, de ville.
PI. 334. — Fhanckj XVIP siècle.
(ïrdi'cs religieux. — Custiinicsdes femmes.
Carinclite^ religieuses sachettes, madcloiiiiettcs, pénitentes, de ritotehDieu de 8aînt-Juun-
lîaptiste de Beauvais (v, |il. 335) des Ib'emontrés, novice, hospitalières do Haiiitc-Catherinc,
nobles bénédictines.
PL 335. — FkAXi’E.
Ordœs religieux. — Costumes féminins.
Converse, religieuses du 8aint-Sépulei'0j Feuillantine hospitalière de Loebes, de 8aint-< Ser¬
vais, fille d'rinitaire.
VI 33G.
AlLILMACXE J XYI V^ f>i£CLE,
Le courant des inrales, selon Ica classes.
Gentilshommes. niffian tudesque. Ministre protestant j feniiues dMiiggliourg, do Bàle,
de Strasbourg, la marraine.
Le /iùlz/rappej coîiïures cambrées (v. pl. 33H), cliapeaux, bunnets, lus L'a(kneilei>\
liü kitlel^ plastron, corsage, jupe, bourrelets, jielisse, manteau troussé^ inauchon.
lîuflletin, imiupoint; hauts-dc-cliaussea, aiguillettes, hsi/ahinis, lus camm- bottes à eutoii-
mhr.
Pl. 337. “ Angleterre.
Costumes féminins. — Ludks^ bourgeoise.s, tilles de marchands, la femme du
lordunairc de Londres (v. pL 333).
Afodes françaises, leur infiiiencc, le chapeau, la /mtf/rütimf la fraise*
IM. et 333. — EriiurE: X^'II'* siÈciu:. (Notice commune.)
xVngletcriv, Brabant, Alleinugne, France. 1C4G-Uî5ô.
Dames nobles, bourgeoises, fïllcs de marchand, eustiimc nuptial. Toilettes de iRintemps,
iVéié, iViiutonine, trhiver. Coiffares. dûmes iiuuppées, IJkmketi ou lu cupe* La coï^tiiioe
liabille; lx)iiîiets û'époiisée, celui de fourrure, zibeline ou gibeline j béguin, fraises, collerettes
tnyautces,godronnées, le musqué, la mcntuniiièré, le fichu, coi-sets, épuidettes, jupes superposées ;
le soulier à pont*
Arnuigement des cheveux;; les anffkmeis.
Le chien favori.
PL ;UU* — FUANCli; XVI P' SIÊCLK.
Costumes de lu noblesse, lÜ4h-H]7u,
Geiitilshoinmes, dames, page. Les rois de lu mode. Montum-oa, Candale. Le tiêbiaUié.
PL\liibition du linge. I^fodes à la Fronde^ à lapailkj au papàr.
Chaj>eau conique, bus, emplumé; le rabat; hï chmiUc i jabot, manches, poignets, dentelles;
le point-coupé; le ponrpuînt, les brasmres^ le jiiÿiaacorpÿ à brevet (y. pl. ;Î44-;145) ; eeinUire;
fkaasses à la Candaie^ les cubtteSf lu rhvif/mve (v. pl. 311 -:j 45); nibuiis, aiguillettes, les
canom^ baudrier, épée; la boite tmpnmne; éperons, souliers, nœuds, tuloîis ronges.
Corsïige; linon, gaze, mouclioii^s de cou ; la robe décolletée, liigifeune; manches courtes;
la maalff Ituffalaats^ les favems, la jupe ou aiaafeaify lu queue.
Cheveux longs (hommes), nioust iche à coquilk, la biÿotèn\
Uubun de cheveux (dames).
Pl. 511. — EruorE; Fuaxce, XVIP .srKcUE.
Parure, joaillerie émaillée. Ql>jets usuels.
Vreduillon, agrafe, crochet de ceinture, colliers, ixemleloqucs, cachet, bague, montre, étuis.
Insignes ; ordre de la Jarretière; croix de Malte,
PI. 342. — Fraxc^. XVIP-XVIIP SIECLE.
Costumes militaires (règnes de Louis XiII, Louis XIV, Louis XY).
Les gardes*fraiiçaises, officiers, enseignes, sergents, soldats ; pîqiiiers, mousqucUiires, tam¬
bour, fifre, Tai livrée royale.
Création des gardes-françaises. Habitsœrordonnaiice f/unifonue. La garde eu dehors du
Louvre.
Casque, hausse-col, coi'seîeti cuinissej lïufilctin, tassettes^
La pique, re^poahn , lu liallcbarde, Tépée, puiidaiit, ceinturon porte-giberne, Ipaudrier, four¬
reau de baïonnette, mousquet, la fourquîne^ bandoulière, les cartouches, cq/lm (\% pl. 545),
}>ulvérin, Siic de balles.
T^e drajxîaii, récbaïqîe, la cœardc*
— 'J5 —
Chajîeaiix, eelui h trois cornes ; rubans, bonnets; jus tau corps, liuiigreliiie, chausses, culottes;
bottes à entonnoir.
PI. — FkAXCE; XVI i* iSïKi’LE.
Pustumes militaires, lt>UO‘16üO.
L'infantcuîc. Les l'kux ; jûtjuiers, gronadiurs, inüusï|uetaircs, fusiliers ; les coukaux
ùut/ofi/mts; îincntion des cartouches. Les inilicicus.
(Ifheier général, ofik'ier aux gardes, des gardes; ^arictos de leurs eostiuncs, le manchon.
Les sergents, leur annemeiit.
Insigne du coininandement, la cuirasse.
Les bottes fortes,
Iju f/renadière.
Ph double ;3-i4-S45, — PuANCE ; XVIP' SIECLE.
Intérieur. — La chambre de pamde (v. pi. o47}. l’ostumes d’apparat, //efféminé; perrufjues,
la crinihe de iion.
PI. oiiu — Eihope; XV1P‘ siècle.
Ameublement; menuiserie, orfèvrerie, biid'et, le cabinet d’argent.
PL 317. — Elhofe; XVIP siÈcmi.
Alcôve à fafra/îvaisé; celles à ht rot/aie^ à l'italienne, à ta romaine. Mobilier : table, coin
sole.
PL 34H. — France; AVI P” siècle.
Le grand aiipavtement. Les réduifs^ pnèces eniresolées. Le cabinet (le bains (v. pL 3117).
Le lit (/été on t/ordimure. La dame de qualité ; coutumes de déshaV>illc, corsage, la ffom-f/andme.
Le précieaX;, les précieuses^ les itluslres^ les f/randes, les petites on les ridiades. Académies
tk kl j)ré<-m!/é. le» ùeaulês, hsmuxe.i, Vamantdu Par/imse. Iæs homtchs i/cm.
Mobilier, fauteuils, 1070-lÈSO.
PL U ltL — France; XVIP'HiÈCLE.
Equipage de la reine» (^UTOSse de gala. Ijo roi ; officiers dcs^i niaisou et de celle de la reine ;
liages, valets de ]ued, cocher, (Jrande et petite éende. La livrée royale; galons en ùracetet, en
tjuitie»
PL 350 »— Europe; XVI P siècle.
iloyeus de transport.— Murine de guerre* niauchandc. Construction inivale* vaisseaux de
liant l>ord, troîs-màts uu radoutr à ht bande; ornenientation, la [U'oue, la poupe, futefa.
PI. ;]5J. — FiUAX’Ei XVII'’ ^SIÈCLE,
Costumes civils; noblesse. Le port de H perrmiue, de répée, Hiibit de clieval. Parure de bal,
1 n i (K
Chapeaux; celui àirois f/oiUlièm, tour déplumés; cravate; la cfmcoiifie; justaucorps; les
md/icfiês à bolées ; veste ou casaque, boutons, boutonnières, cordons d’ordres, échai'iw, culotte ;
jarretières, bas de Barbarie^ souliers à la camlîère, boucles, cannes, pommes d’or, d’ivoire,
la dragonne (v. ces pièces de rhabillement masculin aux pl. î3ô2, :)ô4, 300, 362 et 3(;4),
Perruques m-folk, m crinière de hm, ècaloHe, d'abbé^ de Mr/wn, à lu mouémnCf àl'esjfaf/nûk,
bhiideSj noires, poudrées, hicmulièreoii mrrée, hi/imncière; chevmx f/ris de blanc upufe,
blanc de lad, qmri blanc, blanc fond jaune, ebuéain, châtain clair, châtain brun, noir, pelil
noir, Jioirjais; le demnt à h Fôfifanf/e, frisures sur rien, à ran/fk (v. pL 2i>l).
PL 352, — Fuaxce; XVIP, XVIIP ^ikvhE.
Les robes de chambre, les bonnets. Hommes de qualité. L’abbé perruquet, soutane, manchon.
passe^caille. Toilette fcnijiiine (v. les pl, suivantes), corset, la f/ouîyjandùie. La f/rande, la
pçiife Pandore,
L’habitlement du roi.
petit lever, la pj^emière entrée,
bonnet de nuit, camisole, robe de chambre, pantoufles.
La perruqtfcdu kver, caleçons, haut-de-cdiausses ; bas, souliers, boucles, jarretières; chemise,
épée, ceinturon, veste, cordon du Saînt*Esprit, justaucorps, cravate, soucoupe aux mouchoirs,
la Sitlve, montre, reliques, les gants, chapeau, manchon, canne.
Le maître de la garde-robe, porte-manteaux, cciiyer; le délmlié; changement d’habits^ de
l>ciTuqnes.
JjG f/rand coucher, bougeoir du roi, de la axine, du dauphin.
Le pelil coucher, toilette de nuit, le déshabillé, bonnet, cAiiiisole.
l 1. «jOrJ.
— Fr.vxck; XVIP‘ siècle.
Costumes féminins ; toilette d’apparat, le décolleté.
Bonnet, h, font ange (v. pi. 354), Và palissade, le monié-ht^hüul, VAco^mmdc; frisures, boucles,
les cruches, chov'eiure jmquel ; collier de perles ; corsage en pointe, le tour de manches, basquines,
rubans, les échelles; cravate, la Steinquerqm; la jupe de dessus ; manteau, le volant, le manteau
de cour, jupe de falbalas, prétintuilles. Langlé, la tournure, criarcU; gants, manchon
masque.
T
0
l‘L VM, — FuAXri:; fix jïu XV11% roMVicxFKMKxr iir XVI11" .sikclk.
Le costume un stère ; (le (iiulité, luibit^ d'Iiiver^ d'étc; ablx% h pefif-colki^ la souianelk;
ganiiturci cii.L«rt^/rs réchariie fcjiiiiiiiic, aipe {\\ pL
Coiffures : la Fmlrntf/e, la duc/ic$sef le soliimn*^ le chou, le mousqmhiiref le creksant^ le
Jîrmamm/j le dUlèîmiief, h souris, rcjfroniéej rallih e Fonianf/e - la culbulej les coruelfes, f/uêpes^
pupilions ; ie halfan i-l'œii,
(’orsîiges ouverts, fermes ; les demî-mauchesS, les em/af/êanfes.
IjCsfanienmtfSj les mouches^ i’enseif/m tiu mal de dents.
Idmlnmpe de perles^ le boule-m-trainf le iflles-jj.
L’éventail en ocaû/née.
11. ïîbô. — FitAXCE; FIX DU XVJpHIKCJÆ.
!Mo(les féîiiîniues ; toilettes d'apparat, de ville, cVintérieur,
Coiffure decéiéinoïde, eîieveux en uwnle-au-ckd^ les palissades; palatine, casaquin, Lasquine,
tablier, jupe; les frehœhes; la robes de cbarnbre d’été, d’hiver; le inaiiebon, la canne
des daines.
ri. double 3 riG- 357 .
Füaxck; XVI 1'^ SIÈÇLK.
Vue intérieure de rhabitatioii riche; sou double caraetère.
lies deux ai)])artemeuts ; salles irntsernhlée, de compaf/nie; chambre du Uf.
Les chambres dliabitution, cabinef^ cffbmct pkirè, arrière-cabinel; laïubrLs k hait leur
de chennbre^ à haufeur d'appui; jyàmmàiiXj fausses parles ; theniinée, miroir.
CLo 58 . — Fiuxck; riK nu XVIL" cavAiKNCEMEXT du XVIM%
^roubles an faconde Bouîle. — Escahhns onfjfuêncs {patnes de termes), La marqueterie mé¬
tallique, Bots crêbèiWf des ludes^ bronzes ciselés. — Olqets usuels ; râpes à tabac, prti'oms,
FL S 59 . — Italie.
Vénétie. — Les modes françaises. Dogaresse, penliidonne, patrieiens, le procuraim*; liabîts
d'hiver, d’été^ de deuih Pursomiages de théâtre, Donna Angelica, Cassandre. ^Marchand ainlni-
lanL
Le cornOj la barrette, voile de tête; costume à la ducale^ le manteau trousse; le noir, couleur
vénitieuue, la rolxs des hommes; manches à coude; Fétole.
FL :jbO, — Allemagne; XVID et XVIIP siècleï^.
Courant
. Toilettes d'
(i
■' i
irétc; Imbîl Ionien U do Berlin, dUiigsl>ûnrg. Gens de li\Têc, riieiduque, le conreur, rêeuyer*
Costumes militaires ; olîîeier génénilj timlxilier. Amazone hîsfcorniue*
Chapeau empanaché. Coiffure àlanoMusej fhérh€;poh}iake^ circmsknm (v. pL38U); man¬
ches d l'espagnoU; redingote, robe flottante.
P]. 3fll. — Am.emaoxkî XYK"' kt XVIIP'
Traiislbrinations de la barlie, des cheveux, des pcnurpies. Ecclésiastiques, gens de robe,
magistrats civils, professe un?, hommes de guerre.
^loustache à ki coquilk; barbes en éventail, on feuille d’artichaut, en queue d’aronde ou
d’hîromlelle, barbes frisées j la roijah.
Les gninds cheveux, les frisottés, les postiches; [Kirruques à calotte, les in-folio, les crlnwfes
ik Hon^ les iioudrées.
PI. — France; XVIP hikciæ.
i i
Bourgeois, tapissier, ouvriers du roi. 1GÙ7*1G'
Classe nobiliaire; toilettes de Ixil Danseurs, imisîcîens. Les différents pas : le memiif h/His
sacaiikj la chuconne, la conranief la sarabande^ ]^f/avùtf€.
PI. 3C3. — Francs; XVIP ihikclï
s
Costumes féminins. — Toilette de cour. Danseuses. Enfant paré. lîabji de cheval J^e
courLisan.
:îGd. — Europe; XVIP et XVIIP .siècles.
Costumes civils. — Le jiort dus insignes de clicVidcvLo militaire, (Kêgnes de Louis XIV,
de IjOiiis XV, de Louis XVL) ^
Chevaliers des ordres de Siînt-Louis, des Dcux~Éi>ces, de !Malte (page du roi), de riibpiial
d’Aulirac, de FEtoile ; chevalière de la Hache (Espagne) ; costumes j^rés, halu'ts du matin.
PL 3Ci
Europe; XVIP >>iècle.
Le buffet f le diessoîr. Surtouts; orfèvrerie de table-
PL SGG. — France; XVJIP siècle.
Coiffures masculines; les chapeaux, les perruques. Cheval de main.
liC chapeau tricorne, ses variantes, galons, plumes, ganse.
]*crrui]ueB misées, à à fa bfiijadihrc; le thnihrù de bQUn'e.s, les les emkmtke,
hx qtmWf le botd-de-ruf ; iieniîfiiies à ia j'éf/ence.
Ponrlrc ({f/rat ne d^éptnard; hnpc/s m vmjeiie.
PI, ÿAj7. — Fuaxci:; XVHP'
1/habit. — Modes féminines. Les Toiletta champêtre. Li^ rèf/ne des cûqmtles.
L'lial>ît à pans hônUktnnês (y. ]iL fS()8, :>Gn, Vêtement de haut inxe* Ldtabii cmnpkl
européen; justaucorps, veste, culotte, Costume de voyage, les guêtres, les bas, la chemise, la
cravate i pernniucs, les ailes, hauts toupets, te à chemL
Etoffes büuri^feoiscs î le gros drap, la ratine, le boiiruean, le camelot^ le drognet.
Chapeaux de paille; cornettes; cheveux fnsês; le tour de pon/e; k parfait contenknwd
(\\ pL y88) ; \‘A2)atati}i€; volant en fpieueî panitr à piféridon^ d la mipok^ à coudes; le traque¬
nard; les demhqmnkrSj Jansénistes ; jïaiHcrs à rangtaise, à la française, à PesiKignole, àTita-
liennc, les con sidéral ions i le casar/uin ou pef-en-rair; tablier; souliers.
PI. — FliAKCl-]; rUE.\[IElïE UARTIK DU XVlll^ jSIÛCLK.
Ty[>ès de la mode. — T/CS mantilles^ la bapjnoktle, les paniers (v, [>L 8(!9). Habits ordinaire.^,
les manc/ies en papode.
PI, SOU. — FuANrE; XVllP SJKOLE*
Costumes du la noblesse, de la bourgeoisie, des cksses populaires, (Règne de Louis XV).
— liC casaqidn ; Yetenients à la polonaise.
Le chignon, la pbpsiouomiej les crochets, les draponnes; coifFus en marh\ la dormeuse
(v. ph 371),
Le devant de porpe; manches en évenlail, les enpapeanfes: la robe volante.
Ph 370. — plïANCK: XVllP HÎÛCLE.
Le cabinet de toilette (17G0). Le maintien, les iuminies de cour, iciiqfhilos&phes,
La femme de réiioque Louis XY. hii plff/sionomiCf le piquant, visage aa-dessus dn joUf le
teint de couvent t les reuporpemenîs d'os te niai ion.
Cliovelure à ta precqnc; chemise, coî'sagc, Voranper en raisse; bius à coins, soutiers, talons.
Le galant ; la soubrette,
PI, 371. — FuAKCE; Xyril'' ï^ilÛtLE*
Toilettes fcininines, 1720-1T8U. ^ Les couleurs claires; dames, hlicttes, classes nobiliaires,
Ijônrgcoises.
CürnutLuô, fes papiliom; clitiveux poutliéH, h lapé, h^fnvaîis. liuboK it la ^Vatteaiîj le volant,
falbalas J corsage, les échelles de rubans, h^yjausses-tobea^ le fottrreaUj h corps ^ Jes eïif/apeanles
manchettes en évenlail.
lyfotîes à rant/Jutsej à lUtmêricaine.
PI, u72. — Fjîaxce; XVllP' .sii-KMj;.
Le monde élégant. Les hiles du pen}^leJ 17 îj5-1755.
Dames, gentilshommes, ceUiî a bec de corbiii; tyi^es d'abbés ; la raA^aiideiise, la dentellière,
la priseUe. ha demi-toilette, en négligé, en polisson.
Le tricorne, cocarde^ la inoKclw msassinej les cddcrnties; monclioir de con, le venez-y-voir ^
tablier à l/avette; le niancboïi des iiommes,
PI. :j7î5> — FllANCE; XVIII® SIÈCLE.
Classes muyeniics. Pelites bourgeuîseB, leurs enfants; boudoir. Toilette négligée, 17:1^-174^).
Le coq velu chon la fancliov.
PI. 374, — EL’KOI'E; XVilP HIÈCLE.
France. Seconde iiartie du siècle* — l^fcnble de salon ; canapé, fauteuil, cbaîse. La chaise à
porteurs (v. ]*L 3DG), l/origine de la chaise vitrée*
Les chaises dorées, bleues j t^orteurs, les brk&lurs^ les aboyeurs.
I
Pi. 375. — EuuOPE; xvni'' HIÊCLE.
Mobilier bourgeois. — L'armoire, le buffet.
PL 37tL — KinoPE; XVIP" et XVIIP' sièüiæî^.
Objets mobilier; orfèvrerie.
Chandeliers, Hainbeaux, moiichettes*-
Céi'émonîal du chandelier.
Le brouï^e duré.
PL 377* — Axgleterhe,
Intérieur bourgeois, dix-huîtième siècle {v. pL 378 et 37Ü).
PI. 378, — Axgleteriie î XVIIP siècle*
Scènes d^ntérieur. Gourant des modes* ^Moeurs de la noblesse* Le martcuje à Ict mode. 1 a
hUau des rèjoimsunces conjuyales. La loihiU pour h baL
PL
AxrjLKTERlŒ: XVir'-XVîFP SIÈCLE.
ParitaiiLs, les sainh, les fê/es rondes; le home 1ionri?eoîs.
PL ô 8 o. — Fhaxc'E ; XVTIP siècle.
Olgets de parure, joaillerie, meniterk. Kpeus de parade.
BùtUe h forimki^ croix bran fan tes ^ poi^^née d'éj'Kkî, cor|iiillG, fcro lisses, épin^diers, pince à
épiler, fjrafhlr^ escurhies^ têtes d'é]iiii^lus, guêpes, iKqriUons^ bijoux de suspen.sîon, l>reIofjiies,
les fafioles, cachets, glands, broches, bagues, bijou de ceinture, \^chutehiim,n\cmtTQs,
T/or, rargent doré, Pacicri hîloux rmfigncs, les picnes de eouktfr^ le simibr, Strass,
bfjotdùrs-faiisufters, les trois ors de eoîdeur; joaillerie de grand deuil, f/randes pkiireuses,
bijoux bronzes, le jx'tit deuil.
PL ;^:^1
Finance î XYIIP’ ^^ikcle.
(histumes militaires (v, de In pl. à ; cavalerie, Tufanterie (règne de Ijouis XV,
1721 - 174 : 0 .
ilaréclial de France.
liaison du roi ; chevau léger (v. pl. 3s:î), mousquetaire noir (v. ]iL et 33^3), gendarmerie
olîicîer (v. pl. 382 et 388).
lîégîment Colonel-f/énéraf, niarccUal-des-Iogis (v. pl. 382); Bot/ai-carabinierf coIoneUgénéral ;
dragon (v, pL 382); garde de la côiinétablie; mnrêehaussée de France; prévôt général.
Grenadier, sergent, laé croc; infautcric étrangère, regimeut de lauek : tamlKuir-
major,
Hallelrardcs, épées, mouscpiotons, carabines, pistolets, bandoulières, fusils, baïOîmette.s,
haches, pioches, bédics.
Chapeaux, bonnets de fournirc, sou brèves te, la croix, culotte de peau, bottes fortes, janiliiè-
res, galons, broderies, parements, livn'e dn eolonel.
Couleur des chevaux (v. jd. 3H2),
La cor nef te bkrnche; ]a compeif/nk copmetic.
PL 3c!2. — Fuaxte: XVlir* siècle.
Musiquo de la cavalerie. Timbaliers, tamboiu's, hautbois, trompettes. — ^fousquetaircs, gardes
du corps, gcndarnies i compof/nies dn roi^ compaf/nies des dragons du Thuiphîu,d'Orléans,
de La 11 fl remont : régiments Colonel-général, Villcror, R 0 val-Pologne.
- Cl ' * ■» -T ► W
Livrée rovalc : l’habit hlLU-ile-roi, dit à ht Pohtine.
P. — France; XYIIP' stkclk
(preiiiKTç îuoitic)*
Le roi, sa maison militaire, cavalerie; lu garde du cori^^, f/ardes du drdtus du Lôumr^ h
compagnie f/(ü*dûfi du dehors du Loihtû^ clie van-léger, gendarme.
Volontaires étrangers ; hussards (ÜmvalcSj Poîaqim\ ceux de Rat^kv, do Rerchény, ro-
lon faites nhhim^ hspacQhis^ h jmtkomimc. Régi mont s du maréchal de %xe, de
('Icrmoiit-Prince.
La lance, la masse d’nrmeg, le ceinturon, la handoulicrc, la giberne, caiiouchc; saltres re¬
coures, droits, la sahreiache (pmiserefesrMy
Bonnet, aigrette, casque, la cocarde; habits bleus; les madrons roufjes; répanlette, la
ffueniUe à kl CItoisml (w pK i385, 88 (ï) ; veste, liabit-veste, manteau ; i'babîllement d fa farfare:
pantalon, bottes molles, Ixittines, éix'roïis.
Selles, étvicî's.
PI. :^84. — Franck; XVIIP siècle.
Le dauphin ; maison militaire dn roi (1757). iMousqnetaîres - 7 m, mtrs; gmmdier à cheval,
garde de la porte (areber du eapdaine de la porh. pot ffW de la f/arde du roi) (1745). — Artille¬
rie royale; canons de campagne, avant-trains à lînionières, coffret, attelages; les kusmrds de
Leu chères.
Bonnets d'ourson, hp&Irakm. sarreaux, manteau, culottes, bas, lïottines, galons eu onde.
broderies, caiTcaux.
Buffletevics, baudrier, fusil, baïonnette, mousqueton, pistolets, responton (v. la ]>l. sui¬
vante)*
PI :185, ^ France ; X VHP- siècle*
Gardes françaises et suisses; grande, petite tcniuc, Î724-178G.
jraréclml de France, colonel des g;jivdcs françaises; uirivîci*s, caporal, grenadier, soldat,
tambour, cymbalier, officier invalide.
Bonnets à poils, chapeaux à cornes, cocardes en rubans, haus^^e-cols ; liabitdit à kt fran^
çaisêf les rctroupsîs; guêtres, bas, soulier,s, boucles.
Le sahre-hriquel ou conpe-ckùu.
Réformes de d'Argenson, de Saint-Germain : les caleçons, le havre-sac, sa garniture, usage
des ])erruques*
Tjcs écoles de trompettes.
PK-jSG. — Franck; XVIIP siècle.
Marine royale, répnhlicaine, 178(1-1792,
Corps des officiers : raminil, le vice-amiral : eelni du Ponant, celui dn Levant: ofîiciei^ de
valsseLiiix, chirurgien, gunlc diî pavillon ainînil, garde de la niurîne (aspirants), inatekitP. In¬
fanterie de marine, gardes-cûtes, ofïiciers, soldats*
Cliapcati horde d la mmif^qnelaire, cocarde ; habit, veste, Ixjides à la Boimiùfjne, revers, pare¬
ments, boutons iim'iH tTor; culotte, bas, aiguillettes ; l'iialtit-veste, gilet à la mafeîoie, panta¬
lon rave ; les couleurs nationales.
Cheveux m valof^aa.
PI. ÏÏS7. “ AlLKMAONE ; XVIIF BIKOLK.
Costumes militaires* ((jiierre de Sept ans, 1006’1703.) Prusse. Autriche.
Figures liistoriqucs ; souvemius, princes, généraux, dragon.
Uniformes de la garde royale prussienne, des otïlcîers géiicranx de la cavalerie, de Pinfan-
teric antricliienne, des hiizan hongrois.
Insignes deVordre du 3îérite militaire ; cordons de TAigle noîr, de Poidre de ^larie-Thcièsc,
de la Toison d'Or.
PI. 388. — FltAKf’K; XYITP SIÈCLE*
Costumes féminins. “ La gi’ande robe à la fnmçai^e on rolic paréo* TiCs dames à la mode*
Types génériques, 177o-1785.
Ihuineton h la VuMre (v. pl. 380), coifTuro aux iimrnm th la Lilm léf chapeau
iVi'anglaise, frisure àla phjfsiùmmk. coques, 1 soucies, le confaUni^ collerette ou méilkis, pa-
remeuLs de rolm, boiuHous* falludas, volants, mauchettes; le mantelct*
Parure, le collier
PI. — pHAXrHî XVHP SIÈCLE,
Modes féminines. — (ABturne iPétiqnctte, le grand panier, règne de Louis X^'I, première
jjcriodc (v* pl. 35)0,3^1-333); les hantes coiliures.
Bonnet demi-rond, dit h la kitUire, serre-têtes , la îhérhM^ la caUche^ la Bülk-Pouk* fu'hit
en jnarmùffe; coiffure en haigmiise (v* ph 35)1-31)3), ô Venfancei chapeau à la Jaqaet; coiffure
irapparal^ dite lope iVopèm^ ses variantes; la toque accompagriée tle (leux atkntmis prodqfîeme^ ;
Ijomict à la Gerlnuh^ à lu Henri 71", aux naveh^ aux à ht fanfare; honnet atirhîéj des
sentiment replih, de resdavatje hrisé. Los (Léonard), celui au mitmenlj coiffure d la
(jramVmhe (Beaulard)*
làii conlentemenf; le caraco; robe antjhmey à la eircasmnne, eu (évdti manches Amadis,
garnitures h la CharlreSj au phn kux d'Edainp, aux plainles mdkcrlieSf mt dédr marqué^ pré*
féreme, vapeurs^ apitalkm^ reprek^ doux sourire, compoHitlon bonne le ; la ceinture, Vàpohnaisû,
les ailes J la queue; vétemeut « t Auslrasknne ^ manches n Vhahelle, veste à la péruvienne;
mantelet, pelisse; thanssures Ijrodées, le renez-ipvùi)% les hauts talons*
T/évcntail du eùmbal naval. Les cannes.
104 —
PL FrAXCEj XVflP SlKf’LK.
Îiègîic de Louis XV [, seconde période, ^ Tj^ révolution de la simplicitt*. Coiffures en che¬
veux, lx)nnetSj chapanx. Les flêJ^IiaMnès ou Pmrok(v. pL SO I-302)* îluhits de haï, de pro¬
menade* La femme du jour,
Frisure à ia C/iarircSj le ftérisson^ la G(d/ri(Ik de Ven/t/, la Monff/olfière ; cheveux flottants,
coulant d’acier, chignon; coiffures de grande parure, la camkur^ la zodiacale; coiffure au Co¬
lisée^ de pri/itemps^ d*un noiweau f/ôûl ; le pouf^ Ixaicles à la cliancelière.
T()f[uet à resi}aff}îôle; chapeaux à la dachessej à la l'héodore^ ^ la larare, au hérmij au Pa-
laiS’Roîjal^ dhai îiouvemt f/oûf; bonnette à ritm/lomaue^ lïounctrt la fusée,
Xéglîgë à respaf/nok^ caraco, manches à soufhis, à la Pierrof, gilet, redingote, jupon,
tahlier ; Kouliei’s, bouts en sahol chmois (v. pl. 301-3f)5),
Manebon, queues de martre,
PL double 30I-Sf)2. — FuAXf’E ; XVIIP siècle*
Rogne de Louis XVI, seconde et troisième période* — Le beau mondej ITfiô-^îO, La tonriiure
masculine chez les femmes,
La gmnde parure. Le deuil de cour, le dembdeniL Habits de cheval. Costumes d^enfants.
Dames.
Coiffures : à riiuféuuef le /iêrlsSôu à erocltelSf le deml-liérisson^ cheveux pendants, eu iapef, à
la conseillère, le /ottpel à knipéranmil; chignon pial, en dessous; Vaccommodape de !>oucles, le
^mif en rocher; poudre hlanche, blonde, rousse ; éimigles à la CüpUüsIro,
lîonuets à la furque, à la Jeanmlle, à ia (laplif, à it paresseuse, à la Fùjaro, à la laîMèrc;
ml unis ;in diadème, barrières üc velours. Ica pajnilons ; bonnet rond, là qrande baipneusej la toque,
]ionf, toquet d la chapeaux de gaze, de paille, de jonc, à la J/arllforoîu/k; chaj>ejutx
à ranqlaiêê, à la maltmse, à carcasses, ehapemt feafre, claqieau-bonneile ; moques, à la romaine,
à la Bellone; héron de plumes, h^/olleîles, aigrettes,
Fichus à la lienrî IV, à colkrelk; rubans à farc-en-ckl; camisole en colùiclle; manchettes
en sabof; comige, pièce d’estomac ; caraco à rinnocence reconnue ou à la cauchoise ; habit de
l)al à la paf/sanne; robes eu chemise, fourreaux à la lévile, à fanf/laisc, à la (urqae, à lajansé-
nlsie, à la circassiemie; redingote à collets ; manches à la marinière, tablier, jupon, tnantelcL
pelisse, queues de martre ; habits de cour; le panier tronque, le cal postiche, Xt^peîHs coudes;
souilei’s à la Jecmnciie, k talons plats; gants, manclion, chèvre d'Angora*
Pendants d’oreilles en mlrza, f/raruls anneauc hranlanis, anneaux unis, « perles, à pois, m
qdaquetfes, montres, breloques.
Cannes, badines, ciavaches (v, pl, 39^^),
105
Chapeaux en jockey, à i'Anfjlam. à V amlrosmam. Cite veux en tjiieuc, noués, le mioffanj la
Imirse; coilTiirc///Tf 7 î;(?r/j:rré^*, natter ht Panurye; totipets, carré ^ en peft h crùchef^f en ver{fefie,
en hérrnon ; accommodnfie à deux boucles, à trois boucles, <(ii en marron; perruque mns ih$Vf
à jonr, crépé nalureï.
CoU> randîahe; hjahoi, manchettes de pohii; "îlets hrochés; habit, frac, le mrhui; mau-
clics à la marhiûre, boutons émaillés ; culottes, jarretièï'es, bas, souliers, fahm roinjes, boucles
IkjUoSj éperons^ cannes; épées de parnde.
Enfanîr;.
4
lîandeau de cheveux, chapeau feutre; chemise colkrelfe, cm^ct, jupon; veste, redingote,
ceinture, culotte à ht marhifere.
Les couleurs en vogue. I/importance des faiseuses de modes. Les maîtres d’agréments.
IjGS figures à sentiment. Lhiifluence du moral sur le.s moilcs. Le yraml simiüe, etc.
Le Cahine! {Uh motk^i on les nmJes nouvdh^, premier journal du genre dhiiie périodicité ré»
gulière.
PL :îî1B.
T^^RAXCK ; X V 11 RlilCLE.
Jhilîiis de Fontainebleau. — Tïécoration intérieure, le boud<ur do ^Marie-Antoinette.
PL — Fu.vxcEî'XVrTI'’ sikclk.
t
Epoque de Louis XVT. — l\ro)âlier; coininodo, ixmdulc, fauteuils.
Ijos bronzes ciselés et dorés (v. pL :>05 et3îhl).
PL 305. — Fhaxc’E; XVIH” siècle.
Objets mobilier.^, meubles.
(îarnitni’e de cheminée, la pendule, candélabres, yh andùkti
; fauteuils, écran
Chaise à porteurs.
broiiKc cisekL
PL 3U(L — France ; XYTII® biècle.
Candélabre dit de himUpendance. — Tal>Ie, Ixiis doré, ornements en
PL 3!^7. — Franck; XVITP biècle.
Le bain domestique, baignoire à la Dauphine. — Perruques de femmes, d’enfants.
L’appaitement des Imins; Fantidiambi'ç, la chambre dn lit, salle de la baignoire, la gardc-
rolxî, le cabinet de toilette, Pétiive,
Perruques féminines ^ le chignon^ le chupmi 2 )hhi, celui à ht pareHsevse, le croissanlj les
favoris tïe houçhs^ les Imulms, la phijf^mioinie.
T^a poudre à cheveur.
ï i m ffan fim-parfi f m e urs.
[*L — FlïAXf’K; XVUr* StK(TxK.
Modes fomîiiiiies. — llègue de Louis XVI,
La seconde loi le f te, le fjrand km\ Les caracos.
Chapeaux à ia couronne, au transparent ; chapeau daniandf le hottrdalom; les Îf0?inek à
ci/lindre, les chijjfuoïis en poire ; chemise à îa precque, la poff/e anijlaüe, hjichu inenteurj le demi
fichn, le iiehu en chemise, à Jabot, cravate ; foui'renu eu co! decmmrdi caraco^ h Juste, ceux it i*A-
mndis^ à kt Artaise^ à la Suédoise, à la boshnienne : manclics à T enfant i robe néÿlipente, demk
néf/lûjenie, coupée, en redinf/ote (w pl. 4(15).
Panne : la tièoqmfre, bagues à ï enfantement, à /Irmameiit, eu pierres de Cai/ennc.
Objets en ucier^ pommes de canne, éluîs, lirarolets, pencbints d’èreillcs, î^enc-chiguoiis.
Eventail /£ la Jfonimêd}/.
Le joujou de Konnandk ou rran.
Le rouqe de sertis,
PL iV.VJ. — El uoi‘E.
Ustensiles, objets personnels, jolivetcs, du qiiiDzîôme au dix-neuvième siècle,
Ijc couvert de talJe, la cuiller, la fourcliettc, farcheste, forchète, fourchète; sou usage au
moyeu âge, fourchettes à deux, à trois dents.
Couteaux; k pros mislel, le purepain, serpette, tranclio^igc, couperet,
JjCS forces ou ciseaux.
Cailles ou esfups, cylindres.
Poinçons,
,\morçoir, hriqueL fcruKiîr <Paumôuiçie, pistolet k rouet, moiitreF:, clc'î?, épingles ii cheveux.
PL 400, — FkaxCE ; XVI IP BlÈ('r.E(]).
Costumes militaires* — Troupes régulières, 1702-171^8.
Artillerie, hussards de la liberté^ infanterie de ligne, sapeui^s. Le drapeau tricolore,
Commandant, offîciere, sergent, soldats, tambour-major, taml^our*
Chapeau à cornes, cocarde, panache, bonnet à poils, casque à chenille.
Cheveux bouclés, tressés, on queue, nattés ; la pntulrure à frimas.
Le frac, le caraco; culotte éf Fécm/ere, pantalon à raies; guêtres, hottînes.
Le sabre-briquet, pistolets,
ilarnaîs de cheval, les chabraqnes,
(1) planche terni ne le toaic Y*
— lo:
PL DU — Fkaxckî Xyin*^ BiKCLE (1).
UitérieHr proviiiciuL 1701,
PL hl2. — FiIAXTR: XVI II"' rvIKCLE.
(’ostiiiiies féminins 17 SM* 1 W(kï (v. les pl. 1 <Kj et UiA).
PL P>Ü* — FlïAXf’E; X'VIfU' SIÈCLE*
Modes féïniuînes, — Parure de la te^te, du corsage, 1701-18(10.
lîonuets, chapeaux à hlitmme, capotes, cnilTure Imsse, frismxïs, chigtion pendant; clie\
it la mcrifm^ leur teinture.
TjC fichu menknr.
itobe plissée, collante, lu jnpo; hi poslkhe^ t ceintures en ruban ; boucles de cuivre, dVicier
liinon, ctolTüS rayées, toiles de Jour,
PL loi, — Fraxce; XVIh/' siècle,
h
Fpoquedu nircctoire.— "l'ypcs do la mode. Les sühoh /(îf^ïV^^ïJ^Ay/les Croyables* les Ineroyaldcs,
les mervoillenses, impos^lhlm, ugiotcni^s, filous. L'anticomanie, rangloinanie, 1790-1707,
Daines* — Chapeau à la jockcifj lionncbs, ]icrnu]ues; chemise de linon ; costume m aiks (k
papillon, rolic à fhppot'rih^ à la Dianfi, à la Fhrê^ à rOmpl/ak; culotte do soie; écharpe,
niantille; bas a coins, sandales, souliers; gants demi-longs,
ITommes, — Cheveux à ia 7'itHii, à la BratttSf perrut|iie poudrée ; la cravate écrouélique, à la
Laifpiadivr r Lhabit carré, le gilet à revers, culottes, rubans pendants; Ikis eu tirc-boiichon,
escarpins, l>ottines fv^ le^ pL 4(17) cfc4()8-lo0).
Pi. 105 , — Fvuope: fix nr XVÏID siècle.
Costumes civils, militaires. — Les mmles iraiiçaiscs en Allemagne, 1783-1803. Dames de
Francfort, dL\ugsbourg. Incroyables, merveilleuses.
CJiai)eaux à la suisse, l'ond, le ImurdaloUj chapean-cîaqne, le hlcorne à la rttsse^ à ht Vmtk
millej (v* pL 408-109)* L’halat k basques, redingote demi-carrée, le Irac eu queue de morue,
les revei’s, la lévite; culottes, pantalon ; guêtres, souliers, Ijotttes à revers ; gourdins.
(Pour les modas féminines* v. les pL 398-402-403-401.)
PI. ino. — Fkaxce: fix nr XVIIP kiècle.
!Modes féminines du Directoire et du Consulat' — fai ûnronmnîe. Fae héroïne (Paujoimllhui.
(l) Premîèit; plancbe ilu tome YL
108
Modes et mamères du jour. Toilette à la vesfalù [i]. 40B-40D)- Le volubiHs. Toilette,'^
cTintérieiir, de soirée, de l)al, de ville. Les pemiques (v* pL 108- lOd), Le pliaéton. Lu cou-
ronno de corîmbe?, ios frisons dé Unie.
Voile de tête, rc^sille, capote (le spJteudonej te fea i/plfak), honneL aigrette, Vespîdf diapoau*
bonnet, bonnet-calotte (la vesim).
Tuniques (V/iêmidipIoïdiou, la cldœne). lUnique coupée^ jupe a queue, à demi-queue, la
ceinture le schall (v. pl 407), le fiekn-shaal^ récbiirpeî coiik^it d’orfè™rie, brœlies,
fermoirs, bracelets, Imgucs, colliei's, épingles de tête, boucles d’orcOlcs.
Anneaux d’orteils, les carlins.
Souliers à pointe, bandelettes.
Gants, le lidkulc.
PI. 407. — FuaxCE; XVTt^^ XrX^ f^IKCLH
Costumes féminius. — Le châle, 180'2-Î814. Châles de eaebemire, de drap, de laine, desoie,
de coton, de percale, de mousseline, de dentelle, ceux de grande parure, les clniks lares.
Le pas du sciaiL
P], double 408-400. — France.
Consulat, an X, 1802.
Jlodcs, — La promenade de Longehamp,
L’homme s’halnlle, maïs ne se pare plus; le ci-detunl,\G channaitf le (/odiche, ragioteur, le
7 iz-pam-sel. Les voitures, le earrick, le jockêf/. Les hoiniiieseii Viottes.
Dames. Cheveux à fa Titus^ imitlonués; perruques blondes, brunes, le tour de cheveux,
eacJtefoliê, le voile, coilTure à serpmtkaux^ chapeaux de percale, de paille, .sparkrjef cliapeau
à ranf/Iaisef capote konproisû, bonnets de négligé, celui dît^îi haliaui Ijetf, le turban, raigrette
les elfc/s d^arpent.
Fichu carré ; peignoir à la Oalaflêe; coi’sagc â pièces, à l'Elrurk; manches it l'espapiwle, ù
la f/recque, à l'ailénknmi rolxîS à ia Pliilomèlfj à la Gkwnue, à la Romaine, à la Pomone, à
la J^spehé^ à la Rtmna; tablier à la créole; redingote à la Karos ; surtout f) la preequc; le
spencer J châles longs^ carrés, cachemires.
Perles bleues, en lapis, serpents, bracelets, colliers.
L’éventail, le mouchoir.
Hommes. Cheveux â la Titus^ à la CaraccdkL Costumes de parure, de moyenne parure;
Im chapeau.r français; le frac écourté; gilet, veste à la prussienne: culotte juponnée, courte:
l)aSj bottes à la Souvarom, talons ferrés.
Conlcnrs â la mode.
— iruï
ri. no, — Fhaxcï-’,
Costumes civils. — Les liomnics suivant la niodcj 1801-18(15. IJhahîUemünl selon la pro¬
fession. Itù inche, lliomme a la mode, et les pauvres diables ; poète, peintre, musicien, arclii-
tectcî bottier, taiüeiir, ci-clcvants, et solliciteuses. T/artiste coifTenr. Le costumier intime.
Costumes parés, habillés, du matin. Kediiigote ii réûuyère, gilet en duvet de cygne, capote,
caiTÎck, pantalon.
*
i
TABLE ANALYTIOUE
DES l'T.AXCirES ET XOTrCES.
(suite).
Quatrième tartie.
Plaxciiek 411^a 5bê (l).
-I « ^ ■ i- I
■ k A ■ ri
iSuÈDK, NoRVÊrrK, Islande et Lai^oxie, y ctnDpris le rétrospectif
I t I ^ T J Ij ( ^ Piïïl ■■■■4I la l'I^ B. ■•ari' piâ ad a aaV'^ aa a^l P-i41 1 + ^
I^iCOaSSE, y compris le rétrospectifs.... s. . ^ s _ . *..
AsNUr.ETERlîE (b) .. , ... . . *.. .
Ai-LEMAfiNE (f), y compris le Tyrol et la lîohéme ^ ,
Ct ■ f iiC U
Types généraux (nltirtiîl de fameiir)
PuftSTE rrE urope et d’Asie, y compiis le rétrospectif,
Pologne {d)^ j compris le rétrospectif.
lIoNORiE, Croatie, Bulgarie, Poilmanie, ^Ioldavie, Valaciiie, Grèce. ..
T I A I4 I L (c) l,p.*. ..la
Espagne {/J, par provinces.,..,. *..
Portugal......
t'uANi R, par rêvions provinciales.....
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484
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DÜ!)
(I) A'oir, en outre dam^ les parties prdcétlentes :
(«) îîtiîiamk, ?1. 276, 2S7, 312, 318, 919, 320, 321, 323, 324, 325, 350,
(//) PI. 231, 2G5, 277, 280, 2Sni, 300, 302^ :ï03, 337, 338, 339, 377, 378, 379.
(c) Alkîmffue^ Pi. l&S, 237, 253, 260, 2fV2, 270, 2T|. 272, 278, 279, 2Bô, 296, 317, 336, 33S, 3.39, 360,301, 3S7,
405.
(fi) iWwywPj PI. 19S.
(e) Itaîte, PI. 199, 226,239, 210, 241,212, 243, 24 i, 252, 260, 26Î, 262, 264, 265, 278, 230, 237, 288, 332,333, 359.
(/) KspatfHC, PL 200, 258, 259, 269, 278, 364.
— Pour la France et Ici Flinulrca nous ne faiaoiiï! pas de reiivds, les excmt>les étant trop nombreux, et, eemme il était
naturel de notre part, 1si Franc e fcnmbi-tunl dans nctre recueil le continrent principal de U ebroiiolngie du costume européen.
I
112
IM.AXC11E8 ET X0T1CE8.
PI îll. — 80 KPE.
Les Lapons* — Costumes eVhiver, dV-te; objets en usage* Habitation, ^loyens de transport :
traîneau d'iiivcr, le pnïïce (v. pl. 412)*
Femmes du liappmnrk, Laponie suédoise* — Le bonnet, seik; variétés des Stf/Zrt'rs ; kaVa paB$e
ware^ kalia dem passc^ saivo-aiim^ satm^ohnak^ le halHa^ le vürahU-ôbnm^ varülâe-kib ou fjahc
olmal% hîagga-galla^^; carrés, lïonnets à cimier (femmes), capuce, le cravate ;
blouse; collet; siifverkmgû (v. pl. 412 et 414)* Ceinture des femmes, loi qrinno-balle ; la kapfe^
le vaolpù; la botte-pantalon ; bottes d'été, sommar-skor; \[^\\l\Q\\winkr-skor; souliers ii la chi¬
noise ; gants. /
Cheveux tressés*
Bagues.
Cuillers en corne de renne, skedars; cuillers de bois, kùkBÊ af hjork; le knif *■ le manche, îa
gaî n c ; eu re-ore il les, orshf; pi pes, ht pipa , îù hak^dom ; port G*mo n n aie, bo u rse, peu ingim nga r *
Le patin, suksi (v* pL 413), le bâton du patineur, la lioulette, klakka (v. pl 412).
Le garde-manger des solitudes, fijaila.
Tonnelet portatif, le wjQlk-kagge.
La tente, kaia^ sa monture; le fourneau, réclielle, place du mari, de la femme, h(mhio-kmBhk^
des enfants, ka^k loido.
Traîneaux couverts, ceux de marchandises; takkek; kerrhs; le britnn du cocher, kor-kapp.
Le renne, son harnais.
Lapons côtiers, montagnards (v* pl* 412), nomades; celui des sapins, le Graauhper; leurs
physionomies. 4'ri bus, chefs, le foyer; latmie-gmdie.
Travail des femmes : confection des habits, des souliers, des gants, des harnais, broderies.
Superatitîons, sorcelleries ; le tambour runiqnc; le mage ou sorcier, Iklaja; le demi-dieu*
2 }aùjifMaIa ; F homme de la bonne aventure, noaaid.
Pl. 412.“ SrÈDE, IsLAKDE, LAPOXIE.
Costumes. Usages populaires*
Lapon de Kaitum, marié (hnaî), mariée {hntgdom) Karajosk* — T^c Lapon montagnard,
Fjall~Iapp. Le port de renfant: le Ixsrceau, katk^m (v* pl. 411). Costumes d’hiver, d'été; le
bateau de neige, akkja; Tabtelagc. (Lappniark, Laponie suédoise. Fîmnark, Laponie norvé¬
gienne*)
Jeune fille de Reykîawik, costuniQ de cérémonie. CiJlets brodés, médaillons, Ixnitous, coif¬
fure à cimier (v. pb 413).
— iiâ
Miircliande ambulante. Clauses mstique^ le pamri libre, dannêmin; fomme?;, enfants; toi
lette nuiitiale, le fiancé ; coistiunes juui naliersj du dimanche, 'roilette d'été. (Sudermanie* Dalé-
carlic, Bleking. Scaine.)
Femmes. roiHurc, laine frangée, bonnets : celui de la femme mariée, de la jeune fillCj htl-
htrma; le béguin des enfants. Chemise ; manchc.s, corsage, bretelles ; fichu ; tablier, le châfmnf;
jupe î pardessus î sac de cujr, gants, mouchoir ou enveloppe du bvre, hcûdappen, Arrangement
des clicvciLx, Collîeii^. Aiguilles de tête*
Hommes* Cliaxioau, Ijourdalou, cravate, col, gilet, redingote, épaulettes, broderies, culottes,
bas, jarretières, souliers; le fouet du fiancé (v. pL 41o).
Ph US* — .SUKDE, XoaVKClK, IslMNOR, LAPOXIE.
Costumes* Parures* Coutumes. Objets iisncls*
Patins du înipon, mlm -, pipe de métal*
Famille de Itnappavelür ; chemise, culotte, le irndmal; bretelles, bas, souliers, lanières, bon¬
net, gland, jupe, galons, broderies, gants, cheveux flottants. Costume de ix'che : peau de plio-
rpic, bonnet ou chapeau, blouse^ capuchon, pantalon ; selle de femme ; planchette ; tabatière ;
ornements de ceintui’C ; Ix^ntons ; grelots.
Toilette de relevaîllos (\ * pl, 40G), de deuil* Costume d’hiver : bonnets, hégniii, coilTurcs,
celle de îa f^jelfvan ou femme mariée^ charlaiaria-mossai celle de l'époust^e, la cotiromm de
ladon, ficlm, corsage, ses agrafes; tablier, cape, pelisse; bijouterie orfèvrie, usage des cannes;
les eimmiiers de ht mee^ le riHliman,
Flaml>eaux, trépieds, candélal>res*
Manoir rustique, la maison d'Urnas.
Eî^sai sur la phiiQsophk du eoslnme, — Ccrmairi de Tacite* La race îndo-gcrmaîtie* Le
paysan de la Suède et de la Xorvège, Los toilettes paroissiales ; leur unité locale* diversité
entre voisins, représentant Fîndépcndance de raucîcnne tribu. Les toilctte.s masculines mjeu-
nies par les femmes, qui, de leur côté, persistent dans Fiisage des modes séculaires.
PI. 411* — Suède.
Tiapoiis* Xorvégiens* Suédois*
»
Epoux lapons, femmes, enfants ; costume d'été* (Nordlanden* k'iumark*)
!N[ariée, fille dlionnenr ; diocèse de Bergen.
Garçon, fille; toilette nuptiale ; ]iaysan mineur. Les noirsj les (i^'eanic. Dalécarlie*)
Costume de cheval ; le tablier du forskum ; couteau-poignard, pelisse, peau
de mouton*
CoilTiires en couronne (v* |>h îlb et 417), cravate, corsage, épaulette, plastron, jupons super^
posés, tablier, le mouchoir de la fiancée*
114 —
PI, 415.
Paj^^ans. — (ficanie^ Dulécarnie, KiKkTnianîOj Dio^sck de Bergen et de l>rontlieim.).
Moîssonnenfio, fermier, toilette ilii dimancheî garçons, filles, costumes trhonneur, nnptîaiix ;
femmes, enfants*
Couronne rayonnante, le haut honnet de la fiancée; fieliu, pèlerine, la clioniise d’imtomnç,
Jmte sarken, tablier; couleurs selon les saisons, k jaune, couleur de deuil; le le vmhnaU
manchon ; souliers à pattes, à talon ceiiU'al*
Chapeaux, castor, Ijouncts, foiirrnrc, frac, habit, gilet à basques, lévite, culotte
de i>can, bas, bottes.
Cadeaux du fiancé, de la fiancée ^ les gants de cheval, le cordou de cmiitim, penÿtross(}if
la hoîtê du prêfêtidanf.
PI 41 (h — BrÈr>E, XOHVKGE,
PaysaiiR, horlogCî’S, mariée, fille d'honneur, costumes dn dimanche. Toilette nuptiale, de
cérémonie. (Dalécarlie, Bcanîe, diocèse de Bergen.)
Ph 417. — SrÈDE.
Parures orfévries à Tustige des paysannes suédoises et norvégiennes.
Couronnes de mariage, boucles d’oreilles, colliers, plaques, pendeloques, médaillons, cœurs,
croix, broches, agrafes, rondelles.
La parure de cuivre seul, joaillerie populaire de liante antiquité. Ija bijouterie gemmée
des Scythes se retrouvant dans le clinquant des parures rustif|ues* Les pieri-erics de la La¬
ponie mises en œuvre par les lapidaires suédois. IjGS édits somptuaires, die?; les Germains,
autorisant pour les filles et demoiselles ce qu’ils défendaîent aux femmes mariées ou veuve?,
héguine.s ou autres dames.
l’L 418. — Bi’èdk.
Ldiabitation en bois. — liitéricur, maison a plafond chevronné, rf/ÿffasiifpu; la vie rustiqucî
matériel domestitpie, ustensiles.
La maison roulante, le ^aard nor^'égien, le seiiér. Isolemeut des populations.
Pièces de la maison, le vestibule, ladiambre coinm une; les parois et leurs cnliimi mires; le poêle,
la cheminée; lit, bahut, secrétaire, talde, boîte ii horloge, baucs, rouet, pot à beurre, chande¬
lier, trépied, bibatière, blague à tabac, sabots de Peu faut; vaîssdle de terre, de bois, jonchée
de fleurs, de feuilles de sapin ; objets en bois, cafetières, brocs, jatte, boite a beurre. Les tasses
et les cuiller.? « pôur pMsântef » doubles et triples, l.a cuiller à soupe et celle d’alliance.
^ lia
PL 'il9 et, 120. — ÎIoTjfiAXDE* (Xotice commune,)
Costumes populiures, commencement- du clixoïeuvicmc sîeelc. Los vetements traditionnels.
Pêcheurs, ^ens de labour.
Paysans-însuluires, bitelier, ^ddpper-oom, damcj servante, laitière, mai'chande de poisson ;
costumes de fête, de visite, do tiavaiL — (Rotterdam, Scheveningen, îles de Wakheren, de
Marken, d'Ens, de Ziiîd-lievéland, Xord-lIoUando, Frise.)
ïlommes. — Tricorne, chapeau droit, calotte, cravate, gilet, pourpoint, justaucorps, redîli¬
gotes* lAkappc^ giktt veste, ceinture, boutons d'orfèvrerie, haut-de-clnuisses, culottes, souliers,
boucles; le couteau, sa gaine (v, pl. 422 et 423).
Femmes. — Chapeaux de paille, les hoimets béguin, coîiTe, dentelle, broderie, îirides,
rubans.
Le casque, plaques do front, les fers, Vhùqfthmald, (v. [il. 421-422-423). Bandeaux rie joail¬
lerie, chaînes de con, pendants d’oreilles, pendeloques, disques, colliers, agrafes, bagues.
Chemisette, niaticbes, toui* de gorge, mouchoir de cou, coi'sagc, camisoles, le pectoral, ta¬
blier, toile de Frise, jupons superposés (v. pl. 422''. les poches, le inautelct ; souliers, boucles,
chausEons, sabots.
Tiii lessive des cheveux.
Jd. 421. — lîonLA>'j)K; XFX'' suKr'LE. (Xotice commune à la pL 422.)
Costumes féminins. — Coiffures; parures de tetc.
Frisonne; villageoises de Zaardam, do Krtiinménic; hiles dos îles dLVmelantl, de Cîroinngue,
de Ziiid-lïeveland ; femmes de Beyerland, de Dordrecht.
liCS colliers de corai b hhed-korraL fermoirs d'or, d’argent.
Pl. 422, — ironEA>i>E.
Costumes du commencement du siècle; les modernes,
Jlatroncs, villageoises, femmes de pcchours, orplæline, dames, pcclieuis, paysans, prieur
(renierrenient, Vaamprelcer : coîiïiires; costumes de travail, de kermesse ; le droit do passage,
hpiik; le traîneau de la frisonne, sieekshilh. (llesiPUi k, de Markcn, de SL4iou\ven, de W al-
cheren, Zamlwoort, Yolendam, Zierîckzéc, Scheveningen, Xord-Hollaude, Frise.)
Femmes. — f^es épingles d’or, krulknne belkkem; le coi-sage, mankihjei le plastron, huck
ni kkurem rolx^^s à fleurs, tablier ; chainetLc, ciseaux, aiguilles, anneaux, hiîgncs, boîfes à par¬
fums, à pastilles, à monnaie.
Hommes. — Chapeaux ronds, en tuyau de poêle, bonnet de fouiTurc, boucles d’oreilles,
chemise, garniture, boutons. inédaîllcxS ; le gilet à manches, hon^frohlcen i blouse à capuchon, eu-
110 --
lottes l>oiifF;mtcs, îi ^rand poiit, Imiiçles orfèvrîes ; souliers ii cordons, ù bondes; para¬
pluie.
Le patin, véritable chaussure de la Frisonne,
PL 423, — Hollande.
La Joailkrie du paysan. Objets usuels.
Les parures orfèrrîcs. Les fers à Tiisage des femmes.
LVpi, Itoofdnaahî^ épinj^les teinponiles, pendeloques, JrntUenne belMcms, spirales, plarpie de
front, boucles, pendants dkreilles, colliers, le bîoed koraaJy fermoirs, broches, agrafes.
Chaîne, garniture de bontons de diemise, de blouse, plaqae de ceinture, cliaîne de montre.
Couteau, manche, gaine, porte-pîpes.
^"ai'iétés des/^>rif selon les provinces; pays de Gronîngue, d’Over-Yssel, Zélande, Zuyder^cc,
Xord-llollande : femmes de Yolendam, de Kruinîngende la petite, de k grande toilette;
les bandeaux minces, wor hoo/den, plats, /toofdi/zer n le cercle d’or de lu Frisonne, le double épi,
les petits drapeaux.
Couteau du paysan, arme dccoinlxtt.
PL 124. — Hollande.
Lknciennc habitation frisonne. — liaison bourgeoise; intérieur, sous deux aspects.
I/alc6vo, battants ajourés; le lit cnca.stré, le berceau, le prie-Dieu, Tarmoire vitrée, tables
pliantes, rescabcaii, les chaises, le coucou, la dianffcrctte, la bassinoire; assiettes, plats, coupes
de Ddft; revêtement de faïence.
Tja cheminée, cbaiiffage, les ve&nejh
Le coloris du mobilier. Le balmt dos ancêtres.
PI. 42.j et 420» “■ (Xotice commune.)
Costumes nationaux, depuis les temps païens jusqu’aux temps modernes.
Bardes irlandais, Yaimij/dd, Gnerrier pieté. Les anciens Gaëls. Chefs, fakds^ ekkf-
fains,^ gentilshoinniGS, dnftné-îtsmd ; les kd/Idaïuhrs ; Ta relier, cearnaich; le pi/w.
Le brencan, l’insigne végétal du clan; la loi Hbreachfa; couleurs, formes des vêtements, la
couleur ronge somlire, le tan tan des Stuaits, hreacan dearr/ Sfiubarficii
symboles.
Clans ^fac Dngal de Loin, Ferguson, ^lac Inné, ^lac Cruimin, îfac Coll, !Mac Donald des
Iles, ilao Laurin, des ^lac Qnaaries, des Skenes, des Graennes, Ilobortson, Mac Ivor, des
Grant de Glenmoriston, dos Mac Instoshes, Mac Leod, des Forhes, l^fae Donneldc Glengarry,
des Frasers, des Chisholms, des Campbells de Breadalbaoe, des Idenzies, des Ogilvies, des Da
117 —
vidiîOiis, des Suiiirts, liuchanaîi, des Keiniodvs, des Mac Muchtaiis, dûi> Jïae lutires, des
MurraySj des ^lac Donald du clan lîaiialdj des ^Mac Aiilays, des ^h\c Tiean.
Casque, îeriiauber^cuii, li eliemise démaillés, Iwich; buiiclierj le hnyaid^ sou oin-
bilic, caj)any poignée, double poignée intérieure*
Lance à inaîii, l'asef/tf h îrmîfmmmu* raropstara; diiymore simple, celle à deux mains,
poignée en forme de panier ou cIiabh; èpL% la chtidheamb; la dague, bid^fp; sabre, baudrier
arc, flècheSj carquois*
Le capuchon^ burradi le inaiitcaii, cückd, des Ollamlis*
Honnets, le bomid'güm,\e ffknffarrt/i cîicmise, la Lem-Orowh ; Gotta^ veste, pourpoint^
jupon, hfheile heap^ le klli; plaid, le breacan fheik; çliansses, Iremi bas, aw^gam; brode-
(piinsj cuarati^ i bourse, i^pornai; corne à tabac, snaoîmi (v. pL 427)*
Cheveux longs, chignon bas.
PI. 427 . — EcOSïsK.
Les montagiiaids* —Costumes féminins, lu laitière, banaracb; cavalier, sa monture, poney
bighlaiKÎer* Armes ofFensives, défensives.
Clans Sinclair, des CoU|lioïis, des Ishic Aieols, des Fanpihurson, des Urqhurts, des Muthesons,
Mac Niels, Mac Ivor, Chisliolm, ^lac Lean, Clar Iniiis, des Frasers, des Gnns, des Mac
Laclilaiin*
h
Ecliarpe, tartans, plaids, le (q?iuj ou ^tmilkac/mn^ rarmud ; broches, ciiaussnres, brodeqtiins.
Clieveux tressé.s, rubans*
La grande pique, tmf/h-calh; hirgaidi à lame d’acier tenant Heu ^^'w//i^(?,cIayniore.s*
Humais du cheval : garrots, baguettes do coudrier, biules, corde de poils, selle, peau de bouc.
PI. 428* — AXOLKi'KRItK î XVlir, XlX^ï^IÉCLE,
Costumes de la rue. — Types pojudaiius* l'hgiires lustoriques. Le bitauf.
Marchandes cralnitinaclis, de pudding, de poissons,diseuse de l>oiine aveiitiire,
foriime-îelier; porto use de kit, w/W''-^b7; luarcbands d’orviétan, d’oignons. Les dmi/j^mL Wa-
fmurt/i des voitures publiquo.Sî le marbi anj^ Jdiîibefi f/eiées; conducteur de bétail, drorer; le
posîman; le Mthr; te noireissenr de souliers, f^koe-bluck ^ le pompier,le niarakher ^ le
chaiidroimier, iitiker (v. pl. 42!J).
Pb 421). — Ancueteuue; XIX® smt'LE, première partie.
Types pjopii la ires. — llistoirc des cris de Londre;?. Le conceri d harmonie. Le chapeau droit
à haute forme*
La laitière, la vendeuse trullumettes, mdkhÿlrh inaidiandc à la brouette, barmü
ii'oman i vendeuse de crevettes,yi'Wîrtfc sbrinipcr; marchande do poissons de Billiiisgîite, a i>b/-
Umgith Jhh woman; h facteur, /mimm; le pomincr, (la liachc-]nc) i lu vciuïetir du
joiiniaux, ^mvs}m}l; lo veilleur, witfckman; (les Imkhotjs, les Imkmm); le boulan^cr, ktkcr;
Wekh women (wôùden spalula). La ÿipsg.
ri 430, — Anolkterue.
Oosttimes liiémix:hiques et professiiïiiïiels. Freinièrc partie du dix-nenvièine siècle. — Hauts
dignitaires : juge ,cvrquc, \c speaker ^ lo Lord 7nayor de Lonclres, aldcnuaiij invalides des
années de terrcj de nier; pensionnaires de Chclsea, de Grccnvîclv. Toilette féminiîie : dame,
costume d'été (1811), Types populaires : h dusiman; t>éclieur dTlastin^s, bedeau d'église,
écolier ou garçon de la jaqueik hUue.
Fi. 43L — ANGRETEliHE; COMMENCBMEXT ])l XIX® SIÈCLE.
Moyens de locomotion dans riutérieiir des terres. Les Ijarrièrcs des routes; le collecteur,
loîl gaiherer.
La carrosserie : le panier suspendu, la camvam et le socmble^ diligence, chaise de poste,
tilbury rustique, la charrette du maraîcher.
Le folLmoneg on le péage auquel le souverain lui-mème devait se soumettre.
TM. 432. — Allemagne.
Costumes populaires. — (Bavière. Haxe-AUenbourg.)
Haute et moyenne rrauconîe. Asiiafïeiibourg. Basse-Bavière. Ifaut-Falutitiat. Souabe.
Mariée altenbourgeoise (v. pî. 433),
Le pehhappe^ bandeau de tête ; le fronkaUf bonnets, coiffes, broderie, dentelle, brides,
ailes, inbans, cheveux tressés; la couronne de mariée, hormbli corsets, fichu, jaquette, niaii'
clics rembourrées, bouliantosî rol>es, tablier, colHci^, perles, grenats, orfèvrerie; bas à coins,
souliers; franges.
Chapeaux ronds, coniques, cylindriques, k bords larges, étroits; gilet, veste, redingote, bou¬
tons d'argent, culotte, pantalon.
Les catholiques et les protestants se distinguant par les couleurs du costume.
F). 433. — Allemagne (TynoB).
Costumes iMJpuluires. —Toilettes féminines : les bonnets à cimier, coiffure aux longs ru¬
bans. Les femmes altciibourgcoiscs.
Antiiche, —Tyroliens; montagnards, pijsans, femmes du Zillertlial, du Piistcrthal, du
Sarnthal, du Oetzthal, des vallées de ITun, du IVîSeyer; Bohémiens d'Anîierzen, de Kladau.
Allemagne^ Wurtemberg, Silésie. — Femmes de la forêt Noire; paysan des Monts-Céants.
— 110 —
Saxe, fbmiiie de Diuuistedt, jeune lille wcndc. Fruitière do Hambourg; femme de Cobourg.
L'étudiant trilcidelbùrgj aux temps romantiques,
Laiidcau de tête, sîù fiiucÂeif diadème, ?iadel; chapeaux, coiffes, beiiuets, rubans, broderies
métalliques, col, dentelle, chemisette, fîciiu, corsage, bretelles, agrafes, jaquette, nmkrleibef;
les rebras; le kurass^ îiiitialcs brodées, ceîiitntc, jupe, tournure de criu, tablier; souliers, bouf-
fettes ; chcTeux tressés, cludues, croix.
Chapeaux de feutre, glands, aigrettes, cravates; gîtet, veste, ceinture;
Imucles de métal, plaque, ornement de ceinture ; redingote des jours de fétc, der f/olkstischrock ;
culottes, bas, souliers lacés, clous à télés larges, k grossCwS tètes, sfossnâ{/eI,
Id. 4M . — Suisse.
Costumes populaires (dîx-ucuvicme siècle, première partie).
CaiitoiLs de Tjiiccriie, de Fribourg, de Zug, do Berne, de Schwita, de Schalïouse, Valais,
(\\ pb 4îf5 et 436).
Paysans, paysannes, laitière cP.ClKïrliassli. Custurae^î habillés, de travail ; les couleurs claires.
Les vêtements longs, écourtés.
Chapeaux de paille, fleurs, rubans, to jue, calot, tresses flottantes, nourries de criu ; la
fraise, chemise; lettres initiales; corsages, broderies, bretelles, tablier, cotte, jupe, ceinture ;
bas, jarretières, colliers; Bel (v. ph 435).
Pourpoint, veste, chausses bouffantes, culottes, ceinture de cuir.
PI. 435. — Suisse.
Costumes féminins.
Berne, Appeiizell, Fribourg, Uri, Lucerne, Schuyz, Lbitcrwaldcn. — Xuilettc de mariée. Le
costume des ancêtres.
Coitfurcs, crête de gaze, haut bonnet, parure de la tête, cuiller d^irgeut; lx>nnet rueliè,
carcan d'orfè\TcrLc, collier de jaseron, pendeloques, bracelets, ]ilastrou, caraco; souliers, Iwn-
des, talons de métal.
PL 136. — 8ei.ssE.
Uiitervvaklen, Haîut-fîalb Berue^ Valais, Zurich, Zug, Lucerne, Pudr.
Corsages coiqïés à ritalieune, chaînettes, deiiii-manclics, cellesé jupes longues,courtes.
l/iuflueiice des habitudes et du milieu materiel et moral sur Faspect terne ou gai du cos¬
tume, La louguenr des jupes selon Li nature accidentée du pays, ville ou campagne, pour
les femmes ayant besoin d'activité.
1*1. 437, — EntopE.
Pipes anciennes et inudenies* étuis, accessoires à l*iisagc da ftiiueur, boîte à briquet, ?ac
ii tabac. Norvège, France, Italie, Belgique, Tyrol, Hongrie, Bolicme, Hrèce et Alleniague.
PI. -138 et 4311. JirriSiE; XVP'XJ.V*' hièclkb, (Notice commune.)
Figures liistoriqucs; tzars, princes, itoïars, fille de boïai', le chef des Cosaques, aüimmte.
Habits de camp, vêtements dhiparat, du matin.
Classes populaires î fcuiiiies, filles de Tver, de Toijuk (v, pL 1 lo), de Btazau. Cestumes de
fête.
Modes byzantines, mongoles, polonaises; bonnets, fourrure, velours, chemises brodées,
col, pièce triangulaire, le caflan, le demi-caftan^ le ferez; le sarrau, zijmmei le col, kûzir; Isi
pelisse, la manclic longue; soutaehes, bmndeboiirgs, cordons, glands, ressuie-maiu ; pantalon,
ceinture en cordelière, bottes à la tartare.
Le port de la barbe.
Costumes féminins. Bonnet-diadème, bonnet de toile, le vol&^^tn/:^ coilTure en pointe, le
IwkoschniJf^ capuche, Jciischkaj pièce d’étoffe,yvoile, le nadzaff/hiik, collerette; la robe
longue, samfan; niantelot en casaqtiin, donckeÿreïka ; vêtement de dessus, ponka^ couvre-
mains.
PI. MO. — Russie.
Slavo-Russes. Jlordvien ou ^Moi’duin, ivalmonk, Tartarc. Femmes d’artisans, filles de la¬
bour, culti\'ateur, habitant des stcpjpes.
Bonnets : le (ckepafs^ bandeaux, celui en mentonnière, mouchoirs de tète; manches de
lingerie. Le voile-moustiquaire, robes longues, courtes, surtout, ceinture, bottes, chaussures
fortes.
PL 411. — Rus.sik.
Coiffures populaires; parure de tête (v. pl. 44Ü).
Habitant de Tikhvin. Femmes des gouvernements de Novgorod, de Koursk, de Kalougn.
IjC hckepulZj le kokosckmii^ bonnets, serre-têtes, toques, iurbans, capuchons, couronnes,
diadèmes, voiles, ruche, broderies, étoffes d’or, paillons, perles, pierres précieuses.
Colliers, boucles d’oreilles.
PL 442. — Russie.
Suite des coiffures populaires des femmes Slavo-Russes, dans les gouvernements de Nov¬
gorod, de Kalouga, de Tver, de Koursk.
Usage des fards.
~ \2Ï
i^j. 4 18. — Russie; partie scpteiitriouale.
]/kbay iniiîsoD du moifjik. La j)iècè do premier étage,
Le poc4e, le Ht; bancs, labié ; images de la Vierge, d'un saint {itomi); portraits du tKar,
de la tmrîne; murs de sapin.
Pièces accessoires, îa chambre de toilette, sénf/ ; celle des ustensiles, des outils de ti avail,
PL 4-iL — Russie,
Mariage slave. Danse russe*
Le prêtre, habits sacerdotaux: le saint de la maison, cierges ; les époux, couronnes d’argent,
drou^êbi ; hénédiction des anneaux; divertissements*
Anciens usages ; la demande en mariage, cêléliratiou des fiançailles, présents on dari de
la mariée, cortège de la noce, bénédiction nuptiale, le baiser d’amour, Intra, retour k la
maison : la la swakka ou pronitba.
La balahika^ guitare*
l'L 445* — Russie*
C’ostunies populaires,
Petits-Russiens, Crands-Russiens, Teliérémîsses, Bulgares (gouvernémeiits d'Orel, de
Kherson, de Xijny-Xovgorod, de 8îmhiisk)*
_ #
Femmes* — Ooifïures ; le Ischepaiz, le /rakolchnilr; l)oimet, capuchon, Mille, colliers, pen¬
dants d'oreilles, ceinture, fermoirs, écharpe, chemisette, bi^ode ri es, plastron, momiaîes, disipies;
tunique^ roVic, tablier, manteîet; luettes, chaussures, cordelettes.
Hommes, — Bonnet, le gilet, beebmef; foidoupe^ pelisse; pantalon, cbiramri;
iKJÎtcs fortes, les biplls.
PL il(L — Russie.
Tente du Kalmouk, la In'bilka.
^rtcurs nomades. Villages temporaires, oulom; eonstrnetion de la kîbil/m *■ claies, couver¬
ture de feutre, poite de menuiserie. Le trépied, le Ut, les culFrus, les étagères, les sièges, le
mmomt, ustensiles; les images des dieux, le moulin à [irières*
Les Kalmouks, peuple de cavaliers. Costume, nourriture*
IT. 447* — Russie*
Ôstîaks* Toungouses. Indiens de l'Amérique russe. Kolochc ou Hiiikitc. — Coifl’ures des
Crîméens.
Bonnet, capuchon, robe, surtout, laine, drap, fourrure, pendants d’oreilles, perles, perlines.
Les habillements de peau; la cliemiffe légère et împermcabîe faite avec des iniesLins trEiui-
iimux de mer; la ehaiissiire imperméable^ peau du gosier des phocpies.
Pi. 448. — Ruksib.
Costumes in>pulaires.
Russes : pasteur cosiMpieî paysans roumains.
Tarbires de la Crimée. Classe de Tartures : les enfants, le maître d'école. — Musulmans,
parlant la langue des Osinanlis.
Podolie, Orel, Roumanie, Crimée.
Chapeaux, bonnet eu boule, kaJpakf mchlüi chemise, gilet, veste, hijssa-hurl:^ blouse,
ceinture, pantalon, chalivar; bas de feutre, souliers, cordelettes, sandales, ophict.
La « hùTik d'oi\ » Les ongles des femmes tciuts en rouge, souvenir de Torigine asiatique.
T^a hante îintiquitc du type roumain.
PL 110. — PoLüaxK; XIIR et XIV® siùcles.
Rois, liante noblesse, clergé, ordres religieux, bourgeoisie.
L’origine des Slaves. Leur division en orientaux, occidentaux et mérîdîouaiix. Leurs cos¬
tumes, en générai.
Bonnet, licliu, robe, Vamicida harhtirka^ IVfWMi {przijaciolkti) ; manteau, pantalon; armures
d’écaîlle, de cuir.
Moyen âge. Noblesse. Influence du costume oriental; modes derEurojKi occidentale; le
joupam {zupan) (v. pl. 4.30 à 154), Caimchoii, la couleur karmazijn; ceintures de cuir, d’or-
fevrerie; rolx;, haut-dc-chausses; chaussures, lanières, bottes.
Cheveux rosés, la barbe.
Casfpics, nasal, armures de mailles, de plaques, d’écaillcs; Tépée, le coutelas, la Liiice, l'ar-
hdète.
La coiffe des femmes jmJwika, Couronnes, bonnets, robes, imiiiteaiix, ceintures;
cheveux flottants, tressés.
Costume de la bourgeoisie; influence des modes allemandes, italiennes.
Pl. 450.— PoLUO.NE; XIV^'-XV felÈCLES.
Figures typiques, historiques. —Costumes royaux, princiers. I/ordre teutonique; le manteau
blanc de ses chevaliers, ricntilshommes, bourgeois, pEiysaiis, tenue de tiavail.
Le vêtement de dessous, kontomeh,
V
PL 451. — POLOfrXE; XIV®-XV® SIÈCLES.
Costumes militaires, civils ; tenue or dîna ire, d’appEmat. — Princes, seigneurs, Ijourgeois
Parbalétrier, le juge, le bourreau.
*
MsiiitêiUlx, h c/mtbtt (^zt(ba)i vêtements Lrorigine tiii'qucj lii fomr/Ui h délia. (\\ pL 451 k
4üi)).
La délitdka tai dêlittra.
Cliaussures poiutiles.
ri 152. — POLOtiXK; XVL® ^:|ÊCLK.
Lü roi, le grand hetman {coiinétaile), (v. pl. 153), luaréehul de Gam]>, dame de la noblesse,
gentilshommes; pajsans de Kalisz, de la Litlniauîe,
Vetemeiit dV>rigîiiG hongroise, la bekiccha.
iantalons, buttes, talons amies dn fer àdicval; danse nalionalc, la mazf(i\
ilanpic distinctive de noblesse, le sabre recourbé, karakla; sabres de guerre, de parade ;
Vobotdr/f,
ri. 453, ^ XVI1 l"-Xl KIKCLKH.
(Vstuiües de la iioldesse, du peuple. — fiC comiètalile, grande daine, p;n saunas, ]>îîysans de
liublin, de Craeovîe, de la Lithuanie, montagnard des Carpatbes*
lionnets : la fronfideratl a^ la krakùu.dfa^ le kol/mlr,
Vcteinciit d'origine tartare, foim^mkha. Turban, aigrette ; le ko/ifmd;.
Pi 4.ûi — PoliOON*Bî XVILXVin^ SIKCLES.
Lhufluenee asiatique. ^— (lênéral polonais; garde royale; ca}>iLaîiie des niousquetaîres, billic-
passif les jdftmhar^^ le lieutenant, ofiapasek porrulficlmik-^ gai de-drapeau, warifiptisi-consqfu\
porte-enseigne, beîiraIfkir-f/auroitp\ cd\Mmûj Jeb'dwmf'Ic.
Turban, bonnet, le kalaby panache, uskiu/\ aigixittes ; dolman, tlolama; cimbvar.
Siibms, liallebarde, fusil, hacbe iramies.
L^imiée polono-litîiuunieiine, son urganisatioii ; i « armée du quart », H'otjslco-hvarckfm^
hs htfssarZy les panrer/is, les imtpkoîrés: fantassins, dragons, cavalerie légère; Parrièie-ban,
pospolifé.
La maison militaire des rois de Pologne: souvenir vivant tics victoires sur les Turcs.
Cj
Les Cciit-Suisses, les heiduques hongrois.
Pi 155. — POLUtrSi:; XV'IP, XVI1P SIKCLtï?.
Le cl levai de giieiTe boiissé t harnais, selle, housse on chabraqne. La parure équestre :
joaillerie, plaques, agrafes, pendeloque, collier de poitrail, cari[iiois. L'étendard des chefs,
boutsvkoulc.
Le faste de la « Hation b rlieml ». Les clievaiix terrés d'argent. Le caractère scytfiiquc de
la joaillerie slave.
— 124
JM* 4rj6. — Pologne; X1X/‘ ^ikcle.
Costumes populaires (\% pl, 457),
Types de juifs : le voiturier, paysan nés.
Paysans de la Lithuanie, de la Sumogitie. Avocat; niarchaud de volailles, d'oignons ; scieurs
<le l>ois ; laitière,
PI, 4Ô7. — Pologne; XIX*^^ stecle.
tovaiite, garç<in de ferme î paysans des environs de Cracovie, de la îSamfjgîtie, de la
thuanie ; cosaques de l'^Ukrainc,
Vl. 458, — IIox(}RiE ET Croatie, (Notice cotniiiGnant la pL 47dJ.)
X^ühles hongrois ; les
Costumes populaires.
Ijos maf/ijarii : tyjie cle niontagiiards, hÿoraîe.
Slaves du Nord : les t'oloiuiis galiciens; Wmserpokikeri^ .^fa^urés, Goraks. Les Ruthènes :
Podolkus^ Boïkrs^ Hoimitks. Les SIo\ aques (feher-nej^^ peuple blauc),
Slaves du sud ou }jo 7 i{/o-Slarfs : les Croates,
Fiancée saxonm; Hongrie,
Femme valaque.
Carte géographique donnant l’emplacement de ces populations, — Etude sur les Ilouzouks
ou I/ntsuJes^ rameau de la tige des Ruthènes,
Ifoui}fil s.
Coiffures : la chapeau.v, bonnets, Fimage du patron, aigretteSj rubans, fleurs; ciu-
vate, chemises, broderies, camisole, veste, dolraan, ceinture, redingote, affila^ manteaux,
la me/Ue^ le giinkf^ le szUr, houppelande, pelisse, les zkzak^ culotte, braguette, mouchoir de
dentelle, brandeboungs, pautalon, le (fatfjm; sandales, les bottes, glands, cjxîrûûs à la
sarmak.
Boucles, chaînes, ceintures d’orfèvrerie.
Sabres, liachcttc, pistolet, poire à poudre.
Couteau, pipe, briquet, sac.
Cannes.
feuunes.
Toque, toqiiets, bonnets, la krakoKsti^ bandeiinx, mouchoirs de tête, couronne: chemise, la
camasi^, manches larges, bon fl antes, chaînettes ; comige, plastron, veste, broderies, épaulettes,
125 —
ceinture, Isi ffû/fatona, courroîes, i'üIkî, jupo^i, taliiiei\ le tien tel les, manteaux, Irrode-
riea, sûutuchcs ; Ixittcf?, .'^ain.laleB, cliaussnres <le cihî'* t^kme ou rioboff^.
Diadème, frontal, colliei’s, verroteine, nnVlailles, pièces de monnaie, pendants troreilles,
ceintures, Imbues,
ri. 15!). — llrTiiKxn.
lîiTxlerics riithènes, fleurs donm’xîs trEKlitionnelles les rattacliant aux traditions asiatifjucs.
PI. Mîô. — Ei’iïo?e*
Joaillerie [longroi^e î parure mascnlîne, Injonx féminins, costume de gala.
Agrafes de bonnet, de iminteau, attaclæ du salire, fleui's, fond filigrane; Vêmaii de 7V(tn-
.^f/lrmi (e.
PL 4111. TiniQriE ifEuHopE et ORÈf E,
Costumes jMH>ulEures : i>aysans grecs, bulgnircs,
Tîonnctsdc fourrures, (PtHiJfie,/es, toque, voiles, fielius, monehoirs de iéte, le cor¬
delettes d\*toii|»e, seqiiîiîs, verroterie; eliemisc, tablier, culottes,caleçons, redingote, pelisse^aji-
pli cations ; chansses, bas, guêtres, sandales, elianssurea de cuir.
Ceintures d'argent, agrafes.
Pb 4(12. — nb’HoriE îi’brnorE,
Costumes usuels. (Heutarî d'AlbanieO
Le llodjii; pay&mne, dame, jnètre chrétien, dame innsulmantn l'oilette de ville, d'inté¬
rieur, Berger, paysans.
Slcives dn Sud;arts populaires, sources p^in^iti^'es; mœurs des habitants, 1 existence en com¬
mun ; travaux des femmes, les vêtements tapissés, orneinentation slavoiiiic, InïKleries, appli¬
cations, Porfèvi*erie-joaillerie (voir pi. 4dJ).
Le bar/flitj serviettes, casque, le fépèUk^ chaînettes., sequins, jihiques métalliques, pen¬
dants dVrreîlles, colliers; chemise beiü'Ufîdjtikf corstige collant,ceinture,
iiioiichoir, serviette, boucle.s, agrafes, hhapm.^sî: manteaux, Voîfstromfbdj Verîkm\ le âptbbê.
le taldicr; e/mlirrir; bas, paJmidji mc à oiisrage, brki.
Fez, puslnd, surit, le mififau, le dofafWi, le idukb ; chaussures, pabmtdj, ntesf, k/tari/h
phftvnf; véltMuents de jH'au.
IjGS dudtft (flûtes) dn Ircrger.
PL hUÎ. — OUIEXT.
Parures de caractère asiatique eu usage datis le l^irkestiiu, rïxgypte et la Bnlgnne*
Frontal, le kpeNïr, boucles irorcillcs, colliei's, h gimthinh'k. Vorf/e^ YechI, le iock, îjiispen-
siens tle colliers, étuis ;i lufctbs ou amulettes^ bracelets, bagues, dibkh^ kkifims, anneaujc de
jambes.
Coiffure féminine, bonnet-casque*
PI, 404. — TrRQUîK ï)’El’iïope,
IjCS Arîiaouf ; classes riches, paiiv rcs ; le Iiodjft^ le h{{h{üfi~h(ti'kîy paysan, bourgeois, daïnc
inuEnlniane^ vilayets de Yania, de Stdanik (Kpire ou Basse Aibauie, Tliessalie, Macédoine).
Fez, pusind, le faH% le kavezé; gilets, (IJaMfttkn-ijekk ; veste, ieheplren; ceinture, stlahh/r;
lepardessus, le akhaka kébéci^ les caikhoim, k potour; guétreSj (Jtzlit, les klmri/:j
les lapkkin^ les f/oumJounL
Ijeîiiarî féioiniii, juj>e à Ia franla, 7mnlan djubU, son ornementation ■ f/ansé, sonfache, poùd
de couchure^ fmUion,
JjC yachmalr.
PI. 165 . -- Ttalik; XIX* siiKOOR, première partie.
Costumes populaires (voir pb 460 à 408).
Traustévenues, femmes de Rome, de ^Illan, de la Vénétie, du royaimie de Xaples : rhu-
iiiUrdes de ^fola, de Fondi,
PL 400. — Itaïje: XTX^ siècle, première partie.
Les Transté vérins, de lîome.
Sgherrî rômamschi^ capo popoJi
Chapeaux, bonnets, cheveux en chignon, i\!sille, cravate, gilet à !a 7mpQlfkni}€, canna-
gnolc, ceinture, hi fanna^ baut*de-cliausses, geiioiiiîléres, caleçons, rosettes, soiiîiei’s, Ijoucles.
Coillvires féminines.
il iyiüo Pidacm, le héros builesque.
PI, 407. — Italie: XTX* j^tècee.
Province de Renne. — Les eoniadhii^ les cQfhre ou montagnardes; province d'Aticône, Im-
hitant de Loreto, le hm^nilino.
Coiffures, pièces d'étolfe, voile, bandeau, planchette, chemise, hras.< 5 ards, fichu, cor sages,
les devaiilierSj le corps^ veste, jupe, tablier.
Chaînes, colliers, épingles de cheveux, boucles d'oreilles, les mvireUfi.
Chaussures des montagnards, les rom.
127
1*1 — ÏTAÎJE; XÏX*^" SIÈCLE.
Costumes msLÎiiaas. — l*ajsaiis de la Ten a di Laroro: idffma i.
l*ièces de h toilette féminine, lu eoilTure [date» amattddip; Wdiu^/mcekfê ; tnni([îio, (wamt;
bnussiird.s, marne ; coi'setj romikflo; jnjie, ; la ceinture, scinda ; la rol>e, t^esh; étoffe, la
panmj les tabliers arthUs, le sc en a fis; ornements tissés, brodés, npplicjués; le oliâle, fasre-
iefkme; clianssiires^ scarpns; collier, ra/îJifïf ou mnac; l)oucles cForeilles, rocchines.
Instruments des pîfferari : la flûte, lu musette, le tambour de bas'jue, le triangle*
PL 4iVJ. ~ Pspacxk; fix nu XVI1P siècle.
Scène de la vie élégante et divertissement jjopnlaire.
Le jeu de la cuiller, la course des écliasses, les efarines, les espadas.
PL 470 et 171. — E?u\U}XE. (Xotice commune.)
Tauromacliic. — hGs Jhsfas de hros^ Ihrercs célèbres. La emdriifa conteni]iorainc. Tenue
de comîiat, costume ancien, moderne: types populaires.
Cortège du quadrille : les nJpnaeifes, couleurs des ÿanaderias, la rara de Jusficfi^ lu ckf dn
for a.
Cens à pied, : espada-% kîndef iffos, chahs on capeadores,
\iQ pkadore,
Jtïi monfcriflaf pompons, la tresse de cheveux, cohta, chignon de soie, mona, résille î veste
à épaulettes : gilet, ceîiPure, /7f;V£,-culotte collante, pantalons de cuir, jambards r la
capa,
Ifnniais, selle arabe, étriers de Imis.
Les handeridaSf pahffos^ zetredfos^ rchifeks,
La maleia ou enfpfno.
Bohémien on f/ifano; villageoises; (province de Tolède) ftiajo oi\ aiidalmis, sa veste, rafescra.
PI. 47:?.
Espaoxe,
(^ostumes populaires ; vieille Castille, Léon.
^laîre de village, bourgeoise, paysan, fermière, charra^ femmes en costume de fête {pro¬
vinces de Léon, de Ségovie, de Burgfis, d’Avila, des Asturies).
Chapeaux de paille, la moîifera (v. pl. 47?» à 47iî), madras, épingles, rubans, natte de che¬
veux; ebale, fichu, coi'sage, plastron, taldicr, broderies, jupe, appliques; souliers,
rosettes; colliers, liijoiix filigranés, boucles, anneaux troreilles, joyaux, Jof/as, croix, mé¬
daillés.
128 —
[ouchoir de
pl. à 47C),
vc^te, f/üetf ceinture, coiîteau, QixhttG^i alpar^atas ou es^mrdenas {v,
ri. 47i1* — Espagxe.
Jlaraÿafos, province de Léon. — Oaliciens, leur gourdin^ le tahlier féminin, manko
(w ])l 470). Asturiennes, leur fichu, den^m. — Aragon, le preÿomro, crieiir puhlic.
Le paysan de la vieîl)c Castille ; sa moniira^ coiffure, etc, Los paysans se donnant du don,
entre eux.
PI. 474. — EsPAfiXB.
Catalans, Aragonais {ZarafjfôSftnos).
iïontagnardès, paysannes riches, pagesas^^ jeune fille, la mifcltaelta norh i fermiers,
cnltîvatenrs, betleau de confrérie. Le port de la veste (w pl. 475)*
Bonnet, le garro; pardessus, gamhefo; veste, nunsilk; rapad^ muesim; espadrilles.
Capuchon féminin, bouts de manches, spencer, corpmo.
I.es Catalans ne se considérant pas comme Espagnols.
Ph 475. — Ebpaoxvê.
YieiIle-Castille. Aragon. Murcie. Provinces vasrùngf/das ou basques.
^[oissonnenrs, segadore^^y paysannes, paysans ; enfants, costumes de mariés, tenue de tra¬
vail, Curé de village.
Le sombrero, le béret; ]a fiavajas, cuehnioSf punaks, manteau à colleL pantalon, pièces
de velours.
^foiiclioirs de tête, tresses de clieveux, la mantille.
Pl, 470. — Ekpaone.
Costumes de la Calice. *—T*es (fadegos. La baila de la mffgîmraf le joueur de cornemuse,
gatlero gfdhgo, k nm^ico tamhorîhro; danseura; les cctstaimlas^ le tambour (h basque, pan-
det'û.
Emigration, professions ; costume, gilet, la manfet, les guêtres, pohq//ins, {tbarras, alpar-
gai/ts; parapluie; cheveux en omdes de ehîeîK
Toilette féminine, le deuf/ve, h manko.
Tjcs jours àe jfesia^ h magoslô, La danse du lym^gaUegada.
Pl. double, 477-478. — EspaCtNe.
Lliabitatloii andalouse. “^raison bourgeoise;
lames populaires.
l'extérieur, la chambre, le pah'o, — Cos-
T J es c{fms de pif pif hs ou de InfespedêS;
lüèces intérieures, pîirreliiiîe, solivaq'o, miii’s- l'iilcuve.
le lifc, meubles, le brasero.
}4'ai/Hadôr, paysan, maquignon, charretier, anieroy cultivateur, muletier, pdana (pro
vincesde Tolède, de la Manclie, de Valence, de liingos).
Kl frtf&rnio^ les caleçons de toile, zarai/tfellaH de fienso.
Les mules castilUmes, celles do la ^Tanche.
LL 47!K — Espaone.
Siîon de porceliune, (Iluen-Tïetiro : Palais royal de ^fadrid.) Ij^fiftbilkmrnl ea
PL 480. — Espaoxe.
Costumes populaires. — Province de Valence. Iles Ealéares, Pvtinses ou Elmses, Majorque,
l^Tinonjne, Ivîça. Pâtre, hitolier, villageois, dames, bourgeois,
CoifTure féminine, le rehozilkh
Chevelure des hommes, la tonsure (v. pL 481).
PI. 481* — Espaoxe.
Iles Baléares. — Par/eses (piysaus) majorqnîns, miuorquins, les mahonnais (dix-huitième
et dix-neuvième siècle) ’ berger, garcou de ferme, fermiers, cultivateurs.
(diapeanx, le 7no.nne, mouchoir eu turban, rabat, gilet, puarde-pîis, veste, saijo^ culottes
liouffanteB, cape.
IjC ïY^hosdh e/t aowunff en t^ofanfi cheveux en estajlkile; la collerette, flo/ffféy mantille, le
7nfinfeki éventaii.
PL 48 ’>, ^ PORTrUAL.
Postumes populaires, religieux.
ilontagnards, province du ^linhn; la femme des guerres civiles. Paysans, rifshfOSj pay-
s;\nnes, frirmms; habits de fête, tenue de travail. TiO port des fardeaux, berger, les vêtements
de paille, liouvîer, marchands de liétail, de cochons de lait. Po|mlation maritime, marcliands
de poissons, de jnoules, aveiros, de ci'evcttes; pécheurs, peseadores. Clei’gé régulier, prêtre de
p>aroisse, ordres monastiques, frère de Saîiit-Antoinc, dominicain, canne, Ixhiédictim
.Mouclmir de tête, le lertco ; manteau, capa ; parasol, chripeo de $oI ; souliei's, semelles de bois
(v, pL 48S).
Mantcîiu, houra de anraîidaf les alpffrf/akfs.
Barrette, soutane, hafrm e eapn.
130 —
PI* 48:}. ^ PouTl’i^Ar.
Joïiillerie populaire, — Bijoux d’orj trargeiib ; paysanne pavée tic Vîunna ; le soulier féminin,
l^endants d’oreilles, eolliei'Sî, broches, pendelorpies, médaillons, coeurs, croix, forme rayon-
liante ou asirah.
Costume de la paysanne, le tablier, la sticoche.
Inilustrics i>ortugaîses ; les dentelles, le ^enre houifouj les rerukttos; les tissus i draps ordi¬
naires, serffîiîUuf, ceux dits saraffoca.
l^opulations rustiques ; le sol, la krre bimÀeureusSt culture de la vigne, paturiiges.
PL 481. — France; XIX}' siècle*
Auvergnats. Limaguiens, Veîlaviens* Fodoies. Bourboimichonnes (v* pi. 487), ilouliuoîses,
— Costumes populaires; tenue de travail ; toilette du dimanche.
ChajKîanx, la cape^ capuchon, capeUef Ijonnets, coiffes, haudeanx, cercles de laiton, le mre-
malice; châles, fichus, corsîige, brassards, tablier, la pièce^ la robe relevée, manteau, cai}e; chaînes
d'or, les Saûti-Esjmlj les pendanh.
C!ïai)eaux ronds, à grandes ailes, tricornes, bicornes; hbtfmk (rancien Idkmf); la caf^aque,
surtout; h pouhere, ceinturon la hrape^ guêtres, manteaux, la coiîberlky Varffo peiilouJ";
la molle.
*
Etoffes, le raze^ la hiiuc*
Couteaux, le qoaqou, le iaiUudou, la couklière; bâtons ferrés.
PL 4$5. — France.
Bordelais, dix^nenvième .siècle, première partie. — Costumes féminins, classes populaires.
Les coiffeji.
Grùcfles. Femmes du peuple, la pùrianièrê; marchandes de volailles, de poissons, de pommes
cuites; laitières, de pmie, villageoises; fillettes de Laroque, de Cauderan, de Blaye.
Mouchoir béarnais, madras, bourrelet, le ccq^edari cols, collerettes, fichus, brassières, tabliei;
le /rîpôjîf les poclies, h ckmci% capes, châles; escarpins en eofhame; montres, chaînes en che¬
veux, croix fi la Jeannette^
Les Charlroimms. Bordelais frams-inéfis, les Jlüetiles de Bourdeaux.
PL 486* — France; XLV siècle, première partie.
Landes. Pyrénées occidentales. — Costumes populaires.
Les Landescots ou Lanusquets; accontremeiit d’hiver, d’été; montagnards; population ma¬
ritime; Haute Alaroune (Hantes-Pyrénées, Basses-Pyrénées), làii captdêL
iæa estasses ou frMnqms, ét:}i;isgcs ; capnclioîi, liouppütte, banetto, tlolniar, le mmaifo.
pelisse* c{t^)ot^ manfeau ik ( 7t{frkm(/f/}ie^
r^e poêlon à cmcJffffk^i.
Les easmrotks.
Î'I lf^7. — I^bUNri:: XIX'’ HiKt'LK.
Paysannes mormndelles, du comté de Xice* du Dauphiné; montagnard siivoisien
(v. [)l. PJh), Bourbonnichonne, Xlàconuaiscs* Bressanes ; diapeau de grande parure, la cape.
(Iiapeaiix de paille, h cifpeliina, résille, la sciflfia ; robe de potifan , collerettes, vestes,
brassards, mouchoirs de cou, ficlui, Irairetf^ taldiers, capCj mitaines; souliers, galoches, chaus¬
sons. Pendants d’oreilles, colliers, cliaîiies de cou, ornements en jaseran.
PL 188,
Fuaxc-e.
Alsace. — Coiffures diverses, le IfmtkL XVII^ siècle. — Costumes populaires, XTX*^ siècle;
Jardinière, paysannes ; bonnets simples, à larges rubans ; type moderne.
L’ancienne société alsacienne, classes de la ijopniation : les échevins, amïnekkr, les
municipaux, skffîmeiskrj bourgeois, campagnards; lois somptuaires; les modes françaises.
PL 48Î), — PltAJSTE; XVIH^ ET XIX^' HIÈCIÆ.
»
Ijiltoral de la ^Manche. — Populatiou maritime ; pêcheurs dieppois. Les I^oUetaü, costume
de fête, de travail : paysannes, marchand ambulant.
Coiffes, barl)es, col, fichu, cors^ige, jupe écourtée, brassards, mitaines, escarpins.
Bonnets, toques, aigrette, perruque, boucle d’oreilles, cravate, veste, casaijue, ctüotte,
cotillon, bas à coins, mules.
Les agrès de pêclie.
PL 4ü0. “ FRANCf:: XIX‘ KlÈcUE, première partie.
Normandie. — Costumes féminins. Les bonnets, Roueiinaises, Ifavraîses, Ciiuchoises,
Bayeiisaiues, Caeiinaises, femmes de Pont-rÉvêquej de Yarangevdle.
Bonnet cauchois : le fond, la passe, les barbes, bonnets en pointe ; la mlq^efle^ toile ; le
baîwlet, rubans, le bonnet de coton.
Cheveux en chignon, eu boniTclet, épingles.
1*Q Jt(ste-au~carp3 ou casaijuin, taftliers a bavette.
i
Kquitatiüii féminine, hi planchette.
132 —
PI. 49L — France; XIX'* siècle.
Costumes bretoos. — Département du Finistèi^e, aiToiidissemcnts de Qiiimperlé* de Clul-
teaiilîîi, de LorieoL Toilette de mariée. Jeune fille do Tïlede Butz (v* )sL 4^^2et 486).
PI, 4^2. — France,
Bretagne. — Costumes des départements du Morbihan et du Finistère. Arroudissements de
Pontivj, de Quimper, de ChatcauHn, de Quiniperlé, de Morlaix, Femme de Tile de P»atz,
Pb 403. — France.
Département du Finistère. — Costumes habillés et costumes de travail ; hommes des ari'on-
dissements de Pirest, de Quimper, de Cliateaulîn.
PL 494. — France.
Bretagne, mémo département. — Costumes masculins et fémiTiiiis: mariés de Kerfeuntciin.
Cliai^eau, foc^ gilet, roqmlen mmms, rohdmnou, ceinture, govm, veste, eorqmi^ culottes,
hraffoii’hraz^ houseaux.
Coiffes; la chemise, Mrrki le corsage, Justin^ le tablier de pardon, famfiÿer.
PL 405. — France.
Bretagne, meme département. — Costumes masculins. Les Iioscoi^iks, les «blancs» ou
Giffimlouriens, de Qnîmpcrlé.
Les souliei’s, hotoîi-IêZi\ les galoches, hoiou-tûad^ hkiim, pefî-bas.
PI 406. — Bretagne.
Femmes Sablaiscs; poissonnière, maraîchère, Illienues de Batz ;
les paludiers; mariés de
Le manteau de relevailles, vente!. Costume féminin savoisieu rapproché du breton. Coif¬
fures, les htffondmSi la coi^efrisée ou cahrhle^ les mbeihus; bonnets des enfants, du garçon.
La pièeOf le devanfier, la mante; les bas, vîrokSf ceux à coins dits à fomrheîfei sabots,
patines.
J/G chapeau r trois pir s ; h chemisef h.
— 133 —
PL 497. — France; Al.V siècle
Bretagne. — Broderies; oBjets de parure.
Cocîirdes de [Kderiiinge, cœur^^ croix, af^rafes, lionclcs, ëpiugletteSj Bagnes.
Fibules antiques.
Broderies de rhiqmi, de corquen. de rolnUmunu de; ccînture. {jùmiz^ bordure de
pantoufle.
Le pays des bleus, ijktzeh^ des bruns, ardaaedeâ^ des blancs^ gueïmhurknsi les bonnets bleus
et les l>onnets rouges.
rostume féminin : la jupe de dessus, hros-vheleîK jupe intermédiaire, loHÎmn-grêky jupe de
desso U s, hros-ffmktk n.
PL 408. — Fiîakck.
Bretagne. — !M<dulier rustique; Varche.
Le caractère celtique de ses sculptiiies.
PL double ^dlO-500. — Bretaone.
La ni ai son de dmiéumnce
La maison bretonne, // ou
intérieur. — Costumes populaires (FînistêrCj Loire^Inférieure).
Kear; fasâtè de hti; la porte pleine, hit; la demi-porte, conftê hui
la place^ la cheminée, le foyer, les chipots^ le (fUaumé,
^lobilîcr malvmmzein) : les lits, le gwlîé chz^ les gwdéou les coffros, arch'iou^
vaisselier, les armoires : l'arme!, la presse; la table k manger, iaoî^ le porte-cuillers,
clique! J la chaise, Jeador^ escabeaux a trois quiUcs.
Les moqms^ les driqim^ les fouques.
TiU plandie à pain, râfê.
Apprêts dbiue noce. La toilette de la mariée; coufectiou <les crêpes: paludier de Batz ; le
joueur de biniou, kerniad.
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ï A R L E
DES
PERSONNALITÉS MISTORIQUES.
AUiirrr.i.ON (Judiesae eV)^ XVri^ siècle; pl. 3:}5.
AjaXj roî de Sala.mÎDe; pL 25*'2i5.
Amie (duc d')^ I50rt, -|- lâSiï; pl, *278.
AM:xt;ojr ( François ^ duc d’Anjoit, do Betri et cV),
frère de François II, fie Cliarles IX et de Henri III.
1551, -}- 1581 î pl* 25-1 et 2lS8.
ALEXAsnuK III dit le Cïvintf, roi de Macédoine, 35C
:iv. J.-C., + 328; pL 25-20.
ALPHOxeE X dît le rçi de Castille et de Léon,
1220, + 1284; pL 200.
Anne, dauphine d'Auvergne, femine de Louie II, duc
de Bourbon, -|- lllG; pl. 207.
Anne de Bpdes, demoisolte de Guébriaut, XVII''
aiL'de I f)l, 340.
ASûxymes (Fortraitô) : XY'^ siècle, pb 223; XVI^
siècle, pl. 2 :ü, 277 et 278; XVII" et XVIII" siècles,
pl, SIkI î siècle, pl. 371, 377 et 4UI,
Auuemj-Zeeî, empereur mogol, 1G18, + 1706 ; pl. 115.
Azem-Shaiï, empereur mogoide 170Ü A 1707; pl. Il i.
B A beu, fondateur de la dynastie indienne de Timour,
-[- en 1530; pL 119,
Batoiiv (Êiienue), roi de Pologne de 1570 à 158G;
pl, 4.52.
Bb vTiii x de But itïJOX, épouse de Jean de Lusembourg,
roi de Bohème, tué à Crécy en 1346 ; pL 211.
Be.^umost (Raoul de), fondateur de FEstival eu 1210 ;
pl. 208,
BeiI(> (Jean-Jacob de), magistrat civil de llatisbonuej
X VII* siècle ; pl. 361.
lioï.EBr.AS V dit le ChHJUte, roi de Pologne, 1220, -j- 1279 ;
pl, 4411.
BüLEVX (Anne de), relue d’Angleterre, 1500, 153G ;
pL 265.
Bonne de Boi iiiio.v, raarice en 135.5 à Amédcc VI,
comte de Savoie; ph 212,
BomnoN (Louis pf, duc de), comte de Clertnont, pre- I
mier pctit-dls de Louis IXt 1279, -|- 1341 ; p]„ 210.
BoiTiiioN (Jean P'', quatrième duc de), I i'!3 ;
pi. 210,
Boruiiox (Charles 1% cinquième duc de), grand
chanibi'îer de France, 1401, -\- 1456 ; ph 211, 212
et 221.
Biu-hbOx (Jean, bâtard de), première moitié du
XIY’* siècle; pl. 212.
Eornuox (duchesse de), XVII'^ siècle; pl. 354.
BüUiiiîON-Co.NTt (Louise-Adélaïde de), XVir siècle ;
pl. 3G3.
BueuHKa (le Cosaque), XVIFsiècle, pl 438.
CARvrnLE (Pieri-e de), XIA'"*’ siècle ;pl 2ÛB.
CAT\b, chef gaulois; pl. 56-57,
Catherine de Bürrbon, (IGOÙ) ; pl 277.
CATnp:Ri.N'is de Mêdicus, reine de France, 1619, +
1533; pl 266.
Chalei" (Agnès de), épouse de Jean, bâtard de Bour¬
bon, première moitié du XIV" Eièclc ; pl. 212.
ChaREIü II dit le Mauvais^ roi de Xavarre, 1332, -j-
pl 212, 1387 ; pl. 216.
CïiARLEïi V, roi de France dit le 1337, -|- 1380;
216 et (UariiaU d'armes) 217.
CiiAiiLErf VII, roi de France 1403, + 14G1; pl 211.
Ch aRLE!^ IX, roi de France, 1560, 1574; pl 268.
CiiAUJ.KH-ÉïJdL aRü Stl'ART, dit le PréîendiDit^ 1720,
+ 1788 ; pl. 426.
Charlotte, liudgravlne de Hesse-Cafsel, reine de
Dauemaik, XVII’' siècle; pL 352.
Char lotte-ElIsa ret h, dite jtrincessû^mîaiiîiet seconde
femme du due d'Orléans, frère de Louis Xl^"; 1652
-hl722 ;pL 351.
Chartre^î (ElisabelU-CharloLte d’Orléans, dite Made-
nioiaclle de), soeur du régent ; 1676, -J- 1744 ; pl 354
et 3.56.
Ch AUTRES (duchesse de), X VIF siècle ; pl. 354.
CjikîI (cardinalj, mvm du pripe Alexandra TU,
XVII' siècle J pl. 3H.a4è.
Chii.oebert P' J roi dea Fraticw, 4î»5, H- 558 j pL 1^0.
Criir.rÉïiic P’’, roi des Fiance, 53!), 584 ; pL Î8[>.
Clotaire p% roi des FtaticSj -\- 5r>l ; pl. 181ï.
Clotildk, épouse de Clovk I", 475, -|- 545 ; pl, 180.
Clovis P', roL des Francs, 465, + 511, pl, 189,
Cologne (due de), peraonn âge de l'époque de Charles T;
pl. ‘J 10.
Conrad, duc de Mazovie, fils de Kasimir lî, roi de
Pologne, -|- 1^37 | pL 440*
Co,N ST A N T i N Po UPfl Y R OG ÈB èt e, empereur d'Orient de
780 A 797 ; pl. I 83,
CoNTi (François-Louis de Bourbon,prince de), Ififi I,
1709; pi. 352.
CosTi (princesse douairière de), XVII" siècle; pL 354’
CONTi (.Marlc’Théréae de Bourbon, princesse de); pl.
355,
CovRTKBAY (Raoul de),8eigneur d'Illiereet de XeuvY^
H- 1271 î pl. 209,
CiifivüL (François de), maréchal de France, IG24, -j-
1687; pl. 352,
CmLi.ON, colonel-général dePinfanterie, 1541,-j- 1C15;
pl* 301*
Cvatob-Shaway (fe/fi«Cfîîa no/r), chef jowas ; Amé¬
rique; pî. 81.
DjANE DE Poitiers, 1499, + 15GG ; pL 264,
IlJôjdÈDE, roi d’ÈûUe pl. 25*20,
I).iKHASiJEii-SiiAii, empereur mogol, prodamé en 1712
et décapité peu de mois après ; pl. 113,
D.iEaANGt'liï, empereur mogol de 1605 A 1027; pl.
113.
Djiiiab-Khab, chef riidjpoute, XVII' siècle; pl MO.
Dreux (Pierre de), Eurnoramé d/uwderc, duc de Breta¬
gne, + en 1259 ; pl. 210.
Dl'MLEZ (Jérémias), lü07 ;pl 30 L
F U MOS T (^comtesse d'), née pnneesse d’Aremberg,
XVir siècle; pl. 35î et 365.
Éi.Éo.voRB DE Castille, reine de France, deuxième
femme de François F', 1498,+ 1558; pl, 264.
Élisabeth d'Angletbrre, 1553, + 1003; pl 277*
ÉLISABETH d'Actriche, l'élue de France, épou«e de
Charles IX, 155Î, + 1592 ; pl. 268.
l']i*iSABF,TH UE Valois, reine d'Fspagne, 151.5-1568;
pl. 265.
Frnest-Auguste, aei:?!ième duc de Brunswich-Luue-
bourg, premier électeur et duc de Hanovre ; 1629, -j-
1690 ; pL 360*
Kste (Lionel d+ seigneur de Femre de 1411 à 1450 ;
pl. 226,
Este (Marie Beatrix), duchesse de Classa, mariée en
en 1771 à Parchiduc Ferdinand ; pl. 369.
FTAMPEs(AnnedePispeleu, duchessed’), 1508, + 1576;
pL 266.
Fjüiïes, comte de Cbartre!?, XIIF siècle; pl. 207.
Eodoxie Fabia, épouse d+féraclius, vers 612;
pl 183.
Et'HiA*\rE, femme du comte de Nevers, XT'' siècle;
pL 208.
Faièouksiar ou Firouksiiîj empereur mogol de 1713
A 1720;pl 114,
Fau^tink, épouse dLAutouin, 104 ap. .L-C., + 141 i
pL 41,
Faitstinb, épouse de ilarc-Aurèle, env, J2Sapr. J.-G.
+ 17.“î ; pl 4 l.
FERDiXAsu-ALnKiîT, (luG de Brunswkk-BeTGm en
1666; 1636,+ 16S7; pl, 336,
FERBONNifeitE (la belle), vers 1540; pl 264.
Florigny (Jehan, seigneur de), 1415, époque de
Charles Y; pL 217,
François F% duc de Bretagne, 14H, + 1450;
pl 2U>et22i.
FuÉnÉDONUE, reine des Franc*. 545, -|- 596 ; pl. 169.
FuÉDfiîUC (prince), margrave de Bade et d’Frochl>erg,
1694, + 1659; pî, 36L
FiiÉnÉiiic II1, électeur de Brandebourg, roi de Fnisse
on 1791 BOUS le nom de Frédéric F^, 1657,-|- 1713;
pl. 360.
Frédéric II dit le CraRtl, roi de Prusse, 1742,+ 1786;
pl. 387,
FRÉDÉiuguE’-SoUHfB-WiLHEï.MlNE. princesse d'O-
range et de Nassau, née princesse de Prusse, seconde
moitié du XYIII' siècle ; pL 36Û.
Gametjîî (Jacques), peintre français, 1739, + 1803,
et son fils, pl, 4ÜL
Geneviève (Sainte), 422, + 512 ; pl. 189.
GeunlKRüb (Lucas), professeur de théologie et d'hip-
toiiTB ecclésiastique A rUmverBité de BEile, XVIF
siècle ; pl. S61*
Grsvhes (marquis de), eu chevalier du SainLEsprit
(1633); pl 328.
GodüuNüV (Boris), trar de la Moscovie en 1598,+ en
1G05 ; pl. 439.
Gouffirr (Claude), grand écuyer de France, + 1570,
pl. 254*
GRANV^AL(Eaeotde),comédien français, 1710, 1784;
pl 3 i 0,
Geaphei':? (Abraham), Anu/w, messager de la coriio-
ration de Saint-Luc A Anvers (1620) ; pl. 323.
Guébriakt (maréclmle de), + 1659: pl 340.
Güehc lin Du)^ IHCO, -J- 13S0; pl. 503 et
(harcai.^ degueiTe) ïl7,
GriLi-Eiii:n{ni3Îh'C Joljan)^ iloctçurj XYI° a'" ; |>L2€ii.
If AitE(tON‘J>E| reine des Fraîici^j épouse de Clotaire K",
VI* siècle ; pi. 13tU
ÎTedvige [>"Ay.rOü, reine de Pologne (liiTl, -j- 13D0) ;
pl. 460,
Hélène, mère de Constantin, 2tT ap. iT.-C.j 327 ;
pl. 41.
HÉLOÏSE, -|- en IHHj pU 207*
Henui IV dit le ./tisfp, duc de Silésie, de îa dynastie
des Pinsts, 1200 ; pL 449»
Hexiu nij roi de France, îââ'I, 15B9 : pl. 273,
Kknîie IV, roi de France, 1553, 1610; pl. 311.
Héraclius, empereur d"0rient, 575, 4" *^41 ; pl 183,
Houmaïopn ou OiLVAYOUM, empcreiiriiiogol^ 1508, 4-
155C ; pl. 114*
Hugues, vidame de Châlons, -j~ 1279 ; pl, 207.
IsAiîEAU DE Bavière, reine tle France, épouse de
Charles VI, 1371, 4” 1435 jp!. 208,
Isabelle (Claîrc'E u génie, infants), fille de Philippell,
épouse de rarehiduc Albert d^Autriche, 15C6,4^ ^ î
pl. 276.
Isabelle Stuart, deuxième femme de François
duc de Bretagne; pl. 211.
Ivan IV dit le Tcï'jf'ï5f^,tzar de Moscovie, 1529, -|- 1.>.S4;
pl. 43î),
JAcgiTKLîNE DE B A Gr.vnge, époïlse de Jean Mon-
taign, XIY'' siècle ; [d. 208.
Jacellox (TVladislas), roi de Pologne, 1554 , 4* 1434 ;
pl. 450.
Jean I", comte de Fjretagne, fila de Pierre de Dreux
dit Jîaacferc, 1217, 4- 1286 : pl. 208.
.Tkan II dit le roi de France, de 1350 ü 1501;
pL 210 et 216»
Jean II, duc de Bretagne, 1239, -\- 1305 ; pl. 2ô;B
JkaK II î, duc de Bourgogne, 4" P341 ; pl. 203.
Jea.nne d'AlrîîET, reine de Navarre, 1528, 4- 1572,
pK 268.
Jeanne le BocninON. reine de France, épouse de
Charles V, XIV'’ siècle; pl. 211,
Jeanne de Flandre, épouse de Jean de Montfort,
duc de Bretagne, 1341 ; pB 207.
JiisEun Ilj empereur d’Alleniagnc, 1711, + 1790;
pl, 387»
Julie, fille d'Auguste, 39 av. J„-C,* + M delcrc chré¬
tienne ; pl. 4 B
Julie, fille de Titus, env» 80 apr. J.-C»; pl. 4B
Justinien II, dit fikhinùfmcie y empereur d’Orient;
C69, + 711; pl 183*
Kasimir III, dit le Orandy roi de Pologne^ 1309, 4
1370; pl J50*
Lasuv (comte de), général autrichien. 1725, + 1801 ;
pl 387.
Lekèvre, entrefre.ieur do basse lisse attaché aii 3 C
Cobelins, XVÎI® siècle ; pl, 302.
I Le Noùk (Jfonsieiir)^ XVIP siècle; pl 352.
Léon IV le Khai;(ire^ empcietir d* O rient, 750, -|- 780;
pl Î83.
Le^kkk le roi de Pologne de 1289 (i 1306 ;
pL 149.
L’Hospitaï. {Jilichel de), chancelier de France, 1504,
+ 1573 ; pt* 268 *
Bimeuil (mademoiselle de), fille d'iionneur de Cathe¬
rine de Mèdicis, XVD siècle; pJ. 267.
Lionoiîa de Altoviti, femme poète, 1550, + 160(1»
pl. 22 G»
Liviiî, épouse d'Auguste et mère do Tibère, 56 ay.
J .-G., 4“ ~9 de Père chrétÏGiiue; pB 41.
Bi^ rüS Dursus, tribun du jienple en 122 av. ,T.-C. ;
pl. 40,
Lùütm (^mesdemoisenes)^ XVII'’ siècle ;; pl, 354,
Longueville (Henri H»* d'Orléans duc de) 1568, 4 -
1.595; pl. 2G8.
LnïfGWT (Jacqueline de), épouse de Louis II de
Bourbon, duc de Hoiitpensier; 4" i pl- 208*
Loucaiît (Jakennes), chevalier du roi, XIsiècle;
pL 207*
Louis de France, premier fils de Bonis ÏX , 124,1, +
! 1260; pB 209.
■
Loris de France, comte tlEvreux, fils puinê de Phi¬
lippe TU le Hardi; 1319; pB 2Ü7 et 209 *
LoüJîî D»' de France, roi de Xaples, 1339, 4 - 1381 ;
]d, 21 B
Lüul^ II dLiN.TOU, fib tk Louis P’’, lOi de Xaples.
1377, + 1417; pl. 212.
Louis XÎIL toi de France, en chevalier du Saint-Es¬
prit; 1601, + 1043; pL S 2 B.
Louis XIV, roi de France* 1638* + 1715; pL 349 , 3U-
345, 319 et 3.jl.
Louis de Franck, dauphin, fils de Bonis XIV, 1 ('61, 4*
1711 ; pl. 35B
Louis XV, roi de Fiunce, 1710* 4- U74 ; pl. 383.
LoULs de France, dauphin, fils de Louis XY et père
de Louis XVI, de Louis XVIII et de Charles X;
1729, + 1765; pl 384,
L£.>uise de Lorraine-Vacdejiost, reine de France,
épouse d’Henri III ; 15.53,+ 1601 ; pl. 267.
Ma ILLY (comtesse de), dame d'atout de la princesse de
Savoie, duchesse de Bourgogne ; X5' 1siècle.pl* 355
MAl^"E (Louis-Auguste de Bourbon, duc du); prince
légitimé de France, fils de Louis XIV et de Miidume
de Montespauj liiTO,17^i6 ; pl. 351.
Maintrnon (Françoise d'Aubignè, marquise de)|
11)35, 4” I7U1 1 pl. 354 et 355.
M.vauKL (saîut)^ évêque de Pans, 405 j pl. 18tL
.\[ARt:üEPJTE de Beaüjeû, épouse de Jacques de
Savoie, prince d’Achaïe et de 51 orée, XIV'^ siècle;
pl. 2Û7.
^rARGUERiTE dé BocjnaON, épousc d'Atuaud Ama-
nieu, aire d*Albrct, grand chambellan do France,
époque de Charles V ; pL 212,
M.argukrite de FHAiîCE, troisième fille de Fran¬
çois I**", duchesse de Savoie, 1523, 4“ 1074| pL2B4.
5rAR(UJERrTE de FtLixcE, reine de Xavarre, première
femme d'Henri IV, 1553, + JGl5j pL 311.
Marguerite de Lorraixe-VaüdkmOvM, mariée au
duc de .Toyeuae, en l'iBlj pl, 2Ë7.
Marie, impératrice d*Orieiitj épouse de Nicéphorc
Botaniste, XL* siècle] pL 183.
Marie d'ANcLETEiiRE, reine de France, épouse de
Louis Xir, H97, -j- 1534] pl. 2d5.
Marie d'Ayjou, reine de France, épouse de
Cliatles \n, 1404, -f 14133; pl. 21L
Marie de Ber ri, femme de Jean l'b duc de Boutbon,
époque de Chtirles VII | pl, 211.
Marie de MfMïlcifî, reine de France, seconde femme
d’Henri IV', 1573, -i- 1(342; pl. 277 et 311.
5lAh[E Stuart, reine d'ÉcossCj 1542, -p 1587] pL 267.
Mauie-Lultise, impératrice dLUlcmagae, fille do
Hharles IIL roi d’Espagne, mariée en 1755 A Léo¬
pold, alors grand duc de Toscane; pK 3GD.
MAR[E‘TB^:aÈSE d’AuTiucRE, reine de France, épouse
do Louis XIV, 1538,+ 1683; pl. 340.
Marie Toucret, 1549, + 1638; pL 2C6.
Mauri.x {Antoine), lîtliograplie français, XIX* siècle,
pl. 401.
Maximiriks I*", empei'euF d'Allemagne, 1459, +
1.519] ph 223.
Maximiliex, archiduc dbiutriche, siècle;
pl. 387.
Moxtaigü (Jean de), surintcnd.ant des finances
env* 1350, + 1409; pl. 212.
Mo NT AIGU (Charles II de), fils de Jean de ifon-
taigu, XIV*-XV* siècle; pl. 212.
MontaiGü (Yolaudc de), seconde femme d’Erard de
Traînel, XII* siècle; pl. 207,
Montkûht (comtesse de), XVII* siècle ; pL 355.
ilOURAD-BACKCHE, fils de Sbah-DjeUan et frère
d^Aureng^Zeb, XVII® Htècle; pl. 112.
MuiiLDORii' (André), professeur de théologie et d'bis
tolre ecclésiastique è liatisl^onne (îdlC); pL 361.
NADA^iTï (comte}, général hongrois, XV'IIL* siècle;
pl. 387.
Xauuawad (fMjjiÿ/rtiV), chef peau-ronge; pL 8L
; XARisciiKr.SE (boïar Léou), 1647 ; pl. 431b
XÉUüS, empereur romain, 37, -j- dS de Tère chrétienne ;
; pl, 40.
XicÊpnoRE Bûtgsiate, empereur iVOrient de 1078 à
lOSi ] pl. 181 et 183.
Xowré-Ari, épouse de llnmsès II, roi égyptien de
la XIX* dynastie; pl. 4.
Oaiua, femme de Conrad, duc de Ma?,ovie, XIII* siè¬
cle; pL 449.
Orléans (Charles, duc d'), 1391, 4- 1465; pL 217.
Orléans (Philippe duc d ), frère de Loui^t XIV
UllÜ, 4- 1701; pl. 351.
Orsini (princç.îS^c), XVI" siècle, pl. 278.
P
Palatine (priucesse). — I tir Charlotte-Elisabeth*
PalÉOLugüe (Androniû II), empereur de Constan¬
tinople, 1258, + 1332 ; pL 182.
PaLéologue (Manncl), empereur de 1391 à 1425;
pl. 182.
Paléoldûüe (.Icàu), premier fils de Manuel Paîéolo-
gue, associé au trône en 1419 ; pl. 182.
PÉitîCLÈs, homme d'Élat athénien, 499, -f 429 av.
L-C.] pi. 25-26.
Pkl’TI.nger (Conrad)^ célèbre humaniste allemand,
1465, -h 1547; pl. 361.
PmURRE III dit Je 7/frrd'q roi de France, 1245, -p
1285; pL 208.
Philippe IY dit le roi de France, 1268, 4’ 1-*l 1 î
pi. 208.
Philippe VI de Valois, roi de France, 1293,-j- 1350;
pl. 21Î.
Philippe d’Artois, 4- 1298; pl. 207*
Pli Ilippe de France, roi de Navarre, petit-fils de
Philippe le Hardi, 13U1, 4" 1^43 ■ pL 209.
PtliLtiTiyUE Bariïane, empereur de Constantinople,
de 711 à 713; pl. 183.
Pierre P' dit le fi'rfituf/, empereur de Eiissîe, 1672, -f
1725; pl. 439.
Plotjne, épouse de Trajan, 4" l^^î pi- ^L
Prezmyèlas, duc d'Opolé, 1295 ; pl. 440.
f
Ptolé^iée Puiladelphe, roi d'Egypte, 369, 4’ “1"
av, J.-C. ; pu 4.
I Kami N (Frédéric de), général prussien, XVIII* siè¬
cle ; pl. 387.
Ramsès II Mêiamoun (Sêsostrîs), roi égyptien de
I la XIX* dynastie; pl. 1 et 2.
KAMsi^ ni, roi égyptien tlü la XIX'» dynastie;
pL 2^
IlKSÉE de TfEfX-ClIATEAUA’EUP (l55û)î pl-
ReI’SINH. (prince rierre), commun ceraeiit du
XVIIn eièdo; p!. m.
Richelieu (marquise de), XYII^giéde; pL
SaisT'Balmost (comtesse de), XVIT pî, £27,
SaT>'T-Ch AMAND (Aïitûîue de), seignoiu- de Mùry-
Bur-Oise, commeEiccnietit du XYll* siècle j pL
311.
Sanxîosko (Romnn), maréchal de cnmp de Litluia-
nie, lîu du seméme siècle; pl. ■J-V2,
Saiiaii lÏAriTiiANN (la Véuus hottentotc), première
XKirtle du XIX^ siècle; pl. 73.
Sav<>.xarulk, réfomateur italien, 1155, IRiSî
Xd. 511-24X
Savoie (princesse de), mariée au duc de Eonrgogtie
en ItülV ; pl. 35Î.
Sesostris. — IVir Ramsès*
Shah Ai.km, empereur mogol de 1707 A iTTij
pK Hl.
Shah Soliman, chef radjpoutc du X\1I' Êièdcj
pL 110.
Sophie Ciiahlotte de Hanovre, reine de Prusse,
épouse de Frétléric X*"', XVII^ XVJII*' siècle; pl. 360,
SténoL 1NU3 (îîadiarîc), conseiller du duc de Wur-
teuaLerg; IdOi, 1671; pL 361*
Stettex (Hieronymus-Petrus), magistrat civil de la
ville libre de Francfort, 16011; pb 361*
StracCh (Œgidins), docteur en théologie, 1685;
pl. 361*
Si’LiiiAX Moasfdix, chef radjpoiite du XYIF siè¬
cle; pl* llO.
Su TT î et I,s, üreantoiion OU clief des Cent-tftes de? Vé-
liocasses; Oaulois; pl. iï6-57,
SYR<>Tn (tlmerîvn), magistrat civil de Ratisbonne,
1664 ; pb 36b
TvitAKEE, chef peau-rouge; pl. 81.
TiifitOKmE PoiiriiYaot:f:xÈTE, prince de Sparte, se¬
cond fils de Manuel Paléologue, empereur d'Orient;
pb 182,
Thill (Jean-fhristophe), sénateur de Ratisboiine ;
1650, + 1728; pb 361.
ThoO (Anne de), épouse d^HiirauIt de Cheverny*
chancelier de France ; époque de Henri II 1; pb 26D,
Tokee (rEÿliinticr); chef peau-roiige ; pb 8L
TyCLOl’.=îE (Louis de Bourbon, comte de), fils Ugi-
timé de Louis XIV et de M"*'' de Montespan.
1678, H’ 1737; pb 351.
Troki (Kie3^stut, prmee de), fila de Ghédymine,
grand-duc de Lithuanie, XIV** eiècie, pb 451,
llLitigiL'E-Éi.lioxoïiE, reine de Suède, sœur de Chnr-
les XII, 1688, + 1741 ; pl. 369*
* È
ULV5WE, roi d'Ithaque, hérop grec; pb 25-26,
ÜRâl.NS (dame de la famille des), fille de Jean-Juvé-
nal et de Michelle de Yitry, époque de Charles Vf;
pb 203.
Valentixe t>iv. femme de Louis, duc d'Or¬
léans et frère de Charles YI, 1370, -|- 1408,pb 203.
ViTTORixo de FeltHK, instituteur italien, lli7D, -f’
1117: pb 220.
W.VKEXEOKE (fc çliêt,'ûl mef'vciUeuxy^ chef dos Oltocs
et des Missoiiriens ; pb 81,
WeiSs (Léonard), conseiller de Ferdinand III et
magistrat dbYugsbourg, XVII" siècle; pl. 361.
WiDEntîtiLTit:?; (Conrad), XYIl" BÎèclc; pl. 361.
Wi LD 16:5 (Jean-Clirîâtophe), magistrat de Ratis-
bonue ; 1670, 1143; pi. 361.
WtLïïELMiXE-AiliiLiE d’Hauovre, mariée en IGîîD à.
Josei>h^Léopold, roi des llemams ; pl. 360*
■\VtxKA (Ziemovit), imnce polonais, XIV siècle;
pb 151*
WlaUJ^^LAS IV le Bret, roi de Pologne, 1260, -|- 1333 ;
pl- 449.
WLAiHïiLàfi, duc d’OpoIè, palatin de Hongrie; 1378;
pl. 150.
Xaixtiîaïi.lis (chevalier portant ks iirmes do),
commenceuient du XV'* siècle; pb 217*
Z IEG LE II (Gaspard), eoiiieiUer de rélectcnr de Saxe.
XVir siècle J pl. 361.
Zoleie^vski (Sbmislas), grand hit mon (connétahle)
de Pologne, 1547,-1- pb 452*
4 -
«t
«
3 ^
lilHLIOGRAPllIK DU COSTUME.
TAIÎl.E lîll’.LIOGRAPlIIOUE
DES RECUEILS SUÉCIAUXA ÉTENDUE A UN l'EllTAlX NOMBUE iAîUVIIAGES D’aCES IHVKRS,
UESgUET-S, l»Ai; l.EUri xatujîe, sont utiles a l'étude du costume uühtk.
Xola i/i/ie. — dont les éléments sont cinpiuiités k la Jjihlmprfjt/ik mêf/io-
iiique et raimmée eks tmitfx-arh, par Ernest Viiiet, est plus développée que ne le gont,
irordinaire, les bibUograpliies parti cul a risées* — T/émineut conserva te ur-foii dateur de la
4
bibliothèque de T Ecole nationale des beaux-arts avait des vues i^liis hautes que celle du sim¬
ple collecteur d'étiquettes, formant nue bibliograplue étroitement confinée. Désireux de
b
se rendre, avant tout^ utile aux artistes^ Viiiefc, dans la pleine maturité de rc.xjxuTeiice, s'é¬
tait proposé de leur mettre en mains un guide sûr, et nul plus que lui idéfcait mpahle dV
réussir* Cette entrepriËC, dont la lecture de sou programme suffit à faire apprécier lus vastes
proportions, a inalhe lire use ment été inteirompue par sa mort ; niais nous avons la fortune que,
dans les deux seuls fascicules parus, ce qui concerne le cosLUinc se trouve traité avec ram-
pleur tiue comportait le cadre*
Toutefois nous avons du retrancher de cet intéressant travail les appréciations person¬
nelles de l'auteur sur la valeur des publications citées, anciennes ou modernes; ces annota¬
tions sont assiirénieni d'un grand intérêt, mais, s'il nous était facile d’avoir a répéter les
eloges, d’autant plus précieux qu’ils sont rares de la part de Vinet, il ne pouvait eu être de
uiénie dans le cas contraire; et, sous le couvert malsain de T irresponsabilité, nous ne pou¬
vions devenir les détracteurs duiii grand nombre de nos devanciers*
Vinet, dont lu bien veillante estime pour nos travaux nous a valu plus d’un témoignage pu¬
blic, plus d’un encouragement préc ieux, alors que nous n'avions encore fait paraître que les
trois premières livraisons du f /timhnqHe^ comprendrait assurément rabsteiition qui
noue est comuiandée au sujet de ses appréciations, si nettement exprimées, et que, d’ailleurs,
on est à même de trouver dans les deux foscieiiles de la Bfhiioÿmp/iie méthodifjn^e ei raàamiêe
lien beaiiæ-arfs (1871, 1877* Finnin-Didot, éditeur).
OUVRAGES D’UN CARACTÈRE PLUS OU MOINS GÉNÉRAL
liKKTüs (Richard), éditeur.
Recueil de la diversité des habits qui sont de présent
GU usaige tant ea paya d^Europe, Asie, Afrique et
illes sauvaiges, k tout fait après le naturel. — Fa*
ris, 1562, iiet* 12E gniVi sur bok^ —
1564 ou 1567, petit fig.
Bit l’VN (Abr, de) ;
Omniumpfrnc ffcntium imuffhics^ — Cologne, 1577, in¬
fol., 50 pL doubles, — Nouv. édît. î Anvers, 1581,
in-fol., 500 jfig. J Cologne, I584rj 2 i>art. in-fol,,
74 pi. dont 16 doubles J Anvers, 1610, 2 part, in*
fûb, 84 pl.
Buuyn (Abr. de) :
Jjivermrum itrtnatura e/jne^tris, hH jhre A'm-
ropoej, Ashe^<itqm Afrkae ^qukandi rutiû pmprtft
expfessa — Cologne, 1577, îU'i®, 52 pl, —
Nouv. édit. J Amsterdam, 1617, în-1*, 70 grav.
Vecellio (Cesare) :
ffabiti itntîçîii et înt^céeruf eft itttio il mundoi Yeiiisê,
1500, iû-8", avec 120 pl,— Nouv. édit. : Yenîae,
1598, în*8^, avec 507 6g, j Aknise, 1G64, pet. in-8'*,
415 fig.î Paris,Didot, 1859 03, 2 voL in-S®, 513fig.
Dl’flosle jecne î
Recueil d’estampes représentant les giodes, les rangs
et les dignités, suivant le costume de toutes les
nations existantes, etc, — Paris, 1779-80, gr. in¬
fol,, 264 pL
Mahêch.m, (Sylvain) :
Costumes civils actuels de tous les peuples connus,
dessinés d’après nature, gravés et coloriés, accom¬
pagnés dkne notice higtoric|ue.™ Paris, 1788,4 vol,
pictit m-4'^, 305 pl. d'après Grasset de Saint-San*
veur, Gesrais, etc.
LKVAcnER UE Ckaunoih :
Recherches sur les costumes et sur les théâ^tres de
toutes les nations tant anciennes que modernes.
Ouvrage utile aux peintres, etc, — Paris, 17Ü0,
2 vol. in-4®, 56 pl. au kvk, dess. par Chéry et grav.
par Alix ; — 2'' éd., iùid.y 1802,2 vol. îrt* F, 6g*
.Sl'ALAitT (Rob. von) :
re/'iEweÆ üher das Koslfîtit det' l'orsüffîichsten T o/i('eif*,ctC.
“ Vîemie, 1796-1811, 8 vob gr, iu’8<*, et atlas in¬
fol. de 500 pL — Trad. eu fninç, (par L. de Jau-
bert et M* Breton) : Tableau historique des costu*
mes, des moeurs et des usages des principaux peu¬
ples de rauLiqnité et du moyen âge; Metz, 1804-
1809, 7 voL ia-8^ et atlas ia-4*’ (non terminé).
Anonyme ;
Costumes de tous les peuples connus, avec une no*
tke Buccincte de leurs mœurs et de leurs religions,
etc. — Leipzig, 1802-3, 2 part. în-4®, fig*
Fee luitio (Jules) ;
Le Costume ancien et moderne, ou histoire du gou¬
vernement^ de la milice, de la religion, des aits^
sciences et usages, de tous les peuples anciens et
modernes, déduits des monuments, etc. — Milan,
l8Jâ-29, 17 vol. gr* 10-1", MM cartes et pl. —
•P
Edit, avec texte ital. : H Custume ftitiieu e nuf-
(krno, etc., ibfth, 1815-27, 17 gr. in-4“. — Nouv.
Mit* ; Florence, 1823-38 , 33 vol. gr. în-S»» ; —
réimpr. : Livourne, 1830 et suiv., 100 vol, in-Kb
6g*, ctNaplce, 1831-42, 21 vol. ia-8",
Eyuïès (J,-B*-Benj.) î
Costumes, mœurs et usages de tous les peuples. Suite
nombreuse degravurea coloriées, avec leurs expli"
cations par E... — Paris (182^27)* 8 part. gr. hi-8<',
237 pL
MeNIN (L.) ;
// (^ostwm di latte. !e na:::i{fni e di tutti i tempi descritiu
ed ilhistfatUf ^tç, — Padoue, 1833 gr. in-fol, 100 pL
Anonyme ■
Cosiiimbfich J'ür Knasikr... Costumes pour les artistes.
Collection des costumes les plus intéressante de
tontes les époques et de tous les pays, depaîs rère
ehnkienne., publiée par une société d’artistes. —
Gudseldorf, 1839, gr. in-4/’, 24 eaux-fortea.
SEV88EL d’Aix (comte AL) :
.JïHierjVi' ûjir^icn e mothnta di JL Carh Aliterto^
etc. Turin, Î81ü, iu-8*. 6g*
Wahlkx f Aug,) ;
Mœürs, usages et costumes de tous Ica pcH|île5 du
moude, d’après les dooiiuients autlieutiquca et les
voyages les plus rèccnts^elc^ — Bruxelles; ieJ3-44j
4 vol. gr- m-8^, 200 fig. color*
WBïSs(Herm*) :
Kostümkuutl^t Ilüiidùacfi tïer tiesckichts der Trachtjties
Battes, etc, La science du costume. îklfinuel de Tbis-
toîrc du costume, de rameublcmeut et des uatcu-
sUes, depuis les temps les plus anciens jusqu^à nos
joursî iUustr. d’après les dessins de raùteur.
— StuLtg;vrt} Ebner çt Seubert 1^60-72^
5 parties en 3 voL gr* îtt-3«.
Lacomub (P,) :
I.cs armes cl les armures. Pads, iradietle 13<!ii,
in-80j 60 vign. — Trad, eu anglais ; Jm# nml
Aruwur în antîquity and the middk âges..*, Lon¬
dres^ 1^60, gr. in-8*, 72 flg,
Dkmmix (Aiig.) :
Guide des amateurs drames et armures andentiçs,
par ordre chronologique depnîa les temps les plus
reculés jnsqn^à nosjûut». 1700 reprod, d’armes et
armures. Paris, Ilenouardj iU'PJ*'.
Kckhler (Karl) :
Die Traekt^n der \ diker m Bihl and rScAuiW, etc. Le
costume des peuples, aspect et coupe* Exposé his¬
torique et technique de la manière de ae Tetir de¬
puis les temps ks plus reculés jusqu'au XÎX' siè¬
cle. — Dresde (^Jfodeuzeiimtÿ')^ I87l-73t Tome I
à III, in B'', h g- planotyp,
KlîETStTlîMEIl (.41b,).
Die lYaehten der Vdiker row* Begînn tkr {7e^rAfcA(e
bis rwjB tietiuîehïtteti Jttkt umhrif etc. Les Costumes
des peuples depuis l'époque historique jusqu’au
XIX* siècle. — Lcîpxîg, J. G* Baeh's Yerlag.
l[i;iTTEXlu>TH (Frkd.) :
Trachten der [ dlker after w* iij^rrtr Zeii; Yerlag v*
G. IVeise ; Stultguîxl.
Zar (u'Schic-hte dtr Citstume' ^luiiich, llravin et
Schneider.
OUVRAGES PLUS OU MOIWS SPÉCIAUX ET RECUEILS
DE COSTUMES NATIONAUX*
ANTIQUITÉ,
Goi.T/.itis (Bubert) :
/euwesj rriœ et eioÿia tmperaiorum rüîttanonim. — An¬
vers, 1557, in-foi. — Edition avec texte français î
L es images ou médailles de tous les em}>erêur5
depuis Jules César jusqu’à remi>ercur Ferdinand,
avec leurs éloges» Anvers, lôf>l, gr. indol., avec
planches sur bois tirées eu couleur. — D'autres
éditions encore*
MuxtfaücoX (D. Bernard de) :
LWatîqnité expliquée (en franç, et en latin) et re-
présientée en figures. — Pariji, Î719,5 t. en 10 vol.
in* fui. “ Supplément ; ibid* 1724, 5 vol. in-fol,, fi g.
— Eélnipr* en 1772, et le Supplément en 1757.
— Trad* ea angî* par Eiimphrc^^sj Londres,
1721*25. — Réduction publiée sous ce titre : *î«-
tifitûtates ffvfecæ et romantc in comj}eTidlttm redaciœ
a J.-Jak, Schatsîo. Xdtas eriticas adj&^it J. Sal.
Semler; Nuremberg, 1757, in-fol. fig*j nouv. cd.,
ibid. 1767, in-foL fig. j — le même en allomnndî
K uremberg, 1807, in- fol.
Mamaciii (T. M.) :
De’Costnmi de* jtrimitîel christiani Hbri ///.—» Rome,
1753 54, 3 vol, in-8\^ Kûuv, édit. ; Venise, 1757>
3 vol. iii-8% fig*
144
DanduA-Iîauüon François) :
Costume des anciens i>eiipks* — Paris, 177*2, 3 voL
gr^ m-4*, 361 pl. — lî^ouv* édit* ! Costumea do an*
cîetts peuples à l’usage des artistes, contenant les
usages religieux, civils, domc&tîqnes et militaires
des Grecs, des Homains, des Israélites et des Hé*
ri
breux, des Egyptiens, des Peraes, des Scythes, des
Amazones, des Parthes,de3 Sarmates et autres peu¬
ples ; éd, rédigée par M, Cochinj ibkLf 1784-86,
4 part* en 2 voL gr* îii-4», 351 pL — Trad. enal-
1cm,, par Becker : Leipzig, 1776-77, 5 part.
fig* (non terminé),
Lk>*s (André-Corneille) :
Le Costume, ou essai sur les habillements et les usa¬
ges de plusieurs peuples de Tautiquitè, prouvé
par les monuments* — Liège, 1776, gr, itt-4®, 67 pL
— 2« éd, î Le Costume des peuples de PaDtiquité
prouvé par les monuments, Xouv. édit,, corrigée,
rectifiée et cousid, augm. par G. H. Maitinî ; 57 pl. ;
Dresde, 1785, gr, în'-4", — Trad. en allemand :
1781, gr, in-l<>, vign. et 57 pb
Moxge/, ï
Dictionnaire d'antiquités {encyclopédie méthodi¬
que)] 5 voL de texte j 2 vuLin-i*^ de lig,;
Paris, 17B(j-l79l.
Wit.iÆMJN (N.*X,) :
Choix de costumes civils et militaires des peuples de
l'antiquité, leurs instruments de musique, leurs
meubles et les décorations intérieures de leurs
maisons, diaprés les monuments antiques, avec un
texte tiré des meilleurs auteurs, dessiné, gravé et
rédigé, par N*-X* Willem in* — Paris, an VI
(I79S)- 1802, 2 vol. gr. in-foL, 180 pl.
Roccueugiani (Loreiizo) ;
Baccoïta di cento (pour chaque v^olume) tavûk rap-
presentant i i cîrilî THiHturi
antivhi Eÿhkini, Etnischif Grfcl e Bomani, traUi
daffîi nnticJù mofiumenttj etc. — Rome, 1804, 2 vol.
in-füt. obi., 200 pl.j — nouv, édit. : Raecvlia di
sessante etc, ; ibid., 1WÛ6, m-4® ohl.
Î1ALLIOT (Jean) :
Rcclierches sur les costumes, les moeurs, les usages
religieux, civils et militaires des aucieus peuples,
d’après les auteurs célèbres et les monuments anti¬
ques, etc. — Paria, imprimerie de P* Didot, 1804,
3 vol* in-4'^, 296 pl. —Trad. eu allemand] Stras¬
bourg, 1812, in-4% 206 pL
HorE (Tbomos) ;
uf iht aucicniSj^ etc. — Londres, 180!^ 2 vol.
gr. iu-4^, 20U pl. — Nüuv. Odît. : ibld,^ 1812, 30U
pl* ; 1841, 2 vol. îu-H'^, 323 pl. “ Édit* fraïiç* ï
Co&timcî Bruxelles, 1826, in-4% 200 pl.
PiîîËUd (Bartülomeo) :
lîaccidki dl cento costumi untîchi mcQti dai
fi iüchi üWüfpm forte .— Eome, 1809, iu-fol*
obi., 52 pl.
Joii.VRD :
Description de TÉgypte, ou llecüeil des ol>aerv,atiotis
et des recberebes qui ont été faites en Egypte
pendant rexpèditiou de rarmée française (ouvrage
publié soits la direction de Jomard). — Paris,
1809-28, l0voLin-fol.de texte, et 12 vol. in-fol.^
de pl. - 2" éd., léiff., 1820-30, 24 t. en 26 vol
in-8") et 12 voL in-fol. de pl.
B.^xter (Thomas) :
Ân iUmtruiiou o/the Ægyptianj Grtcian and
ÇoetumCj etc* Illustration du costume égypticti,
grec et romain.— Londres, 1310, in-k; 40 fig, ;
trad. en allemand par Chr.-Fr* Michadis ; Leipzig,
lël&, iEi-4% 40 fig*
Mkvrick (Samuel-Eusb) kT S-MITH (Ch*-Hamilton) :
The Costume ofthe origltml inhfjbitünts of the Bniisk
Idumh^ etc. Le costume des habitants primitifs
des Iles Britanniques depuis les temps îea plus
reculés jusqu^an VI*' siècle j. suivi du costume des
peuples gotlis des côtes occidentales de lu Baltl-
que, ancêtres des Anglo-Saxous et des Anglo-
Danois , etc. — Londres (1814)- 1815 (et aussi
1821), gr, în-4®, 24 pl*
FusbiuïKE (Thomas-Dudley) :
S^nopsu tff üucieid costmne, eff^ptian^ ÿjfifiA, etc. —
Le costume ancien, égyptien, giec, romain,breton,
anglo-saxon, noroiand et anglais. Extrait de sa.
Éntÿckipcdia of Ànîkpnlhi^f^i^^. — Londres, 1825,
m-4**, 71 fîg.
CjlAMPOTJ.rON \M .lEVNE ;
Monuments delÉgyptect de la Nubie* — Paris, Di-
dot, 1835-45, 4 vüL gr. in-fol., 4ü0 pl. — .Monu¬
ments de l'Égypte et de la Nubie. Xolicea, des¬
criptives conformes aux notices autographes ré¬
digée* sur les lieux par Cbampollioii ; \bid,^ 1814,
pet. in-fol., avec lith*
Fuisse d'Avesses (B.) ;
Monuments égyptiens. Four faire suite au.x Monu¬
ments de riigyptc et de la Nubie de Ciiampollïon
le Jeune. — Paris, Didot, 1847, gr. in-fol., 52 pl-
dont 11 color*
Botta (PÆ) ;
Momimetit de KÎDÎTéj déconvcn et décrit par P.-E.
Botta, mesni'é et dessiné par E, Fîandln. Paris,
1H4 î>- 5Û, 5 Tol, gr* in-fol. 400 pL
La VAU» (Austeti-Henry) :
AVnetrfA Qüd iti reîtiatm, etc. Kinivc et ce qui en
reste*— Londres, 2 vol. in-S^', OS pL — 2*- à
édit., ibid., 1850, 51, 52, 53, 2 voL in-8", fig.
— Tiad* en allemand ])ar N.-N.-W* ^feîssnerî
Leiprdg, 1850, gr. m-8^, 04 illu^tn, 0 plans et
1 carte; — üonv. éd, avec un appendice : les
Antiquités égyptiennes à Nimroud et l'année de
la destruction de Ninive, par G. Seyffarth ; ibîd.
1854, in-8'», fig* — Trad. en italien par le comte
Tortorelli t Ikiîe Sc€ip€rt€ di Ninive ,* Bologne,
1855, in-8®. — Abrégé do PouTrage original i Po-
ptdaT' account of ut Ntntveh; Londres
1850, in-8^, fig. ; trad, en allemand par Meissner,
Leipzig, 1853, gr, in-S'^*, 22 fig,
Peuret (Louis) :
Catacombes de Rome. — Paris, 1851-65, 3 toL gr.
in-fol,
Kracsb (Joh.-Heinr.) :
Pinfinn c>der die Kcgtiime de$ Jlaupthaâveij etc^ —
Plotine, ou la coiffure chea les peuples de l'antî-
qnité| rapprochée de quelques coiffures modernes ;
200 fig. SUT 5 pl. — r.Æipzig, 1858, gr.
Prisse ii'Avesnes ;
Histoire de l'art égyptien d’après les monument»,
depuis les temps les plus reculés juscju'ù. la do¬
mination romaine. — Pari» (1858 et suit.), 8ij liTr.
gr. in-fol.
Ktæmm (H.) :
IVrswrft einer (frffeRrhîcIétt^ des Kfiâtame , etc* —
COSTUMES
Bruyn (Abr. de) î
imperiî ac !tàcerd(ytii ornatus^ Pîver$iirnm item ÿr»-
fiitm pectilinrh refiitm^ *— Cologne, 1È78, üi-fol*,
24 pl, decost* civils et2fi de coat, reiigieiii’; nour*
édit., 1502, în-fol.
A;uMAX (Jost) :
Cieri totiiiÿ Pomance Ecch/tire iidtieefi^ aeu Poiüldcifi^
rvm ùrdinum omnium amnino utrimque sexus,
hahitne, arttdciommmh^dpnris..nvm' ptimum a
Essai sur Thistoire des costUTues dans l'antiquité,
envisagée au point de vue de la civilisation des
idua anciens peuples de la terre* — Prewle, 18CO,
in Hl^, C pl.
Place (Victor) :
Ninive et l'Af^syric. — Paris, Tmpr* imp., 18r>7-70,
2 vol, gr. id-fol., 87 pL
Miîlleîï (dr* Alb,) ;
Pie l'rachten der Rtimer uml PUmevinnen nach ôtîd
und Martinlj etc. Costume des llomaina et des
Komaines d'après Ovide et Martial* — Hanovre,
1838, gr. în-8'^, I pl*
Hücher (Eugène) :
L’Art gaulois ou les Gaulois d'après leurs médailles.
— Paris, 1888-74, 2 vol. in-4*, 101 pL et vîgn*
Monte [JUS (Oscar) :
Les Antiquités aiièdoîses, — Stockbolin, 1873-75.
Montelks (Oscar) t
La Suède préhistorique. —^ Stockholm, 1874,
Ancsssi {l’abbé Victor) :
L’Égypte et Moïse, — Parb, 1875*
\ViLKiiî!50ït (John) :
The Jiîannevsand Customa ofthe ancîent
etc. Meeurs et coulumea des anciens Egyptiens*
vie privée, gouvernement, lois, art, industrie,
religion, etc. — Londres, 1837-11,8 vol. gr. ÎU‘8",
600 pl, —tionv. éd.j ihid.j [8-17, 6 vol* gr. in-8^
figures.
Terres cuites de Tanagra et d’Asie-Mineure (Cata¬
logue de la collection de M, Camille Lécnyer), —
Paris, 1883.
ELIGIEUX.
Judoco Ammano expresd ,* 7i€qm nnqnùm aniehitc
imiliter editi, etc. — Francofurti, 1585, in-4", 102
fig,; —édit, avec teite allem. par J.-A, Lonicer :
irnrf Ordeji der heilifjen romiichen catholisçhe)}
klrcheni etc. ; ibid.^ 1585, 102 fîg. ; — notiv,
édit* avec texte latin et allem.; ibid.^ 1661, in-4^,
figures*
Fialetti (Odoardo) :
Jtefffi fl hit i deJh reliffinnît crm fe armi^ e hrere des^
146
cntion di htrOf elc, — Yeïiîséj 74 pl. j “
trad. en franç. par Dufresne ; Briefve histoire de
rînstltntîon des oràre.s religien>^ ? Paris, in-
4“, 72 pl. î — autre édit, franç, * Histoire derinati-
tiUion des ordres religieux dispersés par tout le
monde; ièid.f ÎS80, in-4'^, 72 pl,
Molinet (1b pùre C, Du) :
Figures de? différents habits des chanoines réguliers
en ce siéele, — Paris, iCfitî, Si pl.
RrHooNKfiEEt; (Adrien) t
A/beeidinffen der eÿfftne draÿten rûn alie
order$, étc. — Amsterdamj IfiSS, in-8«j 73 pl. —
trad. en fninç, ; Courte et solide histoire de Li
fondation des ordres religieux j i&tJl, 1688, in*8“,
— AJ'betldlngen der draÿten t'ù.n aîle ÿt^ste-
Jÿke vi'Guicen en vvnnen orders, etc. ; Amsterdain,.
ItiOl,in-^8®j90 pl.; — trad. en franç.: Courte des¬
cription des Ordres de femmes et filles religieuses ;
îbid, (1(591), in-B^i 86 fig, — (Refonte des deux ou¬
vrages précédents : ) Histoire des ordres religieux
de Fun et de l’autre sexe, édit, angm, de 80 fig,;
ibid,j iCOo, 2 roi. petit iii-8«.
Hfei.vtJT (P.) :
Histoire des ordres monastiques, religieux et mili¬
taires, et des cougrègationa séculières de T un et
de l’autre sexe (continuée é partir du tome YI
par le P* Ballot).— Paris, 1714-1719, 8 vol.
800 pl, —édit, suceess. : 1721, 1702 (312 fig.),
1829 (10 Tol. in-8®), 1838 (S vol. gr, ia-3^*) ;
— trad. en allem. (par J,-J* Schwabe),, Leipzig,
17^^3-56, S vol, in *4fi g. “ Abrégés : Histoire
du clergé régulier, etc., Amsterdam, 1716,. 4 vol.
in*8, lig. ; Histoire des ordres militaires, etc.,
Amsterdam, 1731, 4 vol. în-8‘’j Histoire abrégée
et costiiines coloriés des ordres monastiques.-,,
d’après le P. Hélyot ; Paris (18^0), 2 vol, in-4'=*,
100 pL; nouv. édît., téh/., 1837, 2 vol. in-4^, fig.
Bah (Hlaoques-Charks) :
Recueil de tous les costumes des ordres religieux
et militaires avec un abrégé historique et chro¬
nologique. — Paria, 1778 (ou 1786^)98, (5 vol.
iD-fol., fig. cûh
Maillakt (PU.-J.) :
Collection de costumes de tous les ordres monasti¬
ques supprimés à différentes époques dans la ci-
devant Belgique, etc.—Yilvorde, a* d, (1811),
m-4û, 133 pl.
PlNELU (Bart,) :
Baccofta dî coAttiml deffV fïrdîm reH^tmi. Rome, 1838,
m-4% 60 pl. sans texte,
Gdicci (G.) •
Icou<igr<iftfi storiea de^lî ortfi'ni retigiofd e cavah-^
reschi, etc. — Rome, 1833-43, fî vol. ïn-fol.,287 pi.
Ciurahlü (Luigi) :
detfli ûrdinî refi'ÿi'eîii, Oûw^iVfl^n
sulle ope^'e di Bonanif d'Helÿfity di Tiron ed altre
si édité che inédite, etc. — Turin, 18 îd, 2 vol. gr,
în'8^j ph, col.
Paèuaî/ (Tabbé J.-B.) :
Institutîous de Fart chrétien. — Paris, 1866.
MAîiTfGST (Fablé) :
Dictionnaire des antiquités chrétiennes, contenant
le résumé de tout ce qu^i est essentiel de con¬
naître sur les ûrig[nés chrétiennes jusqu’au moyen
âge exclusivement. — Paris, Hachette, 1865, gr.
in-8<ï, 270 grav, sur b. — noiiv, édit*, tiuL, 1877,
gr. 67Ô grav.
WfeLliY PL'GIN :
Ghesûrp fr/ e^letiasticai (irnament andcüttumet
Uornement et le costume ecclésiastique, d'après
d’anciennes autorités et des exemples. — Lon¬
dres, 1844, gr. în-l^, 70 pl. — 2 édit, revue par
le B. B. Smith ; ihid. Î846, m-4'", fig, — 3" édiL,
îliid, 1868, gr. in*4^ 73 pl
Bock (Fr.) :
Gtschîehie der Uttfrfftscheti Gtarânder der
tei-Sy etc. Histoire des vêtements liturgiques au
moyen âge, ou origine et développement des
ornemenLs ot parements ecclésiastiques, etc. —
Bonn (1856-) 1859-71,3 vol. 117 pL
Lina& (Ch. de) :
Anciens Yctement? sacerdotaux et anciens tissus
conservés en France. — Paris, Didrcn, 1860-63, gr.
io-fi®, avec pL
U7 —
hU noVKX M\E AV XIX‘
OUVIIAÜKH SlTH LK njJSTUMi': KUHOl'KEN , PtiEIi LA PIXFAKTj KT II ÜX rAltALTEHE
PLEHl OU MOINS a>Lmn’JF.
Bi:iiTKiJ.i (FeriL) *
(/muittm Jft'v f/vutîtim tioHrtt teiail^ haùfiU:^ ntmtjitHaft
(ifitehav editî. — YiennOif 15(i3 ou l'iC^j liÛ
pl.
yitoNSPFitOER (LcodH.) :
Kj^ieffszùucfi, etc» Livre de giieirc. — Fi;utoforl-sur-
le Mein, 1573, :S part, eu I vol. in-toi, fîg. per
Jost Amman et autres ; — iioivv. ilkL^
in-fol. J Hg-
Amma.N' (Jost) ;
JJdftiitti prœctpuonOn popttîoydm^.. Trfichtttiùtieh. —
Kurembcrgj 1577, pet. iu-foL, lîg.; — iiouv. édit.,
Ulm, lG3Sl,m fül.jüg.
Bul'YN (Abr* de)î
Imper a ac sacerdotii vrmUus. I/h'ersarüm item ÿtii*
Ctutn peculutrir imlittift* Ifh wliun^cU CQtunten-
tnriolvs CVr#ar, J^ontif, fte Sdcerdidatii Hadr. Datu-
man Gand^ Jilj:çudebat Abr* Bruiu. (Coloaise,
1578) iü^foL j, 24 pl. de coaL civile, et 26 de
eoat. religieux ; — Quttv. èdil., 15U2^ iu-foL
BoiÀSAJtij (Jac.) :
J/abitus eariarum orbh pentîum. Habita de nations
estrages. TiachteTi niantAerfejy FccA^'tij' deg Erds-
S. l.j lüfetl, m*folio, 60 pL, offrant 170 cos¬
tumes.
Amman (JqsiJ :
(iÿtueceuiîiy iive The^trum muticrttm^ in qiftrpnicV
pnatttiAoinnium^ /ï^r HHroimin in prirttigf nadonunif
pefitiitnty tic* — Fïuncüfurti ad Uienuui, 1580, pet.
in—1°, 122 dg, — Edit, avec tcxlc allemaud i Im
Kramcensininier loird vermeldt l'on al!erh*ÿ schanen
umd der irtiik:r, clC., ibid.j
1586, ln-4% 121 fig*
Bkktfeja (Fetrus) :
Ifircrmrmm ntttîoïtuni hubUoJi centumet qunimr icnirt-
htts în (ivre im isi» dUiqtntei e^pregsi^ etc* — Apud
Alciatum AIcûi et 1\ Bertelllutn, Pataviî, 158Î)
1501, 15D0, 3 part* iii'S‘\
Faiiiu (Alex*) :
JHüerëamm Hattonuin ortmtitg ctittt suîg konibus. —
Fadoue, 15!)Bj 3 parties în-8', lti4, IWÜ et lüO pl.
grav*
Amman (Jost) :
Bccneil contenaut la représenititiou d''iiii grand nom¬
bre de peraon nagea laïfjues et eeclésîaatîtpics, Franc¬
fort, 15U1I.
Gj.kx (Jean de) :
Des Habita, mœurs, eéréin on ica, fae,'0iis de faire au-
deanes et modeme.'? du monde. — Liège, 1601, îa-y%
200 pl. grav.
Anonyme :
*l/5nvi ainirtfj-uw, hubifibue midiiTHm omnium >t(Uiu^
Mim Eurftpœ tHm tnbnlk ac gcidis vacuk Iti indgk
ddonidtmnf etc. — Lovanii, apud Jo;itineni Baptia-
lam Zangrium, aano 1601, in-4*'obL, 32 pU de
costume^?.
HoLL,\rt (Wcnceisla,-;) :
77ée(ifrH»i mulki um, strÉ rllïrîr^a^ dfj/jflercfi^îVi h i-
bitumn/reminei dirci'sanm Kuropte ntiiiQnuin
hintîerno tempare vtdffo in nsi* à W* HoUar**, îîo-
hetfiû ddimukfi et ivpidjurti icri ÿcufpùr, — Londîni,
1643; pet m-S ', 36 pL sans texte.— Kouv* cdit.
sous ce titre : Auh renei'h, jftrc carktasJtvmlnim
Irjwÿ, dirersartm Euivjm mthnmUf dijjh’mtmque
htibitunm.j ut in qualibet promneia emdf apud iitas
uifwc qaas WcncesL îlollar, etc. ; Loudini,
1644 J pet, m-8‘, lOÛ pl.
SCHOONKIÎKEK (Adrien) :
JJisione {die l idticrlÿkc en kripsoixkrgj etc^ —
Amsterdam, 160", 2 vol. ïn-S'^, 113 pl. — Trad. en
ffiuiç. : Hibtoire de tou# lea ordres uiilîtaîrcs avec
le^ tigiires de leurs bubîts, armes et devises; ibid.^
161ii^, 2 vol. petit in-S^j dg.
Anonyme :
Habillemea# de plusieurs uationa representez au na¬
turel eu cent trcutc*sept belles figiiies* — Lejde
(171 U), îu-4‘ obi*
Ko Y DELL, cdîtLür :
ïlecueil dea babLllemcnts de dîllérentes autionâ an-
eieus et modernes..... d’aprêa Ica deE^do# de Hol-
beiü, de de Holkirj et de quelques aii-
— Londres 17ô7-72j 4 vol. gr. în*!'’, 480 fîg.
Koiiv, édît., iltkfr^ 1773, 4 toI, m 4", et 17915, 3 vol»
111-4^
VïKRO (Teodoro) ;
Jidccolta r/i Uûmj}£ che rapprégentano Jff/ttrt €d aàiti
di p«Wc sfcondo ÿîi ùriÿhtaUf e fe deicrizùmi
tii pîu ceUbri ret't'titt rki^ffiatüri^ e tlpÿH g^'opritarl
di pnesi nufn-i. — Voniaey 1783-90, 3 v^ol, gr. in-foL,
300 p!.
Cüiittiîiieg^ hein;/ picture^t/ué rtpyesÈntati<fHÿ qf th^
dresg and ntannfrg, etc. Costumea, ou représen-
tatioDâ pittoresques des vêtements et habitudes de
la Suisse, de rAutriche, de la Chine, de la Itussie
de la Turquie et de T Angleterre, etc. — Loudres,
1814-15, 7 vol» gr. in-8'^, fig. color»
LantA (et de LASîfi^îAKOÎÏitE) :
Costumes des femmes de Hambourg, du Tyrol, delà
Hollande, de la Suisse, delà Franeonie, deTEspa-
guG, du royaume de Naples, etc., dessinés, la plu-
jiart, par II. Lantè, gravés par 0;\tme» avec une
explication pour chaque plandie (par de Ijamésan-
gère). Paris, 1827, gr, iii-4% 100 pl. color.
Bü>:nari) (Camille) iitMeucuui (Paoîo) :
Cogtumi ecck^iastict^ ciriH c militari de* secofl A7//,
A7F e XVf taeeoltl d{t C. ee/ accompuÿïiatï da
lin te^to iÿtoi~ico € deêcrittivo (en ital. et en frauç.).
— Home 1827-28, 2 vol. în-4'’, Oji et 100 pL color.
—^ Édit, fi'anç» T Costumes deeXllP, XIet XV*
siècle. Première édit, franç, Pari.^ 1828-36, 2 vol.
gr. iu-l^, 200 pL ; — nouv» édit. ; Costumes histo¬
riques itaiieuB, français et allemauds des XIT*^
XIll'^, XIV*" et XV' siècles, dessinés et gravés
l)ar Mercuri, avec un texte bistorique et descriptif
par Camille Bounarxl; intrûd. l>ar Charles Blanc;
ihid.^ 1859-03, 3 vol. gr. m*4®, 2ü0 pL color»
Wagmck (H.) :
TrachU'nbucft des MiUeiaUt'r$f etc» Costunies du
moyeu âge. Recueil d'habillements, d^armures, de
meubles, d'instrumeuLs, etc,— Munich, 1830*34,
ü livr. ia-foLohl», 48 pl.
JuiîiNAb (A.) ;
La Armerîa realj, ôuCûlkctiou des principales pièces
du musée d^artillerie de Madrid* Detsins de Gas¬
pard Sensi, texte d^Achille Jubinal. — Paris (1837-
39), 2 vol, iu-fol., 40 et 41 pl. ^— Supplément, ihid,i
(1842) m-fol., 4Ü pL sans texte,
ilKFKEJi-Ar.TENECK (J.*H. von) :
Tidchten des chnstiicfien JJittehfterSj etc* — Maiiheim
(puis Fi-aucfoft), 1840-54, 3 voLgr.iü'F, 96, 180
et 170 pl» — Fdit. avec texte franç* ; Costume du
moyeu âge chrétien, d'après des monumcnlB cou-
temporainB, etc» — Manheim et Francfort, 1840*54,
3 vol. gr. in-4^, fig»
Shaw (H.) :
Dresses and décoratiüns (*/ihe vtiddk etc. Cos*
tûmes et décorations du moyen âge, depuis le VH*
jusqifau XVIH siècle, avec descriptions histori¬
ques, etc. — Londres, 1843, 2 vol. gr, in-8'’, grav,
A»xonvjïe :
Das Bueh der JBiUronhn. AffhiidHtî;/ und Best'hreihunÿ
dei' Insignlen aUer îliUerùrden^ mitUair wmi cluif-
Ehrenzelokeny .l/edfiiïTcn^ etc. Le Livre des ordres
de chevalerie, ou représentation et description de
tous ks ordres de chevalerie et inaignes militaires
et civils, médaillea, etc», avec un choix de costumes*
remar([uableâ. — Bruxelles, 1846-48, in-8^, 82 pl.
— 2" édit., 1852-56, m-8\
Axoxyme :
Costume du moyen âge d'après les manuscrits, les
l>cîntQrefl et les monuments coutemporeins. —
Bruxelles, 1847, gr. in-S®, 164 pL
»\U»0M (Thomas) et Hreve (Emma) :
Ükaracter and Costume of Turkeg ünâ etc*
Mœurs et costumes de la Turquie et de Tltalie.
— I.H^ndres (1850), in-fol., 21 pl.
SEitf» (Perd,) î
Histoire du costume et de l'ameublement en Euroiæ,
et des arts et industries qui s'y rattachent, par F.
S..., avec la collaboration d'Aug. Haciaet, et
celles de Louandre et de ChampoUion-Figeac (pour
le texte)* — Paria, 3852 et suiv., gr. tig.
Uewitt (Johu) î
.încfcwt ..IrwiOïïï* und. Héfï/jowi tn etc. Ar¬
mures et armes anciennes en Euroi^e, depuis l'âge
de fer des nations septentrionales, jusqu'à la hn
du XVI' siècle,illustrées parles monuments con¬
temporains, — Londres, 1855-59, 3 vol. in-S", fig.
^ACKEN (D. FaL Freîh, von) :
Die L'arzngîichsien lirntungen nnd Wù/fen des À". A',
Amhrnser-Samndnngf eU\ I^es principales armures
et armes de la coHectioD impériale et royale d’Am¬
bras» — Vienne, 1859-62, 2 vol, gr* iiî-4", 128 pl*
photo gr»
Falké (J.) :
^ÛF Cosiümgvsehiehie des MldeUilterSm Histoire du
costume au moyen-âge. — Vienne, 1861. gr» in*8‘^
156 grav, b.
JACQrEMI?J (R;^]^haël) :
Iconograpliie géïiérale et métliediqne du CûHtumc
du IV* au XIX^ siècle (3Î6-181Ô).—^ Paris (18li3-
lû-fûLj 200 |iU ù réau-fortc.
Pai quet :
Modes et costumes historiques, dessinées et gravées
par Pauquet frères^ d'après les meilleurs tuait rca
de chaque époque et les documents les plus authen¬
tiques* —' Paris, 1M4, in-4% pi.
PBUiKr (Ant>) ;
Armé Ha véale dî Tonno^ etc* -- Venise, 186 'ï, ïn-fol.
0^5 photogr,
DcPLKSSts (Georges) et LE{’fîKVAi*MEïî*Cft);vKîN Arti>
(E*) ;
Costumes historiques des XVI^jX Vit'' et XVIII'* siè¬
cles, dessinés par Lechevaliicr^-Chévigitardl, gravés
par Didier, L* Flameng, Fr* Laguilletniiie, etc* j
teste histor* et descript, par O, Duplessis. Ouvrage
fai^'^ant suite aux Costumes des XTP, XIÎI'’,XLV''
et XY* siùcleB, de ^lerciiri et Boutiard* ^ Paris
(t8ij i-) 187;:^, 2 voL iu'^l*, I4îi pL en couleur*
P.vrguKT :
Modes et co.^tumes historiques étrangers, anciens et
modernes, dessinés et gravés par Pauquet frères,
d'après les meilleurs maîtres de chaque époque et
les dociimentA les plus authentiques. — Paris
(1875), ph
JACQPEil.MlT :
Iliî^toiredu mobilier. ^ Paris, 187fi*
lÎEY'DKN (A. von) ;
Bkïttei^ fiir Kos^fimknnde. HhtoriâHte itnd Volksi-
7'rachteiij eh\ Costumes historiques et populaires*
En collaboration avec Brausewetter, Breitbach,
Burger, Defrcggcr, etc. ; publié par Von He^ deu.—
Berlin, Lîpperheide, 1881 ; 114 pL
LE (’OSTUME.
TAU GROUPES NETPEMEXT DISTINCTS ^ DES DIVERSES PARTIES DU SIONDE,
PRISCTPALEMENT DE J/EUKOI^E
ALLEMAGNE.
Tflnmjdtfrage». Le char triomphal. Suite de grav,
b., également désignée aoue le titre de Triompha de
In-fol. obi, — Autre fcUre : h frhmphe
de î‘enif>eréttr Àfaximiiïenf m une mtfe de eeni trai-
planches gravées sur ùots^ d'après hs dessins
de Ifans /iurgmaiCf ftiXompagnée de l'auriejine
description dictée j}ar rentpereu7^ à sou secréiatre
}farc Treitssaurtüéin. — Im])rimé A Vienne cliez
Mathias-^André Schmitt, 17ï>6, gr* în-foL
Axdnvmk :
\'orstefhit}gen l'on detitschm Xathnni Trachfeu^ —
Augsboiirg, 1800.
rJi:rj.Ru (K.) :
lias detiische Volh iu seinen ^îtindarfeUf Sitten^ Ge*
hraüchen, Festeu ttnd Tt achîtity etc. Le peuple
allemand, sep idiomes, mœurs, usages, fêtes et cos-
tumes. — Tjciprlg, 1817, gr* in-8", âu pi* çolor*
Falke (Jacob) î
Die deuische Trachien und Modettwelt^ etc. Ilia-
loire du costume et de la mode en Allemagne,
partie* L'antiquité et le moyen âge. 2*' partie*
Les temps modernes. — I^ipzig, 1858* 2 vol.jii-8^*
Kretsciîmeu (Albert) :
Deutsche VfdlstrarîUen^ etc. Costumes du peuple
en Allemagne, dessinés d'après nature, avec un
texte explicatif. ■—Leipzig, Bach (1865^) 1B7Û. gr,
iD-4*, 88 pl. cbromolitU,
fVAï!/pr«irj oVs l'rftHuccs.
Ljpowsky (Fêllx-Jos.) ;
Bammhing haf/trischer National- Costume^ CtC. Rc-
cueil des costumes nationaux de la Bavière, avec
un texte historique. — Aluntch (1812), in-fol. 48
pL col or*
Mrrx, éditeur :
Modes de la tîIIc dWugsboiirp:, —^ Angsbourg, p, d,
m-4, 30 fig, çolor.
THÆTEÎi (JrtliUR) !
Deut fiohe ( Kürnberger) » Trach t€n ü wf dan stchzeh i\ ten
Jahrundti't^ etc. Costumes aKemauds A Kureœ-
berg au Beî;;Lême siècle, — S, 1., 1827, ^5 pl, iû-4“.
VcEiJjNiJEu (Job,) :
GrMshertù^Ueh BfnHieheê etc. L’armée
du graud-duebé de Bade, — Carlsriibe, 1824^ îti-fol.
30 pl. color.
Badek (J.) :
Bitdhchû VtdksstHtn Mîîifi Trarhttn^ etc, Afœtira po¬
pulaires et costumes dans le grand duebéde Bade,
— Carlsrubej lS43j 4 îivr. fig, sur acier et
pi. color,
VAbEnm (Th,) :
Costumes du grand-duché de Bade et des l>ord8 du
Rhin,’— Paris (1843), în*foL, %<\ lîth,
St hr (G,) ï
La Rcgrattcrie de Hambourg^ représentée en 120 fig^
color, ^ Hambourg, I80S, gr. in^-S^, — Eiîit, stcc
texte allemand: 7>^r in etc. ;
ihhL, 1808, gr. in-8“,
Snnn (C,) ;
Costumes de Hambourg, — (Hambourg) 1815, în-foL j
4o pL color.
Bcek (F.-Georg.) et Beer (C.) :
AJhitm Ihimhurÿischer ^atîûnaUCoÈtHmf^ etc. Album
dos costumes nationaux des TTambonrgeoia. —
Hambourg (1843*) 1847, gr. itt-8*, pL color,
ïkispr€uss\iche Ifeer vnltr Friedrich IVifhfîm IV, etc.
L'Armée prtissienne sous le règne de Frédéric-
Giiillaume IV. — Berlin, l843-4â, in^fol,, 0 lirr.,
.3(> pL color,
ScnrxnLKR (C,-F,).
il7i7iV4ïr-.4/ÔH/n des i'œniffîick Preussischen Ifceres, etc.
Album des tronpos r 03 *aleR de Prusse, — Berlin,
1802, gr, in-fol,, 50 pb Color,, sans teste.
KiiOXiirECfEL (KarL'Fr,),
Heber die K!eidertracht^ Sitten ttnd firhranchc dtr al~‘
tenhutyischen Banertij etc. CostnmcSj moenra et
usages des paysans d'Attenbourg, etc, — Alten-
bourg, 1703 (nouv. titre : 1801 ou ISOG), Îu-S^j 13
pl. grav. ’— 3* édit, complètement remaniée par
C.-F, Hempel ; illd.f 1830, gr, m-8°, arec |0 aonr,
pl,
Ahhadmiff der Chni^fterstfichSœrfishchen Armre
Fnîfitj'tnen. Représentations des uniformes derar-
mée de l'électorat de Saxe. — Dresde, 17«î> (ou
i7U3),iii.-8*,3t pL color. — Aifôilduiiff der Fnrsfr.cli-
sùclien Armee Utii/ortnen^ etc. Dresile, 1805-1807,
gr, in-fol., grav. color, d’aprèâ les dessins du peîn-
Ire lies?. — Abi/ifdtiri^ d^r neuorf/anttirlm smdisU
stditn AfTiiee^ etc. Costume de Tarmée saxonne
depuiB sa réorganisation. “ Leipzig, 1811, in-4*,
74 fi g,
Pas dfiitscîif /iii tnhÿheery etc, L'Armée de la Confé-
dé nation germanif|ue.„ dessina d'après jdusieura
artistes réunis par H. A. Rckert de Arnnicli. Ke*
cuCil de cost, milit. j sans texte.
AUTRICHE-HONGRIE,
Brasd (Ch,) :
*
Fcichnuftffen^ etc. Etude? prî?ea dans le bas peuple et
principalement les cris de Vienne* — (Vienne)
J77.Ô, gr. in-fob, 40 pl., sans texte,
Adasj (J.) ;
fîildunÿeft des ffemmnen VidXsz>.i ïrte«. Les portraits
du commun («c) peuple à Vienne, — R. 1. n. d.
(fin du XYIII® siècle), pet, în-J'*, 100 pl. grav.
par Jacques Adam, pans texte,
Aaontme :
ScheTfta aUer Unif&rm dev kakerl-l’œnîffL Krie^sved-
levn, — Uniformes des armées autrichiennes* —
Tienne, I78tb iïi42, 142 pl. color.
Mor/EviLLK (Bertr, de):
Castnme tiie iterediiar^ States of the hoitse ef Aus-
triaj etc. Costumes des États bérédîtaîrea de hi
maison d'Autriche; 50 grar, color. avec descrip¬
tions par B, de MolevîUe, trad, par R. C, Dallas
(texte aîigl. et franç.) . — Londres^ !ft04j,gr. in-î*',
fig.
Anonyme ;
KPidertmehien der KKtiserL A'rV'rti'^, Staaieft, Habille*
menta de R.M. T Empereur-Roi (texte alleni.). —
Vienne, s. d. (vers 1808), în-4% 50 pl, color.
Bettes kopfhr (A.) et Rtra^^srbjcrwaMïTNER (AJ :
Pie A', A', Osierreiefiisi^he Arinre^ etc. L'Armée impé¬
riale et royale d Autriche. — Vienne; s. d. (r. 1852),
gr, în-fol., 30 pl, color,, panstexlc-
Zana ;
Piters Cosiutnes des peuples du Tt/rol. —^ Angsliourg,
Î8i3, în-4*j Ifi grav. color.
y7*(' ( f>/’ Nh/rîa Ihilmatia^ 14(^3 CO-^tlî-
jn«s de niljTie et dé laDalmatie. — Londres^ 182^,
2 yoL în-l'^^ 36 pl. color.
Hei.mbuciikr de Bikepsv (J.),
/Vinin«rj>Viijï fi^jroïtJiçr, etc. CûstiiDies des hsbitaïits
de hi Ifoiignet avec im te^cte par J. îT de lî.,, —
Vienne, 1820, in-î*ïj fig.
Valeuio (Th.),
Sonvéïiirji de la monarchie autrichienne. ?5iiile de
de?îfiîns (raprès nature graves à reau-forte parTb.
V, — Parie, Goupil, ?. d., 2 parties in-fol., 30 et
^ pl.
OffierreîrMKçh-fiJtÿariscfie nafhmï-l'ra^hten. — Cos¬
tumes nationaux de l’An triche-Hongrie, publiés à
Vienne par II, Lechner.
Omements de i^induatrie domestique des pa3i^sans
ruthéuiensj piibücation du Musée industriel de
Léopol ; i8H0-î><8J,
SUISSE.
Hoi.bkix (J.) î
llocueil de do nîîe costumes suissos;^ ci fils et militaires,
hora me-i et fem mes d u soi îï iê me siéeI c, gravés d ’ après
les dessins originaux du célébré Jean IColbeln qui
se trouvent à la bibliothèque publique de la ville
de Basic. Publié par Chrétien de lléchel. — Basic,
1790, in-fol. front, et 13 pl. grav. à. l’acqnatinte.
Mfx'HEL (Chr, de) :
Costumes suisses, contenant 28 figures d'après na¬
ture. “ BàlCj Chrétien de Méchel, s. d., in-l",
PKKEFKh {Je.an-André) :
be Cabinet de toutes les modes d’habits, lesquels ou
porte dans k louable canton de Suisse qui a’ap-
l»elleZurich, gravés en tailk-douce.— Augakjuig,
J,-A, PfefFcl, 3, d.j in-fol., 4.'! jd. grav, par J,
Wolf.
Vf) LM A U :
Collection de costumes des cantons de la Suisse, des¬
sinés par Volmar. — Berne, Lamj-, s. d., iu-4" lu
pL color,
K<KSirt r
Nouvelle collection de costurnes suisses, d'après les
dessins de F.-N-Koenig (texte frauç, etallem.).—
Zurich, 18fi3, ïn-12, 40 pb color.
Collection de costume a suisses, tirés du cabinet de
iL Meyer d’Aaran. par Kœnif.— Uutersccu, 1804,
iiï-H', 24 pl, color,
liEINTTAUn.
Costnmos suisses,dessiités par Haegy d'ajirès les ta¬
bleaux de Reinhard. — Râle (18I0J, in-fol., 44
pb color.
Pt,HlXllAkl> ;
Costumes suisses d’aprè.^ les dessins de R,., (texte
franç. et angL). — Londres, 1822, gr. in-8®, 30 pl.
color.
PiXKLLi (Rart.) :
ilt f/utntrtnl costiitul iî ftttt iuleî-euand déifa
Suh^*‘ra, — Home, s. d, (v. 182.4), iii-4% 15 pb
color.
PixtiiiKT (Rd.) ;
Recueil de costumes suisses dessinés d’après nature
et lithographÎLa par E. P* — Paris, Engelmann, b*
d. (v. 1826), in- J^', 40 pl. color*
ANGLETERRE, ÉCOSSE, IRLANDE,
H ü LL A II (Wciiccslas) :
Orfmttf» fiinliehi-î:s m- fée èeferai hafnis
o/‘ d'n^lisk etc* î/orncniciit anglais fé¬
minin* ou co.stume deî^ femmes anglaisea, bint de
la noblesse c[iie du peuple, eu 16 Jü. — Londres*
16 JO, îii-8"j '26 eai)x-foites, sans teste.
Lafiiox (M*).
7’ée crÿes oj' the riiÿ q/’ /Aftidon drfuru q/b'i' îfte lije.
Les cris de la ville de Londres dessynex après ]:i
nature. LW rtt fomîmitn ahe rantt^^per JAttuira,
1S*1. n. d. (Londres, I7jl), pet* iu-fob, 74 jd*
grav. par P* Tem|>estet d. Savage, avec légendes
eu angb^ frang. et ital* ; — 2*^ édit., Londres, O ver-
ton, s. d., petit iii'fob, 74 pL grav*— Copie par Boi¬
tard avec pl. siiiiplém,
BovoELii, éditeur :
Recueil des habillemejits de dîfFérentes natioiis, an¬
ciens et minicrucs, et eu particulier des vieux ajus^
te ment s anglais, d'après les dessins de Holbein,
de Yandyke (iifOt Hollar et de quelques autres,
etc. (texte frang. et angl.). — Londres, .T. Roj^dell,
1757-72,4 vol. gr, in-4% 480 flg. ; — nonv, édit.,
ï773,4 vol. iii-4®, fig.: — iùîd.j 1790, 3 vol.
avec 3C0 fig,
Rtiu tt (Jos.) :
7'ke JUgni un J Erfdendsftca? Anf'npiîtits of fCft</hnd\
etc* /Antiquités royales et ecclésiastiques de T An¬
gleterre, offrant la représentation la plus authenti¬
que de tons les souverains anglaiï^ depuis Edouard
Je coïifeflfl«nr jusqu’à H«nri YIIIj etc. — Londres,
17T3, in-*!", 60 pL, et supplément, 1792, 12 pl. —
nouv, édit*, tànL, J777 ou 179^, in-4% 72 pî. —
nonV. édit., revue et accompagnée de notes critL
qiies et explicatives, par J,-B. Plancîié ; làirf., 1S12,
gr. iii-4®, 72 pl.
Strutt (Jos.) :
nlforia Angelc^nnan^ or « cùmphtt ritîü ùf the mmi-
nfrSf cntiomSi flm#, etc, — Londres, 1774-
7G, 3 vol. gr. in-4", 167 pL — trad. : Angleterre
ancienne, ou tableau des mœurs, usages, armes,
habillements, etc,, des anciens habitants de rAn-
gleterre j c'est-à-dire des anciens Bretons, des An¬
glo-Saxons, des Danois et des Normands. Ouvrage
trad. de Vanglaîs de Joseph Strntt, par Boulard, et
pouvant servir de suite aux recueils de Montfaucon
et de Ca 3 'lns ; Paris, J7S9, 2 vol. in-477 pl. grav.
STitfTT (Joâ.).
A ccm/îto Tiw of fhê jsad habits af the people
i>f England^ etc. Tableau complet des costumes et
vêtements des Anglais, depuis l'établissement des
Saxons dans la Grande-Bretagne juaqu^au temps
actuel, etc,— Londres, 1796-99, 2 vol. gr. in-4*,
142 pl. color. î — nouv, édit, revue, corrigée et aug¬
mentée de notes critiques et d'éclaîrcîa6ement8 par
J.-H. Planché; ibid„ 1812, 2 vol. m.4“, 153 pl,
col.j — trad. en fmnçaîs ; Tableau complet, etc. i
Londres, 1797, gr. in-4*, (îS pl. (un 8 êu 1 volume
paru).
ATHiSfWS (John-Aug.) t
A pirturesffue ftcpre^entufitm fïAra/, mîHtargaml
mî^eeîlaneotiâ costumes of Gréai etc. lie*
présentation pittoresque des costumes des armées
de mer et de terre, et autres, de la Grande-Breta¬
gne, etc. (texte augl. et franç.). — Londres, 1807,
in-foL, 50 pl, color.
Pvxf: CW.-H.) :
The Costume of Grml Brîtain^ etc. Le Costume de
la Grande-Bretagne, dessiné, gnivé et décrie par
4V,-lî. Pyne (texte angl. et franç!.), — Londres,
1808, pet. in-foL, CO pl. color,
SuiTR (Ch.-Hamilton) :
Ancieut coHume of etc. Costumes de TAn-
gleterre{et de ^Irlande depuis le septième jusfiii^aii
seistième siècle), etc. — Londres (1811-15), gr. in-4^>*
et*aussi in-foL, CO pl. color.
Smith (Ch.-Harailton) ;
Costume of the armg o/the Britkh empire^ etc. Cos¬
tumes de l’armée de TEmpirc britannique, dessmée
par un officier d'état-major, décrits iiar Ch.-H. S...
— Londres, IB12, gr. in-4*, fig.
Anonymes.
'^7o^^uaJe the Aftttÿ of the Brithk empire^ J7cffn’di»i|/
to ihe îdjft regutaliûfiSj 1812. Uniformes de l'ar¬
mée de remplre britannique, conformes au dernier
règlement en 1812. — Londres, 1813, petit in-foL,
cnv. 75 pL coior.
Costmm qf the Armg qf the firUiith empire^ aceordtng
to ihe re< 7 w/flljoiis qf 1814.^—Londres, 18I4, fig.
Meyrtcr (Samuel-Rush and Rmith (Ch.*Ramiiton) :
The Cmtime oj"the original inhabitants ofthe Jïntiah
/sfands^ etc. Le Costume des habitants primitifs des
Iks Britanniques, etc. — Londres, (1814-) 1R15,
gr. ia-4“ et aupsi iu-^fol., 31 pU color*
Walker :
The Costume qf Yorhshlre^ €tc.“ Les costumes du
comté d'yorkshÎTe ï grav. en fac-BÎmüe des dessins
originaux, etc. (texte angl* et franç. par Walkcr).
— Londres, 1814, gr. m-l* 40 pl. color.
Anonyme î
Picturesqtie representotions oj" the Jress and manners
of the EfiÿUfh^ etc. Représentations pittoresque.^
des costumes et mœurs des Anglais, iliuetréa par
64 gr. color. avec leurs descriptions. — Londres
John Murray, 1814.
Carter (.Tohn) :
Speùiiiiens if Ktif/Ush eccksiatticaf Cùsittme^ etc. Spé¬
cimens du costume ecclésiastique en Angleterre,
depuis les temps les plus anciens jusqu’au seizième
siècle* — Londres, 1817, ïii-8% fig.
irtTi.L (E.) :
Ct*stuine qf the Brlthh *4r/«y îu 1828. — Londres,
1828, m-4*, l^^îlivr., 9 pljithog. parM. Oatici,d'a¬
près les dessins d'E* Hiili.
Pf. VNt’lIÈ (J.-R.) :
Hntiifh Custtime^ A comphte hutorg ff the deesÈ ofthe
iiihahitanis of the Britîsh îslands^ etc. Costume
britannique : histoire complète du costume des
habitants des Iles Britanniques. —Londres, 1834^
in-12, fig. J — nouv. édit., Ihid.^ 1846, petit în-8”
hg-
Martin (Charles et Léopold) :
Thé Cié'd flirte tf Knghind from confjuest to
thé présent time^ etc. Le Costnme civil en An¬
gleterre, depuis la conquête jusqu'au temps pré-
Bcnt, etc. — Londres, 1842, gr. in-4*, 61 pl.
color.
et Dhj ast (Jnmes) :
ÏVif^ ('fans üf ffté gcvlüh J/îf/hhHfhj etc, IjCs Clsmü
des mon teignes de rEcos,'îc...j leurs vêtetnentB, leurs
tartans, leurs armes^^ armoiries et occux>atîons so-
üîaks. — Londres, 1845-47, "3 vol. gr. in-foL, 7*2
pl. color. ; — noiiVi. édit, îVifV., 1853, 2 vol. gr.
in-4“, 7''2 pL color.
Stolbeikî (John Sobîesky) et St r vriT (Charles-Ed¬
ward) :
'J'/te Costumé r^thé ülanXf etc. Le.s Costumes des clans,
avec des observations sur la littérature, arts, ma-
nufactures, etc, — Edimbourg, 18iô, gr. in-fol ,
-HO lithogr,
pAiniroLT (F.-W,) î
Costume in EnffhmL A Mstory qf tli'esSj etc. Le Cos-^
tume en v\jiglctciTe. Histoire de riiabillement de¬
puis les temps les plus reculés jusrju'à la fin du diï-
huitième siècle; augmentée dhm glos&iïre illustré
des noms do tous les articles d^utilîté ou d’orne-
üient portés sur le corps; avec plus de COO figures
dessinées sur bois par l'auteur, — Londres, I81(b
iü-8, lig, ; ™ nouv. édit,, i&i'té, 18(10, in-8".
Day (T.-A.) et (J.-H.) :
Jffustrotwns & f JIet{ia.ÉVül Costume in Kuff^and, etc.
Illustrations du costume du moyon-âge eu An¬
gleterre, d'après les mss. du Musée Britiiuûîque, de
la Bibliothèque nationale de Paris, etc, — Lon¬
dres, B. d, (iSôl etôuiv.), in-4% lî) pl. color,
BELGIQUE.
!MAîKitr (J.) t
Costiimes betgiques, anciens et modemea, militaires,
civils et religieux, —- Bruxelles, iSftft, 134
pl.
Ekckiîout (J,-J.) et Madou (J,> :
Costumes du peuple de toutes ks provinces des Pays-
Bas. — Bruxelles, 1835-38, gr, in^ t", 10 pL color.
Mauoc (J,) :
Collection des costumes de Tarmée belge en 1833,
^ S, L n. d. (Bruxelles, 1833)^ in-foL obbj 33 pl.
color.
Vin SE (Félix de) :
Vade-Mecum du peintre, ou Recueil de costumes du
moyen âge pour servir à Thistoirc de la Belgique
et paya circonvoisina. — Bruxelles et Gand, 1SB5-
‘1f>, 3 vol gr. in-4", lî^,5 fi g, grav, et color.
VmxE {Félix de) :
]techerchG.s historique^ sur les costumes civils et
militaires des Gildes et des corporations do mc-
tiera, leurs drapeaux^ leurs armes, leurs blasons,
etc., par F, de Y.*,, avec une introduction histo¬
rique par J* Stecher, — Gand (1847), gr. in-8o, 35
pL lilhogr. et color. = Mœurs et usages des cor-
porïitions de métiers de la Belgique et du nord de
la France, iJour faire suite aux Recherches, été. —
Gand, 1857, in-8*', 34 p|.
ViiiXK (J, de) et Bfs,scïiKH (E. de) :
Album du cortège historique des comtes de Flan¬
dre. Personnages et costumes dessinés par de Y,...
texte historique et descriptif par E. de B.,» —
Gand. 1849, gr. avec 80 pL
^€iîAi:i*KENri (A.) :
Choix de costumes de répotpic de Charles T h sa
joyeuse entrée ii Maestrichtou 1530,— Bruxelles,
1851, m-fol., 11 pL litli,
HOLLANDE*
Rt^VfER (J*) 1
A/ôeeldhiÿmj etc, Tableaux de rhabilleiiicnt* des
mœurs et des coutumes dan.s la république batave
au commencement du dix-neuvième siècle, etc.,
(texte frauç. et holland.). — AmsleiHiam, Maas-
kamp, s, d, (1S03-1S05), in-4'^, Ifi pl. color, —
nouv, édit. : Tableaux.,, dans le royaume de llol-
lande... ; iùid»^ 1814, gr. in-1®, 20 pl. color.
Stkmplk (Miss) :
Cmtnmés q/‘ the XetJtetdamIs. Costumes des Pays-
Bas, — Lofidres, 1817, in-4'‘', 30 pl. color. d’après
les dessins de miss S...
TKtirKKX (.T, F.) ;
Bescftrljriiiff hoedanif/ de hitiiukdîjke nefîerîandsidit
frtfejîen éu aile in militaire betreA'kînt/staùnde /wr-
joaru ffékleedj f/ecfpiî/Merd en f/eipapmd ztjn. Des¬
cription des uniformes, équipements et armements
des troupes royales des Pays-Bas et des pereoniies
assimilées k l'état militaire. La Haye et Ams¬
terdam, 1823, in-foLj 39 pL color., — nouv, édit. :
JîesehriJeUîff de Kléediuffj équipement etc. ; Ams-
lerdaüij 184.Ï, gr. iii-4", pL
fîUUV'KS (H.) î
Collection des cnstumcs des provinces septentriona¬
les du royaume dos Pays-Bas, dessinés d'après na¬
ture par H, G..., lîthogr.pivr Vallon de Villeneuve,
— Ainstcrdam, 1828, in-i ’. 30 pl. color.
JP
Costumes des femmes de Hollande. Souvenirâ. —
Amsterdam (1850), 17 cost*
Bisci (V.)etBiiAKT Yo^r üehekfeldt :
Costumes des Pays-Bas, dessinés d'après nature
(teste franç. et hoÜand*)^ — Amsterdam, 1857,
gr* in-fol., 5() pl. chromoUtb.
ESPAGNE ET PORTUGAL.
■
Cuuî! (5r, de la) i
Cclerdon rfe irnjes de EepaTm, JHhujado po)' D, Afa-
tiuel de la Ctuk, y gmradopor D. >Tiia]ide la Cru^*
-“(Madrid, 1777), petit in-fol., 02 pl. sans te^te.
Anonymes î
Çoltccion général de h$ traget de gegun ge
ngfjn actmJmente. — Madrid, s. d., petit in-S'', 1Î2
pb color.
Los Gritos de Madrid. — Madrid, e. d. (v, iSOü), pet.
in-8*, 72 pl. color.
Délinéations qf the most remarJ:alfe costumes of ihe
differentpn minetsof Spaln^ etc. Keprësentation des
principaux costumes de diverses provinces de TEs-
pa^e, ainsi que des uniformes militaires, etc, —
Londres, 1823, in-t'', 40 pL color.
PiGAL (Edme-Jean) :
Collection de costumes des diverses provinces de
r Es pagne, lithographiés d'après des dessins origi¬
naux, par P.,* — Paris, s. d. (v, Î82.5), in-fol., 100
pl. color. sans texte,
VibLEGAS
Album miliiar. Cohccion de vni/ormes del ejerciîo es-
paiioi pintados por D. J. y....^y tittH/raffttd<is V,
Adam, — Madrid, I84fi, in-4* 25 pl,, arins texte,
XiMENKZ :
Las EsjMiûoles pintados por st mtsmoSf etc. — Madrid,
1852, in-8’, grav, sur bois,
Carderkba t Solano :
Iconogrq^a esjmüola. — Madrid, 1854, gr. in-fol.
Costumes populaires de l'Espagne j collection de pho¬
tographies publiée par Laurent,
Bradfori» (Eev. 'William) :
Slretches ùf the conntry^ chameter and coutume fu Por¬
tugal and 5/juin, etc. Esquisses du pays, du ca¬
ractère et du costume en Portugal et en E-^pagne,
prises pendant la campagne et sur le parcours de
Parmée britannique en 1808 et 1809, etc. Gravées
et coUiriées d^'après les dessins du îîèv, W, B..,
(texte angl, et franç.). —Londres, 1800, gr. iu-foL,
30 pL — Siipplénieut : Chronologicai and historical
retroajMct, etc,, 1813, gr. in-fol., 10 pL decost,
militaires ; — Ile vue historique et chronologique
des événements mémorables de la guerre dans la
Péninsule, etc* (texte français et anglais). — Pa¬
ris et Londres, 1813, gr. in-folio, 54 jd. color.
(meme ouÿ'nigc que le précédent).
LKVKqtE :
Cüfi'ïHîne qf Portugal. Costumes du Portugal (par
M, L...), 50 grav. color. avec une description deîi
mœurs et usages de ce pays ; texte angl. et franç,
— (Londres, 18L4), m-4", fig.
The Costumes of ^pa\n üiwd PoHvgal. — Costumes
de l’Espagne et du PortugaL — Londres, 1824,
iu-é", 27 pL color+
Costumes civils et religieux ; section portugaise ;
exposition întcruatîoaale de Paris, 1878.
FRANCE.
S,41Nt-IgKY (J. de) î
Le Théâtre de France contenant la dlverëitez des ha¬
bits selon les qualités et conditions des personne.«t*
Dédié à mesfiire Charles Perroehel, seigneur de
Grandchamp, etc. — Paria, Estlenne Dauveî,
lG2l>,in-4*, 21 pl. grav. par Isaac Briot, d’après de
Saiut-Ignj-.
SaiNT-Ignt (J. de) ;
Le Jardin de k noblesse française dans lequel ce (sic)
peut cueillir leur matiîerre de vettements. —
Paris, M, Taveruier, lfi29, iu-r, 18 pl. grav. par
Abr. Bosse, dkprès de Saint-Igny.
Recueil de gravures de Bonnard, Mariette, Trouvain,
Berey, etc.? Personnages de k cour; fia du d,ix-
eeptième siècle.
MostfaUCON (D. Bem. de) ;
Les Monuments de la monarchie françoî&e qui com¬
prennent Thistoire de France, avec les figures de
chaque règne que Pin jure dos temps a épargnées...
par le rév. p, 1>, B, de M..,, religieux bénécUctin de
la congrégation de Saint-^laiir (texte fratiç* et la¬
tin), — Paris, 1729-1733, 5 vol. in foL, fig.
Boi'CiîARnoy (Edme) :
Études prises dans le bas peuple, ou les cris de Pa¬
ris, — Paris, 1737-4(1,5 part. gr. in-fol.,(ÏOpL grav.
par le comte de Gaylus, sans texte.
ENOKLliRWHT (cplleetion dite d'),
Ditin :
Costumes des diverses classes de Va société française
au dix-huitiéme siècle.
Eisks (Cil.) î
Nouveau Ilecueil des troupes qui forment la garde et
la maison du Ro}\.. dessioé d’après nature par
E ..J etc, — PariSj 17ÔIT, in-foij 13 pL gravées par
Lcbaa.
La lU'E (IVTÏ. de) î
Nouveau Eecueil des troupes légères de France, etc.
Paris (v. nfiO)^ in-fol.j IS pl.
MoNTiiiNV (de) î
llDiformea militaires^ où se trouvent gravés en
taille-douce les xiniforïues de la maison du Roy,
de tous les régiments de Fiancej les drapeau.^,
ètendurdB et guidons, avec la datte de kur créa¬
tion, et les différentes figures de rexercice tant de
la cavalerie que de l’infanterie. Dessiné et gravé
par le sieur de M... — Paria, 1772, in-12, IGÎi pl.
Mo LÉ i
Histoire dos modes françaises, ou Révolution du
cofltume ea France, depuis rétablissement de la
monarchie jusqu’à nos jours... etc. — Paris, 1773,
in-Il
PoissoK :
Cris de Paris, dessinés d'aprèâ nature par Jl. P.., etc
— Paris (lIT-ï), iii-ë**, 48 pL, s. texte.
FuKUDEXlîEtili (S.) et iJoitKAt* le jeune :
•Suite (1"-’, 2'' et 3") d'e^^tampea pour servir à Tbis-
tûire des meeurs et du CDStume des Français (ou
des modes du costume en France) dans le dix-
huitième aièck. — Pans, Prault, 1773, 1777,
1783, gr. in-foL, 38 pL ; — nouv. édit, t Monu¬
ments du coatume phydqiie et moral de la fin du
XV III* siède, ou Tableaux delà vie, ornés de
ligures dessinées et gravées par M. Moreau k
jeune et par d’autres célèbres artistes. — Neiuvicxb
sur-le-llhin, 1739, gr. în-foj.,pl,
CiiAHi’ENTiEr: (Louis) :
tissais historiques sur les modes et le costume en
France. Nouvclk édition pour servir de supplé¬
ment aux Esi^ais historiques eiir Paris, de Sainte-
Foîx. “ Pans, 17711, in-l^.
Desnoa, éditeur :
Recueil général de Coiffures de différents goûts, où
l'on voit la manière dont se coÉ^ffaient les fem¬
mes sons dîfférenjs règnes, k commencer en IA Mi
jusqu’en 1773 j suivi d’une collection de moiiea
françaises, contenant les différents habillements
et cot'lïures des hommes et des femmes, la pins
eompkttc qui ait paru en ce genre, — Paria,
Desnos (1773), gr. in-g ', flg.
AKONViiE.-^ :
Gtillerie des modes et costumes français, dessinés
d’après nature, gravée par les plus célèbres ar¬
tistes en ce genre, et colorés avec le plus grand
soin par Madame Le Beau, etc, — (Paris, 1778-
33), in-fol., environ 313 pl.
Magasin des modes nouvelles fmuçidaeset Anglaisca,
— 1773.
Cabinet des modes, 173Ù-80,
C.^uiiÉ (J.-E.-L;), de CIermont-sur-Meuse :
Panoplie, ou réunion de tout ce qui a trait à la guerre,
depuis l'origine de la nation française jnsqu’ü nos
jours, — Çhâlons-sur-Marne, 1795, iu-4®, fig.
La Mésakuéiîk [P. de) :
Journal des Dames et des modes. — Paris, 1797-1329,
33 vol, in-3^, pl. environ 27U0 do ces dernières
ont été réunies sons le litre de ; Costumes pari¬
siens do la fin du dix-huitîèmc siècle et du com^
mencement du dLv*neiivième,
(I.AiïNKliEY (Jean-Franç.) t
Collection des nouveaux costumes des autorités cons¬
tituées civiles et militaires. — (Paris, ITîlû), in-4",
27 pl. dessinées par (Tarnercy et gravées par Alix*
plus 3 ajoutées.
(ilîASSET DE Saikt-Sauveuiî (J.) :
Costumes des représentants du peuple français, mem¬
bres des deux conseils, du Directoire executif, des
ministrea, des tribunaux, etc., dont les dessins uii-
gfnaux ont été eonffés jiar le ministre de l'inté¬
rieur au citoyen Grasset .Saint-ijaiiveur, gravés
par le cit. Labrousse, etc. — Paris, 1795, L'j pl.
coi or, — Trad. en alleinaud : TttïchUn von tku
Represtntàtiiendê^ Fra»:zo':fis€}ien etc.; s. 1. ii.
d., pet. în-3“, avec copies color* des gravures ori¬
ginales.
M.\tLLAitT (Dh.'J.) s
Costumes des représentants du peuple français,
membi-ca des deux Conseils, du Directoire exéen-
tif, etc.] gravés et coloriés pur Ph.-J. IMaillart et
Soeur (avec notices hisloTiques). — Briixelle?
(tin du dîx-ucuvième siècle), iu-4'^j SU pi. color.
Ano^VMEïs :
Règlement mir rnniforme des généraux, des officiers
des états-majors des aruiècâ et des places, des
officiers du corps du Génie, des Inspecteurs aux
Revues, d_ea commissaires des guerres, etc» î*'*’ vest-
déiuiaire an Xlf, — Paris, impnmerie de la Répu¬
blique*
Modes et manières du jour, à Paris, k la fin du
XVIIP siècle et au cDiumeneemeut du XIX'*
Collection de 52 grav, color* ^ Paris (v. 1805),
iu-8*, sans texte.
Galerie des enfants de Mars. Offrande à S, M, im¬
pératrice et reine. — (Pariî?, Martinet, v* 18Û0)
in-4'^, 45 pi, grav., sans texte*
WiM.Ksrjtî (X* X.) :
MonumenU français inédits, pour serrîr à Pliiatoire
des arts depuis le Yl* siècle jusqu^au commence¬
ment du XYIP I etc. ; dessinés, gravés et coloriés
d'après les originaux, par H,-X. Willemin. Classés
chronologiquement et accompagnés d'un texte
historique et descriptif, par André Pottier, con¬
servateur de la biblîothcque de Rouen. — Paris,
I80d-183&, 2 vol. îu-fül., B02 pi*color.
Beaumku (F*) etRATHiKR (L,) :
Recueil des costumes français, ou Collection des
plus belles statues et figures françaises, des armes,
des armures, des instruments, des meubles, etc.,
dessinés d'après les monuments, manuscrits, pein¬
tures et vitraux, avec un texte explicatif, suivi
d'une notice historique et chrouologitiue devant
servir d'histoire de l’art du dessin en France, de¬
puis Clovis jusqu'A Kapoléon premier indu si ve-
ment,.* rédigé, dessiné et publié par MM. F. B...
et L* R..* — Paria, 1810, 2 vol. in-fob, 204 pl.
(cet ouvrage s'arrête au règne de Louis XII)»
Tahoieu (Ambr.) *
Galerie des uniformes des gardes nationales de
France,.* publiée,,, par A, T*». — Paris, 1817,
iu-ft®, 27 pl. gmv*
CnARr.ET(N.) :
La Vieille Armée française* — (Paris, v. 1817)j 2
part. in-foL, 38 pl. lithogr., sans texte.
CriAllLET ;
Costumes militaires françfik»— (Paris, v» 1818), in-4*’,
24 pl. lith. color., sans texte.
Lecomts (H.) :
Costumes ci vils et militaires delà monarchie fmnçaise
depuis 1200 jusqu'à 1320, — (Paris, Delpech, 1821),
3 vol» in-fol, 380 pl. lith. colon, sans texte*
Vernet et Laïîî :
Collection des uniformes des armées françaises, de j
I 1701 à 1814, desBinés par H, (et Carie) Yemet;
et Eng. Lami. — Paris, 1822 (-1823), in-4'*, 90 pL
colon = Collectiou niisomnêe des uniformes fran¬
çais de 1814 & 1824, 2'* partie de la collection
générale. — /éirf., 1825, in-4®,fig* colon
PicguET :
Collection des uniformes de Farmèe française, etc.
— Paris, 1823, gr* în fol», avec 29 pl. color.
Lerer (C») :
Des Cérémonies du sacre, on Recherches historiquea
et critiques sur les mcEiirs, les coutumes, les ins¬
titutions et le droit public des Français dans Tan-
clenue monarchie. Paris, 1825, in-S**, 48 pl. gr.
La Mfei^ANXîÈRE (Pierre de) :
Galerie française des femmes célèbres par leurs ta*
lens, leur rang ou leur beauté* PortrarU en pi®!,
dessinés par M. Lan té, la plupart d’après des ori¬
ginaux inédits, gravés par M. Gatine et coloriés
avec ftoin ; avec des notices biographiques et des
remarques sur les habillements ; ouvrage édité par
M. de La Méeangèrc. — Paris, 1837, gr* in-l®,
» 70 pl. color. — Xouvelle édit., 1841*
YiEL-CASTKb (Je comte Horace de) :
Collection des costumes, armes et meubles, pour
servir à rhietoire de France depuis le commen¬
cement du V" siècle jusqu'à nos jours* —- Paris,
1827-1832, ,3 vol. gr* in-4^ 300 pl. lith. T* IV
(Révolution française et Empire), iùîd., 1845, gr*
iii-4^, 120 pl.
A RAM (V.) :
Collection des costumes militaires. Am:ée française,
1832. Représentés dans des sujets de genre, lithogr.
par Y. A... — Paris (1832), ïn-t"^ obi., 3C pl*
color*, sans texte*
Numa :
Costumes civils et niilîtaîres depuis le V''siècle, ori¬
gine delà monarchie française, jusqu’à nos jour^i*
Lithogr, par Numa, d'après les dessm.s historiques
de cliaque règne* — Paria (1833-35), 9G pl* color.»
sans texte.
Raefêt (Denie-Aug.-Marie) ;
(Collection des costumes militaires de l’armée et de
la niariné françaises, depuis aofit 183^, par R... —
Paruq,, 1833, in-fol., 21 lith. color.
Ci.ruNY (de) et Mjfltek (A.) :
Costumea français depuis Clovis jiisqn'à nos jourR,
extraits des mouuinenta les plus authentiques de
sculpture et de peinture, avec un texte liistorique
et ileacriptiF^ ftc* — raris^ i \oL ÎU‘8”,
lî40 |sU dessin et grav. par L. et Alex. Massard^
LafoBse, etc^
HcMBf: :
Coutumes français civils, militaires et religieux,
avec lefi meubles, les âmes, les armures, Tarchi'
tccture domestique, les ordres de chevalerie, les
étendards et les blasons les plus historiques de¬
puis les Gaulois jusqu’en 1834, etc. — Paris (1333)?
pet. iii-fol.j 95 pL Cûlor* offrant 2600 fig,
A^iiîKîiT (Joachim) et Audry (Ch.) :
Esquisses liiatoriques des différents corps qui com¬
posent T armée française. — Paris, 5 835, gr, in-foU
pl. lith,
CdGNiKT (Léon) et Rafjtkt i
I llustration de Varmée française depuis 17X9 jus¬
qu'en 1832 d’après 5151, Lianta et Ad, 51idy-
— Paris (Î837), in-fol., 18 pl., sans teste.
BKLLASGft (ir.) :
Collection des t3q>es de tous les corps et les uniformes
utilUaîreB de la Bépublique et de l’Empire,
“ Bruxelles, 1843, in-S"', 44 pL color,
Asf^EidXKAU (Charles) :
Armes et armures, meubles et autres objets du
moj'en âge et de la Renaissance, dessinés d’api'ês
nature, et lith. par Asselincau. “ Paris, 1842*
44, 2 part, in^fol., 180 pb Hth*
Mérimée et Gérard Bégüin :
Peiütures de Tégliae Saint-Savin, texte de 5Ièrimée;
dessins de Géraid Séguin (costumes français du
XP Biècle) ; 1844,
.Taskt-Lange :
üuiformes de rannée française en (1840-) 1848
Dessinés d’après les ordres dn ministre de la
guerre par — (Paris, 1848), gr. in-lbl ,
€1 pL
MAKTinT (Alf. de) et Dgsoyer dr Noirmoxt :
Costumes militaires français depuis l’organisation
des premières troupes régulières en 1439, jiisqu’cD
1789, Desâius et texte par MM, Duùoyer de
Noirmont et Alf. de Marbob — Paris, 1850»
3 voL iü-foh* 450 coÈt, color*
51 A R ROT (AIL de) :
Tableaux synoptiques de rintanterie et de la ca¬
valerie françaises et des régiments étrangers au
service de la France, de 1720 5 1789. — Paris,
1854, in-fol., 12 pl.
MaRik>Y (Alf* de) î
Costumes militaïrea français de^puis 1789 iusrjiPen:
1814. — Dessins et texte par M. Alfr.de 51arbotj
(cet ouvrage est le complément des deux précé¬
dents),
Lacroix (Paul) :
Costumes historiques de la Fiance, d'après Ica mo¬
numents les plus authentiques, statues, baft-rcliefs,
tombeaux, .=5ceaux, monnaies, peintures à fresque,
tableaux, vitraux, miniature, dessins, cstarafies,
etc., etc., avec un texte descriptif*., par le Biblio¬
phile Jacob (Paul Lacroix). ^— Paris (1852),
10 vol. 10 - 8^5 avec 840 grav. eu bistre ou colov.
Comitr-Caux (F*) i
Albuin-keepsake des costumes de Li cour française
depuis Charles YII jusqu'à Louis XYI*—Paris,
1854, in-i%20 pl* color,
Yioi.LET-LE-Drc :
Dictionnaire raisonné du mobilier français de l'éjxi-
que carlovtngieïine à la Renaissance. — Paria,
5Iorel, 1858-74, 6 vûl. gr. iD-8'>, fig. sur bois, sur
acier et chromolith*
Compte-Cai.ix (F.) :
Costumes historiques français. Dessins inédits gravés
par Bracque, etc. — Pam, Philip on, 1804, gr,
in-B®, 15 pl, color,
Attaf.AND Dl'MARESy :
Uniformes de la ganle impériale en 1857, dessinés
sous la direction du génér.il de division He<xtuet,
d’après les ordres de 51. le tniniatrede la guerre
par A...-D„. — Paris, impr* impér. 1B58, tr. gr. în-
fol., 5â pbcolor. et ô tableaux* = Un if ormes de
l’armée française en 18ûl, dessinés par A,**-D.,, —
Troupes de ligne. — imprimerie Lemercier,
1801, tr. gr. in-folio, 54 pl. Cûlor.
IfKYXER-Ar.TENEcu von) î
Oriffinaf-Knticiiife deui^her Jftister /nr Prachtrih*
J'i'unzOsiévhÊr Koniffe, etc. Dessins origi¬
naux de maîtres allemands pouf armures de luxe
destinées à des rois de France, photographiéB par
Fr, Bruckmann, d'après les dessinB originaux
trouvés aü Cabinet des Estampes de Munich (texte
aîlem, et frauç*)* — Munich, Bruckmann, iBtiS,
in-fol., 18 photogr.
Sl’SAKE (le général) ;
Musée rétiospectif de l'itlfantcrie française. —Paria
(I86d), gr* in-8", pl* grav. sur bols, sans texte
(Ces planches ont d’abord paru comme atlas de
Toiivragc du général Siisanc ; //fVuire ik T/ïh*
ctfn«e itifantm^iê fr&nçuue; PariSj lWlJt-l853, S
voK
SoriRiEU (Fréd*),
Galerie des modes et costumes frxinçais dessinés d’a-
prés nature par les plus célèbres iiTtistee dans ce
genre — lêgne de Louis XVI '— et dessioéa d'a¬
près les orignaux par F. S.., — Paris, Leconte,
18G7, in-lS n pl- lith.
MoLTisiJKiM (A, de) :
Esquisse historique de rartillerîe française dejmia
le moyen âge jusqiVà nos jours, — Strasbourg;
Paris, Rothschild, 18G8, pet, in-fol,, 64 pl. color.
Qdichehat (J.) :
Histoire du costume en France depuis les temps les
plus reculés jusqu^à la fin du XYIII" siècle, 481
grav. sur bois par Cbe^ignard, Pauquet et Sellier,
—« Paris, Hachette, 1875, gr, in*8"*
Costumes de l'empire français, publiée par Martinet
au commencement du siècle.
Les Français peints par eux-mêmes, encyclopédie
morale du dix-neuvième siècle. — Paris, Carmer.
Musée ethnographique du Trocatléro : costumes des
provinces françaises*
Lakté (et de La MêsajsGÈhe) i
Costumes des femmes du pays de Caiix et de plu¬
sieurs autres parties de Pancienne province de
Normandie J dessinés, la plupart, par M, Lauté,
gravés par M* Gatiue, et coloriés, xivec tine expli¬
cation pour chaque planche (par de La Mésan-
gère)*— Paris, 1827, ia-4“, lO.'? pL color,—Kouv,
é<lit. ; Cent cinq costumes des départements de ht
Seine-Inférieure, du Calvados, de la Manche et de
rOrue ; Paris et Caen, s. d., in-4®, fig.
Peukin kt Bocet :
Galerie bretonne, ou mœurs, usages et costumes des
Bretons de T Armorique, par feu O. Perrin, gravé
sur acier par Réveil, avec texte explicatif par
MM. Perrin fils et Alex, Bqiiet, — Paris, lS35*3üi',
in-8", 119 fig, — 2' édit*, sous ce titre : lireiK-
Izel, ou Vie des Bretons de VArmorique, etc.; ibld.,
1844, 3 vol. iû-8^, fig.
CiiAurEyTiER :
Recueil de costumes de la Bretagne et de quelques
autres départements de la France. — Paris, 183C,
gr. iii*4'^j pL color.
Lalaiase (Hipp.) :
Galerie armoricaine, costumes et vues pittoresques
de la Bretagne, clcssinés d'après nature et lit ho-
graphié^f, les costumes par Hipp. Lahaisre, ks vues
par Benoist. *- Nantes et Paris (1S48), în-fol,,
125 pl* de costumes.
Muséum d'histoire naturelle de Nantes.
Galaujï (Gnst. de) et Géiîadîs (S.-E.) :
Recueil dés divers costumes des habitants de Bor¬
deaux et des environa, — Bordeaux (18tS-l9),
pet. iu-fol., 36 pl giav* et color.
JonysoN (J.) :
The Cûitttmes ihe /lench etc* Les Cos¬
tumes des Pyrénées françaises, gravés sur pierre
par I>, Harding, diaprés les esquisses originales de
■T. J... — Londres, 1832, 6 part, gr* iü-4*, .30 pl.
color.
ITALIE,
Cariiaci’I (Annlbale) ;
Idv 0 's€ Ji^ure ai numéro d't ottanfa ^ dîeeÿnate di
penna neM'hoyedî ricreatione ir/a A... C*..^ hiaffliate
ta rûjne,.. ila Bimone Giiilino, Pariffino, — Rome,
1646, in*foL, 80 pl* — Autre édit* : Le AHi di Bo!o-
ÿna ariffinûlij etc. Rome, 1646, in-fol., 78 pL —
Autre étlît., ihid,^ îfiüO, iû-foL, 41 ff*— Nouv,
édit* : Le *4ï’A' di BoJoffim diseffunie da A. C..*, ed
intaffîiate rfa*S* G.., colF auîstenza dî Alessandro
Algardi* Affÿîuntaei îa Fïifa dl Anmhrtie Carac*
eif etc,! ihid. 1740, iu-fol,, 80 pl
Greüze (Jean-Bapt.) :
Hivers Habillcmens ftiiivant k costume de T Italie :
dessinés par Grenze, ornés de fonds [lar J.-B. Alle¬
mand, et gravés par P.-E. Moitte. — Paris, 17iî8*
in-fol, 2ô pl
Vi-x Er.Llo :
'fraies de ItaHa hasta ei sigh XTI, diieHadosj>ar eî
gran l'içîano g por Cesay su hermmto. “ Madrid,
1794, 2 vol.in*12, fig* color,
PiNELLi (Bartûl.) !
Coslumî diyersi inyeniûti et inctîi daB.,^¥,,. — Rome,
1822, in-fol. obi, 25 pl, sans texte.
Kemono (C.) !
Costumes des différetits peuples de ritalie, dessinés
d'après nature par C. B.** — Paris (v* 1822), in-
fol, 20 lith. color,, sans texte*
PJNEU.I (Bartol.) :
UarcùIUî dieùsUtml kuîmmt pîk OtC. —
Rome, 182H, în-ff>L obL, 5t] pbjPans texte,
Roii.i-Ÿ (Jules) i
Collection de costumes italiens, dessinés d'après na¬
tive en 1327 et lithogr^iphiés- — Paris (18211'),
in-4°j 43 pL
IÎ03A (E.) :
ftvtâütùri tdiiUri catUiml popidari tU Tri^^te^ dh^pmii
ed incist aU’acqua forte. — Mihti;, iS'lTï j in-8''j. 21
pl. color.
FtiANcn (Gbcomo) :
Hithltl <VHiiom^n'i Donne t^nefittne^ cun la Proce&-
stone délia Ser. Sipn^rla et aliri partirolart^ cmè
ivlonjî^ fe»té^ cer\)nonit puhUehe delh nohtL etUà di
Vemita. “ %’'eüetia (t, 16]0), petit 24 pl.
grav,, sans texte,
Fiîamco (Giac.) î
Ilabfti deîle Donne T’^afiirtiîe interffîiati tn rame nunea-
mente (texte italien et français). — (Venise, v,
1610), pet, in-foL, 20 pL; “nouv.éîîLîi'Aài*, 1014,
2 part. îq~4®,
ZoMi’JSî (Gaetano) :
Le Arti éke rannù per l'ia nella cîttà dt rfni'^:i'(T, i»-
ventate et indse da G. Z. — Venise. 1785, în-foL,
CO pî* grav. A rean*f'orte+
M UTISELLI (F*) ;
Lkl Costume remziano si no al Mcolo V17/'°* Sapi/ioj etc.
— Yeniae, in-S®, IS) pL — Nouv, édit. : J kl
Commerew e costume dei ï^enestAni lîbrî If etc.;
18B5, gf, m-8'^, 10 pl.
PjXEpLl (Biirtol.).;
Haccolta di costumi pîUoreschi incisi ail'acqim forte
da B.,. P..,, Romano^ — Rome, IHOO, in-fol. obi., 50
pl., sans texte ; — nûuv. édit, ; Raccolta di ein-
qmnta costumî pitiorescht^ etc.j ibid,, 1800, în-fol.
obi.
Pjselli (Bartol.) :
RaccoUa di quattordid mofici di costumipîttoreschî di
Jtoma da B* P... — Pari^ (v, 1814), !4 pd, grar,
en 1313, sans texte,
PiNKr.r.r (Bart,) :
.VMOF'a Raccolta di cinquanta costumi /jiffr-rr^cAt îaehi
ail' acqm forte da B. P.,,, etc, — Rome, 1810,
obL, 50 pl., sans texte.
PrxRLi.r (Bart,) t
JVriora Raccolla di cositmi de' rontorai di Roma. —
Home, 1323, iu-fol. obi., 50 pl., Bans texte.
FE[IRAR[ (J.) î
Costumieccleiiastictfeivili e militari deUa carte dî Ro-
mOy disepmti afl'acqttaforte, etc. Rome, 1323, gr.
m-4« 68 pl, color.
Pl.VELM (BartoL) :
RaccoUa dl cinquanta costumi di Roma t&ue
etc. Rome, 1820, in-8*, obi., 50 pl. grav, parCot-
tafari, d'apiéa E.„ P..., sans texte,
Pkwugim (G.) et PAsrAL (l'abbé J.-B.-E.) :
Collection complète des costumes de la cour de
Home et des ordrc.s religieux des deux sexes, CoR
kzione compléta . Dessinée diaprés nature par
it. G* r,.,..; texte explioatif par M. l’abbè
,T.-B,-E, P... (texte français et italien), — Paris,
1852, ia-4‘^, 30 lîth, color.
PIERACCINÎ (Fr,) i
Collection de coslumea de diverses provinces du
grand'duchè de Toscane (du duché de Gênes et du
Ti^rol), litli. d’après des dessins de François Pie-
raccini de Florence. — Parie (182$), gr. iQ-4", 130
pl. color., dont 50 pour la Toscane, 40 pour le du¬
ché de Gênes et 40 pour k Tyrol,
FabiuH (P.) :
Raccoha di rarii ed artî del requo di Xa-
poli^Ctc. — Naples, 177,3, în-foK, 27 pl. grav, A
Peau-forte.
RaccoHa di mric restiture cht costumono rtelle cit^à^
terree^mesi îtiprovincie diverse del requodi XapoU.
— Naples, 1701 2 part, in-fol., de 30 pi. cha¬
cune, grav* par S. Biaachi, ^Morgheu, etc.
Racadla délié diretAe veititure delîe proi bide ddreqm
di .Vhjîfpfi. Naples, lith. — Cncinîello et Blanchi 5 s.
d.j gr. 10 - 8 *, cnv. 100 pl, color.
PiX ELU (Bartol.) :
Rüccidta di costumi del reffno dt Xapoli, etc, HouiCj
1314, in-foL, 50 pl, sans texte.
PiSELLi (Bartol.) :
Raccolta di cbiquaiita costumi H pîh interessanti dclle
etttù, terrCyC paesiy bi provincie diverse del repno di
Xaqudiy disequAti y ed inchi ail'acqua forte da B...
P.,. — Rome, 1817, in-8“ obL, 50 pl, sans texte,
Siriiorro :
Royaume des Denx-?^îdkfl. Costumes deasinéa sur
RUSSIE.
Jea lieoï par S,., — Paria (Ï82n), gr. în-1*^, lïîO pl.
color, dont lOD pour les Dciix-Sidles et 30 pour
les États romains.
Boücarp (F, de) ;
Vgi e ci^stümi di N<tpfdî, etc, — Kaples, 1853, gr.
in-8®, üü pl. cûlor.
POLOGNE.
XoitQL[N (J.-P.) 2
Kèhr irzftrmpÿ rosmmtyeh pohkîch nhUti-ffir , etc.
Collection de costunies polonais dessinés diaprés
nature par N„., et gravés par Debucourt.— Paris,
1817, petit in-foL, titre en polon. et en fran^.
37 pl. eolor., sans texte,
GoLEaioivRRi (Luc) :
Ulfû^rÿ iü PüJsscsi^ etc. Costumes polonais, depuis
lestempsles pUis reculés jusqu^â l'époque actuelle, |
décrits sous forme de dictionnaire. — Yarsovîe,
1830, in 1 pL grar, ™ Xouv. édil, Cracovie,
1^61, in»8". = Ludpùlpki, ^ic .— Le peuple polo*
nais, ses coutumes, préjugés, etc. — //«'J., 1830,
în-S", 1 pL grav. offrant 41 cost. d'après Xorblin,
ZrKNKOWK’Z (Léon) î
I/es Costumes du peuple polonais. — Paris, 1811, -
m i%4Q pl.
PlîZKZDZIEÇKl ET It,ASTAWIEÇIiI :
Monuments du mojen âge et de la Renaissance dans
l’ancienne Pologne (texte français et polonais).
— Varsovie, IBoS-CT, â vol. gr. in-8% avec pl. en
couleurs.
Geiison ;
Costumes polonais dessinés d'après nature par G....,,
lithographiés par £* Desmaisons. — Varsovie
(v. 1860), in-4% 15 pl., sans texte.
Matejko (Jean) ;
Uhiûrÿ w Policé^ etc. Costumes polonais de 1200 ü
1795, — Cracûvie, 1860, in-foL, obi. 12 pl. litii, et
eolor., sans textes — 2' édit., léit/., 1875, in-foL,
obL, 12 pl.
Lurns (Herm.) î
Schleiische Piirstenîfiider des Mittelalters, L'Iconogra¬
phie des ducs de Bilésie au moyen âge, — Breslau,
186B“7’2 f gr. in-8‘*, avec pl.
Uùîorÿ ludu d^ïwnfj PfdsH, Costumes du peuple
dans Î'aiîcienné Pologne. — Ci-acovie, 1802, in-S",
]2litb.
P MlL^TEFN (Aug.) :
Pu$si$che Traehten und Ausrfijir in St^Pderstiarff,
liabiilements moscovites et crieurs à St-Peters-
bourg. Inventés et faits â Peau-forte par A. D... —
Cas sel, ebés W.-C. Maïjr, graveur de la cour
(v, 1760), titre et 40 pl., sans texte.
Le PtiiycE (tTean-Bapt.) i
Divers ajustements et usages de la Russie... dessinés
en Rufiaie diaprés nature et gravés à reau-fonte
par .T,~B. Le Prince. — (Paria, 1763-65), în-4% fig.,
sans texte.
Oeoiîoi (J.'G.) t
Beschreibnnff aller Xattonen desrusshehen ReicheSfeic.
—Saint-Pétersbourg, 1776-80,4 part.eu2 volJn-4*,
9 h 5 pl. grav. — Trad. en français : Description de
toutes les nations de rempire de Russie, où l'on
expose leurs moeurs, religions, usages, babitatîotia^
habillements, etc.; îÆiîti., 1776-77, 3 part, en un
vol. in-4®, fi g. eolor.
Le Pri.xcE (Jean-Bapt.) :
Œuvres, contenant plus de 160 pla;iiches gravées â
Peau-forte, et À rimkatiou des dessina lavés an
bistre, le tout représentant divers costumes et ha-
billemens de différents peuples du Nord, etc. —
Paris, 1782, în-foL, £ig., sans texte. (Costumes
russes en majeure partie.)
Les Costumes des peuples de la Russie. —- Berne,
1701, m-4^ 26 sujets grav.
Geissi.eii (Ch.-G.-M.), et Grcïîrù (J.-G.) ;
Costumes, mœurs et coutumes des Russes, desslnéB à
Saint-Petersbûiirg. Skien^ etc. (texte franç. et
allem.).— Leipzig (1801-1803), iii-4®,GÜ pl. eolor
Atkisitson et Wai.keu :
.1 Pictaresque Repretmtatim a/the manners^ castùms^
and ammeniejifs tÿ' ihe RassittnSf Cto. Repréfienta*
tiou pittoresque des mœurs, coutumes et amuse-
menta des Russes, etc. (texte angl* et franç.). —
Londres, 1803-18üJ, 3 part. gr. in-fol., avec 3 por¬
traits et 19U pl grav^. et eolor.
Hardïncî î
Th€ CifStufïte af (lié Rassian £«ï;jire ^ etc. Costumes
de l'empire de Russie. Londres, Î803, in-foL,
70 grav. eolor, — Nouv. édit., fW-, 1810, in-fol.,
SUÈDE-NORVÈGE*
jrirLKTi :
The Cmttiuie of the Jlnmion Etnph-e^ etc* Costumes
del'empifc deRuBsiè, niuatï-éa par 73 grair* (tesete
angU et franç*). ^ Londi-es, l?t03, in-l®, fig.
IlKcnuKRC (Charlefl î comte de) :
Les Peuples de la Russie, ou Description des mœurs,
usages et costumes des diverses nations de rempire
de Rua^ie, accompagnée de figures coloriées, —
Paria^ JBl2d3, 2 vol, iii-fol., îï(î pl. erdor,
MAtlTtNKT î
Recueil de costumes tnîlîtaires et autres de Tempire
de Russie. — Parta^ 1815^ Îu-S* fiî fig. color.
iroiTïiiUAKT (A.-G,) :
^IfCitrs et castnmes des Russes, représentés en r»Û
pt color. — Paris, 1817 (ou 1821), in fol., pl. li-
tliogr,
KollmaN :
Collcctiûû de costumes et de monuments,., de Saint-
Pétersbourg; — Saint-Pétcrfiboiug, 1822, 111-4^
obi., 12 lilbogr.
FKDonor et RFtOCÇOv :
Collection des uniformes de T armée impériale russe.
— (Samt-Pétersbourg, v. lS3â), in-fol., 41 pL
color, sans texte.
1
SOI.NTZEV î
Antiquités de Tempire de Russie; grand ouvrage
publié par ordre de Tempereiir Nicolas, avec uu
texte russe et 523 pl, en couleurs, dessmées par
Rolntæev et lithographiées par Dreger. — IMoscou,
1819-53, texte în- Pjet 7 vol, de planches in-folîo,
Pajoi. (le Ijcut.-colonel comte) :
Armée russe, 185G. — Pans, 1856, 2 part. gr. in-fol.,
78 pl,
Pmti.t (Tliéod, de) :
Description ethuogmphique des peuples de la Russie,
Publié h Toecasiou du jubilé millénaire de l'empire
de Russie, etc. —Raint-Pétersbourg, 1862, gr. in*
fol., 1 carte et fi2 chromolîth.
Exposition ethnographique de la Société de Géo¬
graphie, faite A Paria eu 1875 ; section russe.
Quelques types des peuples do la Russie ; collection
pljotogniphi(jne publiée k Odessa par Jt, J, X.
Raoult,
Forssell (C.) î
Ett ûr i ^— Pue Année eu Riiéde, —Stock¬
holm, 183(i.
Formel (C.), premier graveur du roi i
Album pittoresque du Nord. Tableaux des costumes,
mœurs et usages des pays-ana de la Suède. — Lon¬
dres et Berlin, 1838,in-fûh, î,5 pl. eolor.
Ddiien (Gustaf von) :
Otn Lftpph7ni oeh l.apparm^
Musée d'ethnographie Scandinave de Stockholm.
Expositions universelles de Paris eu 18G7 et 1878;
mu fiée cthnogr-apbique ; section Buédoise.
PRINCIPAUTÉS DANUBIENNES.
Y.vleiuo (Tfl.) î
Les Population.^ des provinces danuhîennefi eu 1851
Suite de dessins d'après nature gravés k l'eau-
forte par Th. Y.,. — Paris, fTOupil, v, 1855, in-fol..
18 ph
TURQUIE.
Nicolay (Nie. de) :
PliisieuTs descriptions des accoustremeuts, tant des
magistrats et des officiers de la Porte du grand
seigneur que des peiqdes assujcctia A sou empi*
re, etc. — R. h u. d,, iu-fol., pL grav.
LoricuRts [Lofich] (Melchior) î
/’ïV/wre tlisegtiateiC infaÿiia.te a pît'di, e u cüraUo con
jiüre‘C 4 :hi tleffli Edr^cJ affa ïTtUfiiVnu Titrca^ etc. —
Hambourg, Jf. Hering, 1(120, in-foI,, 113 pl. grav.
^ 2' éïlit., T. Gunderman, 1641, in-fol.,
122 fig, — S' édit., 164G, iu-foï., 122 fig.;
table explicative en allemand.
La Chaim'ELLE (G. de) :
Tlecuel (j«îe) de divers portraits de principales
dames de la Porte du Grand-Turc tirés au na¬
turel sur les lieux et dédiez A madame la com-
te?sc de l'îcfiquo par Georges de la Chappelle,
peintre de la ville de Caen. — Padi;, lOéfi, in.4oK-
12 pL gniv,
Lk Tîav :
Recueil de cent estampes représentantes dif*
férentes nations dti Levantj gravées sur les ta¬
bleaux peints diaprés nature en lîd7 et 17<i8
par les ordres de M. de Ferrioli ambassadeur du
roi à la PûTtéj et mis nu jour en 1712 et 17lit
par les soins de Le Ray, — PariSj 1711* in-foL^
lOÜ pl. color* î — uouv, éflît., iéiV.j iTiSj gr.
iü-fol,, 102 pL
ANONVMK :
Recueil des difFérents costumes des principaux of¬
ficiers et magistrats de la Porte; et des peuples
sujets de rempire ottoman, tels que Les Grecs*
les Aruiénîenaj les Arabes, les Egyptiens, les Ma¬
cédoniens, les Juifs, etc. — Paris, Onfroy (v,
1780), in-fol,, 10 pl* grav* d^explîcaiions et 00 pl.
de cofiitime?,
Mouradja n'Onssox s
Tableau général de Tempire ottoman. — Paris, Didot,
J700, in-fol*
Dai.vimart :
Thé Costume of TM/Xry, etc. Costumes de la Tur¬
quie illustrés de 00 grav, color. (texte angl. et
franç.)* — Londres, 1802, gr* in-4*.
ASONYMK î
Thé WtlUm'y CoHumt ^ etc* — Les cos-
tûmes militaires de la Turquie (texte ongL et
franç.). — Londres (18J8), gr. 30 grav. color,
Lachaise ;
Costumes de Tempire turc* avec des notes explica¬
tives; vues de Constantinople, des Bardanelies et
de Smyrne, prises de 1B17 A 1820, etc, ^— Paris,
1821, in-4^ 01 pL
RiiiNDKsï (Jean) :
Elbicei Atika^ Mnséc dcs anciens costumes turcs de
Constantinople, etc. — Paris, Lcmercier (1855),
22 pl. chromolitb.
AniF-pArnA :
Les Anciens Costumes de Pempire ottoman, depuis
l’origine de la monarchie jusqu’à la réforme du
sultan ilalimoud, recueillis par S* Ex, le Muebir
Arif-Pacha*— Paris, ISO l, în-foL, avec lith* noires
ou color,
Hami>v-Bey et La MX AV (Marie de) ;
Les Costumes populaires de la Turquie en 1873.
Ouvrage publié sous le patronage do la commis¬
sion impériale ottomane poiir l’Exposition univer¬
selle de Vienne* Texte par S. E. Hamd3*-Eey,
commissaire général, et Marie de Lannaj', membre
de la Commission impériale du jury înternaLionab
Pliototj'pie de Sébah* — Conatantinople, 1873,
3 part, in-fol,, 74 pb
Pfe'IÏEMX et Maxzoxi :
Costumés orientaux inédits, dessinés d'^après na¬
ture en 17!Hi, 17'.17, 17tl8, 1802 et 1800 ; gravés k
rcaa.forte, terminés à la pointe séclie, et coloriés.
— Paris, 1813* iu-t*, 26 pb grav. par Gatlue,
d’après Péchetix et ifanKOni,
GRÈCE,
CARTVVitlUIlT :
tSelertions of the Cminmt of /IZAaiiira nml Qrttcé^ etc*
— Choix de costumes des Albanais et des Grecs,
avec des légendes explicatives d'après loid Byron*
etc. — Londres (1822), gr. iïi-fol., H pl. color,
Stackkt.ukug (Ottû-Magnus, baron von) :
Tviu'htén und iithra}i(;ht der Neuÿrxechen^ etc* Cos¬
tumes et meeurs des Grecâ modernes. — Berlin,
]R3i, in-iob, 30 pL gi'av*
ASIE, AFRIQUE, AMÉRIQUE ET OCÉANIE.
Muséum de Paris : section anthropologique.
Musée ethnographique du Louvre; section de la
marine*
ifusée des colonies installé au palais defîndustrie
par les soins du ministère de la marine î
Mufée ethnographique du Trocadéro.
Collection des costumes de guerre organisée au
Musée d'artillerie de Paris, par M. le colonel Le¬
clercq.
ASIE.
Axonyme :
üostHmê^, etc. Costumes asiatiques ; suite de
44 gravures reproduisant le.‘3 originaux dessinés
d'après nature avec une description de chaque
sujet. — Londres, 1828, in-8“*
PERSE. I
OnmwsKtCA,) :
The Costume of Per sut tîraiCft from nature^ etc.
Costumes de la Perse dessinés d^aprxrs nature par
A. O...., et sur pierre par Hulman, Dighton, etc*
(texte angl. etfranç.)* —^ Londres^ iR'JOj gr, in-
füL, 2:> pl* color.
AFGHANISTAN*
H A HT (Capt, L* W*) :
Chnracter muî Coshmies of A/tfhftnhiuïif etc, ^fœiirs
et co>atuniea de l'Afghanistan. — LoiidreS;^ 1S43,
ia-foU, 2ii ph
INDE*
Portraits de Bourerains mogols descendants de
Tamerlan j pointiiree orlginalea formant une col¬
lection faite à Delhi en 1774 par le colonel Gen¬
til ; bibliothéqine de M, Ambr, Fîrmin-Didot,
Peinturea persanes et mogoles j même bibliothèque.
Peintures exécutées par des mains indones au coin-
menceiuent du siècle et provenant de Pondichéry
où elles ont été annotées ; propriété de M M* Dîdot*
SiM.vvS’i (Balth.) :
A eoUecflon of fico hui^dreil and ffy Cfdonred
Etchintfs desûripih'e- tf thç customs and
dresses of ths lllndoos^ ctc, Cfillcction de 250
grav, coloriées représentant ks mœurs, eoiitumes i
et cofltnmes des Hindous, etc. — Calcutta, 1799,
gr. indoU
Sr)LVY*N3 (Balth.) ;
The Costume of Hindostan^ etc. Cosfumea de Pin*
dostan, dessinés dans l'Inde en 1798 et 1799, et
représentés en 00 planches enluminées, avec
explications en angl. et eu franç. par B, S..,, de
Calcutta. —- Loudres, 1804, in-fol., fig.
Sor;vY?iS (Balth.) :
Iæs Hindous, on Description de lenrs moeurB, cou¬
tumes, cérémonies, etc,, dessinés d'après natute
dans le Bengale, et représentés en 992 pl., texte
angl. et fraiu?. — Paris* 1 «08-12, 1 vol* gr* in-fol.,
fig. color* réduitea diaprés le grand recueil ci-
dessus.
J A.H ES (CaptuÎTi) î
The MUitarÿ Cistume of /wrfi'u, etc. Le Costume
militaire de Flnde, — Londres, 1813, pl.
color,
BnortîîiTOS (Thomas Duer) :
The Costume^eharaeter, manners^ domestic hahks and
reCtffîmis ceremonies qfthe Afahraifos^ etc. — Cos¬
tume, caractère, usages, coutumes privées et cé¬
rémonies rcligicnscB dea Mabrattes, 10 grav*
color. Londres, 1813, jn- l*.
jAt’gUKMoyT (Victor) :
Voyage dana Pliide, Paris, Fimiîn-Didot, 1841, 4
vol* de texte et 2 vol* contenant 295 pL- ensem-
hlc 0 Yol* gr* in-4".
CHINE*
«
Eoi-vht (J.) i
L’Estât présent de la Chine en figures. — Paris,
1C97, in-fol., 43 pl. gravées par P* Giffart,
Du Halpe (J.-B.) :
Description géographique, historique, chronologi¬
que, politique et physique de l'empîre de la Chine
et de la Tartane chinoise, Paris, 1735,4 vol* gr*
in-fol, fig,, atlas de 49 cartes par d’Anvîîlc. —
Nouv* édit* : La Haye, 173ï>, 4 vol ia-4”-
M.^sox :
ï’Ae èV-^/ïiiJîc qf CZ/hi/î, etc. Le Costume des Chi-
noia, illustré de i>0 pl. color*, texte angl, et franç*
— Tendres, 1800, gr, in-4‘^, fig.
Pit-Qua :
Tableaux de Pu-Quù, peintre ù Canton j Cabinet de?
estampes de la Bibliothèque nationale de Paris*
GîUIîUîann (J.-Gûd.) I
Mœurs et coutumes des Chinois et leurs costumes
en couleur,d'aprèst les tableaux de Pit-Quà, irein-
tre ù Canton, etc. Gehrat/che. and Klehlunff der
Chineseiif etc* (texte franç* etallem.). — Leipzig
(I803),gr* în-l®, fiO pl, color*
■
Ma SON :
The Pumehments of China, etc. Les Châtiments
104 —
usités ches les Chinois^ etc. (texte augl. etfranç,).
*— Londres, 1801, gr. în-l^, ‘22 pl, color.
ÎÎRMPEi. (FrédO :
J/te Sfrafejt der Chinesen^ etc* Châtîtneuts mités chez
les CluDois, représentés daus 22 gravures enlumi¬
nées, etc. (texte franç* et altem.), — Leipzig, 1804,
in-4‘'. (Copies dea planches de roUTrage précé¬
dent^*
ALRXanukr (William) :
Tfie Coitame ftf (Vjiha, etc. Le Costume des Chinois^
illustré de 4i^ pl* color* par A. (texte angU et
franç*)* “ î^ondres, 180.4, gr. in-4% Og, — Nouv,
édit. : Picittres(fue 7'€presf^ntafîoas of the dr€^s and
nmni^ierî^/the f'Ai«w, etc. j f/jjdf,, 1014, iu-4*, 5Û pl-
color.
M\LriÈnE (D* JïaKin de) :
La Cl line, mœurs, usages, costume?, arts et métiers ^
peines cixdles et militaires, cérémonies religieuses,
monuments et paysages, daprès les dessins origi¬
naux du P, Castiglione, du peintre chinois Pu-Quà,
de W. Alexander, etc*, par MSI. Devéria, Régnier,
Schaal, Schmit, Yidal, etc.; notices explicatives et
introduction par D. B.,, de JI*.. — Fari?, Pidot,
1820*27, 2 vol. gr, in 4®, 180 pL eolor.
JAPON,
TTrMliKRT (Aimé) :
Le Japon illustré. — Pari^, Hachette, 1870, 2 vol.
in-l'^*
BRxrvoin (k comte de) :
Pékin, Yedo, Siin*Francisco J etc... —‘Pans, Plon,
. AFRIQUE*
Costumes algériens et tunisiens; documents photo¬
graphiques provenant de ch ex SIM. Boutet et
Boyer, d’Alger ; Prod'hom, de Boue ; et Garrigues,
de Tunis.
Gnippox ou Bellay î
Le Gabon (Tour du monde, année ISé.'i)*
Lejean (Guillaume) :
La Queue des Niams-Kiams (Tour du monde,
LejE.ax (Gmilaume) :
Voyage en Abyssinie (Tour du monde, ISO'))*
LrVlNGSTOXE 1
L’Afrique australe (Tour du monde, I80fi).
Fleurfot t)e Laxgle (vice-amiral) :
Croisière A la côte d^Afriqne (Tour dn monde,
1872).
SrinvErNEURTn (docteur) :
An cœur de T Afrique (Tour du monde, années 1874
et 1875)*
Hartmann :
Les Peuples de PAfrique. Paris,Gerrner-Baillire, 1878*
AMÉRIQUE.
Xeu-Wibd (prince de) :
fieise tiach /irasUien in dm Jahren 1815-1817.
Voyage au Brésil dans les années 1815 à 1817* —
Francfort, i81D-lS20, 2 vol* et atlas in«fo]io.
Xeu-Wfed (prince de) :
Jlfîse du7'ch yùfdamrfil-a. — Voyage à travers TA*
mérique du Nord. Coblcntx, 1838-1818,2 %ol* in;-4'^
et atlas de planches.
Linati (C,) :
Costumes civils, militaires et religieux du Mexique,
dessinés dbiprès nature par G- L,.. etc* “ Bruxelles,
Battanino (1828), 48 pl. color.
CiîARNAT (Désiré) :
Le Mexique (Tour du monde, année I8e*=l)*
Chaux AT (Désiré) ;
A travers la Pampa et la Cordillère (Tour du mon¬
de, IStiT).
Simonin (L.) :
Le Far u'est américain (Tourtlu monde, 18(17).
Dixo.x (H.) *
La Conquête blanche (Tour du monde, 187G).
OCÉANIE.
Fretciîîet (L. Cl. Desaulses de) :
Voyage an tour du monde* entreprÎFi par ordre du roi
exécute sur ks cervettea de 8. M. IXi'unk et la
Physicienne i)çndantleî3 anuées lsl7j
1S‘20; publié parL. de F*., — Parîsj IHiÎ~IKU j
punie hifltoriquej ü vol. in-1'^ et atlas de H’i ph
jiar J, Arago, Pcllioii} etc.
DrüONT d’Uuville :
Voyage de la corvette T Astrolabe, exécute par ordre
du roi pendant les aunêes IS2iî, 1827^ 1828 et
]82i>'. Histoire du voyage. Paris, 18^12, 10 vol*
iu'8^ et allas*
DUMOJiT llTitVïLLE :
Voyage au i>61e sud et dans FOcêaule sur les corvet*
tes rAstrolabc et la Zélée pendant les années 1837
à )8'10* Public sous la direction do iL Jacquinot,
eapitaine de vaisseau,— Paris, ISildüû L
Temmixck i
Coup d*œll général sur les populations nécrlandaüvcs
de riiide arebipélagiquo. — Lyyde, 184G-1S4U, 8
voi. in-fe®*
CUAUSAY (Désiré) t
Six mois en Auatralk (Tour du monde, année 1880),
CuAKNAY (Désiré) :
Sixsetuuines à Java (Tour du monde, 1880).
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OnSEHVATIONS SUiî IK OLOSSAIUK.
Les tliverses tables qui précèdent se complètent, par un Ghauftire des termes em^tloyés dans Ton-
vrage, où le lecteur troin'eraj A leur ordre alidiabétiqiie^ les noms tant français qi^étrangers, soit des
ct^tiimes, fragments ou pièces de costumes représentés, soit des accessoires du costume (coiffures, bi¬
joux ^ armes^ mo^'ens de transport, etc.) ainsi que des dispositions d’intérieur on des objets mobiliers
qui lui servent de cadre, avec riiidicatîon des qualités, professions, usages caractéristiques de ceux
qui le portent.
II est superflu de faire remarquer de quelle utilité sera pour la consultation et Tusage du recueil
ce rtqiertoire alphabétique permettant de trouver rapidement, par le renvoi des termes aux planclieH
et notices qui en traitent, le renseignement désiré.
Les chiffres qui suivent chaque mot et sa définition indiquent le numéro d^ordre {d’après le tableau de
concordance des signes et des numéros) des diverses planches et notices où ce mot trouve son emploi,
chacnne séparée par une virgule. Dans le cas où deux planches n’ont qu’une notice commune, cela est
indiqué par le mot H placé entre les deux chiffres. Ex. : G5 et 60, 267 et 208, etc, — Quant aux plan¬
ches doubles, elles sont indiquées par un trait d’unîom Ex, : 56-57, G3-G4, etc.
Ce glossaire a înî-méme pour appendice un hiflm Géof/raphiquéf indiquant les diverses races et na¬
tionalités, eoDsidérées un point de vue <iu Costume, et les principales contrée.s qu’elles ont occupées ou
occupent encore.
GLOSSAIli
A
Aîilim. —Ult’ijjaa (jnii sclivTcuL û l'euseiifiietiitMit j Tiu-titiie,
Aan&preker. — a Pii«»r (raiiiciTeiiieiit »; il fait part dw
(K‘C^ liabitaiit;; ot assintc iiüx c iLiiic bre>i ;
UolUiidç, 4'il VI 42Ù.
Aba, — >-tofTe de feutre; Tll^^luîe^ iCî^t 177, 17^,
Abaïa. — Viwlti brudLt^; Maurci^ tuuUieiiH, 159.
Abarcas. — E^ia-cede guêtres; trulicieusî JisiMgiie, 47ti.
Abattus (che%*eux), — Coiffure fêuiijiiuü; FrmeCt rêguc lie
lMi\9 Xin, 328.
Abbé. e’e!tt-à-iiire /lèi-e* —Xoui d’aboril rt!'*>irviftux titutiiinas
d'Abbayea, aux eliefa d'onlies religieux, puLi» doiiué aux iii-
liêrieur^i de eouiniuiuiuté» et aux simples oueléshistiquc^.
I>5s ablxïs étaient ou mifré* ou trütêé», ou bien oucture posaé-
daiciit ks deux piérogatipes à la fois. U y a^'ait aussi les
abbés rtÿniifrs et les ablKS tommt^mtutaires; les premici^
devaient Être des religieux, leu autres des menibrt’a du clergé
séculier ou mémo des laïque^, ISl, 2üf .
j/frfarifutt* — L’ùbljé de cour, dés hautes soeiétés, coiffé
do la ijcrruque particulière aux ecclésiastiques péadaut la
seconde partie du règne de Louis XIV, 352, 354.
A0t>4 ‘ L'akbâ luomlaiii du dix-hiiitièiiic siècle,
372, 338. Voir CüLLKl* (PirriT).
Abdari, — Porteur d'eau persan, Ml.
Abnet. — Ceinture des prêtres Israélites, 13.
Aboukàl. — Pot à can; Kabylie, 155,
Aboyeurs. ïiidividiuf qui apiielaieiit Uïs (lorteuirs de
eliaises & lu sortie des H-Ssetublées. France j dix'huitième
Hiwle, 374.
Abracadabrâii — Mot m.:igjqug, coii-'jidéi'é ctjuume u]i pré^
servatif par les Rouiaiiis ; 43,
Abraxa, — PIrrre gravée ; amulette, talisman ; TlomidiU!:, 43.
Acatia. — PeiV
Acbeb. — Fichu de soie des femmes fellahs ; Égypte, 1 è> 0 et 161.
Acémètes ou Studites (moines chrétiens dits), — Ordre
religieux fondé an commeucement du cinquième siècle; Sy¬
rie, 14Î,
Acer cornes. — Littéralement, qui iwrte des cheveux longs,
flottants; femmes gunloises, 56-57,
Acerra. — Boite cxmtenant IciiCéiis des sucriflees chez les
UmnaUis, 38^ 50.
Acham Namazy.. — prière dite lorsque le soleil «e couche;
religion mLisnlmonc, 145-14G.
Achmoukl. —Cruche à eau; Kabylie, 155 *
Acltouaou tliabcnikt. —- C'oîJTure de la femme mariée;
Kabylie, 155,
Acieresou Secures-^—Huches de cuivre; sacrifices romaiiiK,
36.
Acroama, — Xom ilonnc pir les (îrecs et Ica Romains à uii
divertissement qui avait lieu pendaut le retsis. au inotnent
du troittièïne service; 23,
Adoubement ou hamois. — Mot di^^lgnant Icja harnais
de maillis ou les harnais mixtes com;M3^ de mailles et des
p]at^ adoptéea ï>eiidaht le cours du quatorzième siècle;
Fmiice, moyen age,. 219,
Aferrah. — Cii><i?eîvle p<hu la cuiii^on gutelUw; Kaby¬
lie, 155,
Afiabcb, “ Aiguière et son plateau; Pi-rsc, 138,
Affique. — Bijou que Ton plaçait aur le c/taj<el; Fr.tJKC,
moyen dgc, 31l>, 334.
Agha. — Chef des janîsijalres; Turquie* lti3, Agha /Jaba^iïf^
Voir BAji.»L,
Agitator equorum (ïjvio/^o;*) — Cocher ou eouducteiir
de char; fîrèce, IC.
■
Agnus Del. — ïléilalllc irargent ; parure fémiuitic; Sui^,
431, 435.
Agrafe, — Bijou onié d'un crochet et d'un anneau, servant
À niulnleuir le manteau ou la robe* 31, 52* 53, 54. 55, 58,
HP, l-H* 324* 417* 423, 4eu, 483* 497. Fefr BUOCKR, Fhii-
MAIL, FiBÜLB, lB£f>lMEX, Tt'H APBAfOl.
Aigle (atjniki), — Enseigne priitcîpilc de la légion ro¬
maine, 34, 35, 36-37. Voir AqViLirKn,
Aigrette. — Faisceau de plumes éffllèés et droites: orne¬
ment du cai«iue ou de toute autre coiffure milibiiie, —
L’homme d’armes de Pépoque carolingienne porto une
aigrette de cuir; celai du treizième siècle n son grand
heaume surmonté do Vaigrrtie tirs iMfaiUes, plumai! en forme
d^éventaiL — Les mdjolis îndous eiiriüh Usent cette parure
de perles on de pierres précieuses. — 25-2fi, 30-37* 48-19*
60-61*63-04,63, 110,111,112, 113. 114, 115,110, 119,122*
202, 204, 453, 454, Voir ks moi* CitfrrK, CniffT.v, Paxachr,
PllAT/>l, PLÜHAII., Pni MK, Pï.UMUT*
«
17U
Aitjreiti oi) Hsprit, — Coiffure feiiiiiiiiie; Fnince, L'oiu^uUit»
40e.
Aiguière {aitjuier)^ — Vase de métal, à Biise et ü liwî, rejio-
wiirt sur un plateau on cuvette, et dc^^tSué à eauteuîr de
l’eôiu Au moyeu âge, l'or, rargeut, les émaiiy: contribuaient
à la décoration de l'aignlére, nffectée au service de la table
ou phL^kurâ autres image?;, £32, 30fi.
Aiguillette- C(t4tumé tikiiitttiri-, — Tîtisao ou lacet formé
d*un tksii d’or, d’argent, de goic ou de laine, dont les boutâ
Hont en pointe de métal. Ban? le moyen âge, et depui^r
l’uBage des armures complètes, on donna le nom iVaitjui/-
UtUs ou cordona à ferrets nuK Inoets rjui eu liaient les dif¬
férentes parties. Bans In suite, on en fit nue espece d'ome-
tneiii Eiui servit ù distiugner les différentes armes et les
différents grades; &3, 54, 3«(>, 3tÜ7.
Cosiuîm civit. — Conlou tertuiné par un ferret ou une pointe
de métal, afin de faciliter Je jKissage de ce lieu â travers im
ou plui^îours œillets. On voit les aigu il tet tes adoptè'Cîf. pour
attacher outre elles les diverses pièces des vêtements dés le
tremèrae siècle; 2S8, Î8Æ, 327, 32S, 336, 34Ü.
Aile. — Partie de ratriiim romain. Voit< Ar. t.
Touffes de côté ; perruques du dix^buiti^-me siècle, 367.
Jifr de liapiUon (vêlement en). — Robe dlupliane jKirtée îiar
Ici daines francaise-s de lYjJoque du Directoire, 404,
Aifer&n ou luanfAe^on. — Espèces d'ailes en étoffe toiul»int
di'S é|Nin1cs, eu usage dans le costume des dames comme
duu.*^ celui des hommes, pendant la seconde moitié du æi^
zlème siècle; 254, 264, 274, 27&, 276 et 277, 27tt, 2Blï,
Aiietfé, — Pièce d'annurtf [jui, vera lu seconde moitié du trei¬
ziéme siècle, ftit posée sur les éimiiilçâ de rijtsnime d^anues,
afin de giininlir eette iiortie du con^ contre les coups de
masse que le camail et la cotte de mailles ue protégeuLcut
pas suMsammeiit ; 262;, 217,
Aïvâs. ^ Cuisinier turc, 175.
Ajote- — Sandale de {^»cau; cliaussure des Araucuns; Chili,
78+
Akal. — Corde en poil de ehameau que les SetUni ou Bd-
douüis du Liban enroulent autour de leurs turlKvns, 170,
Akindy Nataazy, — Prière de i’ai^r&s-mldi; religion musul¬
mane, 145-146,
Akkja+ — 4 Bateau de neige i> ; nom ijartjçulier du puti^Cf
traîneau d’hiver dea Lapons; 411, 412,
Akloiika KébèCi* — Vêtement de desâu? des Armoid ou
+^lbanals; Turquie, 464,
Ala Caiîe>+ — Vaste pièce de la maison roinaiiic Llestîoêe à
recevoir les visiteurs. Il y avait géncmleiucnt dtuîc wld*,
une de chaque cété de TAtiïicw (voir ce mot); 33^ 46+
AlabasUa, Aletbastron [àlâÊacTTfiaj à’/àSadTfiov}. —
Yase dans lequel les Grecs renfertitalent des etigtients ou des
parfums; Ll avait parfois la forme d’une iwirct d*un iJOii-
dnlit de perle ou d’un boiitun de rose (atabits(ri) ; 18, 25-
26 .
Alarakia. — Bonnet eu calicot qui!» met sons la CiiecucA
(voir ce mot) ; BÆaures tuniaiens, 160,
Alaouzf. — Kolx donnant une couleur noire dont les indigê-
nc^de l’ile Viti (Océanle) fout usage pourse iwiiulre le corps,
62,
Albai'cas.— Cliaussurecn peau de bœuf; Aragon, Espagne,
475.
Albomoz, “ Le burnous des Maures dVLspagiie, 156.
Alcandora. — Haut bonnet de toile en forme de initre ;
Mauresques d^’Espague,
, Àlcdva. — Itérluit priïtiqué dans une cliauibrc â coucher
ponr y placer n u Ut ; les riches alcôves des ch ambrer de
pimde du dix-septième siècle formaient plutôt connue une
seconde pièce, 190-101, 347,
Alderman. —Magistrat municipal; Auglcterrc, 430,
Al dyiônan, — Divan, conseil de eltefs; Jlaures d'Esp&pie
156,
Alenas. — Épée fine et tranchante eu usage pour combat Irc
de prés Claris In mêlée ; on la portait par devant,, nu milieu
de la Ceinture ; France, fin du douzième üicclè^ 2ü3,
Allango. — LYpée des Muurcs d'Espaguc, 166.
Algensls. — Pûun>ï'<? foumSe iharun coquillage que l&m-
cictis péchaient au milieu des algues marines^ 25-26*
Alguacile. — .igent de rimtorité iuirtici|)Ant de rofflcicr de
ptdîce et de riiuèssier; l^puguc, 470 et 471.
Alipilus. — Kpileur* esclave attaché aux balus romains, 46.
Allptes (àXèînTrrO* “Ches lis ürct«, celui qui avait
double etuploi d'Wiicê?^ et de miitrede gyiiiiniistique+ — Chez
les llomaius, l’esclave chargé de frotter ceux qui Eortaiiut
du bainj 45+
Ahnaire. — Voir Auuoiue.
AlrtiQfar* — Cnpuebon; Maures d^Espagne, 166.
Al mob ad as. — foussiiis; mobilier mauresque, 156.
Alpargatas, Eâpardetias. — Chaussure de chtkuvTC tresse
que l’on attache au moyeu de rubans; llspague, 472;, 4 74,
476, 476* 177-478.
Alu ta, — Cuir pour chausaure que les anciens prépomicut
avec de Faluu (a7ufni»a^a> pour le rendre doux et sonplp+
Aluti pLri^n — (.'haussure large ue prenant i>as exactement lu
forine du pied, 47+
Amaboutou, — Torteiir ïouÎou ; Afrique» 67-68.
Amadis, — Du nom d'un operu de LuHi : garniture galon¬
née ou brodée décorant le revers delà manche à bottes;
France» dix-septième siècle, 354+
Amadis (mancheïi)* — Cellesî de redingote des du-
tiïes de l'épofîue Lcmla XVI, 38®.
Amadis (curaco â 1’)- — MuJes lémiuiiics de l'aunée l?!}! ;
France» 338*
AmândiUe. — Coiffure plate des paysannes du Cnssinuiu;
Italie, 468,
Amapagatis, — Vétéran zoulou; Afrlqae, 67-68.
Amazones. — Race fabuleuse de femnitsi guenièrea derAiSÎe,
14, 23,
Amiutum- — t'Durn>ie attachée iiu bois d'une hince ou
tl’unc jrtvcliiie, vers le centre de gravité, et dans laquelle le
guerrier, au iiiement de lancer l'arme, engage les deux
doigts de la main droite, de manière â augmenter hi force
d’impulsion» 25-26, 6U-61,
— CouiToie plate de la ct^pidf, 35 26.
I Amict. — IJnge bL'nlt que le prêtre catholique met sur ses
I épaules avant de nicmter ù l’autel, 181, 182, 185, 133, 194,
in
Âmictus. - Tcrim: gi'ji -nil tuijilüyt: jiurlcs Hiit'îeiia i>üiir ds-
sîguer ItJtirt Itî' vî-tcmciilis de dcïwus <jiiïiis Iwijuelti otMV«rr-
(cie<ïiïitV>Vfji,iwit opiK>sttk«]ii aux vi-Unutiita dedcij^ous
cluc Ton mtitnii (de Su,
Amin. — Celai qni exerce rnutoiitè daiM le dt-héfn ou viî-
tiige kabyle, )&2« l{i3.
Amkaa- — Grande cournibervêc aux iLiidienees dan» le^i msi-
:videiice4 ilei eoiiverïdns oiogolst II'j', 117-llii.
Aminei^tor. — Éelieviua de riuieieniie Alsace, •!««.
Amolimenta. — Préservatif, iLiUsman en usage cIjc^ tvn
Itoiualnü, 42.
Amorçoir. — l ei’r Fi.as<qüe.
Ampliiphalos (àfrçiçï/oç). — Casque orné de deux crû¬
tes ; Diitiqnit;]' gri^cqiie,
Amphore (àp^opeo;).—Vosede terre cuite à deux auscH.—
Af/ti^Imfr r«?« I/aitqdiore lerniLiu* cni pointe^ celle
qui ne jioiivait a*asseoir d'elle'^niûmc et ciu'^oii était obligé de
poser tfur uii tréjded ou d^enterrer moitié dauâ le £able des
cavtiïf; Égypte, 7.
Ampoule. ^ Surette ou liole ilnUs laqUcilé les ancielts coli-
scrvaîcuit les huiles de toilette et les jiurfiinis; Égypte, 7.
Ampo. — ,Sorte d'argile Que la Jarniuiise emploie connue
tdiment jHinir orrlver à la maigreur ; (.>céaiiie, 1 j3-&4.
Amschir.—Encensoir de bronze ; Egypte, S.
Amyclèides on Laconiques. — fhansüuresdes S^partiates.
Les iirnifrtéidfê tiraient leur nom d'iino an<’ieiine Tille de
Laconie* Aiiiycltt* * 47.
Anabole (àv^trjé>. 3 !tiïv), ^ Uanteiui court. Maniéro inirlL
culièrv. chez les Grecs et les Eomainr^* de |Jorter tout vete-
ineut de des?îiuj>i, <|iî*U ap]!;iriieni]e aux homme* ou aux fem¬
mes. — Anahoie c'est-ii^dire replié sur lui-mûme.
dcveim double. — ranaliole simple non re¬
plié, 19.
Anadèma (àvàor,jjLa), Anadèmata. Anadèsmé. —
BaudelciEcs* liens scn'aiit à coiiteuir b clicvelurc des dames
gi'ecqueâj 21, —AiiifîmscidMditièf es, Jtusclhaiisfèi^t,
— EaiKk letteson eolllcrs qui [jassAient sur les épaules, lë.
Anaxyrides. ■ Pantalons larges, longs et plisséi que, sur
monuments grecs et romains, on voit aux Phrygiens, anx
Perses et et ans autres peuples de TUrfcivt, I L
Anaya. — Saul-comluildu voyageur; Kal>ylîe* I5ü.
Andabata. — Gludbteur romain combiUtaiit clrèval etks
yeiix Imndès, -l(î-37.
Andron (àv^pcov). — t.bine des deux divisions principales
de la maison grect|ne, celle réservée aux honnne?;, 27 - 2 H.
l oir Gvxiîchh,
Angarkah. — Chemise cotirtc ; Inde, 13o,
Anglaise, — Koljc eu tc<lingotc ouverte ; moded léinltiiacs ;
France, règne de I^ouLs .XVI, 3&9.
Angon. — L^iitue dw Frnues; lance uyatit tieiueouij «le
mpixtrts avec foïiiaiii, 4«-l9* fiti-57.
Angustlclave {cfartu amjustKs}. — Tunique des ebevaliers
romain-^, ornée de deux bamles »tc iKiurpr^- marque dbtiue-
tive de Tordre équestre. celui tiui avait le
droit deiwrter l'angustielavc, 40, VoeV' Cnw K, L^Trcn.vvE,
Antlik. — Itiiban d'or élosihpie, e.-ipece tic courunuc; puiurc
fijinininc ; Turquie* lii9.
Anneau (urnttihis). — Bagne.
dnaeaa Insigne dfri clloycna romains et pins tard qles
plébéiens, senia* — /Iftaenu tl cr, insigne des i>iilricieus et
defl Chcvalleis. — celtico-scandluAvc* 31, SS» —
rpîiçoixi/t gage de Tnllimn'e spirituelle que les évê¬
ques contractent avec TÉfilisc* 182, 1^1.1,
d;ntêMW' bftnfïttnf^, « per/cj, a»!#. — Pendants NTortüles;
Fmncc, régne do Louis XVI, SÜt-Ssa.
.liimenu.r tia «er (moHCdM^p). — Pjirnre des femmes indoues,
123, 124, 125, lié, 127, 128, 129. *
Â/iîiînii,r dif Jttmbf-S* — tkrésïlie, Afriqiie* A;sie, tsiJ-Ul, C3-6I,
G7-G8, 71, 72, 7S, 123, 125, 12G, 127, 12ÿ. J 50, 151, 1^5, 4C3.
Tofr KIIaTKIIAI,, P£rilSCELII>Kîi,
Aaaerpujrdr cArnI/r. — l'oir Co^iPKrjES, PKEiir i-ziDEîi.
Anââ. — Le trou ou LVivil p.ar Ictpicl on passait la cQurioic
on le lacet de b cr^pide (voir ce inotj, 47.
Aiilarawasaka. ^ L'iine de^i roi tes de couleur jaune, b
L'üuleiir sacpéOt dw prètrcü kAn<iieas; lie de Ceylnîi, 132.
Antithalamua. — Clmnibie de la maison grecque, 27-28.
APU ou Alikirs. — Chefs k4iiLnt^ues; Ucéauie, ün.Gl.
Avouai cm ou Ghaouâzy. — Danse uiics arabes qui vont
dans les harems et qui jxm'uurvut les places publiques ;
.4.1gérie, 16 t.
Apanage. — Nom donné à un certain genre de breloques;
I l>l|out#ric-joaillcric du dix-liultième siècle; Franoe, 3Hu.
Aphaloi ou AlophoL — Çasiiucs sans vidérc, ni cimier;
Grqifce, 26-2C.
Apodesme (ixtt&oSiîIAOÇ), — Lien du sein, que ilnnsla suite
on iionmia iStùAodesHU^, ferma tiij(rojibinm j costume fèiaiiiiiu ;
Gri'^ce, 19.
Apparat {^^ 0 ]f^nre d^) dite aussi Loge d^opéra. Motlea
fémiidîUHH, régne de Louis XVI, 389.
Appui-lance. — l’«ir Fauche.
Appelant (T). — I-C -soigneur qui eiivoïàit le dtflî toirrlioiel
du moyeu ûgOj Î2L
A qui!a- — l’oïr Aille. ,
AquUifer.—Üflicier romidn porteur de Tnlgle, 3L Tuir Üt-
I ÜKlt'KU.
Ara. — Toif'AuTEr„
ArabajL — Coclicr turc. 177.
! Aï'balëte:. — Arme de jet dérivéiî de Tattï (orc-tmlisteh
I eomiK>*:'‘C d'tiii aro fait de nerf, de corne ou do métal, d'un
nrhrier oü coritî de boi* destiné n fixer Tare et A recevoir
le projetHilo. et d'une noix avec la «léteiitc.
ArifUtcfe à ertf .— Celle dont Tare dhicier, était Imidé h Tain le
d'un cric à manivelle; àpiv, celle dont l‘arbre ètaiti pourvu
d’un étrier (IW CnANKqoix); à tour ou Vt mow/fc, celle
munie d’un treuil à [wailies appelé au.*.’'! tiwitliftr'f : Euroiw,
moyeu iVge* £18, 219, 220.
Arbalétrier. — Homtuo de gnerre de Tinfanterio soldée ou
des mlliees oommuimles, armé de l'arljalèt^ ; Euiüik', moyeu
Jlgc, 218, 219, 220. Totr CitAXEgUDüËiU
Arc — Amie de jet datant de TauiEquité la plu.* rcCühe :
toutes téj races liumaines en ont fait usage : eu Eiîmpt-* elle
172
lie J ut dans lud atJiiJif 'tîs, que niiri’H
FiUTeiition dca EUDifs ii fou; 2, 14, 15, 2î>-26, 4«-4lï, Su,
GU-fll, 73. fl4 BS, 3C-97, 122,Ï1S, 220 . Voir Ançtmu
Arc-en-ciel (rubaiis ù 1'), — îlotlcs f'-tiiüiinea ; France,
liiiltléiite Ëicclc, règne de Luiiia X î!Bl-:3BS.
Arca« — Le cofFre-fort roiiiaÎJ], 14.
Arcantodon- “ Titre jorté iwr le clief ileâ ceni-ttfet, clieu
ICiS Vèliocas^iejs, iK^tiîjk'! gauloie, &6'57.
Arcelets. — Petits cerLdes de fer servnut d relever les che¬
veux Eiu-dessus des toiiijwa ; Luüdea féiiilniuc’t’ Euri>i>e, ser
Kième siècle, 277.
Arche. frmiul colTre rustique, lucublc btui, ijortniif ; Ftiitice,
231, m, 49&-50Û. SKSyiic^uK.
Archer — CnuiliAttant Armé de Tare,
IS, 2S-2G, D ^BS, 98-B7,
Atrfttri (/Vïïwtï). — JfilSte fïii3i4,'iiise crèi^e eu H48 jKir Char¬
les Vil; ce corijs était fomié lîat les difFèreiites ptiml^aeB dii
royaume; chacune lourniseait iiri lioïutue anné qui étaiit
afFtAiiclii de tout subsîide, de lA leur roui ; 2lS-22o.
Arch'iou. — Nom donné eu Üretague ii raiHi^ ou Uiliut ntS’
tique; Fmiiee, 498, 499-SIX),
Arçon. ^ Lu partie de bi selle éîeviie ou are de vaut et
derrière sous ies tnltes du truiisseHiuii], 2u2.
Arcuatus cuitus. “ Chai' autique à deux noues, avec une
tente demi-eiradaire au-dessus; 2Ht.
Arestool. - Le fer court de bi bmeo de eoiuljat; Fmijce,
treizième siècle, 204,
Argo peilloux. — FoiV CuuanuiiE.
Ariaaid. -- Le gniud plaid des Kci>$S 4 ii;!:, 427.
Arkalitch, — Veste de cuir du (porteur d"cau) turc,
1 1 &,
Arma (a-pjjLÆ)- ^ Char de guerre A deux roues ; Grèce^ 16.
Armarium. — Voir AnMOiice.
Armel. — Armoire ; mobilier rustiijue bretou ; Frïiiice, 499-500.
Armot. — Corruption ilu vieux mot fiançais Mütimett petit
|hiLUine> Ancien ea4!ique des uiilices adopté par les honunes
irarmes du XV'^ fiiècle. H ac eqmposjiit dii avec ou
sans ch tc, de la rur, du rfasnf et du rcRffrif. pièces mobiles
dont rensendde souvent désigné |Hrr les noms île mérnil
et de fjort/erin. — France, moyen Age et seizième siècle.
203, SI7, 21S, 2,^3, 254, 260, 2C1, SCS.
Armilla ("isï./to'j). — Bracelet d’hommes composé de trois
ou quatre tours mmssLEs d'or ou de brouze qui couvraient
une grande partie du bras; aiitiiinilé, 31.
Armoire (n7w«iVv, smair^, (tmmriutu, uumaire^ aumoitr}, —
C’Iie» les RomaiUîî, YtfrîmHum gert d'armoire, de cAbiuct ou
de buffet. Au moyen âge, Je.i iiuda ffîmaii^e, amuir*-, îjont
employés |jour dt?8igncr un meuble fermé* peu profond, bâtit
et birgç, à un ou plugieurs vaataux, destiné â renfermer
les objets précieux comino ceux d'uii usage Joiünialier; 33,
44.46,229,230,375.
Anncii^ arfûiitjnt^i seizièine siècle. — Voir Kb+'ï tj'i^cliUAXX.
Armoudiè. ■ — Orueiiiciit d'or de fonue allougée, qui onic
imrfois le j^hAuI des Turcs ; 3 76,
Armoyèa (voteinçnts), — Invention du trvixîèiue îiièclc qui
permit aiixginitiEfihoaiimesdc faire figurer sur leurs liabits les
Liiddénics bémldiqucs île leur niaîson. Il y avait des mlK-s
et érarfrfiesf ç'e-il-à-dire dout cliaiiuç face rejjrésejitmi
' raueoupleiUi'Ut de deux ou ipiati'é bbisons; Kurui>e, inuycn
tige, 211, 212.
Aropstara ( Ijalic agisîuxïite). — La lioule creuse en hronze
JtfiPplie de pièces de métal, attachée â IVxtréinM de TizirfA,
ariïie de jet des Pictes; 425 et 426.
1 Ar'oixati. — Marchand d^liuiies; Alg^tric, 163.
I Arpides — Créqddc à semelle fortement cloutée
jtor+èe juar le soklat grec; 47.
Arquebu$$. — Arme à feu de la longueur d’na fusil : coni'
nuniça à Ctrc eu usage dans les amiées françaises vers repo-
que de Louis XII.
.(/'n/tfftwAÉ! ù ci ùc. — La plus longue de ees armes, au canon d’iUic
longueur d 11 l‘*'2é à l'°7U qiie Fou plaçait, au niomcut de
tirer, sur un cheviilet oü elle était retenue par uii croc. Gn
enflammait la iwnlrc 4 Fable du froute-/rw.
A rtffietftisf à — Celle miuiîe triiiic platine jKjrtant à sou
extrémité inférieure un ebkii nominé terpenii», lequel était
garni d'une mi-elie nlliiinêc qui s'abaissait sur le l>assinet et
mettait le fcii â ramorce.
A rqueîrm<r à rouets Anne dont le cidcii était muni d’uno
pierre ; lor=qu’on Appuyait sur la détente, cette pierre frottait
SUT un rouet il’acicr CAmiolé et produisait des étincelles qui
incitaient le feu â Famorec. Cette invention eut lieu dans la
i^econde moitié du selîièmc siècle et précétla de peu de teiuj»s
celle dos mou^qnfif (Voit ce mot).
.1 rf/ioéawcrï, — SoLdats d'iurniiterie armés de rLirquebusc,
256, 257, 283, 301.
Arrêt ferme. — Voir FaI'i iik,
Arrière-braa, garde-hraa. — Biice séparée de l'armure
garantissant rarrière-bras ctsîitre les grands cüuim d'éi>ée et
le chou des masses d’arîiies ; Europe, ino}'eii «ge. £02, 217j
21g*
Arrière. — Muletier csyiagnol, 477-478.
Arsoiî. — L'arehct des iiistruments a cordes du moyeu âge,
210 .
Araoulètes. — Ijîs t/amochei du payï^an français du Siciziême
siètde, 331.
Artèmise (toilette A F), — Medes féruJiiiiies, époque de
Louis XIII, 328.
Artichaut (barbe en feuille d’), — Dix-septième -''it^cJe:, 36i*
Artillier.— En France, au quinzième «iècle. on ap^ieluit iiiud
ceux qui fabriquaient les 4iojins ou macluncs et les armes
de gliertf ; £20.
Asahîï. —■ Voile do tète des femmes Acden^f ou Bédouine-?;
Turquie, 180.
Asagoum. — Cruche 4 eau ; Kabyhe, 155,
Aaeth. — Lniice à miiiii ; arme de Jet des Fictif, 4'2S et 125.
Asperaoir, — Objet employé î>ar les aueiens pour di&lribnrr
Ftfau lustridc dans les ci'rémoïxics publiques, 39.
Aâpèa (dipt’U.t). — Grand bouclier grec, 25'26.
Asâa.— Longue canne en bois de merisier; Turquie, 178.
A&sejira. — Xatte d'alfa ou de dise sur îoijuelle donnent les
Arabes, 155.
Assié de hu. — Lt ecnil de la iiuuson bretonne; France,
499-5 ml.
Atchat. — Oeiui-noble ma liai! luds ; Ucïu nie, 63-64.
Ateuchus. — Bague étruaque, 3L
Atew. — Hutitc inîtrfi; i:iîy]>t.o. i.
Atrium, Fairtîe priiicEpalo tle h\ ninîsxMi rnnmtdet pîèoc
rectaiigttlAïre m'ouvjTte d'un toît,nvcc iiim' niivfrtiiTc un
rentre ; un has^sîii (imtitrwium j y roîTcs-
|)ond»it,
Afrium r<^tittthiumé — füelul {‘nmiwiii-’ de portlijucfi ï'il;
iiftücü U’onli^ ooHuthitui ; cVtuit le- plus riche de tcu-^.
Atrium üisjAuriitfüm^ — Atrîiuii iivec U 11 toLt dont ta jx-iite*
Allant rinii!* une cliroclion (>ppOsa>e ftu tûmj/litvmm, chossuît
l'eau duna gniittîêres du dehors.
Atrium ffijtimltnaium. — L’atrfsiiïi couTert^n#: com|>luv[iiai.
Atrium ftiinttfiium. — Celui dont îe toit était s.op]iorté
i|natre colonnes, lUic 4 chaque aiig:1c de Vimpiurium.
Airium tHtcanicüijf, —^ L'atriuiD d'ordre toâ4.'ali.
Atrie*tti4, — K^elave des grandes tuaLsons roniHines n cjiiî le
soin de ratriiiiu était apécialeïiieot confié ^ 33, 4G.
Attila. — lïciUiigoto des maguats^ Hongrie, 4*3 et 450,
Aube. — Tunique hlanclie 4 rnancht-g, portée, dan-^ les pre-
nitors aiis^Scs dn moyen âge, jîar les laïqiic!s et |>ar loa ch-rcs*
mais qui,, dès le triuzieiuc sît'ctc, ne fnt plus considérac que
conime vêtement sugcrdotal, iSl, lS2j 103, lOf, lifS.
Auctorate (ttu^torfi/m}, — trladiateiir libre ; Romains, 3C-37i
Augurale. — Place 4 droite de lu kmte du général, dans nn
i-nmp romain, oh l^ni prenait les au-ipice^* 3S.
Auguâtines (ordre des). — Ordre de re]îgieii?es Inslltu
dit on, 4 Hlpiauie, par »iint Augm^lin, 33Sf,
Aula — Cour inté rieure de la mohMin grecque, 27'2B.
Aulâios thura SOpiat). — Frirte, entrée princi|Ki!c
sur la ruo ; maison grecKjue, 27-2S.
Aultler. — Toir iVi'TKL,
Aumaire. — Vair AiiMorîtK,
AurnÔnîère (rtUfnflJnfôér, ituiiimmiiTr^ntmi rr). —Bourse que
les dames ilii moygn âge attitchaient h leur ceinture, et qui
contenait la menue mn-nnafe destinée aux auinùites.
Aumânièret jtnrratiftûifts. — Eiîi|>rnnt('efl 4 rOrlcnt, elles s'în-
troiluisirent en France à î’éiwine des croisades, 189, 2Ud,
213.
Aumusaa (ourtiwce, abnuch^y — Mantalet pimi dhin ca-
pachon; ancien vêtement propre aiijc deuK^exes, mais qui, d^
le onzième sk-cle, fut spérialament affecte: aux: clinnoines
régulicm, 1«S, 200,210, Ïl5.
Auriga (yjvi&jfîit)- —Coiuluetenr de char ; Orèce, 16.
Auriphryglata. — Mitre de soie et d'or; moyeu Age, 103.
Austrasionne (vétciuÊnt 4 V). — ^^fodes féminines: FrmicD,
iV*gno do Ixmis XVI, 3Ü0.
Autol (Ânliquite ; anf, (j'JTÔç»itiV. fîüj|fi.ot\ —(’oiHtriictînii
cîevêo en terre, en gazon, en pierre, en briques, en lULirbrc
scnlptéi, sur laquelle on plaçiiît ou on briïlait les offraiidet^
faites ans <Lienx, — tfturkt‘rtm, celui sur lC4|UCl ou
brûlait et ou n'panduit de IViJceiis, 38.
(Moyen Age î /tttfiifr, riafe/-), “ Outre les aulcl» fixes qui,
depuis que la religion chrétienne nvait ses temples, ètaieid
ion jours en forme du tombeaux, ou &e iwrvait, |Kil<laHl Ic
moyen âge^ d^iiiteîs iKsrtaiifs, Ces autels étaient transportés
{HuabinL les voyages, et, nue f<iis consaoréa, ik;rraettaient de
cél -hrcr la loe-sge eu ions lieux, 231.
Avant brassards. — Pièce de rartniire ilos bms j Knropr.
moyen Age. 202. 21 S, 222*
I AvantaiL — T'cf/* Vf xtaiu
f Aven à* — Lu flûte de Pan; aritiqiût^ 43.
Awenydd. — Klève iiarle inspiré par Auen, esprit dcln
IJûiVie; Gmndc-lîrelagiie, tViioriue romaino, 425.
Ayah, — Pionveruante indonc, 124.
Ayn-eî*hor. — Ta genimo appelée « ipîi de chat w; préservatif
que les Arabes croient devoir employer <'onire les mauvais
coupe du ^rt, 162,
Aziar* — Ciuchc 4 cau ; Kabylic„l55,
Azizsié (fez de fonne ditej. — 4, d, légêrCTuent conique :
Turquie, 17N*
B
Baba. “ Hnêssîers du sétnil ou po-^tés 4 l'cntré-c du
harem impérial; leur capitaine ]>firte te titre de utjha bit-
trasH: Turquie, 169*
Babouche (fMdmttJf). Pantoufle ortenioie. 112, 113, 1.10,
IGP, 175, 17(î* 177, 178, 179, 1«Û, 1«2*
Babra. — Souliers minces. 4 semelles sonidos: Maures tuai-
^sieri-i, ISU.
, Bab'US’Selam. — ■ Porto des mltitatinifi:!^ »; si'eonde jMirte
du sérail îinp.!‘^rjal ; Constantinople, 172-173.
Baccarin. — Parfnm en iijiage dans les Iwiins romains, 4^.
Bachelier — Le chevalier jxvuvre n'ayant
îmur cns^vtgtie que lo pennon, mi, aiKsi, le jeune ciievalic-r
qiiï n'avait jMis encore lo droit île liunniêiv. France, moyen
âge, 2Ü2, Vtiir Banvikiei-:*
Bach-eurtussu, — Vêtement de dessus : dames tiirqui's.
|7!I*
Bacblik. — Plaque iForfèvreric ormint le sommet de la
coiflfure; t>ariire £éniinitie; Turquie, 17 7. — Coiffure çonsis'
îant en une i:dêce d’étoffe rotrunhaid sur Icw épaules;
fcninies grccfpusî, indgares, -ldi, 462,
Bachmaqlig. — flt Argeut des pantoufles w. l'éqnivalent des
K épingloH n eu frutii,aiie ; srnnmo que n^oib nnc o^lalisqne*
InrtHliFelle donne lui enfant au Grand ^eiçneuf, cC qui lui
fait obtenir le titi'c de KAttst^jutf Turquie, 172-173.
Bacitiet (liassinfit)* — Calque dont l’origine remonte an com-
ïiienceiocnt du quatorzième siècle. — /îftciNrf à mumutf tt it*r
li'fiiitfaitr Europe, moyen Age, 262, 217, 219.
Baculua pastoralia. “ Nom donné- 4 lu ert®-:^* par an¬
ciens, 193,
Badé badé' — Couteau il'iîSAgc conmnt aux Céléhes, 6.5*
Badelaire {butelaîre)* Poignard sit-spcMulu an pourpfûut;
cixtiinie civil; France, quatorzième siècle, 206.
Badjædalie. — Cuirasse de pcnii de hulfle, i>u tressée de ûla*
meuts végétaux; Cddêljts, 65,
Bagali* — Vêtement croisé sur la iioitrlne ets^c iKititonnant
J’iin côté jus<‘iu’4 lu hanche; Perse, 14L
Bagnülottb. —- Coiffure irhiver ; capeline oouvmnt légt‘re-
ment ks épaules ; modes féminines; France, première nioidc
du dixduutièuie siècle, 36B,
Bague ^ .4iineun ild métal, avec ou sans pierre
çnchAs<re* que l'on nn-t nu ikûgt. TiCS hnguCïi orieiitaW i>nr.
174
tout le nom de khaümtf de JfWrA, Slj 5lf 53, C'-Cfl, lii8^
110, Ils, 114, 123, 137,128, 1£0, 154, 1<Î5, 177, IBÜ, WlK
411, 417+ — Boum Charles VIÏI et Louîa XI. bù^ne ou (ïia^
aif^niiiait aiissi iin jaynu iV pcvdrc nu eou ou à coudre
sur le retroiisaia du, cha]>€^u ; l’rance, moyeu îlge, 2^18.
Tûij-DAcryL.îû\-, ExsiîioyK, Pentawi,.
haijuifT^ — Écrln ï30ur lèse l>&gues, 231*
Bahut bahttt^) ^ — Meuble domestique le ]>luâ tisucl du
moyeu ûge, aervaut à lu foL? do coffre (ce qu’il était pri-
luitivement), de huche, de l^nnc, de Ut, et même inirfoB d'Air-
raoire ou de trésor, 130-181, 230, 394, 295. —
nom de l'oüvrier dont le métier étAÎt de faire des buhut^?,
lies coffres, des valises, «te., 205.
Baigneurs (maUrca)* — Kom donne aux bimbieca-étuvis-
tesj France, dix-huitkme sïoele, 337*
Baigneuse (coi/fatt ™). — Modes féu]iriine‘: ; France, épo¬
que de Louis XYI, 3 89, 391-393*
«
Baignoire à la Dauphine. — Tyi>edc Imignoirè dont l'idée
a étôdoîiuée par Marie-Atitoiuette, lorsqu'elle était dauphine ^
Fmrice, dix-huitième siècle, 307*
Baila, — Koni que les Oaliclcns donnent ü leur danse ; Es¬
pagne, 478.
Baïonnette ou couteau bayonnaiSi — Anne Invcutétc sï
Bayonne on 1671 j ce n'cMt que veiM 1703 que toute l'srniéi::
française eu fut année, 34 3, 385*
Bakkal. — Épicier turc, 178,
Bakkum. — Dcmi-]>ique ; arme offensive des Hottentots, 73.
Baklappen, — Mouchoir servant d'envcloptjc de livre;
Suè<1e, 413*
Balagnie (mmiteau ii la), — Cape que les gentîkLomqacs dç
répcs|uc de 1>3UÎ3 XllI portaient drapée sur le hras ou nuionr
du Intste; France, dix-scptiéme siècle, 327, 338.
Balalaïka. — Guitare à deux cordes ; llussie, 4-14.
Balandrau ou Balandras* ^ îlantean de QDini 3 ;)agivari.l ;
France, seizième siècle, 374.
Balantine. —L'escnrcollc des dames dn Bîreotoirc; France,
Un du dix-hiiitiènie siècle, 401* Voir RéticCU:*
Balastre. — Forboillc plate en usage chez Icfi marcha iides
bordelabes; France, commencement du dix-neuvième siè¬
cle, 4S5.
Balatte* — Pierre employée dans les construottoiis de
riCgypie antique, 9*
Baldaquin. -— Dais d’étofle élevé au-dessus d’un Ut ou dhm
trûiie, 314, 322, 341-345, 387.
Balaa. — Radeau fait avec des bottes de roseau; liuliensdc
lu Californie, 83.
Balta* — Hache à lame d*ackr en forme de large croissant ;
Dmsos du Lllxm, 179.
Balt^uS ou Balteum {T£).'Sf|j.d>v^>. — Baudrier du soldat
romain, 34, 38-37.— Le pli de la toge qui va de dessous le
bras droit jusque sur Tèpanle gauche, en décrivant la. même
cotirlw quhiu baudrier; costume civil; Romaîn.'^, 4Ù*
Bâl£ 0 . — Eejièce de Iwurrelet, coiffure féminine; Itaïîe,
quinzième et selalètue siècle, 243, 244, 2-53*
Bambarra* — Chapeau cylindrique fi liante forme et iï livr-
gea liorda; Sénégal, 67-88, 72*
Banarach. — Laitière écossaise, 427*
Banc (/ormef/(nifm*y. — Dans les premier» siècles de la mn-
îiJiixbiü française. Je Imnc était autant une tableqifun
JjC inot/orwifou/uwcnie »'emploie quéltiuefoi» comme cMirv,
mais plus géiiéraletuent comme banc divisé en stalles avec
aiqniis, dossier ei dnis. — Mans de ehæar, dt ù
dfiit, /fffîi4/7o/; Europe, moyen âge, 19U-191, 216, £27, 233.
flojfçinVr, — Pièce d'étttffe tendue sur le dossier «t le siège
tl'un liane ou d^me chaire ; nu seizième siècle, on donne éga¬
lement ce nom aux coussins placés sur les escal^eaux, 227
29S.
Band63. — Trouiies de ramiée française soldées par les rois,
et primitivement composées de gens venus de tout^ Jea par¬
ties de l'Europe. Depuis Tbilippc-Auguste jiuMiu’â Charles V,
ou donna à ces réunions de itierccnaîrçs leu noms de muHers,
bntbfütçons, gratules conqmÿnie^, etc. Sons Louis XI
et ses successsciirs, elles reçurent «ne organisation et cons^ti-
tuèrent rinfantcrie française.
Jïrfjjdfj Xoin donné, sons Tlonrl II, à celles dont
l^orgaiiisatiou remontait aux rois LoiiLs *X1I et François
/Siindf^ inmretlfjr}. — Bandes levées m fur et k mrsnre de»
1)Csoins et eongédiéca d la fin de eliaqiie guerre^ tondis qu’on
conservait ordiiiairemL-nt les auoienIles.
fiandti dé J^ainfîe ou èirrttdej iI<î dr^à /pj: rnonfj. — Yleilles
T>aîideâ qui furent Ja souche de l'iiifniiterie française; millccH
reconstituées dcii/rttrit$
/Utndei da Ihéimid ou frfradei de delà ïcx motifs^ “ Fondées par
Louis Xll en 1507; £54,256.
Bandelette. — Toilette féiuînluc; Grèce, roir Ax'AbfeiîA
Al’<î.'bKMK, ËTIIR^niüUtl'îllE et Btiiüiuiiuv*
Banderilles. —“ Petits 1>àtons enjolivés de jiapicr Msè et
le^Tûin^« par des liomeçons que roii enfonce dans la peau du
taureau : J ds foroj, E^jiagiic* — UumUfiHos, ceux qui
excitent le taureau è. l'aiile de» ImndcriJîos, 471,
Bandoulière, — Large Ijaudrier de cuir auquel les niousi^uc-
laires suspeuilaient leur» étuis de chiïrge (nni/'GoFFls) ; lors*
que la cartouche fut inventée, en 1683, la lïfiudoulière ne ser¬
vit plus qiPà, soutenir la giberne. Armées Irançais^s ; seizième*
dix-Bcptièmc et ilîx-liintîènie siètics, 257, 301, 312^ 34S, 381,
383, 304* 386.
Bandyn ou Bendyn. — Grand tnmï>our de tmsqne ; Perse.
139.
Batigle. — Bateau indon servant aux transporta du riz, 131.
Banneret (Cheraher). — l’a*/- Bansiêre.
Bannière. — Petit drapeau carré, tl y avait en Franco, au
moyen âge, la bannière royale, les lîannîère» ftNjdalcs et celles
des eonimuncs* Au seizième siècle, la bannière prend le nom
de eormtfcc, et au dix-lmîtièinc celui d'^étendartl*
ftannéiy/t (efieniiî^ef)^ — Celui qui poitaît bannière et qui
avait â sa solde une troupe d’on moins cinquante hommes;
£ 02 , 222 , S.lcBKùKii*
ftaiîfrolie ou littnder-olé, — Plfxre d'étoffe carrée, ornée d^ar-
inoîrics ou de devises, Uée par un cûtê a la trompette de«
hérauts d'armes; France, moyen âge, 218.
Banquier* “ T eir Iîaxc.
Baptièt^ritim* — Bassin placé nu milieu dvi frigiddriuTH: ;
bniiis romains, 45,
Barbe* — Collerette droite et fermée; dames, costume de
deuil ; Fmnce, seizième siècle, 273*
— Nœud de la ceinture en écharpe; modes féminines ; France,
fin du règne de fjoui» XVI, 398,
— Brides du bonnet féminin ; dix-huitième et dix-iietl’i'tème
siècle; France, 367, 49b*
Iîarb*-(f^. — Sorté tle lü'eiiïoniiîi>re niiî ai)pnïuît sotü lu
iIm dntnc^ du trpSKième au iïiitîi?,i^ine siè(de; Btimpè, moyen
ilfre, 251,
— Lb hnrbeet la pemique. iilii-«oïHième et dis-huilk^tne sîèelé^
3 <jL
Barbitos on Barbiton pàfiwLtov). —- Insttn-
meut \\ cordi^s du ffeiire <lo H lyre, mnî* nu ptui pins nrruml ;
Grèce, 22.
Barbote. — Vttir BoTOQrK.
BarbuquejOi — Large rutuiii pa.'isnnt boue 1c menton et at-
torlié ati3c cdtil’sdG la tiare daines e^i^agnoles du treizième
«ièelq, 2C«0.
Bardach. — Vnsc de terre s)wngieuEe ; Kgypte, î,
Bardes. — Pièces d’umiure en lames de fer couvrant le pi^i-
traüt cmiipe et les flancs dn cheval. On eommence h voir
les clicvanx. luirdèa de fer, avec lea bomuiea iPannes de l’é-
jim^uc de Charles VII ; celte cariipacG ehev'alertsîtine entre
ilana ea pêriwic de ilécadence vers le tfègne d’^Henri IL Eu¬
rope, quinzième et seizième siècles; 22^, 2511., 2üu, 2CL,
Barde. — Chantre guerrier; Écos-se et Iriinidej 425 et 42C,
BardocQCulle. “ Stantcau avec capuehoiii {ftteitllwi}; Gaii-
lui-', fifî'fir.
Barillets. — Boîtes rondes en ivoire dans lesquelles on
mettait des pftrfinns ; Europe, seizième et dix-septième siè¬
cles, 2S2.
Baris (papi;). — Bateau k fond plat : Égypte. 8,
Barnus. — Le Immous des Maures tuiitsiens, tSi».
Barrad. — Capuchon cnnique; coiffure dc.s (fifamAit irtandala.
425.
Barrés (les). — Nom que l'on domialt aux anciens Carmea.
ci cause do leur kftp 2 *u (nunueflu) lar:^emL‘nt rayé; 147.
Barretta. — Originairement, un. lioiinet de toile mince ajusté
sur In tète; iraii.'îforTnèe on une ooilïure ri^dc, la Imrretto
était, nu moyun dge. llnsigiic elea k'ttrtu; Fraiine, quator¬
zième et quiiiïiôine siècles. 214.
— Bonnet plat en Inino tricotée ; coiffure dos bergers Tniidais ;
France, 4SÈÎ.
/trtrrrW/it|{ï. Üuniiet dos paysans de la province d^Ancône;
Italie, 4d7 et 4 fi 8 ,
finrt'ftfo, — CcjifruTC fémiidno; Italie, Heizième siècle, 244,
Barrow*womaii. — Marchande In brouette ; Londro-'^.
oomiïïOEicomont du dix-noUTième sièclo, 4 23,
Bas. — On ne connaissnib en Fn\nee, an quinzième siècle,
que loi boa (Pètoffe de soie nu do luiiie ; nu les upi^elnit
Henri IL est le premier roi de France qui ait jKsrtè
dea bas de soie tricotés. — Quant à la fabrication îles ba.*-
au mélior, elle date do lUèil.
/îff# ^J^r//(lcAc, — Ceux inaîuteniis au moyen d'aigiiîllettes et
Jarretèa au-dassua du genou; Europe, seizième siècle, 268,
274.
Bits de /îttilntrle, — Bas de coton, probabli tuent orij^nai-
rcs de» États Ixtrlitarosquos, que l'on commença à fabriquer
en France vers 16,H4; 35L
Bas de ttofies ou b(t3 à liuffes. — Garniture do gcnouiUèires
jicoompagnèe d’un rang do don telle rctoinlatit sin le rev'crs
Fibaissè do la liottci France, éiïofiue do Ijouîs Xtll, 326,
327, 329,
Boa d'eüftme. — Bas de laine trîcotè.s nTcc des aiguilles 1
Europe, seizième slètde, 280.
Bffj( de eiuîttisei. — Fcfr
Bas de jupe. — L:i jupe de dessous doi dames de l'époque
de Louis XIII; Franco, dix-septième siècle, 328* FrtîcCoKPH
îjn jL'fK*
KrFj de mit. — Jupon d'étoffe à gtcis plis renils couvrant
le ff^nneM, partie de Farmufe qui succéda aux i^a.^ïiefrcjr ; Eu-
ro|Mï, seizième Hiècle, 281,
Bashio KLa&schio. — Phuifi occupée iior le mari cl la
ftuinuc daits F intérieur de lu tente laponne; Ruèxk*, Norvège.
41 L Vÿir KAtA.
Basilic. —• Espèce de canon on do bombarde; artillerie*
quin^iième et stdsiénic siècles, 220, 255.
Basquine on Vasqulne. — Corset de fil de liütoii ou de
forte toile, garni h^ur Le devant d'un buse de Ixileiuc. Iji
b;isqnine avait la forme d'un ontoiirioîr renversé* McmIc:; fé-
miinna^; France, seizième alètde, 264, ÎG6. Tefi'VEkTUuAfitî*
— Nom donné au volant dY-tolîe accemipagnatit la ceinture fin
©orsage; toilette féminine; règne de Loui^ XIV, J53, 355,
Bassibier. — Gardeur de brebis; iiaysans frnnyaiHi; Moycii-
ftge, 2d3i
Bastarde. — Pièce de canon ilont le calilîto eimngca selon
les époques : artillerie française, qiiiïizième et seizième siècles,
— /jüfjij/jrirdcer^; nont donné, nous Cliarlt^ VIII. à tou» les
oanounieis de profe-ssion, 255, 257.
Ba^tardeau. — Petit couteau juxtaposé sur la gaine d'une
«lague; Europe, seizième siècle, 2^2.
Batave (A îa). — Le^ dames romaines se teigimierit Iw che¬
veux en jaiviic, A /a Èhfr/^tce; cette le.ssivc des cheveux est
cnoure en usage citez les Sehotlaiidaiseî! et les Markenaises qui
ont conservé runtique tradition «le IcnrpKiy:^. Moihutde» 420*
Bâtes. — Parties élevées de la selle servant h einlmlter ha
cuisses du cavalier et FempTclier de glisser ; 20li, 202* Feô'
Aiw.xix, TnopasKQCTîX,
Bateau renversé (cbfqK-nuen). —Mfaîes fr-iniiüncs ; Fraiw
ivgue de Louis XVI, 390.
Batiaa e capa. — Poutanc du clergé caGto1i«]no, ,au Portu¬
gal; 482.
Battani-FœiL — Coiffure plate et nègligt'c; éostunne de
dii’rshaldllè des liâmes de l'éiHjquc de Loiii^ XIYj3,M,
Bàadré ou Baudrèer, — Crochet i|iie rarlmléiriér iKirtaît
k sa ceinture pmir lunder ffon nnue* Dana la suite, on rem-
pla^'a le jMir lo McA^', France, moyen dgc,
226.
Baudrier, — Cmirroic -scn'ant à attacher Fé|>t'C. Aii nioyen
âge, le iKindrier ne §e (jortait point en sautoir, mais antour
île la taille comme un ceimuron ; c^ètait un insigne de che-
vttlcric. PcTidant les treizième, quatorzième et quinzième
siècles, on les fabriquait on peau de «.‘erf et on les broilaït
iFor et do sole. ÎOl, 202, 217, 254. 327. 340, 3i2, 343*
l oi/' D.VLl'KUiï,
Bavière, — Pièc* d'amnire ailaptéo au casque pour pr^wr-
ver le bast du visAge et le cou. Iji bavièro apiiaraît vers îe
uiilieii itu quatorzième tiècio, lorsque les pLitci* commencent
ù être adoptées dans r«/ifûw&cfîiciif de F homme d’nmies. Eu¬
rope, moyen âge. 202, 217, 218, 219.
Bàvolet. — Voile arcompagisant le derrière du chapean ou
du bonnet ; France, 4Shh
Bavoletto. — Espèce de petit drapeau qui |)cndeit derrière
ta coiffe di-fl servantes, Eoua Louis XIII ; e'étnit le signe <lia-
liâctlf «le leur condition. France, dix-septième sièelo; 322,
ITC)
Bascea. — J^gsriT ; simple S'CtiipIIos tivt'c
des bandelettes, Romain^i 4r,
Bayadâres, — Du jiortugals bidlinMrn, dûU:HeuM«, Le mnt
^aj/ad4;^e^ dêâlgnc eertaliie^ de l'Iutle qui fi'iidoimeiit
:iii clmnt et à Ja pautoniiiue, On diatiague penui elles, ælles
qni sont CDn^cnées nn culte, les dttadtUis ; celles qiû aocytm-
imgiientles procesaioiis, natdffchU, vfJtfhiJfH, , ^ua-
rim ; celles qui font partie de tontes les fûtes, les mncfîiOj les
ntmfrh^^rls, 12-t, 125, 128, I2Ô,
Bayletâ, — Gens de Bervit-ç; le menu peuple des domestiques
paysans du nioycn âge, frauçe, aUEt.
Bazelaire, — Fofr BADKLAms*
Beatach. -— C'eat-à-dirc nohlf; premiers temps de la royauté
en Éû'osse, 42S et 42i>.
Bec da canô (diafissure en), — iModea fran<,:at^s de la fin
(lu quinzième siècle et du commencement du seizième, 247
et 240, Î5S,
Bec de corbin <gentjL't]ioitu»efi à)* — Compagnie de U
gi-aml'garde du mi, Insiituée eu H7è par Louis Xd ; les
geutilsiiommcs qui la eomjïosnicnt étaient anuès d’une bal^
lelnnle au fer transversal en forme de bec de faucon ou de
corbin; Ftauee, du quinzième au seizième siècle, ‘dSli, 372.
Bechieka, — Vêtement de desaita Hrorigliie bongrofce; Po¬
logne^ 452.
Begouzn, — Nom donné nus princesses indûues, 117-116,
Bechmet,— Gilet boutonné Imut; Bulgares du goiivenie-
ment do Kliereon ; Russie, JIS,
— Espèce de jnstancorpf agrofé depuis le menton InsqtPà la
ceinture; Kala^nulcs, 446,
Béguin. — Coiffe de toile nuiuie de luide?, 413, 4^6. Pofr
CABELLOr,
Behourt. — Vnrlunte du tournoi ; simulacre d'attaque <Pun
fort o\i tout au moins d'un ouvrage paliseadè; France^
moj-en âge. 2l^^,
Bektachl. — Ordre de dervlcLes; Turquie. 175.
Belgha. — Savates jnuiirs en Cuir du Marr>e chaus-
surenrabc; A/rît|Uè, 15 U,
Belhnnrdeis. Belbourdis. —Tournois qui pouvaient être
tenus toute occasion et sans être annoncés. 11 suffi-isit que
di-s clkevaliers fussent rassemblés et eussent quelques loisirs
pour organiser iin de ces exercices guèïTiers ; France, moyen
Jige, 21^.
Belle lia) [x^).;rf]* J a rol>e de pourpre pi'oprcment dite;
antiquité, 25-20.
Belle-Poule (coiffure ü la). “ Moiles fémtniiift^ ; rigiic de
Ijjuia XVI ; France, dlxdmitième siéclOH 389.
Bellevilie fla^ ^ Ditrtse fruiiv^t^ de Téprtqucde Louis. XIII ;
France, dix-septième siècle. 328.
Bendel. — Espi^ce de tiare; coiffure alsaciennne dn dix-sèp-
tièmn siècle. 488.
Bénédictins- — Or<lrc fondé nu eixièine siècle par saint
neiioit dçXursia, qui en établit le siège principal à l'abbnyc
du ïlont-Fassin, 482.
/k'nédictities, — Lc^ reHgicnsos qni suivirent U règle de
sniut Benoit, 332.
Benna. — Slot gaulois déi^ignant obar d'osier A. qimtn'
ronc*, 2id.
Berceau. — roii* Bku 3 *
Bères.— Orlro religieux d'andciine iu^titntion et d'origine
inconnue; Géorgie et Mîngrclie, 14 7,
Béret.— C’tiiffnre ijasque ; l‘>p<:igne, 475.
Berrettino. — Petit t)on net rond à Tusage dos hommciï ; Italie,
moyen âge, lOîl, 238, 239,
Bers. ^<im donné au berceau, eu France, an mnyen Age,
aux seizième et dix-sepiièms sjèclc'#^, 231,
Besague. — Voir pArCH.MtD.
Beskir. — Ti-atn léger cucndi-ant le virago ; femmeit Kabj-lrs,
160 et 161.
Besllk. — Voile dont les Mauresque^ se couvrent le visage
pour sortir; Afriqius 160 , 161 .
Besmak. — Savates sans tnloni}; cbatl^ure des îrau/tw tuni¬
siens, 159.
Besogneurs. -LesonvrLcrA du moyeu âge; France, 281.
Bêtoa. — Xom donné aux oooUcs des grandes villes japonais
>îCfi, 96-97,
Betiraktar-Gouroujl. — Porte-on'^cigne des jaui&^aircs de
hi garde des rois de Pologne, 454.
Beurundjuk. — Chemise {le soie boni]lie ; luode^ féminines ;
Tuninîe. 170/175, 176» 177,170, 1"9, ISO.
Biagga-gallââ. — Eonuct lapon ; Suède, 411.
Biaude^. — L'ancien blinut; blouse des Auvergnats do In Li-
magne, 484.
Bibll. — Pofr Tjva.
Bicoguet. — Calotte à rmsage dos Ijominei^; Pmn», qninzlè-
me-i^'i^^ième sit*cle. 221, 246, 243 et 250.
Bidag. — Dague éea«!Kiîso, 425 et 42C, 427.
Bidâiss (o/(<£.).).*). — Houe forte et pesante, armée de deux
lourcbons, et qui servait è différent'^ iKage* dé In enltnro
lies cliamjïë ; antiquité, 29.
Bïele pohlavl6< —^ a Sexe blanc s ; nom donne aux femme*
slovarines è imusc do leur cirstume complètement blanc,
45S.
Biforts. — Les sons des tiMtr foajundæ: antiquité, 43,
BifrcJria {otjJiiTfjjTtoç!, — Figures disposées dos èi, do.sî dé¬
coration antique, 7,
Bige. — Cbor tiré par deux animaux attelés de front,* Égypte,
2
BJgûnla. — L^arc du Botocudn ; Amérique du Sml; "G.
Bigûtèr^. — Petit instrument À l’aide duquel la monstnclie
prenait le pli qu'on voulait lui ilonuer; commencement du
règne de Louis XIV ; France» dix-septième siècle, 310.
Bigqudeti- — Coiffure des femmes du Pont-l'Ablié; Breta¬
gne, 490.
Bijoux rUi3.tii;îU«3^ — K cm donné aux bijoux d'aeïer en
usage sous It régne de Lmiis .W’It France, illx^huitième
sh'^de, 380.
Bijoettiers — Ceux qui exerenietit LMndn^trie
du dmifor en vogue nu tenips de Louis XI V; France, tlix-
huitièuie sièelé, 38o .
Bille de chape. — Agrafe de la chape’^^’ertlatnle; Europe
quinzii-rae, seizième si{Vle, 197.
Billicpasai. —trtmjnfliuilflîit moii^iuctaim ulo
Ift iTîirdt' r«!s Polo^fiic; di?i.-scpü'f'‘inC'4li!*c-linîtk‘iDif mi>-
tUî, iS-ii
B in ti ngs ^ — Rct ranci leinen t s, fort 3 fl cat inn^î lîcs vi] in fçrs dayas ;
Uonu-o; Océanie, 63’fi l*
Binich. — .Vfniilean; Turfinle, 178» ^(î^+ Ifli.
Birre. — Étoffe en n^apîe dans la confaction ries castiimes
erplc'stBrttîqacs; Euro|>Cj ïnoyeii lige» 18 (,
Birunir — Aniple vtrtcnjfMit aux laides inanichc^ ; Ml,
Bisellium, —^ Fauteuil san^ dossier ni bras; antiquité et
moyen 32, 18 L
Bi8€^tte, — OalüD, passeiueuterle ïnèlée de fils croi" Eumpe.
moyen A]flfe. — Dentcdi® m fnsean ; Eiirw|ie, ^ei^lèitie “liecle.
278-277.
Bischack- — Couteau turc, 178,
Biva ou Kokiqu^ — Iiistmnscnt de iiiusique japonais, lülj.
Blanc agate, fond jaune, de lait.— Nuancer dcpemi-
quesî Francct dix-seplièine^tiéclei épisque de Louis XIV» 851.
— d'Espagne, Fard employé jïrkr les dames du temiw de
de Djuis XllI» 328.
Blanket. — Mantcnn de laînc ; Feanx-Eongeii, Amérique,
«0, SI.
Blaoutai, Blautss (^XsuTail. — Scmelies de liège eni-
playèes soit i>our se prmTVi-r de Flmmidité, soit ponr se
grandir; autiqnité, 47,
Bleu-de-rol, Turquin. — Xonnccs de bleu en tirage «Unis
les nnn'îes françaises dti dix-septième et du dix-liuitiéme
siècle, 343» 344+ Sfll, 3È2, S83, 384, 38.4, 3Sfi,
B liant. — /îtliilff bliitL — Jkslrti de dessus, Longue, tenant L
un justaucorps ou corset. Co iioni s'apiiliiiué aux robes de
ilessus des iioinoies et des feiunics pendant las oi)j:lêinç+ doit-
/tème et treixîèino «lécU'rs. Minud on /Uiad devenu blianti*^
a donné miisKauee nu mot blouse i Euïojïe, moyen Age, 18H,
188, 2UÜ, 438.
Bloeid'Koraal ( « corail de sang » >, — Collier de corail :
parure fcmliiîne ; Hollïiiide, 4lSi, 420, 421 et 422+ 423.
Bobia, — Porteurs de palanquiu^; Inde, 124.
Behorder, “ douter é la lance; France, moyen û.ge» 219,
Bokolokolo. Peau de buffle dont les Bassoutiw font leur
boucliers; Afrique, 67-<!S*
Boïar. — ï^eigiienr russe (du mot 8eï, bataille); Russie, 43K
et 439.
Bolto âi canon, — Celle dont on ohargeait les bfjnibardeB,
les serpeiitiiics, les bOiSillca, le* ccurtauds, de la flu du ïiioyen
lige. On rintradulsait dans lu pièce par la eiibis.«e» 220,
Bolas. — Roules réaules jmit les c^ird-es du lazzo et servant à
enlatierles jaudies desaiibimux ; Gauchos; Amérique du ^iud.
77, 78.
Boleraa. — Dauscuscs galidenuea ; Espagne, 478.
Bombarde. — Canou de fer a bosflagea ou cercles disposés
de distauce eu diâtanoe, La» praïuieres bouciies (t feu, qu'on
appela bomtartlrs^ |>sikïureiit vers l'on 1330, sous rblllppe de
ValoU ; elles cessèrent d'ètre en usage vers la fin du quia-
î!iéme siècle ; Fraîice, moyen âge, 220.
— Instrument de musique; iwiéce de ebatumeau. En ijcrfec-
tionimut CO dernier avec la bomljarde, on en n fuit la
elaiiufif^t Europe, moyeu Ace, 182.
— (nmHrftet A ^r). TjOs longues manclu's divldcgnètées du
surcot qui rtoltflieiit iusqu''à France, quinsdènjesièi'le.
210.
JiombiinMte, — La enulevrine A main; Euroî^e, nmven
hge, 220.
Bonaid gorm.— Bonnet rond; costume écossais^ 42&et 428.
Bonnet (hommes). — Coiffure d'êtoffe+de tricot» de feutre,
de fourrure. Pendant le moyen ége+ lo iKiniiet était la
cxulffure du jjcuplo+ dtw gmdut's et du clergé. Les petits
bonnets de toile à i'usngo des hommes: portaient le nom di'
Jif>nf}fts fvndf, aerrét^ A fjHatfr d'înférit'tir,
n, 18, 31, 39» 48-49+ .'16-S7+ éb-6l, 83-^4, Ce, 67-88, 7Ù, 72,
81, 85, 88, 94-95, 9«-97, lija» 136, 1«8, 109+ 2(iü, 213, 321.
£38+239+24 7 fit 246, 240 et Î&K. 269, 2 tt 4 , 352, 4l3, 422, 438+
445+ 44S, 447+ 448. l'ob’ BAt!llETtK+ ItKXDKtr, Ik>yAlll-
uORM, C.icioi.A, CAUi>iA, Coiis'o, Qlesuakkï» lloano, Kat.-
PAKj KoxFKiïEit.tTK.v, Kiiakoüsk.v , KrcwMA, MrJUK +
JIo.VTfcitA» JIohriER, PiLKlrs, Satimah, &i;iTK+'rAKli+T akie.
UjitKrEP, YkI.KKJI, /.AktXM.A,
liooJtffs fffiiif/fs. — Suruoms donnés ntix imysaiîs lure-
tons de Kerloium et de Plougostel ; France» 497.
Éoitoets d’owrjon ou A poils, CnifTnrc militaire iloiit l'inven¬
tion est due à Frédéric GuiLlaume de Prns^ie, |ïére du grand
Fréxléric. Eu France, les premiers bonnets d'oursnn furent
])ûiftéspar les gi^nudièrs à eheval; chéries grérnnliers des
troupes de ligne, ils ne |Xirnreut qH'® 1750; 384, 387»,
400.
lîi/nfifto, —Turlmii légèrement oroïde ; côifTnre des sa¬
vants turcs, 178.
/fort«c//c+ — Drap do laine dont ou faisait les bnitièts
d'iiommcs fui moyeu Age, 2l3+
Bonnet Coiffure fémiuine faite de to5]e+ île ga^c» de tulle,
do dentetle+ de brofieric, d'étOfTè, dé fourr^irCj Ctè. 124, 125,
128, 274, 322, 353. 354. 355» 403+ 4ÜS-409, 4 32, 413, 4l4, 415,
419 et 420» 421 et 422, 432, 436+ 458 et •I5&, 484,4S5+.4H6, 487.
438, 489, 490+ 491+ 492, 494, -19(1, 499-51)0.
JtoTiTiôt aifritté^ üu lntmh-.etHf à la e^iplï/f an./' aHstâ, de
t't.Klar(i^e bHsé^ tt la/(iH/tifii, « /+[ /’iVoro» 7( tn/tisée^ à îa iitr-
fn/ds» d la JlfuH IV, n la l&ifiéiv, ntt.t uarels, « Ift jmrrj-
settif, r'epli^s. Modes fémiiuoes de 1*époque
Louis XVI; France; liii du dIx-hnitiêmc siècle, 389+390»
391-392^405. I Wr DÉOUIV, Pb^ObDES', Cabelloü» CAl.ll'ITrrK,
L'HAi'EKOXV CtUVl’E, CôliNETTE, Dipiimrlse (la)+ Fichu kx
ïiAiiMorri-:, Foxianue, Kokoschnik:, Papiltx>Xï Pki+kkai-ph,
Pni/r, Tschepai"/, Yoijdsxjk.
— Damesde répoquè du Consulat; Fraute+
coiunieuccmeut du dix-neuviènie ali-elc, 406.
/lunmtts til'ainjîomaae .— Dames de l'épotiuedoTAî«L»X\'T ;
France dix-huitiéme sfèele» 390. P(H> Citai kaL'-bons tn-rK.
Bonze. — Xoui jÿénèrlque doiiué par les Eiiropéenfl^ aux
prêtres de îa Chine, dé la Cocblncliinc et du .TftfKni, rans
distinction «les sectes uombrenses dans lescinelles ils »c jmr-
Uig«nt+ 92-93, 103+
Borceguies. — Dotlincs de cuir teint; Maures d'Esjxigne,
160 .
Bordrok, — Gilet sans manebes du piysfin bollandaî*.
tk^ntroHefif gilet à luanclies, 421 et 422.
Borquo. — Longue boTide de cripe noir couvrant ia flgure
(l l'exception des yeux, et retombant assez btw; fellalniie-i
d’Égypte, 160 cl î 61.
Botier. — C. -à-d. bonvier; France, moyen Age» 209*
Botoquç, batotjue, barbofe^ — Omemeiit do lu It'VfO chez Ie«
BotfX'Udns ; .Amérique du snd. 70.
X.
17S
Botou-coad.—fl[ Souliers de bois î ; gflloches ûi\ bre¬
ton ^ /îûfou-lerr, souliers des Jours de frte, 49S*
Botte. ^— Bauto cbaussure de cuir enfermant le pied et 1 a
iniabe, 83-84, &B, lOS, 169, 17S, U7* 17&, 180, H», 458 et 459.
à entonnoir^ bottemiÿnonne; France,époques Louis XIII
et Ixuûs XIV^ 326, 327^328, 329, 340. Futr Bas de bottes
ou lÎAfî A BÛTTlid,
Botte fortef clLaussure de la caTalerio française pendant
la^ lUx-septième et dix-biiltiéme siéclea,^ 343, 345, 381, 383,
384* Voir Bûttise dk dhaoûn.
Botte à retert; chaussure civ'ila et militaire; France*
Un dn dtx-buitièmesièoleetcqmmencemeiîtdtidix-neurlénie,
400, 408-409.
Botte à la Buste, à la Ssuvarote] costume elvi\[ France,
é]Kiquc du Consulat, 408-409,
fivtteàlafitrfaré^ Eiisde, 43S, 439* Fofr Terlïk et Vinteu-
SKon* — La botte des jours de fête des ferumes liouzoules.
468 et 439,
Bfiiies imcinchet d) ; liablfc masculin : FranoC;, dix-septièmé
siècle, 351.
Bottera. — Petites barques des pêcheurs de l'ile ïlarken;
Uollaude, 419 et 420. Fo£c BuiDEiC, DtîtJOEltK.vü.
Bottine. — Petite botte de cuir mince, Il et 12* 29, 48~49* 5G-
57, 87, 181, 414, Voir B0UCE0UlliS,“LAITCllIS, TCïtEOJK.
Bottine de drnÿou. -— Chaussure spéciale des dragons, de¬
venue, vers 1745, celle d'uUe partie de la cavalerie; Fmuce,
dix-huitième siècle, 384.
Boubou. — Espèce de dalmatiqiie ; Sén6|ra1,67-6S, 72*
Boucle. — Anneau dé métal muni d'un ardillon et qui sert a
tendre ü volonté une ceLntiire, une eourroie, etc. BoueU de
cehutire, 31, 52, 53, 55, 6S, 221.
Jîoueiys d‘ûreitieSf anneau orné ou non de pendants; parure
féminine, 31, 91, 14U, 417, 423, 4C3, 483, 42". Voir ELENCiir,
Kouxsï, Tniü LEVE, Tiiropis, TniOTrifi, Tltclaiî, Zeroui.ak*
Boucles de souliers. — Parure masculine; France, dix-
bnltîéuie siècle et ilollandc, 391^392, 419*
Bouclette. — Petite mèche de cheveux que les dames por¬
tant le hennin laissaient ai>eFCCToir au front eu Ma tempe ;
France, quatorzième et quinzième siècle?!, 211*
Bouclier P — La pins ancienne de toutes les armes servant
s'abriter des coups et des traits de renuemi. On les faisait*
soit de cuir, de bois ou de inctal; leur formé a présenté de
iininbrcuâes variétés, 1, 10, Il et 12, 16, 48-49, 50, 56-57, 59,
GÜ-til, G3-G4* es, 67-68, 69, îd, 71, 79, 110, llî, 122, 201.
Bouciier Grèce, 16, 25-26.
Bouclier de poîntj i Francé, qUatorzièiUé Sièclë, 202. TVfr
Ècü, E.vahme, Gl'lüe, Pauma* Pavois, Pelta, Koaujaciïk*
Rondelle a riïKirvE, Scutum, Umbo.
Boudin* — Coifforc féminine ; boucle placée derrière Poreiüe;
France, dix-huitième Biècle, 397* Voir Favobis dk boucle;**
Bouffons* —» Cheveux nm^sés en petites frisures réparties sur
les tempf.4 et les oreilles ; ïaede?: féminines* Fmueo, époque
Louis XllI, 328.
Bougétte. — Nom donné à Ia sacoehe pcndiiut le moyen Âge,
66-&7.
Boujoti. — FJèohe dont le fer donnait une section triangu-
Uire ou Carrée; cette désignation s'appiiquQitle plus souvent
aux carreaux d^arbalètés ainsi ferrés; Fnince, quinzième
siècle, 219. *
Boumerang. — Arme de chaisse des Australiens* 60-61,
BouraOaiii — étoffé, sorte de gros camelot en usage danit
la eloAse bonrigeoi&e; France, dix-huitième siècle, 367.
Bourdalou. — Le cordon dn chapeau ; France, dix4mitième
et dix-lienvième siècles, 398* 405*
Bourdon. —^ Bâton de p^derlnage ; France, treizième et quator¬
zième siècles, 202.
Eourdonasse. — Lance de tournoi; Franoe, quinzième
et æiaiéiïie siècles, 254,
Bourgoguo (Ijordures à la). — Espèce de galon large dont
on ornait i'iiablt milUeire ; France, épo?iuc Louis XYï.
386,
Bourguignotte. —Armure de tête compoüèe d'uno calotte,
d*un couvre^nuque c-t de deux oreillères ; France, seizième
siècle* 254, 255* 257, 261, 262, 2B3.
Bouriagre. — Maître valet; paysans fran^'ais dn moyen
dge, 2ioJ9.
Bourrelet. — Coiffure masculine et féminine. Cette coiffure,
chez les dames du quinzième siècle, remplaçait le hennin ;
Europe, moyeti Age, 212* 223* 24 7 et 248 , 252, Fafr B-AUtu,
Bourse {bourcif*-, boursef^ à cul de viluin }.—Petit sac destiné
à ccuitenir des pièces de monnaie ; Europe, moyen âge* 22fl,
246,
BoifFse.. — Le petit saq de taffetas contenant les cheveux
de la tète* nommés derrièfv de bourse; coiffure masculine;
France, dix-huitième siècle, 396.
BeUrSerOns. — Petits Sacd tiontenant des Tellqms ; on les
IJortAlt sur la poitrine; France, dix-septième siècle* 352*
Bout-de-rat. — Natte tombant dans le do.^ ; perruques du
dixdiidtième siècle ; France * 366*
Boute ou-traln. —Nœud de brillants Buspendu au collier;
011 l’appelait encore le Miez-ti; toilette des femtncfl de la fin
du dix-septième siècle, 354*
Boutâ-Eeux. — Soldats ayant pour fonction de mettre le
feu aux pièces d'artillerie s France, seizième siècle, 265.
Bouterollo. Garniture placée nu tïont d’un fourreau
d’ép;»*, 64, 2d2.
Boiiteobouk.— Étendard à queue de cheval; Pologne, 455|
Bouton. ^ C^e^t daita les dernières aiiitées du. régne de
Louis XIV* que les boutons détrônèrent les nttaches
d’aiguillctti^ et de rubaj):?; Fraîice* <llx-septièftic sièeiej 35I
Bracca, Braccata (gens). — Voir BitAnss.
BracelOt. — Omcmeiit du bras, parure civile et militaire;
3* 4* lu* 11 et 12, 29, 26-26, 31, 48-49* 61, 53, 66, 66-57, 68,
6U-61, 63-64, 67-6S* 71, 73, 85, 91, IlW, 112, 124, 125, 126.
127, 129, 14U, 15-1, 158, 169 et 161* 1C5, 177, 33ü* 4G3*
Voir Ailuilla, Uh-aCuiaïa:* RuaçHio.veà* U.Air* Dextuale,
HALKAL, PEItlfAHl'lEâ, SmS'rïlElt* TüUqL’Sg fiJLtCHIALia..
Brachiale (TtEpiSpaytOviov). — Nom que les Latins don¬
naient au bracelet, 31.
Braconnière* — l’ièce de l'armure attachée A la pansière.
et À iaquclle on suspendait les tiisscttes. La braconnière rece¬
vait aussi le nom de/nwftfe ou jifrtNcdc. Europe, moyen âge et
ECizièma siècle* 202* 217* 219, 268.
Bractéaie. — Pièce faite avec des feuilles de métal en creux
iPun i3ôte et en relief de l’autre; orfèvrerie antique, 65.
Bragard* — Sobriquet appliqué aux jeunes gensquJ laîasaient
sortir leur chemiae entré le pourpoint et le haut-<le-ehnu«ses ;
France, quinzième siècle, 238* 246*
Bragou braz. — I-n ^’iiîotlc ixiutTiint^ l'rctüijs,
Brague&quea (cahffeji)^ — CïiaiK^es fi l'iisage îles i.1uuiii^ ;
Europe, iviziénte sK’Cle, *dD,
Braguâtte ou Brayette. — L’ouvcriurc ^fiar k
dcvnnt dos liîT&ies. Vers le raülëu du iiiiinziènie siècle, elle
étail ftUüebée ifiar dcujc Lnutoiigctideii^ aîgisiilknteij. LaUra-
gruetto IL plus de Saillie dès le eonniienccmeitE du seisïiéMie
siècle, époque où le liftut'de-cùausses prend un dt^e-
loppeioent. ]>ans l’armik!:, les genn de jii&d nvukut la bra¬
guette lie f€T. Europe, nioycii nge et sciiiièine etéele, 23H,
J5I, 2SS,
Brahmanes. — l'i-ètres et docteurs do la religion de
JlnLitma; ils forment la premièm enste jmrnû tc$ tudourï,
122, Î2J. 126.
Brahmina-Wanaé^ — Caste bi-ûltmine de rile de Ceylfm,
132.
Braie (brxtctt ou émee^e, àva^upiS^i). “ CulfittCs^ caleçon;
vêtement des peuples de TOiieiit iidopt r par les liamlois, ce
<iui valut h ce» defiiierî, de In pjLit des iMitiiis, le auruDiu
de tjriu bmêcftfa. D:iiis le crMtuiue militaire des îtoniairis, Ic^
brvtcfe ètjiîeiit dcfi euiottcfl étroitvâ dfrSfeitditut jusqtraux
ge9iioii.x. Pendant les neuvième, dijcième et onïiéiuc siècles,
les Ivraies étaient encore, en Eraiicç, une partie du %'Ète
ii]eiit de toutf^ le; on les retrouve, de nos jours,
cliCît certiJiiiK paysans, en Bretagne et en Auveignenotarii-
Uienl, Z4, 3â-:i7, 66-57, 181, 183, 1>U1. d84, 4^, m,
494,-495. l'ai/' ANAXïJiiLniS, EHAtiAiiiï, Bn.L«.îov-ii.ii-Lîs, Bi£\-
ta'lFlTR, BRREI'HK^, ClI.LUftBK, FüMlA'AtlA OU FénOH.VblA.
H.LUT-DK-Cn.LUs^ES, SARABKM.A, TtîIiU'S,
Brandebourg. — Ornement en broderie, en tresse on en
galou, qui entoure les Ivoutounîères de certains habita;
lumu bongreds, 387, 458 et 459.
Branle.— Danse française; époque de IjOUÎa XJII, 323.
Bras (gardé), — Pièce frannure. Vvir CtTBiTiKitE.
Brasero. — (îrande bassine de cuivre ptk&êe &ur uii trépied et
3 emplie de b mise ; eo Espagne, le bra^iero rûui pince les che¬
minées pour cliButfer les appirtements, lt4, 47T-I78.
Brassard {hmchkdf}. — Pièce d^armnre pn^.-îenmiit le bras ;
013 In voit figurei' cIlcZ les Gcces, chea les gLitdjateurs rooiaiits.
Pend^Lbt là secomie înoitiè dti treizième siiïcle^ eu France, in
lunncbe du baul>ert de nmilles est i^iurfois recouverte d'nii
brassard, ilais ce 3iom n^est vraimejvt appliqué qu'à rortnure
du bras articulée de l’épaule au jaolgnct, c'eét-à-dire ver.; la
liii tlu quatorzième siècle, époque où les arniures complètes
609it entièrement faite.-t rie lam&i d‘Bt'ieT, 25-26, 36-37, 21>2,
217, 21».
Braa8ière(5v'<ieiè;v). — Au quntorslème siècle, le mot frracttîfv
s'applique au s nmnchii-s de itcau ou de velours jiortées sous
Ll maille avant l'ailoption des bnuîsasriis. — dortc de camisole
ilue les boiütues, iK3ui.bLEit les selsièiue et iliv:-:^eptieuie siè¬
cle^ révélaient la ntiii, — Éjdthèie donnée au ftourpolnt
raccourci des premiéruftaniièc^du règne de Louis XIV* Lai
brassière appartient nu co.stumc de; paysannes de TAuver-
gne, du Bordehiis, do la Brcïse, du 3Liconi3alg, etc. — Dan^
riniidou^Un. elle fait aussi partie de la toilette de;
fesriiui^ et partieuliertmient de celle des Imyadères, — 123,
124. 125, 126, 127j 13y, 34U, 352, 484, 485, 4M7, l'air Cami-
81 .^.
Breacan, — I>e;s[ii du tartan S|)écinl à chaque clan ècos-
■inis. — /iffatutr tlrnfvf n« Siîîiht<irfîrh;\i' plaid couleur rouge
lie; Stuiift;. — /hntcan le plaid ivortâ eu sautoir,
42.J et 426, 42 7.
Breèches, Breeks. — Xom; anglais et écosiais du mot
èroïc* 31.
Brechet, — Le fer jjartieulier de la lance de joute ; Europe,
moyen âge, 253.
Bricolier. — Nom doiin^ aux porteurs de cliaisea; France,
dix-huitième siècle, 374.
Brlgandin^j, Briguntiïie. —Vetemeîit de guerre dérivé de
lu brolgiie et rlu gumbison, et fait de peau renforct'>e de
hiiues traeier. Portée yiur lc-; gens de pied» lu brU/anâim'
prenid S031 isom do ces isortes de troupes ïuerceiiaires dési-
gnî'jc», dt'S le quatorzième siècle, sons le nom de hri^ttinh ou
EuroïKj nn>yen âjge, 2y2, 218, 219, 22d.
Brochp. — Bijou servant iraglafc,^ 52, 91, 224, Sftfl, 41",
423, 483, 497. Toir FKliMAlL, FlbüLlî.
Brcdcquiii, — C'Iiaussurc coiivniut le pied et une partie de
la jaiulie. — JifiHif'fHin fU tMâffv; soulier clilnoia haut et
court ayant iwur but de procurvr au plwl de gtîLudüuf natu¬
relle là physionomie du pied qui o, sulfi la rt'-lucticn, 36-37,
89, 196, Foi/'t'ALü EUS, MULLEUâ.
Broign«i (5/'flÿae, bi-oine, brunie, brunir}, — Esi^ce de cui-
raà-yj do peau garnio daiiiieaux de fer très rapproches les
uns des autres. — 11 est que^lion de la broigne dès te dou¬
zième siècle. ’— ErtroiiCj, moyen ftge, 261, 263^ S 04 , 217.
Bros-gueleden. — Jupe de dessous des paysannes bretoan-
nos. — jupe de dosssAs, 49",
Brud, — Nom de la flaucée laponne* //rudÿUJîi, c^ïîuf du
Hancé*, — Suwle, Norvège, 411,
Brulglinlb. — Noble des premiers temps de la royauté
i>cOSfUiLsc, 425 et 426.
Brutaflcck. — Gilet croi-ié ; T^mol, 433.
Buoûin. — Coquillage plus petit que la pourpre pélfUiif-Hne et
qui fournissait une couleur d'un rougc> plus clair; Anti¬
quité, 25-26.
Baccu);^. — Jugulaires du CA^ique romain, 36-3“. ï'oiV
C.ASKI».
Buccins (èuefHaou fruecin^, — Trotn|>ettemil(tairç :
Itomaiiis, 21Î. — liudmtot^ le joiieirr do trompette*
BurttîîR.
Buck en Kleurcn. — I.e plastron de dentelle des Zèlàn-
ilalses; Hollande, 421 et 422.
Buffet. — Au moyen Age, ce mot désigne la chambre oii l'on
rc El fermait la vaisselle et les objets précieux* .4,u,x qtiatar-
xièiue et quinzième alècle». on donne le nom de fru/Tct nu
nioi.lb]c placiV Jjeiidant les repas de eèrèmonie, au ndileu da
l’espnce rt'StTVé ou milieu des tables en fer sV cheval; ou y
rangeait les pièces d'orfèvretie, ainsi que les épices et lo.s
confiture;. La liestiiiatîou de ce meuble ii’a pa-s changé
dams le; usages dome-stiques des temps moflcrncs* 227^ 230,
231, 234, 301, 346, 375, Foi> DliHSEOïU. CftKIîRNtE.
— Vieux mot désignant rusteii;ile qui sert A activer le feu et
apixdê aiijcurd'liui snujftft. Europe, moyen Age, 245, 292*
Bu me. Buffle tin. — Pcflu chamoLséc qui remplaçait le
coritclet d'acier; costtime mîlitalré; France, dix-aeptièiue
siècle, 301, 321, 323, 328, 336, 342.
Buffleterie. — Fartie de réqulpement du soldat : liamais,
CL-intuTon, faits eu bulhé; Europe, dix-aeptii-me et dix-hui¬
tième sièidès. 342, 343j 381,383, >184, 385, 386.
— 180
Buiden. — Ta piran<le Iwrque jt^^lienr^ <tc TUe llttrken*
flollunilc, 4J9 et 420. Foir BctriEiis^ Dot: c kick au.
Buink oda aghassy. — Surveillatit Eie l;i p^rantlc cliiinitire
(les femmes; liareiu inipi^^rîii]:; Turquie» 172-173,
Buire (6ute^ bnÿf), — Yase en mnnîêre ti'ampliore, avec ou
pied, propre h conteuir des llqtuileâ; Europe^ moyen
Âpe et eciiKièmé siècle, 231.
Buku on BuckUi — Parfiiin en lü^npc cUc?. les Hottentots.
^ kt,
Bulga, —Petite sâcinhe; dames pmloises, &C-ûT.
Bulle (india). — Ûrneitioiit en or que les Jeunes Tïonuiins de
fauiille patricienne portaient sus{:«ndii au cou jusqu^à ce
qil'iU ])rissent la Tol>e s'irile, 31.
— Clou de métal attaché oomme ornement iV un ceinturon on
À U 11 iHLudrier ; Komains^ 3^-37.
Bungalow. — Maison indoue ii'njantqu^uii reïnlo-chaussée,
— Ttvtfn'llt'â 's htfii^fafoirf sorte de vilhi pfnir Ica Voyageurs,
131.
Buui.— Harpe égyptienne, (j.
Bure féumfM, bttriau, buifi). — ÉtofTc de laine grossière lais-
séc au liaa-peuple, à dater dn IreiKiéine slécde ; 331^ 4S4.
Burgerweeshuia. — Orphelinat de la Kalver-Stroat^ li
Araatcnlnni, destiné aux enfanta des ÿvd^^poof-fetx^ TÎewx
iKiiiTgeois de la ville ; Hollande, 421 et 422.
Burnous. ^ Manteau aralje ayant la forme d^un cercle, au
milieu duquel est un Capuchon qu'^cii peut mettre piir-dessus
le turban. Le burnawt sans le capuchon p^ut Être comparé
au poltium, et àvcc capuchon, au barfiùiverti!*', — Afrique
septentrionale, 15Ü, 151, O'iS, 15tî, 157, 158, 159, ICO, ICI,
1S2, 163. AtuonXôiî*
Buse apparent. — Buse adapté sur le devant du corsage;
molles féminines du seizième siècles, 273.
Busine,i Buisine. — Gmude trompe légéi-emenb recourbée;
on les fabriquait en bois, eu cuir bouilli, et le plus sou¬
vent on loiton. — Bminf’âr, joueur de trompe ; années fran-
çaÎMïs, qnûtorîiiéniÈ et qiiiiinème siècle, 217.
Biistuaire (Au^ruanfu^), — Gladiateur qui ecmbattait autour
du bûcher, bnsfum, dans les funérailles; Romains, 30-37.
B y asus. « Matière que les Romaiiis p^reimient potir une
variété dti lin et qui était nolra coton lilanc, 25-2G.
c
Caba. Vêtement viorsHti se serrant sur les reÎTis et fini
se Ixnitonne dqin sonl eaté, Hl.
CâbaïeÉ ^ Vo^itou des femmes mal aises des Céîébeà et do
Java, 63-04,
Caban, Gaban. — Manteau à manches; Frànce, épi>iiuc
Louis XIII, 327i
Cabasaet^ — Casque sans lûaiéro ivi gorgerin et qui n’e&t
guère usité qu’A, dater du sebiome siècle, 253.
Cabellou. — Xoiti donnée en Bretagne, aux bonnets d'en¬
fants ; 496,
Cabinet. — Euffiit û pluaieura tapcKfi ou tiroirs; meuble
d'appatut; Europe, seiKïêiae et dix-septième siècles, 29R, 3.10.
Voir KuxsTrTOiittA.VK,
— t'hambre des petits apumrtennent^ servant aux réceptions
ibumalières; maisons seigneuriales; France, dLx-septiéme
siècle. — (arrière), pièce où ao trouvaient le bureau, les livres ;
— dFj — (^rand)^ piixie pn-eédant la chambre h coii-
olier; paré, où étaient rassemblés les taideaux et le^ cut-
lectloiis; 31S, 357,
Cabriole ou coiffe frisée, — Bonnet dea femmos sablaises ;
BreUgue, 400.
Cache-folie, -- Femique fêtuiuitie; France, époquei du Di¬
rectoire et du ConatilAt. 40R-4ÛÛ.
Caciola. — Doniiet de i>eau d'agneau; coiffure des Rou¬
mains, 44 S.
Cadeby. —- Habit d'hiver long et pourvoi do luanches ;
Perse„ 147. FofrGounUY,
Cadenet (gants û la). — France, éijoque Loula XIII, 329.
Caderrrt/f', — Mèche de eUeveux pendant fitur lecétê de la
tète et nouée é «fin extremîtè avec un rtdAn de couleur : lé
fjidani. Cette coiBurc, due au seigneur de Uarleiiet,. était à
l'usage des deux sexes; France, épi>qne Louis XIII, 326,
327, 320, 329, Fcir CliUVKi.ntB .\ u\ Coubi k, Moi'HT.U HK.
I.a?i deux touBes de cfué; penrnqucs du dU-hultièine
siècle, 36G,
— CoifTurc militaire donnée à l'infaïUcrie française vers
1767 : tresse parcawt du niilieu du crâne et »e rvtrofnsaant
sous lecluqjOAU, 400.
Cadi. — Ministre de la justice; cour du grand mogol ; Inde,
ns,
— -Inge civil turc.
Cadinn. — Noin ilonné aux épouses; du Buitnti choiisiea dans
le luire tn, 172-173,
Cadrys Cs^cto des). “ L^ino ries douKe sectfri nées de l'is-
laiiiisine ; Turquie, 100.
Caducée (cadiicem, y,Tjpvx£îOv). — La baguett*’! attribuée
par les anciens à Mercure, comme héraut OU lïl&Çfeigcr di-s
(lieux; 29.
Cæsarien — Gladiateur romain entreteniiaux
frais du trè«or publie30-37. Al'CTOIIATE.
Caestus (lyLavTE;,, |ii.'jp(JLqQ^ — Gantelet pour le pugilat;
antiquité, 2S-26,
Caftan, — Pelisse; vétemont crorlginc orientale ayant fait
partie de rancleu costume des Hiissea et des Polonai-i, 438
et 439. Talr K h ai. AT.
Cage pullaire. — Cage dans laquelle les Romains gardaient
les lîoidcta sacré» pour les porter à l'eînlrolt où Tou prenait
le» auspioes, S9,
Caglio&tro (Épingles de elievenx à la), — Modes féminines;
règne de Louis XVI, 301-392.
Cagou — Marteau d'armes en forme de pic; Xéo-Câl^tlo-
niens, 06-0L
Caikdjl. — Batelier turc, 17S.
Oaîrn. — Sripulture recouverte de pierres et de csaiiloux; âge
du broiiae, 59,
Calantica fatrafir^. xpr^oefivov). — Espèce de
coiffe; modes féminines; ïtaUe, rommencemeiit du aci-
zîême siècle, 214.
Cala$iriâ. — Vêtement militaire; Egypte, 2, 9, 8.
Calcar (tyvtEvTp-î:). — Éperons ; antiquité, 25-20, 3C-37.
181
Calceus (i?irr«). — Pfmlipr ; oliAn^niT liftiites ctaa-
PCiS; KumniitP^ 3IÎ-37.
— tiutafnî. — Cha^^ss^l^^; ilorte, 4 7,
— ftJtfUf'uUii. —■ CljJiii- 8 i?i.irti À baiidelottnâ cmistt'B stiir les
jsmilHw, et dont m comiMintît à des feut-ire^, Un interviilIcH
cnrK‘p on tli I&^ftîpprcî^ qit’^ellea entre elto, 47.
— pafriciuâ^ —Cliaiiüsiire dca 40, 47,
— rf/xtndti»^ — Boulîçr à pointe feCüiirljôe, 47,
— taiuHjtf iubfithtHs, — Chaussure ne mtférînrtiit lïjvi le piisl,
irA5aiit qu’un quartier élevé iMUir le Uiloi], et, vei^ lo ml-
lieu, une hiinple courroie altacliée clüa nleux côté» j>ourniaiu-
lenfr le picfl ; 4 T,
Ciih‘rtii-ium, — Petite soinînè donnée nu {iolilat romniit
pour l'entretien de ses — Qikt'ol*(ritis^ le oor<lonnîer
romain; — Orlrfiufiu, dinilinitff de rtrlceus^ petit Foulier ou
brode<iuiii ; — expressiob latine : a dniuger
de calceus, n pour eliEinger de eondillon, 4Î, Po/r l)l^^^ ,u.-
CK-tLTt'M.
Calculenfiis. — Pounire nmHne dont on tronx îut le no-
(inillage dan:: d&! fond:$ de mer caillouteux ; antlqnltié,
Caldarium. — Selle où Ton prenait, des Imlns de vnix-nT;
JloiuAins, 45 ,
Cale, — Calotte ou Berre-tête en iiiïflge çliez les dninçg dn
seizième siècle, 2Ail.
Caleçon. — Nom donné h nn Imut-de-ehmwiiesi ainsté selon
l'usAge nia&onHn et porté par les dames sons lourd vertu-
gndes; ïîuropc, seixlème siècle, 2T3, 2S&, loJr .T.vsniim,. Li¬
mas et SniiouAn TïAKÉi.Ayu
Caleaera. — Veste andalouae; Kspa^Oj 4 70,
Calèche. — Hante cnifrure de ifane; tnofles féminine^;
France, époque l.,^niis NVI, 3S3),
Caliendrum. — Perruque des dames romaines, 4L
Caliga. — Oiausisnife à rusoge des. soldats romains, y com^
pris les centurions, tnaîs non les officiers supt^tienrH ; — (/n-
/i'; 7 rt sp^ftfifttaria^ ehau^sure moliw épaisse portée par Isa ÿ/ft-
fnl^Uctêt, soldats dlitfanterie légère chargés d’éclairer la
marche de l’ennend ; — fantassin dn dernier
ordre, 34, 3t»-37. 47* Vifif GLAVAitiUM, Clavata et Ci,avi
CAL tOAUES,
Galipette. — Coiffure des Caennai^e& ; Xormimdie, 490.
Callè i(îta),r|.}* — Hobe de îjouriîre, la « belle a par excel¬
lence; antiqiiitév 25-26.
Calotte. — Espèce de petit bonnet de ciilr, de laine, de ^atin
tni d’autre étoffe; cxiiffnre è l’usage de.; ecclé^^iitsUqiies. En
Fninco, fioits Cbarîc.s VIII et Louis XII, la calotte, favoiiiiée
A Ja niwle Italienne, prit riinportance d’une coiffure i*arL
Sous Louis XIV, le |ioid,s des pemiqucfi génèmlêmfiit en
crin occiLsionnant do la transpiration, on mettait dci^ous! de$
calottes de toile ou de ^«rge. 18-49, 63-04, 01, 3 24, 127, 135,
IfiO, 169, 194, 247 et 248. Voir CiïachîA, Feiî, leiiAOUX,
LmiiEii, PASCïtAnY-cAiivOîjK, l'RiincQirE a CAiArrre, SfH-
.MAH, TAUBOiroH, ToqUE*
— C4isqiie & timbre plat; Europe, inoyen ûge, 2(32*
Caltchoun. — Chausses; Armuites, Turquie. 484.
Calyptra (xaXuTTTpa), — Vêtement de la famille du p/-
p!ot .'Pièce d'étoffe Une et tmrisjHirentc eTïveloppant 3a tîte
et le cür|« ; dames grecques:, 24.
Calzar. — Les ^nmftcfiX'ê du pav^an ; Fmiicet dix-îseptléme
si^'cle. 33L
Calzoïieraa. — Caleoens ; CldU et Mexique. 7^, " 0 ,
j Camail- — Maotcan court, no dépA-SsAnt jms la ceinture, et
giirni d'un i apuebon. Le eamail, pendant le moyen âge.
était è l'ttsnge des laïques et des ers^lésiat^tiques, 213, 223,
2M. ro7r AirMUSi^K, BAumnjpccLLE, CAïuitïtrK.
— Partie île Fftrjuüre recouvrant la tète et les éjuaulcA, et faite
de toile double ou de jîcau renforcée de pliiques de fer rivéa.
on irEHUiean>ç cousus, ptiisi composée de mailles, A dater do
M40, le camail ne parait plus que rarement dans raminre.
Europe, moyen Age. 119. 135, 2i31, 203, £06, 217.
— {ordre du). — Institution de Charîç.s d'OrUnns; France,
quîniiêmo siècle, 2l 7.
Camaala. — Lmtguc obemiso de lin anx larges itianches ;
fetmnos valariiies, 4SS et 4S9. Voie Camisia.
Câmauâ. ” Peau de brebi-s dont les Ijmdaisse garantissent
IcB jambes ; FRinoe, 486.
Cambuta. — Kom que les anciens donnuiciit â In crosse,
1S3.
Camelota — Gros drap eti usuge dans la classe bonrgeoir^v
du dix-luiitiémc siècle ; France. 3C7.
Camillus. — As-'^i^tant du gi‘^ind prêtre, chez les liomains ;
.'iH,
CamisJa. — Espèce de c&ïuî-iote que les Grec-s iM*rtaient la
nuit (de cam*. choiuliré)^ —Tunique è nia ne lies des feuuneH
de la province rouiniue; Italie, dix-neuvième ^ièelCj 468.
Campagua (campaifinm}, — Demi-brioflcciiun laissant, Cfunme
lu cati*j<tf leA doigts è découvert, ; sa ^SOUiélle avait une em¬
poigne qui couvrait le cou de pied et le talon* Le onnpîigiLs
des esiïpercurs était éle jKuirjjre et parfois brcMlé d'or ou en-
rlebi de piern^ fines et tic perles. Dans le luis ompiiv?, eette
chaussure devint celle des sémiteurs romaiti?, .1647* 4 7.
Campes tre. — Sorte de jupon attache auto lit des reins et
deNtÆndant environ jusqu’aux deux liera des cui.sjîes; wd-
dats romains, 34, 36-37.
Campyla. — Soulier croc lui; chauAsnre preiqiie, 47, lofi^
UxcisAïrr^,
Canceiiis. — Troisiïuie clasae des dflneeu$eA iiidoucs; ce
üont celles qui panoureiit librement le pays. 1£5. Vùir
XAlTCH-GtUl>î*
Catidala (nioile i la). — Frflnee, dix-sepliime siècle, 34y*
Candeur (la). — Coiffurie de grande parure; dames de Vi-
pcKine Louis XVI ; Frtmee, diX'liultième siècle, 390.
Candîdatus. — Le Romain partant la toge blanche, pour
HO ijréjeiiter k l'inecticni du peuple ; 40.
rondblM-y — J,* hiane des étefTes înstreeB, on de
celles dont on avait augmenté la blaneheiiir ou l'éelat par
quelque preisaration.
Candys (/âvSv?^)* — Robe médo-pirsique, 11 et 12, 14,
Canez:ou. — Coriîs de robe sonsmAuebes; femmes de nie
;lc Ceyhiii; itamea du Directoire tt du Consulat; France,
dix-huitième et dix-iicuvieme siècles, 132* 133, 4(J7, 408-409,
Cange. Embarcation légère; Egyptet 8.
Cangp. — Palanquin en forme de panier et n'exigeant pus
pins de deux lïorteur^î Japon, 106*
Canact Cannac* — Collier, parure des paysannes de la pro^
vlnce romaiiiÊ; Italie, dix-iiiCUvièmc siècleT, 468*
Canne. — En Égn^tc* la canne était un iiiâigne de comman-
ilement cm de distinction* En France, l'nj=ago de la csuiJie
18:^ --
i\ sç rêiKmclpe vers kv fin (In dîX-Kptitino siè'Ckp
époque püellc acquit une extreme iuiportance dans Vattirail
des gens qxü stüvaietit le goût du leur, 2^ 4, ITï!^ 351, 3^5,
3C4^ 3Ca. 339+ 391-39Î, 401,40S, 40fl’l0&, 410. Voir Oroukii,
PouvuiJi jixfietrrip,
Cannetille.— Agn^nients d'or et d'ntgeDtXoatutues civils et
militaires^ Franco, seiKiéme et dl-t-septléme siècles, 3i0, 343,
Canon, Ouennon, — Xom donné anx premières iwnclrRi ji
feu; Europe, qumziùmo alècle, ;£2(jj 2S5^ S5T, 384* loir Ba¬
silic, BA^TAUDE, BCMlEAiEllK, CoUlITAÜD, ClE A PAU DÜAU ,
CouLEviiiNE, Faucon, Fauconneau, Hacquebute a ciiot’,
PAeSBAOLANTj PlKIUlE A CANON, PU>3k(UÉF, SKEI'ENTINK,
SpiuQkE, Tuait A toudue,
— à main, — Le fuaÜ primitif : arme à canon très court, em-
manehé au lx)iit d’un morceau, de bois ou d'une tige de fer;
Europe, quinziéme biècle, 22U,
— Nom tlonuê aux brassannls d^ader complets; Fraiicoj
quatorzième siècle, 20S, 217*
— Ornement de dentelle attaehé au-dessus slu genou ; liotumtw
de cour de l’époque de Louût XIV ; France, dix-septième
siècle, 34U,
Cap d'escûuade. — Caporal, itifanterle française du
seizième siècle ; 256*
Capan* — L^ombilic du rn^nfiJ,- J^osse, 42T»
Cape {chapûf plnnitffptîntittt), — VCdeincnt de dcsîsniî deiitiné
i\ garantir üè la pluie; la pfj'tiula des anciens, mont eau à
capuchon, cape de voyage; — fmcÂr sur les txirds; — à
colift rahattN; “ à cotîct droit ;— À atpuchon ûU crriie de
lîéitrn, manteau [lo l'èiiopie tle Henri lY, emprinitè aux
niOllUignartls pyrénéens ; — éêourf4€t conservée sous lo nom
lie ctfJirf* — Fniace, moyen dge^ seizième et dix -septième siè-
Lies, 247, ses, 260, SÎW, 271, 272, 273, 274, 275, 280, 2S5,
311* J'îpfr Balaoni {manteau a la), CAriTiUM, Manteau*
— L^ècluirîio des tianica du dlx-septîème siècle ; France, régne
de Louis XIV, 354, 355*
— Manteau des Boiirbonnichonnes ; France, 4B4*
— La coiffure deâ ^tâconnaisca, des Bressanes, 487.
CctiHiu — Manteau portugais, 482.
Cajta de Muestra, — M anteau du Valencien ; Espagne, 4 74,
477-476*
Capedur. — Le 1x»urrelet qui garantit la tête clicz les par-
teiisea de fardeaux du Bordelais; Fraiice^dix-neuvk^'nie siècle*
4S5.
Capel de for ou chapeau de Montauhan, — Voir
Chapeau,
Capeline. — Le cliai>eron des femmes du moyen âge : coiffe
repliée, avançant sur le front et retombant ^ Imntenr de
l'é|ïaulc ; Ftilhcc, quinzième siècle, 213^ 215*
Nom donné an badnet, 2lft,
0»/W/ffiu. Clia|>enu de paille des femmeB de l'ancien
comté do Nice, 467.
Capetie. — Capuchon des femmes de la R ante-Au vergue;
Fmiioe, 464.
Capta. — Burette à vin ; Eintlquité, 23.
Capitao, — Exiiressioii portugaise désignant le chef iFune
tribu; Iiuiieiis de rAmérique du lâud, 76.
CapLtium* — La cai>e féminine, chez les Latins, £44*
Caporal. Vo/r Cap p'EacoUAîiRj OsnACifi.
Capot* — EApèce de i^elisse aussi nommée m^/iî/tyTn dr Chnr-
Irmattnr ; bergers landais; Franco. 466. V&tr Kapout.
Capote. — ChaiKsin iémtuia ; France, époque du Consulat,
406, 4U8>4CP9.
Capoudji. — TiiiissSer du sérail; harem imjK^rifll; Turquie.
— Gil^tidjl^btuchi : premier capitaine des Imissiera et maré-
rhal dé la cOiir, IGO*
Captif (iMniiet à la)* — Modes féminines; France, é|)oqne
ÎAïuis XVI, 3&1-392*
Capuce. — Fof^ CAUUtjîtXv*
Capuchon. Capuce (cuchr/lajr)* — Vêtement de tête a ra¬
sage des laïques et des coclésiastiquea ; Europe , moyen âge,
196,291, 262, 212* Fi?j> Almopaii, AUMUi^fK, B.mnocurrLLE,
Camail, CAIIArOUE.
QtptiUidtt*, — Capuchon surmonté d^une houppe on d’un
gland; lioiuains, 241.
Capulti, — Capuclîûu dog Tyrcnéennés ; Frauce, 486*
Capucines* — Onlro de fémmes placé sotts la direction des
eapuems; ces demiera (levaient leur nom k la forme jwirti-
cuSière du enpuer ou capuohgn qu'ils portaieiitii 147*
Carabiniers. — Corps de groiso cavalerie dont l’institution
remonte à l’époque de Louis XiV ; France, dix-septième
siècle, 381.
Caraoalla* — Manteau gauSoia muni d’un capuchon; in¬
troduit fl Rome par l’empereur Ântooin Baæiaiius, d’oû son
nom de tîttrrfC(ii7f(i; Stmbon rappelle jwîf7a ÿrtf/icft. £6-57.
— (chc^nucà ht). — Coiffure d«s hommes; France, époitié du
Consulat, 40^^-469.
CaracO- — L’iiu deâ noms que porta, au dix-huitième siècle*
la vciâtc de forniue â grandes basques. à la Arlai^f à
iinnoccncc T-ecoimw ou à la CttaèAo/iie, à fa /^ïrrruf, à fa Sur-
doiit. Fiance, règne de Louis XVI, 389, 390* 391-392* 398,
Caracol ou Limaçon* — Manœuvre des rcltres aVlemnuds;
Euixijie, seizième siècle, 271.
Carappue. — Capuchon ùes paysans français du moyen
âge* l'ancien èfrrdoc^iculfedes Gaulois; 299, 210*
Caoatou. — Hflclie de pierre des Botocudoa; Amérique du
Sud, 76*
Carbatiné (xÆpodTLV7i)> — Chaussure de penn fratehe;
niitiquitè* 47*
Carcan* — Le collet de la robe serré et montant* Dames du
seizième siècle 1 France, 267* 276 et 277.— (Collier, dit), 266,
C area fl. — Carquois en peau do fâfuoR ou blaireau, è Fnsagi^
do l'arbalétrier ; France, quinîh iïio siècle* 220,
Cardioèfl. — Les gonds de la [(One; maison rotnalne,. 33*
Carlins. — Annranx de pied ; moiles féminines ; Fnrncè.
éj^Mque du Directoire, 406.
Carmagnole (de Ctirmaÿnolaf nom d’tiiie ville Italien no de
la province de Tiirlri). — Veste courte ; costume dca Tmiustc-
vériiis et des onvrler.’i .frauçiils iicndant la Hèvolntion, 466,
Carmes. — Ordre religieux qui prit naissance sur le mont
Carmel {Palestine), ver® lluft. Les Carmes {portaient |.¥ir-
dessus leur robe brune une chape de couleur tannée rayée
de hlane, OO qui les fit np^pele^ énrr^Jtf 147, 4H2*
Car/iiélitei. ^ lieligieuaes ossaiettics â la même lè'^gk que
les Carmes; lutrotlnite® en Franco vers 1452; 334.
Carnarlpm. — Dépendance de la cuisine oh se trouvaient
des crocs de sufliient^ion |>onr ht viande; maison gréco-ro¬
maine. 33,
Csrnyx. — Ijfi trfuiiiwtte Op jgneiTP drs fîauloL-î,
Carpelllum^ — Voitûre ü deux; noiieft ]>rnirvue de rMeaitxî
Romaine J
C^j^pettà^ — y010 fiue le:? Vénitientue^ du ^iziiinç iîîi''cle
dODuaietiC. k lA côite ou Cûfiifmt, 2î^D.
Carquois. — Étni i flèches* ChcK les archère îmnçab, le
oarquüis ULs] niraît n« quatorzième siècle ; cii le remplace jKir
un sec de cuir fermé dont^ au moment de combattre, on ex¬
trayait un certain nombre de flcches qu’on jittssàit dan* la
ceinture, l,% lo, M et 12, U, 25-2S, -J8-49, 6d,flS.64, Û7-éB,
HS, 21P, 219, 229. Feir C,iiîiri,s.
Carreau (boujonf ^uurHau, qam^rel). — Flèelio très eourteî
trait de l'arbaléte à maîn ou de la Rrande arlwktète à tour;
Europe, moyen âge, 218,319, 230,—Siège bas, Fo/r Cou^éiin.
Carrosse (de ritiilien carrûccw, clinr), ■— Voiture à. quatre
rouçfl, ifU3|jendue; 310, 320, 349. Tflù' ClfAli BRaS'IjiXt,
Carruca ou carructux. — Voiture liitroiiuitc à Home sous
les empereurs, 2le.
Cartoucïie. — La charge des artnes feu portatives. C'est
en 1683 qu’on fit usage des premières cartouches, maïs pour
la charge seulement ; ce no fut que peuiiant la guerre de
174 4 que l’on cdiumciiça à faire servir la cartouohe ^ la
charge et à l'ainorce. 343. V'oir Cûffix,
f'H»r^û«cAc* — hvüin de la petite giberne introduite darn
l'infanterie française vers le milien du dix ■huitième Pié<dç,
383. roii’ GiüKRXK*
Cssâtocar — Jaquette, casaque ; paysan lies des iiroviiiees ro-
nmiiiea; lUilie, dix-neuvième sièele, 46 7, 408,
Casaque. — Costume militaire î voiementdc dessus, a pans
pmlongêa, et à manches longues et ferincêîî. Lés inousque-
taires du roi* créés en I622| eurent la cosaque bleue ornée
de croix d'argent ; France, seizième, dLx-îjeptiome et dix-hui¬
tième sièclea; 381,382, 384. Totr IIüsüiikllve, HtjquErros',
^ANDtLLE, SUUBEtFA’ÏSTE, SURTOUT, TÂBaUD*
— La veste des l^nysaus de l'Auvergne ; France, 4S4,
Chro^'n, pet^m-l'air^ — Veste ù basques ac mettant îMtr-
dessus le corsage ; toilette de ville j France, dames du dix-
septième siècle et du dix-huitième, 3£â, 33ï^3tp9. Ktîf'r Ca lîACO.
CaBUB de pupilloa on de huespedea. — Pensions bour¬
geoises; EsiJàgne, 477-478.
Cascarottea. — PortcuiWJS de poissons entre Bajaiiiie et
^Nlint-dcau-d 1 ^Lu 2 î Franco, dix-ueuvicme siècle, 486*
Casque. — Arme défensive faîte de cuir, de bois ou de métal*
1, 2, 4,14, 15* 16,17,25-36, 29a 34, 36-37^48-49, 5U, 66-57,69-
61, 63-64, 66, 96-&7, H9, 121, 135, 291, 292, 2ü4, 395^
297, 398, 216,217,318, 219, 329, 253, 2&4* 256, 267, 258,259,
269, 361, 363, 263, 271, 283,391, 343,382,385, 387, 49Ç. Voir
AiiMicr, Ava*n:taii;, ou Vkntail, Bacinei', ItAVifeitiî:, lîüült-
GUttiKOTTK, CAH AS3KT, C A LOTTE, CaI'KLIXE, CaKSIA, OKII-
VKUitnK, ChAI'KL IïE FEK ou CHAUEAU le MoXtAtJIlASV
Cl^lI UÎÎ, COLUETIX, COUVIÎE-KL'qUE , CilÉ'l K, H A .V Ki'I Kli ,
HKAUMB, ilEXTOSSIKKE. MÉZAIL, iloUïOX, NasaL, Baî.AIÏE,
SKCUKm;, TJMftRE, Viaire, ViisiÈnt; VUK,
— dit de Birrti, tUt de /hhiiKj Gaulois, &6-57*
— d — Infauterie française-; fin du dix-huitième
siècle, 409,
— à yrilie^ — Casque de joqto ; France, quimdèmc flècle, £19,
™ Coiffure féminine ; coiyrxe à ïm è fo Iîi>maîné;
France, époque Louis XVI, 391-392, 495.
— {voGr-àoofden}^ — Coiffure des feaimes hollandaises, 4J9,
421 et 42S. 423,
C(tiijtief. — Petit casque à Fu‘'ftge des officiers; Fmnee,
seizième siècle, 275,
Cassis. — Casque de métal; arme défenslTe des Eomaina.
34, 36-37,
GhstanuelaSp ” Castagnettes espagïiolcs, 47 e. Vûir Crto-
TALE.
CaStella ni. — Gondoliers vénitiens, 239.
Castisa, — Le deacendniit d'un Esjiagaol et cl'une femme
métisse ; Mexique, 79*
Castor à la cordelière. — Ch.ipcaii masculin; France*
époque Louis XIII, 327, 328*
Castula, — Espece dcju]Hm; damas grecques. 19, 29,
Catastictoa ou Zodiote. — Bobe mouchetée; dames grec¬
ques, 47, 19.
Gatervares (cafemarii), — Gladiateurs combattant par
trüuijos ; liomains, 36-37.
Cathedra {xa6'£OpO£). — Chaige 4 dos, mais sans bras; “
cathnirtr mtffta ; chaise couverte d'un coussin ; Greco-ltomain,
32, — Choire èpiscopide, 227,
Catogan (coiffure en)- — Chevelure dont la touffe de der¬
rière est serrée pjir un ruban; il Tusage dos deux sexÊ^;
France, dix-huitième siècle, 391-392, 398, 4U5.
Catrîntla. — Tablier è longues franges ; femmes valaques,
458 et 459.
Cattuma* — L'une de$ deux semellee de la cttjtidu j Faulre
était l'ernWeifta; chaussure antique, 47.
Caunace, — Surtout è franges * apijclé aussi la jwrji r?re*'
A-ssyrie, U et 12*
Cauris* — Coquillages ser\’ant do ]Mirure et de monnaie ;
.Afrique, 67-68, 71, 154.
Gauâeuse à la Turque* — Lit de repos ; mobilier ÏAUiis XVI;
France,, dix-huitième siècle, 391-392,
CauBla (îtM’J'Ctffl). —La eoEffwrcdes Macédoniens; du temps
de Culfgtda, le peuple romain portait la caxjm, aurtoutau
théâtre ; antiquité, 25-26, 41.
Cavalier grec- — l'éfr Hiii'Eus,
Cavalier romain, — Voir BiîueA
CavaliËre ou carrée (perruque). — Moiles masculines;
France, èixxiue Louis XIV, 861,
CavœdimSi, — Cour découv^erte auiour de laquelle sont
dbîiwsèee les chambras ; la jwirtie creuse de la maÛHon ro¬
maine, 33*
Cearnaich.—Archer écossais du seizièiae siècle, 426 et426,
Cecryphale. — Réseau on filet dont les damea grecques cn-
velopi»iieut leur chevelure ; les Athéniens l'appetaient «cry-
jdmnitf 21,
Ceinture. — ToiV Aüset, A>-amakiiau&ter, AroDESsiEt
CiStTOIlIU.U, ClXUL-LUM, COMSIttEIBUSt), DKIIHAÏ., FUSirKWlIÉ,
Xemeh, Oui, Qvixsu-BALrK, &aaila, Èemis*jNü, bu-^nJAK,
SrÈTHODfilSAlE, STItÛPlI tOM, Su HCi: IA"TE, TJîtADüH, Zo>'A,
Cetfdtir'e à iu ÿabimne ;fla5în^H). La toge dispoHée
de manière à former voile et ceinture.
; moyen âge. Le jXfrt de la ceinture
était alors iJOtir les feaiiuea une marque hoMoraUle; elles
rornaient d^or, d'argent, de perles, de pierres précieuses.
Pendant les quatorzième ét qninslème siècle^, plusieurs
1n4
ï>illU royniix tU^fendir^nt aux feiuitics Je oinuvnuc v3c rVe»
iwrtcr^ mais ccllos^ci Ji’cn ai^ur(ière3iit ji&k cùâiiij hia cetnturc
î>t — f-a ceinture dea tHiiirgoo3$e--j< du sei¬
zième wècle ; elles y suapendaieïït leur iMUrse et leur taîroîr»
Cfinfrtr*' i>r/évrif'. =- Costume muaculin, coiiituericeineiit
di^ quutorzième siècle* Bé|ièüe ilft Ixiuilin rembourré jdAçèuu-
dessou-Mi des lianclies^ et sur la faee ext::''rjcurc duquel étaient
ooufiucs dfts ‘l’éiP ciselées, sauvent aven. Rccoui|Kigtie-
luent dVmaiix et do lûerrerîcs* Ou y peudalt ta Imui’sc et un
poignnnl ticuuiné iKtdttmt'e, La ceinture nrfëvjlo æ portait
juiî»i sur lu cotte «raniira.
Criutitrf de cht-mteHe. — Ceinture ndUUire que les cheva¬
liers seuls avaient le droit île iwrterj et qui ne fut aduptéo
que vers 13^0.
f’tinttire à iii itfnirit^mie, — Costume oriental : pièce de
sole eeiguant les hanches et nouée sur le c^tè. C‘est une )ia-
rnre que Ton. rcucontre également en Kabylie, oà elle entre
dans Iftï atours féminins * 40,157, ÎÎC, lïT^ 178, ISOj ISB,.
211. 215, 217, 273, a2«.
Ceiruuroit ptit’fe^ibeerte. — Infanterie fran^'aise; dix-hui¬
tième siècle; règne de Louis X\\ 312-
Colla, Call%. — I^es chambre^ eotziposaut les Ixiins romniii-ï,
Ceila/tl^jidftHft, — Première salle de ImiIu, 45.
G'ita Oftiarii. — Loge du portier; maison romaine, 33,
Celii^ vitmrift. — ]dagas{us ïKiur le t]Ii, 33,
Celt, “ Esîiècc de Jiaclie, 48-4iï, 5(1,
CelUbérienne ou Espagnole (Kpce)*— r<jL' finiE,
Cendal. — BtolTo de taffetas de couleurs unies et parfois
rayées de deux ou trois iniariee». — Ceminî /fe/w/fn, le plus
éjmia ; ou iioigikait de&mis des armoiries, — t d cebaffUj.
celui recouvert de feuilles d'er découpées et collée Mr Té-
toffe au juoren d’un morilant; r]uro|>o, moyeu âge, 20411.
Cent Suisaea* — Comikcguie d'iufauterîe d’élite faisant au-
trefoirt ti;rrtle de la maison militidro des mi^ de France ; ins¬
titué jxir L'harles Vlll en 149C ; 256,
Centurion (ccFPwjrfu)- — Offîcicr de rarmèe romaine d'tin
rang liifcîiénr à celui du tribun inar qui il était nommé,
36*37*
Cervelière. — Coiffure de mailles ou de pl'iqncs de fer eii-
velojipwit oxactement la tjartie supérieure du crâne, comme
une calotte; Liirope, moyen âge, 2ü3, 217., 213,
Ceatas- — Les paniers du Brésil, 77.
Chabinto, — Service de thé complet ; Jaimu, 106*
Chabraque. — Ornement de selle importé eu France par
les hiisaariLs hongrois que LouU XIV enrt-gimeuta vers
1692 ; 4f>0*
Chacbla ou Cbechia* — Calotte de feutre de fubrlCAtion
tuni^ienuê^ auLoiir de laquelle ou enroule un turban ; coif¬
fure en usage chex les ifeuples de l'Orient et du nonl de l’A¬
frique, 70, 157, 158, 159, 160, 161, 163, Tefc Ffiü, TAltBüCril*
Chaconne. — Air de danse qui servait de huai n uu ballet
oui un opéra; née en Italie, la chacou ne était fort en vogue,
en France^ sous li^ régnes de Louis XIV et de Louis XV,
Lu 1663, on apfwia fhaeoune un long rwbitrt qui fut ajouté
nu col de la chemiïie; ce rubau tombait plus bas que la cra¬
vate et flottait hors do rbabitT. 351, 362.
Chaîna. — lusigue de chcv^alerie; marque d'honueur, ^
Parure é Tu-sage des deux sexes, sous les régnes de JxkuLs
XI et de Charles Vlll; les riches seigneurs portaieut de
grosfit^ chaîne* aux lourds auucaiix; ce luxe evi^îtait égale¬
ment chez les liouimag d’ai^nies. (7^^^ rrhfutttetfr. de
Ivuro^kO, quinZriéme et seîziènie siècles, 221, 24&, 247 et 24S,
243 et 250, 25K €0!.MKIÏ, PatEXuTUF.
Chainse. — Tunique de dessous, A manches, faite de lotlo
de lin ou de ebolivre, et même de soie. Vers la lin du
<|uatorzicme siècle, lo nom de r/iutnjtE' cgmidacé iiar celui
ile rohe-Unge ; France, moyen âge, 188,
Chaire {chaierê, /tntrwty^. — fiiêge Use ganii
de bras et d’un haut dossier, eselupivement réBervé au
niaitrç de la maî^'ou ou A rétraiiger de distinction que Tou
recevait. Chmse curiale^ ('Mire éjdxûjvtîei Chaire jêiÿtrea/ialr.
Furtjpe, moyen âge et seizlétiie siècle, lOb-lfll, 215, 22",
224, 23S, 306.
Ghaiae. ’— Au dix-septième siècle, la chaire ou la ehatse A
haut dossier fut remplacée ptr le fauteuil, lequel devint la
pLace d^honiicur du chef de la famille. Ce que l'on appelle
alonî plua particulîéretueiit lacAsfjCj. a%mlt encore un dossier,
uinîs était dépourvu de bras* Dans la IJérarchlc des sièges,
ce meuble occupait te tnng imm^Hllatement nprèd le fauteuil ;
le pliant, le piaet^t ou tabouret, et l'escabenu venaient en¬
suite. Europe, dix-septième et dix-hultiémc siècle*, 3U5, 3J3,
315, 374.
Chuise curaîe (telfa ainiliff àyxuiÔTTO'J^) ; le
siège des roia, put# celui des consuls, des preternw, des éditcfî
enraies de la république, de tous les gmnds luagislrats, y
compris les sénateurs romains, 44, ISl,
à porteurs {sella çe^faforiij, Siy'po; XïTd^fiiyo^) ;
celui qui l’occupait était as?ii et «ou couché, comme cela mi
faisait dàtis la litière {tectiea) ; elle servait surtout aux femme*,
ce qui lui fait douDcr aas^i le nom de ie/la ftmtiebfis.
— Siège fermé et eouvert dans lequel on se faisait porter lair
deux hoiiimes ayant sUr les épnule^i des bticoles qui sOUtf"-
iiaient deux lotigs leviers placés sur les aHës de la chaise.
elisisea de la maison du roi de France au aer-
vice.do la cour, et qui, en 1667^ furçiit. niUiB en régie pour
être eu mèiïie temps à la dlspodtiou du public ; leur* |M>rteurs
avaient la livrée bleue. VAnhea doiées, celle» exclusiveuieul
affectées aux uiemlires de la fumille royale. Euroiie, div-
septième et dix-huitième stèdef, 3 74, 396*
Chaises dé posh ; Angleterre, commencement du dix-neu-
vièmo slixile, 43L
ChakaL — P«tit snc cleiièauenvelopiiaiit les panie* sexuelle*;
Cnfrfts; Afrique, îl*
Ch&l0i Schall. — Longue pièce d’étoffe du Levant dont les
Orientaux s’enveloppent la tète et qui entre aessi, de di¬
verses maniérés, daiîs leui-s vêtements, «oit (xunme éclmr]NC,
soit comme cointure; leî< diAléS le* plus renonimèfi sont
ceux de l'Inde, Eu Buroiîc, et plu* particulièrement en France
dèimis la lin du dix-huitième aièele, le châle éat devenu une
pièce iniïKirUinie du costume féminin; il eousUte eu luie
pièce d’étoffe longue oiiciirree, ornée dans le genre des lissti:*
orientaux, ciue lea feiiiuic» portent sur iM épaules,, 122, 123,
137, 169, 17L>, 175, 176, 1Î7, ISO, 406, 4ü7, 408-4013.
Cïialeco.^—^ IjC gilet brwdé de» (oterog espagnol^ 470 ut 471,
CIi&ll. _Tiasu confectionné avec le îXîil de la chèvre; Tur¬
quie, 170*
Cbâlong* — Tiasu suédois, espèce de tapi* rayé; 412.
Gh&Ittme^it (cha/tmitf chafeuielie^ chntemiau}^ — Instrutucnt
à vent de hante antiquité, primitiverneut corapoBé d’un
rosenu ou d'une écorce du branche d’arbre dont le boU a été
extroit. Le cbaliuucau du moyen âge est garni d une niiclie
et i>ercé de trous iKTinettant d’obtenir plusieurs notes; 192.
FflJr SviiTxx, Ftsttu.a*
îsr> —
Chalwar. — PjitstJiton large, Hottaiit ; Ttirf^uïc, IftO, I7u,
175 , ire. irr, ith, 179 , leo, lea, 4 gi* vou Potouu.
Chamarre. — Vc«te irè^i amiüft, forruée île bütidc^ <rçtoErt«
nHuiiiS imr dc'!* galons; uostiime nia-souliii ; Pmiiocj
Keizlême sttele, 274. !'*//■
Chambre d'h&nneu.r„ du Ht, de parade, dea paro-
meuta. — PIlco fin cliâtean en de lu nia^on wùtgnénriïile
oi'i SC fnifuiient les graude^ rêreiftioiis ; France, moyen agis
sclKlênie et clix'septiirine siècles, 293, 314-345, 34 7,
i'hftntht'f h cmidifr. — EiiroïKi, dix-sejiMèine siècle, .113
et 314, 31S 319, 322*
Chanceliëre £ ixmeliifi de cheTtuis à ), — Toilette fètijî-
iiliie ; France 178G; 391-3^2.
Chandelier. — Porte dumièro* Ce mot «Igtiinait an^sî ean-
ilèFdïre, îmrte-lwug'ie ou jiortc-cljanilelle. iiorte4ftiTi|te, etc.
Len termes qnî ficrvent dèpigner cet objet eont nouibrenx ;
fûHtif JîunihUiit, ciervjv, etc.
('hmuifîki' fl phtHn*'. —' Celui fOïüiKJrié d'un plateau etr-
culnire surmc'utè d'une loitguc pointe sur laquelle an Jicliait
le cierge de cirej ce n'esl guère fiu^au qaatorKièmo siècle
que La pointe est rcnipliicêe par une doiüllç* 200, 322, 37Eî.
Chanfrein. — Harnais da dievikl, pièce de fer qui ga-
niutit le front, rentreolonK des yeux et les iiariTies de la
bf’te» H ne poraSt Jio-s que les cbècaiiï fiassent aruiéa avant
la fin (In tfeiîlètne siècle; Euroiie, moyeu âge et BeÎKièmc
Fiècle ; .TniiOU ; 96^97, 22l>, 221, 2f.l,
Chanoine. — Membre du cliapllre d'une église eatliêdrnlcon
collégiale, ühitn^int celnl qui faisait des vœux et
vivait en oonmimanté, U", 198^ 284.
Chaparreros. — Esj>^:cos do luniseaux flllmiten s'élargissant
sur ]n. ehanssure qii’ilÉj couvrent coniplèteiiient t Mexique,
79.
Chape. — Synonyme de<«/ne, vêtemeut saoerdotLLl ; manteau
muni, Porigine, d^m CùpUcbon. Ou en usait surtout pour
les procjessioiiît ïointalnOî, afin île pouvoir se gnmntir de îi\
pluie; de là le nom de pluK^Uiî qui lui e.st ai^Lsd donuè; —
{biltr d«)j grosse broclic qui niainicuait In clia|K^; Furojic,
inoyen Hgo et sciait luc .siècle, 197, 198, 200, 281.
Chapeau chnpi'h ckapd^, thapriaUf con'ef'e-thjr/)^ —
Le mot cArt/w^è, nu moyen âge, a d’aborfl dc^igué Itn coU’
rnnnGs de métal ou de fleurs considérées comme couvre-
chefs. Des fnbriemits de chapeU de fleurs est venu le norn
(le ehitjitHfrê, donné aux faiseurs dechapuiux d’hoiumes. Eu
France, c'est sous le règne de (’harles VI que Ton voit les
chapeaux succéder aux chniwrons. Ils comiiiejicèmjt iV être
cti usage à la catnpagne, puis à la ville, riuii^ .•seulement les
jours de pluie. La mode iridors leur donne dtw foniioB pedii-
lue?, romk-s, eylimlrlques; qMcdquC'S-ims ïFont presque jvofl
de Ixjrds. UiieLufinité d'agréuteîits y prciineut pl.ice : plumes,
lionpiies, frnfji/cufj, cervles (rorfêvrcric, etc, ("hupeî ù
hémisphi'nffttf^f or/èrf f; Europe, moyen âge, 2U9,
2UK 211, 212, 214, 21G, 221, 222, 253,
f'hapr t /tntirpi^r, rfut/nl
— Coiffure militaire. Espèce de cervtiiièro avcf^ bord plus
ml moins: saîtlunt autour du crâne. Au txmuuenccment ilu
quiuKitmicsièele, la visière du chapcl cstïieret>ede ilenx trous,.
|jour 3*errac;ttre de voir eu abuisafint ceiti^ coitTiirc sur le
viwige; ce chnpfd pmid alors le nom de rA«/W ife d/ew-
faitbati. — tif' ftf'nutitfj eqlfrure po-sée sur le heaume de
tournoi et ayant pouf objet de pr'éserv'er eg t'Oiwnic (les
myoïi.-^ du sole U; Europe, moyen âge et seizième siècle, 3 u 2 ,
217. 219. 22n, ,1til.
d F.lfèninafje. — CoitTiirç des iLstrailiohi ou Al¬
banais iueor|>on'*s dans Faniiée française, puis celle des te ca-
iholiqUiÉïS îélês du ternies de la Ligue, — (‘fnip^ati /rouçafjt
on fV la //enri / F, easioi* de forme Ixisse et â larges Iwirrls ;
ekîtpeiiu à ht fftifjHrfiiffff coiffure de feutre aux l»nrds apla¬
tis. — Eura|«, Btiiîème sièeTe, 25S, 283, 28.'5, T'cfrSoMiîREito,
Ctiajküiii à cti ctirefte —- Offries fémi-
nînes du seissiéme sÜ-clc, 2GG, 280,
à Ifi îttiMùmpiéton, Cuitur ô lu çfin/t'IiVrf. Clia-
I»aux h larges ailes et empanachés, [Kirtés imr le.s (HégâTits
du temps de tais Xlïl; üïurope. dix-septième siècle, 321,
.328, 327, 330.
(TiftjHfi» emfHüitteiié ou <t plumets o frf>U i/outti/n’s^. c’eüt-â-
dire à b^htib! triangulaires ; cjiofjue île I.^3Uis XI\', 3 tu, 312.
343, 344-345, 340, 351, 352, 300, ,3G |. Foie TuUJOllXK.
C/tftj!n>au û l'aufflftisCt à ht ihtcîwst\ d'vti Kffttvmn-ÿifàî, du
ItéroTt, d è(ï AMbofûfiffh, à ht ^/wlUdi^^ Ou <> ht
îbcocé, à in trttmp(ir<f;fih C/mjmttiX-b<mneUex\
modes fcmiiiiiKJs de réjiOf|ué Louis 2CVJ ; FraneCj fin du iltx-
huiticme siècle, 390, 391-392, 398.
i‘hftpmu à t'Amh^smnuft à tAntjhtin’f mjûclrp^à ht
fîtitpHtux chtpm'^ k ht ïinsu\ h l'ini'fmrl/jH. Coiffures mascu¬
lines du règne de Louis XVÏ et de rèpOfiuc du Consulat.;
Fnnice, fin du dîx-hultjèmc siècle et eommeuceinéiit du
iliK-îieuvième, 391-392, 405, 408-409,
Chapelet- — Diadème ou ruban servant à maiTitentr les
cheveux ; jiuirure masculii^e; trei7rième 'et qnntcrBÎcUie siècles,
209. — Chapelet de Iwis jHour la prière; Kabylié, 1.51.
Chapeo de sol. — Para'^ol; rortugul, 4S2.
Chaperon {cappt^n). “ A l'oTiginc^ une peti(C cuïïO, une
aumiissc qui, i>Hr suite dc-s transformations de la nuKle de¬
vint nu Ixjimet. C'is&t àu fommciicciiicnt du f|uater<fièma
siècTo que la unoilc des chaperons est gincrate chez les nobles
et les Viourgeois ; pcîsdaut les guerres civiles de cette époque,
leur couleur eut une figTnfie.ation ^xilîtiquc* Cette coiffure lit
id.Viu* au iMuniet et au cbaiîcau vers 1449,
i'hitp^r^n à eûnieii<‘^ à jxtife. — Ixmgue bande d'étoffe
roulée autour dg la tête et retombant sur l'éiiaule; le bout
de la partie roulée que l'on retrniusSHit $ur la tête, était ap¬
pelée jiftffe^, la partie retoiulKnite sc nommait cortr-fh'. Le
chniK^ron â coriictte était une des marques de la dignité de
docteur, et, au quluîtèmc siècle, régnait encore ooncurreiu-
ment avec la barrette et le Iwunet.
à Imntirf, celui qui formait turban et iCavnît
pas de partie pendante.
rfiapf ttfit embrmiché, cffc tumc de deuil ; capueliou lîont la
(‘oiffe s'avançait de inaidèrc â cacher le visage, 2tï2, 2UG,
219, 211, 212, 214, 215, 221, 223. 241-242, 269,280.
Chaj>^ron /émittht, — Les daîues portaient cette coîffnre eu
manière d'auunijsse, ou eoiziuie la capeline actuelle. ffta-
f^rntt O tf'mphlfr, celui gaml d'un tour de vitiAge qui est lu
frmphff*‘ proprement dite; lacfj^r ét*it respèce de béguin
que l'on mettait dt«fi<îiis. — à hi /ntnç<tf.<t’^ rèdue-
lii>U de rnntique chapt-rtjn. — Euri>iM?, moyeu age, seizième
et dix ■septième siècles, 213, 2'J5, 24Gj 247 et 248+ 249 et
£50, 251, 2G4, 265, 26G, 268, 2G9, 273, 274, 278+ 283, 328
329.
Chap&. - Biqiéce de cbaiw, Armvnienucs; Turquie, 180.
Char, Chariot. — Mot qui, dans roiitiquité, sert à désigiicr
divemfs sortes de voiture* employées suit pour ecuidïatt re,
soit iKiTir ]wrtleipcr à de* courses de vtipase. soit encore
^Kiur figurer rians des cérémonies religieuses et profanes;
J+ £, 11 et 12+ 16, 29. Fwr Mima, ühïk. QL’AniiKiK, Tuiufh
i'hrtriof et i> f! nul ois, 5C-57.
(*hat' ou ihaiint b/ftnîofifi mrhjen tmiifijKirt' ilii nmyoïi
Ako, 216, 310,
Charlakana moâsa. — lionnoi fcminlii j Suède, il3.
Charm^a de la Liberté (coîflfnre aux), — SIoilcs fèiwi-
iilnes; France, è|xique Loiih XYI, 3îîiS,
Charo on Scharo. — CoiPTure dt^ four^ do lète ; cbefâ
Cnmïicaiis; Ann'^riqtie du Sml, 7C,
Charpenterie^ — Asscmbhfre de mndrlcrfi, espèces (Vafffltft
dans le^iuetâ on oncasLrait lea boinlïftnïesH. ; artillerEe fraii-
raisC du iiLûyeii dge, 220»
Ch^irjyetHiert de în ^iefiie fciÿn«'; nom que Tou dotiiie aux
?iuehieri du moyeu âge, 316»
Chasseurs à cheval, â pied. — (Armée frano^îse) JokU-
tution qui date de ITTC : un escadrcui de chfkâ»eura k che¬
val fut affecté A éduque rcglmont île tlragoiis; des chasseurs
A pied furent mlrodiiitA dans les Ijdit^îtlonjt d’infanterie.
Ccâ derniers donnèrent Uew 4 lu eréatinn de régiments d'in¬
fanterie lègè'ro, -100,
Charros salamanqulaos. — Femiîors de lu province de
Salamanque] 472*
Chartres (garniture 4 la). — Les volants de ïei robe d fa
ri/rof modes féminines de Fèpoquo Louis XVI;
France, 3S9*
Chasuble (de petite case on demeure). — Vêtement
seccrlotal constatant, au moyen ftge, en une Irnsgue robe
sans oianclies et sans autre ouverture que celle pnr où le
prêtre pAS'^alt ta tète» — A dater du treirièmo siècle, tu
forme de lu cliasuble commença À se tnodlder, jitfuir en
nniver iiiKensiblemcnt 4 celle qui îa caracU'^rîsc rie ju>s
jour», 181, 182, 1113, 1Û4. Fuir PHK.'î<turAi.
Châtelaine* — Bijou de ceinture servant 4 la suspension
de la montre ; Europe, dix-huitième siéele^ 3B11,
Chauffe-dotix. — Eq>^'C 0 de iXH'de, appareil de In famille
dos brafrivt espagnols. — Chnn^e^pitdf, chatifferetto en
liols. — Europe, moyeu Age, seizième et dix-septième siè¬
cles, 236, :il8-319.
Chaupal. — Palanquin des mariages, dei; processions, et
en géiiènd dei graiidess cérémonies; Inde, 125.
Chaussas. — C'est à la fin du quinxième siècle que les
braies furent Templncèes par les cIjuimsc^ pantalon collant
rinqucl, au moyen d'aiguillettes, était attaché le pciu'point,
— Celles fini tliajïensaient de mettre des
souliers* — 205, 206, 2ÎÙ, 211, 212, 213, 214, 215, 222, 238
23il,
V/tans^s OU bivies de uioiTfe#? l'ctfirient ailopté i^ndaut la
première moitié du quatorsdiènic sii>clo» — L’annuro des
jatnixs ne se compile encore, 4 cette époque, que des grè¬
ves ; mais, dès qu'elle sc complète de la mellAtiérc et des cuis-
sots, les clmnsscit de mailles disparaissent et sont remplacées
par des chansses do peau avec jiArtîo de mailles nu défaut
.les jarrets, 202, 203, 20*, 207 et 208. 205.
(Hnitf-de-)i — A lu fin du quinrdème 5l<>cle. le
haut-de-chuiissejî est nu <*aleç‘Ou wiirt garni d'une l>rayette;
il prend de Fampleur sous François 1**“ çt devient, 4 la fin
du seïïiéuie siècle, une espèce de bourrelet taillsjjé qui,
dans la milite, s'affaisse et s'allonge jusqu'à u-de»:^us du genou :
ee sont alors les atnftnâ du milieu du dlx-scptlème siècle. A
la brayetto, se sulxstltuo Is pi-fiie-oie de rnlians. Les canous
disparaissent dans la ficconde moitié du lègue de Louis XIV
et la culotte Ie4 remplace. — IJaui'de^ehfiu^srJt nt towrw, celui
qui allait en s'élargissant vers le bas; Frauce, fielïl^'■lnê siè¬
cle ; — it chl^ttihtde^, haut-de-oljaussea tailladé (il y avait la
rtrandr et la jv/p#- ehft^ucfitde}, France, seizième et dlx-^ptiènie
siècles»
fins-iîe efiamses^ partie des eluvu^iwcs enveloppant la jambe
et le pied ; ce que l’on apiwlle» en termes abrégés, les
254, £55, 256, 257, 266, 267. 268. 269, 270, 271, 272, 273
274 . 2 75. 278, 2S0, 283, 265» 289, 301, 311. Voir CxXos»
CUIÆTTK, GrtBaiTF., FANTAIjO.N’, RltlSUtuVlC, TlM>U!i.Sli.
Chebka. — Xom que porte ronsçnjble tle la parure clfez le?
femmes du Sahara algérien; Afrique, 165.
Chéchia. — Fo/c CiiAcnrÂ.
Chef-d'argent. — Unban entrant daiLî rarranKement de
la coiffure « rftnH/jite ; modes féminiiieR; France» Consu¬
lat. 409-109.
Chela.i’iâ — Pantalon; Oc'anle, 63 04. Fefr
SAiit[4]^Kn,
Chelauk. — Le Bf-rtfini qn; exerce le mt tier de cljarl:>oni]lET
ou celui de manonivre; Algérie, 163»
Chelùtilha. — Chemise de laine; femme»Kabylra, ICO et ICI,
Cheminée. — Architecture intérieure» La coiustniction des
véritAblca cheminées ne eiate guère que de la fin du trei¬
zième siècle ; elles étaient l.'irges et hautes, alla qu'une
Limille pùt s’y tenir. Le blason peint et sculpté, la ata-
tiiaire, décoraient le devant de ces cheminées 4 l'omemeTi-
tntion desquelles contribua toute la richesse de rarehl-
tectiire du moyen 4ge. Les grandes praiiorrions des chemuiées
se perdirent au dix-fteptième siicile, époque Oft la fabrica¬
tion des glanes d'appariement conimcnça 4 se développer,
190-191. 232, 235, 236» 245, 29ü et 291, 233*299, 303-303,
312, 322, 348, 356-3S7, 377, 378, 393»
Chemise. — Foii- CHAïxstn»
{Robe ea}» — Çhemi.teù fa grerqae. — Botes de déshabillé;
niodeiï féminines; France, époque Louis XVI, 391-392.
398. Voir AKGAIIKAlï, BKl^HU.XrUüK» CHKUU’LHA, ColfllTUt.
Pkuuai., Djaiuu.i, Gasdoura.
Chemsê. — Plè^i'e de coton pliée carrement sur la tête; oolL
Turc de» musuluiaae^ de» enviroun de lu 31ccqne, I8Q»
Chenets {cMeitneft)* — tTstensiles de chenïlnéç preeiuo ton-
jours en fer; veux du seizième siècle étaient parfois de véri¬
tables chf*f«-d'iœuvTc de sculpture, 292.
Cheval fgrand). “ Chevul de tournoi; Europe, maren
âge, 222.
Chevaleresque (artnure dite)» “ L'ammrt coinplfru^ du
quinzième riccle, 254.
Chevalier. — Kom dnimé* au ïïioycii Age, au noble
qui avait reçu l'oriirc de ehcvalcrie» D<-s le tem|» de saint
Louis, on distingua les chetaiieri de iiehîetse et les rUeva-
lifis de i-oW ou ès fc/jE» Au seizième siècle, où le titre de che¬
valier fut conféré même A ceux qui étaient simplement re¬
vêtus d'emplois civil», il devint synonyme do no6fe, et fut
le algue d'une distinction quelconque, 201, 202, £03, £01,
205, 2(16, 207, 208. 209, 210, 210, 217, 219, 221, 222, 2S3.
£54, 258, 260, 261. 324,325, 328, 364, loir Eaciikmku, Bax-
XHIIET (CIIKVA.LIKB), PAOE.
ChetaUen de noee^ les jvnncÿf gens qni accompagnent
et protègent le cortège nuptml; Xorvège, 413.
Chevau légÊTâ. — Ce mot désigna d'aboni toute espèce de
eavalerie légère» puis fut appliqué, soua Louis XII, 4 des
campagnica Spéciale» montées sur des courtauds et amiès
4 la légère. Henri T\' forma Ir» cAçraxr-féÿeiM do roi;
187
XTII Ici cnregimentn en cEivalcric tic Ji(Erni&, et leur
f-nlcvfi }q tirtiti de ellevnu'légers qui ne fut conwrvé queiiiu^
la niais4)i] du rui jMUir une cûiupagnie de lAO Ijoni^niei^ eai-
vlrow, tous nntjïcs; France^ dis-septuSiiic et dîx*lniiîtK>me
siècïets,
CbOveltU'O à la comète. — Les cheveux jîéiiafês^ vers l'oc¬
ciput et ninient-a en ïu^udies iin>galeA sur l’mte et l’autre
épaule; coifrure des homuicit Fmuce, él>Oqito de Louis XIII,
;i2". 328* CAURAKri'*:; MoirîiTACITE.
Ch-t'i-tix en ctiidri-aulx. — CliOveiiX tontbant droit Sûr le
front et eoup is homontalcmcnt aii-d 068 us du eivurcil ;
l'rtmccT quiriaiéme et seiKÎènio sîtclea+ 247 et 218,
Cfti'reux <V iH p/'ÿtfnçntey c’^est-à-dire rtis sur le dessus de
lu tête, loiiffubi derrière et sur les côtés : Frïiucej oHK.ièntc
siècle, 1B8.
C/ieirtix tifvi. — Garniture de clievcux ajoutée sV certuîne.^
toques de la fin du quiiiKième siècle pour donner une ckevO'
lune foiimie aux boDiincs qui s’en coîffflioiit ; Eurnj>e, quîn-
zième-seÎKième sU etc, 238*
hîitttc iiffittt de înity biftne fomt-Janne, qwiH
ffiâ/ain, c/iâfttht (Iftir, ehâtftin hmu, ijH.* de Afahn\
rioir^ naitt mdr JuU. Nuaimeî de ]K>rniques à rusago
des lioinmes; Frauce. règne de Louis XIV, 3^1.
Cbibouk, Tchibouk, — La pipe ordinnirc; Orient, M‘i,
141, 17e, 177. 17S.
Chieftain, Laird. — Seigneur écossais, eliçf do ctan; 425
et 428,
Chien-manchon. — Le petit chien favori que les tcuuuc8
teimieiit (luns leur mniichnn ; Europe, dîx-ficptiènie si^'Cle,
33 a
Chi-Fou. — Cünculiines iuipériiLles du troisième mng ; Cldue.
8 G> Voir Fol'H 31 K, Pis, YL'-Tsr»
Chignon. — Nom donné à la jïenruqne féminine ; France,
lUx-huitièmc siècle. — (’hii/Hon pMn, celui luotitê eommo la
]vrruque à oreilles dcji lionnuL';;, 8£H. — CAi^iioj! en demmSf
en paire; coiffures en djcveiix ; diiuaes de î'ipoque de
T^uis XVI. 331-392, 398, 4Ü5.
Chintyan. — Robe d'hulieniic ilca fcllahîues; Égypte, tCOet
lei.
Chipot. —' Siègo que l‘ou introduit sous le manteau do la
clLcminèe ; mobilier rustique do Ln BretagUiO, 499-500,
Chiquetade. — retr T.tli4,-V!>K.
Chlravaris. -- Fauta Ion large; Rusâ^io, 44 fL
ChLripa. — Pièce d’étoffe tenant lieu de luintalon ; Oaucli 08 ;
Amérique du Sud, 77.
Chlton — Tunique de laine ou de lin, — çJiitoniipfe
(jfiTW'Ji'TXo;) on tunique courte et étroite, téduc-
tloii du cAdo/j; GriXi, 19, 2(1, 24* Toi'r IVnpKUK, TUMCA TA-
i.Aum,
Chlæne (yXatva}. — llantoiiu jjarfob; doublé jKmr gsnnantir
tlu froid ; son ainipleur le Tendait propre !\îîervlr juiasI de cou¬
verture pour lu nuit.— èVjfoaûhou, efifomteos^ chfums; man¬
teaux ile femuaes.chlïenes courtes et légères; {Troc, 15, IT, 2Û,
^ Mode* fênunitieïï; France, Consulat, J08.
Chlamyde^ cAfonn/du, chhmÿs (yî.apt’jç) ou Fidiextride. ™
Mantitàu léger et courtv vêtement de clievaî dcit jeunet geïis
rVAiliênes. — Vêtement militaire des Grces adopté isir les
Romains; il était quadmugulnire gt s’attacluift sur l'épaulo
drfdte. — Chhtmÿdfan^ cA/oïfif/dnffi; chliitiiyde--î rc^diiites, 15,
17, 2ü, 2&-2G. 40. J8S, 109, 209.
Chochocol. '— Cruche de fortes dimensions que l'^^irodcu*
mexicain porte al doB, 79.
Choli. — La petite jaquette h manclies courtes des feiumcïï
iiidoiuæ, 123, 124, 128, 129, 130*
Chouha fjro&fl), — Pardessus d’origine turque; Pologne
451. 4 52.
Chourea. — Éventails en plumes de imon ; Inde, 110.
Chuloa ou Capeadorea. — Toierm espagnols, 470 et 17I.
Chupeii. “ Veste de dessus, sans luauchea; Bretagne. 497 *
Cid^rla. — Coiffure persane en feutre et de forme conique
La cidfiHs était aussi une coiffure arménienne, 244*
Ciel. — Le haut d'nn lit, d'un carrosse, 21C, 227, 230, 232,
293* rof>' Dais.
Cimier. — La partie suiîérteure du c.TRquP, ornée d'ni-
grottes, de phuucs, do crins, etc* — En teniin do bla^u*
le cimier est tout objet posé sur le timbre liu Qisque qui
suriuoiite les nrmoil'ies, IG, 17, 25-2fl, 38-3 7, 4S-49, 58-57
202, 205, 2ÙC, 217, 219.
Cinctorltim. — Ccîiiturou des officiers romains; 34, 3C-
37.
Clnctas ff/tltirntj — FeuV'CEïsri'iiR a i.a OAUtESSE.
nn(f<ttoriifr — Ceinture de laine des femiaea vainques.
458 et 159.
(^*in'julum (xatvia)* “ Ceinturon de soldat fait de mé¬
tal ou de cuir ptaquo do mctal; Grecs et Remains, 25-28,
34* 3C-3 7.
Cini^amominum. — Parfiim en usage dans les bains ra-
lUâius, 45 h
Ciogni. — Nnms que les anciens Araucaiiiens donnaient au
pOiicAo; Aum’rîque du Sud, 78.
CircaBsienne <robe A la). “ Monles féminines ; France, rè¬
gne de Louis XVJ, 389*
Ciseaux fefîfoj*, rkiief, cîsmlîes^ cluî, esehcrpief/orce=^ forcescex,
/Ofeeriefjfÿnjfi('it,/prst!iIes^jiselyféiottYe}. — Les ciseaux à deux
branehoH traiiébantes riniiiies pitr nu axé et lerminèea ]Xtr
deux anueaux dans lesquels ou ixasac les doigts, étaieut déjà
eu usage, au dixième siècle ; Europe* 399,
Cisme ou Ciobote. — CliauRfiurc valaque, 4ôfl et 459,
Cistercienne (religieuses). — Celles appartenaut à l'ordre
de Citeaux ou des Cisteicicniï* fondé en France, Vers 1ij98
par saint Robert, abbs do Molcsmcs* Pologne, treizième et
quatorzième sîèçlcs, 449 .
Cistre. — lustrument û cordes pincées, et de forme triangn-
lîiire; ou le poiaiit sur la poitrine; Europe* du donKièinv au
Ireiz.it'iue siècle, 192.
i'dofe üVk cmtoie, — Réduotiou ducistrC.
Cithare icifharo. rJÇotp.Çï. — Tnstrumenfc A
cordes ; au moyen âge, la cithare semble sc confoudi-c avec
la rate OU rotAe^ instrument A conles frapiiées ou pincées
ayant priiuitiveîoeut la forme du A grec. —■ (‘Phom anijlira,
nom donné A îa liarpe du neuvième siècle; antiquité et
moyen Age, 22* 43, 192,
Ci tôle. — reii- CL^iTUE,
Civis inquilmus. — Loueur en garni; riouiains, 33.
Claft, — f pb-K laet.
Claidheumb- — Épée écossaise, 425* leiV' CtAYMOUE*
Clairon (elttr/an^ eMrd^ e/arfiîns, eb^re/nj. — Trompette A
tube étroit et dont Je soit est ftîgti et peix;aîit; Europe, moven
fige, 192,
188 —
Clan. — De rêcos^^is Khun, nvee, fainillle. Nom donné aux
tTlInis ilea niantagnea ilel’Éooîfse, dont lett meiiibres croyaient
doivïendre du meme anotVtTe que leur chef, 42ô et ^120, 127.
Voir CiitKPTAïK ou Laiud,
Clarine. — Joueur de clarinette; EsixngfuCr
Clavain. —^ Tclerinc de ninillc!^ ; France, qiiiiiî!i<trne »iècîcj
219,
Clave (r/opf/.f>. — BnnrltH d'étofFcs de couleurs différentea du
fond, 4Vppli(];Uii<s sur les v'èiemeiil^i boü comme onienténls,
aoit comme marque de dUlfnctîon ; Bomaiitfl. — Inü^igne
dcft em^>ercuT^^ bj'zantiin, 40, I8l, 1K2, 1R3, Tpdp AsiîrR-
Tiri,AVJî, Laticla\'ï.
— Ctavi caftyrin-jt^ clous tr^s fort dont ta j^enicllc de la cafiÿu
crait garide, “ Viatviriam ; distribution j^itulte de clous
que Ic^ emperçurj faisaient aux soldats pour la f^rulture de
leur rtilijæ. — uoui donné à la cali^o munie de
f/'upi. " Itomnins, 47.
ejavedn (c/artmnlwi/wm), — L'inxentSon dw clavcrîn et scs
premicr.4 essais remontent au quiuziiime siècle ; c'était alort
un oetit instrument ayant trois octaves et une ticnoe, 192*
Voir Cla\ icoudk.
G lu vi corde. — Instrunieiit à conlea de laiton frappées ]mr
des petites lame'^ de tiiétal ; S4i forme était celle d’une caisse
oblongrue et re^dangle ; on le fjosnlt sur une table. Eurofie,
moyen âge, 39^2.
Clavier. — Longue cbalne d'argent laquelle le» porfanièrrf
do Bordeaux, suspendaient leur.s ciseaux, leurs clés, leurs
Ijelotes, etc.; Fr.iiiee, commeiieeinent du dix-neuvième
8lé<dej 4115.
Claymoré,— iSp^e écossaise, 425 et 42(t, 437* Fofr Ct*ïABii.
Cléopâtre* — Gr{>s.«^e pierre bleujltre ornant loü pendants
d’oreilles; parure féiiiinliic ; France, époque Louis XVf, 391-
392, 39S. IbirMlliKA.
Cliabh. — Lfr gaixle en forme de |)«nîer de la clajmorc;
ÉctiÂse 425 et 42C*
Clipeus. — lîouclier grec. Vt>ir
— Bouclier de petites dimeusions et orné du portrait d'une
divinité ou dbiii personnage important; les enseignes do
rarcm-e romaine étaient snruioutéw de phisii'urs 35,
3G^37,
— Appareil employé jîüur régler la température du UtCûriirvfH
ou bain de vaiieiir ; il consistait en un disque de métal placé
<|jinî une ouverture du plafond, et qu'on levait ou qn^on
abaissait :1 xmlotité; ïïonmins, 45*
Cliquet. — Porto-eulller.-î Ru-spendu, comme un lustre, au mL
lieu de In chambre; maisons TU.Btiqncs de la Bretagne, 499-
fioO.
Ciismoa. — Siège âi dossier; nntiqmité, 32*
Cllatérique (petit mantûau A la). — Manlean court coiipii
à l'espagnole; on le uomiiiait muiuft-fin. rraiiw,
seizième et dlx-soptlème siéclee, 32«.
Cloche. — Long mantein dont rouvertiirc était par ilevaut ;
Euro|)c, qnatorïième «ièelo, 20fl* Voir TisîTiXNAiirt,üii,
ClogaldL. — Casque écos-sais, 42S et 426,
ClosLer* — Vendaiigtatr; tüiysans français du nafnyen âge,
209*
Clétet, — Sorte li'aicùve ou de cabinet dns par des tapisseries;
Kurojie. moyeti âge, l#i5.
Clunaculum. Poignanl pînré dans la ceinture du 1'‘'g{oTi-
mîrc romain, .34. IbiV- FaiiiiTOMüm.
Cnéxnide (xvT;[xi? . — Pièce tFamuire couvrant le tibia jiiR-
qu'un peu au'^ilesRous du genou; Grecs et Bomains, IS, tS.
25-26, 36-37* Voir ÜCiiKA.
Cocârdd. — Insigne militaire porté au cbapeou. La eoeanle
fut lüTigtelnps 1111 iiŒud dç mlan de couleur» indéterminées*
f'econ/tM'idfo/are, France, dix-septièiïie et liix-bnitième siè-
Cle«, 342, 343, 3t<l, 382. 3S3, 3g4, 385, 38C. 387, 4UÔ.
f’ûCrtrdf* tle .Srf/n*' Amtr dMii/ow*— Bretagne, 497*
Cocicos, — PoLqtpitK*
Cochai. — Long manteau â cApnchoji ; Ollamb.s irlandais,
42S et 42G.
Code. — Jforceau de peau rattaché avee des l>aïu)drtt«s,
eB|>ècc dû earVjatine formant la clLaiiKsure des montagnartls
de» provinces romaines ; Italie* — Coda ré, nom donné aux
moiitagnoiala diau!j.4è4 de toHfj 467. Voir SCAUFf^.
Coffllî- — l!?om désignant la eartonclic en IkiI:; on en cuir
contenant un coup de poudre^ que les nioiisquctaireft suspen¬
daient â leuK butidonllèreSi Arniée fraii^’aise, ^lix-scptième
siècle, 343,
— à rûM/jh’jr; le mas«i;ue des dameî du scdziême siècle, 273*
Voir Toüjikt DK .XliK*
Coffre. — Nom donné danü; la suite nu bahut primitif, celui
qui, rciifonnaiit les hables, était transporté à la suite dm
seigneur, eu voyage OU dans quelque expislition lointain^,
Lc' nom de fut conservé au coffre jusqii‘â la fin du
quinzième siècle, Kurope, moyen âge, 199-191, ^oir Bautt,
flL'CHK,
Cojff^ivdr mutin^é ^— îletible destine âeonteulr toits les an?-
inuî oUjetâ de ia toilette de» dames; I) faisait quelquefois
jiartie de î'npfHjrt do la ïuariéo, Europe, moyeu âge et sei¬
zième siècle, 233, 295. Foi/* Altc.i.
Coffret. — Petit coffre piirfois en ivoire, en argeutou même en
or* On y renfeninilt des bijoux de prix, des titres. En voyage,
ils étaient oonüé?; à la garde des écuyer», 230, 231, 233.
Cohanim. — Prêtre niraéuic, 13*
Cohorte (eohor/i). Dixième partie de la légion romaine,
35.
Coiffe. — Bonnet de toile, de laine ou de soie. Juste 4^ la tète,
que kîs noblcïs li» iMurgeoh, les gens de métier ilu moyen
âge püitaient bous le chaperon, et tes hommes d’amiOE riuh
le heaume ; 219, 223.
— Les femmes portaient des coilTes sous lia liantes coiffurc-î
du qmtloralètneet du f|uinzièmc siècle; â la fin de cette iler-
nière éi>oque, la eaiffe consiste en un petit béguin ou calot*
Au dix-septième siècle, le* femmes du t>?nple et les wrvan-
tes portent la colffie garnie du bat'otetf 213, 246, 247 et 248,
322, 336,3.38 et 339. 484, 455, Voir lilOOUDKS, CültSBTTK,
DoiaiKt/.HK.
Tofjft de nVfl». — Celle dont te devant e$t relevé en
diadème, les côtés fomiant ft'Utplf'tti’n \ Enrope, seizième et
dix-septiéme siècles, 28Ü,
CûiiTé /jfVJtV au etthriofr. — Coiffure des Sablaises ; Breta¬
gne, 496.
Coins. — Portions île perruques que l’on iutroduîsait dans la
clievelure naturetle pour la fournir ; hommes do rèjioque
IvouIh XTII* France, dix-soptièino siècle, 327*
— (basâ); Europe; dÎK-septième et dîx-hiiitléme siècles, 362,
Col on rotondo» —Col de gaze emiie^'^ et si armanm' d'ar*
ItsU
OlKH|iiit!ü lliîiiri IV et XIU, 311, 3:17,
328 ,
Col rîfié. ^ rftli'attii à deîJ ItiHuiiiea; Fniiice
seizième et <lix-3ic|itîêiiie àléeles,
f'iiltffYtt*- fti def-ntaiL — Celle qtii «‘élevüîi Ue Fenoolunc de
la rolKï! elle était h uîi seul rfiiiff et seuteiiue par un appa-
mi en ttl dVircLnl. Bftmeü du aeiziéiuè sièclet Europe, 27&,
27fl et 277, 280, 311,
rn mhifK — Hounues ; selïièüic et iliX’Sep-
tième siècle, 311,
Cotirfytttfi à — Diimcs dii seiziètiie siècle, 37û et27r.
IVir Fhais8, Raîvat*
Coleta, — Petite tresse de cheveux ; eoilturc des toreros, lù-
jMtgue, 4Td et i7î.
Comboyes. — IHece trètulTc ciirtmlée iiftiiour des Ibuiieites et
qui, en tombant, nlTecte la foitiie d'nu jupou; Ciiigliiiluis,
132, 133,
Comète. — Voir CiîiiViîî,UiiK A la Uumktj:;,
Corpraefbund. — La cehiture des iwrteurs de Jioluli-
ijuina; Ibdc, 12J.
Gûiïiiiiïssaire à la conduite. — Celui cliariçf- de recevoir
le aerinent de tidélit*^ à la pcr^uimc du sûuvtrain des offi¬
ciera et des Süldnta app'irleLant à lu gendumièric du roi ;
FruiifC, dLx-liidlièntc siècle, 3S3,
Commodo, — Mot dc'si puant rêdiflce en lier de la coiflure,
fi 7a FoniiitHjt; modes féminines ; France, dix-septième siècle.
333 .
ColotOS. — Le iwurjjuiut pulideii t Espapuo, 4Td,
Colinette (mjuïiw/e rw). — Modes fémiinnesî Fmnce, rèpue
de XVï, 389, 301-392,
Colisée (eoifruro ain). ^ Dames de rêiax|uc de Loniü XVI,
39(1.
CoUerette,. -» rc^/' Col,
Collet. — I^artie du vêtement qui entoure le cou. Voir Vaka.
“ Nom donné, stous ircwri IV, à la cape écourtée, risif^MAN-
TËAtf.
— (périt)^ surnom désipuout 1« oblK-îS moiidain-ji du dix-sep-
tlêine siècle, iwrteury dit inanlcnn à ixtit collet; Fr-incc,
é]H>q|UQ ÎÆUis Xn', 3fl2, 35-t.
Colletln. — Pièce de i'nrüiiirc de platt^ ijui couvre Je cou et
h 1tu|Ue1le s^attaclie souvent Iri Iwivière ; Friiuce, moyeu tige,
218, 219, 233.
Collier (moai7e, pàvvo^), — Objet de pnriirç ou marque de
distlnctioii. 1, 3, 21, 25-26, SI, 30-37, Jtt-49, 5l, 53,
S,*;, 56-57, 6t(-0l, 03-54, SS, S6, 07-08, 7û, 71, 72, 73, 91, llb,
111,112, 113,111,115, lie, 117-118, 122, 123,124,125,126,
127, 12R, 129. 132, MO. 1S4. 155, 16&, 170, 170, 17 7, 179,
im, 2llt 211, 212, 213, 3G4, 265, 2SG, 267, 268,273, 27% 276
et 277, £78, 279, 287, 288. 328, 330, 3iu, 341. SS3, 3St, 355,
369, 38S, 417, 421, 423,411.442, l4S, 4G2, 463. 468. 472, 183.
487, 489. Imr ÜLrLn-KoitAAL, CauCan, Casnap, Dehaia,
KsCLAVAOKDE VËIILKS, EiîlUK, Gt’Knï>A?(UK, rroniKJ.S, UT-
l’OtlATlIDK^p ISTILMIA, MaLLA, M A6Ctî ALISTKltE^, MO^ELF^
OnUK, rBEtlOEUAIA, PERlTUAeilLLJA, T-t.ïTOt A, THAKATII,
TouqrKf^
Cofli^rili Cfinttletir,^ 222. 223. 224, 233, 25», 301, 3«7.
425,
( 'oUifr m/iiprik — France, uioi cn âge. 2H>,
Colobium. — Tunique h uiaucJtcït courtes et l'un dra vête-
uicnis les plus usitée dtms les ville» romaines, 4(1.
Colonel {eoutonufl^ càWjmxHcf), — L’offteier siipL-ritur qui
coiuuuinde un régiment ; lc3 rois institiîérent niiftsi lea
titrés de cofert'I tj^Tiérctï de fir^fntiteHe, de itr mntîet ie, des
Su{$jiei et Grisons^ des d/yujons, des htisstrrds^. etc. France,
seizième, dix-septième et dix-huitïcuK' siècles, 301, 381,
385.
Cotonel-fji^nêral (régimeut), — Le prcitiicT de 3a cavalerie
fmnt'aiae; fondé en 1635, il était le seul qui eût douze
compagnies formant trois esciidroiis, France, dix-aeptiètne
et dix-huitième siècle». 381, 382.
Vtdmrl/e (eoTtiftmjuie ).— La premiên^ eoinpagïiEé d'iui ré¬
giment ; elle n'avnit pas d'autre capttaiue que le colonel.
.7SL
Combat» à la foule. — î oiV Touusyi.
Commodité t rol>e à U). — Toitette fêminûte; France
époque Louis XHI. 39S. 329*
CompagniOh — Dhiston du IxitaillOfi on de i'eitcadrou; ini-
trefoiü, CO mot «"appliquait aux corpçi nie irouix» iluut
le chef avait le titre de capitaine, ijtiel que fût le nombre
d'Iioiiimes.
CofmjmffTite-ctthnelîe. — Ffn’/- CoLfjXKL,
CmojMtjnifs d'ordonwfftee^ — Corps de cavalerio orgnuiiiés
ixir Charles VU; France, quinzième sièNclo. 218.
Comj atjiiies des princes, du roi. — Çcudarmerie de Fiance :
dix-huhlètne siècle, 383.
Compedes, — Anneaux de eherinc; mitiqiûté. 31. loi/'
PËIill'EZIl>E8,
Compluvium. — I^irgc oiiverture tsurpJo, pratiquée ati
centre du toit de rs^triiitn dé la tuftiiîOi! romaine, qui réjC‘
tait dans Vimpfuviut» l'eau du comble cii iipinentLs couvrant
le 33.
Coïicofdia.. — En^âgnc uiilitaire i»urLtioutèe d’uno main;
itümuiiis, 35, 36-3T,
Condottiere. — Koxn iloxmé h des aventuriers^ italien^ du
quinzîcme siècle ; ils louaient leurs acrvices a qui ies jtayait le
mieux, 238,
Coniopodea — Ubanssuresdhntérfeur ; Grecs,
•17.
Connètablie. — Aneicuiié jurldictlou dont le connétable du
royaume était lé chef, et qui subsista après la siippres^Son
lié la chargé dé iVinciétuble ; Frange, 3SL
ConseiDèto fehéveux penrlant derrière, à la). — Mbdes fê-
miulnes ; Frant'é, é|Xîq«é Lotil^i XVI, 391-392*
Considérations. ^ Les [tetics j.ftnieri que Fou portait le
malin;dames de réporinedcLoiiîüîXV. rrance, dix-btiitièmc
litècle. 367*
Consul. — L^un des deii.x îuagîatràts qui délenaic-nt le pou¬
voir civil et militaire pendant la république romaine. Sous
lempire, le rôle des eoiisuls se borna aux affaires irotluiï-
nistralion hitérîcurc; il devint pureinewt faqnorîflqué, â Té-
(Kiquc du t)as empire, 181,
Contadini* — ruyoans italiens* 4G7,
Couten&ïicc^* — Les miroirs, les Hacons a jinrfuius, les ea
cheM. le» é1ès,j le» éventails* etc,, suspend ns â la ceinture et
que les daniés tcnaiciil â lu main iJOitr ac doiiticr une coo-
trntjHce; FraiiCé, tioSRÎèîne fi Vie, 2G4, 306, 26r. £69. 270 et
277* 7'yir Ckint fpKîiJ-)^ rA'l Exôi icK* P<>'rü4.
Contus (xovTiÿç)* — rique tic cavaJerie longLie et jx^ianic^
Greca, 25-26.
Coolie. — Porteur iupoiiuis. Cooiie ou cquU dérive de Koli,
habitautâ du Guzerate nivrfdiuiial, i^enà de travail, dont k
Tiom a «‘■te attribué h tous les Indouü et cïûnobs
transiKirlés dans les diveraca iwrtiéj du moude, 106,
Copon. —- Taïupoii de Ijois à Taîde duquel on réfeiilait la
poudre ikus la diaïubre dt^ preuilerj canou:^; nrtillcrto
frai)valse du moyen Age, 220.
Coqueluchon. ^ Espèce de Cf)|)e munie d\ui capucUoii ;
dami^ boiirgeoL'iea du dis-lvuitièinc siècle î France, 373*
Coquille ou Cale. — Coiffure ronde euveloppant étroite¬
ment la tête; luodea féminines. France, sekièuie eiècle, 2.^12.
— iJtfoujiache à>.Môustachea à ])oÎFites retïOttSiéea et boti-
olceâ; Europe, dix^septièine siècle, 340, 361. EiooTKitK*
Cor (rornu). — Instnitneiit üi vent de forme cÎTciilairc.
Cor de pin on dvj Afptâ {Alp-hùru}. — Le porte-vois des
|»i\tred finisses.
Cor inrmzinou. — Xom que roii donnait à rollpliant du
moyeu âge.
Cornef comH (cor <ü'iioijnf, oîi/uni^ irom}>e de ohass^y. —
Les pri-miers conieta du moyen âg<! étalent faits avec des
cornes (raninmuK ; ou les portait en baiidonliérOj 43, 102,
201. Feir Olifaxt,
Comemn^ (jObiu utrie t/la rit), — înstrumeiit à vent propre
ii la musique champêtre, composé d’une outre gonflée et d’un
on plusieurs tuyaux ; 43,192, 42^ et 426, 463, 476, 409-&LH)*
Foir G.vrrKJio «iAi.LEUo, KEimAi», PjFFKnAiLo, rii'Kit.
Corner l'eau, — An moyen dgc, le inomeiit du repas s’an¬
nonçait au son du cor ou de la corne, ce qui £^ap]jclait
corner VeaUj parce qu’avant de s’asseoir, les eoiivives se la¬
vaient les mains duas lo bassin que leur prêscutaicut les
valets : 210.
Comicén. ~ Le joueur de qor, oLe^ Les Romains, 43.
Cornes. — Frisons formant des poîutcs /n corneê^ coiffure fé¬
minine^ Itnlle, Seizième siècle, 2S2,
Cornette. “ Étendard adlitaire coiiai^itant en une bsude
de taffetas portée ou bout de la lance ; c’éUH reuseiguu de
tout corps de cavalerie, surtout de cavalerie légère; l'ofll-
cier ê qui elle était confiée s'appelait cornette Europe,
tuoyeo &gc, seizième et dix-septième siècles, S24-32li,
Cornette posée sut le cimpel de fer t enseigue des Fnin-
çaifi |K;udant la guerre de ceut cotunieucèmeut du
quinzième siècle. 217,
Cornette bhuche, — Etendard du régüueut t'ofoitW-bV-
nc/tif/armco française, 381,
^— La jKkrtie «on |>eudaute du chaperon ; rextréinitê en évî-
douce sur le liant de hi coiffure. La cornette était dite à la
coquarde, lorsque le bord eu était dentelé oa à ci-tVe «k co^*
Europc,’iuoyeu ilge, 210, 2U, 212, 221.
— Les pattes |>cnilantcs du bonnet à la Fonfan*je; modes fé¬
minines; France, dix-septième siècle, 354, 355,
— Xoui donné aux bonnets de négligé ; sous Louis XIV, la
coruettu consistait eu uu petit bonnet de <ientcllc dont les
barbes en |Kiiute retombaienb par devant jusqu’à la oeiU'
turc, France, dix-septième et dlx-Luitième siècles, 367, 371,
373.
Cornicen. — Voir Cuir.
Corno. — Le Ijonuet des doges et des dogaressos de Venise,
im, 353.
Coi'Jlu. Fôir Cuiî.
Coroplastès. — a Modeleurs de poupées ï ; Grèce, 24.
Corpino. — Le s;>eucer des Amgouatses ; Espagne, 474.
Gûrp&. — Corsage de robe taille .^ur uuénruiature empriaoij-
nant la taille ; c’est au seizième siècle que le corps est subs^
titüé au corsage souple. Corj!>s piqttè; seizième siècle. Coips de
Jitpei le corsage à armature de la robe, dix-septiéme isifrcle.
Au dJx-lmJtiénie siècle, le corpt foruiaot gaine est en bou-
gran baleiné, 273, 27C et 277, 322, 328, 333, 370,371, 388.
Corquen. — Veste des paysans bretoua ; France, 494, 495,
490.
Corsage. — rurtie du vêtement fêmtnjn qui emiirasse la
t-nille. Souple qu’il était pendant le moyen âge, le corsage,
au seizièmefilècle, devient une sorte de cuirasse; il est alors
décolleté à ou eu carré, mode qui subsista irour
ICvS robes de cérémouîe ou d’assemblée. Pois, le corsage se
rapproche, t^ir sa forme, du pouri)oîrit des hommes; ou le
voit garni du plastron eu saillie : le ponseron* Sous le règne
d’Henri 111 et dans le^ comniencementB de celui d’ifcnri ÏV,
le corsage est en entonnoir, ou cit cornet, ou en pointe altfntÿée.
Aux dix-septième et dix-lmltlèine siècles, il est garni de
basfiues et donne naissance au casçtqnin. Pendant ces épo«
qucj successives, il arrive parfois que le eoi^gc â amia-
turc. Ucé iKvr devant ou iiar derrière, et indépendant de la
robe, remplit en inf iue temps Its foiietions de corset ; c’est
alors que le nom de corps lui est souvent appEquè. 189, 243,
253, 265^ 268. 269, 273, 276 et 277, 279, 28", 2S9^ 311, 331,
335,339, 348, 353,354, 355, 362, 307, 3Ëi. ïWr BbCK
KLEl'IlEX, EL'SC AI'PAKEXT, COltSALErm, CüIllTS, DltVA.Xm,
DkvaNTIÏîU, Éi HBl.LESi, GorUttANDINE, JL’STIX, MAyTULTJK,
FAIIF.VIT tOXTKXTEMKNT, PifSCE. PLASTROX, SUUCOT l'AltK.
Corsaffe à l'ÉtruHe^ “ Dames de l’époque du Consulat;
France, 18Ü2 ; 408-499'*
Coraaletto, — Corset des i^aysaniies italiennes, 458.
Corselet (justaucorps). — Armure défénaive composée du
plaques de métal uBsujetfies 4 des pourpoints de peau; Eu¬
rope, moyeu fige, 217, 218.
I
Coraèque^. — Arme ^les fantassins eoracs ; hallebarde munie
d'un dard et de deux orcilluns; Eurojje, moyen âge, 219,
Corsôt. — Vêtciueiit garni do baleines placé sous la robe
pour maintcuirlc^ seins et envelopper étroitement la taille.
Les corsets du seizième siècle avuieut dcâ éctisscs de bois ou
de métal. 211, 246, 2C4, 255, 266, 280, 353, 354, 355, 398.
Fot> BAsqiMNE. CtmrSi, Coîisaoê, Uorriî*
Corset smifh\ corset r^wrq — Fofr SL’ACuT,
Corymbtia (xopvp.So;). — Coiffure qui, réuiii&^uit les dm-
veux en touffes sur le liaut do la tète, rappelait les co-
rytnbcs du lierre; les Athéniens douuaieiit le nom de ero--
hifle à cette ilisposttlon de la cbcvelure féiuiîiîue, 56-57.
Cûskei. — Domestique japonais, 99*
Co telle. — Pourptdut CÆillaiït lacé ixir demère; France, qiw-
torzième siècle, éi>oque de Charles V, 2ll.
Cothurne (xo&Opvo;)* Haut brodequin d’origlao gi-ecque,
devenu la ebausAUie des acteurs tragiques dans raiitiquitéf;
le cothurne était aussi porté comme innrttue d’aatoritc on
de rang* Cothumo rereaiitiort x plus chaugeaat qu'un co-
tlmrnc v, épithète donnée 4 T homme versatile par rapprci-
ehcmcDt avec le cothuruc dont on pouvait Ludlffèrcîumcnt
ühausfier T un ou l’aut re pied, 47*
Cotillon. — FeuV- CoTTEi
Cotte (coite^ cofetîe, teufûèîe, Mriq&ut, cotte hnrdiCf tofiiîon)* —
Jja robe de dessous couverte par ic suncot ; vêtcmeiit à l'iiMagc
des deux sexes pendant le moyeu âge. La cotte cesse d’êlrc
— 101
ijar k« lioiüicieii à Tt'ptïque oîi « pi'txluit k mode dtw
vôtemetitH V triqm^ c'est-H^dirc vcra !e ciiiatorziènieBièoIe; la
e&teUt", lo ifip&n ou le pourpoiur lu m]i]>lacent. le cos¬
tume Ifv cotte, longtcïUîK-î tUs^SiiiUl^fe put le Tcte*
ment de dei^n.^, ne laisse d'abortl aj^pamltre que mniaches,
plus tard ses eôtés, au moyeu du Fureot ù. onveiriMres latè-
rutcfl, celles que les eccl<!*siastiques de L'époque ont a]qM>k les
/euftf-es tl’fTi/er. La oatte eomplétemciit offrîiiit'liie du auront
est lo coite hfO'die; luTiorèe au qnBtor7,iémc siècle, elle corniste
en une robe ojinstée sur bii poitrine et l>orl<'‘è Sans ceinture,
La cotte reprend son rôle de vêtement de dessous aii seiKièinc
ai6ole, et au dix-scptièinc, clic reçoit rapiKdlatloii de Jupi’t
tandis que le vt-tcmciit supérieur devient la robe ]iroprcmeiit
dite, 200, 2ÛÏ et 20@, 21% 211, 213. 213, 211, 223, 24% 247 et
24e, 242 et 250, ÎSl, 204, 206, 200, 267, 260, 273, 274, 270
et 277» 270, 280, 280, 311,328, W Ço-TEI.LE, Jui F, iÏAX-
TEL, PocitrcuNT, Robe, Êtrm or, ÉîL'iw^oiTfi.
Cofte fl'tirtnn ou iwrret tVafmes, — Espèce de ca-iaqne que
lei cbcraliers nieitiucnt par dessus leur artiiurc; Europe,
moyeu Age, 201, 202, 203, 206, 207et 208, 20S, 210, 217, 263.
Teir HoqCEItJS, JuCRXAÜE, StH'BREVEftTE, TAftAliU.
Cotte à checauefier. — Justaucorps^ très étroit, sorte de
cotte hardie propre aux geutilahoitimc^ ; Europe, moyeu
Age, 2U4, 213, 222.
Cotte de fer, — L’ensemble de l'armure de giierro du
quinzième siècle, 212.
Cotte dt nutUies, — V&tciaeiit de ifuerre fait de Ijeau garnie
extérieurement d‘un tricot de maiücs de fer; Kutupe, dou¬
zième, treizième et quatorzième siècles, 2Û1, 202, 2U3, 207»
208, 203,210,21», 25L Tefr IL^UBEltT, |
Coubertie. “ Man tenu des Auvergnats, Vaaeien tttfjHjit. !
Lomqtril est vieux et rapièce» on rappelle 4$4.
Coudes (petiti)- — Eoir PaîCikks.
Coudière. — Dcmi-iuaiiche ïiidépcndaute de la cotte hardie
chez les femmes, et du pourpoint chez les hommes» Euro|H?,
qiuttarzEème siècle» 20C. l'bfr Cubitièiie.
Couette. — l oir Cocasrx.
Coula. — Bonnet (jersau, 136 et 136, t-ll. Toir Kl'Eaii.
Coule (fMC«/hï>. — Robe monacale h rnsage des Bernanïins
et tics Bénédictins, 198.
Coulevrine, Couleuvrine. “ Aiicienno bouche û feu A
tir direct; miisl noiuméc par la couleur du métal et sa
forme ailougéc qui lui duniuiicnt quelque msaejulrlauce avet'
une l'on leu vit*.
Cotilrutfine à itmin. — Celle qu^m liouiinie pouvait lïortcr
et tirer; elle a été la première en usage. Toè- TieaîI' a
T'OU rJîlK.
CcttUnrritte à crocheL — Bière plus forte, qu^lU erocliet ou
une saillie de méttïl arrêlait, dans son recul, à un obstacle
llxe. En Dugmentout les proi^ortions des csouieuvrinca A cro¬
chet, 011 aniva A prcHluiic di&î bouches A feu qui firent l'of-
fiee des canons nioderuos.
Cotilettefinier, — Le fantassin jîorteur de la eouleuvriiic û
main.
Euroiie» quinzième siècle ; 22b, 253.
Countchoun-cocânn. — Le jiortc^voix dc^ Roiucudü^;
Amérique du sud, 76.
Coupoles. — PAMKllfr.
Courante, — Danse française î seizième et dlx-scjitdème
^h•clcs. 323, 362.
Courdy- — Habit d^èté A l'iisago des deux sexes en rcï'àe»
117, Voir Capeuï*
Coureur. — Nom donné aux valets d’uulrcfoia qui couraient
lie vaut les voitures des aeigneum pour que le passage leur
fût libre; Eiiro|]e, soiziènie, dix-aeptléiue et dix-huitième siè¬
cles, 274, ,16ü.
Couronne (fonîwff, xoptirn;;; jè'pèffjîw, cttj-aoôç). — La
couronne, emblème ilo la royauté, a jxjur origine k bsinle-
lette ou diadème. Les em|>ercuris^ nininius eurent ta couronne
lie laurier, celle ornée de perles ou de pierres, et la couronne
dite riuUale„ Les einperenra byzantins adoptèrent une cou¬
ronne couverte. Celle des rois de Emi>ce eut de^ formes
variédîs ; la plus modcniç rappelait eclkde Charlemagne et
coiiüîstajt en une couronne fermée. Chez les Grecs et les Ro¬
mains, il y avait des couronnes tdoniplmles, ndlitaiies, de
aTrcriflces» tle feethis, de jeux publier. Les femmes de rang
élevé avaient parmi leurs coiffures, une couronne du
feiUlLagc en or, 21, 38, 40, 181, 1«2, 183, 184, 186, 182, 2W,
20S, 210, 211» 21-1, 277, 28S, 280. rüi> Diapeme, MmtK,
XlA]EF.
CoHJ'OHHC à /« déuvJe, — Italie, seizième siècle, 287.
CouronneJt de Jlewre, de îauHer. — En nsftge dana l<>« fes-
tliiB de rantiqnité» 23.
Ci>nronue ftinéfciùt. — Antiquité, 31.
Ca«roan« no5fff«fc*t, — 187, 206, £l>fî» 207» SlO» 211» 2l2^
21G» 219, 246, 247 et 248, 261» 253, 286.
Couronnes nuptiak-s, — Korvège, 4l3, 4M» 416, 417.
Ciîr/ronne ife fwmiè^'e.s ou rôtir, — Lustre d'église d^nn
graïui diamèlre et à jikisieurs godets; Eurojjc, moyen Age»
- 127»
Courtab. — ChcmUc îndouc, 13b,
Courte-points Âeuiespohth'), — Omiale ou¬
verture doubltîo et piquée que l'on posait sur lea bantss et
toiiM lea menblea pouvant servir de sièges ûu de lits do
repos ; 293, lofe CouvEuttiiu,
Courtine, — Bidêoii de Ut. Au moyen Age, le lit placé ha-
bituellonieiït dans u(i angle était entouré d-épaissea concffiu# ;
bleu abrité, il formait une espèce de cabinet clos. 1S5,
190-191» 223, 227» 232.
Coussin (cfT/vefPiï», cftencht, coHefte}. —-Sac rem bourré de laine
ou de plume ; s'eu tend aussi, au moyen Age, comme oreiller.
227» 232.
Coustel, Couatillier. — rofr CduteAu*
CûUtëau (conïttcitijf cûteîf comtel, cttfmi, enteif — Dé¬
signation générale {le plusieurs armes de main et d’h^uit.
Coostet {ÿroe), — TroiitHîa contenant un grand couteau, un
on plusîem-s petits» «Uf fonrtrhcttc, un poinçon, une IIuk',
dcà foisetes oü ciseaux, Uli briquet et un tlrc-büuchon ; Eu¬
rope, moyeu âge, 399,
Cùiistel à ptmn, — Arme fine et tmiichante en n^age dès
le treizième eiècle ; elle accomjiagnalt la grande épée dans
l'ELViuement des obevaUer,ï. On la portait dans le milieu de
k ceinture ; France, moyen Age, 2U3» 220» 253»
CouifiUirr, ÿuisni'tnierfiotétlifej roifÿïVr» — Soldat A. la suite
dt'a ÿens d'armes armé de la rowÿe» espèce de long ooulcau
emmanché au bout eVuh bâton ; France, quutoïizîèinc et quin¬
zième siècles, 218» 22u.
Couteau bamnnais,. — Xom prlniilivoment doiiiié ii la
baïonnette» 343.
de bf^cht\ — Ln hache A long uuiucbt du fan¬
tassin ; France, {;uiiizième siècle» 220.
Coa/Niu (fffand), — l'oir itisÉUK'nuin;.
Govfetut A rrif* — Arme dont fAWient usage les coustiî-
licrs pour achever les liommci d'armea lotjiqu'ils étalent à
teirei 218,
('ou/eiiN iie ttffrîe. — il y itvuît 4* ftntteaiijc
4fs»tjuéjj à lii taiblc ]K:iidniit le iiitiyen A;;» : ceux n ft-ftHcfier
les vlnu4e», reux jmiir le Uinigre, imur le jjTas, les couteaux
jtur^fioins (iiouir le tmiii), les couteaux de i/neuj- (p(»ur les
cuisines), les iifiWf (d’oû Tou à fait lé mot petits
couteaux de poclie avec ètllis^ etc,, etc^^ 3ÿ9.
CoKiiM. — 2voiu doiiiié iiux euTe^leiii? ]>eiid£ilit le muyeii
Age.
Cofifrficff, — (iaine du à piaf*'», 2 SU, — Nom fjiie
les piysADg du Velay douueiit A leurs eointeuiix, 2 h 4.
rei'r HiTsctixikj Kasia*
Couvert (serA'ir le), — Expiossiuii qui inovieait de rûsaj;^e
aïkcieu de servir les aliments en les prèsemtaut c’ouverts d‘uii
napiJieroii ; Eurûpc,^ moyen âge. iSS.
Couvertoir* “ Xoia donné pcinîniit le laoycn Age û lu
couverture du Ut, 227, 232,
Couvre chef. — Long voile Oxé A la partie culmiiiaiiU' du
cimier, Toir LA>iHTtKqrïy.
— Coiffure en fa;;Dti de •juimjtt’; dâUiGS du Ui fin du quinzième
siècle, 2&1.
Couvre-nvique, — Vartic tiu ca-jciïie qui protège la nuquot
9G-D7, 202, 218, 210.
Co 2 bekdjl bûSChi, — Porte-aiguière t officier de la maison
du sultan, Turrpiie, 1G9,
Crakoves. Cracoviennes. — Nom que les Anglais don¬
naient aux jottlaittes dci moyen Agé, 206,
Crauequin, Crènequin. — hc pied de biche dont so ser¬
vaient les arbalétriers A cheval pour bander leur anue. Crt-
Hfqninier»; lea nrhalètriers A cheval portant A la ceinture ]c
IA inaîaon militaire des rois de France comprit
des crénequinîers insqu’aii régne de Prançois 220,
Crapaud. — Petite Ixiursp ctrculaii'e de soie ou de laine,
dans IiMiuelle les militaire» de tous gnolc^ cnfennaîcnt leurs
cheveux. Le r/vpaud sum'dn A la ctniéneffé^ Fnuiee, dix-
huitième siècle, 40U,
— {//eatfttie n fi-te df}. — llnbîlkinunt de tournoi ; Francé,
quinzième siècle, 21t^.
Crapeaudeau- — Petit cnnon se chargeant jHir la culasse et
tirajat de plein fouet; artillerie franç-oisc, quinzième siècle,
220 .
Cratère (xpaTTjp), — Gronde cou^îé dans laquelle on mé¬
langeait le vin et rean, et d'oîi ou puisnit ensuite ])üur reiii'
plir les coupes des convives; Grèce, 23,
Cravates ou Croates, “ Homm® de cavalerie légère em¬
ployés depuis Louis XIII dans les armées irant;aîses.
Louis XIV en fit un n-giment qu’il appela rates.
383,
— 1a emvate doit son origine aux Cmvat^ ou Croates qui
servaient dans les années du roi, C^est en 16&€ que la cra¬
vate rempla^ les cordons garnis de gros glands qui ntta-
cliaieiit le eolict rabattu ou mbat. Cravftfe éçrvmli*pii’,
hommes de Tépoque du Directoire* France, dix-septième
et dix-huitième Sièclù^, 351,352,353* 353, 44-1. roh CU A CüSxt:,
STElXXEltgUE.
Crèdemnon. {xpinûÊjivov)* — Voile ctigimiit la lète ; pa¬
rure de» feaimès grecquoa, 18, loir Calaktica*
Crédence*. — Buffet, cabinet, ah Ton rcnrorinait les objets
destinés au seri'lœ de la table, Dans les églises* le support
placé A l’un des cdtès de l'autel et sur lecpicl on pince les
burettes. Euroi>é, moyen âge, lDè-131, 220 23Ü, 231,
Crènequinier. — iVir CuAXKqLnx.
Crépide , cmV'IJj îtpriTEt';}. — Ïkiuelle éiJiiissc garnie
sur scs l>ords d'une pièoe Ue cuir étixùtc ne couvrant que les
cétésdu pic»! et ayant un certain nombre d'itilkle (an*f);
on y imssalt une courroie plate, r^^îi^-fp^uw, qui l'attachait
au pied. Antiquité, £5-26, 36-37, 47. loir AnNDK.s^ Cat-
IX'MA, EMULKMA, OüSSTIlAGt'LA, rilKl.l*li«, PA.MVUItKU/Ji^*
Crépines* — Fileta de soie qno Ifô dames iKuinicnt au
moyen Age, aceomixigiiés d'nu/rénffifiK, ou nFnu cercle tFor-
fèvrerie, ou bien unoote du nommé aussi rottrn'-
rhrf. Lea crépiiics avaient ravantage de dissimuler le prdnt
de jonction des uatUfl et des torsades d'emprunt. Europe,
quntorziciuc siècle, 211*
Crète jdHiioi}. — Lhiigrette, la parunc pIc ptuinc on
de crin fixée an cimier dn casque; Antiquité, 25-2G, SG-37,
48-d9, l oir AJi™mi.tT*^n<, ïliUUiAbKl.^*
— Biéce de métal en forme de cr<4e surmoutunt ïe timbre du
casque ; Euroiw, seizième siècle, 253* £- 54 , £59, 26u, 261, 262,
£63*
Cretati — E^oluTés dont les pictU étalent mut-
quésde craie lorsqu'on les mettait en vente; antiqnitv, 47.
Crevés, Iklitca ouvertures prutiquées dans les vêtemeiitfi
des ectziême et dLx-.septième siéelej ; 238, £66, 268, 276 et
277, 207,. 311* l'ffiV Tailladk.
Criarde* — Tonniure en toile gommée que les dame» pla-
<jnieiit sous leur matifmy pour le faire liouffeT davantage;
elle faisait du bruit an moindre frôleaient, de là son noax,
Fnince, ilix-»eptième sLccle, 353, 354, 355, 367. l oir PxxiKiu
Crinière. — La touffo de etiii tomUmtc qui g^miît le ci-
inicr du casque; 15,16, 17, 25-26, 36-37, 56-57.
Crinière de ^fon Qf^t-ruqui ai} tJü }*errtiqne inr/ifiic, —
Komiucs de répoque de X-ouis XH' ; Europe, dix-septième
siècle, 34bat5, 351, 359^ 361, 362.
Crista* — Voir Chétk.
Crobyle {aabÿlus, KpoiâûXo;)* — Cheveux rclcvêë et iiou"'*»
cil masses sur le denlèro de la tète ; maDière d'urnuager les
cheveux partienUère oux femmes d'Athènes* Grèce, 24,
Croc de corca^o. — L’iiistnnnent dont lé eornac fait usage
pour conduire l'élèphaiit; Inde* 121.
Crochets. — Boucles de cheveux; liâmes; France, dix-sep-
tïèuio skekj 369,
Croissant {cheveux eu). —■ C'tit-â-dire avec ries frisons for¬
mant des pointes en cornes. Italie ; modes féiniulncs du sei¬
zième slècde, 289.
Toupet de devant ayant la forme du croissant ; coiffure fé-
minitie; France, dà.x-huitièine siècle, 3£7.
Croix. — Insigne; décomtlon; omeinent*
f-'mrfj' hianefte. — Celle que les Fnniçaîs iwrtaient sur
leurs surcots d'armes pendant la guerre de cent ans ;
France, quatorzième et quinzième siècles, 217, 22u.
Boftblr erÿti: tlé Lorraine. — Croix blanche portée jwir les
Ligueurs; du du auizièmn aiècle, 2S3.
Crutr — Bijou féminin; France, dîxdiiiltiéuie
sît-ole, 30b.
Crois dite immUsa, — La croix latine propi'cuicut dite;
Byzantins, 181*
Ci'OiJ' à nnifn* -- Celle que Le-s patriarelies d'Orient por¬
tent toujouns avec eux, 1S2,
Ct'oLc de J/of/e (croix jw/feV), — 364.
ClOÎJE prtjHlie. — £85.
Cfvir ilea Îft2.
CtvLr jri'Wfstionurlft'^. — lAS*
Crotjr r-iUft/e. — qnic les Français il<!S rrïiiSJMlcs jw^t-
taJont sur leur< cotlOîi d'^amittî; ttioyeii Age, £t»2.
Ci-ifU tla — France. disL^septîèino
et dtx-ÏHiUiènie sikks. 2r,A. £73, SU, 328, 351, 352. — Les
pflysniines de TAnverpie dofineiit le nom de
A \ciitn croix de suspcnaioii, -ifHn.
Creir cïc fSttùft^l^uU (çfoix — Fmiiee» dix-sep-
U/Tne et dix-luiitU‘:nie slk^les, 334.
Croix (if‘ Cteir h l(t Jmnnftfr^ — Fraiiee, Tfril-
lande, KorTf^c et Poïtiigui, -117, 423^ 4$3, IW J, -ISÎI,
4î)Üp 491, .11Î2, 4&4, 49G, 497.
Cromlech, — Ctininlkre s^piilrniic; Age de îa pîerrc; Scan-
diimvie. &o,
Cromorne (ttiumfiorn)- — Ïiistniineïit A vt-nt: Enrerjtc,
tijoyeit Age, 192*
Crofise. — Bi'Uon recoiirbt', iriKlgnc de la iligiiitéc'imeoptkiect
EiblHiliale, — (Vewfj fitUnts, 1^2, 193* 19-1, Î25 et 2(H(. —
i‘rofse.1 îirfsaHtiu^s, 1^2.
Crotales {ciofitlftnif xpotftXf/v), — riistminent ilc ttcrcitâ:
plan : pkees creu?^ de bois oit de iiiêiâl l'vitnics par une
polgir-c; antlqnîtc, 43*
Crouth, — A conles et A arehet. Excepté en
Angleterre oA le croiUli tlait national, îî ne sulkpinta jias
au-delA dn onïlt nie eiccte et fut renipIncA |mr la roto; Eu-
rojK', luoycti Age* lofii" Uoti-:.
*
Croyahles* — Nom donni oux tfii>oteuw qui ^ lenaieitt
au I 10 IT 0 U du raliiU'Hnyul, A Fafls; é|xx|uo du Directoire,
im.
Cruchade. — l'arinc de maïs cuite dniis l'cau; uii des all^
mentH des l>crgers landais France* 486*
Cruche B. — Petites Iwutl® de clueceux placcct^ sur le front;
coiffure féminine; France, dix-sci^tiémc siècle, 353.
Cuadrilla. — Quadrille; la réunieui des picailores, des Ijan-
derUleitw, des cliiilos et des e^inuîas; cotirr-t^s de t'aiireaux;
Kspnirnc, 4iU et 471. [
I
Cuarans. — brodequins en ix-au de daim ; Kcxwse, 425 et 126,
Cuari. — La hutte de rerrlnr* desPuri-^: Amérique du suri*
"fl.
Cubiculum. — Petite cbnmhre munie d^un pofaoii<Vun Ht;
iiiiiiiion roniRinc* 33,
Cubllière ou Coiidièr^* — Partie de rarmuro qni couvre
le coude. Ijps ptemièrea cuhitiércs ap|jftmi-‘'eerit vers le tiii-
Heu du treirième siècle ; Euroijc, moyen Age* 2Ü2. 217, £18*
219, 222, 253,
Cuoharon (deJ). -- Tjc « jen de la cniller a ; Espagne, 469,
Cticbillos, — CoiiLcaux fabriqiu's à Albai^ète; Es|>agiie* 4"5*
Navaja* Pl’Nai.k,
CqcuIIuB, “ Le capuchon gaulois. Sfi-S7,
Cuerdas* — Ganees retenant le priHo ou pulEinni sur les
épniilcrt; E^iuigtié, treiziéme alfcle* 2o(ii*
Cuiller (ewA/onr* — Ustensile de la plus bnule
niitiquitc'»* .^u mo.vf 11 âge* Il y avait dot; etiillerA dostinéci?: A
plusieurs usages : les euilleis propiTs A sendr Ica mets li¬
quides, les cuillers-jmRfoirc^* les cuiller» A manger, etc.,
64, 66, 83-84. 123, 399, 118. lV.ii- Ki.K-^k AF inntfSK, f?KK.
IIAlîS*
Cuir de rouBsy* — a Cuir de Eussîe »; celui avec letinel
on faisait les bottes loti gués do la An du règne de Jîciui ïV;
Ftaiice, dix*septiéiiie siècle, 311.
Cuiraase f/oz-iVn, Ompaf). _ Arme défensive qui fatd'abûnl
de cuir (d'oueon nom)^ puis de îiti, de broiiee, etc* Les Grecs
et les Romjiina se «enmient do cuirasses île métal ou de peau*
ou bien cïicore de tissus croisés» doublés et feutré®. Chez Im
hommes du moyen Age, la cuiraase ne lepomt définitive-
ment que vers J40CI ■ elle était faite de deux pièces ; le jilnx-
tron et In dowlér#* A dater du seizième j^iècle, on ne voit plus
cette armure défensive que cher, les fiiquiers et lei offleicnï de
touu® arrnCB, 15, 16. 25-26, 34, 36-37, |fl-49, 56-57,217, 21fl.
219, 22(3* 253, 264, 267* 258, 269, 2G0, 261, 293* 301* 342. 343*
381, 383, 3B4. Voir Bii.irosxiÈRK, BliKiA-XmxE, Blioiùx'iî,
Bt’PFLK, IÎL'fflEtïx, Conpi-rriv, Con.sRf*ET, FAiÆH^t ou
Fai'ldes, Hal'hkiic&in* JACiji’taï, r»n;iCA, PaxSikkî:, Prc-
TTuiAr*, TAüüKrrty*
Cuirîe (ffuirfr), *— On désignait jiar ce mot, du doiudètne au
quinziéme siècle* les couiTfdefl* les doublutBs, ïes gamb[.‘-Tiii»
et toutes Ica |Mirtios de l'arninre faite de cuir; Furo|he,
moyen Age. 20iJ, 202,217,
Cuissots (cu!V^f(îrd.f. cufomiiij',!)* —^ Harmiîs dea cuisses seule¬
ment adopté vers le milieu du quatorzième siècle; Europe,
moyen Age. 119, 202. 2 3 7, 219, 22 Nj 222. IbiTr fJKXf>rii:r.KfiK,
lïltkVK,
Cul postiche. - Ei tournure des daiïies de l’époque
T»nis XVî : France, flu du dixdiuStiènic siècle, 39fl.
Culbute* — Nieud de riilian jwsù dans le chignon ; eoifTure
féminine do répoijwe de Louis XlII. France, dlx-hiiitiènie:
!,iècle* 328*
— Fond dn bonnet à It Fonfitmyf ; rvguG de Loués XIV. 351.
Culotte, — Xom donné niix aiicientit-î; e/artfjwff.
Ctitotle à ta sérillant, — Bnrojw, du dix-iseptième nu dix-
iiaitiémc ^ècle, 2flU.
Cniotle rt /mtd dr cm ce. — Cîenlilshom mes de réjjoqtie xle
Louis XIII î France, dix-septième siècle, 327, 328.
— Mot désigiiant les des pagea devenues d’une grande
exiguïté ; première iiartie du règne de Louis. XÎV, 340,
Cuîoffr iW'/tt/ie. “ (’elîe des iJetits-îrmltrea de Fèpoquo de
Louis XIV, 351.
Vuiofte df daifH sirri'ée à rtctiÿrtr. — Costume iniUtaire de
la fin dn dix-bultième siècle,
tUdoffes iUftrinexfjfHeSf }uo(rnçftlt.f, f/rrgtt^^tqurs, bnnjtirxifti^rx.
— Chausses prolongées jusqu'nux genoux : A Tiisage dea eour-
tisnues vénîtieiincs ; Eurojïet setzièiae siècle, 289*
Cultrarlua. “ L^jessistant du pif'tre romain qui ofHvic:
ii imniolatt la victime en hii coujKiint la gorge avec le cuïfrr,
3fl.
k
Cuman. — V:u«e ixnir le lait; Eeo.'Sse, 427*
Curie (ewriVr)* — Salle iroAsembléc où les eitoyciis romains
se réunissaient, 33.
Custode. — Le petit pavillon mis sur le saint eiboire oA
Ton garde les hostit® eonaacrècs. Reliquaire en forme de
Of^odr; Enrüpe, moyen Age, 231.
Cuvette renversée (t-hnjiesu en f«nne de). — Mmlea fémî-
ninct; Europe, seizîèuiie et dix-ftuptièmo siècles, 280,321.
Cyclade (eycfujJ. — Cotte d'origine visîgotlic; foHnme fé¬
minin ; Espagne, treUième siècle, 2tib.
OymbAltim (xy[A6*>0v). — Instromeut de ijcncussion ;
antiquité, 43,
H
Cyprinum. — Parfum liquiile îivm le troènn ;
bains romains, iâ.
Cyrbasie — Coîffuro iwrsane dan^ le genre <le
l.'i cidttris et (le 1» Il et 12.
Cy£icënea. — Salie a mangor d’apparat; mnison grecriiiej
2r*28.
Cs^arda. — Daiiise lioiigroi^ev 158 et
D
Dableb. — Bateau A grande vergne ; Égypte» 8-
Bactylion, Bactylidion. “ Oroenient des doigts; nom
sènêritïuft tiuê les Qrcfcs donnaient au^^ bagii,®!?, 31.
Bague (thujurttf [dngne conrte]» tofit-^oïyjwse, ç^tnirtie), —
Anne do inain^ conrte, que l‘on portait, A dater du qiiatûr-
2i(*nie si^^de, A, la ceinture, du côti^ droit, la iMnigiiée en
avant; Europe, moyen ^go et scÎKlème siècle, SÙI+ 21ü^ 211,
212, 217» 219» 238» 231î»249 et 250, 253» 254, 256»257, 2G0. 261.
Voir BAÜTAUUIÎAU, LANdUE IïE RCKfK» IfAt^C H|î| MlHE-
fiicnuDE.
Bah. ^— Bracelet en argent ; InjouterSe knbyle, 1S4.
Daïmio, — ^ Prince » ; Japoü, 96-â7, 0!).
Bais. — Cliâ.ssis recouvert d’étoîFe et (luelquefoîs secompagné
de courtiues, que ron plaçait UK-dfcfSüS siège d'îsoiiiieur
ou d’un Ut; l)eaucoiip de chaires avaient un dais en bois
oculptè, 1«S, 213, 214. 215» 223, 227. Iw ClEÎ.,
Balmatiqfue {dnlmftfiéa). — Ijx longue blouse des Dalmates;
ciMtuiue luilitt^ire rouiain, 36-37.
— CôHtuuic ecclèaiMtiqiie ; vÊtement que iwrtent sur leur aube
les diacres et l«i sous-diacre?, quatid Us assistent le prêtre
oftii'iant. Lesévèciues ont le privilège de porter la dalinatirpic
sous lachasubte, l8l, 1S2, 193, 194, 2S4.
— Costume civil; Kuropo, moyen âge, 209'. 211.
Damas (ouvrages de), d'Inde, sarrasinois. — Étogei»,
bijoux, meubles de provenance orientale ; Fronce, du dou¬
zième ati treiîiètue siècle, 189.
Bangat. — I^o masque de guerre du Nî^o-Calèdonleii ; Oç(-ft-
nie, 6U-61,
Danaeura, Danseuses. — PeiV' A’ot'Ant:>i ou Gmaoitazy,
BAYAJjBUK, CANCEXLS DEVADAKE, XAaTACÏCIS, XACTClf-
OIllL, TSCtIKNQUY» VR-îCHATUT.
Danneman. — a Paysan libre » ; Suède» 412.
Danumer malekani. — Étoffe des marchi’-s fnndjés; Séné-
gal, T2,
Darâboukkéh. — Tamltour de ba-scjue; Algérie, 164.
Bard thrfj — Arme de main, et» pendant l’é-
|Hxiuc carolingienne jusqu'au douzième siècle» une sorte de
javelot empenné. A dater du douzième ^i'^cl(^^ le dard est
nue sorte de rouge A manclie court, munie d'un fer et
trâiichant ; c^est alors unie artue de piéton, du genre de la
bi^ïoimctto» 2ti2.
Dari. — PTt‘Sent« de uoctÆ ; Russie, 444.
Bari seadot aghassy. — a: Chef de la maison de félicité lo ;
Tun des titres du chef des eunuques noirs, le A'fîfor A^hn.tgff,
172-173.
Défendant (le). —Celui auquel on adressait un défl ; tour¬
nois; Eiirojw, moyen âgo, 22 U
Dehera. — Villnge kabyle, 152-153,
Deïnos ou Delnos. — Petit iïassiii |)our la toilette des pieds ;
tîréco'Romaiii, 32.
Délia. —‘ VÈtenieiit d^origîiie tiirciudi habit d'apîwmt de Jq
noble?9e pûtonaîae» 451. 452.
— DéHttHft ou variété de la düûi, 451, 463, 454.
Demi-ceint.—Ceinturedo dcsîsousd&î dames du moyen Age,
226. 246,251, 273.
Dengue. — Fiebu ow luqiitelct des Caticiennes et des Asin-
rieiuies; Bqiagiie, 473, 476.
Deraia. — Parure féminine; éolliers ornant la ]i«irtîç supé¬
rieure de la iHîitrine; (Irêce, 25^26.
Derbal,— Clicmlso de laine; Kabyles;, 156.
Derviches.-— C*'à-d. « iwuvrea s; moines ïiuiBulmans. La
Turqiiie, l'Égypte, Trîjxîli, le Maroc, la Perse, In Bouklinrie.
riude, ont plusieurs sectes de derviciies indigènes, 135 et
136, Ml, 169, 175, l'hiV BEKTACiy, Caduv»
Déshabillé, — Expression générique appliquée à pliisieuTs.
vai'iêtèa de la mode féminine offrant toutes le type adopté
en Fraitce à dater de 1783» c'esst-n’dfre celui de lu u sinipll-
eîté qui succéda aux fantaisies exagérées du commonqeuient
du ri'gne de Louis XVI, 390, 39B, Pofi-C ahaco, FoirRUKAi.’,
Xùni.UiÉ, H(>nR ES cJihUiâJü, lîoiig jrjtMa.tnîKS’rK»
NBtiWnEXTf:.
»
Da$pate (*£'Tî:dTr^c), — Titre qui remplaça celui de Cé«»r
chez les empereurs liu Ïîas-Mmpire, 188.
Dfivadâses. — Classe de danseuses conBftcréeg au ruite;
Imle, 125»
Bevauts. “ Bouillous de gaze ornant rcneolure de la robe
du ilèTolleté; medea fémintues; France» épcMiuc Loui?i XIII,
328.
Ih'irnit A Ut FonUtngf. Le tûiij>ct élevé de la iierruqup
des liuinmes du temps de Louis XI V; mode imaginée jhiirle
ïnaniuis de Fon tanga, 35 L
Bevaïitier. — Pièec de corsage des f cm mes des provinoea
romain es et de rancîcn comté de Nice» 467, 4pfî.
DoxtralO- — Bracelet porté sur la lïftrtle citamue d u Itrns
droit; antiquité, 3l.
Dhaman. — Le repn^sentant lic chaque famille kain lc dans
les osscjublées municipales» 152-153,
Dhoti. ^ ïjougnc bande d'étoffe formant caleçon; Indoii^»
132, 123» 126, 127, 129» 130.
Diacre, — DignitAire ecclésiastique, dont le nom vient du gTv?o
otéxovO;, sendteur ; sa principale fonction est de servir
le prêtre du Té^'èquo A FautcL Djacrea latins, 189, 191.
Biacres ortliodo.xeîij 182#
Diadème (^diadvma^ — Bandelette dont on se ocE
gnait la tète comme du craltrfîiHe^q et qui devint le signe
distinctif de la royauté oti tiu rang suprême. Iass rois de
l’erse et d'Arménie joignaient cor ornemeist A leurs cyrforw
et è leurs tiatYs. Le diadème des empereurs romain^ était
de laurier naturel ou de feuilles d'or imitant le laurier. I>nJ]s
la suite des temp 9 , on chargea le diadème de broderies, de
Ijerfes, de diamants» puis il devint une jMirure de métal.
Les souverains des époques m&lerneîi ont adopté de préfcreisce
lii couronne* dont la l(ti-‘;e reim^ento le diadème primitif. Le
Î05
djaïU'Rio êtiit ftTiwl une pnnire cirlüo i ùamci grecqufwi
et rontniiic^ en onmiellt ]&wra frmita; et, «le nos on le
voit encore figurer parmi les bijoux iMirticulieïH i\ linéiques»
itntîoiis, €1iea le» cbefa île eertuliiefi tribus iinlig^^iiKs du l'Amé¬
rique et lie rnci-ïiiiie, le fliadèiue est formé fie phimcs, de
irraines, cte., H. tïl, 2S-2^t> 41, 51, 53. di-fil, iîl, 85. 8fl, 183,
4ï3, Fcflr CKA.ritl >:"r, TiiAt ERT, TitKi^rtoiii.
Diane ^ Toilette fétuiiiino; Franco, W^gne de
Ujuû XII[. :12S,
Diapasma (SiâTta'TjJ.a), — romlre fine fituit on se frottait
le corîw : aifiiquitcs 18,
Dibleb. — ïîftgiio fii'iïouTvne lie pierre; bijouteneorientale.
463. Î eir K 11 ATI M,
Dicorde. Diacorde. Esjîice deguiiaro A-deux c-onji-s ; an¬
tiquité, Dmg iajitriiiuent monté de detïx corilt'S, Pour en
jouet,, l'oxécutant appuyait sur les ootile? vers le bas et fai¬
sait aifir l’archet vota la partie siiiHTieure ; moyen jlge, 43.
210 .
Diffa. — Plat de viande fie mouton; Kaliylca. 152-153.
Dilsiz. ^ Muet du hniX'^tïi iîbpéTXftl; Turquie, KiS,
Dimaobèra — (Gladiateur romain fini coin*
Ikattaît avee une éiiéc flaiis cliaquc main, 3G-âT.
Dlnanderie^ - ■ Le* ouvrages de cliandmiinerie liifiteiriée qui
se bibriquaient ft Dînant, en Btfigiqne, et ii I/yon. Ist eorpo-
ratiou de» liiKirHj existait fKs le douïtéme siéele ; Furope.
moyeu flgo, 232.
Diûta — Oreille» de î'amphore ; Kgypte, 7.
Diphros (Svçpfoc). — 1* liant ; autkiuitr, 32.
Diploïdlon. — Toî/- Anaiku.e.
Diptyque. — Cbe?. le» anciens Tloniaîns, tablettes h iVrlre
coiïijxisée de fieujc feuilles; on y inscrivait les nonw des
l'onüuls, des magîstratfi. 1/Église lit également usage tic
iliptyqucR ijoury inscrire des noms d'éTe<|iies. de bienfaiteurs.
I,*s filptytiues fioniièrent naissauec aux rttjifÿqtm et aux
ïWoftfrji, qui. cl^ine forme plus arehitectumiç. servirent aussi
A tri déf'oration des autel»; antiquité, uioyeu fige, 18L 228,
Voit' iMAnB A i in.Em.
Dlscaiceatua. — «r IX’Chanssé n ; les Itouiniiis cousidémient
connue tel celui qui était cliausfiéde ia ${}htt, -iî, Poir Solka.
SOLU.^Tt'S,
Diapenaator. — Secrétaire inteinlaut dTuie maison romaine.
33.
Divan. — IWc Al-uyonan.
Dizllk. — (înétrcK Uroflées ; Kpirotes ou Alliannis. 401.
Djaboli. — Chemise de sole; femmes mauresques de FAlgt^rie,
ley et lei.
DJaraadan. — Gilet eroîad ; Timjuie, 17b, 177, 178.
Djemala. — Ttirtwn fieà Maure» tunÎÆileus. 159*
Djilbend»— Le sac de cuir des Jerviclie» Be^Ktachi ; Turquie,
175*
Djinn-baoTl, — Manteau fiotiant que 1(3 cltefs ja|wiiaîs por¬
tent sur la cuilusse. 86-^7.
Djlurikaha, Jlarikiuka. — Ks|Kce de cabriolet suspendu et
traîné à bras; JiijÆUi, Ù8, 1U2,
Djubbè, — Long manteau à mancitea qu'on laisse onlinaire-
iiient liotter, ü l^wnge des deux sexe»; Turquift 175, ITfi,
177, 178* 179. 18b. 18^.
Dogaline* — ^fantean çoiiTt ; Italie, seixléme siiete, 199.
Doqe (difj). — Koni donné aux chefs des rt'puhUqucs fie
Venise et de Gènes, 199.
Doqgere^u* — iirsiide liarque des péi^heurs de nie Markén;
Ifollnude, 11$ et 42ü* Féfr BoTTnità, liumEX*
Dolabra. La petite iiiiue affilée de la oacrifiees
romains, 38*
Dolama. — Mnutoau long, parfois saiîsi manches; coatnmc
lUnscutÎD ; Turquie, 402.
— T*n veste fies janissaires de» rois fie Pologne, 454.
Itdîmn, — Xom fioiiué par le» Hongrois k la dolmua tur¬
que, qu’ils tTuibsfrïriïiéreiit en iiq court lîületot aux luanclir»
tlotlniitcs. Le- ihihmiu en Èubîssant fie nombreuses mofiifl-
f'aiion.4, est devenu le vête nient dt'a hussimis fran^'ais et
étrangers, 387, 45« et 459.
DÔli. — Patnuquln fies femme» riches; Tndc, 124. Tob
Eohis,
Dolkknif. — Le couteau dts iJoyi^ans suêtioîs et norvégiens,
414.
Dolman. — IWrDoLAMA.
Dolmen. — «( Table do pierre n; monument firiiifiiqiie com-
IH-KSi^fie pierres plantées en terre vertical erheut et supportant
nue autre pieiTcen forme fie lable, Sb.
Domestlca vestla. — Vêtements (rintérieur; Roniaiu»;,
4b,
Domlnlcalriâ. — Ordre religieux fondé en 1315t par saint
DouailiUpiO, 241-242, 482*
Domaa.— Malgon, 1 Habitation particulière fie» Ilomain»; celte
occiiiiéc par uii. seul propriétiiire et m famille. 33. f'o/r ïx-
»IT.A,
Dormeuse. ■™' Nom donné k une coifTc en usage cheîî les
femiine» fin peuple ; Fnince, dix-hujtléiue siècle, 369* 371*
DoBSière. — Partie de l'armure de platft» protégeant le dos,
et qni* n;unîe au pîjvstmn et k la pansiére* coin lierait l’Iia-
batleuieiit désigné depuis soua le boni de emmwe; EnnqH\
moyen âge, 2(J4.
Dosso. “ Pelleterie de couleur cemlrée ; Vcniise, sei?,iême
sié(;lc, 288.
Douar* —riéunio 11 fie tente» amlx:»* 1S5*
Doublfer. — Nappe de lulde; France, nioyen Age, 331*
Doucbegreika. — Mantelet en forme de easaquîu ; fiâmes
russes;* 438 et 139, 440*
Doulxdilet* “ Denbene. tissu transïiarcnt de fll mi de SOie
dont on confoctioiiiialt la gorgerettedes dames du qnliï^déme
siècle; Fumige, 246 , 219 et 25tJ, 251*
Doumacl. — Étoffe fie Hn; Afrique, lû5*
Dragon (dj'wre}, — ËiiÊCigne d^une cûliorte, emprunté* nus
Part lus et Introfiiilte fin ns ramiéè romaine vcm ie temps de
Trajan * 35*
/)ya{}tms ^— Corps de cav'aleïie créé, en 1658, par le maxt^-
chai de Bn;ssac SOua le nom û'ttfqut^htmrri à ils com-
IjfLttaîent Eiuasi A |>lcfl ; France, 381, 382.
Pntyonii*'. — Boucle fie chev^cux ; dames; France, dix-
huitième siècle, 369.
Drapeau. — Mot i|Ui, fiepuiï le seizième siècle, dé-signe
renseigne fies fantassins; celle de® cavalier» est Yrf'-Kdifnlt
France, seiafème et fitK'»epiièuic sièclesj 275, 342* — fh^f-
jutta 4b[j*
11)0
Drawing^room.— rieuse de Téception; AngtcterT'p, 2ïîft.
Drayman, — Ch^rretior angiftlis, 42f*.
Dressoir ^ Jienble en forme d’olag» re.
g&riû de nap}>ea, et «ur U^^iel ou rndgCAlt l4 Tbiifsollc de
prix, dea pièces d'orfèvrerie, etc*; Ktirope, moyen ûire, 190-
191, 227, 3G^
Drinkhoom. — TTaimp; irollande, dix-septième siècle^ 323*
Droguet- “ Gros dmp en tmiÿe dans laelaase bourgeoise :
Fruiicc, dix-liuitkine sièeie* 36T*
Drougeki. — AsaUt-anU qui soutieuiient les coaronnes au-
dessus des dancès dans les cérémonies du marîngc russe,
444,
Droujka, — Paranympîiie ; mariage russe, 444.
Drover. — Conducteur de taHailj Angleterre, 42S,
Druine-usual. — Gentilshommes dos premiers tena|>s rie la
royauté iV^OSsatse, 125 et lîC.
Dllbliten. — ,îupe des femmes bulgares^ 462.^
DucaJç (cosbiiine ^ la) — Celui des dcgarr$.^.
•— (manches à la), — Vcnîfjc, 1S9,
Duratf'^. — Ijpaiix de martre et d’herminCf formant la
doublure des vêtements de oén'^monie ; noblesse vénitienne,
seïsièine sli’-cle, 28«,
#
Duchesse (chapeau h la) — &rrxleâ féminines; France, épo^
que de Iy>ui?î XVI, 390,
Ducluk. ^ T.,a paire de flhtes des lieigcTs bulgares. 462*
Dulbend. — Mousseline employée lions la confection des
turiams; Orient, 135 et 136,
Dura. — Cabane des Australiens; Océanie, 60-61*
Durbakka. — Gmndc mandoline arabe, 160 ot 161,
Dui’bar* — Salle d’andicnee des souTcruinâ iiidoua, 11 L
Dustman. — n îîonime de la iious'siére » ; Angleterre, 43ü,
E
Dau d'ange ou de Chypre. ^ E,an de senteur; toilette
h-mjniue; France, de I^uiaXIII, 32»*
Enti de cAofr* — Dames du dlx*lmit(ériie sif’nle; France,
,370*
Ébène. — Xoni générique appliqué à tous les bois férines em¬
ployés ilans la fabrication dos meubli» du dix-septiénm siè¬
cle ; France, 35». — Ébénistes, ceux qui travaillent ces bois;
les anciens hutbieri du tnoyeii dgC.
Écarlate* — Drap pour les cliausses; Fmnee, quatorzième
siècle, 2li6.
Écharpe (esrharpef rstherpe^escrvpp, pscefpe,estheypffté,rstefpt'}^
— Bande il’étoffe iwrti:^ en sautoir. IjCS iiélerius fiortaient
rècliarpc et le bounlon ; Earope, moyen dgo* 200. Tufr Faj.\*
— En Fmnee. sous Louis XIV. les dames faisaient usage de
IVKvharpe dans leure toiletter de ville; danfl les detniérew
années du dixdiuîüènic siècle, les premiers chhles furent
de longues écharpe* de cachemire ou de taffètas, 364, 345,
404, Fiîfr Capr, CflALK, Matîtk.
— Dans rinde., les detis *exes s'eDvciuppeut le buste dans une
écharpe de gaze ou de soie ; les femmes en rainènent une
des pointes sur la tète, 122, 123, 1Î5, 127, 12», 130*
— L'écli,4rpc mîlilaire e&t un iir^igiie de commandement, une
nmrqne do distinction et un signe de ralliemetit ; on lu
porte en bandoulière ou eu ociiitnre; Inde, Europe, seizième,
dix-septième et dlx-hnîtième eikdes, 110* 111, 112, 257* 261,
266, 26», 27b, 301, 311, 342, 3l9, 364,367.
Échelles. — Xcend* étagés des deux cOtés du bnsc* sur le
devant du Por.wge ; moiles fémiiitucs; Fmnoe, règne de
ÏÆuis XIV* 353,
£ckd. — Collier furabe ; parure des dusses pauvres, 463.
Écossaise (ccnqiAgide)* — Corp d’élite institné par Char¬
les Vit, en 1445, en rcioiinais&anec des aerviccs que quelque^
troupcB écossaises lui iLvment rendit* ]>eiidant la guerre cdii*
tne rAngleterre. Jusqu'au dix-sejjtième siècle, cette cotupa-
gule de la maiüon militaire des rois de France fat tonjeur»
commandée par des gentilshommes éco-.^is* 256, 363.
Écu — Notü que prctnl lel>oucHer ^ iiartir du dou¬
zième sü-cle. Le noble faisait peindre sur son écn ses nnnoi-
rics ou devise ; Euro]je, moyen âge, 2Ô2, 203, 204, 205,2(Kr,
267 et 208, 210* 217,
Écucllo {wfuffjff*)* — PIftt prafoiid avec reliOï^k oii oreilles
dans iequet. avant le quinziéme siècle, mangeaient liaiiilnel-
j lement deux porsouiies. L'écnelle a préc^slé l'asslettc ; elle
était faite de terre citite vernissée, d'étatis, de cuivre ou d'ar¬
gent* Dans nos campagnes, on hc sert encore d’^é’cuellra, 227
499-500*
Écuyer (inraff/Vv), ^ OfîlcScr de livrée chargé de la dircclion
«Icîs écuries* C’était* au moyen âge, un degn* de noblesse
inférieur h celui de chevnlier. 11 se prenait comme synonyme
de bacbelier, damoiseau, etc. C’était seulement è Tfige de
quatorze ntis, etapn’^ü être sorti des pages* qné renfont jsoble
jjoüvait être admis au nombre tiea écuyen*. — (tntnd écttwr;
charge de l;i cour des redi de France* — Éeutjtr tt'éeurif;
cfltû eliargif de dresser Ire chevaux, 21».
£ffroutée (F), — Variété^ de la coifTnrc à ttf Fonfanfjeî aînsE
nommée parce qne, rejetée en arrière, elle dégagesdt rorc-ille.
— On nommait aussi rejfroniée la inoiiohe placée sur le
nez; moilcs féminines; dix-sepEièine eiècle, 354,
Égée. — Peau de chèvre qne les Lybicnnrs poi^iènt par-
alessus leurs vêtements: antiquité, 25-2fî. loir ïVimK.
Égide. Ægia (alYc;). Vêtement de peau aj‘aîit IV^eV
pour origine. Kii rcpnVsentant Minerve, on a fhit de Vrjjhh
tantôt une peau ticaJllensc Ooiivmnt é|3auJes, la poitrine
et le brus gauche; tantôt une cuira»îe en rierix partie* réu¬
nies ïüïr la tête de Méduse ; antiquité grecque* 25-26.
— Grand collier féminin; Grèce, 25'36.
Elgossief* — Paynanqiit gardait les iniîients ; Fiance* moyeu
Agi , 209*
I £id6r. — Oiseau des régions polaires dont le duvet est em¬
ployé par Ire Esquimaudes à oonfectioniier dre cUaus^ettes
dre tapis, etc.* S3-64.
Ekanda?. — Villages fortifiés, chez les Zonlons; Afrique, 67-
I 6«*
Ëléganta hors de pair* — ÉpCKiuc de Louis XIII ; France
I dix-ïieptième siècle, 327-32».
Elenchl, Tutulati. — Perlre îongnea qui avaient 1.^ forme
dé .4 vnsfs nommés tthlufittfif; Grince, 25-26*
Elm&s* — Nom du dianuint consiiléré, chez les Araltre, comme
un spécifique contre eertaînre nmloilîes; Afrique, 162.
ElûËOthesLum.— Salle dre jxirfuniB : pièce dre bains romains
où Ire baigneurs recevaient des ouciton-i d'huiles etdesH en¬
cre jxirfumére ; anthpiité, 45.
Éma.ü> - IkniHcIisé f]i]e les liûraiit.’t d’anucs ilc
Fraîirc ixjrtaieia sur leur pcfitriiie, 218.
rfi? — Joaillerie buD^-roïKie, JCO.
Ëmaretb'Berathy. — Diplôme que le sultan envole,
m6mc temps qtie le maiitesà Cïiïveâtiturc^r au sclièrif îte la
Mecque; Turriuic* lOÿ*
Emhlra, — èt.'sjrcîtï fllaïuctitcu^ dout le^ Turis fout lents Iw-
mnci^ ; AiuériQuedu Siitî, 7(î,
Emhlema^ — L'une des deux épaisweiny dc^ hi .s<^ukel1c de la
cliaiiâsurc antique^ 4*» Tüm';' CArrt'MA.
Ëmouchoir, re<t> FlauîlLLPse,
Enam Kéceast^ ■ La boite de di>p^lies que jwrtent avec
eux ](})$ Zeibek; Turquiev
Enarmea. — Jeu de courroies qui inainteDnlt le IxtuclEer sur
riivatit-bras et la main ; aiiHquitéet luoyéii âge, IS. 35-3(;,
ïüL roâ'cGüiuK.
Encensoir Unribuium. fHinibNfittu}. -- CaüüOlcttc suspendue
À des clüillncs, 13, If^d. ri:>{c Aiiscutu*
Endèroum, —Habitation réservée aux feunucs; rer^se» 138^
MJ.
Endromia (£v5p01/Ltî). — Brodequins ; ebauïisurc grecque.
3fi-37,
Enfant d'honneur^— Nom donné aux images ilu roi; Fmucc,
qiiinK.iènie siècle, 318.
{coijf«;ï« F). —Datnirj de l'épCKiue LoUbi XVM ;
France, üu du diX'ïiullième siècle, 3S5.
Ei^fn^rnunt (Soj/wt* à î '},— France, régne de lAtuis XVL
39l-3!>3, mK
Engageantes. — Larges uiaucbcttes de lingerie à un seul
rang. ioi;>dej féluiulries ; France, dix-septième siècle, 364, 355,
3 ÎI.
Engatio. — Leurre d’étoffe rouge <k^liiié l’t effrayer le taureau ;
jS^tbn diftfrof; Fs^ïugue, 470 et 471,
Enmorache, Morache. — Nom donné, pcndaiil le moyeu
âge, ék la !;»uJAfje lllÿ*
Enseigne. — Signe militaire sons Iwquel se rangent les
scildaiij $elon les corps ou les partü: auxquels Ils apiMirtieU'
ueut. Son usage remonte aux premiers temps hislorîqua>v
Les Égyptiens avaient pour enseignes les images de îeur^
dieux ; chez Ica Qrces d(a tempâ lièrolgueS:, c'etalt un hoii-
dicr, tni rasciiie, une cuiraasc portule au bout d’une lance.
Lea Kuuuiiiia eurent [dusienrs enseignes dont l'aigle fut la
principale. Au moyon dge, le mol était appliqué UOîl scule^
ment aux diflircntcs de drajieaux, mais aussi au cri
d'armer, d lu Ixinde, d la croix, au bijou bxé sur le cbuftcl, d
toute marque ilLittnclive. ^ Titre autrefois donné d tmit
otHcier imrtaut une enseigne, drapeau mi cornette, 1,4. 15,^
34, 35, 3Û-37, 5Ê-S7, 2ü2, 2711,342^ 456, IWi’ AUJLr; Agi t-
LiirKU, B.is.KcànE, BocTseHûL'K, CuïscaituiA^ Couxirri'R,
ÜJtAliOX, DiUl'KAtî, ÉtENDAUD, FLAMMIXA, fîONKAXoX,
ÜÜIIXIX, lilAUtXAJlIÜS, LAIlAHirjU. MAXIPriAO. Pkxxü.x, S.^N-
ULlKll^ SlG.VIPKlk SltlXL'M, VüXlï.U M, VKXH.LAlîlL’â,
Eititbjnt! dit tmti de dentj. — Mouche praiifle comme un
ernpliltrc que les ilame» de FépcKiUC «le ÏAïuis XIV s'appli¬
quaient à la tcm|]c ; France, dix-seplJémc siècle, 35 L
Entari^ — Itolkc dodes$u-sà des deux sexes; Tiir^iule,
— Enftft i de ioiftitoa. — t'ekü fait dkiiic solide éUiffe de suît%
Ï75, 17C^ I77j 178, 179, 180, 182, 4ti2.
Entoilage simple^ — llêseau de dentelle dont on faisait le
Vülk des dames veuves ; France, seizième siècle, 273.
Entroâolèâd (pîècisi)* — Architecture iulérïeurc du di.t'
septième siècle ; France, 348^
Entrichon. — Clieveux postiches que Vou pla^Mdt dans les
yiarticn île la tôle qui en étaient déjjettrirucs ; dames grec-
qoci, 21*
Eotldn, — Itistruinent à cordcA pincées, trmisporté en Espa¬
gne, au huitième siècle, par les Mantes et que les croisés
ré|iaiiulirebt en Euro]>e ^icndaiit lo douxtème siècle; rcead
est devenu Je 132,
Èpaulotte. “ Ccfcitunic civil ; couturo, g^alon, partie Baillante
placée sur Fépaule. Pourpoinf, mreofte à épftniéifeiî bomiiics
et femmes des seizième et dlx-scpticme siècles; Prfuicc, 2C8,
273, 2-é et 277, 278, 281», 287, 2B9i 3II,,327, 3ï8, Vmr Ajle-
KO.V, Maschüuo.v.
— Costume militàiru; ornement et marque dbtînetivc du
gmile. C'est en l'ti’J qu'on la donna aux ofiieiers ; ceux-ci,
qai raccueillirent mol, lui donnèrent le nom do « guenille
à ta Choiseul u. Iæü èjjàulettcs n'étaient alors qne des pattes ;
elles devîtirent à frattges sous le règne de Louis XVI ;
France, dix-huitième «ièelCt 3^*1» 4^^^*
ËpaulièrO. — d'armes qui relie les bras-stinls h la cni-
rassé, couvre l'épaule et complète la défense du corps. Dans
La s<-coitde moitié du quinzième siècle, répaUlièm de droite ^
chez lea boinmeâ d'armes, feüt raccourcie i>onr leur pcTiiiettre,
decoiiehcr plus fooilemeut le bol* de hi lance.sur rafrff-
/erme do la cuiru^se* — Chez les ■chcvau-légers, ain.si que
eljei les liommtæ de ]:iied du moyeii âge* la défense clea
épauli^ eit assurée ixir de iietltcs éi>aulièrtr8, par des ron¬
delles ou dcA pièces île ixuùlle# ou Âiitiquîté; Eu¬
rope* moyen Age+ seizième et dix-septième si(*c1CA, 26-26, 36-37»
34-95, !}6-8r, 217. 219, 253. 254, 25S, 357, 258, 252, 260, 262.
Totr PASSK-tîAItDEd OU GaupS-COLLET,
Êpéa {ÿladUijf — Arme offensive et dÉfcUTi.ivc. Cbez
les anclcnn, Fèpée ôtait généralement courte; le? Orées lu
|H>rtaient du côté gauche et les Homaiui; du côté droit,
îjea épéc'S des chevolieré du moyen âge étakut fortes et lon¬
gues, et. ta plupart du toinpi,se ïminiaieiit ü deux mains.—
Au seiziètne slèclo, elle? affectent dts» formes diverses, üur-
toiit dans lajioignée, qui devient très oompliquèe avec s&
ijitnies, ses e^Hlre-ffaedes, scs /MM-d’dnM. etc. ^ C'est à partir
du règne dç Louis XIII qu'on adopte l'épée d'csoritüo; on
ent nions dés éf/ées en à cCqnilUt à f/arde-en ffoU:, eu
jfttuier.en ffHlh', en misê/ icof dr/eu à Vej^îmÿnùte, À 7a
stiiêse. C'CAt aussi au dix-septième siècle que vfiit l’habitude
de ijorter l’éijée en tout temps et on lo^w lieux, iis4ige qui
sulisiiita juAfiu'au coiiimeiiocmeut du dix--neuvièine slè-clc, épo¬
que qù téfiée de faisait encoiro partie du cogtume d'é¬
tiquette, 15, 16, 25-26, 34, 36-57, 48-49, 50* 54, 56-57, 59,
63* ISO, 201, 2ü2, 203, 204, 305, 206, 207 et 208, 209, 310,
311, 217, 218, 219. 220* 222, 238, 253* 254, 255, 256, 257,
258, 260, 261* 262, 268, 270, 271. 272, 273, 275, 278^ 280,
283,285, 386» 301, 3îl, 320» 321* 327, 328, 336, 340* 342,
313, 351* 352,351, 359, 380. 364, 368, 370, 372, 380* 381,
382. 383, 384, 385, 380, 387, 391-392, 400, 125 ét 426, 419,
450, 451. ALPASÜK, CUAIijlIE.lMB, Ct-AÏMOIÆ, CoUÈtKL
A Ft-Afta, EaFAlWX, Fl^AMllEtaJE, GUADlt'S^ RAPIKUi:, S.A-
îfHK, SOAHA?.\XK.
Ef<ce d'aixwi nu de fjî'attd fj/W, —■ Elle ?e stiqjendait â lar-
çun, du côté droit ; riiummc d'armijs avait en même teiujü^
8un éjKÎe de ceintiimn qu'il [M.krtftit du eûté gïiuche. Luroïkc,
tjninzlècae et seizième i^iccle, 362*
rk rawHtfdèk, — Êrnic de cèréuuïiiie; France, moyen
âge, '218.
P ■
Ki»cr. ib^'iqinSyii)^ «î ’ Eptiü J^qrijfiiiÉ: ccllibi'
ricane, n Lame courte, ilrqltti et îjlatc. RûiuaiiLs, 3*, 3G-37*
Èpée à deux tuaius ou tjmndu épée^ — Franoe, nioyca âge,
217.
JoHfitn-é<i‘éi)éi\ — Nom don aé à riufauterie biuiiaioot aux laiis-
quenet^ nrméd de 1a loutre 6pêe à dcüa lunîaa^ Fmnce, aci-
ziéuie aiêcLe, 2^6, 2ST,
Pi'mlaiU d'tpéx. — Europe, dîx-seiJtiéïiie aiècle, 301, 311,
Ep^e }‘abuttiu\ — Celle au traitelinllt éîUOUascS urme de
tournoi ; Fronce, moyen âgCj 21â*
ÈiièeeuxmxouiL— L'épèe portée liOruontalemciit ; France,
Uix-aepliéme siècle, 301, 311, 32 u,
D>fttx-Epéei{ùi^ire dfj), — ünlre aiililliüresjjôcL’i.lcmciJLt de*-
iiné fttix rétèruna. Fmacc, dix^^eptièiïie et dix-liultième slè-
ck», 3e4.
Èporou {^fpûuron, eipot'QUf — Pièce de rériaî-
pcmciit du cavalier. Lea Grecs et les HomaiiH ifen portaient
qu'au pie<l droit. Au moyen âge, Içe éperons étalent à pointe
çniiique on iV. molette;, ceux cambré^ furent surtout en usage
an dix-acptièinc siècle, 26-2G, 36-37, ^^-67, £01, ÏU?, £03,
206, 2(J*S-, 2U, £17, 21», £19, £20, 2£2, £33. 234. 233, £00,
261, 271, £7£, 31 ï, 321, 327, 340, 3^13, 3»3, 3»4, 387, 41^ 450,
431, '134.
Ëpervier* —^ Emblème du pouvoir aouveniiiii ; tiMtiqnité
* èg}'l>tieijue. 1, 2.
Éphod. — CktrHelet muni de bretelles ; costume du grand
jrrétre. Hébraïque, 13.
Ëpi de front. — Joaillerie ; iiarnn; des fennnes de la Hol¬
lande, 4 23.
I
Epi attfiijue^ — ColŒurc féminine; France, Consulat et
Empire, 410,
Ëpinettd, — Petit claveeiu; Europe, dlx-septiènic elécle,
326,
Épingle croohot, — Kahylie, Foie
Épingletto^ ^ Parure dea luiysans bretons; France, 407.
Épinglior. — Pelote suspendue au demi^fnf des darnes tin
moyeu âge, 22 246.
Épitogs. — Espèce de mautcau que les itoiuains portaicut
sur lu toge. —-Souvenir du chaperon pendant anr les èpiauîea
qui consiste, chez les magistrats et les gens de robe en gé¬
néral, eu une bande d'étoffe garnie de fourrure, 212, 26».
Epitrachelium, — Voir Ê-roLE,
Equea — Cavalier rciuuin, 36-37.
Ergasiulum. — Logement des eaelaves maison romaine,
33.
Ergota du diable. — Nom douné aux soallurs k la ihju-
luliie; France, moyen ftge, £17,
Erkaliug, — Vêtement de dessous; Perse, 141,
Escabeau Cfflcame). — Petit banc ftiius dossier, Iwi-S. et étroit,
L'eticabeau est plus bas que le Pane et la chabe ; rinférienr,
au<]uel ün fienutdialt de s^isseoir, prenait un escabeau, £9»^
EiK^ibettu ü irtfit ^tiUins^ Mobilier i'UstJ<iuo dç la Bi^ta-
gue; France, 4t>9-30û*
Escablon, Guène. — Piédestal de nieimiaeiic en forme de
gaine; Europe, dix-septième uiècle, 33»,
Escadrons rouges. — Nom donné aux escadrons de la
maison royale; France, dlx-aeptièmc et di.x-huitième sié--
des. 3B3,
Eacâmo, — l'oïi- Escahkal",
Escarcelle (f'jssni'j, iichn/’cvltf^ iuxoftih “ I-æ 6iie su.-<<pi:iiiln
la tïdntnre; dans le vieux langage, voulait dire avare,
^escarcelle, idua partienliércnieut réservée aux mcssagCTÈi t t
aux péleriiis, était, d^ordiiiaire, aeeouipugnée de la tmièri-
tord*’; France, moyeu âge, £d7, 213, 226. roir Au.MosiÈi;t;,
Escai^ins, — Genre de chau-wurcs con^btant en souliers pIc
æilin on de veîouT?, très couvcriB et crevés; Fnmcc, sei¬
zième siècle, 26»,
— Soulier léger, a simple semelle; France, lin du dix-liiii-
tièine siècle et commencement dq dix-ucuvième, 4Û1,
Esc^ascs on Te banques. — I.e3d êclia^es des bergers lan¬
dais ; France, 186,
Esclavage de perles (T). — Le collier de i^erlcs des i.lHtiies
de l'épociuù de Loub XIII et de Louis XIV; France, dix-
püeptièiue elècle, 328, 331, 353.
Eeclavitiie {p'^jfcfpirc). — Vèteiuent tlo elicvanehéc, sorte de
cosaqiie^empruntée aux Orienta y x (Sarrazinois}. et que le^
])elerins iHiraisscnt avoir adoptée dès le douzième siècle ;
Europe, moyen âge, 2lKf.
Esclavons (orilretr des)* — Ordre do inoinfttiinstitué itarWlu-
dislos \\ roi de Pologne, vers 131Ki; 12».
E^cofAon. — Coiffure féminine qui muiuit ver^ lu fin du
quatorzième siècle; c'était tiii botirreleb couvert iriiiie résille
enrichie de pas:semeiiteric» et de fwrleti. — dr&nd
Escojfion û Cüi if«j. £08, £13, £14, 243, £46, 247 et 34», 251,
EscofAc. — Vêtement de peau que l'un endot^it pour aller
â la citasâo; espè'ce de courte blouse ; Euroiie, moyen 4gc et
dixième siècle, £79 et £71»
Esophorium. — Tunique luliiuc; Grèce antique^ 19,
Eapada. ^ Celui de» io/rroî qui donne le dernier coup au
I tiuireaii, au moyen tie l’épéc ; fepagiio, 470 et 471.
Espadon. — Epée à deux tranchants ; Europe, moyen âge
I et seizième siècle, £38.
Eepagnolo (chapeau A T). Modes féiuiiiiiies; France, sei¬
zième siècle, £67.
Kipatjnol Knmilon. — VvLn des « fanlementa n des dames
son-s LcuU Xlll; Frtmcc, dix-îicptièine siècle, 328»
Eiputjnofe {pen^qui â Fji. — Hommes de répotine de
Louis XIV, 3S1.
Espardilles, Eapardenas, Espardines. — Uhauasurc
tre^êc; Espagne, 172, 4 7 3, 474 , 473, 476, 477-4 7», FoiV
Ai.PAHOAT.ia.
Espartoa. — Spartes d'Albacètc et de i^lureie employés [wur
la fabrication des sandales, des nattes, des panier», etc.
Bsfxignc, 4Î3.
' EspoPtob.. — Lii demi-pique des officiers; France, dix-sci}-
! tième et dlx-huitlèioe siècles 342, 343, 385.
^ Esprit. — Fofi* Aiuhk’itk.
Essédairo — Gladiateur rouiain cocubattaiit
sur des chariots. 36-37.
Eatame. — Voir Bah d'ksi'amk.
Est! vau K. — Bottes collantes de cuir smijde, ptrfols garnies
de foumire, On mettait des estivaux dans leti appartement
France, moyen âge, Fpije Gam.\ciïe. JlEtrsiî, HoL'SK.'lvx.
Estoc (grandj* — Fqfr Ei'KK D'AltçtsXi
K$r<u!. i/tttppf‘r d'J.—Pointer oti pou^sci' répéc]H>ur la faire
entrer jior ta pointe; /iti/JipcT dé tuUir, donner îles conpi
avec le tninch.iiit de raruié ; Enrepe, moyen âge, £U4*
19U
EBtoffade (clievt'lnre ciO> — 'C'ir&t-ii-ilirc îlott4Lut4ï ; fcuiuicâ
tokiiriotcri; ISspiiBiie» 481,
Estradiots. — Givalicrs grwii tt aU)an:ii«,
cette chi'imt-Uijtr» vibtUiaU, Louï^ XII les employa
<laïifî WHï éS£i)ê<litîoii d’Itaîie ■ Fraiiee» «cî^icme «îècle, SSAk
Estudiantes de la Tiina. — Fnp^gruf, 177-478*
Ëtendard- — Enseipiie formée ^rmie pîtK'e cVêtoffe
fendue AU milieu et teniiiui:^ fNtr ileiix kuigiies pôiiitC!^. Au
couimenccmcnt du Ë^eiziétuc siècle, l'ètdiulflr<l ne AiL plus
en iimjru que dans lu cflvnleric^ sa forme cliaiut^i'A : uprï-s
avoir été iiue eu^>i:^ne de Ja phis gmude l’éten-
ilard devint un (lrai>cau ciim'* de m'!fiiocregraudcur; Europe,
moyen âge, 202, 218* Foij" CuftsuTTK,
> Ëteudarda japonais, lu dons, ilc rare] liiH-l asiiitiiitie, 08-07,
110 , lai.
Étoile {enlrc de). — Orxlrc de ehevalerie înNtitiic eu J3Æ2,
par Jean le Bon, roi de France, 964.
Étole. — Ornement eeTelèsiAstifjne qui tire sou origine de
Tantique ifo/rr ; il coiiEtiaie en une longue bande d^étofTe ter-
niin^'-e par deux extrémités plus larges ornées de croix, Peii-
daut les huit premiéTs siècles, Tétole porta le nom d'r^/tiri^w,
— L’étqledu clergé ortlimliiKe, 181. 182,193, lî>4.
— L’étote, jjrivilège de noblesse clics les Véiiitleiia ; liulic,
seizième siècle, 289,
Étriar {cifiF-fr/, — LVdrier primitlfi
iioiiimé ^rnmTofj'’, futsimiilcuieut formé il'^uiie corde idiée t*ii
deux; plus tard, il fut àv fer massif. Les Gaulois, les Grcc-*^,
les Romains, les Fraiict^ Im Gériiialns^ ne semblent
uvoir connu rêtrfer : antia Iw naiious uioiieRicp^ en ont toiites^
fait uisage. An moyeu ftge, la forme la pins simple de réirler
consiste eu un triangle sip^peudu â une courroie ; pui^, û l'a-
vênement deFamiure en fer, les étriers prirent mille foniies,
furent travaillés avec reclicrchie et devinreut de véritables
objotu i:î‘art, surtout un aekièiuc siècle, 31,. 96-9 7, 149. 219,
222 . 256 , m, 269 , 261 .
Eunapius. — Xom que Xéuopbon donne à la tiare, 182.
Eunluk. —Tablier; Turfiuie, 176, I7S, 180.
Eunuques. “ Fati’ ÏTScu-AnuAïiîîva, Ki^t.aii-Aüua,
Euskara. Langue des Basques; les Espagimls rappellent
« bingue obscure et confasc u; E.^î^agne, -175.
Éventail LrfaècRuin, tï pftttnes). — Uusugc
de rév‘êDtail, si Ttr})audn cbez^ Les unclenâ, ne l'a pas uiohis
ôté dans FEurope du quatoriième, du quinzième et d u sei¬
zième siècle, o(i trois geiarc-i se pnrtagèreiit la vogué |>endant
cette longue [kMoiIc : les éventails de pluuies, ceux eu
forme de drapeau, et les éventails plisses. Ces derniers étaient
nuBei dans les mains do toutes lés dames du dix-septième siè¬
cle î IL^ étalent d’aune ïtoau très tuiuce, dite octiii/ntSf c*est-
âiiifo fiarfiifflèe.. tra de papierj de taffetas ou d'autre étoffe
légère. I..e dJx-buitième siècle, eu France, vit tUa. éventails
etnpFUUtaut leurs noms aux événcuienUs de Fé^ioqüe ; il y
en eut d« Jiuca/; d’autres furent à /a Jîmihmdtf.
En Chine et nu Ja|;ioiu réveiituil est une partie iiulispen-
«al>îe dé lu toilette, 65, 87, 88, 89 et 90, 99, Î02, lOS, l2l,
126,132, 102. 163, 214, 261, 265, 2»U, 28Î, 289, 311, 329, 337,
338 ut 33Ü, 340, 354, 355, 388, 389, 398. l'où FLAi!KLï.rM.
Kvettfit il. Iiiai gne de cliefs ; Atnêrique, Ücénuié, 60-01,81.
Kvtrn^uiU de ÿtt«/vv, — Jai)on, 96-97.
Évêque (e/jtjro^>u 4 ). - Chef et premier iJustour d’uii diocèse
dans rEglise clirétjeune. Scs insignes sont lu mitre, la
crt>s6ti, la croix }Hïotonile etVuüuE.'Uu, 135, 181, 182, 1S9,194,
290*
Expedltus. — Le ^ïOldHt rtituoin l-. gèrcnient armé et dé3;.M^r*
rus8é de son bagage ^lour effectuer une marche rapide, 36-
:i7.
F
Fn.fiole3, Fatifîolea. — KxiiresAlriin du di.x-huitième siî-cle ;
jietits bijoux de suspension portés en l>reli'H|uea; par extcii-
aion, les luenus ornements de la toilette féminine. Fronce,
38d,388,
Faja, — EéliarpOi, ceintuie; ï>pagne, 260, 471, 47S, 4 77-478,
Falbalas. — Volants, garnitures plissées de la robe; les
i'c>iar]>es avaient aussi des falbalas. Ce ne fat que vt’ii; 1787
i|ue Foii obuiidonua les falbalas et les bouillons ; ils furent
reuiplAccs par les fronciw. ^loties féminines; Europe, dix-
septième et dix-huitième siècle, 352, 353, 351, 355, 371, 388.
389, 391-392, Voir PniiTiXT.viLLits,
Faldea, Fauldas. F Lan cars. — Court japon do mailles
recouvert de Unucs artkndées ; Franc e, ijuiiizièuic islècle. 219.
Fù^J^ BiEAçcjxxikui’:*
Faldistorium. — l^lège en forme do pliant. Europe, muyeii'
Age, 231.
Fauchon. — &>rte de petite caiie ; toilette fémiiüiie ; France^
dix^liuitiètiie siècle, 3î3.
Fan fioles. — 17 jï> FAi-'niî.î-is*
Fanfreluches. Freluches. — llouppc:; de ^Ic garnU'^inl
la robe; dames de Féiüxjue de l4>ui.-î XIV; France^ dix-
septième skcle, 35S.
Fanona. — Les pendants de la mitre épiscopEile. 193.
Fard f/'urufl). — Clicz les niicicn^, le iuot/«cu^ <st uii terme
gènérii]UC dè>signaiit les fiinls blancs et rouges. Les daines
greofpies. ronmities* celles du Ihia-Einpîrc, se fardaient,et, dé
phi-s noircissaient les yeux, usage qu'elles tenaient de
rOrieiit. TJNms les temps moderm.^, Le faiil fait âa rêap^Ka-
ritioji en Euro|ïC au seizième sît'cle; Catherine dé Mctlicis,
arrivant eu France, en propage Fusage de telle sorte qu’il
devient inséparable de la toilette fémiiihie et mémo mascu¬
line. l’hea les dames du rllx-septième et du dix-huitiéme
siècle, il devient uu véritable habillement du visage. En
Chine, le^ femmes ont fait^ de tout teiup«i, un usage iiuuio-
déièr du fapl, 1«, 24, 88, 89 et 9U, 273, 3S l, 398, Foi> Hexsé,
KoHoLm,
— Mcitdu dix-septième siècle ik^ignont a hi
fok lex fards, les etiux de senteur, et tes morceaux <le laffetivi
g»>Jïiiué api>eléK dont les darnes de l'époque de
Ivoaîs XlV étîûéiifc dînisriioage de se couvrir k visage,354.
Farmla. — Verte dq dessoiis; Jlaiirta tuuislcnsr 158, 160,
161 .
Fascelete. — Fichu de tête ou mouchoir de cou ; paysannes
de Loretq , province d’Aueône. ïtalic ; 468,
— €h41e des jMiysauues de la province de
Rome; Italie, 468.
Fascia. — l>ans uii seiia général, toute bimdc d'étoffe longue
et étroite,
Ftiifcin cruntiis .— Bandé dVtoffe roulée autour de la jambe
depuis le genou juaiiu'Â la cheville; antiquité, 16. 46*
Fiteçia mamithu-i** — Ceint ure idocée^sOus lu scüi ; dainca
grecques et romaines*
/Vrmh/tf* — Petites cçiuturé^.
Fatihah^ — rrciuier chni»trË du LViraii dunt k; inustHlinan
récite toujours un uiDiusi trois veractd ûu fiyat dans ses
prières, 14S et 11€.
Fauces^ — Couloirs de la mais^ju romaine^ 33, 43.
Fauchart (/autmrtj/itujarf, ftffttiî). — Aiiue d'hast i grand
coutelas einiuancké au bout dbin Itètou, 11 (jaestion de
fauebart dès le conitueiiccuieiit du treizième siècle; rraiieCi
uioyeu dge, 12152^
/(lacAon. — Tafi- GtU5.Ut»K.
Faucon, Fauconneau. — Pièces d'artillerie en usage de-
juiis Clmrles VHI juuiciu'uu di:ïdiuitièmc siècle ; on les iioni'
mnit atl3!#i /<xttcçnni-ff Fraticc,
Faucre ou Arrèt-forme. — Arrêt fixé au plasiuonde ter
tK)ur FcccTûir le bois de la luiicc quand on ohargealt clicral;
ICuropo, iiioyeit Age et seizième siècle, 204, 217^ 259.
FaudesteuiL — t'eir P.iLTEtfiu
Fauldflsî. — rp^/- î’ALPE.s*
Fausâart. L'épèe de la fin du douzième siècle; Ëi;ir<ipe.
uioycti âge, 203.
Fausse robe. “ l'oiV Iîoub.
Fauteuil (/adertr»//. /auJfstt-Uf /audastur/t —
riiuiit lie bois ou de luétnl qui, recouvert d’un couüdn on
d'niiiet3ipi.s^crie. servait de siège nux souvennas, nnx évèqiics,
aux seigneurs; Europe, uioyen Age. ISfi, 231, 241-242, 24 m.
FMiitcuils du dîx-septlèiiie, du dix-huitièiuc êittle (cUftiscs A
liras), 305, 313, 315, 3i8, 394, 395.
Faveurs ou Galan ta. — b'cçiids de milans; toilette fénuiiiino;
France, dix-septieiiie siècle, 310,
Favoris ou Favoris do boucles. — Boudes ilisjnséce de
façon à dcssüior sur Iç front uii croissant rtnversé idaïue-
du dix-huitième sicelç, 372, 397.
Fazzuolo. — llûbe dca èpon^ 'es ; Italie,, seizième sîi'cie,
243.
Felidj, Feldja. — Daudes t33î^‘’frs de loinc cl de poils iie
chumcim dont lu rénuinn forme lu eduverture de la tente
arabe ; Afrique, 155.
Female shrimper. — Vemlcuse de çrevetiés; Luudni«,
eonunencemeut du dLx-neuvième siècle, 429.
Feminaliar Femovalia. — CuloUe.i courtes hu caleçons qui
CûUVrmiieDt les cuisses elles tombaient un [}eu au-
dessous du genou. Les /^mot-aiia furent purticulièreUiehL
adoptés pur les troupes romaines {^ui couibuttaient dans le
nord de rKuroije, 34, 3C’37» 40. l'oir AsAxyttii>K!S, BH.tins.
Fenêtres d'onfêr. - VHr Coi-rs nanniE.
Fers. —Tic'CC d’orfèvrerie; |>£n utc de tète do-^ iîtdlftudui:^!;.
Les fers sont oblongs ou plats, en spirales ou en forme de
draixnu,selon les provinces, 4l'9 et 420, 421 Ct422, 423, IVii’
HoOFDNAI.D, IlOOF-pYSÎKJL, VcM^lt-JlOOFIiUX.
Fer-à cheval. — Le haut toupet des perruques du dix*
Liiitièmc siècle ; France, 3C7,
Ferdah. Le luaiiteuu des Bcfljué cl des Fundjés; SsèiiégiiL
72.
Peredjé. —Ilobe de dessous; Maurw d'Espagne, 159.
— Mituterru; Turtjtile, 170," 175, 177,
/Viymr, inoirtcau de la lioblcsise polouahc Ju'iqu’uu dix-
scjdièmc >iècde, 451.
/V;tz, vêtement de ik^ua; Kustiv, 436 et 430.
Fermail (/WbMuf/). — lirucLo de giuudes dimensious; l’tin
des bijoux les plus frèqiienimçnt adoptés peiiLlaiit 1c moyen
AgCi On avait des fermaux |M>ur attacher les maulcauXf IC’U
chapes, les ixdÆs ; i>otiT suspendre lea amn oiièros, les cosso-
lettus, etc.Eu France,smn Charles V» cj bijou rci.'Oit parfois
Je nom 189, 224 .
FerMioif.— Ornement de chapeau des gentils h ouïmes de
rèjKîquo de Charles Vil; France, riuiuzièmos^ièolc, 212, roi.f
AmqiTE,
Fermèné. — Yt.'Ste courte; Tttrquîe, ISO.
Ferr^oniiière. ^ Omomeiit de tète couslstaut en une étroito
bundetette se fermant au milieu du front par une pierre pré¬
cieuse; parure fémlniae; Fraute, seizième siècle,. 243+ 2S2,
Ferula, Nartex, — l^ptrc dre omiijcrcur d’Orîcnt, 183.
— Nom que kis allCieirï donmûcnt A la aros^ dre éveques,
J&4,
Feuillantines. — Onlre de rcllgieusea fondé en Fmucc eu
15911; 335.
Fez. — CoilTorc orientatc couslstniit eu iitie calotte do laine
foulée^ terminée par nu imsktit, ftot fie soie plus ou molus
fourni, Le/« e?t plus élevé et plus cylindrique que le i'or-
bûucA; Turquie, 135 et 13é, lé9, 175^ Ktï, 177, 178, 179^ 18U,
Fïieile-beag. — îetb' Kjl'I’.
Fibulo (_^4wèr. TTî^fjvï;). — Agntfe ou broche eu usage ftonr
I maintenir le munte^m sur k-3 èjioulcs : aiitiquik-, 31, 48.i9j
' 51,52,53,64,55,58,497.
Fichu. — Kéductiou de In iiuttt/iîk: pièce d'étoffe qui sc plî«
en deux |>ar Ire angles et ilont les dameis s^nvelopiHUitle tvu.
L’appaiitioii du lieliu en France, date de la seconde itirtlc
du règne de Loiiij .W^, 371, 390, 391-392,
FicAti-jHierint', toilette féminine de l’êiwlue Louis Xlll ;
France, dix-septième siècle, 328.
^l'rAu eti c^^w4V; ample ficliu couvrant la iKiitiiue et garni
xrun col tuyuEilé; 178 ô-17 92. /’icAk ^ihvwk) ; 1791. J-'icJmtt
./rrèof? 3 787. Fic/at fit tiianfHdtt. Fichu mtnfem-, vaste liclm
aiitpliflnijt la jMntrlno. Modes réuiiuhi«sdu règne de Txuiis XVI
et de réixhiue ilc la Ili'volutiou; France, fin du dix-huitii inc
siècle. 339, 391-392, 398, 4d3, 405,
Fiestas de toros. — Divertisseuieiit jKjpulaire de FKsjiagiic,
4Fo et 471.
Figaro tlKnnnct de pasje A In). — Coiffure féminine de l’cpKiHiUC
Louis XVI ; FraucÇjl735; 391-392.
Figurées (Ire}. — I’jüs françaii? ; di.x-ieptîcnie eicele, 328.
Filû d'orù. — Niîtiuce de cheveux a la mode chez ire Vèni-
tleiities du selzièniu «Sècle, 243, 286.
Financiètâ (pcrrniiiie à In), — ItMV PBJtitïîqri';*
Firmaments- — Èpînglre 4 tèteü de dLiiuant de la (xûiÏLirc
it îit Fonfttntje: modre feminlnre du règne dé Lûtiis XiV,
France, dix-septième siècle, 354, 35Ô.
(bague à). — Éj)Oijue LüUUi XVI, 393i
Fiscales. — GholhUeur^ romains çutrettuiis aux Irîtû du
tréfiur public, 3d-37,
Flstan, —Longue blouse; Turquie, 1C9.
j — La jupe blanche à tttyuUx raidei et évusés dre Grecs tiio-
deriieSj lé 4.
Fistula. “ l>7r Fm tu,
FlabËllIfère, — ï'cffr
Flabellum — KwiiUildf.* fuulltc tic lotiiHf sic phi-
mtià du tnnDUj giiTJii ti'im loug Duiiielieï uutit|iiitc’ S, 18, ^4.
32,
/''Uihell^ènri. — EsçIulvca dcuit r'L‘iiiip]'uL claLt il'^Yciitir
leurs utaitics uii moyeu ilnjttdftlîam, 8, 32,
Flagcllum — Fouet ù une ou ttlUüLcuJiï loîiièrcs.
Clitz les J^ypticiiSj Ig JtatjeUttm ou ètjiU UtI iuslguc
de üouvemiuetâ et de protection placé tXuns k luaiu d'OslrLi
et des rots; ajiticiuitév 4*
Flambeau (Jtamhiau}. — k fin du Beî^ièmc siéek'j k*
mot tLauiljcuu, dout l'étyiuologtc so trouve dniis Üftmfm,
tbiiumc, désk'uolt k de cire elle-même. Ces cbaili'
tIedJi'd étuub venues 4 diuuuucr assez du pYki^K'ur iJdtir être
IMjrtêesû l:i iDiiji:i, cm rubriqua utors dus cftsmilliers à ^um-
ùetiuj; qui, jjùï abrêviulioii, iid fuïeut Tjiciitùt pluâ êtêsljfiki
que sous le uoiu de /fumiKaujr^ 3'û-
Flamberge. — É|)ée d'escrime é poignée suiosbrunclie ; Fli>
rupes sci^téiue slèelc, S 63,
Flamine {^/turtun), — Titre doimé u tout prêtre roniaiu attii-
ché au service d'une divinité, 38,
Flammula. — Bunuicrc mUitiiire; varûiute du Fcnïêuui ; Ho
main.-;, 35.
FlaDcards. —Tassettes articulées j nruiures du moyeu âge,
2^12. Voir Blt.^COSxiÉiiE.
Flançois. — Pièce d’armure protrgeaut lus iianca du clieval j
Kuroije, seizième siècle, 26(C
Flasque, — be Fîtalku üaeuli, Koui dounê» pendant
le seizième siècle, A lu boite do kriSt d*î voire, de corne ou
do métal, dosMuée 4 contenir 1:!.4 jKnidre dont on cbargCitH
les anucs à feu ijortativcs; 254, 263, roli'' Auoitc;oii^ Pollué
A TOnimK, PCLVÉRLV,
— Partie de TnfFût :lê desMiiia ilta uiaulricrs de côté; artille¬
rie frauçaîi^e ilu quiuiièuie siècle, 226,
Fléau. lusigiic de là divinité chez Icri Égypticiw, 4,
— Arme dos gens de pîcil, eonipaâê;c srune uvéiasc de fer rcte-
uuc à roYtrémlté iriiii bâton jjar iiii bout de ubninc ou
une üaiidc de cuir; Fiuncc, moyeu âge, 218,
Flèche {toÿUtii, TÔ^suiia ou to^ov). _ Chez le^ Grecs ut les
Itomaius, la flèche était ordiiuiircmunt armée d'un fer ovale,
«uu crochets ; la flèche 4 fer crocdiu, Atfrfiiarrraou fulmc/f,
était en UMge cliez les peuples du nord et les A^îfatlquce, Au
moyen âge, la flèche prenait son nom du fer qui y était at¬
taché, Voir BAfiaini^x, Boi’jon’, CAivitKAr, Daru, HAît.txjs',
S vuKcTJi, Vliittiü.v, 1, 2, U dt 12, 25-26, 18-40, 60, Gt, 67-
68, 76, ot-&3, lia,
Fiibots. — PotUîi b&tiuients des [féclicura do Schevenhigoit ;
Hollaudc, 419 et 42(1,
FlissL — Sabres kabyles; Afrique, 150*
Floqué. — Ha|>èco de collerette rappelant les iiucicuiics
fi aises; femmes baléariotcs ; EsiJî^gne, 481.
Flûte (tibia, aO)i;), — Ui flûte a en lïour pi"cniïer tyi>e le
ciiabimeau champêtre, simple tige de blé ou de lescati |»er-
ctk; de quelques troiui. Plus tard, on eu fit de forrnts et île
iimtîèroa tri-s dlITcruntes.
^'arlét6i de la flûte autlciue :
Fistuia^ — Flûte eu lige du i*ft«uu on de canne.
Tibiit eoojttftchv. — Foire de flûtes 4 cuiüûucliUfC nulquc.
Îïèû 4 ‘cif^ i'ïe.— Cullei aus bouts rccourl>és en forme de
cornu.
Ttbiœ — Petite flûte aux sons aigus, comuie dans
]u<Hiuriie.
Tibiw — Flûte-s de longueur Inégale.
7’tèûe iortÿii, — La lüiiguu flûte employée dftlis lus temple^
pen^Jant les sacrifiées.
ïïÆèi —Flûte fourchue assez semblable au «
Tibiie pureté — Paire de flûtes do mûmu longueur et de
cuéme diamètre.
rièi'ç; ttfjc-icMfai'W* — La musette.
— Au moyen âge ou conuaîisait la/âte iimpte; lu tiûie dotthk^
composée de deux tiges dont la guuehe, plus courte, et nom-
mûG/émirùmf donieiit des sous aigus, taudis que la droite,
ou mascttlmef rendait dw ^îoas giuvcs; ll^/J' 1 ;llvv^iè^vî lu.Wé^u
i/'/i^/cFFUTud, garnie de neuf trous ; bi jiiitc bî thabjm ou 5ûAê-
tnienup; le daî-oiismaf la pii>eiHi pipmiti lo /fa^^ojoii/faÿcoû /f
ie/fik<f ou rjahttbrt, uticorc si usité dans nos eampugnes du
midi dç la Frmvee ; et le /rnfd ou /rùiatt, qui n’ètait outre
que lu antique, 22, 23, 20, Esi, l8, ÎÛ2, 20&.
Fi>cale. “ Crava^ portée par les soldaU> des armées do Tm-
iüii, de Marc-Aurelc et de SçptUnc-tîévcTO ; liomajus, 34, 36*
37,
Follette. — ToufEcü de pltiniics blanches ornant le cbnjwuu ;
modes fOmiidiics du règne de Louis XVI; Frauec, 1785;
391-302.
Fond de cuve. — Voir CrLorru,
Fonda, — Auberge esiugnole, -J7"-478,
Fcïig. — Animal fabuleux que Foli a doiuié comme iiisiguc
aux imj>éiatriees de Chine, 86,
Fodif-fiotin^ — Ornemunt de lÊtc en fonuc d'oiseau; coif¬
fure des dames chinoise’^, S 7, 89 et 9ü.
Foïitange, — Bonnet garni il'une liante lîassc eu
niyoïis ; du nom de ïrudauvu de Fontauge. 31odiæi fèmiimics
du ri'gue dcLüiiis XIV ; Fraiiec, fin dudix-septièiiic siècle.—
Amte/onum^fe (1% 352, 353, 354, 355, 366. Voir Çqü-
sioDK, CoitxirrrB, Cvlbutk, EFFUox'fÉK (F)* Jlnsiri-LA-
liAirr, Palissa nu,
Fonfiinije (dcitmtà în)- Toupet élevé et partagé; per¬
ruques des hommes dïi regue de Louia XIVj 351*
Forces, Forceps, Forsetes. — Nom donné aux ciseaux
pcmbnt le moyeu âge» 399,
Fores. — ted Ijattabts de l& jjorte; njciisen romaine, 33,
Forme, Fourme.—^ Fofi-IïAxc.
Forminga ou Phorminga. — Grande lyre; Grées, 22,
Ferskiun. — T^e tablier du mineur dalécarliun; Suède, 414.
Fou-Glu. — Femmes de l'empiTeur, épouses duseeeud ordre;
Chine, 86. FoiV Cui-füc, Plïf, Yutol
Foudre C/wfmcft), — PaL-ïcieau de petits dards disjjOîiés en
zigzag. Le foudre était le symliole particiilier tlea légions
(/MfnjfFcof;ir) Qtjovienne; Itouaûus, 35,
Fouet. — Voir FLACELbCMi
Fourche û croc. — Arme à branches quoiiraugiilaices très
Umguca et 4 double crochet; gruiuiiyers du régiment Dau-
|jl(în et soii.'W.'CJlkieJN du régimcîit du Perche; 1 muccp ili-X-
bnltièine aiitle*
Fourche Arme de la fin du quinzième aiècle, 381*
FouKïhetta if^rchette^. — On avait * dèn le treizième siècle,
des fourchettes pour qiielqnu.i metii exceptionnek; on n en
Ü.
— —
uv^t jwuT la règle coiuuiuiL'e. ubjet ilç ïusic* la four-
clictte» eniTuaucbôe de crUtal, ivoire du pierre diirc^ ii^avait
parfois^ que deux dents. Cet ne devint coiumun
qu’à partir du i^rkième eièolç, 39'9^
Fmifchefff wiiw, di/j à). — Bretngiie, 49e.
Fournier. — Homine de «ervice clfargè de la coufectiou
du iNiiiiî franeai^ du mojen âge, Sea.
FourquLne. — ÎJi fourulie d’appui du luüusquet ^ EuroiiÇi
seizième et dlx-septiême Bièrlcs, 267, ïee, 276^ 3u], 342.
Fourreau^ — Faimti / ofte*. c'est-u-dire u'ayaiit ^mus de queue,
— Foüff'fau ifn coi d< ctiwtrdf —/tfw/vww n tu itriie. — Da¬
mes do dix-huitième siècle, 371, 38^, 39L-33Î.
Fourrure^ — Les foumitifei èlaleiit d'nu usage gèuèml ebez
la noblesse fraüi,*aifie du moyen Age, surtout peudant les
quatorzième et quinzième «k'Cles. L'hermine, la martre zibe¬
line, le gris (petit grîa), le menu viûr etie gro-s valr étaient
rt-serves aux princes et aux adgneurs de liante imlasaiiée.
Lés fourrures les jilua ordinaires pi^rtèés iwr la petite no-
lilesse et la Ijourgeoisie étaient réeureuil, le lièvre, lu geuette,
l'agneau iioLr et le reuartl. Les gens du peuple portaient di;!s
fourrures d'agotau, de ehat, de loup, tic e J lèvre, de chien,
etc-, 2Ü3, 2U8, 21ü/2U, 212.
Foutah. — Nom du tablier en Tui'qnie, 176,
Frac. — Mot fiolouais Introduit dai:is Ui langue ixjut dési¬
gner une aorte d'iiabit jilus dégage que l'habit de cour ;
France, llu du dLx-huiticnic siècle, 391-392, 4UU, 406, 4u8-
409.
Fraise {/t-èze). — Col eu linge ün plissé à tuyiiux, formaiH
jdiisicurs rang»^ msHte importée d'Italie on France et en
Espagne au sedzième siècle. Elle a été eu usage cliez les
deujc sexes depuis Henri 11 jusqifà Louis XIIL — Frtti*.'
à lu coHfviioïtf — Fmise — Ëuro|Me, seizième et dix-
septième siècles, 260, 268,272,274, 276, 2îfl et 277, 27», 280,
285, 311, 32Û, 321, 323, 328, 329. Vmr Col., CoJJJilUfiq fc,
Framèfl- Lance ayant une hauteur d'iiomüie^ aruie des
Cermaîus, égalcmcia eu usage i>eudant réiïO<jue Jücrovlu-
gîcune. 48-49, 66-67.
Franca-Taiiplns. — Nom donné jadis dans les armées, aux
ouvriers mineurs c|uJ fouillaient la terre à la fs^on de-s
taupes, et sapaient la ïxuic ûcs mum et dei tours avec des
tuaclnneâ de fer appelées ttiline. Le nom de Uik/h:* fut ausiii
une Injure atiressêe par lu noblesse aux milices des canii>a-
giies^ Fnniee, moyen âge* 32 U.
Franclscainâ. — Membres de l’ordre religieux fondé en
1308 ]xir Saint Frun^'ois d^AssiM*:, 198.
FrancîsquQ. — lîaehcà un on deux traiicbunts dont le fer
était épais et acéré, et le mauehe trë^ court ; ou la lau^^iit
lie loin contre reüUénii* Arme des Francs, 48-49, 56-&7.
Freluches. — Foir FANPiLKntrcHOH.
Freluquets, Fresques, Fringants. — Noms doané-s aux
rois de la mode, eu Frauce, vers la fin du quinzième siècle,
216.
Frigidarium. — Première salle des bains roiüaJns, 16 -
i
Fripon, — Le tablier îles Donlclaiscs ; France, commeTiccment
du dix-neuvième siècle, 4H6,
Ffijtoune* ^ Nom donné, dans le langage précieux, k la
Ju|ie de dessous placée entre !a tecrèttf et la jnodfste; toilette
féminine de l'époque Louis XIU ; France, dlx-seytlèmc sié-
elc, 328.
FrlfïOAâ d’ébène. ^ Coilîui'e fviuitiiue île l'èpuiiuc du Di¬
rectoire; France, dix-luutîinne siècle, 406.
/Vfsuj'ïr d l'uatfle, /f-ijure tut- Hrn* — Ferruquci du dis-
septième siècle, 351.
Fi-uui-f /( lit Ühat fm/. à Itt — Daines du
ri-gue Louis XVI, 388, 390.
FfUurif ü “ Espèce de coiffure eu ottilli4
i/tf fAè'W; FeriiCt 135 et ISO*
Fronde. Âniio consktant en une double lanière de crin
avec laiiuelle en lance des pierres ou des Imlles de plomb
C3-C4,
Ft^uûe {îjfüJc à id). — France, minorité de Louis XIV'
340.
Frontal. — Espèce de diadème eu usage parmi la haute uo-
lilcsse; France, moyen ilge, 210,
— t'arurc des Asiatiques, des Afrieftius et des Uccauieiis ;
6U-ei, 129, 165. Tefii" TlIlIlKZniKS.
Ft'onfeaa. — Bandeau des Attembourgeoise^; Alleuiagiic,
432. Hüitüsr.
— Partie de la têtière qui couvre le front et les yeux ; linr-
nais du cheval de guerre; Europe, seizième Bièclc, 261.
Fuiminantfii (légion) ou/ufmiriof/f-r. —Surnom donné, vers
174 de notre ère, à une légion romaine ; cette Légion, eoni-
iwsée do chrétiens, fy voit obtenu eu Germanie, ixvr ses prières^
une pluie fttjondaule qui sauva l'a-TUiée préi de périr de soif ;
CO miracle, acgompll au nioycn lFuu violent orage, valut à
la légion le surnom ûe fulminant. 35.
Fundoshè. — ÊchariK' roulée en ceinture; Japonais
96-97.
Fun^ioni. — Offices religieux; Italie, 467.
Fuscina. — limnde fmirclie it trois branches; arme des rc-
riurli, gludintcurs n>iuaius, 36-37. i’efr TiUPKXiS,
Fusil. — De ritiitien /uciié, pierre à feu ; les premiers fusils
eurent effeetivement une plutmeà silex. IjU première arme
analogue an fusil fut Yartimbun', dont l'u^gc parmi les
trotqjËs francises ne ilate que du règne de Louis Xil. A
rupjuelHiso suDCLda, verü la Un du seizième siècle, le hjomji-
iiU€h Au mutiSfiuel, on conmicuva, dèa 1671, à «ulwtituor
le fusil; ceitetjdant, il ne ]c remplaça tout ii fait dans nos
années, uou pltti que dans celle des autres Eta ta de FEuro|Ki
que lie 1791 & 1704 ; 343, 313, 384, 386, 386, 4b0.
— A^ie, Afrique; 6Î-68, 72, 12U, 177.
Futaine (/«i/ain<). — Étoffe de coton croisée; on en faillît
autrefois des couvertures de carreaux et aussi dis pinu-
poiuts; France, 30», 210.
Fyl-fc'Chlarra a tête d’éléphiiiit ». —Bateau de plaisance des
gens riches ; la proue de ce Ixvtcau iwrte l’image d’une lète
d’ékphout, d’üù le nom de/»d-èeèfafYM:i,- Indtv 13L
G
Gaard. — Ucunicu. de demeureâ rustiques; Non'ege, 413.
Voir SaxtIvH.
Gaban, — l'ofc Caban.
Gablenne {ceinture a la). — FmV CKiSTUitK.
Gabrielle de Vergy (coiffure à la). — îlodes fénduiiicf^
du régne de Louis XVI ; Franect dix-huitiéme «iècle, 390.
G^ÇSté — (iruiii pkt en üoi& du hêtre duiiâ les Kabylcif^
apprêLciit leur tnelü uatioual], le c&KK^ouisou ; Al^éric^
Gai^ — Daoae fiaiii^’aLie eu TOgiie sous Louis XJil ; Fmucc: t
dlx-iücptiènio siècle, 328»
ais» — Bdtou gpiiulois, fi6-57.
aita» — lit comeauise des Galisieus j K^fiagne. Uaittro fjftl-
Ifyoî joueur de comemusc gAlieieUt
alantSri Galands^— Co<],ues de rubnn^ ejiiL servEtieuL clicz
les deux sexeSj à ucuer les bou^itt^f, le^ rad^ffe/fr#, les mousta-
chex ou les ifrptnfmuj.'. Peudiuit lo régne do Louis XIVji ou
Aituchuit' des gulauts M'èi^nule, aux fioigucts, ü lu ceinture
ilu Imut-de-ctLQUssGs ; Fniiice, dlx-sepliéiuc siwdo, 32S, SiOi,
394»
Gallegada. “ La danse des (iuiLciciis; Espiiguo, 47C.
Gallica. — Foir Oalocïif.
Galoche {ifaUim)* — C'hau 9 $urc à seiitelle de bois <pio Ioâ
G aulois portaient eu temps de pluie. Les Romains avloptè-
rent la ijaUicti ikïut la eauijiagiicC, niusi que lu pivnula , 47,
56-97.
Galoubet. — Flûte provençale ï\ trois troiis.— (jonenrs de);
Franco, moyen dge, 2ü3. V&ir FlL'Tis, FLüTiîr*
GamachOS. — Fourreaux de jutubcs. Paysans fruuçala du
uioyeu âge» du seizième et du dix''septiéuie siècles, 2U!I, 222»
274, 331.
Gambeto» — Le pardeissus des Catalans ; Espagne, 474.
Gamhison Ojanibaù, yuniboi^m, gambe^H,
boison}^ —' VËtemcnt que les Imiumcs d^annes portaient le
plus Bouvent ^us le Laubert de nmidi^üi |>eiidaut les dou¬
zième, treizième et quatorziènie siècles» I.e ÿ^tmbison était
fnit de peau ou d’étoffe piquée et rciulxïurjrèe ; cert4Ùiis
d'entre eux pouvaient être conaidérês ooiurao des justaii-
corps; d’autres descendaient jusqu’ou genou. Oïi dm]unit
aussi à ce vêtement Lo nom de c&ve ÿumboii^e. Europe,
moyen âge. — Ganiboù; Lu bourre dont était garni le
bison, 2ül, 202, 203, 204, 253,
Ganaderiaa. — Les trou 1)63 de taureaux qui partieipeiit â
un conil)at; Esî>ague, 4T0 et 471,
Gandoura. — Chemise de laine ou de ctitanundc; vètemeiit
ordluolrc du ÎCabyle; Afrique» 141, 157, ItJU et IGl, 163,
169. Voir De Rit AI..
Gants. — liCs gants lireiit leur apparition chez Ka Gnlln-
Romalns; ils étaient d’un usage général pendaut la ]:H)riiKle
earlovUigieime et on en i}ortait eu tonte» saisons; ceux <riiS'
ver, ii^ayuiit pas de doigts, s'apjio]aient moti0ej. PeJuLint le
moyen âge. le gant fut considéré tomme syinlwle : Jeter son
gant, c'était provocation; le presentor, c'était souiiiiasion*
Au quinzième aléok, commence U vogue des gants
ptiguc; elle le maintient pendant ï«izièmeet dix-scptièuii>^
siècles ; ils étaient alors frang^'S, vhitpiftéi , coup.’'*» Leur
réputation fut détréuèe iiar celle des gante fninçais. au
dix-huitième siècle. Ûaitfs h ht Gidcner» à fa/romjipxtnt;, à î»
tiéa^ssUt^à l'&ctaiion, n ta France, éixjque Louis Xllî,
273, S74, 230, 325, 338 et 335, 340, 393, 354, 395, 331-352,
Gant* dt ahméf. ^ Moyen âge et dix-6êptième eiècle, 2Uu»
211, 328.
Gants îitni-tnqwt ^ 153*
Ganti*rà-iiat‘Jiitn£Hrs, — La oomniunauté des Lunïtres-gnu'
tiers de Paris, 357.
(ianîeUi^ gtinU de plates, — PiètX) d’attiiure ordiunlrcmeut
cousue sur uii gaut de peau» r>e g:iiuteletctuiiige de formes si
difféi-entes éiioques : au treizième i^iécle, c’est le jirolouge-
meut du baubert qui le fournit sous forme tle oac» le pouce
e^t séparé; au quatonslêine, les doigts ^nt> ii^léa et cou¬
verte d'écailles d'acier; au siècle suivant, une iiouvelle cs|)èce
de gantelet, le mitont uc présente plUB de doigts réparés et
âe trouve seulcmcut formé de lames disposées dans Le seus
deâ grandes divisious de la main; an milieu du soixième
siècle, le piêtoîet fait ^li apparition» ce qui éxigo le reloue
du gantelet 4 doigts sépivrès. C’est la dernière forme do oottu
pièce sle i’anuure, 1,3, 12» 36-37,54-59, 56-57» 201» 202, 206,
207, 208, 217, 218, 215, 220» 293, 5&1» 298, 260, 261,
Garcottes. ” Rang do cheveux coii|)é8 eonrta et couchés À
plat; tuod*^ léULiuioos dé Tèpoque Louis Xlil ; France» dix-
sepiièmo siècle, 328,
Garde* — Kom danué aux pla(|ues articulèiK forma;it le
]>rolaugcnieut des diverses parties de rarmuro ; hommes
d'armes du quinzième siècle ; Europé» 222»
liatâs'-aisstUe, — Armure du seizième sii'cîe, 261.
tdarde-bi-as, — Armure s|]écÎDlc de l’avaaUbras et du
coude» des^tinik» â droite, au combat â ta lance, et à gnuette,
à tenir Heu d'ècu oxi de targe; Europe, quinzième siècle,
203*
Gai dt-nuqne, - La jKiTtic du casque qui sc prolonge der¬
rière le cou, 217.
Garde (/»a^-)ou Ganîe-cetlhf, 253» 266*
Garde-reins, “ Voir IlAUiriJïiï,
Gardea dti corps. -- Garnie de la peraonue des rois de
France ; moyeu âge» üîeizlèiiie» dix-septième et dix-huitième
siècles, 255, 296, 382, 383. Foi'r Anciiiùta» CUKVAU-LÛc^ciiâ
CùlÎNKQL^INIEItS, Fk'OSSAlSK (COMFAOKl»)*
Garde « en dehors du Louvre ». — Dans In, mtdson mi-
lilalrc de^ rois de France, on comprenait daii:g 3a garde <1 en
dehorij du Tjouvre ï» |«irmi la cavalerie, lejs comiiaguies de
gcndarniea, de cbevau-légers, de mou^uetaire^ et de geu-
lilsliummes A beede corbiii; parmi l'infanterie» les régimeiiU
lie gamleî françaises et de gatd)^ suisses* — Gttrdÿ « du de¬
dans da iewcjp-e »; les qiuitre Cüin))aguies des gardes du corps,
lefi Ceot-Soisses. les gardes de la porte et la compagnie de la
prévôté de l'hôtel. 363.
Gardes française^. — Régiment d'infanterie de la mahion
du roi, créé [*a.r Cliarles IX en J 563 ; France, seizième, dlx-
seirtièmo et (lix-liuitiènie Hïèclei, 342» 389*
Gardes de la niavine*—ComiJOgide» de Jeunes nobles parmi
h>S 4 |uels SC recrutaient les offteiem de la marine royale, êta-
bMcïî en 1670 |>Br Colltcrt î France, 356*
Gardes du pavillon amiral. — luntitultoii ilc tamis XIV ;
les gfirdcs du pavilion amiral et les giinles de la marine for-
niaient la prciiiière clofisc des êtèrrs de Ttattiini;- ils reçurent
dans la suite le jiom d'aspirants. Fnince. dix-septième et dlx-
j Juütlèîue sii-clfs, 386.
Gardes de la porte, — Corps ilç la maiïïon militaire dfts
rois de Fnmi'o, créé eu 1261 |)ftr lJ>iiia IX , 384,
Gardes auiaee^B- ^ Corps d'infanterie créé eu 1573 par
Charles IX, pour remplacer les gardes françaL-iefl qu'on vC’
liait de licencier. L'oi^iuisation de» gnrde»-suiasei eu régi¬
ment date de IG16 : cbaque comiJ^igule était recrutée dans un
canton suisse particulier, 389,
Garravacbea. — Les liantes gnètroïî du iJajBoii friyiçai»;
dix-septième sU'fllOi 331* Foir tîAUArHïs**
GarOtte, — Legonnlin des Galiciens; Es|hftgac, 4 73»
Gatycn» — Pantalon de toile ; è'roates, 498 et 495*
! Gaunacum* — Tunique fèniinlue ; //jciVmuwïj. 55*
Gauaape CyajffâTî/i;). — Sorle ^ franges, Liite
d'uue t'toffe cbaudç et l^g^re, le tjeaupiufti ou aiith
quité, 4&.
Gavardina. — Veste courte ; Italie, moyeu slgCf SS3*
Gavotte. — Danse fraui aise; dîx-3optièiiiie et dlx-hultiiïme
jaiècles, 3C:î,
Geiara- — Burnous d'CW; ilaurts tiiubiens, ISO.
Gellàbya. — Marcliands qtd traver«.‘ut le Sali ara par com-
vanes ; Afriqnct 149,
Gendarmerie. — Nom par lequel on dèaigiiait, au
siècle, la cavalerie d'âllteqiie Charles Vil avait Comiéc
le nom de coinpa^jnln d'o/donriauc^} la ffendarmerit dt Fruncr
subsista jus<]u‘cu 17^8, — Oendàrmtrit df^ ïn t/anUi Compa¬
gnie de la îiialsDu du roi organisée iKtr Henri IV en 16U3 ;
elle fut supprimée tji 1787, — Depuis IT^l^oü uoniuia ijfu-
ilitz-meri* le corps uiilitnirc appelé autrefois mfinÉrc/rouiséf*—
’àSl, 3S£, 3»3.
Genipaba. — Arbre dont lea fruits j>rocurent au Botetrudo
uue teiuture noire pour le corps; Amérique du ibud, 76.
Génoise {costume ik la)* — Bames de lu fl a du quiiixièmc
siècle; Enrope, 247 et 24S,
Genouillères — Pièces d^armiirc protégeant le
genou. Ou volt appajcaflre ies premières geuomllènce ver.^ le
milieu du treizième siècle ; cllei étaient placées sur des
chausses de mailles ou de peau, lesquelles ne prèseri'^aient
)ns suffîsammenl les articulât ions. Europe, moyeu àge^ 202,
204 , 217, 21S, 220, 222*
Gentildonne. — Les dames italiennes des seizième et dix-
septième siècles, 288, 339,
Gewin-a-bragaivd. — Boissoii galloise, 425 et 426,
Ghamma, — Nonx d*uji manteau porte pir les femmes du
Sal]ira algérien; Afrique, 165,
Ghaouâzy* — Dhuscusês publiques; Algérie, 194.
Ghekos. — l^luslcietis juponnîs, liM.
Ghaeuzluk, — Sorte de bavette qui couvre ciuièrcment la
poitrine^ costume fcmltiin; Turquie, 180*
Ghort. ^ Puridcalioii ; iminet^ion totale du uorp^ daas
l’enii; religion iinisulmiane, 145 et 146.
Gigue {fjiçlt}. — Instrument 4 cordes et à arcliet; un de
ceux que préféraient les ménestrels. Avec lu gigue, la mbèbe
et le monocorde, on uvjiit un ile^mui, uii alto et uae bosse.
Europe, moyeu âge, 192.
Gilet. — Tenue créé eu même tcmiM que celui de rtstotif pour
désigner les vestes k mettre sous Ica rediagotea. En 1779, le
gilet fut donné à tonte l’armée française, rartillcric et les
chasseurs exceptés, Ett 1786^ la mode des tiommea g’ëtant
Introduite dons le costume féminin, dames joignirent a
la redingote le gilet, la cravate et le jabot. Vei^s la flii du
djx-huitième siècle (règne de Louis XVI), le gilet était le
plus souvent orné de broderies eu sole de couleur, 38fi, 3S6,
391 332.
Gippon. — Voir Jl'PJîl.
GUanos, — Bohémiens eajingiiols, 477-478*
Giucariri. — Gaine protég«mt les iiariiès sexuelles du Boio-
cudo i; Amérique du 3ud, 76.
Gladiateur. — GuAUJUâ.
Gladius (|tçoç). L^éîiée du eoldût ronicuii, 36-37*
(tlmiiator (rhommc dn — CTladiateur, ooinlxitt-
tant du clrciuc ; autiquité, 38-Sλ Voir Amj-^bati;, Auctu*
UATE, DL'üTÜAlUii, DinxaiKIU':, lw<.ftBUAliîK, FjtÿL AI,, Jlul’iAJ-
MAqli’E, lIllEMlLLOX, IttrriAUEK, S.KnXlTB , THtt.i<'li.
Glaive. — Nom de lu lauee clicvalerc^iue pendant lfe> dou¬
zième et treizième siècles, devenu celui do l'épie ver# hi fin
du quatorzième. — Gl^irtïof, petile latice. — Europe^ moyen
' âge, 262, 217.
Glengarry, — Iknunct écossais qui ne remonte lias uu delà
des premières années du eli^cle, 425 et 436.
GJeuçin. — l'arfum en u-'age dans les Ijïûns rom4dns, 4 5.
t G'ilaumè. — SloToeau de Ixiiia articulé faisant l’olüi^e d*uu
bras, ilans lequel on (iehe la clmtidelle de rcjiHC (résine) ,
maison bretonne, 499-506*
Gnimato. — ürnenient de ï» lèvre; nations indigènes du
Bri^il et du Paraguay ; *\ÈnériqBe du Sud, 76.
Godendart ÿsddindrtî), — Nom de Ui pique du-
maiuLc; sorte de vouge ou de fauebart avec ïJOinte lutémle
peiqieniUculalrc au fer; Europe, moyeu âge, 202,
Gombo. — I/outre qui contient lliydromel ; étiuliicmcnt du
soldat flbyi.^in ; Afrique, 67-68.
Go celle. — roi> Qüs.vn.
Gonfalon ou Gonfanon. — Buuinèrc qundraugiduire à
plusieim queues et assujettie au bout de Ja lance; Europe,
moyen âge, 203, 222.
Gon/aionirr. — a Porte-étendard de la justice e; mugis-
Imlure jiopuluire créée à Florence en 1292 ; Italie^ 365*
Gonfauon. — loir GoxfaIjüs.
Gonga. — Bateau indou en o^age pour la pôeliC au filet,
131.
Gouggrifter, —- Sè^pulturc à galerie; Scandinavie,, àgè de la
pierre, SO.
Gônti^. — Itobe de dessous ; Europe, treizième et quatorzième
siècles, 209,
Gùtiiii'l. — Petit Bayou des pÈiysana du moyen âge, 269^
223.
(lOnni'Ut {ÿùntile, çùtihlU}* — Mantesiii de clievauchéc
garni d'nn capuchon; vêtement dit moyeu âge à dusage des
«leux sexes, 200*
GOpijàntài** — Cimbales en usage dauA l'Inde, 123*
Gorge anglaise. — Nom donné à la collerette à pltuictirs
rangs de la cliemise bouffant sur la imitrine; modes fémi¬
nines, Fronce, fin du règne de Louja XVI, 398, 405*
Gorgerette /ÿ)* — Fîchu d’étoffe fine et transparente
en usage dans le coutume féminin dès le quatorzième siècle.
Gorÿfit'tie do JoK/.r Jilfif Enrcï»^ quiïiïiiînc-aciEièmc siè^de
S4S, 249 et 2&Ü, 251.
Gorgerin iÿ 0 >r<jt'rf^y gotirgetdif got^jrrift)^ — Périt camail de
mailles attaché au Imcinct; il couvrait le cou et atteigiuiit ù
peine les épaules. Euroiie, moyeu âge^ 202, 203,209, 217, 218,
320, 353, 354.
Gorgièro* — faîr GüiUjKiiE'n'K.
Gorriers. — Nom donné, en Frudcc, aux rois de lu mode
vers la fin du quinzième ï^lècle. Voir Uii.kY.^nDj?, Fiint i‘-
qt'ElÊ, FRRi^qUEm, Fn1^■UA^'Tîj*
GorrO. — Bonnet de laine des Catalans. Espagne, 4Î4*
Gosoyens. — Koin générique sous lequel les Tudoua dési¬
gnent üeu.\ qui iipjiAHieiiueut aux ordres nionaatique-B, 137.
Gottentischrock (der)* — « Redingote de la galntc Table > :
te<liligote aux i«ms descendant jusqu'aux pieds et que les
Imysans sllâsiens revêtent surtout lC4 jours où lia «e rendent
â l'églïac. Allemagne, 433.
Gottô. — Gi-uu<ic luirjJt; Jujtou, 103,
GougouL — Le leijg couteau à gaiiie des Auverguiits^ J*
Goujat. — Valet d’aniiée î Fraiurû» stmiiue 27Æ.
Geuadoura ou Koundoura. — ^uutienà comuiiiiiéiuoid
Uûii^;. Turquîei 182,
Gourbi, — L'imbilntiou kabyle; Afrique, 15S'-l*î3t
Gourgandino. — Corsage ullongé, entrNïuvert iiar ikvniit
et lAfê ; daniïw do rô|ionuc LouLs XIV, Frunciq üix-âeplièiue
sk'^clc, 352, 355, 367,
Gourgoury heukka. — l'ipc à ceuu de la faïuüle duXukïr» r
Idde^ 1P9, lll,
GourU< — Ceinture iivec pUtiiiuw ajoui\«s et cl>:el<^ea ;
l»flysftiiis bretoîiü, -162^ “19^. ^^95, 4S7.
Gouttière. — Bande d^éloSfe eiitouriiut le piutv du lit; Ku*
rojîe, inoyeli âge^ 227.
Graab ou PaaJ, — Navire sV iroU mâts avec une rroue eu
IKtlutc ; Inde, 13 U
Graine d'épinard. — Poudre ihsüt les çlievcux ; Franec.
dlx-liuitiéUie siècle, 366,
Grand'garre (raanclics si lu), — Les krgea nmiiehes dos
dames de la flji du quiuxiùiuc sièelc, et 25U, £51+
Grand'mère fooilTure â la)- —' Modes féininbiès du règne
tic Louis XVI ; Fmiice, db(-limtièuio siècle, 36D.
Grappe de hlllettCS, — Itanga de billottos de fer ou
pointe de diamant, placés eu arrière do lu rondcllo d’aclor
pour em[>&clier le Ijoia de la lance de glisser sur le /tmerr- nu
aïomcnt du choc; liommcs d'ATiuca du iiuiiuifème siècle,
217+
Grecque (oostumo li la). — ïïûdcs féminines du règne de
Louis XII ; France, quluzième-Eciîiènie siècle, 247 et 24^,
G règnes. — ÎIüut*Llc-cljang?ça lnounantfi dcÿtoiidfmt jii^prài
nii cuisse; Luropo, seisticinc et dix^septiènie siècles, 274, 280,
311, 34U. TiiofÿsiJïs*
Grenadiers. “ Noni iluiiuè eu 1667 aux nncieiis Efi/rntfi
fterif u^cini, |>ciidant les sièges, jetaient des grenades h mains.
1 .CS grenadiers conservèrent cette spécialité jusfiu’eu 1678,
année où ils reçurent des fuslis+ Toujours disHéiuiInés dans
k« régiincmts, oe n’est qu'en 1745 qnUls fonnèrent nu cûrjjs
sjiécial uuqtEel on donna le nom de tSrmtxdirrs puis
celui de / Winc^. A dater de 17&1, chaque batnlB
Itm d'infanterie eut sa comp;ignie de grenadiers ; peiulant Té-
pCKiue impérinle, la garde en rénuit plusieurs régiments qui
servaient de rébervc+ — Grtuadicr'^ it fh^tûî! troupe d’èllte at-
tt^cliée è hi maison militaire du roi; créée par I^uLs XlV" en
1678, elle fut supprimée en 1775, Il y eut des greundkrâ h
cheval daniï la garde des consuL, ainsi que dans In garde
impériale de Napoléon — Fniuoe, dix-septième, dî.vdiuh
tième etdix-neuvlëmc siècles, 3i3, 384, 385, ItKi.
6 'rrMiîf<f— La giljcçîèrfl rvluplfc de grenade^ [jortèc
(Kir les grcnadkrâ du dlx-geptlème siècle, 343+
Grèves. — PkîCtîS d'armes destinées à la défont ilcs Jtuïdjc?+
Europe, moyen âge ctsemème siècle, 202, 217, £13, Siui, 222,
253, 25t, 260.
Grinoliou+ — Coffre pour seiTcr lea gi'alfliî; mobilier rui-
tique de la Bretagne, 492-5Ü0.
Griots. — BoulTons ufricaiii.-^, 72.
Grivoises. — Nom donné aux râpe» ei uWc du dix-septième j
alècle^ en raison des sujets habltuelleincnt traités dans leur
dèeoralion; France, 3564
Guardc pUs. — Le gikt desi Buléurioltibi; Esinignu, I6i,
GuecLeklis. — Ferameÿ aittcdEêes au service panieulier du
hUltan; Tnnjuic, 172-173.
Guëguesques mi Grèguesques (culottes). — Chausses à
l'tE-'yige des daines du «elstième siècle; Euroiic,
Guènes. — Fotr lijc.tDLOSri.
Guenille à la ChoiaeuL — roir Éj''ACX.nn't:.
Guenina. — Li tasîfc doift se scrt'eiit Ice AiraUts iiuur traire
leurs vaclics ; Afrique, Ï55,
Guêpes. — f^piiigîcs & tète de diamant de fa cvilTurc ù ki
dames tlu règne de LûEiis XIV ; Fniïicc, dls-scp-
tième siècle, 36J ■
Guerdanlik, — Collier orienta], llO, 17C, 178, ÎSb, 183+
Guéridon (panier â). — Ffffr Faxikle,
Guesaaa, — Le plot de bois des Arabes; Afrique, lô5,
Guêtre, — Habillement de la jambe couvrant en meme teinjw
le dessus du soulier; la guêtre se lernie orilinaircmeiit avec
des t>outons d’ctolïe ou de métal. Europe, costuinc civil et
ndli taire, dix-liuitièiue et dî.'î-iicuvième sièelca, 385, lUU,
-i6L 466, 487,461, 493, 495.
Guetta. — Fatîds de bois; Ja|M>n, lül, Ibï, 105.
Gucuchluk. — Corsage cuUiiut ; Turquie, 462,
Gueuse {betjrjars faw)* — DentellegtoasièiX’ doï-ehiéme eli-ele,
2/6 et 277, 34P,
Guhzla. — In^triiiucnt û archet d’uriginc arsEbo, 180 et ici.
Guidon. ” relit éteiidatU devenu, vers le milteudii; qthtH
zième siècle, l’enseignC de la gendarmerie et plus tard celle
des dragons; un ûItLcier le portait, et, jKir e.xteJision, était
aust^i appelé tjuidojt; Fntnce. 2t>l, 202.
Guige {fftikhe)* — L'i courroie du Ixuîclier qui Kcrt it le sus-
IMsndre au wu de l’iioaume d’ArnieîE. Antiquité et temps mo-
dtrries, 15, 25-28, 36-37, 56-67, 111, 201. 2U2, Sl7,£5L
Guimbarde tmlsit k laj. — Toilette féminine; règne de
lyOïili Xlll; France, dLx-ii^ptième siècle, 328.
GuimpË. — ISortc de voile en toile ou en niousêcline, en
usage chea tes daines des treizième et fpiatoriièiuc siècles ;
on le ooïiservii pins tard dans la toilette des religieuses,
ilea Veuves ou dea dames qui menaient une vie reïirêe, 117,
26$, 243, 25Î, 333, 333, 334, 335,
Guinée. — Toile de coton bleue dont sont faits les vete-
meiiis au Sénégal ; Afrique, 67-68, 73.
Guipure. — Dentelle de lil; Europe, aeixième siècle, 276
et 277.
Guisarmei (ÿisetuu}. — Amie d'haat çoiu]}0«5ce d'un tran¬
chant long, recourbé, et d'une ])oirito droite, d'estoc. Eu-
roiie, moyen,âge, 2ü2. 21$.
érWljtfTJ'FMkr* — l oiV CüfsTît.i.îKfi.
Guitare (jriuVr/ — Instrument à cordca pincéea,
dérivé de Lk cifAar-' et de la Foîf, et particuHèreiiieüt employé
pour RccûmîHignerbi voix; Europe, moyen âge, IS2*
Guïxiai, — Ijs manteau de fxjila de chèvre du ÿf/tnh (luoiitu-
gnanl) hougruia, 458 et ■15'[1'+
Gwilé. — Lit rustique do la Bretagne. — Girili cfo', lit clos
dit fi c'est-à-Uire fenuè jjar des ijortcs ou panueau.x
gliaeniit Tua sur l'autre^ — aiHié^u-ittuy; Ht à coloiunsi,
400-509.
‘^n(i —
Qymnoîiophistes^ — « l'inlygoijbtw uhïî »| iiüiu duïiiit jnir
1 « Hudcziâ Grcca à uiw jscctc de i)hîlü,^oir]ie!j indeus^ H 7 -
118.
Gynécée (yiwconifù, YV'/atKoynuo. — r^rtic delà luûii^uii
grecque réservée aux fezemes» 27-28,
Gypsati. — Individus aux picel* aifiiïiués de croie, proeidé
employé jwr les anciens pour sigiiftler dans les mutchés les
esclaves qui étaient à vendre. 47.
H
Habit. —^ Vêtement de dessus, d^iiiord, en usage dans le cos~
tume militaire de Tépoqiic de Louis XIV ; ils'introdnît dazi»
k costume civil ver-f 1070. Le justaucorps ouliabUi, lo vesic
ou gilet, ainsi que la culotte, forment les Ixises du costume
moderne.
Habits militaires : A/ibi^s It^u rot* f/rii
f/rit rOUÿf^, b/tbiV dit à /u
Habits clV'ils : b/fàit d //atn t/cutif-OfUié^ ou à j^anirr,, co/u-
/M Aaftil Êïf/ré, 3lî, 343, 3Æk 354, 3Cü^ 562. 367,
368, 369, 372, 373, 383, 38-1, 385. 3«0, 387, 391-392, 404,
4lp« Tfl//' Fit AC, Keiîikuote, ScitTxurr,
Hacha. — Instrument tranclifiiit à large fer et à maiiche.
— //rfc/rf fr^rwcj, /lafAr de (guerre ^ Haclie ü iiu 5euî tran-
t liant. avec martean ti Topposite, 2, 12, 14, 25-26, 48-19*811,
81, 112. 187. £01. 2W2. CeLTj Fft.tXCliSqDB, ^AltTEAL’
n'AUWKS.
7/ffcAtf Panix-Rougeiî, 80.
//(rM€- de — Haebo d’iirmcs muTiic d^ine |>ôinte
élevée qui lui donnait Taspect d^uuc hallclmnlei Francis
ipunziême siècle, 220.
y/ocAs f/itttoüe:* Anne à tranelioiit convexe, avec oiii
sans pointe un talon, bnportée en Franco au commencement
du qiuitorAîémc siècle îwr les mercenairei, cavaliers et fan^
iLLSâLiiis éaiandj)é« lîOiis le nom de jirÿfnfa. 202.
//atAcjt do jacri^crj ; antiquité. Toir AtîEitEs, DoLtnitA*
SfkSA, ShX tlHKK.
//or/tof de ArrcAi^j-mrn^f affjr; 48'!!}, 50, 56'*&7.
Koir llKK.MlN‘hTn’K.
y/iricAtf (ordre de hf}. — Ordre espagnol particulféreiuent
institué pour les feniuieâ vers le trekiéme sk-cle. 364.
Hackerry. — Petite voiture trtiinëc parties bci.‘ufs; Inde,
131.
Hacqudbute. — ïîcm donné i une pièce d'artillerie du sel-
ïiéme siècle; France, 257*
Hadida. — Pâte dont sc servent les Kabyley iiour noircir
les cljcveux; Afrique, 155,
Mâd)ar-ed-dam. « Pierre du sang n; cornaline ou aar-
doine réputée, cliea les Araltes, comme excellente contre
les flux de sang et les liéiuorragies; Afrique, 162,
Hadjieh, —- Le serpent figure dans les ooîfrures de l'Égypte
antique, 3.
Hagulne, — Pièce de l'armure préservant les reins; France,
seizième siècle, 256.
Hahara-bachi. ~ Locteur juif c-S'SCieuœs religieuses ; Tur¬
quie, 178. 464.
Haïk* — Grand v^êtement de laine, ou pièce de mousseline-
d<int les Arabes s'enveloppent la tète et le con>s ; Afrique,
157. 168, 159. ICO et 161* Voir Bukxolh.
Halhal. — Bracelet uricnUl* 14V.
Hallebarde. - Anne d’hast întroflnite ea Fiiuice iwir les
.Suisses et les AI1emaa<U au csniuueneemcut du qnin-
zièmei siècle; la Itaîlelwrdc ne parult toutefois avoir été
adoptée d'une nianièrc régulière, pour les troupes û pied,
que BOUS Louis XI. Par la forme de son fer, fo^'omié d’un
côté eu liaclie et de l'autre en dard, cette anue frappait à lu
fuis d'estoc et de taille , 2Ü2, 218, ÎIÛ, £65, Ï56, 257, 260-
Voir ConakguE, Esi-oston, Faussaiid, Guisahmk, rBUTL'l-
SANf:, RONXXfMi. VOUÜK.
Hall6cret. — Lè'ger corselet couvert de hunes en fer battu ;
France, quinziètae siècle. 222,
Hallriatnlngar* — <1 rondes »culptnres en creux faites dans
le roc. Age dç bronze; fkaiiDdiuavle. 50.
Haltla. — £tife ou bonnet lapon en forme dç vase, 411*
Hammal* — Portefaix turc, 175.
Hanap (AfKnp)* — Vase li boira souvent d'nuc caïuicité
n&st'Z vaste iJcniieHre à ijln^ieurs pertsonuci rtc iwire â
la même rasade, Europe, moyen âge, sdïième et dix^sep-
lièïne sièsiîle^. 308. 323.
Han chaol* — Cbemi^etto qui bc itoalonncsur Iccètc; dames
clnnolses, 87. 89 et 90*
Hanepier. — L'ouvrc-cbef de fer; France, commencement du
quinzième siècle. 217.
Hanum, Hanoum. — Nom de la dame* chez les Tiurs.
171, 17S,
Haol. — Robe de dessous ; Cliînc. 85, 86, 89 et 90. Tefr Ma-
COt'AL.
Harbi- — Lc^ baguettes de pistolet que le F^ülbek met à
même dams sa ceinture uu jf/aA/fJ;Turquie. 177.
Harem» — L'apizartemeiit des femmes; Orient, 171, 172-
173.
Harnais- — Pendant k cours du moyeu âge, mi désignait
jiar ce mot nou seulement rbabilEemeiib du clicvrd, imiis
rèquîpemeiit rte l'Iiotumc de guerre, et luciuc k luobiücr
transportable dans les camps.
//ff/wiit Ihne^ — Celui do fer ou d'aeicr |>oli; on le pré¬
férait pour comliattre, 206. 217,
//nrmr. — L'armure des jambes* 218,
Harpe (de Ætpîîïj)- — Instrument A cordes dont la forme lui-
tique présentait un dos recourbé comme une faucille. La
barpe anglaise (citbftrff awÿfko) du neuvième siècle diffère
A peine de la liarpe inotleruc. L'usage en fut très giiind uu
moyen âge ; mais au seizième siède. elle tomlia en décii-
dencc. Oh lui préféra le luth, 0, £2, 43, 192. Foir Busi,
ËAMUUl'A, TnlüOSE,
I/ffrpetM — Le joueur de harfic âcossabj, 425 et 428.
//frrjfc. — L'épée â crochet dca andens Grcea, 15,
Harzkappe. — « Chaptt du Harz &. manteau A manelics
pendante»; Allemagne, ÈCiziènae siècle, 276 et 271,
Hasta (i'f/yjî). — Duioe du légionnaire roroaie.
//n.ftft/i. — Ëoldata romain» armés de la lance* la pre¬
mière de» lioLs claases de l'ancienne légion romaiiie, 34.
36-37. Voir Pilum.
fjiidi (firmes d'). — Nom donné à toute arme compcfesée
d'un fer trancluint ou aigu et eiiunancliée flu h.nit d’un Mton
plus ou molli» îongf eoiume la /liyve, la kfio?, ïc Jaieto/* le
^^aiidrrrtF, la ÿulJiT/ojic, la Af//fe hrr(lr. etc,
Hftuport- — Tunique de uuiill»» à capuchon et a maiiclitïR.
— Û/frud Aauécrf, Affwèe/V è/ojiif; Tannura complète de
tiuàlleâ quu k-^ gIiüVuIiuïIï iLvaieiit k LiA>ll île |içi'l 43 r;
Kuro|)c> doii;ick*iuCr irui/iùiiic él (|iuitor7.ièiuc eiùelca, Sul,
yü2, 2i}^, S(J&, a lu,
//uiibertj^^n. — Légère cette de uiAiües piLr^dcsi^iii} laquelle
üu revêtait iTarroift ïft ciiirai<aç ; lütiraiMs, riuacorïiême et quiji-
ïiéuic sièclcit, 2U2, 217, 21 U, 220, 222.
Hau&sartn — Nem (leiiüû A Tépée de la fiu du deiueiêiue siè¬
cle^ FraDcc, moyen âige, 203«
Hausse-col. — Le bau&se-col fut priuiïtiveulent un collet de
fer reBiîJla^-ant le goi^geriiK An Uix-septiême elêele, c« nVo¬
tait ptu^ qu'une jHïtite p]ai.^uc de fqr |îûjq de cuivre doré on
d'argent, scrvnnt d’iiisigiie aux ofkcierij d’inraiitcrle^ ainsi
que l’éiJèe et responton. Le haii«se-cot a'ciît loiigtemp^^ con¬
servé dans les armées iDodcrncâ ; les offlcierg le portaient
lorsqu'ils étalent de service ou en grande tenue ; FrancéT
27&, soi, S42^ Sgi, ^B5.
— Hausse-cols eu nacre, eu plumes, en lirouïc ; imllgên^ de
l'0<?éauie et de ^Afrique, 60-61, 67-68, 72.
Haut de-chauaseB^ — Voir CïiAi;i*SKa,
Hautbois. — Instrument h vent et à anche; au moyen âge.
le hautbois se uoiumoit dùii^ain^ ; la dimi-thnivint Otait â
Toc la Ve au-dessus; Kurope, moyen âge, 163.
Hauze. — Siège avitc dal^ soutenu par des eoionneitès; trône
portatif des souvemfus mogob; Inde, 115,
Heaume {htime,eîmt‘, Matwtff, — Le lièauuie était
le casque noble par cxqclleuoe, réservé aux chevaliers seuU*
Il était eu fer mJucc et liattq, do fonue ovoide on conique,
et enveloppait ]s. tête entière; la tiafÈve ou donnait
du jour et do Tair liotir Iq rcs^piration. Le heaume devint
un castiue de parade que les nobles ré-servaîeiit pour le?
Jours de revues et de tournois, taudis que leur coififlire Ini-
bituelle fut la cei'ïrïièrt on le {»fdneL — ffwume e» /efow
de /jof, à tfte de cro/wdid; Euroj»e, moyen nge, 201, 2u2,
201, 2U4, 217, 216.
Hegabs. — Amulettes renfcriuèea dciiis dtis étuis; Égyjde
itiotlcme, 465*
Heiduquea, — Donjcdliqin's ctjstumti's à ti hüügnoise; Eu-
roi», (lix-septicme et dix-huitkme siècles, 360*
HéliOBtârèft (T^).tO(JT£pT^ 5 }. ^ Chapeau de paille de jonc lic^
jiaysaus de la Tljessaüc; anllquité, 24*
Hombra. — lustrumcut de mimique do la UuJioe; EâfMignc,
i7fl.
Hèmldlploïdion, Voir Asahole*
Henné. — ArbrLaseau dont les feuilles desséchées et réduites
forment une poussière de couleur uTaugée; en Orient, les
reinmes de toutes les elLisscfi, chrélienues cumiiic inuiialmu-
itcs, s’eu servent pour sc leindrc leâ ougles et la p^iuiuc de
la uifidîi, 3, 4, I5g, I7r’i*
Hennin. — liante coilFurc, soit en pointe, soit à doubles
cornes, recouverte de draj). de velours, de satiü, et siiruioii-
tée d’uii voile de mousseline légère ; modes féuilniuefl ; Europe,
moyeu ûgc, de 1365 à I 470 ; 2U7 et 208, SU*
Héraut d’armes. — Officier et coLuinéuËal du roi, duns
rancleune monarchie fram^niPe. Au moyeu âge, les ln-rauts
étaient généalogistes jnrts et Justiciers en matière héraldi¬
que ; ou les employait ilaas des missions diidoïuatLqn«;, â
la guerre et dans les tournois, 218, 223.
Herculéenne tlégiun). — Koim^îu^, 36.
Hérisson. —Coiffure eu cheveni ; Ar'rîMifu hrtifSQU
ci Ci'Oiititf, Daines de rciHMpic Louly XVl; Üu dn dix-hui¬
tième siècle, 860, 601-362,
Herminetle. — Jinche de cultivateur, de cliarisjnticr, de
menuisier, etc., 56-57*
Hermæ (*Ej^p.aï)* — ^fêrcttiTs ou Hennés; espèces ijortlcn-
lîèrcs de statues dons lesquelles on ne sculptait que hi tête
et quelquefois le buste; le resta formait un poteau lui é
deux ou quatre faoca.; antiquité, 33.
Héron (chapc£iu du). Dàmes du régne de LoliLs XVI
France, 366,
Hetman ou Attaman. — flief des Coï^tiues; litre erc*è, en
1576, par Êt Le nue Batory, roL de Fologiie; 438 cl 436 ^ 452 .
Hetta,B. — Deseendaitls des anciens chrétiens établis au Ju-
;kiii ; clause liors Caste, 36.
HensëSi — Botter de fat igné, i-troitemeut ajustées et à hautes
tiges; Europe^ moyeu âge, 211, 222. l'oiV Housi^aux*
Hien-thioun-paé* —Fonmit du défuut; funérailles ; Chinu
y2-à3.
Himation [l|;J;diTtov)' Munteau de la famille du pepht; da¬
mes greoincaj 24,
Hippeus (Îrriîeûc). — L’avalicr* — /iijipocomLn; cEtsejne au
elmlcr garni d'uue criulère de chevah — tlipjtçnrii; cosiiue
dont le chuter était orné d'mie queue de cheval ; ttréce
antique, 25-20,
Hirviz* — Lu eheiuise des paysannes bretonnes; France
4iH.
Hoàng-heon. — Nom de l’iiupérEtricc, eu Chine, 85.
Hgdja. — Metubm du corps des ulémas livré à l'cusieigiic-
nicnt; Tuiniulc, 462, 404*
Hggbon* - Lliabitaut des tumuiif 63.
Homophore. — Le tHtîUmti du clergi gTVCt 181,183*
Hongroline. Cosaque féiiiiijlii.c ; Fniiice» pïciuiètc |jurtie
du dix-scjjtiêine siècle, 322, 337* 328* 337,
— Vêtement militaire de ht llii du règne de Louis XHI
342*
Honiton. — Dentelle portugaise, iKjitatioii de guipure et de
UhautLhy ; Fortugal, 483.
. Hoofdnaald* — riaqnc ciselée; i>aruïe du front des dames
liollandaïscs, 416 et 420, 421 et 422, 423*
Hoof-dyzer, — Bandeau plat, en liiétahqiic Ica poisaoiunê-
rca de Scbcveniugeii posent droit sur leur tête; Hollande
123*t
Hoop petUcOüt. — Jnpmi à cerceaux; le eoinmenccmeut
des iiatiiers; jVugleterrc, dix-lndtième siècle, 367.
Hoplite, — Le fantassin lounlement aruié\ ches lés ancicmi
(irccs, 25-26.
Hoplomaque {h^j^fàtaficus. — Le gladiateur
qui oombaltalt armé de pied en eap; antiquité, 36-37.
Hoquéton, Auqiioton. — rourpointremljourpé; plus tard,
le nom de hor|ucton fut cionnè à une espèce de casaque
vetement militaire; France, moyen âge, sciiièinc et dix-
s^ptiêmc siècles, 202, 218, 220, 238, 254, 255, 250,
Hormbt* — Couronne de luoriée; Saxe-Alteiibourg* 482.
HormoB. — Mot dont se sert Homère |iour désigner le^
coitiera en général* 25-26, Ibir Duiiaia* HYTOujiiiAtA.
IlvinmKniïiKs* Isi^UMi.v, MAj&eHAUïrÈirEB, FEitlUKU.'^iA
FKiiiTnACitiLiA*
Horrcum. — ÎX'peurhiuci: du la euixiui: lïà l’crii, gtu'dalt
proTlsioiiii U'Uivcr; uiaiiïOU roiuaiiic, 53,
Hoschen. ^ Le puctornl du ffraud-prùtrc lîca lenwL'litus,. 13.
Hospitia. — Chacnbrc de la uiaûson roiuâiiiç réservée aux
{l-trougcrs de pastuige, 33,
Hoste sarken. — Elousc, clici»j?;c d'autouiuc; véteiimiit
dcià moii^oiiucuaeti saédoiâcsj 4l£,
Hottoz, ou Hotoa. — Eiisseuiblc de la uoiffuru ûm fouîmes
kurdcii et dtai juivee de Brousse j Turquie^ l"û^ 177, ITS;, ISO,
Houkka. Hokka. — ri|Mî d eau eouswtaul. eu tui vaiïc
ayant la fonuËd'mic cloclie; sur cotte clueliei deux tiiynux,
cx^tiii du founicau et celui pour nspirerj sont adaptés Tuii ù
üL>té de Tautre; üiiuiit, ItiiÛ, 14,4.
Houma. — Orueiiieiit du J'orcillc clicj les Eotccudûs ] Auiè-
tique diisudi 'fi.
Houppe. — DétuLl de la coiffure des Macouuaiscs^ des Bres¬
sanes ; FranceI ^S7. — Voir Ica «trnuca houj/pèrjy dot-sep-
tlémc Biêele; bassiu du Rtiin, 33Â ut 339.
Houppelande, ^ Surtout doublé de fourrure; vêleniuDl de
vlUe, de cbevauelicc et de cérémonie. Ce vètcîueiit, tjui ap-
iKirut en France vers 13&U, resta triÆ usitii jusriu'à la
lin du régne de Cbarics VI ; luroi>e, moyeu Age> 212^
215.
Hour ou Hourd. — Punie de la selle destinée a protéger
le ventre et Ica cuisses du touriioycur; Eu^oiK^J moyeu
âge, 21^.
Hour3.“ T^tiafauds dlsposé-s en griidlns; teuriiûLs, 221.
Houra de mlranda. — Mantufiu iwrtugaLs, 4fi2.
Houseaux. Housols. Houziatilx, Estivaux. ^ Bottes
ijU'on portait ^ cbeval aussi bleu qifà pied, et gui ébiicnt
communes h toutes les classe^ aux nobles comme aux vi¬
lains. Au quliiKiémc sU'Clc, les Imuscaux sont itarfois ixinés
p«iT les eoustilUers et les archers ; Europe^ moyen ftge. 2ü0,
217, 222.
Housse. — Suirtout en fomiti do daluialigue : vêtement eu
usage chez les boiumus de l'ciKiquc de Cliarlos V ; Frauce,
moyen ige, 211, 212.
— Habillement dY'toGfc du cbcvul de guerre et de tournois,
204, 221, 222.
Hu.— FüirHi'is.
Huche {ftmeaitf hueheau, hueftet, kaci'îiÿs). — Meuble en
forme de coffre, monté sur quatre pieds, avec dessus formant
couvercle, — Ifttchier^ huchtr; Fouvrier du moyen âge qui
faisait les huches, les portes, les Icnctrcs, les annoircs, Ica
lianes. Les mots éùêntsli et ont remplscé, â datir
du seizième siècle, rappellution de huthifr: Ëurotie, moyen
âge, 230, 205.
Hucque. — Fctr H ut ;l e,
Hueapedea. — Fcîr Casas ke i ui-illois,
Huiken. — La cape des Néerlandaises et des Bralmii^'un-
nés; Europe, seizièine et cUx-scptiême Élècies, 558 et 332,
487.
Huis. “ Vieux mot fran^'ais qui siguifle a porte »,
Ifuis Tc/fr, — Portières eu tapisseries ; Fituice, di.x-
septième siècle, 322.
//u. — I.ÛI porto pleine de tu muisOli rustique, eu Brctagnr.
JJu {contre -— Dolui-pOltc.
I/iMÎ(iU4\ — Les [iorlCH ou piuineuux du 111,493*500.
Huque {AM^uf}, — Vêtement militaire ; cotte d'artncd
flottante.-^ y/wj/üc drè/tyinrrd'fne ; corselet d'^étoffcremtxïurréc ;
Korope, moyen àgc^ 217, 253. l^efr Jol'UKADE, Man“ 1 'EI.ise,
PAi.E‘mT, Ta UA le II.
Humiliés (ordre des). — Fondé è ïtilaii, eu 1154 ; 552.
Hussards, — L'orpa de cavalerie d’origine bongroiae. Ou voit
Us iLUtjsardy (jour la première foia en Fmucc vers 1G37 ;
ils sont coiiii^tituè^ eu règiiueuti à dater île 1632.
IJtitxanh tir Ii<trhv»if. — Régiment levé en Turquicj eu
17ie; 383.
//uijmdt tic Rtifi-ÿ. — Itégiment sous les ordres d'ün ofll-
cicr hongroiti, IL de Ratzky, 1737; 385.
ti*- lu librrlé, de f« J/e/f. — Râgiuicütd crévis
en 1732 ; JOU,
— Amiuc j^Hplono-ütbuaiiieuue ; dLxrseptiçüie et
di.X'liiutième skclcs, 454,
IJitmn* — Ariuéc autriclikiuie, 38“.
Hussiaux. — roi;- lluw,
Hyàdor. — Long voile ]jorté par les dames persaiu^, 137,
^ 130.
Kyao-i. — Habits de grand deuR; Cliuic, 02-93.
Hydre (Aydria, OSpt*). - Vc^ anüque en forme d’aiguicîc
et ayant le mênse usage, 23.
Hydrehaphès, Psychrobaphès. — Étoffe teiutèà froid;
antiquité, 25-2fi.
Hypocaustum (vîtâxaviïtov). — Plwc des Ixilns romaiu«.
dont la tcmpérûturu était élevée à Taide d'un lourueau et
de tuyaux placés, dans les dessous, 45, 185.
Hypadèma, — Kom générique que Ica Grecs domiaieiit nax
tîb aiissurea ; antiquité, 4 7 *
Hypoderaia. Hypodarldes. — Farure féndniiiu î col¬
liers dcsceiulunt Jusqu’au bas de la poitrine; Grèce, 25-2^^.
Hyponogation. — Petit ma en losange, tombiiit .âlabuu-
U-ur du genou ; costume du clergé grec, 181, 182,
Hypospeiron Speiron^ — Càevcux noués, coiffiiiric de ca¬
ractère baebique ; dames grecques de l'autiiiulté, 21.
Hyrka. — Veate turque, 175, 177, 178, 18U.
Hyaginus. — Couleur ponceau obtenne au moyen de la
|io«rnrc de Tyr et ducocctf^.: autlquitè'^, 25*2fi.
I.
r
Ibérique (épée dite). — I yi;- Li Jifc;,
Ibesimen. — 3>ouble broobe; bijoux kabyles; Afrique,
151, 154, 155, 16C et Ifil, 165.
Ichella. — Manteau des Arancaiiiumies ; Amérique du Sud,
'7.
Ichaoun. —Calotte de» femmes kabyltsi; Afrique, 150. IOli
et Ifi], IfiO.
16. — Sorte dcisior donl on fait une coiffu-re; llc^ Sandivicti,
Océanie, fi3'G4.
— Iji grariilc rolMï lieâ Ftlluhiiiieis ; Kgypte» lüU et 161,
Ignispicium^ — Bmuchu ilc Tikrt <k lu lUvination L’hez Ïça
llouiain^,
Ihram. — Mniiieaii de iK-kriiiage ii t’ii-sa^je ilca homaitâ;
Tur<inie, 17y.
Ikona. —^ Itijfige sainte placée daiiîi rintcrieur de h\ m^iLsoii
du îHiytjan latütse, 4i2i
IJbreachta. — Loi écoa^akc qui retuoiite aux preiïiier^ $iè-
cieâ de noire êrcT 425 cl 42 C,
Image (î/maÿf% — Ou doniiiiit ec iioni* [KuuLint le raoyeii
âj?e» à toute représentatioii sculptée ou peinte qui di-coruit
rextéricuir des nioiniuicnts et des habitation» prifées^ Les
images d'apinartcuieixt^ épiaient le plus tiouveut enfermées
dans des sortes de petites anuoircs dont les vantaux étaient
décorés. tio t^eintures et de seulptuies. Duiis les eliambres
à coucher, il y avait toujours une hnag^c de Notrc-Séinuear
ntl de la Vierge, ou du Jjatmn de la maisüu, Lca vantaux
qui lo cach&ieul ne s’ouvraivnt qu’au memeiit de la prière
du uiutin ou du aolr, Oit lors de quelque aoleuuité de fainïlle^
1 ^ f//taÿe à re/etj; Europe, moyen 5g<r, £2ft*
iawÿia t {ymagi^rx), — Les artistes IKdntrëâ Oü SCUtplCUrd
chargés iPeséditer Je* 22ë.
m<^&rum, — Portraits oit hilstea des aiicôlrcs ; in¬
térieur de la maijsQn romaine^ 35.
Jmugintirim. — Porte-étendard de la létri^i] roniaino dont
l’enirGiguc était surmontée d’IiuagOT des empeniirs, 55.
Iman. — Pretxc niusulman, lF2--ir3.
Xmbrex (y.a).u'ïîTTriçi}, — Tuile faltiéie dhiuo forme
demi-cylindrique, par opposilLon Ma irgahi qui était plate ;
antiquité, 477-47S.
Irumlssa (croîs dite). — Vmr U lieux.
Iinmoïatus. — <f. Ssiupoudrê de fnriucii {mohi victime
destinée au sacrifice ; antiquité,
Impeditus. — Le; soldat romain cliiirgé de scs anuM, de
ses pnivisiQiis et de tou bagage jK'rsoiiiiel ; antiquité, ÎJ6*37*
l’Ob' ExrEWTUîi.
Imperator, — Tiire hauoritîque que les soldais ivunains
don U aient par accla mations et sur le champ de buta il le à
leurs generaux vietoiieux, 5G-37.
Impérial.— Nom donné au hahlaquiu placé aii-ile».sus des
biignolres j Europe, fin du dix-huitième sxtelu, 397,
tnipilia, — Chaussure de feutre montant h uii-jainhcà ;
Grico, lï".
Impluvium. — ÎJirge bassin carré s^enfonçnnt dans le
jilüncher de + il recevait les eaux pluviales qui
tDiïi1>aieiit ïHir le ctunjtfuriHm, Maboul romaino, 53.
Impossibles (les) ; IncQncevataies (les). — Noni doinié
aux femmes légèrciiient vêtues de l“êpoque du Directoire;
France, fin du dix-lniiiième sîccle, lOi, 4o3-40î>, f'ob ^Kn-
VKEULRC^iKS,
Incroyables (les). — Chesse de jeunes gens uffecUint une
mise exagérée et un l>arlet dans k-xiucl sc pri-seutaît fK—
quenimcut l’expression r<( c'eat iucoyablc xc; Eiaoce, Direc¬
toire, 404, i'efr MUSCAÏJiNi’.
Indague. — Lo gentil homme qui sortait sans ixjîgnant î
Trance, ifeiziéluc siédn?, 263.
nde (ouvrage d’)* — ÉtoîTe.s, bijoux, meubles de goût yrieii-
loi; Fracce, douaiéme-trtidèuia siècle, 189,
Indautiaa, — Oflleiers de l’anuée zoulou ; .Vfrique, tir-Gîi.
Induku, — l'oii- K Kit lit.
Ingénue (coifrure^i î ), — D.rm?s de réjiotiue de Louis XVI
France, dix-huitième siècle, .'591-392.
Inquiliiii. — Les loi-ataircïS de l.a luaisou romaine;aritîquiu!',
33.
Instita.— Large bande d’êto fie cousue au bas de
dames ronimiies, 4>J.
Insiila. — liaison rotumuc ocçui>ée |wr plus d'une famille ;
autiquité, 33- rai> DiMicri.
ïphicratides. — ïïaiulules: inillLaireâ dont rintiovariou est
attribuée é Iphierato, général ath juicu; Grèce- £5-26.
Isimparllos. — Uocrues dcraruiuo iîotiioiic; Afrique, G7-iJS.
Iskemlé-agha. — Officier ixjrtc-tai'jourtt de la maiaou du
stiJinn ; Turquie, 169.
t&thmia. Collier dont les dames gi'ccques fiai^aicut le liauL
de leur iwitrine, 25-26.
Istigfan — tkunandeile iiarlou ; prière iiiusuluiane, 1 J5ct 116.
llimad-oud-Deulet-^ Frcmîcr ministre du grand inogol ;
lüJe, 113.
Itsch-Aghussys- — Officiera de riiitéiieur du séï'ail ; Tur¬
quie, 169, 172-173.
Jsiba. — La uuiLigii du p.iysau russe, 443.
J.
Jabot. — Douilloii de ehciiiisc que ronvertuine du pouriKiînt
lahsaib |Kintilre sur la jxjitrinc. France, dix-septième et
dix-htiiiième siècles, 340, 369, 391-392.
Jacque, Jaque. —FonriKiitit gombolsê, véEemeut de guerre
adtïpré ixir les archers et les gens des cooimuiies ; France,
moyen âge, 217,218, 220.
Jucgnr/^J&qmffe, — Étroite et courte cumiisole jMjïtée yiar les
homtiiés du quatonîiëiue siècle; le jacquet ou jaf^uette de¬
vient, jyu quinzièiae siècle, un TÎ temeiit de dessus consis-
tiïnt eu une robe courte qu’il élait d'imge de fHirtcr avec
une ceinture. Gosiume civil ; EiiropCj moyeu Age, £06, ÏSl.
246, 247 et 248.
Jaez. — 3fot espaguol qui signifie htfriMÜ, 200.
Jâ.lledar. — T.æ palanquin des rajaliSi et des grands aet-
gncur=:; Iinle, 125, 127.
Jambières. — Plaques de métal couvrant le devant de la
jambe; antiquité, 15, 16;i7, 25 26, 36-37, 4ë-l9, 56^57. Voir
CXÉMIDES, OcllKA.
JfiTjfiWt'rrJ cfd Kabyles, 150.
Jttmffiuii ik Tmüiks: Japrjn, 96-97 ; iVance, trd/.ième et
(|iiaton!ièi:ae siècles, £02.
Jambiites df ptttks. — roiV'GnÊvt.;ri.
Janghir. — Calevou eollaiit à TUiage dta buiniuc^; Intie, 130.
Janissaires. — Cori;a d'infunterie turque formûiit lu garde
des sultans^ îustilué |Mif Orkhau en 1350; 169.
— 2iH
Hlxftars. — Jani&hiirci du la nmb^m luililuiru duH loiâ dç
rolo^fiiu ; dlK-sC'ptièuiu ut di?cdiiiltji.'jDe si>ûcil4»f 4AL
Jatisèuistes. ^ Koni doiiuù, vera 17^55, ans
toilette féminine, France^ ilix^iuitiènne aiécle, 367»
Janténitk (/vè< A fn).— Dames de féiHXitte Lüüls XVI|331-
33^.
Janua (ay),£io; OOpa)» *— Jji porte extérieure d'une mai¬
son particulière cliuz les KomaliïJ, 33. Fofr Cwtitm.
Jardinière. ■— Nom de la seule patte qu'avait une variété
■lu bûîinut à la Fonfam/^; France,, dix-sepliênic sièclu,
regnedu Louis XIV,^ 3E»5»
Jarlt. — Pagne eu forme de ju]h>u ; Malais, C3-St,
Jarretier (lu). — Mot ilu qiiinsiéme siècle iudiqnaut la
|<iiirc de jarretières, 246,
Jarretière (ordre de la), — Uiâigncs ; joaillerie du dfx-
ü ptièuic alècle, 3*J L
Javelot. —' Arme de jet qu'oij, Pinçait soit il cbevul, soit A
iJÎed; antiquité» — petit javelot 2, 25'2<1, 36-37,
4(î-4ÿ^ 5 6-ST, F(w> Hasta, FH-UJI.
“ Javelot du moyen âge. Vidr G la[VKlot.
— Javelot deâ iKuplade» sauvagfti de l’Afrique, de rAinéri-
que et de l’Océimic, Voir Saoaik.
Jayot. —l'ar corruption,,/ditorfèvrerie-joaiUerie du dix-
septicme siècle, 330.
Jeannette (rubans à la), — Daines de rèpoquc lAniisXVIi
France, dix-huitième siècle, 3ftl-3î>2.
— (CJffrix à la), Foij" Cïiolx,
Jeachemek. — CaiKiral janissaire de la garde des rôti de
Pologne; dix-scptièiao et dix-huitième siècles, 4 Al.
Jeux-cl^orgues. — Artillerie française du moyeu Age. Poir
UifiBAür>Equix.
Jinrikieka. — Voir Djil’U[Këjia.
Jockey tchupeau en), — Coilîurc luasouline, Fnmcc, 1735;
391-392»
Jijppe.^ Veston; costume lyrotiuii, 433.
Jota. — Düii^e populaire de l'Aragon ; E-qjagne. 171.
Joujou de Normandie» — Âiis^i appelé crwif, esjièce de
rt oontenaucc tt à la moiie chex les liâmes françaises vers
1791; 393.
Jou-ci, — Muneau de jade; symbole du coïntuautlemunt;
Uhinc, 91,
Joueurs d'espèe, “* Nom donné aux SuS&ses porteurs de la
lourde êpûc à deux mains ; FrancOt Beiîième siècle, 254^ 256,
257.
Joupane — Tunique longue ; Pologne, 419,^ 150,
451,452^453,
Journade» — Surtout, caKiMpic sans ceinture ; vcteuifiit de
chevauchée fort u&ité iJH>bdaDt le quinzième siècle. France,
moyen âge, 216, 217.
Jouté — Gomijiat siilguliet' à la laiipe ; Europe,
moyen âge, 219,
Jouy (toile de). — Étoffes d'indiciiue A la mi?de |jendant
les dcriiLèics années du dix-ltuitièmc siècle; France, 403,
Jovienno (la)» — Nom douué A une des légions rümalîics.
35»
Juges diseurâ. — Le- jugea de tourtioîs; Eiuoi>v, moyen
Age, 221.
Jugeura, — ^souliers de euir épaia, cliaussure des femuiea
de Cervarn, province de Ecme; Italie, dix-ueuvième siècle.
Jupe. “ Costume féminin, la jwrtle de la robe lomlinüt de
la ceinture jusqu'aux pieds, — La ïol>e de dessous ; dans la
première moitié du tlix-septlêime siècle» la jupe était diviat'ü
en for/^ï dç juja* (piclr et en btu de iwpe, çélui-ci
désignant la proprement dite; France, dix-septième et
dix-huitième siècles, 323, 353, 354, 355, 367. Voir CoiTt:,
Ibinis»
Jüjye de mttHîtit, — Ycteiuent de.s hommes d’aiim^ de Fc-
pi>qiie de Charles VU Fi'aiicc, quinzième shjcic ,219.
Jujitl {johff jupTj Jupon, f/ippoti). Vêlement d'homme,
sorte de casaque A luanclies et A 1ni$qiicâ ; France» moyen
Age et seizième siècle, 299, 274.
Japon, — Costiiiuc féminin : courte jüjjc de dessous;
France, ilîx-liuitiênie siècle, 390, 391-392»
Jupon dr cuir. — Eu usagé chez les hommes d’ormes de
la seconde moitié du quatorzième siècle; France, moyen
Agé, 217»
Justaucorps» — Le vètçuicnt qui reuiphi^^a le pourpoint
dans le eostunie des Ikommes ; il devint d’abord Tliabit
mUitairc et n'qntra dans le coutume civil que vers 1670. Au
dix-hutüçmc sièelci le justaucorps preml le nom d’Artd»
Juptiticor/tf àbrt'Tft, — Habit qui ne ïîouvait se porter qiFcii
vertu d’un brevet signé do la main du roi; le |ustaucorii#^ à
brevet date de 1664. —^France,dis-séptième siècle; 342, 343*
344.345, 319,351, 352, 354,359,360, 362» Voir Habjt, Foi il-
roiXT.
Juste. — Nom donné au mnfro très ajLiî^té. Moilcs fémiuineis
de rëpoqne Louis XVI ; France, d[x-hu.ltlèmc Biècîe, 39É.
Juate-ati-corps.— Ca^iquiei des laysaiincs de la Norimui-
(11e; France, 4,99,
Justilio» — Nom du velours de coton employé daiüj les
vêtements des femmes aragonHises; Espagne, 475»
Justin. — Le coipoge des paysannes bretonnes ; France, 491,
497»
K.
Kabak. ^ Citrouille» la gourde du Keîbèk»- Turquie, 177,
Kabkab. — Sociities; !Maurcs ttiuisiens, 159,
Kador, —Chaise; mobilier rustique dé la Bretagne, 492-
500.
Kaftan. — Vèteiacnt desetndant jusqu’aux talons; Munrea
tunisiéit^, 152,
KagOu. — CnrOsse Jalionais, 103,
Kai-Mieii. — Opération qu'on fait subir aux femme» chi¬
noises 3e jour de leur mariage, et qui consiste û raeer le
front jusqu’à une certaine hauteur» 68.
Kaïn.— Cotonnade en usagé ciiéz les Pajious: Ooéajik» 60-61.
Kair'eu. — Fichu des femme» do riLiicicn comté du Nice;
FraiiK^ 487*
Kaiser]ïcher-pauoker. — Tiinlxdiftr impérial ;Âlk'Ltiagné
(ILx-septièuic ot dix-huitième »lèclc^j 36U.
ni
Kakolchnikn — CuiiTurc féuiiiiijiiij ; -HÀi
Kaléan, Kaliouni, Ghàlîan. ^ u l‘;ui; OiknL, liJ3^
I3ü<, lü, 14;.^ H3, 144. Voir ll0i.KK.ur, N.MiiHi’ir.Kii,
Kalia dem Passe, Kalia passe ware, - Variet^j^ kIxü
M- itg ou liDiiiict Suêilc-Morv î-tTî, Ml.
Kallarna, ^ La lîlle non ïiiariéc ; il?.
Kallkistor, — CisUtt fmiùrïiires ; ScHiitiitravieij &i".
Kalpak. — K-tjiécc de c]la|>l:^Aa sans bord.^ et ik furuic
flroile; TtiPiuki ITB^
— DoiiiK't de Inînc ; îlutKarca du gouTcnieuieal de Klter.ion ;
Itiibâle, 44â.
— ïkuiiiet lie foiirirurc: Pologne, 453, 45-1. roîi-
f Kü K lî A TK A , K Et A KO ÜJiK A .
Kama* — Contean ji lûtiie droite et ^ double tmeielifliit ^
Jhdftri on UcrlouliiB ilu mont Liban, ITLL
Kampilan. — Sabre en ii^ge nlaïud les lle^ UOlÈlx:^ ; UcêEinie,
Ë5 et 6G.
Kan. — Meuble eiibiois ijui sert lu îoia de lit, de eaiiapj
et de si^ge,
Kangiar, — Poignard i^nsan seulement jxfrtt par leis nobteo
et les niilîtn.ireS| 141,
Kangra, Itobe d^étoffe piêcieEise; luüe, 124, 12!l.
Kanoun, — CoboîI’î, énoncé des coutumes en nüfigc duos
tu Kabyllc; Afrîiiuo, 152-î53.
Kantharos {caniiiartt.t^ — Uobekt, eou|K7 ; anti¬
quité, 23„
Kan-thoo, ^ Petite table placée sur le Avoj ou caiiai}é, el
sur luqiiclle ou pose le scn'lce é, thé et les pipes ; CliiiiCt 86,
Kao ou Kao-tso. — Jlorœaii.'c de buiuboii, tidkiiiiuiiïi ;
Chine, 91,
Kapula baiaka. — Cbek de trlbvis; Alfours des Cêïibei;
Océanie, 65 et GG>
Kapout. — Matitcau ei. tuaneltca, cap<ite ; Tiirîpik'!, 17?,
ISO*
Kappa, —Manteau ni^è, Eincien costmue dea Carmes, M 7.
Kappe. — llerliiigate tonjljaiit jiiâriu''smx pieds; Hollande,
illx-neuviéiïic siècle, 119 et 42 ib
Kapte, - Vêlement de dessus des I^i^paiL-î ; Suède Xurvége,
411.
K apurais. • ■ Ihvtrc8 Ijoiidhiate^ ; Kamlieua de rite de Cey-
liiu;At!ie, lj2,
Karabcla. — Sabre polonais^ 152.
Kargual. — Petits puvillona j^urmontéa d’une csjjecc de
dômtej màhî on harctii indou, 117-118,
Karkhèslon. — Vaoe ^ btùre; Grèce, 23*
Karmazyn — Vêtement de couleur, privilège
e.xchwil de la iioblcAse pcioiisise ; trciz.it-mc et ituntorziéiuc
^ka:les^ 419,
Karràschs. — Char d'iioiuicur; KuroiK*, quiiusièoiE siècle,
21G.
KarschouDl. ^ L'cimtc é-crit avec des lettres Ayriaiiues ;
idiome de.^ :Maroiiite», 1 S'2 .
Kask-loido. — La place ries cij.fa;it8 daii< l’intérieur de la
lente iHîiüiiiie; Sih-de-X’orvégej 411. VVfrK vrA,
Kata. — Latente liqioimc, IIL
Katebi, — Vctcmciit garni do fourrure î rctsci lU*
Kalkem* —BerceEi.u lapon, lll,
Kaveïè. — Longue piéec de coton tiui, enroulée ^ foruic uii
tiirkin A'olumineux ; Turquie, 177*
Kayak. — Canot du lEcchcur Isolé; E.s<iuiuuiux, 83-84.
Kochice^h. — L'ourge fl-xée fii un manche de bois et qui con¬
tient ilcâ j>etiteâ pierres. Le bruit prtKiint jmr cet instru
ment, lors^ju'mi Tagitc, ^ert â la danse ehes les Cainacaiii:
Atuérique lin Sud, 7G.
KàfiÈ, — Mouclioirs de soie enroulés autour du tiirbun ; Tur¬
quie, l77j 179,
Kekrock- — Cou rges à vidées futiatii le-î fonctions île gobe
3e(a; Potocndoi;, Amérique du Sud, 7Ü.
Kelasset. — Bas; nimiras tunisiens, 159.
Kelek. — Eadaiii .sotitcnu |>ar une couche d’oultos goiidéc-î
du genre de la .so; nu indouc; liEdiyloinc, 131,
Koiriângeh oq Kemâncheh, — lustnitueiit à eorUcd
Perso. 139.
Kamer, — Ceinture de guir; Turciuie, 179.
Kèpènek, ^ pardcic^us de feutre qui ne lais^ |lil^'^ 2 rque ht
tête et te ptels; Xnrquiej 1"G,
Ketâ3 (xïpa^). — Vase à boire en forme do corue; anti-
quiLc, 23. l'of/' lliiVTinv.
Kei m&B. — Lit;lliik avec lequel te fummis (liâmes) turques
se rougi'sâeiit te lévrcji^ 175*
Kerniad. — Joueur de biniou; BretagiieT 499-ôOU.
Korre^. — Traîneau ijour les marchandises; LnjJtnia, 411.
Kerri ou Induku. — Courte nmusue; îiriue de |et et arme
défensive de^ Odrc-^, 73,
Keakès. — rtut employé iKJur la prépaiation du coiiseoussou
clieï! les Arabes; Afrique, 155.
Kbalat. “ Calotan turc, IGU.
Khaïintâcher. — Poigaanl turc, 1G9.
Kharoubàa. — Les familles habyte qui coni|>oacnt un vil¬
lage, tivàifn: Afrique, 152-153.
Kbass-akliorîu., “ Sous-écuyer, itfilcfreiilcr de la mal'iou
du sultan ; Tuniuk.. 169*
Khasa Odaasi. — CotniiagukB du ooris, maison du sultan
Turquie,, 1C9.
Khasseguis* — Les odalisques qui ont donne un eiifEint au
Crîunl Sk-igneur; la mêrc du premier enfant est sultane hi-
voritc, sulfitn. Turquie, 3 72-173,
Khastria ou Radjah Wansë* — Caste royale de rUc de
Ceylan ; Asie, 132.
Kbatims. — Bagues avec pierres; Orient, 170, 463.
Khatkhal. — Anneau dç jambe, bijouterie kabyle; jkfrique
I5i.
Khmzlnédar-aghaâsy. — Tti-aorler du harciïi iniLJérial;
Tunjuie, 172-173,
Khèlat. — Bobe courte et diaplkaiic, vêtement d’boiineur
Inde, 112.
Kheurouz. — Talismans que te [cmtucs du Sahara idgétieii
coniiîrveiit (Jcai bÿUefc :»u^]K^uducd h Icuiîi lajkliers î
Afrique, 165.
Khouttar. — Poignaivl iiidoin, llii, 111, 112, l^^^, 121, 122.
Kibilka. — La tente dea Kaltnuiiks; llussic, 446.
Kilt ou fheile-beag^ — Jui:iù]l ètOaâaJs ; costuiuc mnacuJill,
425 et 4ÏC, 127.
Kiochè. — Angle dti dîvarj deTant lequel Oïl pîaee le
duiis les mnLaoii:i turtiucs, 171.
Kinkab- — IvtolTû broelade d'or et d'argent dont on fait le^
turbaiia riclieaj Imle, U& et 13G.
Kli'lmon, — Robe ouverte, vêtement national des JA^xjraaiâ;
fl5, 105.
Kirka. — Manteau ^manclies; Turquie, 175.
Kitschka, — Capiice de vcloiire ; coilTiire des femmes de Ilia'
3UIII (llusâie), 43$ et 43 D.
Kittel.— Petite jaquette de femme ; Aliemagne, 335.
Kiz. — Nom de la jeune dllc cliez tes Turcs, 171.
Kizlar Agha (ehr/ dn Jltfs) ou Dari-aeadet aghasay
cftf/ de ht muisoti tU /étirifé}. — Titres portt^ iKif le elief
ilcîi éiinuqucâ ; liarcm imjJÔmL Turquie, 100, l"2'l"3i
KjœkkenrDœddings. — Bébrls aUnïenUtre^ laL-îik's en
motioeaiiK iNir des populalious qui ont vcïcu à l'état sauvage;
Kumjjc barimre, 4S-4ïï.
Kladd. — Cmnd capuolmn de femme; Lapons, 4il.
Kl ait. — Mut copte signidunt capitchtm. On l’emploie pour
dtStigner, en Égypte, la coi(Ture nationale furmc'e Erutie liaiidc
d'étofTc terminée |jar deux patte^j retombant sur b jMltruLc ;
J, 2, 3, 1, 36-37,
Klakka, — Houlette en forme de bèclic ; TA|KHia, ilL
Klewang. — Sabre; t-'êlèbes et Snpiatnij üeéîmîc, 65 et 66,
Klismoa. — roiV Cwfiwoîâ.
K napc. — Messager de corporation; flaiidrc, diK'îei>tième
siècle, 323,
Knif. — Cowteaii liiiioii., il 1.
KnivoL — Tyfr COüTEAUt
Kobo. — Manteau en peau des Ba-ssouto^ ; Afrique, 67-68,
Kohl. Kohol, KoheuL —CoU.vre eu usage citez les Urlen-
tiiux depuis la pins haute antiquité ; toilette féiuinipe, 3,71
155, 15S, 175, PCi^r StritilKll.
Kokiou ou BiwA, — Sorte de TiotemeeUo; Ja|On, lü3.
Kokkûuma. — Chefs de villages; Alfours des îles Ckllébe^,
Océanie, 65 et 66, Poir Kapula D.^r,Aft8.
Kokoachnik {ci-ffe de f>ouU). — Ilnatc corOTuré eu jioiiiite;
femmes russes, 438 et 430, Hl.
Kokso af bjork. — Ija cuiller à. soupe dej La}»ou:â, 111.
Kolambi. — Habit à maùches courtes; Malais, OS-Ol.
Kolpak. — Voir K.tLPAK.
Konlederatka. — Bonnet s'élargissant ver^ le Bouiinet, qui
est carré et plat; Pologne, 153*
KotiiouBcb (jtonfuAî). — lia bit de A munehes fen¬
dues; vcUuuent d’originé orientale. Tologue, du quLlizielne
au dii'Sepüéuie biétdt\ 456', 453, 45-1.
Kontu&ik. — Vetement A uiiiiichcâ leuducs du même genre
que le loafottwA; coatume fétuiiilii. Pologno, dîK-litn-
tléiue siècle, 463.
KO'Pou. — KtoCfe d'été; habillement des dannhi ctituoiscs,
«& et OU*
Kor-Kapp. •— Bâtou que tient le conducteur d’un tmlneau;
1.411 tonfl, 4 U.
Ko ton. - >T Cabinet î> jaiJOnaiâ, 06-07 et 98.
Kotsedjlkis. — Meudiaiita hoi^ castes ; Japon, Ofl.
Koufteha. Boulettes de ImcIiU cuites dausdes feuillea de
Vigne; luet'i tjen^an, 13L
Koukis. — Esclaves itolynl-sieiifi : Océanie, 63-64.
Koukri-Kora. ^ Glaive à lame recourbée ; Inde,
liu.
Koulouk. — Ikmiiet, coti^tume nmiabiien; Oc anie, G3-Ü1,
Koumignan. — Bottes h tige eit imu de reunc* iivee la
fourrure en dc^i.iA ; liLéqiuinaux, 83-84.
Kounda, — &abrc droit; Inde, 110+ 111, 112, 122.
KiiutrnvAU.
Koumdoura. — roif GfïOS'DOL'nA.
Kaunets, —Eoudejs d'oreilles; bijouterie kabyle, 154*
Kourbadj. — Cravache en nerf d'éléphant dont font usage
les ÿeUdàits, marchands qui taiver^ent le dt'sert i>ar tKini-
Vil nés ; Afrique, 149.
KoiiskoUl. — Noix de coco ilans laquelle les dervicliL'.d iu-
dous re^'oivent tc« tjfTnLndea; Perse, 141.
Kou^aab. “ Longue clicmiic. vêtement des Yoloffs ; Séné¬
gal, 67-68.
KoutnûU. — ÉtofTc de sole; Timiuic, 179, ISO, Tofr E.e-
TAJtl,
Koutoïiet. — Tunique ;eostumo des prêtres wmêlllcs, 13*
I KoutouaL — Juge civil, cont du gniitld Mogol; Inde, 115.
Kouyoumdjl (esiiaf de), — « CoriiorfttlouJ5 des hijoutîeri » ;
Turquie, 463.
Kozir. — Col droit richeuient orné, attaché nu lipoumi
ancien CO&tume russe, 43 S et 43'9,
KraaL — Cjriîi|M;iueiit+ isirc enclos où sont rcufcrinés le*
bestiaux ; Eachapius, nation cafre ; Afrique, 67-68, 73,
Krakouska.— Bomieltturré et plat; Pologne, 453, 458cLl5l3,
K ra tan ion, — Coupe de forme évasée; antiquité^ 23*
Krèdeiïinon. — Poi> CmfeDRMXtiN.
Kris. — Poignard maluis; Océanie, 63-64, 66 et 66, 134.
Krosse ou Kaross. — Slanteau de jieau peinte ; Hotientots,
73.
Krullenne'bellôkena. — Pendauia attachés aux /etJi en
it|>imle, iKirure féminine; irolbuide, 421 et 422, 423.
Ksours. — Villages au milieu des oasis du Saham;
Afrique, 165.
Kuesma. — Coiffure demarirc ; înagnulshoijgin>is,45Bet 15y*
Kviffia* — Cüiflijje fémiiiiuc de PAIg'-rie, 16b et 161.
Kulah. — Voir CoubA.
i KuJOS-tachraiik. — æ Armoire artistique ï>, cabinet; Allc-
I ïLuigne, seizième et dix^scpliétno siêvle*! 288. 318,
KarasB. — Jncuiett^^îe piqué IjîaucclfeafetniïiïHî deh BohCjiso;
Autriclu?, 433.
Kurta, — MftTikiiii d'inve^iiture i lude, 11 î.
Kut-Krosa. — Tublier de putieur des femmes fiottcutote.^ ;
Afrique^ 73.
Kutschuk oda agiiassy. — Surveillant rlc h\ «, petite
eliATubre y des femmes; Ijnrrni impt-rial» Turquie, 1T2-173,
KwaUp — Manriftrin chijjoijSfc R5*
Kyathùa. — Ctnipi* de fûTine éva*éa; antiquité, 2,1.
Kylir. — (îflhelct 11 niisïs ; Ori'OeT 2.1.
Kyranayka. — tWr CîiricAysr.
Kyrba. — L'tuitrc avec laquelle le wH<j turc fait le tians^
|jurt de TeaUf LT£.
Kyi'basie* — Tiare droite ciitann'c d'oTi dindi-me; Assyrie^
i l et ]i\
Kyssa kurk, — Veste h fouTiiire éiurlssC; Tartnres cri-
niéeii'î, îliisAie„ 'HH,
L
Labarum. — Kiendaril hnik'rial Instiluc'^ iKir Coii^tAidiii :
ItomùinR, 3C.
Lacerno (/lic/'jiîa). — Manteau ample qui se mettnit jkit-
dessiia la tege; on ra^nifuit- sur réjMiule eu j^iir la |K>itrine;
Homains, 40^ 24<1.
Lac^t-BourBault. — Le lacet du corset cutr'ouvert nonrmic-
t/oHtvftMtUne; l‘’runüc dix-sdptièrae siècle, époque Louis XL\%
352,
Laciâ, — Deiitellcs du seizième siècle; Euroiw, 276 et 277.
LaconiCUm, — L’oxtrennU'-^ demi-circulaire du cttlth/ium;
luiins romains, 40.
Laconiques. —Chaiis^iinj îles Stmrtlatc^ qui, de meme que
leur tunique, était rouge; Grèce, 47.
Lakkek. — Traîneau couvert, hermétiqiiejnent fermé ; La¬
pons, 411,
laigtiadier (emvate h la), — I.a cravate écrouéliqne îles
iiicroïabU»; France, époque du Birectoiro,^ 404.
Lalrd ou Chioftaiu. — Clicf, Reigueur é'Cosi^ifl, 42S et 426.
Laitière (bonnet deiuî-rond, dit à la). ^ >ifKles Féinîiiiues
dn régne de l/iids XVI, 380, 405,
Laltuea pommées. — Larges rofics de nilMinB illH^-^imulaiit
Jm oriincB 4ù ï^onlier; liommes de i^époque Loui^i XIH.
France, dix'Se]>tième siècle, 327, 32^t.
Lallas, — « Dames » nniilies; Afrique, 155.
Lambrequin.— A''ode a^lapté mt laisque ; Euroim, moyen
rlge, 217, 219,
— Mot qui, au seizième Rlêcle, remplJK-e celui de ffofttfiktr iKïur
désîgi»T la Iminlnre du ciel-dc-lit; Europe, 2S3,
Laminas. — I.es longues bandes d'acier de la cuirm^e qui
couvraient les épauler et entunraient ki taiüe; RomalHis.
ac-37.
Lampadaire. — Esp'^je de lustre; KurO|ie, moyen ilgo, 227.
Lance (7fincfti, î cyy/,). “ Ai me d'hast de la pins hante
antiquité; au moyeu âge, clic devient rarme diqtîiictivc et
caracb'iristique de la elitvalerio. La lance était aussi consi¬
dérée coiinne arme de tournoi. — iowcw h dée^; «lies qui
avaient été seiée.s A demi, près du bout, ixmr que le clioc
fût moins violent. — lAtuces cvurtifijfs; celles) qui avaient un
fer eami, obtus. — La lance de gtterte resta en tisage en
France pendant tout le «isîiènic siècle et jusqu'en 15C5
sous Henri IV qui l’alwlit en nkjrganijîant les coniiMigiucîi
trordonnauce. — Chez les Africains et les Ooé«niens, lu
iwiiitc de In lance varie & riiilini; elle est tantôt plAte, tim-
tôt barbelée, ou en forme de itoinçm;, 1,15, Il et 12,15,25-26^
36-37,48-4^,50, 54, 56.57,00-61, 0.3-64, 67 03, 69, 7{l, 72,
83-84, 96-97, M% 134, 2bl, 2C2, 204, £|7, 21S, 220, 26l
265, 2eu. Voir IkJC'itpüx> ^ COSTI’S, BAIiuiSk.
— Troupe de sis hommes comprenant lui
chevalier armé rie la lance, un page ou variet, trois ojclwrs
«t un coustillicr ; eoinjmgiiles d'ordonnanee* France, quin¬
zième siècle, règne de (Iharkis Vil, 21 S.
Lûndvogts. — Aucleitô offteièr-s municipaux de l'Alsace,
4KS,
Langouti. — Pièce d'ètofTe couvrant les Jamlsciâ; Inde,
royaume de Siam, lOS, 12^^ 126, Ï30.
Langue de bceuf. — Bague italienne de forme analogue A
la seizième siècle, 262,
Lan lin. ”• riume d’oiseau ; di-eoratioti accoïnlée par i'cmjie-
nuir de Chine aux fonctionnaires civils et utilitaires, 8",
Voir Xtv.ii.ix.
Lanspessade. ^ De fmi:» apettufa^ tt lance rompue »; ca+
valier démonté qm> l'on iPettait dans l'iiifaiiterio [lour y
remplir les lonctioiiR do capotvd; France seizième siixîle^
250.
Lansquenets. — De faitt-Lmefiff a valet de lance w ; Iwindes
de mercenairei, la pIuiMirt Allemands, qui apparurent fjour
la première foii en Franco eiOu^ le règne dé L'hàrles VllI,
Pendant pUis irtiii siC-cle, les lansquciieis formèrent une imr-
tie de rannée française, 250, 2.17.
Lapidaires-faugaetlera. — t'enx qui imîtaiént les picmes
précieuses; France dix-iHicptième slècie, 33ü.
LapiB specularis. —^ Carreaux de verre ou de talc donnant
de la lumière îvir les ouvertures du caidffi^itin : l>ains ro¬
main#, 45.
Laptebin. “Bottines lacées; Turquie, 176.
Laptis, “ Cîiausftiire en écorne de liemleaii ; l>i?rgers CrrahdR-
Knssiens, 445.
Lararium. — Oratoine n'sen'é aux dieux Lares ou aux gé¬
nies tutélairea de la famille; maisou romaine, 33,
Lar'ouati. — fieratni exerçant la profession do mardtand *
d'huiles; Algérie, 163.
LatîclavOi — Tunique romaine qui n'avnit qu’une Inuilc île
pourpre pincée siir Uï devant ile la fioitrinc; antiquiièj 4é,
Laume-guatt*. — La hutte du La|ion, 411.
Layette. “ ColTre léger et de iictites dinireruiîüiis ; tiroir
d'armoire ofi J'oii serre les papiers, Ica valeurs 3ù4,
Lazoou Laço. — Justrument dç chitase des CTauchos ; longue
eonlc terminée pir un anneau de métal. Amérique ilu Sud,
7 7, 78.
Lâàng.Kwan. — Bonnet de deulliiortépar le ftlsdudéfnntî
funérailles, Chine, 92-93.
Lebni, “ ÏLouse de dessus du Touareg : Afrique. I49.
iI4
Lectrin^ — V^ir Lcrrti\\
Xj^tuâ. — Tof;' Lit,
Lecythuff. — Vaao à ongiients; toiktte des dnniea grocqties,
le.
Légat Officier général fttUiclje à nu corps d’^ar-
mée on À un goiiveriieiir de province; Romaine, 36-3"»
Légion — L’nnc des dlvii^îcns dès arméca rouiflinea,
et composée entièrement de citoyens rornHitLé» C'était nn
corps comjjlèt qui réninssaît Infanterie pe^^nte et lé^rère,
cavalerie J équipage de siège. Une légioïi avait un nomèro
dYrdre et un nom, tel ciue la la Jai’fj'rtne,
t'//etxaUentte^ etc. ; ml tribiui lu cominandait,
Lèglonnairea {liffimarii). — I^e con» de cinq ou six midc
eolilats pesamment arméafini formatent le contingent fourni
jiftr les citoyens romaina A chaque légion; Je reste des trou-
<iui en oomt>osaieiit renscmblc était composé d’auxiliai¬
res et de cavaliers eç»û'«}, 34, 33, 3G-3 7.
Lein-Croich. — Chcml-^e colorée au safran, en usage c|i«z
les Irlandais et les Écossai^ ■ premiers tem|is de la royauté^
423 et 426.
Lekaata. — Lame de cuivre longue de deux A cinq iiouces
que les llasaoutoa s’intrcNiuisent dans te lobe île rorellle;
Afrique, S7-6li.
Lenço. — Mouchoir de tête des Portuiffiiÿea, tfl:*, 183.
Leperos. — Porte faix, mendiauM, ete, ; îre.viquc, 7&.
Lerpipa. — Pipe faite avec une esjjêce de terre glaire; Tji-
|ïons, 411,
Leurre. — La |iatte cou^fée d'un oUeau que Ton agitait
loira*iue le faucon était en liberté, afin de le ramener sur le
^>oing ganté ; Europe, moyeu Age, 221.
Lévite. — C'fmtume des hommes f espèce de surtout èi collet,
tomt^ant ipsqii'piuK pieds ; France, di.vdiuitième siècle, 405.
^ (Jostume fémiinin : peignoir allant jnsqu'A nd-jatubc pendaiit
le rV'gne de Louis XV, et qu'on allongea en iuiic traînante
souB le règne de Louis X^'i ; France, dix-lmitièmie siècle,
389,
Létife FnüniiK.vf,
Llbanotria () têavtuTfCç), — Boîte à parfumsi ; renceusoir
des Grecs, Ï5-2Ô. Voir Acerka^
Llbâd. — Le caleçon de toile dés Fellnhinés ; Égypte,
lÜOot Kl.
Libdeh. — Petite calotte ; FeUaiiines, Égypte, KO et ICI.
Libidineâ, — Peintures liceueicuMs placées dans le rrnft-ctm ;
inai::on romaine, 33.
Librairie. — Bibiotlièiiue, cabinet d'étude. On donna oc
nom, au moyen Age, aux pièces qui rcnfcnnaieiit des lueu-
Mea^en forme de casiers, sur lea rayons desquels on plaçait
<lca mantLserits, et, par ex tension, aux meubles eUx-mêmes;
Europe, moyen Age, 214.
Libum, — Sorte de gâteau que l’on offrait aux dieux, dans
les Racrificcs; antiquité, 38.
Llcbaakti- — Sandales de cuir de bcenf; eosiume des Bas-
soutes. Afrique, C7*08.
Ligneua calcéua. — Soulier de bois ou sabot; antiquité,
47,
Ligulît. — I>e Uçatt^ lier. Languette de cuir ou ngrafo d'ar¬
gent, d’or on d’ivoire, pincée çur le ilesstu? du pied ; chaus¬
sure anthine. 47,
I Limer) — Seuil do la ma(^n romrtine, 33.
I . .
I Limonière (avEuit-tmiu à |a>, — C. à, d. A liraticards ; artih
leric française du dix-huitième siècle, 384.
Limua. — Jupon, vêlement du /wfw» et des rictÏjmrUt lïo-
mains, 38.
Linge de haute lice. — Kom que Ton don naît, pendant Je
moyeu Age, au linge damassé ; Primee, 216.
Lirinuiu, — Parfum liquide eoiniïosè avec le lis; antiquité,
IS.
Lis^ân. “ CU^se-tête égyptîciq 2.
Lit (fcc/ifjr, ÏEXtpiOv^* '— Meuble employé A divers usage?
chess ks anciens : il y avait ceux pour L nuit {/«/«.» rwWcu-
lif/it} et ceux pour Je jour, disposés lions la «aile des rei>ai
rz-fc/lwa/'w); 4, 10, 23, 27-28, 44. Voip TnirLisiüM,
Lits du moyen Age; IPA, 188, 190431, 203, 213, 227, 231,
232.
Lits de/HiiTok, tié /«></, iVité an tVoPilinairej AoaW, d la
joaiewo/jc, « la ri«eAcMc, b (> deujç^ ihuiprs à la pû~
nioinPf rft flmire à y^r^cAcî-, à Ift (VArfoU; France, ^aièine»
dix-eepUënic et dix-huitième siècles, 293, 2^4, 313 et 314,
3IS-319, 332, 344-345, 347,348.
Lit pitcaifrèi Belgique, France {Bretagne), Holkude, 312,
313 et 314„ 424, 4994iOO,
rofiT- ALfX^VK, ClIAniUiU UU LIT OU LFS PARKMEXl^,
Cl Kl,* DK-LIT, Djiuitkimuxtk, Cotutixk, Cor.s?ix% Couvepi-
'roNiBj Dais, GOPnTKiiK, Guulk, Pfexris, Poêle a fmur»
nfeuE, Qufi'e, Ritellk.
LitU fX. — Sorte de lit couvert placé sur un double brancard
et porb' par deux chevaux. Daiui l'autiquité, on se itervait
de litièrcîi ; cette hHon de voyager était non moins fréquente
pendant le moyeu Agfo, 20fi.
Lituus. — Insigne ijarticulLer, chez les Bouvemins égy ptiens,
de la domiTialiou e^ur le uoni ; cet insigne ornait le devant
du pjfchpnt, 4.
— (XiTuov) ; f)dtou d'augure ; Romains, 39.
-— Troni[K!tte d’aJraîîi munie à sou extrémité d'une nrtîeulii-
liort re^'ourliée semblable à la êaccffui ou coi-ppu; antiquît^x
3Sj 43.
Livrée. — îfot qui désiguoit, anx donzième, treizième et
qiiAtorxièmc siècles, les vêtementf! lirrés, dans certaines oc¬
casions solennelles, |iar les seigiicim A leurs familiers; ces
vetements ètAie>>t tous de meme coiijK et de mènm étoffe;
Euroiuï, moyen Age.
Of/ciPrs, fjfm de lirf^e; 222, 23ft, 230, 256. 360. Toïi i'oc-
UEl'It, EcDYKIt, HFIDUqi'E, PaûE.
Lirixe repaie; France, seixième, dix-septième siècles, 256,
274, 342, 349, 364.
Loba. — Le liliaut tsfULgnol ; treizième siècle, 200,
Loge d'opéra feoiffure d'appamt, dite). — îIckIcs fémSniuea
lie répoque Louis ?cy I (Ï 782) I Francéi 389.
Lonines. —^ Officiers sans emploi appartenant à la caste de?
amioumii^ ; ils ont aussi lo privilège de jwrter deux Babres ;
Japon, 99,
Lorioa — Lst euîrasso des Romains.— Lotim ^a-
tmiia; celle cciuposêe de pièces eu forme d'écallles
34, 36-37.
Lostenn-grelz. — Jupe îuteraxklfjiiro dos payî«iiincs bre¬
ton ne? qui portent trois espèces de cotillons, 4P7. PRits-
(H'ELET>KX, Umnî-UHELEX.
Loup. — pn vcîonrs noir; Fhtoiw, (ltX'Wî>tième sîMPt
;t33 &t 33^.
Lovo ou Chili O. — Dctsppiulftut <rim ni-gFi^ et truiie iïnli-
iîéne; Mexl^iue, 79.
Lucquoisô (canonB â 3a). — CtiTiüïli» criiTquË^^tiÆc ; Frïiliee,
Heixième sU^le. 2i7,
Lunula. “ Omcaaent de cliaossure en argent, en t>r, on eu
ivoire, et en forme de eroiiSRâiitî privilü'^c (Îçüî Rn^uintenni iju-
trieicDR î Eomeinx, 47*
Luiich. — FfEtubergccui de niaîlles; costmne militaire des
aneicnâ Écossais, 425 et 4?C.
Lutensis. — Pouipro romaine dont on jtikdiuit Le coqiiiduge
daiiH la vase, tntum ; aiitiqaiti\ 2^-SC,
Luth hufft, luiff — lustrunieni
Il oonlcs^ variété de la lyre. — I^e fw/A, à Itv diflférouce do la
de la cUof< et de li mtt»don\ qiiîsc jouaient nv^ec 1ci3
doigt^:, exigeait le scconrA d'un ]}etît crocliot dans Les mainâ
du ninsicicn; nptîquftè et moyen âge, 22, 192, 210.
lutrin (itürhif lentrin, jrndj/itr^f -- Il y avuit
pliiâleurs aortes de Leettins : leîi lectriuü fixes, placés au luî-
lieu duclwur dcîS églLscs et â Tusage des elrntitrea ; ks Lce-
trina faciLemout trai3â|KïrtablÊS pour Lire répitre et rc-vaiiRtle
sur le juljé, â rentrée <iu diauiri Les Icctrtns de libmirice.
lie biUiothèquea, sur IcstpieLs on powsît des livres â consul¬
ter. Euro|>e, moyen âgC| 214^ 22S.
Lyre* — Instrument de musique A tsordc-s de fil de lin, de
boyau ou de métal. Les anciens avaient deux espèces de
lyres: lu grande, apîxdée /fniAiVo/, qui so jouait avec le
j^ecirtim, et dont les branebes étaient ajustées sur un ma^
iffiit on cotTret quî augmentait la i^ûiiorité dc#i cordes ; et la
IKitite* dite chelÿK ou dont les bmiicheâ av'àioiit jKuir
iMVse une cami^Kaec do tortue inLsc de claiïiip. Cette dcriùère
était beaucoup moins grande et Fou en plumait le? oonleis
diroctemeiit avec les doigts, 22, 43, Fmr Mao apis* Man-
POItK.
M
Mach pLlovo. ^ Mets pemn : Imrkota verts cuits k l'can ,
137*
Mocha. — Paire de pincettes ; fonriiiinent du Zeibek ; Tur¬
quie. 177.
Mschlah* — Manteau turc, 17D.
Macho. — Ttistrunient do musique galicien ; Esimgoe, 4Td.
Mo-couaL — Robe de dmus; Cbinc, S5, ftfl* et 90.
Madeleine (religieux et religieuses de Fordrc de la), —
Allemagne, moyen Age, 198.
Madolonnettes (religieuses), — France, dIx-Roptièuie siècle,
334.
Madrcni en tamoul. — Plante dont on utilise le sue, dans
rindo. i>our teindre les ongles en veniiîllon, 113.
Mœniana. — Balcon en eneorbellement ; ma{S4>n mmaîno,
30,
Magàdis. — Lyre A vingt cordes - fiintiqnité. 22.
Mâqhndtty$, — Llifuiatîte, qui. Bciqn ArfH>es, calme les
douleurs de la goutte, facilite les accoiiehements. etc, Afri-
ipie. 192*
Magnat, w:^ Nom donin', eu Nongrie. aux lacmbrcs de la
Imuie noblesse. 15S et 459*
Magoato. ^ Fête qui èc célèbre loua les ans, en Galice et
dans la provint' de Léon, h Focc^oq de 3a nkoUe des çIjjV
tnigiics; ËsjMignc, 479.
M^gua. — Jii))oih des datucs mexicaines, 79.
Mahitou. —RoIm? qn peau do bison, tannée avee lawtrelle
de Faiiiiiukl, et conservant encore sa tolsoii. PenuK-Rongeî* ;
Amérique du Xonl, SI,
MahL — Le liarem indou, 114,117-118.
Maholtres. Mabflutren, — Carcasses placides sous le* mnn-
A-hes du ikOTirpoint, et de^tloéc^ A faire paraître les éiaiules
plus largea ; Enmiie, qiwtorzlème et quinxième sii<;1es, 209,
21d, 211, 212, 216, 221*
Mfthraiiias. — CniHure comistant en voiles sn|>erpc*é'i ;
dauiE^ musulniaiica, Turquie, 180.
Mai-i. — Vêtements de fnii'^raiiles portés par le filé du dé^
funt ; Clilne, 22-93.
Maille. — Tkati fonné d'aimcaux, de cltainettes encîicvétréefi
ou contreiiosé-oa, et accrochées F une â Fautre, L’armure
comidète de mailles dura depuis le régne de saint Louis jtis-
qu’â la lin du treizième siècle^ éjxirpie od pht^x y furent
adjointes, — (douî/îeX dite dr ÇhomMy; nue de celles
qui olfrnieiit le plus de résistance ; — Euro|w. inoyen ùge,
201, 202, 203, 907 et 208, 210,
Mâilletou Plommâei — Arme des hommes de piefl, corn-
postk’ en partie de plomb, d^oh son autre nom de ptofUTntt';
Eun>i:>e, moyen iVge, £iS*
Main gauche, —^Kom que le* ilaguca prirent^ pendant le
seizième et au catumeucenient du dlx-Hicptiéïiie siècle, parce
qu'on les tenait de la main gauche cti combat tant â Fèpect
elle* âcrvaient alors â iwrer et aussi t\ fournir un coup dioit
quand on enferrait Fajti versa ire. 222. 254, S5tî, 2G2. 263*
Main de jnstioe. — Lsiîèco de Bccptre que les sou verni ur,
revêtus des ornements royaux, iwrtaient dans la main gau¬
che. 181.
Maîtres (petits ). — Nom donné, pendant la Fronde, vers
1050, aux jeunea scigücurs du parti de Coudé i en les aptKda
ainsi. Biihont M"'" de MottevUle, a pstrec qu'ils étaient â
celui qui ijaiaissait être le mnitre de tous les autre* », Ce
nom resta depuis aux jieuncs gens fats et esclave* de la
mode; France, dix‘septième siècle, 351*
Makaké. — €oneubin«; Japon, 104*
Maiborougb (cbapean â la). — Moiles féminines du règne
de Loaia XVI ; Frauée, dlx-ltuitlème slèek. 391-392*
Malhafa. — Ample rolie â larges Tnaiich'friî feiDtiiea du b'o
liara algérien ; Afrique, M5,
Malla. Collier de corail ; Inde. 12fî*
Ma lie us. Le maillet dont le p<^pa se servait, Aa.m les fa-
erffice«, iwmr alwittine hi vlciime ; RoJijains, 38. 39*
Maltaiae (chapeau â la). — Modes féminiRea do i^-gue de
Louh XVI; Fmnee, 391-392.
Malte (ordre de). — Ordre de chevalerie, rcligiciix et miîî*
taire, dont l'oiigine rcMtonte aux croisades*
Matîîf ( ri>rtlre tli' tfiftfflie/s/jiftrçnù fîn); dfjf-sepUü'tnC
siècle. 3fi1*
jUttIfé (f/xtir tir), 311.
Malvuïiuzeln. — L'nrtîpnn qui fnit les nienlîlçs, rliiiia le
cjiinpit|i?nc% de Bretagne,
Marna. ^ Femmes de service du iialais imiyjrial ; Chine, S5.
Mancebas en cabellos.— >^<îm autrefeifi donnéau?c jenites
eppitgimles, I&iïciull était iVusaRç die?, elles, eainme
elirsî tfiutesles |eiinee fûtes du mayen ftge, travoir tes cheveux
fiùUiuit sut leséiHuilcs, 2CKI.
Manches (deiuî-). — Jtsinche? couttea et plates de la rolrio,
iloi;naiit issue atJX moiles féminines. Fituiœ,
époriue Inouïs XIV, 344.
AfatK/iTs iionr dr). — ÏIULCliettes ùltoi?? rangs dcdentellp,
placées nd boni des manclies courtes de la robe; ni&ies fé-
luiniiirs. France, ri-gne de Louiâ XTV, 3&3.
Mitiîffira à tist/rjs, — MnnehéS d'IiAbit avec utl gi'aiid pare¬
ment TfttitJusstV; liomiues de l:i fin du dix-septième siècle,
Frnnce, 354. V(dr AMAims,
Manr/tf's à foudrs, — Tt&lâev «eÎKième et dis-sepliénie sfè-
clcs, 359.
Manches « l'enfant, — manebes ihi camoo- gansic^i de
mnline; dmnes de Fc|>oque Loiüh XVT, 398.
.Vanchei à tjifjot. — IJoniiucs et femmes; Europe, Ecisièmo
siècle, 273. 2t9, 235,
Mnucht' honofithle^ — Longue maiicbc d'étoffe, tffthiant
parfois jusqu'à terre, que Ica chevaliers pottaient au cotü-
Init et dans les tonrnoii?; Tusage de la manche hüaorabîe fut
maintenu jiisqu'nn quinalème sjè>cle, France, moyen âge, 219.
àfancbeit h riatbrUt. — >rancbe« en salwit; dames de l'é-
Jonque Louis XVI, aSS-.
Manchette rUaHenn*,. — Les iimnebea ballonnées des dames
du soirdèmesiècle; France, 273. 2“4, 311,
Manchfik fa mnitinüet\ — Jlomnies et femmes; Fr^ince,
règne de ^juis XVI, SU 1-392. 398*
Manches iir maUîr à tjanfcîrft — Artuement du rétiaire;
gladiateurs romains, 36'3L
jl/(i»cAps de maille, — France, quntorKièïiie et quiaxième
F il des, 219,
Manchtsm pnijode^ — Manches plates ouvertes en enton¬
noir et garnies d'nn retroussis chez les liomines:; FiYvnce,
première moitié du di.x-hiiltièmc siè'Cle, 368, 3C9,
Manchet en sahat^ h sou/^ttf ti ta i*ietToL — Üaines du règne
de Lrfïui-î XVI ; France, 390, 391-392. SIaVî iies a
lîKr.LK.
Manchrttei, — Omemeiit ihi iwiguet commun mut deux
sexes.
àManchrites /raisêet, tnmvtlèrà, £26, £68, 276 et 277,
Maneheftrs eu nhrat, 2Ll, 28Ü, 311, 321.
Mancheflrs à en/ohn&if'. — France, fK^i?.iètnc et dix-sep¬
tième siècles,. 32S,
Mancheron. — Mapebe eonrlc et volante; seizième siècle,
)'0f> Alt.ElEOÎf,
Manchon* — Le-s pretniera mniichons firent kur apparition
sous le rf^gne irjjonri III ; ils étalent de velouté ou do satin
doublé de fourrure. Au dix-septième siècle. le njaîichon, fni-
Kint aussi partie de la mise des hommes, est de peluche et île
léopani ; nii l'assnjottit sur le devant du coriis, ou on le üus-
jjcml au moyen iFun eorrlon nominé ^tsie-cal/fe, Sout; le
régne île Louis XV, |c manchon est rétluit aux dimensions
d’un petit fourreau cFétoflfe; ii reprend scs anciennes propor¬
tions dans le coups du règne suivant, — Chtint-mancAttn*:
nom ilonn^ jwtîts chiens qu^il était de l)OU ton, ehe?
les dames de Ti-piique Louis; XIV, de nicher iIfvus les man¬
chons, — 279, 2H7, 3Sl, 328. 33G, 337, 338 et 339, 343. 353,
354. 355, 3611, 364, 3CB, 372, 373,389, 391-3ÙÎ, 403, 104.
Mandarah. — rremier étage de la mapiou riche, au Cttirc:
le luaitre y reçoit ees visitas; ICgyptc, 166 ,
Mandii. Mouchoir enroulant Ic/y^; Turquie., 178.
Mandille. — Casaque â ailes ouvertes, espèce de lîurtout mi-
Utnire dev'cnu un vêtement de laquais; France, (seizième
siècle, 374,
Maïldore, Pandore (faadara^ nctvSoOfCü.)* — ÈF^ptcc de
lyro à trois cordes. Peudant le moyen âge, la in&ndtff-e ou
Itft t d'amour avait la uiémè forme que la guitare, mais-ses
cordes étalent de laiton, 3, 193.
Manec. — Bra-isani d’étofTcquc l'on rcncoutrie encore iIrtis
le coistume dea payimimeiî de la province romaine; Italie,
£14, 46e,
Mangatchangs. — æ Gens du commun ï; Iles ^[nriannes
Océanie, 63-61.
Manichordion — TiJir CtAviconoE.
Manipule nlm)* — I/cnscigne primitive de là légion
chez les Bornai ns. consistant en une poignée de foin alta-
chée e\ une iierche.
— Coriw d'irifnideric légionnaire composé origiuaireumnt de
cent hommes, puis de deux ceiit$, et ayant un comme
éteniJand, 35,
— Bande d'étoffe aux extrèmib’s pattées que le i»rètre caiho-
liqpc officiant, ainsi que le diacre et le sous-diacre, iwrtent
au bras gmiobc au moment de tu célébration delà messe, 181,
IB9, 193, lui*
Manka. — Tatouage incisé ; Australiens, Oeêanîet üü-ÛÎ,
Manta, — Piété d’étoffe dont ae drapent les Galiciens; E^i-
piigne, 476.
Ma&le. — Lü luug^ voile îles veuves du dis-septième siècle;
tdjez IcA dames du dix-liuitième, Jù mante devient une lie-
lisse SC bciut<ini]nMt par de^i'Aut dans tou te âa longtieur.
France, 340. roir Maxteat.
Manteau. — Vctenieiitde iIcsbub, ample et long.
dAiHft'OWJ* civils et luilitairea de l'antiquité; 14, 1 S. 16, 17,
24, 25-26, 29* 34. 36-37, 40, 4E-49, 50, 46-57, 59, 181, 1S3;
Vo/i* CAX'tJVÿi, CHLAKXE, CiILaMYDE, CinAilYDlÜN, iriMA-
Tinx, PAf.tA, PaLLILM, TALLIOLfit, PALl'UAÎlE.VTrM, PE-
rJ/iV, PlîAiiOH, S.UfUsf, SAUULLil, TcmE*
des indigène:^ de FAfpiqiic, de rAniériqueet de
rCX’'.’‘aiûe: manteaux de chefs; 6 if-G1, 63-64, 71, 77, 78, 79,
80, 81, Voir Bi,.rxKEt, Fuudah, Ichklla, Kitoss ou K\-
PnxtMio, HàuaI'Jk.
Meufeauj; asiatiques, îles populations musulmanes dit l'O-
rknt et de rAfrique, lis, 150, 151, 145, 146, 147, 153, 159,
160 et ICI, 162, 163,165, 170, 174,176,177, 178,179, ISO, 182,
162, 4Ë4*— ïToir Aluoiesoz, Barx 08 , Bis K'II , Titruxor^i,
Cll.vivk, DJL’CUÉ, FltïElïJÉ, GKEAttA, GUAnAE.V, H.*1K,
IniinAiim, Kii;ka, Kl'UTaii.
MrttUfatLÇ religieux* sncerdoUrix, 14 7, 181, 132, 193. IP I,
198. 200, 284. rcn> ChaJ'E, CllASrill.4:, KaiTA, rilKSOLit.u*
Pluvial,
MattiettHj- (mattfrh) civils et militaires du moyen âge, des
s?eizLtnie, dix-septième et dix-hnitlùmo siècles ; Europe, 188,
189, 199, 200, '201, 209* 246* 271, 280, 235, 340* 343, 381*
Fp*> Balaxi>rau, Capk, Cloche, HmzKArpjî, Iîuikex.
M.axtk, Maxtkmx, 3Iaxt>:link, Mastktxivo, Failr, Pal-
r.iujr, IlnuK, SiMAiittK ou ZlMAlLftA.
JJiiHteiiu iiupf^ial, royal ; Enrojïe, moyen et âuiz[4.‘iue
flifrcK 2Ûfi, 212 , 2H, 285,
i/anfratu* d’iioiineur, de c*ût; EoTOffe. uioyen àgc, aei-
xi'Ëxncetidl^c-scpitièniesi^cIeA, 210, 211,24? el 248, 251,311,£(£3,
365, 560,
i/(in/ 4 MU (frt^c'^J■ fft*). — Expression lu inunlèife de
tenir les manteaux plus ou inolxa cmrerts h. rsîile d^unc
ganxe ou d'un cordonnet; France, douzicuic ^itele, ISO.
Afttnttaujr de nui^lrats, de docteurs; Europe, moyeu
ûge et sel£ieiïie siiïcie, 214, 268, 269, 214*
J/an/mu é ?(f reitre; AUemagnCt aolziLrac siècle, 371,
i/on/mtu‘ de deuil ; Europe, seiziètue et dix-septième siè^
elra; 260, 286> 324-325.
^fl^T^^eau. voile des veuve-s ; Fraticc* seiÿdcnie siècle,
273.
Maufeau* Nom que prend la cajÆ des licuniijçi sous le
régne d'Henri IV; France, selsiènie et lilx-septième siecle#,
311.
MuHfrau à hi lünl&t/tti, — Hoiüïncadc lV|H>quc Louis XIH;
France, rUx-septlénie siècle, 327,328, 320.
J/an/eriu ou luhtnt ^— Lit jupe do dessous retroussée tles da-
ineu do l'époque Louis XIV; 340, 3S3, 35L 353, 360*
Jfatiteauj; d'abbét Mftttfixiuj' à ptiit i Francf, diX‘5Ci>-
tiènic et dix-liuitlètue siècles, 352, 354, 372.
Afanfniu rthmilkA ; provlncffl franvulses. Voir Vkn’Tkl.
ManteAtu dr i'hàrhntatjnr^ — Ksî>èce de prlîsse aussi ap-
iwléc capot I l«ïrgcrs landais, Frfracc, 486*
MantmuÆ bulgares, écofisaia, Longrola, polonais, russes, et
des provinces françaises. Feir AugoPeilloux, A1[|.said, Capa,
CAPA DK ÎIUESTtlA, COUftKUTIE, DÈtilA, DÉLIUUA, FKHEZ,
FERKZT.4, GL'XIA, HOCIt.A DK MllUXDA, llA.XTA, M.VNTÈLK, m
ilRSTK, OPOQSETCHA, OlTâl BOl^GH A, PlAID, VE?iTKL.
Mmittau* — Le grand parck à œillèrea, à Tabrl duquel
léit artUîicrs mettaient le feu aux boinlsftrdes; France, quin-
tième siècle, 220.
MtxnM foiArré. — îoi^' SercûT, ÊUKCOI'^rE.
J/r/n Ad, Mixntctrf. — Rideaux de voitures ; camosserio dm
moyen âge et 4u lUx-SOptièine siècle, 216, 320,
lArritè/r. ^ Variété de lu matitille; femmes bulêaiiotcs.
Espagne, 48L
Manttlet k ta rHne^ — Dames de réînuiuo Louis XVI ;
France, (lix-linilièmc siècle, 398,
Mantelin f/risque) oa petit nuiutcau à la clUfttrique; Franc.'*,
seizième et dix-septième siècles, 327, 328,
J/urFf/fne, Petit inii.nteau militaire; France, quinziéme
siècle. 217*
ifantellino^ — Manteau court ; Italie,quinzième siècle, 238,
SfantUte. — Petite écharpe que les damea de !a première
moitié du dix-huitième siècle portaient croisée gur In poi¬
trine et nouée par derrière; 368,
Manteltje. — Le corsage des femmes zêlandai^s ; Hol¬
lande, 421 et 422*
Mantoo. — Le grand tablier des ûaUi'icnues ; EspugnCf '176*
Mantille* Voir Mast^xv,
Mapalia ou Magalia, — Lacimumière des gens de cam¬
pagne; Carthaglnob, 152-163.
Mappa, Morceau d'ètote ou flervi^tte, qu'aux fètea du
cirque et dans d'autres Jeux, le magist rat qui les faisait oélê-
brer, jetait en Pair pour le signal dés cours*®. Cet objet se
transforma eu un petit roules'U qui prit le nom d'tira?ùi,
e'e4t'é-dire juni nmliec^ Romains du luis empire, ISl.
Maréchauaaèe. — Corjis lic càTuticra cliargé, avant la Ré¬
vol utioii* de veiller à la sfïrotà publique, et ainsi noinniè
parce qu'il était sous les ordres liiiTuéiLiata des maréobnux
de France*
J/oK'i-AdLi.ïec de France. — Juridiction que les marêcîjjiux
de Fraijre avaient, dans l'ancienne monnrctde, mit les gens
(ranuea, sur tout ce qui tenait à la guerre, et sur la noblesse.
On la nommait ansiai conn^tibUe^ parce que le connétable
exerçait cette juridiction avec les iu«f«.^chaux dont il était te
chef*
Gtirde^ de f<j maixehatissèe; Fraiiee, dix-liuLtièlue aièclo,
381.
Marie-Thérèse (ortlre cic>. — Fondé en 1T6U; Autriche,
3S7.
Marineâquea (culottes). — Clmuascs à Tusage deg damef;
Europe, seizièmo siècle, 289*
Marïi (coiffes en y, — Ta» nstTri; était nue ca|.ièce de g.izc;
damci^ tltt dlx-huitièmc sicele, 363.
Marlota. — Voile ou écharpe; Jraurea iPEspagne, 1&6.
Maro. — Pagne eu forme de Ublier; Océonic, 60-61^ 62.
Marpitch on MarpUeh. — Tuyau flcKilile du hourltrt;
Orient, loa, 144,
MârsUle. ■— La veste courte des Catalans ; Estpague, 474.
Marteau d'armes umriet, NuirUfat, jdomnvie).
— Europe, moyen âge, 219^ 223.
Martialia. — Prêtre de Murs ; antiquité, 33.
Maàcbalistér*s.— Colliers placés sur le haut de la poitrine;
àuiiquitè, 25-26*
Manque. — Accessoire de trav^^tUsemeiii deveuu de mode
dons l’habillement quotidien, aux seizième et diX'septième
siècles ; Europe, modes féminines, 280, 283, 289^ 339. 338 et
339* 353* TofrCoFFiXA Kyfpr&H, Tüuiikt de xkz.
•*
Masse d'arnoes (iïiacr, mtffiw). —Bâtoude guerre on masque
taillée dans le bois le plus dur et îe plue résistant. De ceito
arme des temps antiques dérive lu Ttiaae tParmes en métal
di^ tempe cbcTaleresqucs, laquelle était aussi usitée dans
les tournois, mais seulement en bois, comme une arme
courtoise* Dca sergents, garde de lu pètsonlié royale sous
Pbibppe-Auguste et Louis IX. avaient la masse comme insi¬
gne de leur charge, — ifvfjre,' bâton à téta d'^or ou d’ar¬
gent que des espèces d'huissiers bit appariteurs nommés
maisiers portaient autrefois devant lija souverains, lea hants
fonctionnaires ou Tun des grands corps de l’État. 25-26,48-49,
219, 217, 263, Ï62, 2S6.
Mastodeton*— Bandeau muiuillaire; damés grecques de
Vanliquité, 18.
Matalan. —> Fétit tambour que le muâicien attaciie à £u
oeiialure ; Innie, 123, 125.
Matelote (gilet â la). — Marine française; flu <lu dix-hui¬
tième siècle, 386.
Matokouahë. — Le chanvre que les fcmmies MolEDJDlOâ ont
rbabitude de fumer en buvant de La bière ; Afrique cen-
Irole, 75*
Matouas. — Nobles mariaunals; Océanie, G3-fîJ.
Mauvais garçon (bords de chaiH-au retroussés eu). — .Mo¬
des fiUQçaLes de l'époque Louis Xlll, 327.
Mayoral* — Conducteur de dingeuce; Espa^'îic, 474,
Mazur. — Danse poSonalw, 451.
10
— 21b
MÊdicla (coLlerctls). — Modct» du K'giic île
Louis XVI; FfutiOÊ] SSiËE.
Megoud. — Ssæ de providens ; Arat^is, 15&,
Mèbaras. ’^Noin des droiuaduirca leü plut» eglimêd ehes
Touaregs; Airique^, 140.
Mèliil ou Meil. — Tuuîquc etipérieurc du gnind prfetre ;
IsruÉlitcs, 13.
Mek. — Titre du chef unique des Chilluiiks; pupuliitiuuü du
H aut-N IL Afrique, 70*
Melïiiuporphyron.“PûurprcMioirei Tunique que ijortoiciit
Ica vieillarda tlana lu comédie;: autiquîtif^ 25^-56.
Mélek. — liüi; titre que preuneut cïiefa Berta* û la tête
des petits royaumes du JiauL-NîL ; Afrique^ 67-Ëë,
Memphîtes. — Les pliaraons constructeurs des grajidcâ
pyramides; lÊgypteHoUque^ 4.
MOriAt. — Contrepoids adapté aux grauils colliers ^ pluaicurii
rangs, pour les tenir en place; Egypte antique, 4,
Monestrazidie. —Assooîatiou eu troui» des méutotrels ;
France, moyeu âge, 210.
MézlËâtrois jTi meruitrUrf}, — Poctea^inuaidens du
moyen âge, 210,
Monte. — Le umnte^tu des inugnat-s hongrois, 4SS et 4&?.
Menteur (fichu). — 1 o/r Fîcittr,
Mentonnière. — La partie btisse du casque qui eu^boitait
le menton; Europe, moyeu Age, 217, 23^, 263, 261.
Menuerie. — Tenue générique du dix'huitiëtnc siècle aer-
vuiit h qualifier des îneiiua objets tels que les tabutiéris, les
bonlxïunlères, etc. ; France, 3S&.
Menuet. — iMtise d'un mouvement lent et grave ; France,
seizième, dix-septième et dix-huitième siècles, 362.
Mérite militaire (ordre du). — Fondé par Frédéric II de
Pnisse en 1744 î 387.
Merveillouses. — Femmes de la aociétè élégante de l^aria,
à répoque du Directoire; France, fia du dix-huitième siècle,
404, 406, 406, 408^00.
Mesaule — Passage, corridor de la
maisoQ grecque; antiquité, 27-28,
Mesoa. — Auberge eepagnole, 477-478,
Mesoporphyra. — Tunique ornée sur le devaat, de haut
eu bas, d'une bande do jx^urpre. Le Inticlitm des Komatns
était ce que les Grecs appelaient uue tuxuquc mesoj orphiffxf ;
antiquité, 26-26.
Messager de corporation <4:n/(pr). Flandre, dix-sep-
tîémc siècle J 32S.
Méat. — Bas turcs, 176, 177, 178, 462.
Mestiers. — Hauts chandeliers du moyen Âge, 231,
MesUs3â. — Descendant d'un espagnol et d'une îadigéne;
Mexique, 73,
Meslre-de-camp. — Ancien grade de la cavalerie corres¬
pondant à celui de colonel. Il fut créé sous François I*^ et
subsista jusqu’en 1788 ; France, 257.
Mëtnb. — Cordon de soie qui distingue les chrétiens eu Abys¬
sinie; Afrique, 67-68.
MezaLl. — A proprement parler, le profil du casque fermé,
O. ù d. bi riikrf, le ivNfaitj le et lu /fu:ïifmi»tcty :
France, moyen âge et scixîème siècle, 262, 21", 253.
‘ Michnasaïm, — Caleçons des prêtres israelLtes, 13.
Mickdembor. — Fetlte tour carrée dans laquelle trônaient
les empereurs lUügoLs: lorsqu'ils voyageaient à doa d’élé-
phunt ; Inde, 11£.
■*
Migbaali. — Bonnet ou tnrbaii iifei prêtres ismélites, 13.
Milpuuisc (coutume à la). —^ Dûmes des quiiiïième et sel-
xième slèvlee, 247 et 248,
Milice. — Oii nommait aînJ5Î, dans raiideruie uiouarchie
française, uue troupe auxiliaire de Varmêe de ligne en
teiupo de gucri-c, composée de tous lea hommes valides de
16 Â 40 ans. L’institution |>crmanetite delà milice ne date
que de l'époque do Louw XV ; elle a été remplacée, au dé¬
but de la Révolution. par la garde nationale.
*l7i7ice urbaine de ia idlle de ^üris^ — Espèce de garde
hourgeoiae qui existait dans toutes les 'villes ; FrancCj moyen
âge, 2Ü3.
JÂ^ioiutnires de$ mUices communales. — Frjuicc, sciriènieslè-
de, 256.
Milices i»ronnciaies, — Régne de Louis XIV, 343.
Milices ÿardes-càtes. — Dix-huitième eïècle, 386.
Voir Arcjiehs (fu as^cs-).
Miuezophet. — Turban du grand prêtre des Isiaélitea,
13.
Mlntan. — Vtste tunjue, 176, 177, 178, 175, 186, 462.
• Mi-partie (costumer). — Europe, moyeu âge, 207 et
j 212, 213, 222, 238.
1
Miquolete. — Infanterie espagnole recrutée parmi les mon¬
tagnards catalans pour combattre T i nvasion des Français
en 1876. Les miifuelefs étaient ainsi nommés du noia de l’uu
- de leurs chefé, Miquclot de Drats, 4 74.
Mirakhour-erveL —Grand éeuyerde lamec^u du sultan;
Turriuié, 169.
MirSib. — Fonctionnaire persan chargé d'ouvrir, à oertaineü
I heures, les couduits qui arrosent les cultures niamlchères.
Mirab etnirab, —Le s priuce de Veau?, chargé de répar¬
tir l'eau entre les cultivateurs, 142.
Mirmillona {i?îfm«'ifOJiej:). — Glaasc de gladiateurs qu’on
faisait ordinairomeut combattre contre les Tfiraees Ou les
t'étiaires; ils portaient le casque gaulois, omc. en gnbe de
panache, de limoge d'un poisson ((rofifivlOî) ! Bomoias,
36-37,
Miroir {IvQirrf ov, mirauert ttiirour}. — Les plit»
aDeleus miroirs étaient eu métal ou en pierre polie. Ceux
du moyen Âge, toujours de petites dlmensioiis, se fabri¬
quaient tantôt en verre étamé, tantôt en métal brillant. Ce
n'est qu'au seizième siècle, que Venise commença A exporter
des glaees d'nne certaine étendue. — Miroirs historiés: Eu¬
rope, seizième aièck. — 6i 231, 306,
Mirzâ (pcndauls d'oreilles eu). — Grosse pierre bleuâtre ;
modes féniiumes du règne de Louis XVI ; France, fin du
dix-huitiëuiè siècle, 391-392, 328.
Miséricorde ou Grand couteau. — Dague du moyen
• âge qu'on otbichait au côté du ceinturon ati moyen de
courroies ^de l’autre côté, se trouvait l’épée. Europe, moyen
Âge et Seizième siècle, 202, 213, 217,. 262.
Miséticordê OU ^Ktiience^ — Support tu forme de cul-de*
Ililupu prtitùjuO üttUâ une nialle d'ûi^ILjc, du i^iège.
et qui sû relève üvm lui,
Mitella (|XLTpfov). « Ceitfo, Ixtiideau eu forme de jiomlc ;
djimeâ grccqucij de l’aiitiquiUS Slt
Itfltrâ (miff-ciy fiVTf aj. — Le Ixmiict des Assyriens, des Per¬
ses, des Phrygiens ; Is mitre de^ femoues grecques était
nue 4^'etiarpe envelo|ipatit la tete et passant sous le mcutoii ;
on en était oomme voilé, d’ùù le mot iiiifm Les
courtisants syrietinea en ayant apporté Tusage A Home, cette
coiffure y devint caractéristiquo do ia classe des femuies
{N^rdaes. Au quatrième elèclo en Afrique, et au huitième siè¬
cle eu Espatgiie^ les jeunes ffllcïi cou^erOoiî à Dieu joJoptè''
rent la mitre. De nos jours, cette coiffure est eucore eu
usage clicï les feuuiies de la Syrie» 14, îl, IHO, 244+ rofr
TlAJlE»
Jfirrer épitcoptileâ. — Biles sont dé trois fortes : la 4wiplr-t^
et hi clergé catholique, 1S2,
1E)3, 121.
Mitre du clergé orthodoxe, IBS,
Mjolk-kagge, — Tonnelet portatif; Lujjcuib, til*
Mocassin. — Chaussure de peau d’élau ou de cerf, nmiHC-
une par des louièrCK; ei^pèce de carbatinq eu usage chez les
Feaux-Rouges ; Amérique du nord, 47, BO et 81+
Modeste» — Xom donné à la robé dé dea-rus, très étoffée, des
dames de Tépaque Louis Bill : France, di-'î-septième siècle,
3Ï9. VHr FRiWîîE, SKcnfeTK.
Modus. — U ourses de csBàla arcrcli fonroissaut une aiilXî-
tauce végétale que leâ Hotientotâ emploient pour la téin-
ture des cuirs ; Afrique, 7&,
Moggans» — lias écossais, 425 et 420, 427,
Moi-bukooroo. — Sachet parfumé; Japon, lOl,
Moiiihoau+ — Pagne eu étoffe ; Xéo-Culédonieus, Océank-^
«U-6l.
Moko. — La teluturc du tatouage i^ar incision et pur abré-
vîatiou le tatouage; üeéaniCi fiq-Sl, ft3'G4.
Moiàtta (éperons i^). — V&ir J^I’KIcokë,
Mollahs» — Ceux^ eu Ferae, qui se consacrent à Fëtude de
lu jurisprudence, de la morale et de la théologie, 1*2+
MoLIoquin- — Voilette ou gaae en itsage chc* les clained
des (inatoixiéme et ([uinziéme siècles ; Fmnee^ 311.
Molldtlèl'es. ^ Fièeea d'armure^ défeusie de la jambe ; Bu-
rope, sclrièiuc siècle, 300,
— MoUetières du iiaysau ; France, 49-1+
Mona. — Lé chiguoii des ttytercn: Es[uignC;, 4 70 et ITI,
Moncauty. ^ Auiieau nasal ; féuime^ indoue^, 123.134, 123-
ModUq, — Nom gèuérique que les llomaitné doiinnionl aux
eoUicis; l>e muKin, pràicut; parce que, de tous tem|i9, œ
fut un de ceux iiU'on faisait le plus ordinalroment. Fcic
COLLlEIt.
Moniaqpe. — Bcscémlaut d'uu Edpàgnol et d'une mulâ¬
tresse; Mexique, 79.
Monocorde, — Instromcut de rautiquité eu ferme d'urc+
üu désignait alivsqnu moyen âgé, deux sortes d’instruments i
l’uii qui semble n'a voir été qu'un lUaji^LBCiu ; l'autre, tort
grandi, monté d’une seule corvlc, sorte de tympanoa dont on
jouait â l'uidc d'un archet; il tenait alora lieu do riiwtru-
ment aujourd'hui iip],iclé 43. Koii* Pilobde.
Moîiodermon. — Chaussure greeque faite d'un seul mor¬
ceau de cuir, du genre de Lk çarbatibe; «Itlquîtéi 47+
Montauban (chapeau dé)+ — Foïi- CiLvPii.tt\
Montauran (modes 4 la). — Fremièrcg un nées du règue de
Louis XIV ; France, 340.
Maoto au cieL^ Coiffure eu cheveux coiiséjrvant les hautes
proiKhitloiis de celle à Ui jèV/t/c/wÿs'; toque de cérémoaie des
dames de l'époquc Louis XlV, 35&, 360.
Mouté^lA-haut. —^ Les étais de métal de la coiffure à Iti
Fmtaaÿe; modes} féminines du rigné de Louis XIV, 353.
Montera. — Eoiinet en pointe; coiffure des nioutognards
galicieos, des habitants de la ■Vicille-Castîlle et des liomuiéi
et des femmes de la province de Ségovie. Espagne; 472+
473, 476*
Montorilla. - Le petit L'liu|>cau des ^oncrew; Espagocj 47 u
et 471.
Montgoilrcr (coiffure à la), — Modcsâ fémiuLues ; Frauce,
17W3-1Î84 ;
Montivandè. - Fjus fruuC'Ù!> de répoqttc Louis Xlli ;
dix-3éptlème âltcle, 328+
Moondah. — Fétiche, oruoment en griffe do tigre,' CalJOb;,
67-68.
Moques. — Bols à, anse^; ustcDsiles bretons,
Moraohe. — Guitare mauruïiquc, 122. FûfrduiTAîtï:.
Morion» ^ Ca-'^que des gens do pied ; son timbre, moins
sphérique que dans lo-t autres casques, eat plus tranetiaiit
et clkargé d'une crête tn>s haute ; un rebord assez large eu
accompagne le Ijhs. Europe^ eoizîcmc siècle, £56, 257, 263,
£70 et 27Î, 301.
Mortier. — Coiffure des cmi^rcurs bysantins, devenue ans»!
celle de quelques rois de France. Lorsque ocux-éi quittèrent,
le palais de la Cité, à ParlSj, pour en faira le siège de leur
{karlemeiit. iis laissèrent l'nsagc du mortier â ceux qui de¬
vaient y présider. Le mortier du chanceUer était en drap
d'or, bordé d’hermine ; celui des présidents,en velours noir,
I avec deux galons d'or pour Iç premier président,^ un seul,
pour les autres. Le mortier sc mettait primitivement sur In
tète, par dessous le ohaperoii; puis V usage !}'établit de le
tenir â la main. 35 Ij 369.
Mo3cshetto+ — Voir MohstîtKT, lüui&AL DKquiy.
, Moaaa. Moasan.^— Le nom do la femme et céliiî de rhounne
I ehcii léâ Lujhmi^, 411.
Mouchâfabiéa, Mouohârabys. — rariiea d'une coiiâ-
tructiou disposées eu éiicoilxdlémenit ; arclntecture orien¬
tale, 9j 174,
Mouché. — Bouquet de poils placé sous les lèvres; première
{kartlo du dix-SépUèmé i^ièclc; Euroi>e, 361.
Petit morceau de taffetas noir gommé, de fu gruiideur
d'une aUe de mouché, que leê liâmes du dix-septième siècle,
aLosi que quelques Dlégants du dix-huitième^ Sé mettaient
sur lé visage pour en foire paraître le teint plus blanc, —
de mal de denfs; mpuche asüttsine* — Î28+ 3ôl,
395, 373.
Moue battes. — Atmtt ic seizième siècle, époque ùù luifureut
les premières mouchettes à détontc, les ûistrumeuts qui
gcrvéut d moucher les chandeUes sout meatiounêif $OUi» lé
nom dé «fjàitu~; Europe, 376»
Mouffles. — Evasement des munebes; costume civil du
quatorzièmei^iêclé. Europe, £l>6, £11*
1 Moujick. — Nom du paysan russe, 443.
— 22U —
Moulinet-— ïû^r AnitXLÉJE atouiïoii a JIuukle*
Mour-pounky. — k Tête de }^ou ï»; bateau de piaLîiiiicc
dont la proue porte Timage d’uue tct« de paon ; Ibde^ 131,
Mousquet. — De TltaJicn motche&o. Amie & feu dont riii-
tro<]action eu France date de l&âT. Lourd et grosat^rement
fait, on ne remploya d'abord qu^à l’attaque et à la di^fense
des places f BOUS le nom à mécAt? ou fmuj^uff
biscfiifn* Perfectionné en ISGT, il remplaça complètement
^ancienne arquebuse [ pour s'en servir, on l'appuyait but la
/ounfuine {voir ce mat), - Jlomqtttt à roècftc, à rot/et, ù «it-
“ 219, 2b7, 266, 2T5, 3Ü1, U^, 343.
MoustfUfUtirfs ^— ^Idats armés du mousquet. On donna le
même nom à un eor|>«i do cavalerie d'èlltc qui faisait iiartie
de la maiBoii militaire des rois de France. Il se composait
de doux compagnies qne l’on distinguait par In couleur des
cbevaux ; de lA les moustfut'tairf^ ^ris et les m&iuçaeiitims
U0ir'J* Fmncc, seizième, dix-septième cl üix-tiuitièmc siècteB,
:!a7, U7b, 301, 342, 343, 381, 392, 384.
Mouaquinn. — Le^ qui âortcïit Fieul!?, satiB escorte ; lo$
< gens de rfta », selon les ArnlMji ; Afrique, 72.
MoustâcIiC. — La barbe de la lèA're Supérieure, —' Longue
méclie de cbeveux nouée avec un ruban de couleur, laquelle
s’appela plus tard la France, époque Louis XII1.
326. 327,328, 361,
Moyenne. — Plêoe de canon du seizième siècle i France, 257,
Mozette. — Pèlerine^ costume eoclésiastique, 147.
Mozos de corde 1. Commifieionnaires de Madrid, Guliciens
l>our la plU 3 iart ; Espagne, 476,
Mpafou.— Huile parfumée dont se servent les Cafriiiespuur
FôucUon du corps; Afilquei 71*
Mudjeweze. — Turban de velours; Turquie,
Muezzin. — €. à d, <( qtai appelle i», le crieur qui annonce
les heures de la ]>rièTe du haut des mitiArets ; inusulmans,
146 et 146*
Muhuri Suleiman. — « Sceau de Salomon n ; bijou que
Ton flusîsend aux colUcrs; Tunpîic, ISÜ.
Mule* — Dérivé de fnp//feu4chaussure liturgique, 4 7, 1&4,
^fulr^f de Venise. — Dames du seizième siècle, 273.
PlANKtLli»*
Muleta. ’— Petit morceau d’étoffe rouge employé iiour ef¬
frayer le üiureaUj dans les fiestas toros, La muleta ]H>rte
aussi le nom d’^m^uno^ qui signitic c tromperie » ; Espagne,
470 et 471.
Muli uaariaui. ^ Sobriquet douué aux siddatâ de Murius,
liaroeque, comme des bétes de eomme, ils jiortaieiit leur
charge sur le dos; EomaiuB, 30-37.
Mulleus. — Lu bottine des patriciens romaiti;^ ; Pline lui
donne le nom de mulieus caleeus; antiquité, 47*
Multani* — Colporteurs bnoyaii^ ; Pendjab, Inde, 13ü.
Muscadin Br — Les jeunes gens dont les clieveiiE ]jarfumés,
sentaient comme le musc ; telle est rorigine du mot que
l'on appliqua aux jeunæ Lyonnais qui avaient résisté k la
Convention, puis, par extension, à tous les fietits-maitres
do l’époque de la RévolutioD française* 464, 406.
Muserolle. — Harnais du cheval, 222.
Muaico t^mborilero. —Joueur de tambour; (joUeu, Ks-
iNigiie, 476.
Muyneira. — <i Danse de Iji mennière n ; Calice, 476.
Mystère. — Kom que l'on donnait à do centaines escaxee) 1 cï>
contenant des objets variés; moyen Age, 226.
N
Nacaire* ^ De l'arabe naAefrih; tambour sarrnsinois. Al¬
lemagne. iicizléme rièele, 272,
NadaBS. ’— Cliatis.'ïUrcs légères giLridcs du brides et de houp¬
pes; Arabie, 186*
Nadol, -— Diadème de cuivre; parure des fcuimes de la
. Bohême, 433.
Nadzatylnik. — Pièce d’étoffe retombant dimB le doB ; fem¬
mes de Torjok (Russie) t 43 B et 433',
Nakara. — Nuance rouge à la mode dans lea toiletta; fé¬
minines de la tîn du dix-buïtièlUO siècle et des premières
années du dix-neuvième ; France, 391^3112, 338,. 406*
Nalfiut).* — Patin en bois précieux. Incrusté de nacre, d'î-
voireet d’argent ; Turquie, 179.
Naoa* — Palanquin royal ; Égypte antique, 8.
Nardicum* Hulio de Uvninle en usage dans les bains
I ïomflina, 46*
Narghileh, Narqrull'Ëii.'^ De narçliil^ noix de coco. Pipe à
eau consistant en un tuyau perjieudiculnlreadapté Aun vase de
forme ovaïde et terminé eu i^ointc. Dans certaines contrées
de l'Orient, le vase de cristal ou de mêtâl, mais A Bagdad
la noix de coco est encore d'uu usage général, 141, 142,144*
i Narta * — Traîneau des Komtchadales servaut au transport
dcB bagages; bo» attelage coiuiiorte dix A douKe chienis,
83-84,
Nariacliis. — Classe de danseuses qui accomjjugueut les
processions ; Inde, 12ô.
Nartex* — ToL- FEiiULA.
jVifjviw/>Ao;vj, —’ Les priiiccâ grecs porteurs du narefj*,
183*
Nasal. — Partie du casque ecuvraut Je nez et joiguaiiL le
rcwMif, — kaml normand. — 2UI, 204,307, 217, 264* 260.
Nautile* ^ Coqnllbige uuïvdIvg de mer et d’eau douce;
nautiles montés eu forme de coupes et de ilnigeoLrs ; Eu¬
rope. dix-Beplième siècle* 317.
Navajja. — Long couteau en usage dans les clasees popu¬
laires de rE^pagnOi 476, 4TÎ-478. Pote CucmLLO, Pl'N.'.LK.
Nâutch girls. — a Filles de ilunse s, bayadères faisant purtie,
ainsi que les eancenU^ delà troisième classe des dunseuj8<(% de
ITrjde, 124» 128,129.
Navlcella. — Boucles d'oreilles des femmes de ta province
romaine ; Italièi. dix-neuvième siècle* 31» 467*
Neerlje ou Oppertje. — Espèce de Jeu à pile ou face
exécuté av'cc un couteau lancé ea l'air; Hollande»423*
Négligé. -— Nom donné k nne toilette de moyenne tenue
qui eut beaucoup do vogue pendant la eecoiide partie du
dix-hoitiôKie siècle; Franco, modes fèmliiiiica des règnes
do Louis XV et de Louis XVI. — Sét/liÿé (drwif)* *-* yéÿlifft
à Vespa^mte.^ZÛl, 370, 373, 390, 391-392, 398. Voir DjèS-
IJAUILLÉ*
Nekkekh, — l'efr FtAGKbtV-U.
Nicollotti. — Gondoliers véflniens vètita de couleurs sota-
bres; Italie, 239*
NiËderleibel. — Jftqiieitc nie dr-ip ; Tyroliens, 433-
Nimbe (n/mftuj)- — Bunrlelette qtie les femaiGs portnîeiit
pour fixer leur voüe sur le front; Grét'e, ïl»
Ninon (coiffure à la). —Damca du dix-septième sii’s;]#, 323,
Niutze» — Suivante, femme de serTieo ftttàclièe k la mai-
soD impériale; Chine, 8&.
Njalla, — T-e ganle-manfrcr des solitude», chc! les Dipon^,
411.
Nkola. — Pomniûde de terre rouge dont les Cafrines en*
iliiîscnt leitrM elsefreux; Afflque, 71-
Noaaid, — #t L'homme de la bonue ûTcnture n ; sorcier la-
jion, 41L
Nœud d'amour (cornions de chaussure liés en). — Europe^
seizième siècle, 27fi et 277, SeO„ Voir Soulier a rosT,
Noir jais, Noir (petit). — Xiuinccs de perrnque ; France,
èpcK{ue Louis XIV, 3^1.
Nolards (frères). — Sarnoiu donnù aux religieux (thmaTidis
defonlredM a pauvres volontâiTcâ n, 138.
Nolotte. — Timbre derhorloj^ ^ rtoltls ou à phmbt; Eivro|i®.
moyeu âge, 231.
Nora*Nan. — lîrifiuet du Botociido; Amérique du Sud, 7C.
Korimon. ^ Palanquin â l’usage de la noblesse jnjKOtiaise,
103, Hifi.
O
Obi. — La large ceinture des Jui>onaiües, ÎÛl, 102, lOS,
Obstragula. — Courroie qui nttaehait la cnf/jfde,’ nutiquitè,
47-
Ocaignèe. — Peau itarfunu-e dont en faisait les éventails ;
France, Llix^scplième siècle, âM.
Ocrea (nvripicç). “ Arranre de la jamlije; nom que ks Ro-
inalns donnaient â la (némith, SO-ST. — llmdequîn ; aiiti-
quItA, 47.
Oculifarium. — Étalage, mcuUrc de marchaud romain, 33.
Odallatiues. Odaliqa. La majenre partie des femmes du
liarem impèrid ; Turrîule, 172-173.
CEcus (o’kO;). — Salle d’invention et d'origine grecque qui
servait aux fedins ; maison romaine, 33.
Œcu4 ..+A./ji 7 >dus. — Salle qtii avait un toit supîiortè pur
un double rmig de colounes-
fJScNA corynfAiM, — Comme l'ufriwni du même nom ; il ovaît
un toit en voûte supporté par des colonnes, mak saua ou¬
verture au milieu^
Œcus eÿzireNffs. — Celui particulièrement in^tnllè iroiir
l’été*
Œcui tetfosti/tot. — Comme du même nom, mais sans
fmp/jïiinm et avec uu toit couvrant le carre compris entre
les colonnes et les paieries.
Œil de poudre. “ Légère teinte de pondre jetée sur les
cheveux, — /V/jf dr poudrt. — France, dis-ljuitiéme
siècle, 400,
Œillères. — Partie du castnue ; ouvertures résen'^ées jToiir la
l’ue; Europe, fin du don/ièmft siècle, 202.
Œrianthinum. —^ Parfum fuit avec la fleur de vigne sau¬
vage; bains ronmiiia, 45.
ŒlriopolË (oïvoTrtijXiov). — Calxiret ou Imntique de mur-
chaud de vin; uialson romoinei 33.
CE ris. “ Officiers égyptiens porteurs du palanquin royal ; an¬
tiquité, S,
Œurf. — Turltan des ulémas ; Turquie, IGîi.
O ifertoire. — Cmller à parfums ; Égypte antique, o, 7*
Officiers s aux » gardes. Officiers des gardes-franv-air^ee.
— O/JicUri « dw 1* fpirdrj* Officiera des garnies du corps, —
France, dîx-septîémc et dlxdiuitiéme aièclcfi, 343,
Oho*— Inatriimeut aratoire des lies Paiidwich; Océanie, C3-
6 - 1 .
Oilab Namszy. — Prière du milieu du Jour; religion nni-
sulmano, 143 et 14S,
Olearium. Dépendance de la cuisine,’l'endroit de la maison
romaine où l'on mettait l’huile renfermée dans des jarres;
33.
Olifant, Oliphant. — Coruc de guem et île chasse liabî-
tneUement faite d’uue dent d’élépîianb; Europe, moyen âge,
193, 201, 247 et 243*
Ollatulis* — Bardi^s écossais et irlandais, 425 et 42G.
Oint'à. — De omam, commaiuler. FrincCj chef gouvernant
an nom iln Grand Mogol ; Inde, 112.
Onbachi, — Cniioral zeibek ; Turquie, 17".
Opînci. — ChaaTsnre on iicaii de chèvre ou en peau de cheval
éeme ; RoiiuialDS, 443.
Opistosphèndonô.— Baiirlclcttc dont la partie large soute-
îjait le» cheveux on arrièno cj^mme nn réseau ; iMiiies grec-
qucR, 2L
Opo^gnetoha. — Ample manteau h manches ; vêtement que
Ica pDlonaia emprimtèrent aux Tartnres veri le coramence-
lucnt du seméiuc niêcle, 453.
Op'us signinurn. — ComjîOijition servant â faire le pivago,
ipii consistait en tuiles bris/'cs jutr meiina morceaux mélon-
gt’a de mortier; antiquité, 33*
Orairâ (tv-ar/UîîO* — Bande dé linge, wpèce de moucliotr en
usagcchcz Ica Eomaiua. — Nom donriéau niHnîpuleprimitif ;
vêtetneiitâ sacerdotaux, ÎD4*
O rang-Kay a. — Le noble umlak. — (?nstnf/-«w/(Tjf(jiw,-rbomnic
iiudaiB- — rhomme du aol. — Océanie; e3-G-t.
Oreilles de chien. — Jla^-es de cheveux cachant les oreilles :
coiffure des femmes yliatea (Perse), des incmyables du Di¬
rectoire (Fiance), et des (7nffc{;04 oh GoLieiem (F-spagiic).
135 et 139, 404, 47S.
OrCilIous- — HarnaiH du cheval ilc guerre; Etirope, sei-
xiémo siècle, 290*
Orfrois, OéfreiSr — rasüemcnteries,, fraugot» et broderies
d'or employées pour lM>rder les vêtement». Ki un habit était
entièrement brotlé d’or, on dirait qu’il était à or/roü ou a
d’or/ifGii disait aussi or/rftijir ûii or/rasfr une
l'obc, pour lioptcr nue robe d’orfnoia, Eiiroïic, moyen âge, 193,
194.
Orge. — Collier arabe ; parure des pc«omies riches, 463.
Orgues portaUvee. — Petites or^^ues d'usage profane; on
cû jouait d’uue main pendant que l’autre faisait mouvoir le
souffiet. Tri^a répandues )>elvlant le moyen âge, leur ufogepc
prolongea Jusque dnort le qtituxiénie siècle. îf>2.
i
II
Oriflamme (firijrtimi^t tffuijîûr), — ÉSsijfrcc de gniiùiiUDii en
Laffetaa, sans tiroOerie ni (Ignref feiidn ptir le 1»;^ en trois
pointée!^ et Biispeinlii an boni d‘\inc lanee^^ Le rtem d’eri'
donné à la banniérn qui était portée rlevùtît les rois
de Fratioe et que Ton conserTnit ;(>cndànt la paix dan? le
ttt'fiOT de rabbaye de Saint-Denis, semble aTOir primitive¬
ment déRigiié tODt étendard rojat, FtiiïiMi moyen 202,
Ororo, — Les oLseaiix du Botoendo ; Amérique d»i Sud| 7(î.
Orslef, — Curc-oreliles î Lapons, <11.
Orta-couschak, — Veste îongtie; Turnme, 165,
Oakh, — Collier; parare égyi>tleni3e, 3,
Oatiiim (ÔiJpa). — Porte d’intérieur. — Slftison romaine;
<'ijtiant{i (Civpü>pâî) : ]o portier, 33,
Ottapasch Porrutschnik. — Lieutenant des janissaires
de la Knrdedrs rois de Folofroe, 4," 1+
Ottat. “ ranler dan!»leeiiiel le Dayak met la tête qu’il vient
de tranclier; Océanie, 63-Cl,
O'ualemg, — nlffériennes du premier raiip; Afri-
qno. ie4. —^ leir GltAnFAZY.
Oudo-poorters, — Les a vieux Inurgeois b d’Amsterdam;
Hollande, 421 et 422. — Tcnr BrnositWEEFïHUif*.
Ou^ada, — Êcrin renfermant les objets précicnx ; Arabes,
1&5,
Ouïen. — Partie du casque : ouvertures percées sur les c«tés ;
France, fin du douzième siècle^ 202,
Oukil. — Gérant de la caisse mtmiciiialc dans les villafires
kabyles; Afrique,
Oulous. — Villages temporaires des Ksimouks, réunion de
HbiHo; Russie, 446.
Ouol. — Chevet mobile; ^ypte, fl, 6+
Ousta-cadinn, — Surintendanto du harem impérial ; Tur¬
quie, 172'1?3.
Oustaou. — La maison des Landaîa; France,
OuBtrougba. — Manteau des femmes bulgares; Turquie,
462.
Outtavasangha,. — L'nnc des robes de couleur jaune (cou¬
leur sacrée) des prêtres kauiiiens; île de Ceylaii, 132,
Ouvrages de Damae, d’Inde, Sarrasinois. — ïXr
Damas, ISDRet Sahuasixois.
Oya “ l>eiitelle, passementerie légère, exehuîivemeut
fabriquée en Timniic. !"£, 170* 177, I7fl, 179.
P
Paboudj. — Vetîr BABoui'iiE.
Pacolets. — Dragons volontaires du man'ohal de Saxe;
France, dbc-lmitlénie siècle, 383.
Pago« — Nom que l’on donnait, au moyen ûgc, aux enfants
des gentilsliommes, lorsque, dès l’Âge de sept on huit ans,
îLb étaient confiés  quelque chevalier ayant un état de mai¬
son et des officiera fiemblablea h ceux qui composaient une
conr souveraine. Les pages étalent aus^i appelés ou
dumotreanfr ; Us remplissaient de certains services damestlques
et faisaient leur apptentir^sAge du métier de ta guerre. Plus
tard, quand les gentilshommes purent entrer de bonne heure
dans Farmée, les rois et les princes seuls curent ties pAgi,»A.
Europe, moyen âge et seizième siècle. 518, 222, 238, 939,
270 , 271 , 974 . Frtfr FflTV f: lE, RXFAXT D’FrOXXKL’Il.
Pagesas. — PayiSn^ de la Catalogue. — paysans
majorquins; lies Baléares. — Espagne* 474, 48L
Pagne. — Vêlement qui envclopjîe le corps, de la ceinture
jiisqu'aii genou ; Asie, Afrique, Ûcéatiïe, fîÛ-Sl, 63-64,67-68,
70, 71, 72, 73, 129. Voir Jahit, Mauo, MeuxiieaIî, Raiî-
«ON'Gt TAÎ t».
— Voile d’enabarcaLion ; Océanie, 63-64.
Pailo. — roii* P.i^LLiyil,
Pailletés. Hutlc't des villages knnaqncs: Xouvelle Cnlc-
donie. Océanie, 60-01.
Paix, porte-paix. — Tablette de îwîs^ de métal eu d’ivoire
munie d^unc nijse sur sa* face postérienre, et destinée n re-
eevolr le Ixiiser de |tfilx que les fidèles, Beînn ieg tradition*
de la primitive Lglwe* devaient se donner entre eux peu-
ilaut le saeriticc de lu m»^, 19C.
Pala. — Le dmcteire des Dni-îes; Syrie, 179.
Palais-Royal (ehajieau au). — Dame^ du règne de
Loiil* XVI; FraiïEîe dix-buîtlême Blècl«, SS-u*
Palanquin. — Espèce do littéro portée par des homme», et
dont Tuauge remonte à la plug luiute antiquité. Dans l’Iiidc.
en Chine et an Japon, les jialanquîns sont de piimleurs: gen-
TCB et reçoivent des noms divers, S, 8”, fiâ, 92-93, 100, 106,
124. 125, 127. Veir CAXQf}, Chaupal* DOli, Jalt.KDàR
Naos, Nürimox , Balkya.
Palaska. — Giberne du Zeibck ; Turquie, 177.
Palatine. — Ornement de cou eu dentelle pendaut l'été
et eu martre pendant EhEver; mcxlc» fêiïiiniues du dix-sep-
tièrae et du di.x-huitiéine siècle, 355, 367.
Paletot- — Norn. donné 3 I 1 la èui/uc du moyen Age niiguientée
de manches volantes; France, 217. 221.
! Palillos. — Voir Baxdehïll.as.
I PalLssadee. — Les étsls de métal delacoilïnre à h Ftynfauf//^î
modes fémiumeA de la Su ilu dlx-septléme siècle, Europe ^
353, 3&4, 355, 360. F<u> MONTÊ-l-A-ïlAüT.
Palita, — « Gens du pU js, déslgnatioa donnée jadis aux
Mina, liabitonts des paU, enceintes fortifiées nu milieu des¬
quelles étaient leurn liemenres ; Tnde, 12H,
Palkys.— Nom gi'Uéfïque des juAlauquins IndouB, iso. Voir
CïiAt'rAi-, DùLr, JAUÆn.^îE.
Palla {luoTi;, tiÉtiXov). — Tumqne de cérémonie des Elamcs
grecques. — Mante^iii long, quAdrangulaîre, qui était pour hs
•lames romaines comme la toge pour les hommes; la ptillu
romaine se voyait nusai chez quelquesbommea efféminés. —
J^flh ffcllica; espèce de tunique A manches que portaient
les Gaulois. Voir Cahacali-A, — Pnila tticcincfiiî ser¬
rée autour de la taille ou au-dessus ilfô hanches au moyen
d’une ceinture. — /'uÎ/jiiVu,' palla rétluite. — 19, 20 , 40,
56-57,
Femmes kabyles portant la pffllftf 150, 156, 162, 163,
PaUiuni (eTïioï.ïijAa).— Manteau drapé fixé au cou ou surTé-
imule par une broche ou fibule; pièce principale de l’ami'fikj!,
vêtement de des-sns des Grecs, comme la foçe l'était de
r<rmîc/ujf des Komains. Ccj derniem commencèrent â adop¬
ter le paiUnm vers la fin de la république et T usage eu de¬
vint fréquent sous les empereurs; il remplaçait la toge^et
se portait sur la tunique; les femaiea le rcTÊtaîeïit ftusfii.
— Le pallium des roUt du moyen dge ressemblait encore nu
manteau des anciens Grec*. 16. 17. 20, 56-57. ISI, 188, 189
207 fit 208,
Paffiatui. — IwrC Grec jiorÉeur dû 4d,
/'alliolum. ^ Diminiitir du pnlllum; daiV4 niions
rail toat manteau port'é do la mùmc mfiul^re r^ue le paL-
— Omemciit eocl^iastiquCi marque distinct îtc
des métropolitains ou àTcheTèqiieSj consistûiît en une ijnnde
d'étofTc bluDchc ornée de crüix noires qui entoure les cpsii^
les et retombe devant et derrière. Le pape envoie le pallium
nujc arehevéques en signe dé jiiridiotion^ 182,^ H'-t. Voit'
S^RAJlMALI.S l'ftOI^OXlJUAI.
Palmâta. — fipitliètü donnée à lu tunique que Ica Homains
portaient sous latoj^a jKtlmafti, 181. Voir Toüe.
Paludamentum. — La chiamÿdf des Romains; nianteaii
militaire que Ur généraux et les officiers snpijfrie’iirs por¬
taient par-iJeasu-a leur armnre,^ C'était awasi un lUAntcau
équestre, lea üreos rappelaient Mpjtottoh^ habit de cheval,
34, 30-37,40.
Pan, — La partie étoffée du Ims de l'hayt Ifuitit à ptmjt
t*ouillonfn^j; FVauce, dix-huitième sièclei, 367, 3(10,
Panache, — Rouquet de plume^i aurmontaut la crête d'un
cosqoe ou de toute autre coiffure militaire. Ven le milieu du
qiiiiii7,iènite siècle,cet ometnent prit laveur dans les toiimoiit
où Hguratent les che^'^alfers. Lorsqu’on donna aux panaches
un développement exagéré, ils se cotiiposèrent d’une quan*
tité (le plumes de liérou qui reçurciit le nom de miisst:s^
Dos panachés en ijutewe dff rentiré ornaient le chapeau des
élégants de répoqtte Louis XIII, 218, 220, 253, 254, 253,
2SG, 2S8, 261,270 et 271, 3ÛL 328, 32&, 342. Voir
Plvmail,
Panathândïcon, — Parlum eu usage dans la toilette des
dames grecques, 18.
Pancerns. — Cuirassiers de rarmée polono-lithuanienne;
dix-septième et dijÉ-huitiènie stc-cles, 4S4,
Pancrace (îtayKjpiTtov)^ Combat 'gymnique qui avait
lieu entre deux athlètes s’attaquant par tous les moyens d;i
pugilat et de irt lutte, 25-20,
Pandero, — Le tauibour de basque rtes Gaîicicns ; Lspagiie,
476,
Pandore (grande). — Poupée modèle qu'il était d’usage d’ha-
biik r à l’hûtel de Rambouillet et dont ou envoyait des co¬
pies & rétrfttigCT, — Pitndof^ (jvfifc) ; modèle pour le dèf-
hobiiîé. — Frnnee, rtix-sepliéme eièelo* —- 352, 353,
Pandura (TTàvSoOpa). — Instrument à trois coinles; anti¬
quité, 43,
Paniera. — Cages composées de cercles ou de cerceaux en
baleine, en ioïic, ou eu IjoLs loger, qui reçurent, dans la
suite, une application de tolîCi de taffetas, ei même de sole,
de manière il en Mrç de véritables jujws. Cette mode, euite
des vet'îNÿadfs, des crtardei et «les ceroeaux, jKinit en France
dans les premières années du régne de Louis XV, et siiteista,
à tiavera de nombreiise? métaniorid^oses, jusque vers 1787,
époque où elle tomljia en disgrâce.
/•auiers {demi-} OU Jaméiiistes. — Courts jupons dooblè-a
de crin et piqués, qui no dépassaient pas le genou,
Pauiers à coudes^ ^ Ainsi appelés piroe que les côuilcs
]x»avalent s'appuyer dessus à hauteur des Itanches* Ils
avaient cinq rang de cert:lcs dont le premier se nonimait
trotînmat^,
Ptatirrs à Îtî caupote. — Ceux arroufUs par le liaut, Ils pïé-
sentaient uue circûnféreuec de trois aunes d’étoffe*
à çttéridou, — Ceux en fonuo d’entonnoir*
— 367. 36A 369. 370,371. 373, 388. 389, 301-392, 398.
Panne ^ Ktoffe de toile dont ou fait
les ît^lIes chez les paysaimes de la province romaine ; Italie,
d Ex-neuviéïne siècle, 468.
Pannetière. — Marque de pèlerinage au moyeu âge ; on la
pirtait en baiidoulièru* 2Ü3* r6i('r ÉeEiAUpK.
Paiinetière du paysan, 269.
Panncncel.— HjïVPkxxox.
Panrr pardo. — Laine grossière! fabriquée dans la province
ileSégovLe; J^spagUé, 175*
Panse, Panaeroa. — Plastron en panse, dit à ta poalaine
(ou à (ft potoïiahe), et formé de deux épaisseurs de bourre,
Fuuc piquée dans itii gilet do des^^us, l'autre dans le jiour-
pohit, ce qui donnait ù colul-cl une saillie projetée en
avant, Cette mode commune aux deux sexes, s'étendit jus¬
qu’aux eiiiraa^es des homniÇR de guerre. France, ecizîème aiè-
oie* règne d'Fleuri JU* 264* 261, 269, 274, 275* 278, 289,
Panaerâtoâche. — Voir SABnfrrAciïE*
Pansiêre. — Partie de l’armure d’acier couvrant le devant
du corps jusqu’à la ceinture; l'autre partie était appelée
dossiére ,► eiisemble que l’on a depuis noniuié très impropre¬
ment cuirasse, Europe, mo^ven ilge et seisième siècle, 2 (j4,
217, 219, 260,
Pantalon. — Culotte à longues jambes portée dès le sei¬
zième siècle î)ar les prolétaire^s dg la république de Yeniee.
Les Vénitiens étaient désigné» dans la liaute Italie par le
sobriquet de /-VintetéoMi* à causse, dît-on* de la dévotion qu'ils
professaient pour £nint-?antak'on ; ce nom ]iassa à leurs
culottes. Ce sont les pgr.-sonnagee de la CouQjkUc Italienne
qui tirent eoiiuaitre en Fntnce le pantalon, lequel ne s'in¬
troduisit que daiiB les costumes de fantaisie réservés aux
balleLs; les seigneurs de la coirr de Louis XlII dansAleiit
en pautalon. Cette pièce du costume lit son entrée déâiiitfve
dans la toilette des hommes vers les premières années (ïu
dix-neuvième siècle ; elle avait été la p^trtie fondamentale
du déshabillé dit en cheniiîe que les jeunes gens mettaient le
matin au teinpé de Lonis XVI, Les hussardi^ de cette der¬
nière époque portaient le pantalon collant avec de» Ixjttes à
revers; celui des marins était large. Les ouvriers l’adopté-
rent aux approches de la Révolution ; ce qui, plus tard,
donna isaissance à répitbéte de sans-cniotfes. —
à raw'i," arnïèes républicaines. — France, flji. du <Ux*hui*
tièüié siècle, 386, -KJÙ, 405, 410* Toir Ckaiavar* PVTJA^tA^
Seroüal,
PantophelLog. — ChauRsure à semelle de liège; mot d’où
est venu celui de pnjitou/tes ; antiquité, 47.
PantoNifei. — Jîuiea légères* Costume fèminiD de la dû du
quinzième siècle; Europe, 246*
Panurge (natte à la)* — Hommes du règne do Louis XYI;
France, 1T86* — (chapeaux à la); damefl de la même épo¬
que. — 391-392-
PapilloTii — Épingle à tête de diamant faisant ^îariie dc la
coiffure ù la modes féminlae» du règne de
Louis XîV* France, dix-septiètue siècle, 354* Voir Firiïa-
SlICNT, Gbftï'E*
— Cornette très légère ; toilette d’intérieur des dames du
dlx-buUlèiug siècle, France* 371, 398,
Puppoosse. — Nom donné à l’en faut* chez les KilMmouî de
la Californie; Amérique du Nord, 82,
Paquet (chevelnre nouée cn>. — Arrangement des cheveux
accompagnant ia coiffure A Ta Fontt^nae ; modes fétoinines
rin (liK-scptiènie siî'xîle; France, 3p'i3.
Paradox. — Auberjr* esimi^nolc, 4 77-4 "8.
Paralourgis. —Robe bonite juir Jlevfitit, et d-Ans la Ioh-
^iieiir, de deux baiirlcâ onliniurcDieiit de pourpre marine ;
les loulenf» rft.ppGljüent jtfehÿnih ; Ürèçc antique^ 25-2fi.
Parang. — Giaire ea iisnge à Bornéo et aux Célèbesj
Océanie, Ga-64, 65 et 6G.
Parasol ((îxtdSÊtov. iifîi6mfu/iini>, — T/u-iage da
parasol était très ri'patidil eu Grèce et ^ Rome; an ap^^e-
lait timbellir'tpa le-? ewlavcs qui en étalent portenrs j nnti-
quité, 8. 11 et 12, 18,
Parasols africains, 69, 71.
Parasols chinois, japonais, indous, 87, 89 et 90, 92-98, 101,
105, 132.
I^e parasol d^ souverainâ mogols, 113,115, 118, — Celui
des doges de Venise, 199.
Parazonlam. — Le glaive des tribuns et defi offleiera supé¬
rieurs de rarmée romaine ; antiquité, 38-37,
Parement (oraains). — Ce qui iwre. étoffe qui pnre.
dit de}, — S’entendait au moyeu âge
comTue vêtement d’étoOfe porté sur rarmure, La cotte d*'ar^
mé4 était un parement lorsqu'elle reoouvrinit le AouËer; ou
la broifjne. S<m8 le règne de Cliarles V, les suncots d^armest
posés sur l'armure de maille? furent de kmgs vètemente
iralDBut jusqu’à .terre, auxquels on donna aussi le nom de
paremmf. France, 302,
Parrmevt. — Pièce d'étoffe brodée ou brochée, couaiia
aux mancliea et âur le bord inférieur de l'aube; vêtements
sacerdotaux du clergé latin. Europe, moyen dge ; 194.
I^retrtenf. — Revers de la nnuiclie de l'habit. Dix-sep¬
tième et dix-huitième siècles, 351, 8G7, 389,
J*ttremen/ (chambiv de), — Piàoe de réception des palais
et des maisons seigueuriales ; Europe, moyen âge, seisicme
et dix-septième siècles ; 293, 344-345, 347.
Parepain. — Couteau à cliapeler le pain : Euroiu*, moyen
Age, 399.
Paresaeu&e (bonnet, chignon à la)* — Jlûdes féminines de
la Hn du dix-huitième siècle; France, 391-392, 397.
Parfait contentement. — Noeud de ruban placé nu
haut du corsage; dames dti (Rx-hultième siècle ;Fraiice,367,
388.
Pariâhe- — I-c? « hors castes », owf ludWi 132.
Pariphès, Paryphès. — Tunique d'un tissu transparent,
onioe de broderies et iMtrfois i>ordéc des deux côtés d’Uîié
bande de couleur: Grèce, 2u, 25-2G.
Parma. — Bouclier circulaire h rusage îles t^Utn, troupt^
légères des légions romaines. — Partm fhre^îdima; le bou¬
clier de» gladiateurs armé« A îa fAriJcietme, — 38-37, 202,
Parva cana. — Cape ronde, sans capuchon ; Italie, pciiièmc
fdècie, 244.
Pasd'ffne. — Nom donné à une pièce aJouté'O à la garde
rie l'épéft. vers le »eiz.ièuie siètde. Le/tu/ d'dne formait deux
anneaux ]>ortant des quiUou? et se recOiirljrtnt dans le plan
de la lame ; Europe, 262.
Panehaly-cawouk. — Calotte brodée recouverte d'un
voile tombant derrière les épaules; Turquie, 1G9.
Pas a. — Ceinture dq cuir du ou montaguard hougmis,
458 et 459.
Passe. " Les côtéa du honnot féminin; Normandie, 490.
Pasge-caille. “ Ruiiau auquel se sospeudaîl le mancljon;
Ce nom pin>vieiit d’wîi flir d'opéra ea vogue composé
sur un lytlime as|Hignol, et qu'on appelait
Franeç, fin du dix-aeptlènie sièete, 354, 360.
Passe-gardes eu Garde-collet. — Pièce d'armure s'éle¬
vant sur cimque époulc pour garantir le cou; Europe, qoîn-
xièmq et seizième siècles, 203, 217, 253, 260.
Passements- — ;5Iûdc d’origînc Ibalienne. rtoîsemeuteries
ajipliquées sur les vêtements. Sons le règne de Charles IX,
l’or et l'argent furent tressés en guipures et en dentelle?
qui prirent aussi le nom de p&sremeitti. Les roU de France
rendirent plusieurs èdîts contre cette mode ; on la retu-
playfl en par celle de la dentelle rie ûl et du point
coupé. Europe seizième et dix-septièmesiècle ; 266. 2G7, 268,
276 et 277, 327, 328, 329, 337.
Passe volant. — Pkice d’artillÈrie du seizième siècle; France,
255.
Pastor major. — Le chef des bergers, chez le* paysans du
moyen âge. — Poifourf le deuxième licrgct princii^h —
France, 269.
PâBvesclieura. “ Voir FAVOifi.
Patenôtrea, — Chapelet de priÈres; moyen âge. A dater
du lègue de Fraïioois 1*^, le terme de patemfti-ts parait
s'ètre appliqué alors, non, seulement aux chapelets mais aux
pendants des ceintures, aortes rie chapelets d'orfévrerJe
tombant iuequ'aux Ixis de la coUe. France, mode* féminine*
du moyen âge et dti seizième fiiècle, 246, 264, 266, 267* Voit
CONTK>*AN‘CE.
Patère (f patrra}. — Espèce do grande soucoupe ser¬
vant à contenir le vin des sacriflees ; antuiiiité, 39.
Patience, — 31 iükhicobde.
Patins. — Pour marcher dans la boue, dés une époque re¬
culée, on ix>rtait des pHtîiiH plu? ou moine élevés ; cet usage
existait encore en France* vers le milieu du dÈx-seplième
siècle; 327. Haut? jmtlns ; Italie, seizième siècle, 327.
Le patin à glace, ehauiîaiire de? Frifonnes; Holinnde, 421
et 423.
V&ir. Guetta. N.^leux, Ecksi.
/^fî«fj* — Chaussure rira femmes sablalKes; Vemlée,
France , 496,
Patiû. — Dejjdfw, être ouvert; cour iuicrieure de la mai
son espagnole et de la généralité de* liabitâtions dans les
pays chauds; c'est le caittdinm nutiqUé. 167* 163, -t77'47H.
Patriarebe. — Titre que l'Eglise donnait autrefois aux
évèqvica des premien= sièges épiscopaux, tels que ceux rie
Constantinople, d'Alexandrie, d’Antioche, etc. — Le* chefs
ris r Église grecque, des Mnronitit^, ries Jacobites, dea Nes-
torien*, etc.; 181, 182.
Patte. T*v partie retombante du chaperon; Europe,
moyen fige, 210* 211*221.
Pftttdji (soulierej ou pfitfns; Europe, flti du quinzième siè¬
cle, 238* 246, 251.
Pauvres Volontairea (ordre des)* — InsiitU':^ Alle¬
magne ver* 1370 ; 198. l'ufr NoLahik^.
Pavane. — Danse frau'i^'ftise des fieizième et dix-scptiènie
siècle*. 362.
Pavois jwiraù,fa/era.<). —nrand bouclier
de fonno ovale ou qurnlrailgiiluire porté ixir les fantnà-slua eî
piua particulièrement par les arljiiiètriera. — J^rmu-Aenrs ou
c^lTst qui jîOTtflîprit 1^ porois. — Eiimpe^ moyen
û^e. - 2l>2, 217, 213.
Payea royalaâ. — Lf^ geutilîtljoiiïiïiê^ pauvre? servant ilaiia
l'înfnTite^rie et .scldOft par le roE ; Frîiuce^ ackiênie sièeU^ ‘2^^,
Peak. — Cofiuillofrea lioiit lea cliéfrf Fefln?^-E0lî^ïe3 fruit
des colliers ; Amérique du Xqnl, 8l,
Peohtîmal. — Tablier de soie unie^ Turquie. ISii,
Pechyalès. — Voir PAnALOiriiuL*^.
Peûquea* — Koin donné aux précieftst*i de province; Kranee.
dtx-aeptiéme siècle, ^49.
Pectoral. “ Oruenieut de la jKiîtrîne; Kgrypîc et Assytiisl^
12, 13* rr>ïr HOSCUEK. Pou^f^iu.
— (i^iontti, T^aiCfwpàÿiiov, ito[pSi0^y>,a|, ^ija^.ov) ; pla¬
que formant le devant de la cuira^^e (ferreu), Les. Crrecs
appliquaient le mot yvwXo'i â la plaqac de derrière comme
iV celle de devant; antiquité, 2â-SË, 36^37*
Peda, — Sabrc-couporct des Taiious ; Océanie. CO^^GL
Pedttl\ — Knbrc en ns.'ijçe aux Célèbes, iî5.
Pédieux. — Nom, que l'on donne A la cbanssure de l’iioiamc
rrartué^, eomposé*e de lames d'acier articuléîcs ; Europe,
seizième siècle, 26Ù. Toi/-S oleiiets,
Pedilon. ~ Chaussure ornée ; ftntiquiEéj^T*
Peduzn. — Sorte de houlette, insijçnç de eoui mandement
mis dans la main d'Osiris et des pharaons ; Égyjj^te, 4, S.
- Nom Hi^ne les ancieiuj donnoiciit Àlacrossic épiscopale, 193.
Peigne if'esseoir, tr*mir). — Objet de toilette fait,
rlès leïi premiei-fl siècle? du nîoyen flge, d’ivoire, d'os, ou de
la>iâ dur, 223*
Pei^ruca égyptiens, d, — Peignes celtico-scandinaTes» fil,
Afi.
Peignoir à la Galathée. — Mwles fémlniiics; Finnee,
épiTKiue du Consulat, 40S-4UB,
P&UçoD ipeîifJioRy j.€î!/iotif péliüJto»^ j*eltce), — Vêtement lorl
usité du doiialème au quinzième siècle. Appartenant aux
deux sexes. Il coiisUtBit en une robe de dessus 4 maiiehes
très shnples. Le r^eliçon, ainsî que son nom Tindlque, était
originairement un vétemcntde fourrure. Europe, moyeu âge ;
21 B, 24 G* Voir QUEZOTB*
Pflùsf, — Robe defoumtre ; Turquie, l^^B, 17d.
Peltâ (frsXTr,), — Bouclier elliptique d'orfgine asiaUque;
armées grecques et romaines. — lonutft; peka en
forme de croissants. ^ 14, 16, K, 2&-23, 34.
}- — Soldat armé de la peltn; lea
peltasles formaient un corps de ITiilaiiteiie grecque, 2A-23.
PelzkappQ,— Bonnet de fourrure ; Allemagne, 33e* 432,
48».
Pen-baa. — I/î bâton de meine de ebéne du paysan breton ;
France, 4P&.
Pendant-d’épée. — Bride qui accompagnait le ceinturon
r»nr porter l'épée ta vsrratiil, c’'est-A-dire hmiaontalcaient ;
Fmiüce, hn du seizième et coainieuccmect du dEv^septlème
siècle, BGl. 311.
Pèaikè. — Partie avancée du tour de cheveux; coiffures
l»ostlûheR : Grèce, antiquité, 21.
Pezigtroasen. — Cordon supportant plitsleur? sacs de cuir,
ceinture de la ménagère suédois^, 416,
PeniQgpungar. — Le porte-monnfiie ou la bourse des Ln-
jmns, 411.
PénitèHOè des Martyrs. — Ordre religieux établi en Po¬
logne vers 1257 ; 13»*
/"t'nifen/j ntuVj*— Italie* seizième siècle* 332*
Psniirtitrg (^reîitjifiaifg) , — France, dix-septième siècle, 332.
Pepnerès, — Nom doTiné anx jeunea fille?, en Bretagne ;
43:^-&ÙO.
Pennon. — Bande d'étoffe longue et llnis.saut en pointe que
iDi» èocAffi(V'4 jmrtidcnl nn Iwnit d'une lance* — Punnout^-l;
l>etit peu non à nno ou <leux queues. — Au milieu du seizième
riiiicle* la cornette bliutclie joua auprii-s des généraux d'ar¬
mée raiieicn rûle du Europe, moyen âge, 2h3, 22n.
Banxikiïe, GdXSKAxn.v, Oiiihamuk,
PentacoL — Bijou que l'on suijpcndalt au milieu du collier;
FrMUce, irtizième. qiiatorziènie et quinzième siècles, 21(1,212.
Petites. — Les tentures pendnntes qui manquent le chevet et
le pied du lit t elles étaient gënèroleiiient d'Uïle autre étoffe
que lOs Court uiEs on rideaux placés sur cOtés. Europe,
moyen âge; 231, 322*
Penteetênes. — Tuniques ayant une Ixinlure en dents de
scie; Grèce, 13*
Penula ( i. — Vêtement romain d'origine grecque :
sorte de blouse nymit nne ouverture pour le passage de la
tète; plu? tard on en fit pour les bras* La pt^itwïtf se met¬
tait comme un tnanteaii par-dessus la tunique ; elle étsit
moins âmjde que la rlont on couvrait In toge, 4û,
1S8,
Péons. — Anciens ijàtres espagnols, ancêtres des métis elii-
liens appelés Gungiioii* Amérique du Sud, 78.
Peones. — Les gens à pietl qui combcitlent le taureau ; sont
compris parmi les pcoacj, les les baftd^Hlleros et les
chtiios aussi nommés capradoiTs; E.4pagne* 4Tet 471,
Peplon, Peplos, Péplum. PeplUa, Vêtement grec ser¬
vant éxclusiveDient aux femmes et jouant le double ride tic
lu èMMiorr et de la ptrlin romaines. On fixait le prpîon. sur les
épaule? au moyen de bï^clics ; les bnvs étaient enlièrement
A découvert ; antiquité* 20 j 24. 2&-28.
Peptarln* — Camisole en peau iVagueau à l'usQge des deux
sexes; Valaques, 45» et 450.
Perce- mâille?* — Épée courte ; arme des fanlossina de la
première moitié du quatorzième siècle ; France, règne du
roi Jean, 217.
Pèribarldes. ^ Souliers des femmes libres et nobles ;
Grèce, 4i.
Péricarpe (peiiatrpiaf Treç^txa&Ttiot — Bracelet du |)oi.
guet; Grèce, 31.
Perideraia ^TisptOEpOÊia)'. — Collier des dames grecques.
23 2e.
Peripezido ( — Anneau 4e cheville: imrure
féminine; Grèce, 31.
Feriacclide ( ît£pi<rx£/i; )■ —Anneau de jambe ; dames grec¬
ques, 20, 31.
Periatylû (penstylium, T;£pta*’j)çjv J. — Deuxième par¬
tie de la maison romaine, après l'oirium, derrière leèrèh.qui'i'q
et formant la )>artie privée de la maison. Il n'y avait de
l>èristyle que dans les grandes demeureR ; c’^était une vaste
cour, entourée de portiques eu colonnades, condinsnnt aux
rlîverses pièces d^habitation ; 33.
Peritrachella. — Collier fèiniuîn ; Cn-cc. 25-2G.
Pero, Péronés. “-Bottîiip^ mmitniii jn^u'nn mollet :
rtiitiqwl^', 47»
Perruque, ’— Du grec dorique putikos |)our pHf'rf>s, fauve,
jaunCp parce que les pretBières perraQtiea étalent en cüevçux
blondA. Ghe?( lefl Heinaln#, rnjiage ne s*cn întrodui^t que
soviA ïefl empereurs î feinmes en profitèrent pourfie com¬
poser dc8 eolfTures très ouviagiies qu’elles appélaîent tutuîus^
tùrÿtnbutf ffaJei'Uîf etc. Dans les temps moiiernes, la ru ode
lies pemiqnos* pour les hommes, commence h se répandre
en France vers 1630+ et prend son pins grand dévclopiiemeut
amis le règne de Louis XIV+époque où apparaissent la eriniè/r
(fe iiottf rin~/aHOf etc. Ces coilfarea VDlumiiieas<K furent
remplacées, au dix-huitième siècle par des perruques à che¬
veux courts et poudrt'Cs qui+ sous différentes formes, subsia-
t^rent jusqu’à la Révolution, coticurremment avec les chc’
veux poudrés, mode A T usage des per^oiiTi'es dont la ehe-
velure abondante pouvait supporter letî façons de eoiffures
iloiinc!‘es aux perruques»
Antiquité; 21, 4l* Tnir GAiJiîNDRirji,EïrTHiCHOS,PfeNiKf:,
PWOCOMIOX»
France, règne de LotiisXIII ; e&ijFuré à fa Prn'ti/jtut'
à taioittf Poitù-hes, 327, 32@, 32S'.
Régne de Louis XIV ; the^renj- ètiwr rtpm/is, btanc de fQir.
è/une fond Jauntt cJtiitainf cftdtain cfaSr, eltd/ain bnut,. j/riir de
J/ou^v uotr^ peiii mir, mirjaiSi qmrf bt<tn€, friniite de iien,
^nanHtre ;perrttqued'af)èêf de ou à tu mou#(Wîae,/jerT«-
que à la eatfoffèi*e ou eufrée. à respa^mle^ prrruquf
ïnVWf<î,34C'+ 344-34Æ, 351+ 352, 354+ 359, 360,361, 362»
Règne de Louis XV et Louis XVI ; pet-ruque à beut-te^ à ta
bHqadiire; perruques nouées, à queuef à In réÿêHeef perruques
Xfiïf4 ttssu et d joutf coijfu/e t/recque mrrie, 366, 391-392,
rerriiques militaires ; 3H5, 400,
La mode des perruques féniiiiines ne commence que verala
moitié dudix-huitièlue siècle et subsiste jusqu’à l’époque du
Consulat » ChUfttOHf chtqnon plein, chùjROft à la paresseuse t.
eaehe-/otief perruques à lt> Titus, à la CfTiHeatla ; qiostiebes,
tour; 397, lOS, 4Û8-40&,
Pers. — Le bien intense î moyen Age et sclmmc etèciej 274.
Peraane. — Nom donné à la eaunacej. le srirtout à franges
des PeriîeSî antiquité, Il èt 12.
Persique. — Clumssnre blauclie à rusage des courtisanes
d'Athènes ; Qrèce, antîqnité, 47.
— tSandûle à laj ; sandale suns quartier; .àssjTÎe, 11 et 12.
Pertulsane. Arme qtil participait de la pique et de h\
hallebarde; Euroiie.moyen ftge, 217*
Péruvienne (veste à la). — Modes féminines du règne de
IjouIs XVI ; France, 339.
Peçcadol’éà. — Pêcheurs portugais, 462,
Pètase ipefatus^ TTSTaao;). — Chapeaa de feutre, coiffure de
voyage des Grecs et des Romairis ; antiquité, 16+ 21, 29+
Petclié, — Voile épais en canevas de crin ; ooi^tninc fémi¬
nin; Turquie, 180,
Pet-en-l'air* — Voir C+^àAqriy.
Petit-collet. — Nom que portaient les abbés mondains du
dix-septième siècle, viHus du manteau court d petit collet ;
FmiieCi 354*^
Petite*oie. ■— Noeuds de rubans, ornements accessoires des
habits et dn chapeau ; France, dlx-septièino siècle. 285+
323, 340. VbîV GaI*A>'TS.
Petoritum. —Voiture découverte, à quatm ]rou»<;Romains,
2 ) 6 .
PetyhorcèB. *—ravalierslitliuanlens ; ro1ngne,dix-Rpptième.
dix-huitième siècle. 454.
Phænlcia. ™ Robe d'nn rouge vif+ teinture rVorlglne phéni¬
cienne; antiquité, 25-26.
Phaiiiolê. — Voir pKN^rtA.
PhalâTigite ( “ ^oîdat armé et équipé comme
ceux de la phalange macédonienne ; Grèce, 2&-26.
Phalènes {phateto, xà çaî.apat)* — Plaque rondes ciselées,
d>r, d’firgent on d’autrea mèüaux; décoration militaire
chez les Romain.^. — Phateratus; le soMat romain iwnetir
de phalères, 36-37, 58,
Phâ.lol. — Crêtes de casques; Grèce+ 25-26» Voir AiEfiiiniA-
LOS, Thiimialkia,
Pfaari. — Porte-cierge, ebDiidclier d’église; moyen ftge, 181.
Pharos (çà^oç)» — Nom qu’Homère donne au pallium:
léger manteau ijrotlé aux couleurs éclatantes; antiquité, 17.
2U.
Phelîos. — Hante semelle en liège;chausaure antique, 47,
Phénix (coiffure dite de). — Ornement de tète en forme d'oi-
sean ; dames chinoises, 36,
Phenolium- — La chasuble du clergé grec. ISl, 183+
Phialé. — r<3i> PiivALÊ,
Phsecâfiion. Phæcasium ( 9®txé<Tiov).—^ Chaussure fer-
mée+ habituellement portée par les prêtres d’Athènef! et d*A-
lexandrie. — PhcEcaciaftisi le Grec chaussé dupA/rçu.ïfifm, 47+
PhouïigaTaré. — I*a trompette des funérailles; Tude,
123+
Phuru- — Calotte de cnir des BassnntoR; Afrique, 07-68.
Phyâlè (çtïiï.ri }* — Coupe de forme évastSe ; va-se à Oïl-
gncnts+ Grèce, 18, 23,
Phylîis (gants h la>* — Régne de Louis XIII ; France, 329.
Physionomie.--Toupet de devant eu forme de croissant +
coilTure fénifuine; France, dis-huitième siècle. — Frisure
ér fri phusionamie. — 369, 366, 397,
Pianellea. — Clisuasiire à ritallenne; modes témiuiïies de*
î^izième et dix-septième siècle* ; Europe, 273, 322*
Pic. — Corne de chapeau. — Chapeau ü froU fdes des IMens
de Batr, dép, de la Loire-lnférïenre. France* 49C.
Picador. — Cavalier, espagnol qui attaque le taureati avec
une pique; Espagne, 47üet 471.
PicheT, Pichet- — Petit vase h iKsîre ; Eurûpe+ moyen âge,
231.
Picqiies seiche*- — Piquiera eurmimérfiirca+d p*rte stim/>tf;
infanterie française du seizième sièclo, 256+
Picturl. — Plaute dont les indig^-nos australiens uuleheutla
feuille ; Océanie, 60-61 +
Pièce. — Pla-^tron formant le devant du conmge; modes fé-
minlnefi du Bourhonnaia, de la Bretagne et delà Savoie:
France, 484. 496+ ÏWi* Deva+xtiku.
Piltce (hnute-y^ — Pièce de renfort de l'armet de joute ;
France, qoinaiènae-pei^ièiïie siècle, 2+53*
Pied de biche. — Crochet à l’aide duquel an bandait Parlm-
lète de guerre; France, quatorr+lèmo et quinzième *ièct«+22t».
Vbfi' BAmuK.
Pfcd d'ours fsïjlj'nn'M l'v)^ “ Vf^ir soLkiiKTfi.
Pierres à canon. — Boulets dtr lUetre : projectiles rie lu
^frosse artillerie, mi siècle; îfvurope, 220.
Pierres de Cayenne (Imgties ep)4 — Franco^ rèfrne do
I^tiis XVI, 398,
Pierreries du Temple. - Pkrros fawsfies; iitiEtatioiïs d'é-
memudes, de mbla, de topazes que Tou fabriquait dans le
ijiuirticr du Temple, à Paris; commencoiueiit du règne de
I.Kïuis XlV.S Ib.
Pierrot. — Vêtement de déslialdlki variété du enmeo^ pâtit
jiistaiicon® décolleté et fermé sur le haut de îa poitrine^
msi.s très ouvert |)Ar le l;«js, muni de manches plates h pure-
iiients et do lougucs tursques^ arec des ^irarnitiires de bou¬
tons; modes féminines, Fn^nce, rirgne de Louis XVL Cn-
fvca à ta Pirrrot, JHfrf'OPJicàUf P{fri‘f>r-hotlanditit, pterrM à
tongufs basgUifs à la SOOj 39S,
Pilferari, — Musiciens ambulants; Italie, 46S.
Pi-kien. — Pèlerine ; costume chinois, 85, Sfi*
Pilanl. — Pefr PiLi'Sf.
Pilentum. “ Voiture, chariot suspendu; Komains, SIS.
Pileus (îiD.oç), — Bonnet de feutre k Tusogo des hommes.
Le pîlt’iis variait de forme chez les différentes nations de
l'antiquité, mais il consenrait toujours le cnructère gt^néral
de bonnet rond .sans rebortls, collant siir la tête, On s'en ver¬
rait plus é la campai^iie qu'à la ville, 11 et 12, 55-67^.
Pili. — Vêtement en laliiie foulée porté prit rinfanterie grec=
que; antiquité, ?i*26.
Pilû». — Chausson de laine feutrée, en usage chez les Grecs ;
47. roii* ÜTiOjrES,
Pilou-Pilou, — Fête de tribu ; Néo-Calédoniens, Océanie,
CO-flI.
Pilum ( uCTtTOÇ ).“ Javeline, sorte de lance courte au fer
long et large, employée comme pique et comme arme do jet ;
Komains. — Pitani; nom. sou* lequel se distinguaient priuii’
tivemont les aoldnts composant la trtdslème ligna de Tan-
cieune légion romaine, parce que, «euU alors, ils étaient
armés du piîum, tandis que les deuï autres lignes se scr-
\miont de la lancé ou hftjrta; 36-37*
Pin, — Concubines de remperenr de Chine ; femmes du se¬
cond mng, ayant lo titre lîo priiieesse, 8J. rr»ù‘ Chifoit,
Foü-GtK, Yu-Tsl
Pinacotheca (irtvatxoîir^xïj )* — Galerie de tableaux; mai¬
son romaine^ 33,
Pinang. — Ihfr Siy.
Pinasse* Petit navire de haute mer ; Inde, 131.
Plnea. — Pomme de piii ; figure que Loii rencontre fréquem¬
ment nu sommet du tignum romain, 36-37.
Plnnlrap'Ufi, — Tout gladiatenr donné comme adversaire à
im ou k un TAmce ,■ Komains, 36-37,
Piper* Joueur de comeiïuise ; Écosse, 425 et 426,
Pique ipiegut')^ — Arme au fer long et pointu emmanché an
bout dhin Mton. Au moyen lltge, T usage de la pique était
presque gfuéml eu Furope ; on remployait h Tsttaque et li
la defense.— Pigue/lamantlti arme des hommes de pied du
quinzième siècle ; France 202, Foi/' GoDEîCDAnT,
Piqtiiii^r.f. — Soldats armés de la pique. Fn FraneCt jusqu’A
la fin thi ri^gno ûc. Loul.^; XI\\ il y eut dt^ piqnler?! rltnsles
régimentM d'iiifantfric ; 2J0, 257, 342. 343.
Pi r tu H “ La maison finlaiidaL^e, 418.
' Pisantir. — Voir Saxtih.
Pisch-Khedinet on Pisch-Khedmet. “ Doiucstiquc spé¬
cialement destiné A iwrber, nettoyer et ren^plir de tal>ac le
; Perse^ 13S^ 141, 144.
Pificina. — Bassin placé daiLs on \û^ pet'islÿlinm des,
muisons particulières ; Komains, 33*
Pi&cina in atva ^— Bassin des ïmîns ronmins, 4 7.
Pistolet, Petite arme à feu ainsi nommée parce qne les
premières de ce genre furent fabriqué es A Pistoie (Itnlîc)*
— Piiioîtt à eu usage jusque vers 1030, éix>queà la-
qnellc la platine dite à tu mignrkt coiunten^a à prendre le
dessus* — Piitofkf'i; cavaliers français armés du pistolet, A
l’exemple des reitres allemands qui* les prcitilera, sc servi¬
rent (le cette arme* “Europe* seizième siècle, 261, 262,
270 et 271, 301* 3«1, 383, 3«4, 400,
Pitaults. — Les paysans fraudais du ïnoyen âge, 222.
Place. — Le sol do rhabitation rustique, en Bretagne;
France^ 409-500,
Placet. ™ Tabouret bas et large qui, en évitant de s'asseoir
I par terre, (ïomine il était d'étiquette A la cour d'Henri IV,
laissait au moins L’apparence d’une m soumission galante n.
France, dix-sèlïtiéme siècle, 322,
Plaid. “ I*e manti^u des Écossaisi. L'ancien jdaicl consistait
eu une plèoe de laine de huit ou neuf auncïf de longueur,
qui en veloppait tout le corî)s, et était ficrré autour de lu
taille par une ceinture de cnir, 425 et 426, 427. Voir Auisaiu,
Plaques de front. — Parure des femmea de lu Hollftndo.
Voir JI<H>FiiXAAi.iï*
1 Plaquette (boucles d'oreilles A la). “ Dames du îvjgne de
Louis XVI; France, 391-392.
Plates (jsèrtriue, plntfe^), — Nom par lequel on désignait, A
dater du treiziéme siècle, les lamca de fer battti posées sur
les arrîêrc-braai les genouK et les tibias. Peu A peu, ûîi
ajouta A CCS pièces des ailettes, des oubitières., des avant-
bras; mais ces renforts placés sur le haubert ou sur la broi-
gne ne composaient pas une armure de fer compïète*. Ce
n'est que beaucoup plus tard, sous le règne de Charles TI,
I que rannure de plates complète fut adoptée. Europe, moyen
âge; 202, 203, 200, 217,
plectre TtXïjxrpov), — BAtou de bois on d’ivoire
avec lequel le musicien faisait vibrer les cordoade son ins¬
trument. Antiquité et moyen A^e; 3, 11 et 13, 32, 193*
Plektâ anadesmè. “ Diadème, large bande d'orfèTrerie
accompagnée de tresses d'or jhendantes; bijouterie orientale,
I atitiqultè, 110.
Plommèe. — Grand marteau d'armes; s'entend amsi
(.‘ommo un fièaii A long manclie armé de masses de fer rete¬
nues par des ciiaînes; Europe, moyen âge, 218.
Plomniées ou Ptomîtefs. — Balles pour Fartillcïie de petit
ealibre ; Frunce, quinzième siècle, 22ij.
Plotnik. — L'artienn nisse, 443 .
PiumeiiL — Tofr P;,i;yE.4,
Plumes, Plumet, — Parure civile et militaire en u?«^ge
chez presque tous les peuples anciena et modernes, ainsi qut'
chez toutes les tribus sauvages habitant des eoüiréea où
vivent dK oiseaux A plumes brillantes.
Antiquité. 4 ; ^6-3', 4fl 49.
Europe, moyen «Igc ; 202, 20^, 211, 211^ 21fï, 2ir. 318, 21S.
S20, 221, 238, 239, 24G, 247 et 248, 249-2SO.
Europe, âciïiêtne siècle; 253, 254, 2S6, 25€, 2S7, 258, ÏCO.
261, 268, 270 et 271, 273, 274, 275, 278, 279, 280, 28S, 301.
Europe, dbC'Bcptîème siècle; 321^ 32C, 327, 328, 329, 34ü,
343, 343, 344-315, 34G, 351, 360, 3G4.
Buroin; dlx-htdlièine siècle ; 3GG , 389, 390, 391'392^ 398,
400, 402, 406, 108-409.
Écosse^ TyroE Pologne, Hongrie ;4Î5 et 426, 433, 449, 450,
452, 453, 154, 458 et 459.
Voir AïoliErrK, CniriTA, Pan acuik, XWA-Ltx.
PJiimuii : cotitntues militaires du moyen et du soi-
stêmesiècle; Fraiicè, 202, 203,
Piumes rfei); cïiupcuux de^ hommes; France, règîie
de LouU XIV, 340, 344-345, 346, 35L
Ptumet {héroH de) ; Plumes o 7« /oW€ff p ; dnmea du règne
de Louis XVI, 391492.
Pturws tuédoitft ou «iW df cochon. — Lames d’épée que les-
Suédois, BOUS &ustaro-Adolphe, a\'aient imaginé de fixer nu
lionl de leurs mousquets ; ËuiOpc, dbc-septîéme eiècle, 343.
Pluvial. — La pfnnlfi des anciens; on donunit aus.sl ce nom
5 la châpe ecclèsiastiqne, Earope, moyen 5gc ; 188, 1$4,
Podeia, Pelyntra. — Chausson fait de bande» de feutre ;
antiquité, 4 7,
/WWflrt CfascUt, TToSîîov); chaussettes ou bas; Grèce,
15.
Podère {podh'es, podtHSf 'TzrjCjy^^r^' 1, — Clitton tombant jus-
qu'uux pieds ; on l’appelait aussi svmmtiH4s. dames grecques;
17j 20. rptr-T ümca TAL.tuiB.
Podwika. — Bonnet de toile ; ancienne coifTure des femmes
mariées, «i Pologne, 449.
Poêle À ^OUttiërefi. — Le dais du lit muni de lambre-
qxiins ; Europe, moyen Age, 227.
Po^lt ou tfittntti. La couverture surmontant la earcasse
des chars du moyeu âge, 21 G.
i^lc en terre culte; Allemagne seizième siècle; 29C, —
Le po^U de la maison rus^, 443.
Poignard. — 2, 48-49, 58-57, 63 64, 6fi et ce, 67-68. 94-95,
110, 111, 112, 120. 12L 134, £06/212, 213, 2l4, 216, £l7,
219, 220 . 222, 23S, £39, £53, 254, 256, 257. 282, £63, 425
et 426, 427,
Voir BAl>KLAtR£ ou Ba 2RLATIIB, BIOAQ, CLUN’ACL'LUM,
COUSTEL A PLATES, DA<irüE, KHOtTTTAR, KE1;88, La.VüüE-
DE-noEur, Main gauckk, 31 issuironnE
Point coupé. “ Sorte île dentelle de fll faite A raiguille ;
modes des seizième et dix-septième srièclïst, 276 et 277, 326,
328, 329.
Poiren de parfums- —Accessoire de In toilette féminine ;
DU le suspendait nu iirmi^fint, France, époque LoiiL^ XIil.
328.
Poires à poudre. — 266, 257, £63. £83, 301, Tefr A^iion-
ÇOtn, FLAftQCK, PULVKRIN.
Poitou. — Hanse fmn(,’al<e de la première moitié du dix-
septième siècle, 328,
Poitrines d'acier. — riaquea de fer posées sur la poitrine ;
homm€!:4 de guerre du quinzième siècle; Eiuropç, 219.
Pokalem- — Coiffure de petite tenue, d’origine hongroise.
Le poia/t^ devint eu usage dans l’armée frau^-afse soii!» le
règne rie IjouIh X^^î France, 38*.
PoLaquea. — Cavaliers étrangers au service de la France;
dix-septième sk'-ele, 383.
Polaynas. — langues guêtres de drap; Cftliciens, EspAgne.
476,
Polisson <eîi>. —Toilette de négligé; hommes de la pre¬
mière moitié du dix-luiitlème siècle; Fninee règne de
Louis XV, 372.
Polonaise. ~ l'ardessns assez court, génémlement garni de
fourrures. — Robe eu ü^agâ chez le» tlAmed de l'époque
Louis XVI ; France, 389.
Polouar^ — Ihitenn léger propre à la nAvigation intérieure;
Inde, 131.
Pomandres, — Pommes de penteur; toilette fêintirine. Eu¬
rope, moyen âge, 226*
Poncho. — Espèce de daluiAtlquc aan* manenes ; vêtement
natiaiml dos Chiliens, 77, 78.
Ponka. — Vét<‘iîient de dessus, à msnches courtes ; femmei:
russes de Riamn (Russie), 438 et 439.
Pontiûcaîo, — Xom que les anciens donnaient à la croi^
épiscopale, 193-
Papa. —31iuistre du culte qui conduisait In victime h râu-
tel et qui l’àbattait avec le côté nou tranchant de La hache;
le l'nchevâit avec le couteau ancré ; Romains* 38.
Poplaæ. — Établissement public où Ton mangeait le reste
des sacrifice» dont I<si popi^ faisaient le trafic, d'où le nom
donné à ces tavernes & bas prix ; Romains, 33.
PorûHures. Pourfilure^. — Agréments d’or et d^argeut
qui gumissaient le» liabitâ civils et militaires; Europe,
moyeu àgis seirième et üix-«epiîème siècles, 206, 326*
Porphyra. — Pourpre i)èchée sur les côtes d’Afrique^ de la
Lacïonie, et aurtoutdons la mer qui baignait Faucienue ville
de Tyr* — Porphÿt'otemos; robe 5 bande de pourpre, anti¬
quité^* — 25-26.
Portanières. — Femmes du peuple; Boriieaux, conamence-
ment du dix-tteiivième sfèele, 485*
Porte-mèche. — Instrument à l'aide duquel le canon nlt-r
du seizième siècle ouÛAuamfljT la poudre du canon. — Arme
des commissaires d'artillerie ; France, 254. Foie Boute
FKCX.
Porte monnaie. — Laponie. Terfr Pexixopusgaii.
Porte-sceptres. — Assyrie* roii* Sükptuques*
Pocteura d’eau. — France, seizième siècle; 283. Tefr Ab-
DAUI, Agu.^ïhju, Sakka*
Portique (porlimf, UTCift]* —Maisons grecques et romaines;
antiquité, ï7-28, 33,
Poaada. — Auberge espagnole; 477-4T8.
Poapolité* — Arrière-ban de Farinée polono-lithunnlenm' ;
dix-septième-dix-huitièlUé siècle, 454,
Postes. — Kom donné en Ttalic aux fileta de Boie fomiAnt
les nœuds OU g1m>d4 de la longue ceinture aux boutB pen¬
dants portée |)aT iea dames du seizième «itÆlo, £64,
Postiches. “ De posiiccriOf ajouté; ïnèches détachées que
l'on fniToduiBait dans la chevelure naturelle; hommefi de
l’époque Louis XIIl ; Franco dix-septième riècle, 361*
Cntm
Pot en-tète. — roiffnre de fer on usage chez les officiers-
iiiigi-nkiirA dû Louis XlUt Inrstni*!!-; se reudnieiit aux
traiicli^'es ; Fraiiice, dix-septièinc «ièelc, ^01,
Potour. — PajiiAbii large; Tmx|uie, 175. J 77, 178, 4Ê4.
Pou chl. — Pièce d’èteffe nom'^ aoiis le tuenton, sur Liquelle
vient s’appuyer ]e ffmfvnr; ooIfTHine îles femiues ilrusc^; Tur¬
quie. 179.
Poudre à cheveux. — Dans raiitiquîtc, çt uolauitnent
tliea les llomatiis, les feiuînes se ser^'aieut de poudra iJüur
otiuuger la couleur de leurs cheveux: les Gauloises eui-
jdoynieut des cendres Ijlaiiches. —- Pu France, ce sont les da-
Mits du seiiEième siècle qui reluirent ta poudre eu usage; elles
avaient recoury ^ des {loudred parfumées qtü tenaient sut
les cheveux à l'aide d’un tüudlage ; les femmoit du peuple
employaient Uk poudre de fhénf pouryi* Vers la Un du règne
de IxidLs XIV, la vogue de la jioutirç revint à la cour, îuais la
mode ab!solij.e et géiièrale n'eu fiit en vipraenr qn'â dater
ries preuiiêres au nées du règne de Louis XV ; elle dura jus¬
qu’à laûn du siècle, 274,276 et 277, 280. 311, 351» 3til, 36(1,
3H3, 386, 389, 391-392, 40(1*
Poettlif {viî df); pûtidrtii-û àJHmas* — Lt^gère couche de
imudre jetée sur la chcvelnre; Firfl,nce, diK-luütiènie siècle;
A^H}.
à ijraintf tVépinat'df grosse poudre dont on se ser¬
vait, choî! les hommes, lour ninsfiuar Ea jonction d’un tou-
pt't formé r’*’‘T isisi cheveux naturels avec les ohevcux
artificiels do la perruque ; France, première moitié dti dix-
huitième Biècle, 360,
Poulf. — Armngctneut consistant en une pièce de gaae dis¬
posée de diverses! inanlèra.^ sur la chevelure des dames ;
Franceî règne de Loui» XVI. /’au/fsen au stnfinut'tif,
à ta Vkfoir^. à Ui Vir*/ink% 3ftS, 3 90, 30h3S2.
PoU'foU, — Broderie jKctorale, insigne hiérarchique cIlCè les
mandarins ; Chine, 85, 87, 88, 80 et 90*
Foulacre. — Le surtout eu flanelle v’<5]rtè par les Auver-
gtiats; Fr.iiice, 484*
Poulaines. — C’est à dire pohmfises. La jroiâitiine, moiie
venue de PotogTiê, était un ullongement démesuré de la
Ix)inlo du soulier Ou de la bottine. Le temps de la vogue
des f>ouhiLneâ est cemprH entre les années 1390 et 1440;
cllee atteignent leur plus grande longueur vers 1420* A dater
de eetie dernière époque, on les voit se mccoureîr, puis dï^-
paruitre ï-ouâ Charles Vlil, vers 148&, Franoei, moyen àgc;
2Ô6, 209, 210, 211, 213* 214,220*
Poulan^ — Étoffe du Xlveruais en u^age chez les Morvan¬
delles ; France, 487*
Poulcomënic^ — Colonel des uhlaiis-volontaires du marê^
tdml dcSftSCî Fîtince dix-hnitîème f^iècle, 383.
Pounya.— Éventail indou, 126.
Pourpoint {ÿipfmf pourpQincty ^.— VètcmcTit d'hoiuujc^ ajustÆS
convmiit le haut du corps, du cou à la. Cèititnre. Au
quinzième siècle^ le I^Oll^poiIlt remplace k et le
et devient «urt*nit de mode vena 1440* Le pourixîiiiit et du
une grande impoirtancedaii!$^ ritabillcmeut du seizième siècle
et du di X‘Septième ; iieodaiït le rt;gne de Inouïs XLV, il est
rcmphicé par ]ç Europe; 2^6,210, 212, 238, 239,
240, 24 7 et 248, 249 et 2H -C8, 269, 270et 271, 272, 273, 274,
275, 280* 283, 28S, 311, 321* 323, 327, 328, 329, 331, 340,
J*titfrpùint à HynH IV; ixiurpoint sans buse, avec épau¬
lettes. Frauee, seizièrac-aix-septième ^i^rcle, 311.
f\)fiypûiitt — 202, 254, 2SC, 257, 342, rrdr TLi-
qriîTox, Jl'STAL'i OS11 K*
Pourpre (pifrimt-a). — Teintnre pnkrlevf^ dont les anciens
colons(#nt Icuï^ vètcmentjî. Il y avait deux ï*îîpécx?s prinei-
p4i]&ide ponrisre, dont chaciuse fournissait plusieurs isuaucctf,
selon l'intensité de la conleisr ou la pro}^Hirtlon du mélange
que l'on eu faisait. L’une rtaît la pourpre maHu^ et l’autre
lu pourpre végétale.— I^vn-pit muWHr; tirée des corpsillagcât
c’était la phis eatiméc* — J'tfurpre trf/ftiite (xo'A/o;, rarevi,
graine) ; extraite d’iiiie substance végétale ou peut-être d’snt
jiiaccto rocucllU sur txirtains arbres, — 25-26* 36-37.
Au;ï:xsib* Brcciv, CALCfi.stseis, Coccobapsi ûs,
ilvbiuiis.vi'Hks, IlysmNUü, LuTEX.-iiy, Mki.amkuiphiros*
ME.saPï>HiM4VitA, Pha;.xicih, Poisphyra* Ponr’iiynosKMOS,
PSYCKJtOliAl iïfcl, l'tfUl-t.UA J'KLARIA, TÆVIKXSIB,
Pouvoir exécutif. — Le gourdin des muscadins; lïévoln-
tioii fraijçaLse* 404.
Povoïaik. — Coiffure lèminlne; Rii?iaie* 438 et 439,
Pr®ferlculum. — Vase pour le vin des aacslrtces ; Ro¬
mains, 39.
Prælectua legionie, — r,e eoranî9indant eu chef do la lé¬
gion romaine. 36-3 7,
PrBefiaoini. ^ Préservatifs rontpe la fa^chialion ; Roniaiiy^,
J"’
n « i
Prætoxte,— roû-Tooi;.
Frayer. — Homme de service chargé de la survotllanoo gé-
ïiCrale des prés ; imysana français du moyen âge, 209.
Précieuse. ^ Épithète donnée à la fcintne de bel esprit ;
France, dix-fe|>tLcUie siècle. — P/rrieux^ — 321, 318.
Pregoïiero. Crleur public de village ; Aragon, Espagne,
473.
Prémontrés (ordre des). — Fondé eu 1120; France* 334*
Presse.—► L’armoine qui sert à ranger Jcb èciieveaux de lin
récenuuent filés ; mobilier rustique de la Bretague, 409-
500,
Prétintailles. — Ornement de jupe : immenses découpures
appliquées en coulcura dlffêrciitca sur le fond, Modes fçmb
niiiea delà fin du dix-septième siècle; France, règne de
Louiâ XIV, 352, 353, 354,
ProUOâs. — La il iftécieiise fy î mitre de soie et d'or* enri¬
chie de perles et de pierres pn-cieuses ; ornements sacerdo¬
taux du clergé latiu* ]93«
Prieur d’enterroment. — Hollarulc, Ÿüir Aaxsprekpr,
Principes. — Fantassins pesamment armés, qui formaient
le second des trois corps dont était originairement composée
l.y légion romaine* 36-37*
Prlnteropa (coiffuredu)* — Modes féminines de la seconde
purtiedu ri'gne de Loulî XVI ; France, 390.
Prohra. — L’un des noms que les Romains donnaient aux
amulette.'^; autiqiiitéj-12.
Prooation, Procaeton (Ttpov.CiiTüïV ). — .Auttcliamtare de
lamaû^D grecque ; Hiitiqiiite, 27 - 28 .
Procomion, — Tour de ebeveux postiches; dames grec¬
ques, 21,
Procurator. —- <3nc^,tcur du grand conseil ; jnépiibliQue de
Venise, dix-septième siècle, 359.
Proatas, ParastaB. — Porte de la maison grecque: anti¬
quité, 27-28.
230 —
Prothyrum ('FtpoOupov}— UalWe, le coiilmf alkniile la
porte de la nie iV celle île rilit^^rieur ; et
romaines, 27-28, 33,
Provençale (clieveiis à la), — C'est ft. dire ras sur k devant
de la tete ; modes masciiliDea du onzi^iuo siècle ; France,
188,
Prùoençal* (cnlotfét à ?rt). Cliaussea ik l'usage des
daiDi^ ; Europe, seMème siècle, 2 8D.
Przyiaciolka “ ïïobe, pardessus des paysannes po¬
lonaises, raneknne crmin'ttiti fbtitien * -liÿ.
Psaltérion (pnaJifrium, )■ — Instrument à
cortles tennnt le milieu entre la cithare et la harpe. Au
moyen dge, le psaltériou sc nomme encore pmtfèr^f tnltétian^
dfmi^anon; Il est triangulaire; ses cordes, placides hori¬
zontalement, sont pincees à l'aide d'un plectre ou d’une
plume. II, 1&2.
Ptatirift, — Nom que dans rantiquîté, on donnait en gé¬
néral à toute iemme Jouant d^ 1 n înatriiment à cordea, 22.
Pachdnt, — Coiffure des souremina de rJÊgypte antique, 4,
».
Psile, “ Arctier grec, lÆ.
Psychrobaphès. —ÉtoIlFc teinte A froid; antiquité, 25-2fi,
Puckbaway. — Tambour de forme légèrement elliptique ;
Inde, 123.
Puffjacke, — Jaquette bouffante; Allemagne^ seiziéïne
siècle, 270 et 271.
Pukoye. — Le tablier de* Cafres; Afrique, G7'fift, 73.
Pulke, — Traîneau d'hiver; Lapons, ill.
Pullalre <cage), — roij^C uip.
Puluar. — Sabre indien, avec une lame eourlx? nu trAticlumt
taillé en dents de scie, 120,
Pulvôrin, — Poire à poudre ; Europe, seizième et dix-sep-
tiéme siècles, 253, 2fi», 311.
Punalea. — Couteaux espagnole. 475.
Puojumala. — 4 Demi-dieu k»,. sorcier lapon, 411.
Pnotlôr, — Gnrdenr de dindons ; paysans français du moyen
âge, 209.
Purpura pelagia, — Pouriire pélagienne, la plus belle des
pourpre* marines ; antiquité,. 25-20..
Puâkul. —Houppe do soie surmontant le fez; Orient, 135
et 138, 170, 177, 178, 179, ISO.
Puyjamaa. — Pantalon; Inde. 110, lit, 112,113, 122, 124.
Pyxla )- — Boite, écrin ; Grèce, 18,
Q
Qânon, — Instrument polycorde d’origine arabe, dont la
caisse sonore avait la forme d'uu trapète. Le fut in-
trodnit en France A l'époque des crotsadeà, 192.
Quadrige y£Ç|ptîîîtovÆpi;jLa ). — Char antique
traîné par quatre chevaux de front ; 29, 30, Voir AoitaTüJi
EqrORL'M, AHUA, ÂURKi.l, TR[GA,
Quadrisolss. —^ Cliaos^ure dont la femelle avnlt qinritre
épaùÿîenrs; Romains^ 47,
Qtiarreau, ~ r-iir CAiiisEAr.
QuarroL — Voir Coi'îssix.
Queuxion. — Voir Canon.
Quenouilles. — ^font&llU des voitures ; carrosserie du dix-
septième siècle. 320*
Queuo* — Terme de coiffure, l'assemblage des çheveux de
derrière couvertH ou non de poudre, attachés avec un cordon
et retenu* par un ruban noué. I 41 queue inventée pour la
coinmoillté des voyageui* et des militairoF:, entra dans le
coutume élégant vers 1T40 ; Europe, dix-huitième skelc, 3fi7,
3S5, 391-392, iCÛ. Foir Boursb, Boot-dk-rat. CATOfjAS.
— Les, tentures pendantes du Ut, au seizième siècle ; ce que
l'on appelait auparavant yoaffièrff S93*
de ma rire. — Garniture de* manchons et de* re¬
dingotes du matin. îlodes fémininr* de Fépoque Louis XVI ;
France, 390.
Qufuede rmard (panache en). — Voir F.anachb.
Qtietie de reîuti*ti, — Réenmpeusc militaire; Chine, 87.
QuUïe (galons disposés en). — C’est à dire de haut en bas;
oRlciers de li vrée de la maison du roi ; France, règne de
Louis XIV, 349*
Quezotn* “ relîçon espagnol ; treizième siècle, 2U0,
Quittandelrag.—Négresses revendeuse* ; Brésil, 77.
Qvlcino balte. — Celîiture de femmes; Lapons, 411.
R
Kabâb^ Bebàb* — Instnnncnt à cordes et é archet. îïcnx
sortes de îtbüb sont connues en Arabie et dans tout Ft>-
rient ; la seule différence qui lea dislingae consiste en ce
que riiti de ces iiuitruments a deux eorde* et que l'autre
nVn ft qu'une; 164,192. Voir RafiÈRK*
Rabat. —Nom donné, é. la fin du swixkœe siècle, au collet de
la chemise rabattu sur le* vêtements. Sous Louis XTir, le
rnbai des dames fut d’abord un léger fichu de linon cou¬
vrant le* épaules et posé sur un col rabattu de guipure ou
de dentelle auquel, p}m tard, ou donna aussi le nom de
robai. Pendent lu jeimcaîe do Louis XIV* le rabat des
hommes était attaché avec des cordons garni* de gland*;
après 1656, ce* cordons firent place à la cravate do rulian
ou de dentelle. Lé mbat ne contüiiui é être en usage que
chéx îés eoclèeiflstiqnes et les gens de robe, tels que les ma¬
gistrats, lea avocats, les profeaâéuTtt, etc. — Pabat dentelé;
modes féminines du règne do Loui* XIH. — 280,311, 321.
327, 328, 329, 340, 344-3*5, 352, 354, 361.
Raffinés. — Nom de oeii élégants du temps d’Henri III.
d'Henri IV et de Louis XIII, qui, duellistes dèlléats et sus*
ceptibles sur k point d'honneur, étaient toujours prêt# é
dégainer et s'appelaient eux*inèmes rafUnU d'honnettr;
France, seizième et dix-septième siècles, 321, 328.
Railloos. — Les traita on carreaux de rarbalétrier ♦ France,
moyen fige, 220*
Rancho. “ Hutte de bambou; Chili, 78.
Rapière. ^ L'arme tic duel par excellence ; épée i lame
longue et effilée, tranchante vers Je bout, ayant généraîe-
ment pour garde une petite corbeille appelée coquille^ et
percée d'une multitude de trou* pour engager et brider lu
polntô sie raelvefÿJiire ; Enropo, séîsïit'nap et tllX'Septit>rne
tîiècles, 262, 263.
RaqTsette CcheveuK en). — C-est à Alrt tirtis, de œani^ire à
donner do la ïafgeiir au front; aceondo moitié do fwizièmo
f^iécle; Frnneo, 260, 2r4, 276 et 277,
Raaaade. — Perles en verres; parure du cou et de la poitrTtie
des jeunes filles ïiutsules ( Rutll^ne^lV 458 et 459,
Ràtô- — Claie aervant de platiclie a pain ; hflMtatlûli hre-
tonne. 4 90-5 00,
Ratine. — Gros drap en osa^e dans la cIasso tworKeoiae:
France, dix-hiùliéme 6^^‘Cle, 367.
Ration al. — Plaque d'or carree; bijou mygtiqoe fini courrait
]a poitrine des pontifes du peuple juif, et que l'on voit aiiasèi
re])Tésenté parfois sur celte des év&qnes des premiers .siècles ;
13* V&îr Eost’liEx*
RaZ- — Robe tfniiaparente ; Indo^ 113, 114*
Raze. —T>rap (çrossfer en «''Age clie3 les Auvergnats du Cantal
4»1.
Rebec* — Instrument à* trois cordes; on jouait il« rebec
oomme du violon. EuroiDej moyen Age; 192.
Rebenque. — Le fouet des Qsucho§; Amérique du Sud, 77,
Rebozillo, — Variété de le, capeline. en flmoun/.en
rohnt baléaristes; Espagne, 480, 48K
Rebozo. — La mantille des Mcxicninea, 79,
Rebraa. — Bord retroussé de la toque et du chaiwron ;
boiiuues de la fin du quinzième siècle. Eutoîie, 247 et 248.
tirbmi {mancheites eu), — Dauics d« seizième et dn ilix-
fleptième sièole; Europe, 265. £74, 266, 311* Poir Manchkitt:.
Redimlcula. — Appeudices ou fanons attaebés à la mitre
plirygleune ; ou les nouAit sous Je menton. Antiquité ; 14*
RedlnqOte, — De l'anglais Hdiatf-toai, habit à clievaucher ;
lorsque la redingote jKtnit, un peu avant 1730, ou ne la
mettait effectivement qu'à elicval c^écait alors uu long et
large habit pouvant se croiser sur la poitrine; une ceinture
le aermit à la taille. Fendant la seconde partie du règne de
Louis XVj la redingote devint étriquée,' elle Était à cette
époque l’babit d'hiver par excellence* C'est vers 1736 que
3a mode s'en introdtUiSit chez les dames qui la portaient avec
des revers, des lïareiïieiiits, iin double collet et dej« lxm,ton:j
di e métal* ajustée, dï colleti. Rediny^fé (>o6« en).
Jtcdùajoîe à {a Europe, cLix-buitlèmË siè<'lè et codi'
mencement du dix-neuvième ; 39U, 391-392, 398, 4O8-4Û0,
Réduits* — Nom par lcrjuel on. désignait les petits ttppfirfe-
m*^s aux dix-septièmu et dix-bultième siècles; Europt',
348*
Regilla. — Tunique royale; vêtement porté pat les Itomaiiis
des dieux sexes, le jour de leur maiiaige ; antiquité,, 2U.
Rehllites. — roin Baxpertll'eros.
^Râis-effendi. ^ Ministre d'Ébit; Turquie, 160,
Rels el-Kittab* — « Chef des gens de plume >►; litre que
Fon donne AUüdi au /t''id!r-c^™df*'3:urq«ie ; 169.
Reitres. — De Fallemaiid i^ites'f cavalier, Coriis de cav».
licï^ alleTnaiidâ au service de la Fnmce iieudant presque
toute la durée du seizième siccte; 270 et 271.
Relevallîes (manteau de)* — Suède (Scanie) et France
(Bretagne) ; 413, 496* Fofr Ykktta..
Roudeiros* —* Las Fortnigai^ qui ?<* livrent au i?otnmpree de
1a dentelle, 463 *
Renforts cFépaules. — rofn Épau^^hes.
Résille. — Filet l^our lés cheveux. Dames de rantiqulté et
du moyen âge; TraAtévérins de la Rome moderne ; 213,
S IS. 25S, 466. Vùtr CRCRYPH.VLn, RETirttnuM.
Retable* — Panneau sentpté placé derrière ifw autels; Eu-
roi>c, luoyeni âge, 228.
Rétiaire (retiarius), ^ GlaïUAteur romain armé du mcjfllcf.
et du tHdeus, fourche à trois crocs, 36-37,
Reticulatus. — Esijèee de réseau formé par les courroies du
campaffus; chaüSàüreantique, 47*
Réticule* — Petit sac en ftletoucn étoffe à l'usagede^» dames
rTunçaisçïi de Pé^kkiuc du Directoire, du Consulat et de l'Em¬
pire* H contenait le mouchoir, quelque menua objets, et
80 portait AU bras, pendu à de longs mbaus qui servaient h
le fermer, Des plaisanta Fappclêrent j'itïfiUife,‘ Ce nota lui
resta, IVancc, dix-huitième et dix-neuvième siècles, 4(H,
406.
Reficutant [ — Filet de tete appartênant
,AWX feinmes, bien que les hommes l'eussent aiuisi adopté
(.u^rfois:, comme cela se voyait encore. Il y a quelques années,
en Italie; Antiquité^ 21, C6-&7.
Retorta* — Baguette servant à piquer l'Attelage de Ia
clin mie ; Europe, moyen âge, £t>9*
Rheda. — GrAiide voiture à quatre roues ; RomnLiis, 216*
RhiDgrave, — Haut de cliAUBses en forme de cotillon, très à
1 a nmdechaz l(!s seigneurs de fa cour tie Louis XIV, ver» 1666 ;
j] fut apporté de Hollande par un comte de SaJm, di^ré du
titre de rfi*'inÿi^/f a comte du Rhin n, Europe, dix-se(i-
tième siècle, 340, 344-345*
Rhodibum* —Pnrfum liquide compOfïè de roses ; lü^iiis ro*
mainSj 45*
Rhytotf (rhj^tîum, to putov). — Corne à liolre; Grèct* ?3*
Ribeaudequin* — Ensemble de (éscûpetfes, armcA eIc
ï>etit calibra) pinces sur un même affût. En France, on ap-
l>elalt cette espèce de mîtrailleiise iinjew Moyen
Age* 220.
Rick'ahou S chef y, — Attitude.^ prises par le mnsuimnn au
moment des prières, 145 et 146.
Ridicule* — Foir RÉTictrtÆ.
Rlilena. —' Jkeranis exerçant Je métier de charbon nier ou
celui de manceuvre; Algérie, 163.
Rihièa. ^retites jiaiitoufles; Maures tunisiens, 1&0*
Robe. “ Vêtement long, à manches*
— Robes de lin ; prêtres égyptiens, antiquité, 6 *
— Robes asayriennes, inédo-i>er5iquc3 ; Il et 12. Voir CaN'PYA
TtrsiQtTK.
— Robes dee dames grecques, romaines, gaidoises ; 17, 19, 25-
26, 4Û, 56457. FoJr CAT.VCTICTfïS* TUNiqi'K lONluS'HE, 7iO-
DIOTE*
— Robes du moyen Age. A cette époque* le mot rohe désigne
taiitCjt un vÉtement complet, depuis la chemise JnBqu’au
surcot, le peUçon et le manteau ; tantôt l'une des parties de
l'habillement^ et alors il ne s'applique qiFaiLX vêtements
longs, — I68j lS9j £Û0, 206, 207 et 208, ïlft, 211, 212, 213,
214, 215* 269j 243, 245. Fof?' CôTTE, COtTK RAHDIK. Cï-
t [.AUF* SrilCnTTK,
— Robes decb.eTRiicbt'T îmoyenAge^ T'cï^F‘ ErtCLATlNE^
COXKLLE.
— lUtinr; nom du tuanteaxi des liommes de la fin dii quhi'
zièmo Bièt'le, 24T et 243, 24^ et '250..
Hobe courte d^),“Loiî bonunosdu quatoirziènie Bik^le
qui Braient adopté les. modes ctrjqaée& de cette éîioque^
/îotfc lonf/vc (j/eiij de ).—^ Iæs ecclésiastiques, Icsliomnics de
lot* de phimo* etc; France, Dioyen jljfe, 206, 213.
llobes d^eccléaiastiquea^ de JfeHgî eux ; EutCpe, BloyiMi âge
et seiziàme Biéclo, 147, 198, 283, 234, FoiV SOCTAKE,
Robes de magistrats, d^avocats* de médecin^, 233* 239*
274.
RoW tt(f dfUUSj costume féminin ; rancicnne sutxoitc^ ta robe
par excellence, — Dames du seuziéme siècle, 344, 246* 347 et
243, 232* 264* 266, 266, 267* 268, 269, 273* 274, 276 et 277,
279* 280, 287, 283* 289* 311. — Dames du diX'Septiéme
siècle ; 321, 327* 333, 331, 336, 34U, 3;t3, 364, 366, 359, 36Ü,
362. Foi/' FmrQNNK, ïIa^tkau TROUüftB* Modeste* Sk-
cnÉTE. — Dames du dix-huitième siècle, 367* 36&, 871,
372, 3B3* 339, 390, 391-392, 398, 403, 404, 406* 406. Fofr
Déshabillé, Nhguok, Fouinatsx.
Jîobcf de beau mH/tHenr — Dames des qulitjïième-seiziènie
fliécles* 246, 249 et 2S0* 251.
ftobes en redingote. — Dames du seizième siècile, 279* 230*
ftobes à ta commodif*^. —Dames de l'époque Louis XIll ;
France, 328*
/tobes de cfmmb/*t. — Hommes et femmes du dix-septième
siècle ; France* règne de Louis XIV, 348* 852, 355.
Kobe (/auire-),— Rol»e sans queueléserrée aux jeunes filles ;
le corsage était monté sur un corpi. France, dix-liultlémo
siècle, 371. 372, IWr FouhukaO*
Jîobe» à tu WafieaUj 371* 373,
Hobcà kl fninçaUe (grande). — Cc^lume d^appujrat des da¬
mes de répoque Louis XVI, 388.
Jiobu à l'anglaise ^ en à la tircaètiennCf à la csa-
fine f coupée, en /ourrure^ à la JaménUie, en léeite, négli-
fjenfe, demi-négliÿtTdet en tedimjofe, à ht Tippo->^fibf à ta
Turque. Dames du règne de Louis XVI* 888, 391-332, 398*
Itobce à ta Diane, à Vespagnole^ d la Flore^ à la tlUionlcc,
à la Grecque, à Vhypocrite ^ au ietfr de VAurore^ à VOm-
phaU., à hi î^hiîoinUe, à la Fomone * à la lionfaine, à la /iu-
sina^ Dames du Directoire et du Consulat ; 4û4, 405, 408^
4U0.
Robes des indigènes de l'Océanie, 65 et 66 ; de rAfiique, 72*
155* 156, 158* 165. Fcrfr FsnBDJiB, CiliXTTAîf, Malhafa; de
VAmérique, 77*79* Voir 3Lvtii?A.
Robes des CbittoLi:85, 86,87, 88, 89 et 9Q, 91-92* fo/r
H AOL* Ma-Cocal.
Robes des Japonais* 99, ÎOO, lOl, 102, 103, Ï04, 105, Foi/'
KntiMON*
Robes dee Indous* 110, 111, 112, 113, 114* 132* 123, 124,
135, 126, 132. Voir KaS"(ïRA* KilÉL.kT. Raz.
Robes torques, 169* 170, 175*176, 177, 178, 179, 180, 182.
T'ofr Entaiji, Féhkdjé.
Robes russes, 438 et 439, 440* 445. Voir SAUArAN;.
Rol>es poionaiics, 440, 453. Voir Amicula dauba me a*
rn/.YiACioucA.
Jîobe (gartfe-J* —Europe, mojen ftge et dix-eeptième siècle,
190-191* 322.
Hocchines. — Bouolea ïroreillei» dea paysannes de la pro¬
vince romaine; Italie* dlx-neuvièiïie siècle, 468,
Booh«t. — Vêtement ecelésiaatique; fine tunique blanche,
aube courte* 1&4, 197*
Hœnoke* — Coquillage* dont les chefs Peaux-Rougf^ se
font de* colliers; Amérique du NodI* BJ.
Rogas. — Le dernier des bergers; paysaiis français du
moyen Age, 209.
Roi d'armes. — Chef dés hérauts d'annea, dans l'ancienne
monarchie française* 223.
Rokedennou. — Gilet des paysans bretons , 494, 49.'i.
Romaine (tunique a la). — Voir TcxiquE.
Roncono, — Arme d'hast itaUenue* 319,
Rond* — Toraade de cheveux couronnant un chignon légè¬
rement incliné sur le derrière de la tète. Modes rémininen;
France, é]>oque Louis XIII* 328,
Rondache, Rondelle rtonde^ rokfr, /vuele). — Pe¬
tit bouclier circulüire. Dn donnait aussi* pendant les dou¬
zième et treizième siècles* k nom de rotiele au bouclier
rond que portaient, en certaine pays, lès eavallera et lea
gens de pied. Europe, moyen 5ge et seizième siècle; 203,
251, 257, 2U.
Rondalla. — Exercices de lutter ; Aragon, Espagne* 475*
Rondeau. — Chaperon iXK^tichc; hommes dn quntorxième
siècle, 206, 2Ù9. 211.
Rondellee, Rouelles. ^ Plaqnea garanthisaTit les articula¬
tions du coude et de réjïauie ; armures du moyen Age et ihi
seizième siècle, 206, 219, 253*
Rondelle de luftct^ — Cène d'ader enfilé dans la ham pe de lu
Lance et assez large pour masquer entièrement la main de
Fliomme d'Artneâ. Euroiie, moyen âge et seizième siècle* 2Î7,
219, 254.
Rondelle, — Bouclier* RoîTDACllE.
Rote* — Instrument à cordes pincées. Europe, moyen âge,
192*
Rotonda. ^ La toge ample; RomainSj 40.
Roubend. — Percale épaîaae rÉcOuvraut le vi'îage défi dames
persanes; 137* 139* Î4T.
Rouelle. ^ Ornement de brûnze; bljûUtcrfe gauloise et mé¬
rovingienne. 58.
— Arme de poing, petit dUque que les hommes de pied, au
quatorzième siècle* portaient à la ceinture, et qui était des¬
tiné A être tenu de la mmn gauche pour parer Icss coups do
radveraaire, France, moyen Age, 202.
Rouge d'E&pagne. — Rouge que les dames tin dix-sep¬
tième siècle employaient pour leur virage. France, régne de
Louis XIV* 354,
Roage de SerklSy — Dames de l'époquo Louis XVI, 398.
Roussette. — Chauve-souris qtie l’Aroâsienne porte vivante
dans sa chevelure, et dont le poil est utilisé ilana la pariiro
des NéoCalédonlciiB ; Océanie* 6C-61.
Royale. — Le bouquet de poils dû menton ; France, règne de
Louis XIII, 328. 361.
Huadli. — Couleur rouge Kunhrc; teinture en nrage chez
les ^Écoi!isaiSt 425 et 436*
RabÀbe. — Instrument h cordes et à archet. La rulMe pri¬
mitive n’avait qu’une corde ou deux* comme le rebob iio-
pulflire dos Arabes* France , moyen Age* 192.
Rudiurius, ^ Gladiateur qui avait quitté le mèlier et reçu,
couime luarquo de lilwrté* la bagiutte appelée rMrfit; Ra
mains, 36-37.
Rudlmau- — Xom des e. ehevaliera de la noce jî qui c-cTor-
tent le onrtf^ge nuptial; Norvège, 413.
Haellei — l 4 ''âepacc entre \c3 du Ht ot rideaux du
baitluquin, — Pendant lu ^eonde nioLtljÉ du dÎK’Scptième
sUrcle^ on donnait le hoai de rtrfflr^ uux rpunions de beaux
esprits qui se teimierit che£ le:^ jJj^^PKrrr Fniiicê, 34S.
RuBtlcos+ —Nôm donné aux paysans portugais, 4B3,
Rùths, — Voitures ludoues couvertes d’un léger ddrae d'oiH
jmndent des rideaux, I3L
S
Sâbah^Namazy. — Pri^Te du mutin ; religion tnii^iilïiLiine,
14» et 14e.
Sabota ohltioifl (souliers ^ boiit^ releviis en)* — Modes fé¬
minines; France» règne de Louia XVI, 390,
Sabots-étriora. — étrier en forme de deml-chaufisure, re¬
couvrant l'avant du pied lorsqu'il j était engagé; Fmiiee,
moyen âge; hnmais de jnutep 2lt).
Sabots tournante. — Kpitbtte appliquée aux dniiReusçiî de
réiïoqHe dn Directoire ; Franco, d<i4.
Sabouk. — Veste de soie on (Flndienue, ifulais; ■Océanie.
63-ei.
Sabre. ^— Arme à lame droite ou courbe, à un seul tran¬
chant ; €3-64, e-t et 66, 67-68, Tb» 94-95, 96-97» 9S, 99, 106,
llû, 111, HS, 113, 119, ISO, 123,132, 160, 169, 177, 383, 3ft4,
463, 454, 45B et 459.
Foir iJiïfRTsnRE, Ft.iJWA, Kaiipilax mi Klerwash;,
Kahhelaou Kriibela, Kol’S'da, Pala, Patiavu, Pepa, Pe-
D A K , TROUMÜ A CII K, Y ATAU A V,
fitibre-briifUft Ou «u/>e-cAou. Infanterie fruTiçnise, dlx-hni-
tième siècle; 385» 400,
Sabretache* — Gtliceièrc plate sinspCTidLie au ceinturon
par de longues courroies ; équS|iement îles hii!î!jftrds. France,
dix-huitiètne siècle. 365, 400.
Sachems* “ Mot par lequel ou désigne lea vieillards chej^
les Peaux-Hoiiges ; Amérique du nord, 81.
Sachette, (religieuse). — France, dis-septtéme fiièclo, 334.
SaorariurD . — Oiutoire, la sacristie d’un
temple ; en général» l’endroit et aussi le meuble» dans lequel
on garde des objets saoréA, 33, ï£9.
Sacrifiée (0 In,). — Cheveux coupés sur îa imque : nio<l^ fê-
mininos, éi)onue de la Tlévoîntion française, 403, ■108-409*
Sadra* — Surplis de came tire sacré que let eitfauis gué-
lires revêtent dès Tiigc de sept fins ; Inde» LIS.
Sadria. — Gilet à IjoiUnoA ; Maures tnnisiens. 159.
3adri-a-z'hem. — Gniud-viïir; Turquie, 169.
Saeter. — Ferme isolée ; Xorvègç» 416.
Saffaka. — Mouchoir de tète; costume féminin, Algérie
100 et ICI.
Sagaies, Zagaies. — Javelcrts dc^i Africainfi et des Océaniens,
OO fil, fll-GH, fl» 73.
Sagettea. — Nom des flèches» nn moyen âge ; France, 21 S.
Sagosago. — Nom générique donné aux div^erses sortes de
javelot-s ; Célèbes, Océanie, 05 et 06*
Sagultim. — FeiVSAfU'M.
Sagum C 'rayo;). — Srautcau de guerre du légicnnnire rn-
moin ; autlqiilt4>* — petit siumm, 34 , 36-37, 56-
57, 59.
Sahrong (Jiffrortii/, arrmij^ jfthrttjtff). — Pagne indo¬
malais, C3-64» 65 et 66,
Saie. — La blouse des Gantote, 56-57, Fpfr Sayo, Sayox.
Saino-olmak. — Variété du jcifeou lïOïinet; lapons, 411 .
Saint Dominique (rcligleu.-'^ du tieufs ordre dej. — Fondé
en France eu 1296, 332,
Saint-Esprit (ordre flu). — Ordre de cljevalerio institué
en France par Henri lU, eti 1»7B; 273, 328, 383, 3S4.
S(iinf-E,^prit. Ordre hospitalier fondé par Gui de Mont¬
pellier, AU douzième siècle ; Pologne, 193.
Saint-Esprif. Bijou auvergnat ; France, 484.
Samt-François (ttçrA ordre de). — Daias les Plaiidrcfi, les
religieux de cet ordre [lor talent le nom de Bons-Fieux ; 19S,
Saint-Georges in Alga (cbanoinca ■de).— liosiitué;» 4 Vc-
niiüe, eu 1404, par le* ïïOltiEU-clie Laurent Gustiuiani et ixir
le cardinal Condeimeri (plus tard le pape Eugène IV), et
supprimés en 1668 ; 333.
Saint-Gërvaîs (religieuses hoepitalièrea de). — Religieux
cljargt^s eu 13üU du service de l’hôpital fie ce nom, situé
h Paris ; elles devinrent, daua la suite, les ; 335.
Salnt-LfOUis (ordre de). ~ Fondé en 1C93 par XiOUis XIV
fioor récompenser les service* mil It aires; Fronce, dix-sep¬
tième sU'cle» -^64.
Sairit-Miohel (ordre de). — iTirrlrt? de chevalerie institué
par Louis XI. en 1469 ; 368.
Saint-Sèpulcre (cbanoines du).— Poliigne, 196. — (reli-
gieuseîj du); France, 335.
Sainte-Catherine (rtdigîeufifïs de)* — Grdre hospitalier;
France, dix-septième siècle» 334*
Saivo almo. “ Variété du idt*' ou tjonnet; Lapons. 411,
Sakka. — Porteur d’eao ; Turquie. 17.’),
Saktitea* — ^ccte indonc. 136.
Salade. — Du mot espagnol celud-f : casque léger, sans crête
et muni d'un couvre-nuque. Cette coiffure fut Importée en
Fratjcc sous le règne de Cliarles V, soit par les Navarmis
ou autres montagnards de^ PjTcniHîs qui nfKiiaient daiia les.
(-onqiagnica» soit par les troupes qui firent rcxpéditioii de
Castille avec Duguesclin. Europe, moyen âge et seizième
îilèclc» 202» 218, 219» 320» 2.73.
Saiamlek. — Le fmlat oriental, 145 et 146.
Salawako. — Bouclier; CKdèbes» Océanie» 65 ét 66.
I Salle. — Nom donné h la pièce princîimlc d'ïinbitatîoîi ;
Fronce, moyen âge et sei^^ième siècle» lOû-lSl, 245.
S alla. — Voste sans maiiehee du avec nianche^j courtes ; Tur¬
quie» 179, ÎTô» 176, 177, 178» 179, 180.
Salve {iffb'), — Soucoupe en vermeil; France, dix-septième
siècle» 3.12.
Sambuca, —■ Ancienne crosse faite de sureAU, 193,
Samla. — I.a ceinture des Maiire^^ tunisiens» 159.
Samlai. — Soldats japonais qui poêlent des tomes tV titre
de fiefs, en c-nri<ldérAttoii de leur^ scmdces inilîtnlre?, 96-97.
Saiïinite (.SSauiFiff). — Gindiatour romain armé (t/n
36-37*
Samouraï. — Kobleiî japonais ayant lo privilègfe de porttr
deux Siftbrei, 9S-97*
Samovar^ — Réclpiont en uaagc poiir la préparation du thé;
Perse, I3fl,
Sam slra. — Tii^tnxment à trofe cortlesi Japon. 102^ 1U3*
UH.
Sandale 0'av5a)ii!ïv )* — Nom tiré de ^nii.
plnoclie; ce qui inillqtie que la snnilAle ne fut d’nlioTd qu’une
lietltfl planche mai xite nue sons le pîerl & Taide de courroies.
Cette forme générique lui est restée^ même lorsqu'on y mit
de l’élégance, et le genre mndaU comiprenait, chez les nU’
clens, tontes les chaxissurea ouvertes ou celles qui n'étftient
composées que d’une semelle et de coiirroiee poxir fixera
25-2Ô, 47 .
JSandaKum. — Pantoufles A. Tiisage des dames hellènes, 47.
Sanghati. — L'une des rotxïs de couleur jaune (ooxileur sa¬
crée) des prêtres kandiens ; Uo de Oeylan, 132.
Sanglier. — Emblème de la nationalité gauloise dès la plus
haute antiquité et jiendaut la périofie druidique ; il se met¬
tait au sommet des enseigna militaires, C^était aussi l'en-
Hcigne des GetmabiSs des Celtibériens et des THyriens : S6-57,
Saniasse. — Fakir indou, 117-11®.
Sannka^ —^ Le traîneau des Kamtcliadales; il est traîné ixar
quatre ou duq cMcnâî Sibérie, «3-84,
San Thtang. — Canne tîe deuil; Chine, 92-93*
Santir, Pisantir, — Iiistmiaent àconlcs des Arahes, 192.
Sapo ( }. — Pommade pour tcîndrç les ctaeveux ; an¬
tiquité, 1®.
Saquebute. — Iixstrument h vent, ty[>e primitif et gros¬
sier du trombone à coulisse; Europe, quntorpJèiue siècle,
192*
Sarabande- — F.epéoedc menuet; danso fruncaFso des sei¬
zième et djï-septiéme siècles, 362.
Snrâbfillæ* — Braies de? Orientaux, 181,
Sarafan. — Robe longixe, sanij manches, et feraée devant
par des boutons do cnîiin'e ou d^argent; dames russes, 438
et 4â9, 140*
Sâragoçd* — Drap portugais* 4S3.
Saraous. — Chapeaux faits avec des feuilles de SHgontier ;
îles OuébtS Océanie, 63-64.
Sarapé. — irantean l't l'usage des deux sexes; ^Mexique, 79*
Sarbacane. — Foie Sirirr,
Sari. Sary* — Grande pkfoe de toile que les femmes de
rinde enroulent autour de leur taULe et rejettent sur l’é-
panle on sur la tête, 122, m, 124, 126, LS7, 130, 133.
SarieMioukkah. — Pipe à eau; Inde, 144.
Sarlsse ( ^îaptdnîft ). — Pique de la phalange macédonien ne ;
Grèce, 26-26*
Sarmah. — Bonnet conique de^ femmes mauresques; Al¬
gérie, 159.
Sarna. — Outre en peau de chèvre gonflée d'air dont le?
payniana du Peûdjab se aerveat pour traverser les rivière»;
înde, ISl*
Sarraeinoia (tapis), — Ceux intrcïduits ea France? pendant
le moyen ftge par les Orientaux ; 189, 216.
3 a rang* — Foifr S.uïuo^ro*
Saryk. — Turban ; Turquie, 176, 176, 177, 178, 179.
Sassari. — Espèce do Aoïi- d’ètolïc légère couvrant entiè¬
rement le corps; Afrique, 160 et 161,
Satellite. — rofi' CotfsTfbbrKU*
Sayo. — La saie de? EKpAgnol.? du moyen ftge, 200 ; veste
des Baléariotes, 4SI.
Sayon. — Blouse des paysans fran^ats ; seizième siècle, 2T4,
Scabelltun* — Petit tabouret à une bcuIo marche; anti¬
quité, 32. Voir ScAJkiKi'M.
Scanaasaxe. — Glaive du soldat firank, 4 S-19, 56-57*
Scamnum. — Tabouret plus élevé, et par conséquent ptixs
bonorable que le êcub^ffom^ il était formé dhiiie double
marche, de sorte que les pieds pouvaient être pots^*.? à dif¬
férentes hauteurs; antiquité, 44.
Scapi^xlairç, — Yètement monacal t Ixande de drap couvrant
le doà et la poitrine, 198.
Scarpos. — Chansaiire de peau fraîche, carbatlne rtea mon-
tagnariis de la province romaine; Italie, dix-neuvième
siècle, 468*
Soena ou Sacena. — îîaeho â deux tranclianta en xi.sage
dans les aaeridees ; l'ixn des côtés de cette hache était la
tKurUi Fautre la do/aè/ti ,* Botnidns, 38.
Scenalîfi. — Le tablier des paysannes de la province ro¬
maine; Italie, dlx-ncuvièmc siècle, 468.
Scoptra. — Originairement la canne ou le Mtoii que les
Toia et les généraux portaient A la main, t?omme marque
de commandement. I4î sceptre devint par In suite ritisigne
du pouvoir souverain* — Sceptres égyptiens, assyriens ; 4,
11 et 12. — Sceptres des empereurs byjîfliîtlns; 182, 183*
Voir Ferula, Xartex, NAiiTicOPîtolîKfi* — Sceptres dea
rois do Franco; 184, 189, 20S et 209. — Celui de F empereur
d^Oedtlent et du roi des Romains; 285* — Celui des rois
do Pologne; 450.
t^cepiram eburnrum. — Ijh Sceptre d‘ivoire des consuhf ro¬
mains, 181.
Schama. — Manteau abyssin dans le genre de la/wd/rA des
Sénégalais ; Afrique, 72.
Sebaube. — Vêtement xle la famille de la cape, porté jwr
les liommés; Allemagne, geirième siècle, 270 et 271.
Schazadeiér aghassy. — rionvemenr des prinr#? ; maison
du snltan, Turquie, 172-173*
Scbelk* — Supérieurs des ilifTérents ordres de derviclies;
Turquie, 169
Schentl. — Pagne égji-ptlen ; antiquité, 4, 6.
Schérll. — Titre dos prinoes-gonvemours de La Mecque,
1S9.
3chiadl ( frïniïÊ’i; ). — L'ancien le chatieau de
paille do-’î Thessalions mewîernes, 24.
■
SchIndou. — Mèehc saeréo que les Brahmes indous se lati¬
rent iKU’wser sur Fwoipnt, 122.
— 2;}:ï
Schuttersmaaltijd. — Confrérîps uraiTqiifbniisprJ! ; proTlnws
unie?, 32 h1,
Scinda. — Ceinture fie;? jiajsrvrmej de laproviDcc rûmfviiio ;
TtaTie, tiii-nciiviènie filècle, “168.
Scolpos (itriApptii — Armfts de jwfitit calibre ein-
ploy*^** en ccTtain nombre snr nn afTftt, et dniit reneent^ile
ronnait un engin ih>iïinu!! Artniertc lîn meyoT!
Age ; France, 220.
Scoparlus. —^ Esclave dont roccupation ûonsi;^taît â balayer
les chambres; maison mmainé, 33.
Scriptionale> — Pupitre fpie l'on sur les genonx
pour écrire on qui ét^nît monté snr idpcia; ntobilEer dm
moyen Age, 228,
Sculfia. Hfeüle; cOifTure des fcmmea île ranelen comté
dp XioP : France, 187,
Sculponæ ( xpir>vTT£^3tt )* — Sandaina A semelles de bots;
antiquité, 17,
Scutum (Ov^so; \ — Grand iwneUer oblong, A surface
convexe; Romains, 31, 3C'3r,
Scythiqud. — Chauasure fermée de i>çan cnic conservant
tontson poil; antiquité, 17.
ScAuaob.ies. — Chanta tles imnles de la fimiide-Bretague,
59,
Sebbarla. — Fantoiifles d’intérieur ; Sraiires tunisiens, l&fl.
Sebbat. — s^onllers des Maures tniiisienH, 159,
Sebil. — I-o pipe des femmes ftt^rrn (Bédonines.) ; Turquie,
179,
t
Secesplta, — Goutean en usage dans les saerifleefi ; Ronmins.
39.
Secrète. — Nom de la jupe de dessoms, cîiea les dames de
l’époque Loui^ XIII ; France, dix-septième elfrcle, 328,
Secretta ou Segrette. — Calotte de fer; infanterie fran¬
çaise, seizième siècle, 23Q.
Securia, - Vmr de^ tranclîants de la 5certo , instruments de
sacriflmi ; antiquitt% 38.
Segadorea. — Moissonneurs aragonais; Espagne, 475.
SégtiidiUâi, — Danse (sspognôle, 474,
Seigneur-chef. — Clievalier quî se trouvait h. la tête d'nii
camp ou parti ; toumoîa du nioyeii Age, Fronce, 222.
Seïâ nu Sais, — Palefrenier turc. 17g,
Selte, Seitars, ^ Xoiri générique donné aux iMiiincts des
J^)K>ns, 411,
Selamilk. — Partie de rhabitation nnisiilmane répervi'rc aux
liomcnesî, 171,
Sella (oiçpo;). ^ Siège Ims, — cu^ m/îj; chaire ennuie,
— i^i/trnsis; plmiit. — Antiquité, 32, 44, Igl, l'fjir
Cira WF,
Sembol, — PAte odorante que les femmes kabyles emploient
tlaru leur fard ; Afrique, 15S,
Setinbong, — Lo ceinture des Malais; Océanie, G3-G4,
Semer, — T,e ctocliét du /iirupauf ou i>i>rtefftlx turc, 175.
Senndouk. — Le Iwhiit des Arabes nomades, 498.
Sèny, — Piéeo de iV’fto. maison du pay^ïan rii^sp ; 113.
Serge. “ ÉtoEFe légère de laine nu de sole; paysans français
du moyen üge, 209.
Sergent, — C'eat-â-^lire Ati-vitf'ur: nom donné peuiMnt le
moyen âge, A quiconque était dans le serrice, soit d'infan-
toriPj soit de cavalerie, sans appartenir aux hommes d'ar-
TiJCS, ftu.x ^écuyers, aux arebers, A aucun corps d’un nom
lîêtorininé, Quand le nom de soudûtfrr ou jflWaf eut été géné¬
ralement adopté pour désigner leg gens de gtierre, celui de
ocssjr d’ètre en usage et ne so doima plu» qu*an
sou-^-oRloîcv cliargé de Finstruction des soldats. France,
moyen âge, 202.
tîUirm*/^ on à imfp\ —fbaTilesinBtituéfi en 1215, iwr
ridlIppe-Aiiguste pour veiller ii la BOrcté de la i>eirs£>nne du
mi. France, moyen, Age, 210, 220,
S^rghoutsch. —^ Bouquet en fliigraue; bijouterie turr|iie,
1711.
Serguilha. — Drap portugais, 483,
Seroual. — Cntottc bouffatite desocmlaiit jnsqtFan genou;
Algérie; 158, 15^, IQO et lAl.
HScroMof iialt-!mL — Caltvon des maures tunisiens, 159,
Serpenteaux, — Bouc les de cheveux du genre dea uny/cif-
jtes modernes; coiffnro féminine du règne de Louis Xlll ;
France, dix-scjïtième siècle, 328,
(cof/Frirt ôj, — Dames de ré|KKinc du consu¬
lat; France, 408-109'.
Serpentin, — Pièce du mouiîqnet i sorte de pince qui, te¬
nant la méclia, nmeuAit oclle-ci dans le hacinet, lorsque le
doigt appuyait sur la clef, France, quinziéme et seizième aiè*
clCj 253.
Serpentine, — Canon du plua fnibie caliliiife; Fraïioe, quin¬
ziéme BÎérlej 220.
Serpyllin. — I^rfum fait avec du serimlet ; bains romains,
15.
S erre -malice. - Espèce de diadème en laiton; coiffure des
femmes de la liasse Auvergne, Franoej 484,
Serta, — fTUirlandfs de fleurs dont on parait les autels et
aussi les victimes quand cite? étaient prépanVs pour lé sn-
critice ; antiquité, 38,
Servatûria. — L'un dea noms qne lea donnaient à
leum atira ras eu amulette^, 42.
Servîtes (j^œurs du tiers-onire des). — 198,
Sgara, - Don^e pnerrière ; Kabyles, 150.
Shako on Schako. — Du hongrois c^kîI'o, C’est an propre
le nom du bonnet particulier dont sont coiûféa les hns^anls
hongrois. On a’eii sert aujounllmi dans In plupart des
arméeî> i>our ilistinguer la coiffure du soldat, tant daiLs
rinfonterie que ilans la cavalerie, Le xMtOf pEu« com¬
mode que le chapeau, fut d'abonl en usage, en France,
daiifl les rcigimentâ de hussards, et s’introtiuiait ensuite ilaus
ceux dfô cbasseuiu A cheval. Au oommçneement dn premier
empire, tons Ica corps d’infanterie de ligne et d'Infanterte
légère quittèrent le cbajieau pour prendre le shako qu'ils
n^ont plus abandonné; 400.
Shoudra-’W’aiisé, — Castes infêrîeuïÊS de File de Cevlan;
Inde, 132.
Siao-Kien. —- Étoffe non teinta dont on fait naage au
jïrintempa et en automne; Cl duc, 8'g' et 99.
Si brio. — Foudre fermgiiieU!=e qui, mêlée ft'vee de In graisse,
— 2 m —
est employée pour Ponction du eo^pa^ cIicï: Ica
imtton csfre; Afrique,
Sica. “ Cowtçflu ou rlngiie très iwîntue et à litmc rccour-
t>ée; amie nationale dos Thmces ; aiitiquîté, 3fi-37-
Siège. — Meuble fait pour fi'asBeoîr*
Siégea égyptiens ^ 5 ^ — AR^yrieos^ iù* — ARÛitiqueâ,
14* — Grecs, 16. — Grcco-roiuaüis, 3", — Îîomatna, 41. -
Cbinolji, 66.
Siégea du moyen ûge, l86j 22/, 23Î. — lies seixîcuic et
rlU-septiéme siècles, 2U4, SS6, 306, 30C, 3üT, 313, 314, 316,
348, — Du dljc-hultlètno siècle, 3"4, 301, 306,
Siège arcUl'tfplfiCOpal, épiscopal, curial, 186, 227, 204, 306,
Voir Basc i Blrkixioi, Caurhau, Chairk, Chaïuk,
Cr.L^Moa, DtPiiuoH, Ehcahkait, Fautkuil, Forme, Kav,
Mi.aEiLieoune, Patisscis, Placpt, SoABErxüM, Scaîenum,
Sella, Solium, Tauouu&t, Tuose*
Signet. — iTiingc sainte plactk} au chevet du lit; Euio]'ke,
moyeu âge, 227, 231, 232. — IJagne, eacliet, 221* Voir Si-
OS't'M.
Signiisr* — Voir Su5sr .M,
Signum. Xotn générique donné aux; différents étcndarcla
appartenant à elvaque inanlpiile, a chaque cohorte séparée,
pour les distinguer del'&igle ; légions romaines. — Siijnlfer;
teraie sous lequel on comin'end dlEférents officiera de rang
Inégal, dont chacun recevait son titre particulier de l'es¬
pèce d’enseigne qu'il portait, 34, 35, 36-37.
iSignum, — L'image, le dessin gravé mr le cachet d’une
bagMc;: antiquité, 42,
Sikapan, —- Jaquette €lea Malais; Oeéanie, £3-64.
Silahlik, — Ceinture de cuir; Turquie, 177,461.
Silfverkrage. ^ Ceinture garnie d’orfèvrerie; reiumes la-
]>oiincs, 411.
Silidhar-Agha. “ Forte-glaive, grand ntaître de la nukison
du sultan; Turquie, 163.
Slmarre. — l’oic Zimarra,
Si mil or (Industrie du), — Pmneo, di.v-lniitième siècle, 360.
Simplex* ^ Mitre de s<>ie blanche; ornements épÎHicopanx,
1S3*
Simpulum. — Cuiller à long manche en usage dans les
s-acriflees, che^ les Bomains ; antiquité, 53.
SLndoukh. - AmpUore arabe, 165.
SinngO'mazzia. — Grofsfô pertes opalines orna ut le tablier
des femmes nnssiehaises; nation càfre* Afrique, 71.
Sinuosus, — L’arc des Grecs, 36-20*
Sinus (ro5,xo;}. — Partie de la toge romaine croiliant sur
la poitrine; on Sc servait dit rinut comme «l'une iwche;
antiquité, 40.
Siny. — Table de senr’îce; intérieur du Iiarem impérial ;
Turquie, 172-173.
Sipet isûumjdi, stiiiàpiffui), — Sarliafane de^ Baya? de Bor¬
néo; Océanie, 63-64,
Siri (eu malais, pinang}. Mélange de bétel, de chnax vive,
do noix dArec, de tabac et de gambir, que nukrlioiit les
Malais; Océank, 63-64.
Sivaïtes. — Tvcs fkdornteiiiN de f^iva ; iie^'te imlmie, 126.
Sjelf€ii. — L'boinme m&rlê ; tifl/ran, la femme maric-e;
Suède, 413.
Skei^ars. —Petites cuillers; Lapons, 411*
Skeptaquea <ry.T,nTO'j//jt\ — Eunuques prurte-Aeeptres:
Assyrie, il et 12,
Sklrpze. - Sandales en ]>ean do chèvre on de mouton du
frÿfxtif oa montagTianl hongrois, 458 cl 453.
Skogmoses, — « Marais a forèta ja du Danemark, 48-43.
Slfwowilza. — Eau-de-vie de prunes fabriquée oliez tes
ïtutbèneR de Marmaros; Hongrie, 468 et 463*
Snaoiain. — Corne à tabac; j^xmsmie, 126 et 426.
SûocHer. — Voir Soccpa*
Soccus* — Soulier antique couvrant complètement le pied,
et sans cordonr. — ^'Soceifrr; nom donné à Tac leur comiqne
dont Je KffCifï était la chaussure de Bcène, 47*
Socialïle. — Voiinnç de promenade, d'exenrsionfi; Angle¬
terre, commencement dn dix-ncBviètae siècle. 431*
Soffyè. -— pleines musulmans, appelés depuis dfrrkJtr*;
136 et 136*
Solarium (r;>ta-Tfr,piov)* — Terrasse à ciel découvert;
inaiRon romaine, 33.
Solea. — Sorte de sandale; chaussure grediue adoptée par
les Ilomains, et qui parait avoir été, à plUR de légèreté près,
la nièTiie que la c^ryidn et lea fj7(fw/irr, — Soif a frrreaf or-
ifrnfffit e/r-anre, jgtrtrircf, ^ Sttlraiw : le îïomaîii chaussé de
la w/êd, 47.
Soleretâ. — Cliaus^ures de plates; armures du moyen Age;
Etirope, 202, 217, 219, 220. 263, 264. ^ Soitt^îi à pird d’oeirx;
en f/er ih cane; France, qnllüîlème et seizième siècles, 2-53.
Voir PÉDIEUX.
Boliers. — i'eb‘ Soui.iBits*
Solitalre^. — Variété de ta coiffure nia Fonrange; mwks fé¬
minines de rêpovpie Louis XIV; FrancOj 351,
Solium ('ôç.ûvo; )— Fauteuil d doisier élevé ; antiquité, 32.
l'ofr SL'I'I’E PASEUM.
Sombrero* — Chapeau d'origine espagnole, dniit rusage
était déjà répandu en Europe an seizième alècle, tétte coif-
fnieçÿt restée celle des E^pognols, des Chillena et des Mexi¬
cains, 78, 79, 276, 286,471,476.
Sommet skor, —Bottes d’été; Ijtpons, 411*
Sonar. MarcbandR de bijoux; Inde. 124.
Sophâ. — Meuble iiirc sur îû«iue] on s'aswip^i* ]p^ jambes
croistks, 171.
Sorquenie. — Xom primitif île la Faiit Een sarrau
de toile des pays4ius français, 274, 331*
Soubreveate. — Vêtement luiUUlrc qui eut d'abonl la forme
d'une dalniatlque et qnl devint un justanvorpifl rana man¬
ches ; moiisquetaires de la maison du rfki. France, dix-se^ii-
tiênic et diX-huitième siècles ; 381, 382, .384*
Sou-cheou. “ Grand collier, marque de haute dignité; Çhiuc,
85* S # *
Soudjoud* — Prosternation; prière ïmistilmaîie, 14S-146,
Soudras. — Caste des arttsnn.c ; Inde* 124.
Soufflet, — f’pir Bi-efet,
Souliers (tviief *). — Au uioyeit ou leur flonuuit le nom
de tâtaient fabrîqïn's d’ét^ïlîtss, et culuïde
s'ili! étaient faiw lie iieaii* La ville de Lyon était renonuniôe
pour la broderie des sM>ulicrB d’étolîe. — Soaii^rs à ponf-
üei^éniti et dix-septième siècles, 26S^ 2ï‘ü et 277, 2Sd, 311, —
iSouli'r/'j à ta car<iîiî:re. — Dix-septième siècle, 351, 354,
Sounk. — BmcelèU de eoqiillîag€s ; Inde, 120,
Souquenille^ — Sarmii avec pèleriiiie; fninçaîs du
seii^ième et du dix-septième siècle^ 274, 3>3L
Soutane. — ün dëtiigoait aînai tonte tunique longue portée
par les deux sexes, A dater du c^uinxièuie siècle, le mot
joutajif fut appliqué plus spècialémcnt ik la rube habituelle-
meut portée par Ica prêtres. — Sonlanelle j la soutane courte
des alfbés rooiidains du lUx-acptièiïie siècle ; France, 351.
Spaggok. — Umud épieu ; Lapon s, 411,
Spalières — Armure des épaules; Jupon, 91-
95 ; Europe, moyen dge, 21 7.
Spatula (iTûïwJrM). — Battoii' eu boi^ dont font iiaogc les
Wdsh tcomeH, lavandières galloises; Angleterre, 429,
Specla domus. — Nom cloiiiiè aux tablettes de verre insè--
rées dans les murs on dans ks meubles ; lïialt^oii romaine,
U,
Speculatores, — Soldats è*claireun3î leur cbaussnre était lu
callÿd Armées roujuincs, -17,
Spéculum ( £VOT7Tp&v , vtdtTOTiÇiOV}, —^ Miroir fait primi¬
tivement d^un métal blanc forme d'un alliage de cuivre et
d'étain, puis d^argent ; antiquité, IS.
Spectüaritui, — Verrier, 33.
Speira, Hypoapelron.— Chevelure nouée; coiffure qui,
chess les dames grecques, avait ou caractère bachique ; anti¬
quité, 21.
Spencer. — K.4pèce do veste; moded fémiiiiues de répo<iiie
dit Consulat; France* 40S-4b9,
Sphendonè. — Bandeau de tète; dames greeques, 2L
Spinther (ly^lVUtTrjipi). — Bracelet élastique que les femmes
portaient au bnui gauebe; antiquité,. 31,
Spirole. — Une des picoesa do cauon en u^ge dans l'artil¬
lerie fraii<;aiBe, au scirlèmo ?*iccle. 255,
Spondtiulee (dîTovcaOriv). — Musicicu qui accompagnait
avec la (ibia hngâ liîs hymnes que Tou chaiitoit dans le^s
sacriffccs; Antiquité, 3@.
Sporran. — Bourse, gil>ecière; Écossais, 435_et 42^1, 427,
Squciw,. — Nom que les Peaux-ltoiiges doiiiicnt u leuia
femmes; Amèriipie du Nord, 81^82.
Stadmeister, — Hagiistmtâ municipaux de l'aucicnuc Al¬
sace, 488,
Steeksiedje. -—Le traîneau des Frisons ; Ilulluiidc, 13J et 422.
Steiokerquç (ciavatOî^ la), — McnIé do Tèpoque LouisXIV ;
France, dix-.wptiùme siècle, 353, 355.
Stendosar, StCDdOâ, — Nom générique donné aux tom¬
beaux do Vàge de la pierre polie^ tels que lea et tutdejchs et
les dolmefis; Seandinavûe, SO.
Stèthodesme. — Bandelette, lien du sem, coetume féminin ;
Grèce, 19.
Stibium. — Collyre que les. Itomaius employaient ilaiis IciU'
toilette, 3, ti.
Stlchariimi. — L'auljo du ck-rgé grec, ISl, 1S2.
Stirntiichcl. — Bandeau de tète des femmes de la BoUcnie.
433.
Stola,, ■— Tunitiue royale dos Orientaux; rolie à mnuclics
longues et étrtJittSî adoptée par les dames romaines. Lti stoin
descendait juaqu^atîï pieds, 45*
— La jfcid des EyEantlny., réduetiifiM dè la stoia romaiiio, 183 .
StossjisgBl. — Clous à grO'Si^ tetes et en forniic de cram-
pong; montaguanl?; du Zillorth&l; Tyrol, -133.
Stratège ( ctpaTi^YO!;)- — Nom donné d^uno luanîéru géué-
tale, chez les ancien-^ Cirées, è tout chef d’un corjj^ d‘ariuée |
Il était élu jMir le potiplo. Ce nom défülgxia siH.-cialcmcnt les
cliefs des doux ligncfi achéonno et ètoUenne, 2S-2(;.
Strigille — Étrille ou mcîoir qui ser¬